• What you need to know about #Covid as new #variant rises - BBC News
    https://www.bbc.com/news/health-66848549

    La vaccination au RU ne sera disponible qu’aux plus de 65 ans (et aux immuno-déprimés)

    The reality is then that most under-65s will now end up boosting their immunity not through vaccination, but through catching Covid many times.

    Le site Naked Capitalism :

    “Reality” is another one of those words. When you hear “reality” think “artificial construct” (building social or symbolic capital for the propagator).

  • Interdiction de l’#abaya :

    Des #équipes_Valeurs_de_la_République et des #équipes_mobiles_académiques_de_sécurité (#Emas) seront déployées dans les collèges. "Malheureusement, cela ne réglera pas les petites transgressions quotidiennes comme les longs gilets, les écharpes, les bandeaux" dit une proviseure". J’ai l’impression d’être catapultée en #Iran...

    Dès ce lundi, les équipes « Valeurs de la république » seront déployées dans les collèges et lycées qui pourraient en avoir besoin. Ces équipes sont constituées de personnels de l’éducation nationale chargés tout au long de l’année d’accompagner et soutenir les chefs d’établissement confrontés à des difficultés pour faire appliquer les principes de la laïcité.

    L’information n’est pas officielle, mais les équipes mobiles académiques de sécurité (Emas) seront aussi postées près des établissements sensibles. Celles-ci comprennent des personnels de l’Éducation nationale, du ministère de l’Intérieur et de psychologues qui interviennent dans les établissements en prévention ou en règlement de situation de crise. « En cas de problème, on peut aussi prévenir le cabinet du recteur, nous explique Julie, la proviseure, qui doute encore de l’entière efficacité de l’interdiction. Malheureusement, cela ne réglera pas les petites transgressions quotidiennes comme les longs gilets, les écharpes, les bandeaux… et le jeu permanent avec les codes. »

    –----------

    Source :

    Interdiction de l’#abaya à l’école : comment devront réagir les établissements « en cas de problème »

    Alors que la #rentrée_scolaire, ce lundi 4 septembre, est marquée par la mise en place de l’interdiction l’abaya, les chefs d’établissements oscillent entre le soulagement de pouvoir enfin s’appuyer sur une #règle_claire et l’#inquiétude de voir apparaître des tensions.

    Comme l’ensemble de ses collègues, Julie (le prénom a été changé), proviseure dans un lycée technologique de Paris, a glissé deux nouveaux documents dans son cartable avant de faire sa rentrée scolaire, ce lundi 4 septembre. « Notre hiérarchie nous a transmis une #note_de_service, où il est stipulé qu’une élève ne peut pas aller en cours avec une abaya. Et nous avons également une lettre type signée de la main du ministre de l’Éducation nationale à envoyer aux familles », explique cette cheffe d’établissement.

    Pour l’ensemble des personnels de direction, cette rentrée est placée sous le signe de l’#interdiction_de_l’abaya, même si seuls un peu plus de 150 établissements sont concernés, parmi les 6 980 collèges et 3 710 lycées que comptent le pays. À Paris et ailleurs, les recteurs ont réuni les principaux et les proviseurs pour les informer des mesures à prendre si un élève se présente avec un #qamis (longue tunique portée par les hommes dans les pays musulmans) ou une élève avec une abaya (longue robe ample religieuse pour certains, culturelle pour d’autres).

    En ces premiers jours de classe, seront privilégiés le dialogue « dans un temps resserré » et les explications sur le respect des règles de #laïcité à l’école. « Après les annonces du ministre, nous nous sommes mis en relation avec les quelques établissements scolaires potentiellement concernés, très peu en réalité, pour leur apporter le soutien et l’accompagnement nécessaires au bon déroulement de cette rentrée », nous explique-t-on à l’académie d’Amiens.

    « Ça risque d’être compliqué »

    Dès ce lundi, les équipes « #Valeurs_de_la république » seront déployées dans les collèges et lycées qui pourraient en avoir besoin. Ces équipes sont constituées de personnels de l’#éducation_nationale chargés tout au long de l’année d’accompagner et soutenir les chefs d’établissement confrontés à des difficultés pour faire appliquer les principes de la laïcité.

    L’information n’est pas officielle, mais les équipes mobiles académiques de sécurité (Emas) seront aussi postées près des établissements sensibles. Celles-ci comprennent des personnels de l’Éducation nationale, du ministère de l’Intérieur et de psychologues qui interviennent dans les établissements en prévention ou en règlement de situation de crise. « En cas de problème, on peut aussi prévenir le cabinet du recteur, nous explique Julie, la proviseure, qui doute encore de l’entière efficacité de l’interdiction. Malheureusement, cela ne réglera pas les petites transgressions quotidiennes comme les longs gilets, les écharpes, les bandeaux… et le jeu permanent avec les codes. »

    Ces premiers jours vont en tout cas faire office de test pour les personnels de direction et le ministère, qui n’a pas hésité à ouvrir huit établissements aux médias. « Il y aura des tentatives de détournement de la règle. On voit bien que, sur TikTok, certains encouragent les jeunes filles à aller acheter des vêtements amples, et ensuite à nous présenter la facture pour prouver que ce n’est pas une abaya », prévient Carole Zerbib, proviseure du lycée Vauquelin, dans le XIIIe arrondissement de Paris et membre du syndicat des chefs d’établissement SNPDEN.

    « Certains élèves cherchent des #variantes, donc ça risque d’être compliqué, poursuit-elle. Mais à côté de ça, on sent une démarche volontariste du ministère, on se sent moins seuls. » En cas de refus persistant de l’élève de se conformer aux principes de la laïcité, les personnels de direction ont pour consigne d’engager une #procédure_disciplinaire à son encontre.

    https://www.leparisien.fr/societe/interdiction-de-labaya-a-lecole-comment-devront-reagir-les-etablissements

    #école #France

  • Pandémies : l’éternel retour | CNRS Le journal
    https://lejournal.cnrs.fr/articles/pandemies-leternel-retour

    Les conditions restent propices à l’émergence de nouveaux pathogènes capables de causer des #pandémies. La dégradation environnementale et l’accélération des mouvements de personnes et de marchandises s’ajoutent à l’extraordinaire capacité d’adaptation des bactéries, virus et champignons.

    Les épidémiologistes sont à nouveau sur le qui-vive. Au cours des derniers mois, des milliers d’otaries ont été retrouvés mortes sur les plages du Chili et du Pérou. La cause : #H5N1, la grippe aviaire, un virus que l’on surveille comme du lait sur le feu depuis vingt ans. Depuis sa réémergence en Chine en 2003, on craint qu’il ne soit à l’origine d’une pandémie de grande ampleur. Pour ce faire, il ne manque au virus qu’une chose : la capacité à se transmettre d’humain à humain de manière efficace. Jusqu’à présent, la plupart des infections humaines par cette souche provenaient de contacts avec des oiseaux contaminés.

    C’est pourquoi la mort soudaine de tant d’otaries inquiète : une telle mortalité pourrait être le signe que la grippe aviaire s’est propagée d’un individu à l’autre. « Si cela se confirme, ce serait un fait de la plus haute importance, indique Martin Blackledge, directeur adjoint de l’Institut de biologie structurale. Cela voudrait dire que le virus est en train de s’adapter aux mammifères. » Et voilà que nos souvenirs de l’atroce année 2020 reviennent nous hanter.

    La fin de l’optimisme

    Qu’elle semble loin cette époque dorée, les années 1950 et 1960, lorsque les médecins et les autorités sanitaires des pays développés pensaient que la menace des maladies infectieuses serait bientôt du passé. « On voyait les progrès de l’hygiène, de l’infrastructure hospitalière, des vaccins et des antibiotiques. On venait d’un énorme succès contre la polio. C’était bon, on avait tout compris, il était temps de passer à autre chose », ironise Serge Morand, directeur de recherche au laboratoire Maladies infectieuses et vecteurs : écologie, génétique, évolution et contrôle.

    #écologie #zoonoses #épidémies

    • Pour les scientifiques, le Covid-19 a constitué un extraordinaire observatoire de l’évolution d’un pathogène. « On a vu à quel point l’adaptation du virus était fondamentale dans le processus épidémique », explique François Blanquart, chercheur au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie. La succession des variants a été particulièrement riche en enseignements. « Avec les variants, on a observé une dynamique de balayage sélectif extraordinaire. Chaque nouveau variant remplaçait les précédents en un temps record. » Ainsi, le variant Alpha, plus virulent et plus transmissible que son prédécesseur, a balayé la souche originale de Wuhan. Peu après, c’est Delta, encore plus virulent et transmissible qu’Alpha, qui a poussé ses concurrents à l’extinction.

      L’arrivée des vaccins a changé le cours de l’évolution du virus. « Omicron a éliminé les variants antérieurs en partie parce qu’il se propageait très bien parmi la population vaccinée », explique François Blanquart. Les scientifiques pensent qu’à l’avenir, ce #coronavirus, comme la grippe, présentera de nombreux #variants en même temps, qui évolueront dans un paysage immunitaire hétérogène . Il sera impossible en tout cas de s’en débarrasser. Homo sapiens est désormais son réservoir naturel.

      #Covid-19 #bactéries #antibiorésistance #virus #champignons #antifongiques #résistance_aux_antifongiques #agriculture #laboratoires_L3 #laboratoires_L4 #one_health

  • Covid : une dixième vague se profile, mais avec peu d’incidence sur les hôpitaux | Les Echos
    https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/covid-une-dixieme-vague-se-confirme-en-france-1920560

    Cette nouvelle vague coïncide avec la progression d’un nouveau sous-variant d’#Omicron, #XBB.1.5, qui remplace progressivement BQ.1.1, responsable de la précédente vague. Le XBB.1.5 est désormais majoritaire, avec 59 % des séquences génétiques réalisées en France, contre 55 % début mars.

    Santé publique France, dans un point sur les #variants émergents publié le 22 mars, souligne que le XBB.1.5 « semble bénéficier d’un avantage de croissance, qui pourrait être lié à un échappement immunitaire important (commun à tous les XBB) et à une augmentation de transmissibilité conférée par une mutation de sa protéine Spike ». « Il a cependant une sévérité similaire aux autres variants circulant », souligne l’agence publique.

    Cette nouvelle vague n’a pour l’heure pas de conséquences sur l’hôpital. Au contraire, la semaine dernière alors que les passages aux urgences pour suspicions de Covid étaient en hausse de 14 %, les nouvelles hospitalisations étaient en baisse de 11 %, et les nouvelles admissions en service de soins critiques en recul de 30 %.

  • How quickly does COVID immunity fade? What scientists know
    https://www.nature.com/articles/d41586-023-00124-y

    New evidence suggests that ‘hybrid’ immunity, the result of both #vaccination and a bout of #COVID-19, can provide partial protection against #reinfection for at least eight months1. It also offers greater than 95% protection against severe disease or hospitalization for between six months and a year after an infection or vaccination, according to estimates from a meta-analysis2. Immunity acquired by booster vaccination alone seems to fade somewhat faster.

    But the durability of immunity is much more complex than the numbers suggest. How long the immune system can fend off #SARS-CoV-2 infection depends not only on how much immunity wanes over time but also on how well immune cells recognize their target. “And that has more to do with the virus and how much it mutates,” says Deepta Bhattacharya, an immunologist at the University of Arizona College of Medicine in Tucson. If a new #variant finds ways to escape the existing immune response, then even a recent infection might not guarantee protection.

    […]

    Thålin understands how frustrating the caveats and uncertainty can be, but says that researchers aren’t likely to pin down an answer anytime soon. “The virus is evolving so fast,” she says. “What’s true today might not be true tomorrow.”

    #immunité

  • Covid-19 : l’Europe sans stratégie commune face aux voyageurs en provenance de Chine
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/12/29/covid-19-l-europe-sans-strategie-commune-face-aux-voyageurs-en-provenance-de

    Covid-19 : l’Europe sans stratégie commune face aux voyageurs en provenance de Chine
    Par Stéphane Mandard, Marjorie Cessac , Matthieu Goar, Cédric Vallet(Bruxelles, correspondance) et Olivier Bonnel(Rome, correspondance)
    « Amis chinois, la France vous accueille à bras ouverts ! » : c’est par un tweet chaleureux que l’ambassade de France en Chine a salué, mercredi 28 décembre, la confirmation par Pékin de la levée du dernier vestige de sa politique zéro Covid. A partir du 8 janvier, la quarantaine ne sera plus imposée aux voyageurs entrant dans le pays ; autrement dit, les Chinois vont pouvoir recommencer à voyager massivement. Un message de bienvenue qui contraste avec les alertes émanant du Japon, des Etats-Unis ou d’Italie, sur la défensive face à l’explosion des cas de Covid-19 en Chine. Si les autorités de Pékin, totalement débordées, ont arrêté de communiquer des données officielles, on évoque le chiffre astronomique de 37 millions de contaminations par jour.
    Après le Japon, les Etats-Unis et l’Italie ont annoncé mercredi qu’ils imposeraient des tests de dépistage du Covid-19 à tous les voyageurs en provenance de Chine. Depuis quelques jours, l’Italie a l’impression de revivre un mauvais film. Le 26 décembre, les 120 passagers d’un vol Pékin-Milan se sont prêtés à des tests anti-Covid mis à disposition par la région Lombardie : plus de la moitié d’entre eux se sont révélés positifs. Encore traumatisée par la violence de la pandémie, la Lombardie, épicentre des contagions en Europe après l’apparition en février 2020 des premiers cas de Covid-19 sur le Vieux Continent, a très vite pris les devants. L’aéroport de Milan-Malpensa a aussitôt imposé les tests pour tout voyageur en provenance de Chine. Une obligation étendue mercredi au territoire entier pour toute personne voyageant depuis la Chine ou se trouvant en transit sur le sol italien. (...) Les autorités italiennes ont fait savoir que le renforcement des mesures sanitaires devait également se faire au niveau européen. Plusieurs touristes venant de Chine ont en effet posé le pied sur le sol italien après avoir fait escale à Paris, Francfort ou Helsinki. Comme il y a bientôt trois ans, Rome considère l’Europe trop attentiste. « Aucune restriction des déplacements vers l’Union européenne n’a été décidée, répond une porte-parole de la Commission. La situation actuelle est celle d’avant la pandémie. En Chine, le sous-variant Omicron BF.7 est prédominant. Il est déjà présent en Europe et n’est pas devenu le variant dominant. Bien sûr, nous surveillons la situation et restons vigilants. » Les Etats membres, lorsqu’ils constatent la dégradation de la situation épidémiologique dans un pays tiers et l’apparition de nouveaux variants, ont la possibilité de déclencher le « frein d’urgence », qui leur permet d’imposer rapidement des restrictions aux voyageurs. « C’est bien aux Etats de décider d’imposer leurs propres mesures », rappelle un diplomate européen.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#italie#UE#sante#pandemie#postzerocovid#restrictionsanitaire#variant#frontiere#circulation

  • How much virus does a person with COVID exhale ? New research has answers
    https://www.nature.com/articles/d41586-022-02202-z

    Article non encore accepté.

    Remarque : seules les particules inférieures ou égales à 5 microns ont été considérées comme des #aérosols par les auteurs

    The infected people faced into a cone-shaped apparatus and sang and shouted — with inevitable coughs and sneezes in between — for 30 minutes, while an attached machine collected the particles they exhaled. The device, called a Gesundheit-II, separated out the fine ‘aerosol’ droplets measuring 5 micrometres or less in diameter, which can linger in the air and leak through cloth and surgical masks.

    […]

    “This research showed that all three of those #variants that have won the infection race … come out of the body more efficiently when people talk or shout than the earliest strains of the coronavirus,” says John Volckens, a public-health engineer at Colorado State University in Fort Collins.

    Study co-author Kristen Coleman, who researches emerging infectious diseases at the University of Maryland in College Park, says this means that people should be “pushing governments to invest in improving indoor air quality by improving #ventilation and filtration systems”.

    […]

    The study also highlights variation between individuals in the amounts of exhaled virus, which ranged from non-detectable levels to those associated with ‘superspreaders’. One Omicron-infected participant, for example, shed 1,000 times as much viral RNA through fine aerosol as the maximum level observed in those with Alpha or Delta. The researchers say that the root of these discrepancies remains a mystery but could be related to biological factors such as a person’s age. Behaviour might play a part, too: the study’s superspreader coughed more frequently than others.

    If new variants are more prone to superspreading, that might drive them to dominate #COVID-19 cases. The team notes that people infected with SARS-CoV-2 exhale much lower amounts of viral RNA than do people infected with influenza, a comparable airborne disease. This suggests that #SARS-CoV-2 could spin off variants that transmit even more virus.

    “That is something to be concerned about,” says Alsved.

    #aération

  • Why call it BA.2.12.1? A guide to the tangled Omicron family
    https://www.nature.com/articles/d41586-022-01466-9

    Given all these #variants, is #SARS-CoV-2 evolving more rapidly than other viruses?

    Not necessarily, Rambaut says. Researchers are finding an incredible amount of diversity in SARS-CoV-2, but they’re also sequencing this virus at an unprecedented rate. A record 11 million SARS-CoV-2 genomes have been uploaded to the popular GISAID data platform since January 2020. By contrast, researchers have uploaded about 1.6 million sequences of the influenza virus to GISAID’s EpiFlu database since May 2008.

    Still, Rambaut says, many questions remain about how SARS-CoV-2 is evolving, because sequencing is nearly absent in some parts of the world, and some countries with raging outbreaks are scaling back genomic surveillance.

    Could Omicron’s subvariants, such as BA.4, eventually receive Greek names?

    Yes, although it hasn’t happened yet. Some researchers argue that the Omicron subvariants currently fuelling surges, such as BA.4 and BA.2.12.1, deserve simpler names to aid communication with governments and the public at a time when regard for COVID-19 control measures, such as face masks, is waning. They also point out that unlike Delta’s subvariants — which were not discussed much in the media — BA.4 and BA.2.12.1 can overcome immunity provided by earlier infections with other Omicron subvariants. This was unexpected, says Houriiyah Tegally, a bioinformatician at the Centre for Epidemic Response and Innovation in Stellenbosch, South Africa. “ Everyone thought that only new variants would cause new waves, but now that we’re seeing that Omicron can do it, maybe we should adapt the system of naming ,” she suggests.

    But the WHO is so far resisting this idea. WHO virologist Lorenzo Subissi says that the capacity for immune evasion isn’t wildly different between Omicron subvariants. He adds that the agency’s assessment could change if future studies prove that an Omicron subvariant causes more severe disease than other Omicron varieties. The technical lead of the WHO’s COVID-19 response, Maria Van Kerkhove, adds that the agency also doesn’t recommend swapping a technical label for a Greek name in the hope of spurring leaders to take the ongoing pandemic more seriously. “This is already a scary virus, it is still killing huge numbers of people unnecessarily,” she says, suggesting that world leaders should already be paying attention.

  • L’OMS confirme le lien entre des problèmes cardiaques et les vaccins à ARNm
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1807959/oms-confirme-lien-problemes-cardiaques-vaccins-arnm

    Il existe un lien « probable » entre des cas d’inflammation au niveau du coeur et l’injection de vaccins contre la COVID-19 à ARN messager, mais les avantages de ces sérums l’emportent sur les risques, a déclaré vendredi l’OMS, confirmant l’expertise américaine.

    Dans un communiqué, les experts du Comité consultatif mondial de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la sécurité des vaccins expliquent que des cas de myocardite – une inflammation du muscle cardiaque – et de péricardite – une inflammation de la membrane enveloppant le coeur – ont été signalés dans plusieurs pays, en particulier aux États-Unis.

    “Les cas rapportés sont généralement survenus dans les jours qui ont suivi la vaccination, plus fréquemment chez les jeunes hommes et plus souvent après la deuxième dose des vaccins à ARN messager contre la COVID-19”, ont-ils indiqué.

    Après examen des informations disponibles à ce jour, les experts de l’OMS concluent que “les données actuelles suggèrent un lien de causalité probable entre la myocardite et les vaccins à ARN messager”. . . .

    #OMS #myocardite #covid-19 #vaccination #sante #vaccins #santé #vaccin #coronavirus #covid #pandémie #variant #sars-cov-2 #santé_publique
     

  • Shanghai government may extend Pudong lockdown beyond Friday as Covid-19 infections surge, say sources | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/business/china-business/article/3172561/shanghai-government-may-extend-pudong-lockdown-beyond

    Shanghai government may extend Pudong lockdown beyond Friday as Covid-19 infections surge, say sources
    The lockdown of the area of 5.7 million people had been due to expire tomorrow, as Puxi, to the west of the river, starts its four-day shutdow. But only a small number of residential compounds and commercial areas classified as low-risk will be allowed to reopen, say two local government sources
    Most of the Pudong area of Shanghai is likely to remain locked down beyond Friday, according to sources, after a four-day effort to contain the spread of Covid-19 on the eastern side of Huangpu River proved insufficient.The lockdown of the area of 5.7 million people announced on Sunday had been due to expire tomorrow, as Puxi, to the west of the river, starts its four-day lockdown.But only a small number of residential compounds and commercial areas in Pudong classified as low-risk will be allowed to reopen, according to two local government sources with knowledge of the matter.An extension of the lockdown in Pudong, overlapping with the new measures in Puxi, would mean that the mainland’s commercial and financial capital effectively finds itself under citywide lockdown – a situation ruled out by the authorities as recently as two weeks ago.The sources said the decision to keep most of Pudong sealed off, was a result of the surge in infections – largely asymptomatic – revealed by mass testing.
    Shanghai imposes phased lockdowns as daily Covid infection numbers surge beyond 3,000Local officials have yet to decide how long the extension will last, but sources said a step-by-step approach would be taken to gradually lift restrictions on most residential compounds, retailers and manufacturing sites.Ma Chunlei, secretary general of the Shanghai municipal government, told a media briefing on Thursday that the local authorities would study how to lift the lockdown only once it had solicited opinions from experts commissioned by the national authorities.
    “We will work out a plan to lift the lockdown in a scientific and orderly manner,” he said. “As Puxi goes into lockdown, the area with an even larger population of 16 million and a bigger geographic size, the situation will become more complicated. We will do our utmost to speed up screening for [Covid-19] cases.”He apologised for his government’s failure to contain the recent outbreak, admitting it had been ill-prepared for the virulence of the Omicron variant.“We sincerely accept your criticism and are working hard to improve it,” Ma said.His remarks came after Shanghai Communist Party boss Li Qiang pledged to go all-out to eliminate the virus entirely during a government conference on Wednesday evening.The phased lockdown, announced by Shanghai government on Sunday evening, represented a U turn by the city’s leaders.By Thursday, Shanghai had reported about 32,000 Covid-19 infections since this wave of the outbreak started on March 1. Most of them were asymptomatic.The tidal wave of cases has put Shanghai’s much-lauded containment strategy at risk. The city, with a population of 25 million, had reported less than 300 coronavirus infections since the outbreak began in Wuhan, central China’s Hubei province, in December 2019.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#shanghai#sante#confinement#isolement#politiquesanitaire#variant#omicron

  • Après infection par #Omicron, quelle réponse immunitaire contre d’autres #variants chez les vaccinés et non-vaccinés ? – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/03/28/infection-par-omicron-quelle-reponse-contre-dautres-variants-chez-les-vaccin

    « Par conséquent, les personnes non vaccinées qui sont infectées par le variant BA.1 Omicron, sans avoir été antérieurement infectées par le #SARS-CoV-2, pourraient ne pas être suffisamment protégées contre une infection par un variant SARS-CoV-2 autre qu’Omicron. Pour une protection complète, la vaccination est requise ».

    Cette conclusion est similaire à celle à laquelle parviennent les scientifiques sud-africains dont les résultats, publiés Cell Host and Microbe, montrent qu’une infection par le variant Omicron après #vaccination (breakthrough infection) s’accompagne d’une augmentation de l’immunité neutralisante croisée vis-à-vis d’autres variants préoccupants. Selon les chercheurs de Johannesburg, leurs résultats suggèrent qu’il existe dans le groupe non vacciné un risque de réinfection par d’autres variants qui continuent de circuler et d’évoluer en Afrique du Sud. Cette conclusion est également celle à laquelle sont parvenus des chercheurs américains au terme d’une étude publiée le 17 mars 2002 dans Cell et que je relatais dans mon précédent billet de blog.

    Implications vaccinales

    Les résultats par les chercheurs sud-africains ont des implications concernant le développement de #vaccins anti-#Covid-19 de seconde génération qui seraient adaptés au variant Omicron. En effet, il semble qu’il y ait peu de bénéfices sur le plan immunitaire à en attendre sur d’autres variants du fait de la faible #immunité croisée mise en évidence chez des individus n’ayant jamais été infectés.

    Si des vaccins basés sur la séquence d’Omicron peuvent représenter des rappels adéquats, il est donc en revanche peu probable qu’ils soient supérieurs aux vaccins actuels pour la primo-vaccination d’individus immunologiquement naïfs, autrement dit n’ayant jamais été auparavant infectés par le SARS-CoV-2, estiment les chercheurs sud-africains.

    Il a en effet été montré que des souris immunisées par Omicron ne développent pas une réponse immunitaire dirigée contre d’autres variants préoccupants. De plus, l’immunisation de souris avec un vaccin à ARN messager basé sur Omicron (séquence RBD, domaine de liaison au récepteur) n’entraîne qu’une réaction immunitaire ciblée sur ce variant. Enfin, une étude conduite sur des macaques rhésus a montré qu’un rappel avec un vaccin à ARN messager basé sur la séquence Omicron s’est montré moins efficace que le vaccin mRNA-1273 (celui de Moderna). Les titres en anticorps étaient moins élevés après administration d’un rappel avec un vaccin adapté à Omicron que lorsque celui-ci reposait à nouveau sur le vaccin mRNA-1273 (rappel homologue).

    « Globalement, ces données suggèrent qu’un rappel avec un vaccin spécifique d’Omicron chez des individus, ayant ou non une immunité préexistante [du fait d’une infection antérieure] n’est sans doute pas supérieur aux vaccins actuellement existants », concluent les chercheurs sud-africains.

  • Au Royaume-Uni, une résurgence préoccupante du Covid-19
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/03/18/au-royaume-uni-une-resurgence-preoccupante-du-covid-19_6118105_3244.html

    Au Royaume-Uni, une résurgence préoccupante du Covid-19
    En une semaine, les nouveaux cas sont en hausse de 44 %. La campagne vaccinale de la quatrième dose doit commencer à partir du 21 mars pour les plus de 75 ans et les plus vulnérables.
    Les médias n’en parlent presque plus, le ministre de la santé, Sajid Javid, ne voit « pas de raison de s’inquiéter » pour les quelques cas du nouveau variant Deltacron – il possède les caractéristiques des variants Omicron et Delta – détectés, pour autant les experts s’inquiètent car l’épidémie de Covid-19 repart fortement au Royaume-Uni.

    Sur les sept derniers jours, plus de 534 000 nouveaux cas positifs ont été enregistrés, soit une hausse de 44 % et les hospitalisations sont également reparties significativement à la hausse (+ 22 %), avec plus de 11 500 patients hospitalisés. Désormais 14 078 patients sont soignés à l’hôpital principalement pour une infection au SARS-CoV-2. Le nombre de patients sous respirateur reste en revanche très faible (281) et les décès (dans les vingt-huit jours suivant un test positif) sont stables : environ 105 par jour sur la dernière semaine. A en croire l’Office national des statistiques, considéré comme la source d’information la plus fiable depuis le début de la pandémie, une personne sur vingt-cinq avait été testée positive en Angleterre durant la semaine s’étant achevée le 5 mars. La proportion était d’une personne sur trente au Pays de Galles, une sur treize en Irlande du Nord et une sur dix-huit en Ecosse (plus de 5 % de la population).
    Lire aussi Article réservé à nos abonnés Face à la vague Omicron, les hôpitaux britanniques résistent pour l’instant

    Ces hausses sont pour l’instant surtout attribuées à la nouvelle souche du variant Omicron, BA.2, qui pourrait être jusqu’à 40 % plus transmissible que la souche initiale – mais a priori, pas plus virulente. Dans sa dernière étude REACT (effectuée auprès de 95 000 tests entre le 8 février et le 1er mars), l’Imperial College London estime que près de la moitié des nouveaux cas positifs, au 21 février (47,2 %) étaient dus au variant BA.2.
    (...) Mais pas question pour le gouvernement Johnson de renoncer à sa politique décrétée fin février. Depuis le 24 février, les personnes positives ne seront plus obligées de se mettre en quarantaine – le port du masque obligatoire et les passeports vaccinaux ont été abandonnés dès janvier.
    Très utilisés par la population (notamment dans les écoles), les autotests, jusqu’à présent gratuits dans les pharmacies et sur le site du NHS, deviennent payants au 1er avril, sauf pour les plus de 75 ans et les plus de 12 ans immunodéprimés. La dernière formalité de voyage (le formulaire « Passenger Locator Form », censé tracer le parcours des personnes avant leur arrivée au Royaume-Uni), est supprimée le 18 mars.
    La stratégie britannique se résume à protéger la population avec les vaccins et les traitements antiviraux : la campagne vaccinale de la quatrième dose devrait commencer à partir du 21 mars pour les plus de 75 ans et les plus vulnérables. Le gouvernement Johnson répète aussi compter sur le « bon sens » des Britanniques, à qui il est toujours recommandé de s’isoler s’ils le peuvent quand ils sont positifs, et à porter le masque dans les endroits très fréquentés, mais sans obligation.
    Les comportements ont cependant sensiblement changé ces dernières semaines : les passagers qui portent encore le masque dans les transports publics londoniens sont désormais très minoritaires. L’usage des autotests semble déjà avoir largement diminué : des centres de santé en distribuaient gratuitement à la sortie de certains métros de la capitale ces derniers jours.
    Plus prudent que le gouvernement britannique depuis le début de la pandémie, le gouvernement écossais a décidé de maintenir le port du masque obligatoire dans les transports en commun et les espaces publics fermés au moins jusqu’à début avril.

    #Covid-19#migrant#migration#grandebretagne#sante#variant#omicron#variantBA.2#frontiere#circulation

  • Comment le variant Omicron BA.2 a repoussé les limites initiales du Covid-19
    https://theconversation.com/comment-le-variant-omicron-ba-2-a-repousse-les-limites-initiales-du

    Si l’épidémie de Covid est passée au second plan de l’actualité, elle n’en est pas finie pour autant. Le SARS-CoV-2 continue de circuler et d’évoluer rapidement. Chercheurs au sein de l’unité « Maladies infectieuses et vecteurs : Écologie, Génétique, Évolution et Contrôle » (Université de Montpellier, CNRS, IRD), Mircea Sofonea, maître de conférences, et Samuel Alizon, directeur de recherche, spécialistes de l’épidémiologie et de l’évolution des maladies infectieuses, font le point sur Omicron maintenant qu’il a conquis le monde. Comment expliquer ses sous-variants, que sait-on désormais de ses capacités et de l’efficacité de notre système immunitaire face aux futurs variants ?

    #SARS-CoV2 #pandémie #coronavirus #omicron #variants

    • Le SARS-CoV-2 ne pouvant être éradiqué (contagiosité élevée, immunité imparfaite et déclinante, réservoirs animaux), de nouveaux variants émergeront, sélectionnés en particulier sur leur capacité à contourner la réponse immunitaire. Le moment de leur apparition et leurs propriétés antigéniques sont pour le moment imprédictibles.

      […]

      Il faut aussi se méfier de la croyance séculaire selon laquelle les virus deviendraient moins virulents avec le temps. Comme le montre la découverte cette année d’un variant de VIH plus virulent que la moyenne circulant depuis la fin des années 1990, c’est plutôt le contraire. Certes, la létalité des infections diminue, mais cela reflète avant tout l’amélioration de la réponse sanitaire, des vaccins ou des traitements.

      Un des enseignements de la modélisation est qu’il faut se méfier de nos biais de perception. En phase de croissance épidémique, l’inquiétude augmente, et, à l’inverse, en phase de décroissance, nous avons tendance à être plus optimistes… La difficulté pour les scientifiques est de s’en tenir aux faits.

  • Antigenic evolution will lead to new #SARS-CoV-2 #variants with unpredictable severity | Nature Reviews Microbiology
    https://www.nature.com/articles/s41579-022-00722-z

    The comparatively milder infections with the Omicron variant and higher levels of population immunity have raised hopes for a weakening of the pandemic. We argue that the lower severity of Omicron is a coincidence and that ongoing rapid antigenic evolution is likely to produce new variants that may escape immunity and be more severe.

  • Covid-19 : la Chine confine les 9 millions d’habitants de la ville de Changchun
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/03/11/covid-19-la-chine-confine-les-9-millions-d-habitants-de-la-ville-de-changchu

    Covid-19 : la Chine confine les 9 millions d’habitants de la ville de Changchun
    Ce confinement est le plus important annoncé en Chine depuis celui de la métropole de Xi’an, au nord du pays, et de ses 13 millions d’habitants à la fin de l’année dernière.Confrontée à sa pire flambée épidémique depuis deux ans, la Chine a dû se résoudre, vendredi 11 mars, à confiner la grande ville de Changchun, dans le nord-est du pays. Les 9 millions d’habitants de la ville chinoise ont été placés en confinement, ont annoncé les autorités locales. Seule une personne par foyer est autorisée à sortir, une fois tous les deux jours, a fait savoir la mairie, qui se prépare à dépister toute la population. Ce confinement est le plus important annoncé en Chine depuis celui de la métropole de Xi’an, au nord du pays, et de ses 13 millions d’habitants à la fin de l’année dernière. La mairie a ordonné la fermeture des écoles et des commerces ainsi que des transports publics. Il est défendu de quitter la ville, qui a enregistré plusieurs centaines de cas au cours des derniers jours. Changchun, la ville de « l’éternel printemps », est la capitale de la province du Jilin, frontalière de la Corée du Nord. Ce pays fermé n’a jusqu’à présent jamais fait état de cas de Covid-19.Par ailleurs, la Chine a annoncé vendredi qu’elle allait introduire l’usage de tests antigéniques rapides du Covid-19 pour la première fois. La Commission nationale de santé a précisé que des kits d’autotest seraient disponibles à l’achat pour les établissements hospitaliers et les citoyens auprès « des pharmacies de détail, des plates-formes de vente en ligne et d’autres canaux ». Le pays, où le virus a été la première fois détecté fin 2019, a rapidement endigué l’épidémie dès le printemps 2020, en adoptant des mesures de confinement très strictes frappant des villes entières. Le géant asiatique est ainsi parvenu à largement enrayer la contagion, avec un bilan officiel d’un peu plus de 100 000 cas, dont 4 636 mortels exactement, en l’espace de deux ans. Le régime communiste y voit la supériorité de son système autoritaire par rapport aux nombreuses morts enregistrées par les pays démocratiques. Mais la souche Omicron est à l’origine de flambées localisées qui concernaient vendredi 1 369 personnes exactement au cours des dernières vingt-quatre heures, selon les données du ministère de la santé.
    Un bilan qui reste faible en comparaison avec le reste du monde mais qui n’en est pas moins le plus élevé pour la Chine depuis la première phase de l’épidémie, début 2020. Sur ce total, les autorités ont dénombré 158 cas importés et 814 cas asymptomatiques, qui font l’objet d’un décompte séparé. Ce pic intervient alors que les cas échappent à tout contrôle dans le territoire de Hongkong, au sud du pays, où les hôpitaux débordent de patients et où la population locale dévalise les supermarchés dans la panique, craignant un confinement. Les autorités chinoises redoutent que des habitants potentiellement contaminés se soient rendus clandestinement sur le continent en provenance de Hongkong, répandant la contagion.
    Les autorités n’ont toutefois pas laissé envisager un abandon de la stratégie du « zéro Covid » lors de la session annuelle du Parlement qui s’est conclue vendredi. « Nous devons constamment affiner les mesures » contre l’épidémie, a simplement dit le premier ministre, Li Keqiang, lors d’un discours fleuve devant les députés le 5 mars. De nombreuses parties du pays sont désormais confrontées à un durcissement des mesures antiépidémiques, notamment Shanghaï, la ville la plus peuplée de Chine, avec 25 millions d’habitants, où les élèves vont désormais devoir suivre leurs cours en ligne.Les autorités municipales se sont efforcées ces derniers mois d’imposer des mesures ciblées, imposant des confinements stricts seulement à quelques quartiers ou bien dans des lieux où des cas ont été répertoriés. Il arrive ainsi que des personnes se retrouvent coincées sur leur lieu de travail ou au restaurant en attendant de pouvoir être dépistées. L’attente du résultat peut aller jusqu’à quarante-huit heures.

    #Covid-19#migrant#migration#chine#hongkong#sante#variant#omicron#zerocovid#circulation#confinement

  • Gaz : l’Union européenne fait le plein Robin des bois
    https://robindesbois.org/malgre-les-tensions-le-courant-passe
    Le méthanier brise-glace Christophe de Margerie qui était attendu à #Montoir-de-Bretagne a déchargé au terminal méthanier de #Rotterdam et remonte vers la Sibérie. Le Boris Vilkitsky a déchargé au terminal méthanier de Montoir-de-Bretagne à partir de samedi après-midi. Il est reparti dimanche. Le Rudolf Samoylovich est attendu à Montoir-de-Bretagne demain. Il sera suivi par le Yakov Gakkel le samedi 12 mars. Le terminal méthanier de Montoir-de-Bretagne dans l’estuaire de la Loire n’a jamais reçu autant de méthaniers brise-glace en provenance de Sibérie en si peu de temps. Le Boris Davydov est arrivé aujourd’hui lundi 7 mars au terminal méthanier de #Dunkerque. Pour mémoire, ces méthaniers sont des sister-ships et transportent chacun 177.000 m3 de Gaz Naturel Liquéfié (GNL), soit un peu plus de 100 millions de m3 sous forme gazeuse.

    #Nucléaire : les centrales slovaques font le plein 
Le 1er mars, un Iliouchine-76TD de la Volga-Dnepr Airlines spécialisé dans le transport de colis lourds a survolé la Pologne avec l’autorisation de l’OTAN pour transporter des combustibles nucléaires neufs en Slovaquie. Parti de l’aéroport de Domodedovo à Moscou, il a contourné l’Ukraine, survolé la Biélorussie et traversé l’espace aérien polonais pour atterrir à Bratislava. Selon les règles de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique), seuls les colis urgents de petite taille, par exemple les produits radio-pharmaceutiques à courte durée de vie, sont transportés par voie aérienne. Le crash d’un avion transportant des combustibles nucléaires neufs expose les populations et l’environnement à des risques considérables.


    Il y a 2 centrales nucléaires en #Slovaquie, Bohunice avec 2 réacteurs actifs de 505 MW et Mochovce avec 2 réacteurs de 470 MW et un de 501 MW. « La Slovaquie a interdit son survol à tous les avions russes, des exceptions sont possibles pour des cargaisons humanitaires et les combustibles nucléaires » selon le ministre de l’économie slovaque.
    
Le même jour, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, annonçait une interdiction de survol de l’Union européenne pour tous les avions appartenant à la Russie, enregistrés en Russie ou contrôlés par la Russie.

    #gaz #France #Russie #nucléaire #combustible #énergie #embargo #ue #union_européenne

    • Coronavirus : un mois après son entrée en vigueur, l’Autriche suspend la loi sur la vaccination obligatoire AFP
      https://www.rtbf.be/article/coronavirus-un-mois-apres-son-entree-en-vigueur-lautriche-suspend-la-loi-sur-la

      Le gouvernement autrichien a annoncé mercredi la suspension de la loi sur la vaccination obligatoire contre le Covid-19, un mois à peine après son entrée en vigueur, face à la moindre dangerosité du variant Omicron. "Nous avons décidé de suivre l’avis de la commission des experts" et de « suspendre » le texte, a annoncé la ministre Karoline Edtstadler, lors d’une conférence de presse à Vienne.

      « Nous ne voyons pas en ce moment la nécessité de mettre en place l’obligation vaccinale au vu du variant actuel », qui provoque des symptômes moins sévères que le variant Delta auparavant dominant, a-t-elle expliqué. "Il y a actuellement beaucoup d’arguments pour dire que cette atteinte aux droits fondamentaux n’est pas justifiée", a ajouté Karoline Edtstadler, chargée de la Constitution.

      La loi était entrée en vigueur le 5 février, une mesure inédite dans l’Union européenne. Elle avait suscité une forte opposition d’une partie de la population de 8,9 millions d’habitants.

      L’ensemble des résidents de plus de 18 ans étaient concernés, à l’exception des femmes enceintes, de ceux qui ont contracté le virus il y a moins de 180 jours et enfin de ceux qui peuvent se faire exempter pour raisons médicales. Les contrôles devaient débuter mi-mars, avec des sanctions variant de 600 à 3600 euros.

      Des voix s’étaient élevées pour revoir le texte, alors que l’Autriche a mis fin début mars à la plupart des restrictions sanitaires. 

      #omicron #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #covid-19 #vaccination #vaccin #santé #pass_sanitaire #Autriche

    • #MDR Le destroyer ne peut pas se déployer car le commandant ne recevra pas de vaccin COVID, selon la Marine
      Destroyer can’t deploy because CO won’t get COVID vaccine, Navy says - Geoff Ziezulewicz The navy
      https://www.navytimes.com/news/your-navy/2022/03/08/destroyer-cant-deploy-because-co-wont-get-covid-vaccine-navy-says

      – Traduction google en français
      Une bataille juridique en cours pour savoir si l’armée peut forcer les troupes à se faire vacciner contre le COVID-19 a laissé la marine avec un navire de guerre qu’ils disent ne pas pouvoir déployer car il est commandé par un officier qu’ils ne peuvent pas tirer.

      C’est une impasse que les cuivres qualifient de "préoccupation manifeste pour la sécurité nationale", selon de récents documents déposés devant la Cour fédérale.


      The Navy say an unidentified guided-missile destroyer of the same class as Dewey, shown here, can’t deploy because it is commanded by an officer they cannot fire due to an ongoing COVID vaccine lawsuit. (Navy)

      Les problèmes découlent d’une action en justice déposée devant le tribunal de district américain du district intermédiaire de Floride à la fin de l’année dernière, alléguant que les droits des militaires sont violés par le mandat du vaccin COVID parce que leurs croyances religieuses les empêchent de prendre le vaccin.

      Le juge Steven D. Merryday a rendu une ordonnance le mois dernier interdisant à la Marine et au Corps des Marines de prendre toute mesure disciplinaire contre le commandant anonyme du navire de guerre de la Marine et un lieutenant-colonel du Corps des Marines pour avoir refusé le vaccin.

      Dans le processus, l’affaire a soulevé des questions sur les limites entre le bon ordre militaire et la discipline, et les droits légaux des militaires en tant que citoyens américains.

      L’injonction de Merryday est "une intrusion extraordinaire dans le fonctionnement interne de l’armée" et a essentiellement laissé la Marine à court d’un navire de guerre, selon un dossier déposé le 28 février par le gouvernement.
      – - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
      An ongoing legal battle over whether the military can force troops to get vaccinated against COVID-19 has left the Navy with a warship they say they can’t deploy because it is commanded by an officer they cannot fire.

      It’s a standoff the brass are calling a “manifest national security concern,” according to recent federal court filings.

      The issues stem from a lawsuit filed in the U.S. District Court for the Middle District of Florida late last year alleging servicemembers’ rights are being infringed upon by the COVID vaccine mandate because their religious beliefs prevent them from taking the vaccine.

      Judge Steven D. Merryday issue an order last month banning the Navy and Marine Corps from taking any disciplinary action against the unnamed Navy warship commander and a Marine Corps lieutenant colonel for refusing the vaccine.

      In the process, the case has raised questions about the lines between military good order and discipline, and the legal rights of servicemembers as American citizens.

      Merryday’s injunction is “an extraordinary intrusion upon the inner workings of the military” and has essentially left the Navy short a warship, according to a Feb. 28 filing by the government.

      #marine de #guerre #USA

  • #MDR : Carnaval de Dunkerque 10.000 personnes bravent l’interdiction : "On est pas censé être là, mais on est là quand même » Anas Daif
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/dunkerque/carnaval-de-dunkerque-10-000-personnes-bravent-l-interd

    Malgré l’annulation par la prefecture pour des raisons sanitaires, les Dunkerquois se sont réunis par milliers pour célébrer le carnaval sous un soleil radieux. Ils devaient à l’origine sacrifier "les Trois Joyeuses", programmées du 26 au 28 février, mais l’envie de célébration était trop importante pour manquer cet événement une deuxième année d’affilée. 

    Près de 10.000 personnes étaient présentes aujourd’hui, beaucoup moins que les années précédentes. Le carnaval avait été annulé l’an dernier à cause du Covid-19, laissant les Dunkerquois sur leur faim. Il avait pu se tenir en 2020, moins d’un mois avant le premier confinement et avait réuni 50.000 personnes. 

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/4mw5avicoHm7dNXzamVzX-anYV8/0x378:4032x2646/800x450/regions/2022/02/27/621b796f3c993_274486467-245332451140879-328744542222348

    Las des mesures sanitaires, les carnavaleux se sont réunis à coups de déguisements et maquillages originaux. Dès le matin, ils étaient sur la place Jean-Bart où plusieurs centaines d’entre eux ont débuté les festivités.

    Parmi eux, on retrouve Jean Yoann, qui a été pris de "frissons" en arrivant sur place. "On est quand même content et heureux de se retrouver ici. C’est quand même bizarre de faire ça sans que ce soit réellement organisé", admet-il en ajoutant que d’un point de vue sanitaire, ils ne sont pas là "pour embêter les gens, chacun est responsable de ce qu’il fait". 

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/7-DxAt1Z8xprSeFTiobCDKrZxdQ/0x378:4032x2646/800x450/regions/2022/02/27/621b7a16186fc_274016128-500209428295109-457274176650389

    Dans les premiers venus, un groupe de #femmes se réjouit de pouvoir célébrer le carnaval après une édition manquée à cause du Covid. "On est pas censé être là, mais on est là quand même", lance fièrement l’une d’entre elles. Une autre, de son côté, fait part de ses précautions : "on fait quand même beaucoup moins de zotches [bisous sur la bouche] que d’habitude, parce que d’ordinaire dès qu’on croisait des amis et même des inconnus, on faisait des zotches, mais là on en fait beaucoup moins. On essaie de se retenir."
    . . . . .
    Une ambiance festive et bon enfant
    La marche est officiellement lancée à 15 heures. Tombours, trompettes et musique accompagnent les canavaleux hauts en couleur. "C’est beau à voir, c’est magnifique ! C’est une ambiance qu’on n’aura nulle part ailleurs", s’extasie un carnavaleux avant de rejoindre des amis pour chanter.

    "On est là pour la fête, les copains et la tradition surtout, explique un autre, qui a débuté les célébrations dès ce matin dans son appartement. On est heureux, dans un esprit de bienveillance, de joie et de fête, donc c’est impeccable." 

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/image/ElwWtcCWoj0hdIBME916VyOnl60/0x378:4032x2646/800x450/regions/2022/02/27/621bb04d19f4e_274205830-668997674288726-534557104555629

    Il poursuit en expliquant qu’avec "tout ce qui se passe, on est obligé de sortir" et se dit fier de voir tous les dunkerquois "qui sont au rendez-vous, et ça fait plaisir." 

    Le beau temps a conforté les carnavaleux dans l’idée de braver l’interdiction et l’ambiance festive a fini par chasser la cuplabilité. Ils espèrent pouvoir défiler l’an prochain dans un cadre officiel et organisé. 

    #interdiction par la #préfecture #carnaval #Dunkerque #Fête malgré la #propagande #omicron #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique 

  • Cocirculation of two #SARS-CoV-2 #variant strains within imported pet hamsters in Hong Kong - PubMed
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35135441

    The risk of human-to-hamster reverse zoonosis by multiple SARS-CoV-2 variants leading to further adaptive spike mutations with subsequent transmission back to human cannot be underestimated as outbreak source of #COVID-19. Testing of imported pet animals susceptible to SARS-CoV-2 is warranted to prevent future outbreaks.

    #zoonose

  • Bilan de deux ans de COVID IHU Méditerranée-Infection

    https://www.youtube.com/watch?v=-LbJwJR3V7A

    – 96,7 des contaminés omicron étaient vaccinés au Danemark, d’ou l’abandon de la politique vaccinatoire.
    – La dangerosité diminue.
    – A propos des infections moins de 15 jours après la vaccination non prises en compte dans les statistiques.
    – Les accidents post vaccinaux.
    – En accord avec Bill Gates sur l’efficacité vaccinale.
    – Conséquences de l’épidémie sur la démographie française.
    – Les pics de l’épiderme symptômes de la désorganisation des système de soins dans certains pays (France Angleterre . . . ).
    – Pourquoi de telles différences entre les pays dans les taux de mortalité. Record pour les USA, dont l’espérance de vie était déjà en cours de diminution, à cause de l’obésité.
    – Le premier problème de santé publique est l’obésité.
    – C’est une zoonoze. A propos de l’élevage intensif.

    #omicron #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #raoult #didier_raoult #france #zoonoze #visons

  • Vaccin Covid : Les femmes, deux fois plus susceptibles d’avoir des effets secondaires
    https://fr.timesofisrael.com/vaccin-covid-les-femmes-deux-fois-plus-susceptibles-davoir-des-eff

    Selon une nouvelle étude israélienne, les femmes seraient presque deux fois plus susceptibles que les hommes de déclarer des effets secondaires après avoir reçu le vaccin Pfizer contre le coronavirus.

    L’étude https://www.mdpi.com/2076-393X/10/2/233 a examiné les rapports du ministère de la Santé de personnes ayant ressenti des effets secondaires après avoir reçu une dose du vaccin Pfizer-BioNTech entre décembre 2019 et juin 2021. L’étude inclut également trois enquêtes supplémentaires datants de juin et septembre 2021.

    L’étude a été publiée la semaine dernière dans la revue médicale Vaccines.


    Une femme enceinte se fait vacciner contre la COVID-19 au centre commercial de Givatayim, aux abords de Tel Aviv, le 23 août 2021. (Crédit : Miriam Alster/Flash90)

    Selon une nouvelle étude israélienne, les femmes seraient presque deux fois plus susceptibles que les hommes de déclarer des effets secondaires après avoir reçu le vaccin Pfizer contre le coronavirus.

    L’étude a examiné les rapports du ministère de la Santé de personnes ayant ressenti des effets secondaires après avoir reçu une dose du vaccin Pfizer-BioNTech entre décembre 2019 et juin 2021. L’étude inclut également trois enquêtes supplémentaires datants de juin et septembre 2021.

    L’étude a été publiée la semaine dernière dans la revue médicale Vaccines .

    Les chercheurs ont examiné les différences entre les sexes dans les comptes-rendus, constatant que les femmes étaient 1,89 fois plus susceptibles de déclarer des effets secondaires après la première dose de vaccin et 1,82 fois plus susceptibles après la deuxième dose.

    « Nous ne savons pas quel mécanisme est impliqué, mais cela peut être lié à des différences entre les sexes dans le système immunitaire ou dans la perception des effets secondaires. Une possibilité est que le système immunitaire chez les femmes réagisse plus fortement aux antigènes étrangers que chez les hommes  », a déclaré Manfred Green, le chercheur principal de l’étude, cité par la start-up israélienne NoCamels.

    La fatigue, la faiblesse et la douleur dans le bras injecté étaient tous des effets secondaires bénins courants du vaccin Pfizer. Les effets secondaires graves étaient beaucoup plus rares.

    Selon l’étude, publiée la semaine dernière, le ratio de femmes signalant des douleurs dans les bras après avoir reçu le vaccin était sept fois plus élevé après la première dose et 4,13 fois plus élevé après la deuxième dose.


    Un flacon de vaccin Pfizer-Biontech COVID-19 est vu dans une clinique de santé Clalit à Jérusalem, le 8 août 2021. (Olivier Fitoussi/Flash90)

    L’étude a indiqué que la proportion de femmes signalant des maux de tête après avoir reçu le vaccin était également plus élevée que celle des hommes – 9,15 fois plus élevée après la première dose et 3,28 fois plus élevée après la deuxième dose.

    Selon les données du ministère de la Santé, les effets secondaires bénins étaient nettement moins fréquents après la troisième dose de vaccin https://fr.timesofisrael.com/taux-deffets-secondaires-le-plus-faible-pour-la-3e-dose-selon-le-m par rapport aux première et deuxième injections.

    Le ministère de la Santé a déclaré qu’en dépit de ses efforts pour collecter des données sur les effets secondaires du vaccin, il était probable qu’il y ait eu une sous-déclaration importante de cas plus bénins qui ne nécessitaient aucune attention médicale.
    . . . . .
    #Femmes #vaccins #risques #politique #Pandémie #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #Docteurs #Médecins #Israel #effets_secondaires #santé_publique #covid

  • #Omicron : une biologie et une dynamique virale différentes de celles observées chez les précédents variants – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/02/09/omicron-une-biologie-et-une-dynamique-virale-differentes-de-celles-observees

    Dans ce billet de blog, je vous invite, à travers les données issues d’articles publiés ces dernières semaines, à comprendre les moyens utilisés par la recherche pour explorer les propriétés biologiques et virologiques d’Omicron. Celles-ci révèlent en quoi ce nouveau variant du #SARS-CoV-2 est atypique.

    L’objectif des chercheurs est de comprendre comment les multiples mutations présentes dans sa protéine spike altèrent la structure de cet élément clé de la particule virale et modifient la biologie de ce variant en comparaison avec les autres. La connaissance de ces mécanismes moléculaires – qui sous-tendent à la fois sa transmissibilité, son attachement au récepteur cellulaire, sa capacité d’échappement immunitaire – est d’une importance capitale pour concevoir et développer des stratégies thérapeutiques et vaccinales contre ce variant et ceux qui continueront à émerger.

    Une origine hypothétique

    Depuis le début de la pandémie Covid-19, aucun variant préoccupant du SARS-CoV-2 n’avait accumulé autant de mutations et entraîné un tel échappement immunitaire qu’Omicron. Ce nouveau variant renferme 37 mutations sur sa protéine spike, en comparaison avec le variant Gamma qui en comporte 12 et qui représentait jusqu’à présent le variant le plus muté.

    Après avoir été identifié en novembre 2021 en Afrique australe, Omicron a rapidement diffusé à travers le monde, allant souvent jusqu’à prendre le pas sur Delta et infecter des personnes doublement vaccinées.

    À ce jour, on ignore comment le variant Omicron a pu émerger. Plusieurs hypothèses ont été proposées. Selon la première, ce variant est apparu chez une personne atteinte d’une infection chronique par le SARS-CoV-2. Cette situation s’observe chez des individus immunodéprimés, notamment ceux infectés par le virus du sida (VIH) ou ayant reçu une greffe nécessitant la prise d’un traitement immunosuppresseur. Deux équipes sud-africaines indépendantes ont notamment décrit le cas de deux femmes atteintes de sida, âgées d’une trentaine d’années et de 22 ans et dont la maladie à VIH n’était pas contrôlée par les antirétroviraux. Chez ces patientes immunodéprimées, l’infection prolongée par le SARS-CoV-2 a conduit à l’accumulation dans le génome du coronavirus d’une vingtaine et d’une trentaine de mutations.

    Autre hypothèse : Omicron serait la conséquence du passage du virus de l’homme à l’animal puis de l’animal à l’homme. (...)

    #covid-19 #variants

  • Coronavirus : la Suède écarte la vaccination générale des 5-11 ans Belga
    https://www.rtbf.be/article/coronavirus-la-suede-ecarte-la-vaccination-generale-des-5-11-ans-10923391

    La Suède a choisi de ne pas recommander la vaccination des 5-11 ans contre le Covid-19, ont annoncé jeudi les autorités sanitaires, à rebours de nombreux pays européens.

    Le pays nordique, qui s’est souvent retrouvé à contre-courant durant la pandémie dans sa stratégie face au Covid, n’a recommandé la vaccination que pour les enfants à risque.
    . . . . . .

    « Nous n’estimons pas qu’il faille vacciner tout un groupe d’enfants au nom de la société. Nous voulons un bénéfice clair pour les enfants eux-mêmes et c’est pour cela que nous ne le recommandons pas pour le moment », a affirmé la responsable sanitaire.

    « Vacciner un groupe aussi nombreux est une opération médicale importante, et particulièrement pour les enfants nous pensons que l’éthique doit être qu’il doit y avoir un bénéfice clair pour l’enfant individuellement », a-t-elle poursuivi.
    . . . . .

    #Docteurs #Médecins #enfants #vaccins #risques #politique #Pandémie #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #Suède

  • Coronavirus en Belgique : quand arrêterons-nous ce cirque ? Association des Médecins de Famille de Soignies
    https://www.rtbf.be/article/coronavirus-en-belgique-quand-arreterons-nous-ce-cirque-10926345

    Mesdames et messieurs les ministres, chers élus, chers hommes politiques,

    Cette lettre fait écho à la lettre ouverte parue dans Le Vif le 24 décembre dernier https://www.levif.be/actualite/belgique/nous-sommes-le-23-decembre-et-%20dans-l-air-flotte-l-incomprehension-la-plus-t intitulée « Nous sommes le 23 décembre et dans l’air flotte l’incompréhension la plus totale ».

    Force est de constater que la précédente carte blanche n’a pas trouvé grand intérêt à vos yeux, puisqu’un mois plus tard, la situation s’est dégradée et la société actuelle est plongée dans le chaos (prévisible). Pour rappel : le 23 décembre, nous vous implorions d’arrêter le testing massif…

    Or celui a explosé de manière exponentielle, avec les conséquences qu’on lui connaît : l’école a repris depuis dix jours et les classes ferment les unes à la suite des autres, punissant une fois de plus les enfants. Les entreprises, tous secteurs confondus, sont paralysées par la légion d’employés en arrêt de travail.

    Le montant colossal investi dans cette stratégie est une pure perte ! De plus ce testing de masse mobilise des infirmiers qui font cruellement défaut dans les structures hospitalières et sature les laboratoires. Puisqu’une grande partie de la population est vaccinée, et que l’immunité collective tend à croître, puisque 99% des patients contaminés ne passeront heureusement pas par la case « Hôpital », puisque les courbes de contamination continuent d’augmenter (malgré le testing), puisque les masques dans les écoles n’ont pas freiné la progression des contaminations, puisque le nombre de patients aux soins intensifs tend actuellement à diminuer… Pourquoi ne pas arrêter cette stratégie dépourvue de bon sens ?

    L’humilité de reconnaître que certaines mesures n’ont pas été efficaces n’est pas un défaut ! Loin de nous l’idée de vouloir minimiser cette épidémie. Cependant, le COVID provoque actuellement chez l’adulte essentiellement des symptômes mineurs, allant d’une banale virose respiratoire à un état grippal plus marqué. Parfois il se complique de surinfection respiratoire dont les traitements sont bien maîtrisés (antibiothérapie et corticothérapie en ambulatoire).

    Le principe même de la médecine est « ne pas soigner un résultat mais un patient, en fonction de son état clinique ». Aujourd’hui, la médecine générale est trop souvent contrainte à faire l’inverse : soigner des résultats (frottis positifs, sans même voir le malade) et non plus des patients, parce que cette stratégie s’appuie sur des chiffres.

    Il est devenu exceptionnel que l’état clinique d’un patient contaminé justifie un arrêt aussi long que celui que vous préconisez !
    Revenons au bon sens et à la logique d’avant Covid : « si vous présentez des symptômes respiratoires, présentez-vous en consultation de médecine générale, un arrêt de quelques jours et un traitement adéquat sera préconisé. »

    Si nous devions extrapoler cette situation à la période « d’avant la pandémie », en faisant une comparaison aux états grippaux, cela reviendrait à dire que chaque patient « grippé » de même que son entourage aurait dû subir un test à la recherche du virus de la grippe et bénéficierait d’un certificat de 7 jours minimum ? Où allons-nous ?

    Nous demandons, nous, médecins généralistes de reprendre la main sur l’indication de testing, (et donc de stopper l’accès libre aux demandes de tests PCR sur la plateforme masante.be), de cesser urgemment les autotests qui n’ont pour but que d’accentuer la paranoïa et la névrose collective, de renflouer les caisses de certains, et de donner l’illusion d’être faussement négatifs.

    Nous, médecins généralistes, exigeons de ne réserver ces indications de testing qu’aux patients présentant des symptômes sévères (admission aux urgences) ou présentant des facteurs de co-morbidité (diabète, obésité, dialyse…)

    La médecine générale, de première ligne, est un précieux atout pour progresser vers la sortie de crise. Nous pouvons sensibiliser, informer, soigner, dépister les facteurs de risque et réserver les indications de test à nos patients les plus fragiles.

    Or, cette médecine de première ligne s’épuise, tous les signaux sont rouges, les généralistes saturent sous une charge de travail administratif croissante depuis deux ans. L’absence de valorisation du métier et la pression croissante liée à la pandémie sont en train d’user la profession.

    Nous, médecins généralistes, ne tiendrons plus la cadence longtemps : vous voilà prévenus ! Un certain nombre d’entre nous ont déjà lâché cette profession, d’épuisement, de lassitude, de dégoût…

    De plus, la stratégie actuelle crée des fractures énormes. Posez la question aux centaines de milliers de patients qui se présentent chaque jour dans les centres de testing de Belgique : « Qui réalise encore ce test pour limiter l’épidémie ? »

    À dire vrai, les motivations de testing sont essentiellement d’ordre individuel : « Je dois aller au restaurant ce soir avec des amis… », « Si je suis positif, j’aurai un certificat de guérison qui rendra mon CST valable pendant 6 mois… », « Si je suis positif, j’aurai un certificat de dix jours de repos… », « Docteur, je suis encore fatigué (après le certificat de dix jours) pouvez-vous me prolonger d’une semaine ? », « Docteur, mon fils est positif mais il va bien, pouvez-vous me couvrir toute la famille ? »

    La liste d’exemples est interminable.

    Voulons-nous continuer d’entretenir une société autocentrée, nombriliste, et dénuée de sens ? Plus personne ne réfléchit encore en termes d’épidémie et de contagion. Chacun pense à son petit confort personnel. Il est urgent que vous conviez à la table des concertations des représentants de terrain : infirmiers, urgentistes, généralistes, enseignants…

    Évoquons la situation dramatique des écoles et des crèches : vous avez imposé le port du masque dans les écoles dès l’âge de 6 ans (un âge où l’apprentissage crucial passe par le verbal, l’expression, la sensibilité) cette mesure n’a pas prouvé d’efficacité dans la diminution des transmissions.

    Pire encore, les écoles ferment. Qui voulez-vous protéger ? Les professeurs ? Ceux-ci peuvent respecter les gestes barrière, porter un masque, et sont en grande partie vaccinés. Ils souffrent et font de leur mieux pour essayer de continuer à enseigner dans des conditions difficiles.

    Cela va sans dire qu’en arrêtant le testing invasif de nos enfants et en les soignant de manière adéquate c’est-à-dire en fonction de leurs symptômes (pour rappel, à cet âge, essentiellement un nez qui coule) nous pourrions maintenir l’enseignement en fonction comme lors des périodes endémiques de grippe et autres petits virus respiratoires.

    Pour citer un ami : « À force de vouloir ménager les plus réfractaires, et par conséquent de faire preuve d’un attentisme coupable, puis de nous révéler incapables d’adapter les protocoles rapidement en fonction de l’évolution épidémiologique, on continue de sacrifier la scolarité des plus jeunes, soit l’essence même de la construction de ces futurs adultes. Nous sommes responsables de la mise en péril de leur avenir. »

    Les jeunes adultes, les ados, les enfants, sont dans une souffrance incommensurable liée à cette crise. Cela n’a pas l’air de vous émouvoir. Ils en portent trop souvent le poids de la culpabilité : « si tu ne mets pas ton masque, tu vas donner le Covid à tes parents »…

    Nous avons respecté vos règles, nous avons opté pour une vaccination de masse, et ce, pour revenir à la fermeture des classes deux ans après le début de cette pandémie ? C’est grave parce que vos mesures parviennent à nous faire douter du bon sens scientifique.

    Il devient dès lors difficile d’appliquer au quotidien vos mesures dans lesquelles nous ne croyons plus. Il n’est plus à prouver aujourd’hui que la vaccination réduit drastiquement le risque de finir aux soins intensifs, mais, s’il fallait préserver un autre avantage prioritaire à cette vaccination ce serait la garantie que nos enfants, nos jeunes adultes puissent vivre et grandir de la manière la plus sereine possible.

    Chers directeurs d’école et de crèches, refusez de fermer vos établissements ! Chers parents, n’allez pas tester vos enfants pour le moindre symptôme respiratoire banal.

    Chers médecins généralistes, continuez à rassurer vos patients et à restaurer un peu de logique dans la prise en charge de nos malades. Tous ensemble : soyons vigilants par rapport à nos aînés, nos « plus fragiles », gardons les gestes barrières et consultons notre médecin généraliste si des symptômes apparaissent.

    Chers hommes et femmes politiques, prenez vos responsabilités rapidement, adaptez les mesures, soyez un peu plus à l’écoute de la réalité de terrain. Car s’il fallait rappeler la situation des hôpitaux à l’heure actuelle : ils sont débordés oui, les soignants sont épuisés, pas exclusivement à cause de la surcharge Covid mais surtout par manque d’effectifs. Notre capacité d’accueil hospitalière actuelle est moins performante qu’en début de crise (et ce point-là était à anticiper depuis longtemps).
    L’argent dépensé en testing inefficace est à réinvestir dans l’aide aux soignants, aux hôpitaux, aux dispositifs de soins de première ligne. Et s’il fallait évoquer l’épineuse question de l’obligation vaccinale : imposez-la aux plus de 65 ans, aux patients « à risque », puisque la saturation des lits en soins intensifs est proportionnellement corrélée à l’âge et aux facteurs de co-morbidité.

    Continuons à sensibiliser les autres patients sur les avantages de la vaccination, et des gestes barrières. Mais de grâce, relançons la société. Cela ne sera possible que si la peur, la panique, la recherche absolue de coupables s’estompe pour laisser place au bon sens ! Vous en êtes les premiers garants. Tout reste à faire.

    Au nom de l’Association des Médecins de Famille de Soignies,
    Dr G. Fraiteur, médecin généraliste à Soignies
    Dr Nadège Vandystadt, Neufvilles
    Dr Séverine Jérôme, Soignies

    #Docteurs #Médecins #école #entreprises #crèches #argent #gaspillage #testing #grippe #politique #soignantes #soignants #Experts #Pandémie #parlement #Scientifiques contre les #charlatans #confinement #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé #médias

  • Vaccination des 5-11 ans : visite d’un secrétaire d’État à Compiègne dans un centre... déserté Un râteau Romain Bénard
    https://actu.fr/hauts-de-france/compiegne_60159/vaccination-des-5-11-ans-visite-d-un-secretaire-d-etat-a-compiegne-dans-un-cent

    Le secrétaire d’État en charge de l’enfance et des familles a visité le centre de vaccination de Compiègne pour promouvoir la vaccination des 5-11 ans contre le Covid-19.

    https_ ://static.actu.fr/uploads/2022/02/whatsapp-image-2022-02-02-at-173018-960x640.jpeg
    Seules quelques personnes, dont des enfants, sont venus se faire vacciner mercredi matin. (©Romain Bénard)

    Le secrétaire d’État Adrien Taquet, en charge de l’enfance et des familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, s’est rendu mercredi matin au centre de vaccination de Compiègne pour promouvoir la vaccination contre le Covid-19 de tous les enfants âgés de 5 à 11 ans. L’ouverture à cette tranche d’âge a débuté le 22 décembre 2021 en France.

    Alors que 67,8 % des habitants majeurs des #Hauts-de-France ont bénéficié une dose de rappel (souvent une troisième dose), seules quelques personnes attendaient de recevoir la leur ce mercredi matin, dont quelques enfants. Pourtant, depuis le 25 janvier dernier, l’accord d’un seul parent est suffisant pour vacciner les enfants de 5 à 11 ans, « les grands-parents peuvent aussi aller faire vacciner un enfant, avec l’accord de l’un des parents », insiste Adrien Taquet.


    Le secrétaire d’État a rencontré des militaires travaillant dans le centre de Compiègne. (©Romain Bénard)

    Des « risques de Covid longs »
    Le secrétaire d’État explique qu’au niveau national, la vaccination des enfants « s’accélère », ajoutant qu’il y a une montée en puissance : « on est à près de 700 centres qui permettent de vacciner les enfants, il y en aura de plus en plus ». Pour justifier cette accélération des vaccinations vers un public jeune, Adrien Taquet alerte sur des symptômes persistants : « on ne connait pas les effets du covid long sur les enfants, il y a un bénéfice pour les enfants de se faire vacciner ».

    Nombre de cas graves jeunes en réanimation : 0
    Depuis le 1er janvier 2022, le nombre d’enfants entre 0 et 14 ans ayant un cas grave de Covid-19 hospitalisés dans les services de réanimation de la région Hauts-de-France est de… 0. Interrogé sur l’utilité de la vaccination des 5-11 ans au vu des chiffres, Adrien Taquet répète qu’il « faut éviter les Covid longs ».
    . . . . .
    #Enfants #vaccination #Covid-19 #guignolade #vaccination #vaccins #vaccin #Pfizer #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #Pasteur #cobayes

  • « Le statut d’expert scientifique ne peut pas être acquis par simple autoproclamation », dénoncent une cinquantaine de personnalités académiques

    _ Nous sommes préoccupés par la désignation et l’audition de M. Geert Vanden Bossche par la Commission de la Santé et de l’Egalité des chances sur la vaccination obligatoire" . Ainsi commence la lettre adressée par une cinquantaine de personnalités de la communauté scientifique médicale et biomédicale belge, https://www.cjoint.com/doc/22_01/LAFqOkFk8eV_Pour-Commission-Sante-Chambre---FR-converti-1-.pdf à l’adresse des députés membre de la Commission de la Santé. Mercredi 26 janvier, en effet, celle-ci entendait #Geert_Vanden_Bossche, un #vétérinaire flamand qui se qualifie de #vaccinologue.

    À l’initiative de ce courrier, l’immunologiste Sophie Lucas, de l’Institut de Duve (UC Louvain) : « Nous avons commencé par leur dire que nous étions extrêmement préoccupés que les parlementaires entendent un expert autoproclamé, donc un soi-disant expert, qui s’autoproclame lui-même expert, alors qu’en fait, il ne répondrait pas aux critères minimums de reconnaissance d’expertise par des scientifiques. Ces critères sont extrêmement simples : il existe des institutions qui ont l’habitude de vérifier l’expertise de scientifiques de la Communauté internationale, et dans ce cas, cette personne, en particulier – mais il y a d’autres exemples que cette personne – ne répond absolument pas à ces critères. » _

    Une méthode proposée pour l’avenir
    Pour éviter que ce type de situation se reproduise, les signataires proposent une méthode : « La communauté internationale a des outils extrêmement efficaces », explique l’immunologiste Sophie Lucas, « pour vérifier l’activité scientifique récente de personnes qui sont actives dans un domaine, dans une discipline bien particulière. Nous propos donc qu’une qualité d’expert scientifique soit validée par deux de six instances différentes en Belgique, à savoir le Fonds national de la Recherche scientifique en Belgique (F.N.R.S) ou son équivalent néerlandophone, le F.W.O, ou les Académies néerlandophone ou francophone des Sciences ou de Médecine. Ces six instances sont parfaitement aptes à évaluer si objectivement, rationnellement, l’activité scientifique est reconnue par des pairs au niveau international. Et sans cette validation, personne ne devrait être entendu comme expert scientifique. »

    Cela ne signifie pas qu’une personne ne pourrait plus être entendue du tout, mais à simple titre d’acteur et d’auteur d’une opinion, pas à titre d’expert scientifique.

    Pas rassurée
    Cette lettre collective a reçu 3 réponses qui, toutes, tiennent dans un résumé commun. Ces 3 députés ont dit qu’ils étaient conscients et qu’ils avaient été outrés de la présence de ce « faux expert » dans les auditions de la Chambre et que les auteurs devaient être rassurés sur le fait que la plupart des parlementaires ayant entendu cette personne étaient conscients des limites de ses propos. L’immunologiste Sophie Lucas n’est cependant pas rassurée : « Etre entendu par la Chambre, c’est recevoir une caution par la plus haute instance législative de notre pays, je suis désolée, mais ça se mérite quelque part. Et nous n’avons pas le droit d’être bernés, nous les citoyens, à croire en des contre-vérités parce que les parlementaires ont accepté d’entendre des personnes qui diffusent ces contre-vérités », poursuit-elle.

    Outre ces 3 réactions, la Commission n’a pas encore donné suite à cette lettre ouverte et à cette proposition de validation de l’expertise scientifique, par les instances les plus averties.

    #Experts #Pandémie #parlement #Scientifiques contre les #charlatans #confinement #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé #médias #contre-vérités

    • Extrait du courrier des scientifiques.

      Nous sommes préoccupés par la désignation et l’audition de Mr Geert Vanden Bosschepar la Commission de la Santé et de l’Égalité des chances sur la vaccination obligatoire ce mercredi 26/1/2022. Mr Vanden Bossche y est auditionné sous l’affiliation ’Voice for Science and Solidarity’,organisation indépendante obscure composée de deux membres dont Mr Vanden Bossche qui s’y présente comme docteur en Sciences, spécialiste en virologie ayant une expérience professionnelle dans le développement des vaccins.Il est donc évident que les parlementaires entendront Mr Vanden Bossche pour son expertise scientifique au sujet de la vaccination.Notre préoccupation découle de l’évidence suivante : le statut d’expert scientifique ne peut pas être acquis par simple auto-proclamation, surtout si ce statut justifie la remise d’un avis ou d’une opinion auprès de la plus haute instance législative d’un état démocratique. Bien sûr un parlement peut entendre des opinions basées sur d’autres raisonnements que la science. Mais les parlementaires et leurs électeurs ne peuvent être dupés lorsque ces avis sont malhonnêtement présentés comme une expertise scientifique. Mr Vanden Bossche n’est pas un expert scientifique reconnu par des pairs. La communauté scientifique internationale dispose d’outils efficaces, partagés, consensuels et objectifs pour évaluer les activités et impacts scientifiques de toute personne qui se présente comme activement impliquée dans les sciences biomédicales et de santé. Le curriculum vitaede Mr Vanden Bossche (annexe) n’indique aucune contribution scientifique académique, biotechnologique ou pharmaceutique significative ou évaluable en matière de médecine humaine, vaccins, immunologie, virologie, ou santé publique. L’absence quasi totale de publications récentes (< 5 ans) répertoriées dans Pub Med en atteste. Ces deux paramètres suffisent à invalider sa qualité d’expert. Des scientifiques informés en immunologie, virologie ou vaccins, décèlent instantanément l’ineptie scientifique de ses propos écrits ou filmés,parsemés de contre-vérités, diffusés exclusivement sur des médias sociaux ou les pages Web de son organisation, et ne bénéficiant à l’évidence d’aucune relecture critique par des pairs. Malheureusement, de telles évaluations ne sont pas à la portée de non-experts, ce qui explique l’écho que Mr Vanden Bossche trouve sur certaines plateformes médiatiques.

    • Au fait, que dit la communauté, qualités d’experts scientifiques sur la gestion de ce virus ?

      A part virer des médecins qui soignaient ou essayaient de soigner des malades, on les a pas entendu beaucoup.

      Quand à piquer les enfants de moins de 5 ans avec des injections qui ne servent pas à grand chose, ça n’a pas l’air de la choquer la communauté scientifique.