• Covid-19 dans le monde : la pandémie a fait plus de 6 millions de morts, estime l’OMS
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/21/covid-19-dans-le-monde-le-bresil-a-detecte-des-premiers-cas-de-variant-indie

    Premiers cas de variant indien du Covid-19 au Brésil, confinement en Argentine
    Le Brésil a détecté ses premiers cas de variant indien du coronavirus, sur six membres d’équipage arrivés à bord d’un cargo battant pavillon de Hongkong dans le nord-est du pays, a-t-on appris jeudi. Des tests « ont révélé la présence du variant B.1.617.2 du Covid-19 sur des prélèvements effectués sur des membres d’équipage du Shandong-Da-Zhi », partis d’Afrique du Sud, a annoncé le secrétariat de la santé de l’Etat du Maranhao. « A ce stade, aucune transmission locale du variant indien n’a été décelée », ajoute le secrétariat. « Au total, quinze membres d’équipage ont été testés positifs au Covid-19, et neuf, négatifs. Les six échantillons avec la plus haute charge virale ont tous révélé la présence du B.1.617.2 », précise encore le secrétariat. Le minéralier de 360 mètres a été placé en quarantaine et les membres d’équipage ont dû rester confinés dans leur cabine, à l’exception de trois malades, amenés à terre pour recevoir un traitement. Tous les soignants ayant été en contact avec ces membres d’équipage ont subi des tests. « Nous allons tracer tout le monde, soit environ 100 personnes », a déclaré le secrétaire à la santé de cet Etat, Carlos Lula.

    #Covid-19#migrant#migration#bresil#sante#variant#circulation#frontiere#depistage#soignant#personnelnaviguant

  • Covid-19 dans le monde : les transfrontaliers arrivant de France en Allemagne ne seront plus soumis au test
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/22/covid-19-dans-le-monde-l-allemagne-classe-la-grande-bretagne-comme-zone-de-m

    Covid-19 dans le monde : les transfrontaliers arrivant de France en Allemagne ne seront plus soumis au test. Berlin a par contre classé le Royaume-Uni en zone de mutation des variants, et tous les voyageurs se rendant depuis ce pays vers l’Allemagne seront soumis à une quarantaine de deux semaines. En raison de la propagation du variant indien du coronavirus sur son territoire, la Grande-Bretagne sera classée à partir de dimanche par l’Allemagne comme zone de mutation des variants, a annoncé vendredi l’Institut de veille sanitaire Robert-Koch.Cela aura pour conséquence de limiter considérablement les voyages de la Grande-Bretagne vers l’Allemagne. Tous les voyageurs venant de ce territoire seront soumis à une période de quarantaine de deux semaines, qui ne pourra être écourtée, même si le test est négatif. Ainsi, à partir de dimanche, les compagnies aériennes, de bus et de train ne seront autorisées à transporter vers l’Allemagne que des citoyens allemands ou des personnes vivant dans le pays.Le Royaume-Uni est le premier pays européen depuis longtemps à redevenir une zone où circulent le virus et ses variants. Seuls onze pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine entrent actuellement dans cette catégorie à haut risque, selon l’Allemagne. A l’inverse, les voyageurs en provenance de France, de Croatie et de Slovénie ne seront plus obligés d’observer une quarantaine de cinq à dix jours à leur arrivée sur le sol allemand en raison de la forte diminution quotidienne du nombre de personnes infectées sur leur territoire. Pour cela, ils devront néanmoins présenter un test PCR négatif récent, être totalement vaccinés contre le coronavirus ou considérés comme guéris. Pour les transfrontaliers arrivant de France, l’Allemagne va lever dimanche 22 mai l’obligation de test anti-Covid. Ils devront présenter un test PCR négatif de moins de soixante-douze heures, être totalement vaccinés contre le coronavirus – c’est-à-dire avoir reçu deux doses – ou considérés comme guéris. Cela fait suite à la décision qu’a prise l’Allemagne vendredi, de retirer la France des « zones à haut risque » en raison de l’amélioration de la situation épidémiologique dans le pays.

    #Covid-19#migrant#migration#allemagne#grandebretagne#france#sante#variant#test#vaccination#paysarisque#quarantaine#transfrontalier

  • #Covid-19 : les #vaccins efficaces contre « tous les #variants du virus » (OMS) - RFI
    https://www.rfi.fr/fr/en-bref/20210520-covid-19-les-vaccins-efficaces-contre-tous-les-variants-du-virus-oms

    S’il est vrai que c’est ce qui a été dit l’OMS est bien catégorique je trouve.

    Les vaccins actuellement disponibles et approuvés sont jusqu’à présent efficaces contre « tous les variants du virus », a assuré, jeudi 20 mai, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), tout en appelant à continuer à agir avec « prudence » face au Covid-19. Les voyages internationaux, par exemple, doivent toujours être évités, indique encore l’OMS.

  • Covid-19 : les Vingt-Sept s’accordent pour laisser entrer dans l’Union européenne les voyageurs vaccinés
    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/05/19/covid-19-les-vingt-sept-s-accordent-pour-l-entree-dans-l-union-europeenne-de

    Covid-19 : les Vingt-Sept s’accordent pour laisser entrer dans l’Union européenne les voyageurs vaccinés. A l’approche de la saison touristique estivale, la recommandation proposée par la Commission européenne et approuvée par les Etats membres vise à assouplir les critères de définition des pays tiers considérés comme « sûrs ». Les représentants des Etats membres se sont mis d’accord, mercredi 19 mai, pour permettre l’entrée dans l’Union européenne (UE) des voyageurs de pays tiers ayant reçu les doses nécessaires de vaccins contre le Covid-19 autorisés au niveau européen, a-t-on appris de sources européennes. A l’approche de la saison touristique estivale, les ambassadeurs des Vingt-Sept ont approuvé cette recommandation proposée par la Commission européenne, qui n’est toutefois pas d’application contraignante. Elle vise à assouplir les critères de définition des pays tiers considérés comme « sûrs » et à permettre l’entrée dans l’UE des personnes ayant reçu le nombre requis de doses d’un vaccin contre le Covid-19 autorisé par l’Agence européenne des médicaments (AEM). Pourront ainsi entrer dans l’UE des voyageurs provenant de pays dont la situation épidémiologique est jugée stable ou en amélioration, avec un seuil d’incidence maximal de 75 nouvelles contaminations pour 100 000 habitants au cours des deux semaines précédentes (contre 25 actuellement). Un mécanisme d’arrêt d’urgence sera prévu afin de limiter l’importation d’éventuels variants. Une nouvelle liste de pays devrait être communiquée cette semaine ou en début de semaine prochaine. Au vu des données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), la Grande-Bretagne pourrait y figurer – même si, selon l’une des sources, l’évolution du variant dit indien du SARS-CoV-2 sera prise en compte. En revanche, les Etats-Unis n’y figureront pas, mais les Américains pourront cependant venir en Europe s’ils sont vaccinés. A l’heure actuelle, seules les personnes en provenance de sept pays – parmi lesquels l’Australie, Israël et Singapour – sont autorisées à venir dans l’UE en tant que simples touristes, indépendamment du fait qu’elles aient ou non été vaccinéés.

    #Covid-19#migrant#migration#UE#sante#passeportvaccinal#variant#situationepidemique#incidence#tourisme#economie#grandebretagne#ECDC

  • Coronavirus : l’Algérie va rouvrir en partie ses frontières
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/16/coronavirus-dans-le-monde-plus-de-20-millions-de-personnes-totalement-vaccin

    L’Algérie vers une réouverture partielle de ses frontières. Après près de quinze mois de fermeture, la présidence a annoncé dans un communiqué que le pays allait rouvrir partiellement ses frontières « dès début juin ». « Après la présentation des recommandations (...), le Conseil des ministres a approuvé des propositions en faveur d’une ouverture partielle des frontières terrestres et aériennes algériennes dès début juin », précise le communiqué.
    Cette réouverture débutera par « un plan de cinq vols quotidiens de et vers les aéroports d’Alger, de Constantine et d’Oran », les plus grandes villes du pays, à partir du 1er juin, précise le texte publié à l’issue du conseil des ministres dominical. Elle s’opérera dans le « strict respect » des mesures préventives contre le Covid-19.
    Plusieurs millions d’Algériens de l’étranger ont dû composer avec la fermeture des frontières et la suspension des vols commerciaux et des liaisons maritimes décidées le 17 mars 2020. Depuis, les autorités ont organisé des vols de rapatriement pour leurs ressortissants, sous conditions, mais ces derniers ont été suspendus le 1er mars en raison de l’émergence du variant anglais fin février en Algérie. La fermeture prolongée des frontières a déclenché des mouvements de protestation, sinon de colère, au sein de la nombreuse diaspora algérienne, en particulier en France.

    #Covid-19#migrant#migration#algerie#sante#diaspora#france#retour#rapatriement#variant#frontiere#circulation#restrictionsanitaire

  • India variant could seriously disrupt lifting of lockdown, says Boris Johnson | Coronavirus | The Guardian
    http://www.theguardian.com/world/2021/may/14/india-variant-could-seriously-disrupt-lifting-of-lockdown-says-boris-jo
    https://i.guim.co.uk/img/media/a1e66b010cd22c1fd87211d4eda9cd732f985796/0_133_5053_3033/master/5053.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    India variant could seriously disrupt lifting of lockdown, says Boris Johnson
    The final stage of the lifting of coronavirus lockdown restrictions across England could face “serious disruption” due to the India variant, the prime minister has warned, as he announced plans to accelerate the vaccine programme to curb its spread.Boris Johnson said the gap between the first and second Covid jab would be cut from 12 weeks to eight for all over-50s and the clinically vulnerable, admitting: “The race between our vaccine programme and the virus may be about to become a great deal tighter.”
    He announced that the army would be deployed to two variant hotspots – Bolton and Blackburn with Darwen – to help with vaccinations, and urged residents in those areas to “think twice” before taking advantages of the freedoms allowed again from Monday.
    Johnson said the India variant appeared to be “more transmissible” than the dominant strain in the UK, which originated in Kent, but that it was not yet clear by how much. If it is significantly more, then, he warned, “we’re likely to face some hard choices”. Asked whether the lockdown easing would have to be paused during a press conference, he added: “The truth is, we cannot say for certain … The situation is very different from last year, we are in the throes of an incredible vaccine rollout … We just have to wait and see … We rule nothing out.”The PM’s words came as new documents released by the Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage) revealed just how worried scientists are about the variant. Modelling by Sage suggested it was “a realistic possibility” that it could be up to 50% more transmissible than the Kent variant.If that was the case, they said, progressing to stage 3 of the road map – due on Monday – would “lead to a substantial resurgence of hospitalisations (similar to, or larger than, previous peaks)”. The variant’s spread will raise questions about perceived government delays in adding India to the “red list” of countries from which arrivals have to quarantine in hotels.Johnson’s announcement came following calls from councils in Lancashire and Greater Manchester to let them roll out vaccines to all over-18s in some variant hotspots, including Bolton and Blackburn with Darwen.

    #Covid-19#migrant#migration#grandebretagne#sante#vaccination#variant#frontiere#circulation#quarantaine#hotel#restrictionsanitaire#listerouge

  • The hermit kingdom: how a proudly multicultural country became ‘fortress Australia’ | Australia news | The Guardian
    http://www.theguardian.com/australia-news/2021/may/14/the-hermit-kingdom-how-a-proudly-multicultural-country-became-fortress-
    https://i.guim.co.uk/img/media/13ea95e6ec08d82c37b19396e341d51d04bb0b76/0_480_7105_4262/master/7105.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    The hermit kingdom: how a proudly multicultural country became ‘fortress Australia’ As Covid wreaks havoc overseas Australia risks regressing culturally and economically if borders don’t reopen. A recent Lowy Institute showed only one third of Australians believe the government should do more to repatriate citizens. Tony Sammartino has no idea when he will next hug his three-year-old daughter, but it’s almost guaranteed it won’t be for another year at the earliest.“These are the best years of her life, and they should be the best of mine too. And they’re slipping away.”Tony hasn’t seen Maria Teresa, nor her mother and his partner, Maria Pena, since March 2020, when he was in the Philippines with their other daughter, Liliana.Before the pandemic, the family of four split their lives between Melbourne and Subic, a coastal city north-west of Manila, spending roughly half a year in each parent’s home country. Now, the Sammartinos are one of countless Australian families that find themselves separated by an almost hermetically-sealed border, an enduring aspect of Australia’s harsh response to the pandemic that continues to prevent even its own citizens from freely returning to or leaving their country. Some 40,000 Australians have at any one time remained stranded overseas, missing births, funerals, losing jobs, and even dying from Covid despite pleas for help to return home.As countries around the world vaccinate their populations and reopen to freer travel, Australia – which has recorded 910 deaths from Covid-19 and zero community transmission for most of this year – is progressively tightening its borders. The hardline approach appears to have gained support among the Australian public, with demographers and sociologists observing Australian leaders’ attitudes towards risk management had shifted Australians’ views about being global citizens, with other experts pondering: what does it say about the collective Australian psyche that a proudly multicultural country can be so supportive of such strict border closures?
    At the beginning of the pandemic, a permit system was introduced for those wanting to leave Australia, with even some compassionate pleas rejected.
    A strict mandatory hotel quarantine system was introduced to absorb an influx of returning citizens – about one million Australians lived overseas pre-pandemic. Then in July 2020, a cap was placed on the number of people quarantine hotels would process, leading to months of flight cancellations, and an almost impossible equation for airlines to remain profitable on Australian routes.Seat prices on airlines that continued to fly into the country soared by tens of thousands of dollars, with jumbos flying as few as 20 passengers per flight. Meanwhile, the prime minister, Scott Morrison, routinely rejected calls to build purpose-built facilities to repatriate more citizens, insisting state governments were responsible for quarantine.The country’s border crackdown peaked at the end of April this year, when Morrison used sweeping biosecurity laws to issue a directive threatening to imprison any citizens who attempted to fly to Australia from India via a third country while a temporary direct flight ban was in place during the recent outbreak. While a travel bubble was established with New Zealand in April, repeated delays to Australia’s vaccine rollout have made the government hesitant to announce a timeframe to reopen its borders. After the government revealed an assumption in its annual budget last week that the border would remain shut to international travel until after mid-2022, Tony is struggling with the lack of outrage at the policy.
    “I haven’t really absorbed that, because I know for me there has to be a solution sooner, it can’t take that long for them to come home.”
    Like many Australians, Tony’s partner was born overseas, and was not a citizen or permanent resident when the pandemic began. As the parent of an Australian born child, she could apply for a visa and exemption to Australia’s border ban on all non-citizens, however she cares for a child from a previous relationship in the Philippines, who would not be able to gain entry to Australia. Meanwhile, Maria Teresa is too young to travel alone, while Tony cannot secure an exemption and flights for him to travel to escort her to Australia, where he had been planning to enrol her in preschool. He does not want to risk becoming stranded in the Philippines indefinitely.
    This hasn’t stopped Tony waking up at 4am most mornings from the stress of his situation, and going online to search for flights. He has become obsessed with flight radars, to monitor the few passenger flights that still enter Australia each day, to calculate how many passengers they are carrying and what a route home for his daughter and partner might look like.“I just don’t have the money to fly there, and pay $11,000 each to fly home, and then quarantine (about $5,000). If you had money, could you get here easily,” he said, a reference to international celebrities who have paid their way into Australia. The family FaceTime call everyday, but Tony is worried their other daughter, Liliana, is losing interest in her mother, frustrated she is missing milestones in her life.“The embassy in Manila doesn’t help, but they sent us a link to a charter flight company in Hong Kong. The government has left us on our own. They haven’t beaten Covid at all, they’ve just shut us off entirely from it,” Tony said.
    Only one-third of Australians believe the government should do more to repatriate citizens, a recent Lowy Institute poll showed, and the Morrison government appears to be banking on the political safety of a harsh border policy as a federal election looms on the horizon. Dr Liz Allen, a demographer at the Australian National University, said the popularity of Australia’s Covid strategy was not surprising. She said despite the fact that about one in three Australians born overseas, “protectionist narratives have operated quite successfully in Australia”, particularly because of an older population. Prof Andrew Jakubowicz, a sociologist at the University of Technology Sydney, is not surprised by the “cognitive dissonance” occurring in a multicultural nation supportive of the border closures.“Something deep in the Australian psyche is the memory of how easy it was to invade this place, the idea that the moment you let them in, you’re in trouble,” he said. Jakubowicz pointed out that migrants to Australia are often the most opposed to further migration. “There’s a long history of pulling the gate shut once they’re through the door.“It’s this learned apprehension of letting in, it’s allowed us to accept hardline immigration policies in the past, and it’s allowed us to reprogram quickly to the stress of being stuck here in the pandemic. “The government has looked at the states’ popularity with their borders, and it’s comfortable with this Noah’s Ark model of survival,” Jakubowicz said. Allen agrees, and believes the government’s strategy plays into Australians’ sense of security.
    “Australia has not done anything marvellous or miraculous in containing Covid, it’s been about geography and dumb luck. We’ve dug a hole and stuck our head in it and that’s where we will remain.
    “We like to view ourselves as larrikins and irreverent people who stand up to authority, but in reality we are scared, we’re petrified. We’ve become so comfortable because of our geography that we’re losing our greatness.
    “We’re not even able to have a conversation about risk, the government is too scared of championing new quarantine facilities out of fear if something goes wrong,” she said. Allen believes the country “risks regressing” both culturally and economically without reopening to immigration, tourism and family reunions.On Friday, a coalition of business, law, arts and academic figures echoed this call, urging the government to adopt a “living with Covid” strategy to avoid reputational damage to Australia.“Australia benefits tremendously from our migrants and tourism. Year on year, this country has spruiked the wondrous kind of living conditions in this place to all corners of the world, to come join us.”“But now, so many who have made Australia their home, and taken a risk on us, we tell them to go home. Well they were home,” Allen said.

    #Covid-19#migrant#migration#australie#sante#biosecurite#multiculturalisme#frontiere#insularite#tourisme#economie#immigration#variant#vaccination#psyche

  • Australian government urged to have standby system in place for next repatriation flight from India | Australia news | The Guardian
    http://www.theguardian.com/australia-news/2021/may/15/australian-government-urged-to-have-standby-system-in-place-for-next-re
    https://i.guim.co.uk/img/media/8e530a573ac469b056f502183ec67a745a984528/0_184_2763_1658/master/2763.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Australian government urged to have standby system in place for next repatriation flight from India. Indian community leaders call on officials to do more to avoid a repeat of the scores of empty seats on the first post-ban flight. The Australian government needs to do more to avoid a repeat of the scores of seats left empty on the first post-ban repatriation flight from virus-ravaged India, one community leader has said. Eighty Australians touched down in Darwin on Saturday morning and were moved to the Howard Springs quarantine facility on the city’s outskirts. But about 70 seats reserved for returning Australians were empty after 40 people tested positive before the flight from Delhi, with another 30 identified as close contacts.Dr Yadu Singh, the president of the Federation of Indian Associations of New South Wales and the head of the Council of Indian Federations of Australia, said: “They need to think about a different mechanism so as not to waste those seats.”Total cases of Covid-19 have topped 24 million in India, with the country’s prime minister, Narendra Modi, saying the country was “on a war footing” as more than 4,000 people died from the virus for a third straight day.India is experiencing a spread of cases associated with the B.1.617 variant, which some experts say could be more transmissible than other variants. The World Health Organization this week declared it a “variant of concern”. Indian community leaders in Australia said statewide lockdowns in the subcontinent and higher case numbers in cities was making the job of repatriating Australians harder.
    Some 10,000 Australian citizens and permanent residents have told the government they want to return from India. First in line for repatriation flights are about 1,000 people the government has deemed vulnerable.
    Singh said he sympathised with the people who were blocked from travelling, but it was the right decision to protect other people. He said: “I’m very pleased the flight has arrived. But what they could do differently is have a mechanism to bring people to the city where the plane is leaving and have them in quarantine and test them several times.“I hope they will learn from what has happened and have a better testing system to bring as many as possible home. They are Australian citizens and there are moral obligations to look after them.”The Department of Foreign Affairs and Trade declined to answer Guardian Australia’s questions about whether efforts had been made to fill seats that became available on the repatriation flight and if a standby system would be in place for future flights.The department also did not say if the government had plans to set up quarantine for Australians stuck in India to isolate before the flight.Dfat’s highest priority at this time is helping vulnerable Australians overseas,” a spokesperson said in their response.Saturday’s flight into Darwin was the 39th government-facilitated flight from India, but the first since the Morrison government imposed a ban after cases surged in India. The ban came with a threat of jail under the Biosecurity Act for any Australians trying to return home from the country.
    The next repatriation flight is due to arrive on 23 May and Dfat has said arrangements for further flights are under way.Singh, a cardiologist, has about 70 relatives – including brothers, uncles, aunts and cousins – living in India. He has lost family members to the virus. There are almost half a million Indian-born people living in Australia and about half are Australian citizens.Singh said his own anxiety about his family’s safety was repeated among people with Indian heritage all across Australia.
    “Even a facility in New Delhi couldn’t keep people waiting there for months,” he said.He understood there were up to 900 Australians identified as vulnerable in India. These people were either elderly, had existing medical conditions that put them at higher risk, or who needed to be in Australia to care for family members. The federal opposition leader, Anthony Albanese, said on Saturday there were still 30,000 Australians stranded overseas.
    “It’s extremely distressing for those Australians with loved ones trapped overseas for more than a year. Scott Morrison promised to bring them home and he hasn’t.”The treasurer, John Frydenberg, said the high commission was working with Australians in India. “We are dealing with a situation where we are seeing more than 800,000 new Covid cases [globally] a day with new variants of the virus.“We did see a spike in the number of cases when people from India were coming. We invoked the biosecurity act and we then reassessed it after a couple of weeks, and the flights have now started and that’s a positive development. “But again we have to maintain our health settings because we know how damaging both to the lives and livelihoods of Australians an outbreak here would be.” In a statement released before Saturday’s flight arrived, the government said the flight was part of a $37.1m support package for India. More than 15 tonnes of medical supplies had been sent to India, including more than 2,000 ventilators and 100 oxygen concentrators.

    #Covid-19#migrant#migration#inde#australie<;sante#rapatriement#variant1contamination#biosecurite#frontiere#circulation

  • Covid-19 : la quarantaine pour entrer en France étendue à la Colombie, à Bahreïn, au Costa Rica et à l’Uruguay
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/14/covid-19-la-guyane-reconfinee-a-partir-de-vendredi_6080160_3244.html

    La quarantaine pour entrer en France étendue à quatre pays supplémentaires Les voyageurs en provenance de quatre pays supplémentaires – la Colombie, Bahreïn, le Costa Rica et l’Uruguay – devront observer à partir de dimanche une quarantaine obligatoire de dix jours à l’arrivée en France en raison de la circulation de l’épidémie de coronavirus dans ces pays, a annoncé Matignon vendredi. Ces pays viennent élargir une liste qui se compose déjà de l’Inde, du Brésil, de l’Argentine, du Chili, de l’Afrique du Sud, du Bangladesh, du Népal, du Sri Lanka, des Emirats arabes unis, du Qatar, de la Turquie et du Pakistan. Le gouvernement évoque dans un communiqué « la propagation de plusieurs variants d’intérêt faisant craindre un risque de transmissibilité accrue ou d’échappement vaccinal », pour justifier le renforcement des mesures aux frontières. Les mesures de contrôles renforcées prévoient une restriction des motifs de déplacement et des catégories de personnes autorisées à voyager vers la France depuis ces pays. Les voyageurs concernés devront présenter un test PCR négatif de moins de trente-six heures (au lieu de soixante-douze heures). Ils devront également se soumettre à un test antigénique à leur arrivée en France puis se verront imposer une quarantaine obligatoire de dix jours avec une restriction des horaires de sortie du lieu d’isolement. Des contrôles pourront être effectués par la police ou la gendarmerie nationale et les contrevenants s’exposent à une amende pouvant aller jusqu’à 1 500 euros, rappelle le communiqué.

    #Covid-19#migrant#migration#france#sante#restrictionsanitaire#test#circulation#frontiere#variant#deplacement

  • Covid-19 : le variant indien du coronavirus sème la confusion chez les scientifiques
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/12/le-variant-indien-du-coronavirus-seme-la-confusion-chez-les-scientifiques_60

    Covid-19 : le variant indien du coronavirus sème la confusion chez les scientifiques. L’OMS envoie des signaux contradictoires sur la dangerosité supposée du B.1.617, les spécialistes de la génétique restent encore très prudents sur sa vitesse de propagation. Au moment où l’Europe entame l’allègement des mesures de restriction contre l’épidémie de Covid-19, le variant dit « indien » du coronavirus, B.1.617 de son nom scientifique, a rejoint mardi 11 mai la liste des variants « préoccupants » tenue par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), sur laquelle figuraient déjà les variants britannique, brésilien et sud-africain.
    Repéré à ce jour dans 49 pays, le B.1.617 est « plus contagieux » que la souche initiale du SARS-CoV-2 et il y a « des éléments qui permettent de penser qu’il atténue la réponse des anticorps qui permettent de combattre le virus », a déclaré Maria Van Kerkhove, responsable technique de la lutte contre le Covid-19 à l’OMS, pour justifier cette décision. Ces propos n’ont pas vraiment mis un terme à la confusion qui règne autour du variant indien. Samedi 8 mai, la pédiatre indienne Soumya Swaminathan, scientifique en chef à l’OMS, avait parlé d’un variant « qui se propage très rapidement, qui est plus contagieux, et qui pourrait échapper aux protections vaccinales, contribuant ainsi à l’explosion de l’épidémie dans le pays ». Le géant d’Asie du Sud détecte plus de 350 000 nouveaux cas de Covid-19 par jour depuis bientôt trois semaines et le nombre de morts quotidiens dépasse actuellement les 4 000.
    Lundi 10 mai, Mme Swaminathan a rétropédalé, expliquant que le variant indien « ne peut être tenu pour seul responsable de l’augmentation spectaculaire du nombre de cas et de décès observés en Inde », reconnaissant aussi que le pays a surtout « baissé sa garde » cet hiver, après la fin de la première vague épidémique. (...) La communauté scientifique est elle-même hésitante. Au Royaume-Uni, pays où les différentes déclinaisons du variant indien – B.1.617, B.1.617.1, B.1.617.2 et B.1.617.3 – ont été le plus repérées ces dernières semaines hors d’Inde, certains experts appellent le gouvernement à retarder les nouvelles levées de restrictions prévues à compter de lundi 17 mai. D’après le Public Health England, il apparaît que le variant indien est « au moins aussi contagieux » que le variant britannique découvert l’automne dernier dans le Kent, mais « on ne sait pas si, et dans quelle mesure, il peut réduire l’efficacité des vaccins ».C’est apparemment le B.1.617.2 qui est en train de gagner du terrain outre-Manche, comme dans certaines régions de l’Inde. En cause, des arrivées de ressortissants indiens et pakistanais qui auraient donné lieu à l’apparition d’un cluster au sud de Manchester, en dépit de la quarantaine institutionnelle obligatoire de dix jours imposée depuis le 23 avril à tous les voyageurs en provenance du sous-continent. Le Wellcome Trust Sanger Institute, institut de recherche en génomique situé près de Cambridge, rapporte que le B.1.617.2 est actuellement identifié « dans plus de 10 % » des échantillons prélevés sur des personnes testées positives et faisant l’objet d’un séquençage génétique. Toutefois, avertit Jeffrey Barrett, statisticien dans cet établissement, « il est difficile d’en tirer des conclusions sur la transmissibilité du variant indien », parce que les données collectées sur le terrain ne représentent que « des poignées de séquences » et que « des centaines de cas » ont en réalité été importés de l’étranger en peu de temps, au moment où le Royaume-Uni se déconfinait.

    #Covid-19#migrant#migration#inde#grandebretagne#sante#variant#cluster#circulation#casimporte#frontiere

  • Eric Topol sur Twitter : “New NEJM: mRNA vaccine (@BioNTech_Group/Pfizer) holds up very well in lab studies for immune response against B.1. 526 (New York), B.1.429 (California), B.1.1.7(UK)+ E484K #variants 👍” / Twitter
    https://twitter.com/EricTopol/status/1392585566324068358

    BNT162b2-Elicited Neutralization against New SARS-CoV-2 Spike Variants | NEJM
    https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMc2106083

    #vaccins

  • #COVID-19 : Le #vaccin universel n’est pas loin | santé log
    https://www.santelog.com/actualites/covid-19-le-vaccin-universel-nest-pas-loin

    [...] les scientifiques ont cherché un talon d’Achille commun aux #coronavirus et l’ont identifié sur leur domaine de liaison aux récepteurs, situé sur la pointe qui relie les virus aux récepteurs des cellules humaines. [...] L’équipe a ensuite conçu une #nanoparticule affichant ce site de vulnérabilité et l’a combinée avec un #adjuvant à petite molécule-qui stimule la réponse immunitaire du corps.
     
    Une approche « pan coronavirus » ou universelle : ici, le candidat « vaccin pan-coronavirus », testé chez des singes et les souris contre une variété d’infections à coronavirus -dont le SRAS-CoV-2 et le SARS-CoV-1, se montre capable de déclencher des anticorps neutralisants. L’approche a non seulement permis une protection contre le SRAS-CoV-2, mais les anticorps induits par le vaccin ont également pu neutraliser les variantes préoccupantes apparues au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et au Brésil, ainsi que tout un spectre d’autres coronavirus.

    Source ;
    Neutralizing antibody vaccine for pandemic and pre-emergent coronaviruses
    https://www.nature.com/articles/s41586-021-03594-0_reference.pdf

    #variants

  • A New Delhi, les sikhs au secours des malades du Covid-19
    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/05/12/a-new-delhi-les-sikhs-au-secours-des-malades-du-covid-19_6079989_3210.html

    Le plus grand temple de la capitale indienne a ouvert, dans son enceinte, un centre de soins de 400 lits, pour soulager les hôpitaux débordés. Minoritaires dans la population, les sikhs, réputés pour leur générosité, ont une influence considérable dans la société.Le gurdwara Rakab Ganj Sahib a fermé ses portes aux fidèles depuis le 17 avril, date du début du confinement imposé par le chef de gouvernement de Delhi, Arvind Kejriwal, pour tenter de freiner le rythme des contaminations. Mais le temple sikh, le plus imposant de la capitale indienne, situé près du Parlement, déborde d’activité.Des volontaires arrivent, les bras chargés de sacs de biscuits et de nourriture. L’entrée du temple est filtrée par de lourdes barrières en fer jaune. Il faut d’abord passer par un point de contrôle, décliner son identité devant une équipe protégée des pieds à la tête par des combinaisons anti-Covid et des visières. Une voiture se présente dans la cour, avec une personne allongée à l’arrière, qui semble trop mal en point pour bouger. Un volontaire se précipite avec une chaise roulante.
    Le gurdwara Rakab Ganj Sahib a transformé un de ses bâtiments pour accueillir près de 400 lits, mis à disposition des malades du Covid-19, et équipés de concentrateurs d’oxygène, à New Delhi, le 4 mai 2021.C’est l’un des premiers patients de l’immense hôpital de fortune monté en quelques jours par la communauté sikh, en liaison avec le gouvernement régional, dans l’enceinte du gurdwara. Un bâtiment du temple a été vidé, pour accueillir près de 400 lits, mis à disposition des malades du Covid-19, et équipés de concentrateurs d’oxygène. Derrière chaque matelas, une chaise, pour les accompagnants, et un ventilateur. Les températures à New Delhi sont proches de 40 degrés. Et juin sera encore plus torride. Une dizaine d’ambulances jaunes, grandes comme des bus, stationnent sur le parking, prêtes à intervenir.Ce centre de soins consacré au Covid-19 a ouvert ses portes, lundi 10 mai, pour répondre à la crise de l’oxygène qui fait exploser le système de santé indien, en particulier dans la capitale, où les hôpitaux, débordés par la deuxième vague épidémique, ne sont plus en capacité de gérer l’afflux des patients en détresse respiratoire.
    L’immense hôpital de fortune (ici le 4 mai 2021) a été monté en quelques jours par la communauté sikh dans l’enceinte du gurdwara Rakab Ganj Sahib, à New Delhi.« Nous avons 10 médecins en permanence et 15 infirmières. L’oxygène et les médicaments nous ont été envoyés par des sikhs du Canada, du Royaume-Uni, des Etats-Unis, d’Australie, assure Bhupinder Singh, un des responsables du gurdwara. Nous accueillons ici tout le monde, gratuitement, quelle que soit la religion des malades, quel que soit leur statut. »La situation dans la capitale indienne s’améliore lentement sous l’effet du confinement, mais elle reste fragile et les hôpitaux sont encore au maximum de leur capacité. Le taux de positivité, qui avait atteint 36 % le 22 avril, est retombé à 21 % ; le nombre d’infections a chuté de 28 000 à 12 000 cas, mardi 11 mai. Le même jour, cependant, il ne restait que 59 lits disponibles en soins intensifs, dans cette mégapole de plus de 20 millions d’habitants. Trois cent quarante-sept morts ont été comptabilisés au cours des vingt-quatre dernières heures, plus de 4 000 à l’échelle du pays, qui a franchi la barre des 250 000 morts. Mercredi 12 mai, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a détecté le variant indien dans « 44 pays », et l’a classé comme « préoccupant ». L’aide internationale, promise dès le 26 avril, arrive encore avec peine jusqu’aux établissements hospitaliers du pays. Les producteurs d’oxygène, respirateurs ou médicaments sont restés plusieurs jours coincés sur le tarmac des aéroports pour des raisons de dédouanement. Il a fallu désemballer, remballer, avant que les cargaisons soient enfin acheminées vers les hôpitaux.Aux premières heures de la crise de l’oxygène, la communauté sikh – les gurdwaras et l’ONG Khalsa Help International – a déployé tous ses efforts pour venir en aide aux malades, souvent en état critique, refusés dans les centres hospitaliers, trop congestionnés.
    Les familles désespérées ont vite trouvé le chemin des gurdwaras. Les sikhs, réputés pour leur générosité, ne représentent que 2 % de la population en Inde, mais leur influence et leur rôle dans la société sont considérables, notamment à New Delhi, qui regroupe la plus importante communauté après le Penjab. Lors de la première vague épidémique et du premier confinement, ils avaient déjà distribué des milliers de repas aux travailleurs migrants piégés dans les grandes métropoles. Peu avant, en février 2020, lors de terribles pogroms contre les musulmans dans les quartiers nord de New Delhi, ils s’étaient précipités pour tenter de sauver des vies, apporter nourriture et vêtements à ceux qui avaient tout perdu. Ils ont encore aidé les milliers de paysans, en grève aux portes de Delhi, depuis le mois de novembre 2020, avec leurs immenses cuisines installées le long des campements. Leur intervention s’inscrit dans une longue tradition de générosité et de bénévolat, de service désintéressé [“seva”] », explique Christine Moliner, anthropologue, spécialiste des sikhs et du Pendjab. Pour l’enseignante à l’OP Jindal Global University, « les formes nouvelles que prend cette tradition éthique, en manifestant la solidarité des sikhs avec les autres communautés, constituent une réponse au majoritarisme hindou ». « Le travail que le gouvernement était censé faire, c’est la société qui le fait aujourd’hui », relève Rajinder Singh, un bénévole. (...) A l’entrée du centre anti-Covid du gurdwara, une grande banderole assure : « Le corona peut tuer les humains, pas l’humanité »

    #Covid-19#migrant#migration#inde#sante#religion#diaspora#confinement#solidarite#travailleurmigrant#variant

  • #Covid-19 : Pfizer teste un médicament qui pourrait être disponible d’ici la fin de l’année - midilibre.fr
    https://www.midilibre.fr/2021/05/06/covid-19-pfizer-teste-un-medicament-qui-pourrait-etre-disponible-dici-la-f

    « Au départ, le #Sars-CoV-2 fabrique une très grande protéine qui a besoin d’être découpée en plusieurs protéines de plus petite taille », explique Bruno Canard, directeur de recherche au CNRS à l’université Aix-Marseille. C’est la protéase qui va jouer un rôle de « ciseau » et découper cette grosse protéine inactive en plusieurs protéines, elles, actives. Le médicament expérimenté par Pfizer a pour objectif de stopper l’activité de cette protéase pour éviter la reproduction du virus.

    Cette technique « est tirée de travaux de recherches faits en 2002-2003 sur le Sars-CoV-1 ». « Les #protéases du Sars-CoV-1 et du Sars-CoV-2 sont similaires à 96 %, ce qui a permis de développer très rapidement une molécule artificielle »,explique Christophe Bécavin, enseignant-chercheur à l’université Côte-d’Azur.

    Si Pfizer espère pouvoir mettre son traitement sur le marché d’ici la fin de l’année, certains spécialistes sont moins optimistes : « Le développement va encore prendre du temps, au moins un an ». Si ce médicament peut être complémentaire au vaccin, le laboratoire va devoir s’assurer qu’il est aussi efficace contre les #variants, ce qui pourrait être le combat des prochains mois.

    #inhibiteurs_de_protease

  • Reaching ‘Herd Immunity’ Is Unlikely in the U.S., Experts Now Believe - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2021/05/03/health/covid-herd-immunity-vaccine.html

    Unnerving scenarios remain on the path to this long-term vision.

    Over time, if not enough people are protected, highly contagious #variants may develop that can break through vaccine protection, land people in the hospital and put them at risk of death.

    “That’s the nightmare scenario,” said Jeffrey Shaman, an epidemiologist at Columbia University.

    How frequent and how severe those breakthrough infections are have the potential to determine whether the United States can keep hospitalizations and deaths low or if the country will find itself in a “mad scramble” every couple of years, he said.

    #immunité #sars-cov2 #covid-19 #immunité_collective

  • Effectiveness of the BNT162b2 Covid-19 Vaccine against the B.1.1.7 and B.1.351 #Variants | NEJM
    https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJMc2104974



    (#Vaccin Pfizer/variants britannique et sud-africain)

    Effectiveness was estimated to be 87.0% (95% CI, 81.8 to 90.7) against the B.1.1.7 variant and 72.1% (95% CI, 66.4 to 76.8) against the B.1.351 variant [...]

    The BNT162b2 vaccine was effective against infection and disease in the population of Qatar, despite the B.1.1.7 and B.1.351 variants being predominant within the country; however, vaccine effectiveness against the B.1.351 variant was approximately 20 percentage points lower than the effectiveness (>90%) reported in the clinical trial1 and in real-world conditions [...] Nevertheless, the reduced protection against infection with the B.1.351 variant did not seem to translate into poor protection against the most severe forms of infection (i.e., those resulting in hospitalization or death), which was robust, at greater than 90%.

    #vaccins #sars-cov2

  • Our immune systems blanket the #SARS-CoV-2 spike protein with antibodies | EurekAlert! Science News
    https://www.eurekalert.org/pub_releases/2021-05/uota-ois050321.php

    Previous research focused on one group of antibodies that target the most obvious part of the coronavirus’s spike protein, called the receptor-binding domain (RBD). Because the RBD is the part of the spike that attaches directly to human cells and enables the virus to infect them, it was rightly assumed to be a primary target of the immune system. But, testing blood plasma samples from four people who recovered from SARS-CoV-2 infections, the researchers found that most of the antibodies circulating in the blood — on average, about 84% — target areas of the viral spike protein outside the RBD — and, apparently, for good reason.

    “We found these antibodies are painting the entire spike, both the arc and the stalk of the spike protein, which looks a bit like an umbrella,” [...] “The immune system sees the entire spike and tries to neutralize it.”

    Many of these non-RBD-directed antibodies the team identified act as a potent weapon against the virus by targeting a region in a part of the spike protein located in what would be the umbrella’s canopy called the N-terminal domain (NTD). These antibodies neutralize the virus in cell cultures and were shown to prevent a lethal mouse-adapted version of the virus from infecting mice.

    The NTD is also a part of the viral spike protein that mutates frequently, especially in several variants of concern. This suggests that one reason these #variants are so effective at evading our immune systems is that they can mutate around one of the most common and potent types of antibody in our arsenals.

    [...]

    Despite these maneuvers by SARS-CoV-2, the researchers said about 40% of the circulating antibodies target the stalk of the spike protein, called the S2 subunit, which is also a part that the virus does not seem able to change easily.

    “That’s reassuring,” Ippolito said. “That’s an advantage our immune system has. It also means our current vaccines are eliciting antibodies targeting that S2 subunit, which are likely providing another layer of protection against the virus.”

    #anticorps

    Source: Prevalent, protective, and convergent IgG recognition of SARS-CoV-2 non-RBD spike epitopes | Science
    https://science.sciencemag.org/content/early/2021/05/03/science.abg5268.full

  • Plus contagieux, plus virulents, plus résistants au #vaccin : ce que l’on sait des principaux #variants du #SARS-CoV-2
    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/05/04/sars-cov-2-contagiosite-frequence-resistance-au-vaccin-ce-que-l-on-sait-des-

    Variant indien (B.1.617)

    Le variant B.1.617 a été détecté pour la première fois en Inde en octobre 2020 et, selon l’OMS, il est désormais présent dans 17 pays. L’organisation ajoute que la plupart des cas détectés proviennent d’Inde, du Royaume-Uni, des Etats-Unis et de Singapour. Le 29 avril, trois cas de contamination avec le #variant indien ont été identifiés en France métropolitaine.

    Il possède quinze #mutations dont deux communes avec d’autres variants. Il est classé parmi les variants sous surveillance mais se rapproche des variants préoccupants connus, même s’il ne présente pas la mutation 501. Le conseil scientifique précise : « La mutation #E484Q est proche mais différente de la mutation E484K qui facilite un échappement partiel aux #vaccins. On peut donc s’attendre à une efficacité vaccinale conservée mais diminuée. » Toutefois, aucune prédiction sur sa transmission ou son potentiel d’échappement ne peut encore être établie.

  • Prof. Christina Pagel sur Twitter : "Data is available up to week ending 17th April. Firstly raw counts ( excluding B.1.1.7 ("Kent") which is dominant) shows rapid growth of B.1.617 ("India") over last 4 weeks. S Africa (B.1.351) and B.1.525 variants are not growing in absolute numbers. 2/10 https://t.co/snf995FLYJ" / Twitter
    https://twitter.com/chrischirp/status/1389273191030403082

    #sars-cov2 #variants #Angleterre

  • Covid-19 : la Commission veut faire progressivement revenir les touristes en Europe
    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/05/03/covid-19-la-commission-veut-faire-progressivement-revenir-les-touristes-en-e

    Covid-19 : la Commission veut faire progressivement revenir les touristes en Europe. Les pays les plus dépendants du tourisme, comme la Grèce, l’Espagne ou le Portugal, font pression pour que le continent s’ouvre plus qu’il ne l’est aujourd’hui. La France et l’Allemagne prônent la prudence.
    Alors que l’été approche, la Commission européenne tente de coordonner la reprise du tourisme en provenance des pays tiers. Et de donner satisfaction aussi bien à ceux des Vingt-Sept qui veulent voir revenir Chinois, Russes, Britanniques et Américains qu’à ceux qui sont inquiets de l’apparition de nouveaux variants et militent pour une approche très graduée. Lundi 3 mai, l’exécutif communautaire a présenté les propositions qu’il a soumises aux Etats membres, en sachant à quel point le sujet est délicat. D’autant qu’en matière de frontières, ils sont libres, in fine, de faire ce que bon leur semble.Depuis mars 2020, l’Union européenne (UE) est fermée pour les voyages non essentiels, sauf pour six pays (Australie, Nouvelle-Zélande, Rwanda, Singapour, Corée du Sud, Thaïlande), dont le taux d’incidence du Covid-19 sur quatorze jours est inférieur à 25 pour 100 000 habitants. La Chine pourrait également prétendre à ce traitement de faveur, mais il faudrait pour cela qu’elle autorise, de son côté, les Européens à se rendre sur son sol. Ce qui n’est pas le cas, sans doute à cause du taux d’incidence en Europe, s’élevant en moyenne autour de 420.
    « En réalité, d’autres pays ont un taux d’incidence inférieur à 25, mais ce critère n’a rien d’automatique. Les Etats membres tiennent aussi compte d’éléments qualitatifs, comme la fiabilité des données ou la réciprocité », constate un fonctionnaire européen. Pour le reste, seuls ceux qui voyagent pour des raisons essentielles – les infirmières, les marins, ou encore ceux qui ont un motif familial impérieux – peuvent se rendre sur le Vieux Continent, dès lors qu’ils respectent les règles (tests, quarantaine, …) en vigueur sur leur lieu de destination.La Commission propose d’élargir la liste des pays tiers dont les voyageurs sont admis à venir en Europe et de l’ouvrir à ceux dont le taux d’incidence sur quatorze jours est inférieur à 100 pour 100 000 habitants – dans l’UE, seuls la Finlande (66), la Polynésie française (29), voire le Vatican (0) sont à ces niveaux. Aujourd’hui, le Royaume-Uni (46) ou encore la Russie (89) pourraient par exemple y prétendre, mais pas les Etats-Unis (258).
    Autre aménagement par rapport aux règles actuelles, l’exécutif communautaire souhaite que les personnes immunisées avec un vaccin autorisé par l’Agence européenne des médicaments – à ce stade, Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson – puissent entrer dans l’UE, si tant est qu’ils aient reçu leur dernière dose au moins deux semaines plus tôt. Les Etats membres qui le souhaitent pourront également accepter les vaccins ayant achevé la procédure d’enregistrement de l’OMS pour une utilisation en urgence.La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, avait évoqué cet assouplissement le 25 avril, dans le New York Times, et avancé que les touristes américains vaccinés seraient autorisés à traverser l’Atlantique cet été. « Cette proposition n’exonère pas les touristes vaccinés de se soumettre aux règles en vigueur (test, quarantaine, etc.) dans le pays où ils se rendent », précise la Commission, qui ajoute que les certificats de vaccination émis par les pays tiers devront être compatibles avec le passe sanitaire européen, en cours de préparation.
    Enfin, pour limiter le risque d’importation de nouveaux variants, Bruxelles propose d’introduire un « frein d’urgence » qui permettrait aux Vingt-Sept de fermer leurs frontières rapidement et de manière coordonnée aux ressortissants d’un pays, dès lors que la situation sanitaire s’y détériorerait fortement.Avec cette proposition, dont les Etats membres doivent commencer à discuter le 5 mai, la Commission espère éviter le chaos au sein de l’UE à l’approche de la saison touristique. Les pays les plus dépendants du tourisme, comme la Grèce, l’Espagne ou le Portugal, font pression pour que le continent s’ouvre plus qu’il ne l’est aujourd’hui. Et certains ont déjà pris des mesures ou engagé des discussions en ce sens avec des pays extracommunautaires. A l’inverse, la France et l’Allemagne, entre autres, sont partisans de la plus grande prudence.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#UE#circulation#frontiere#tourisme#variant#passeportvaccinal#passesanitaire#restrictionsanitaire

  • A l’aéroport de Roissy, des Indiens en transit illégal installés dans un terminal
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/05/03/a-l-aeroport-de-roissy-des-indiens-en-transit-illegal-installes-dans-un-term

    A l’aéroport de Roissy, des Indiens en transit illégal installés dans un terminal. Par crainte de la formation d’un cluster de contamination au Covid-19, les autorités ont installé une annexe temporaire à la zone d’attente pour personnes en instance (ZAPI) dans le terminal 2A de l’aéroport.
    Un terminal de l’aéroport Roissy - Charles-de-Gaulle a été aménagé pour accueillir plusieurs dizaines d’Indiens en transit illégal sur le territoire français et faire baisser le nombre de personnes maintenues dans la zone d’attente de l’aéroport, a-t-on appris, lundi 3 mai, de sources aéroportuaires.Par crainte de la formation d’un cluster de contamination au Covid-19, la Croix-Rouge et l’Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (Anafé) avaient décidé à la fin avril de retirer leurs salariés de la plus grande zone d’attente aéroportuaire de France, où sont maintenus les étrangers qui ne sont pas autorisés à entrer sur le territoire. Vendredi, les autorités, avec le soutien logistique d’Aéroports de Paris (ADP), ont donc installé une annexe temporaire à la zone d’attente pour personnes en instance (ZAPI) dans le terminal 2A de l’aéroport, une information dévoilée par Le Parisien.« Nous avons mis à disposition des lits de camp dans un terminal fermé depuis l’été et permis un accès aux sanitaires. Quatre-vingts à quatre-vingt-dix personnes en transit avec des problèmes administratifs de visa s’y trouvent actuellement », a indiqué lundi ADP à l’Agence France-Presse (AFP). Le nombre d’étrangers maintenus dans la zone d’attente principale est ainsi redescendu à « trente-cinq », selon une source aéroportuaire.
    Tous les étrangers installés dans l’annexe temporaire sont des ressortissants indiens, en grande majorité des hommes, a précisé cette source à l’AFP. Ils ont tous refusé de subir des tests, « mais certains sont arrivés avec des PCR négatifs et sont là depuis dix-sept jours ». Pour la plupart, ces Indiens sont en transit entre Moscou et Mexico, avec l’espoir d’immigrer en Amérique du Nord. Mais ils ne disposent pas de visa et doivent donc être réacheminés vers Moscou.En première ligne face à la pandémie, avec le Brésil, l’Inde a enregistré 3 400 décès supplémentaires et 370 000 nouvelles contaminations en vingt-quatre heures. Le bilan total provisoire culmine à plus de 219 000 morts, pour près de 20 millions de contaminations.

    #Covid-19#migrant#migration#france#inde#sante#circulation#variant#frontiere#cluster#transit#visa

  • My Australian husband is stuck in India. All I want is to know he can come home | Narita Nagin | The Guardian
    http://www.theguardian.com/commentisfree/2021/may/03/my-australian-husband-is-stuck-in-india-all-i-want-is-to-know-he-can-co
    https://i.guim.co.uk/img/media/ce76c31caf8db874ed1e5c68a02e5fc7cfefe277/0_756_1980_1188/master/1980.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    My Australian husband is stuck in India. All I want is to know he can come home. What does it mean to be a citizen? Is Australia a fair-weather friend, only there for you in the good times? The Australian government’s drastic decision to temporarily stop all travellers from India entering Australia has me in tears almost every night, struggling to cope with the uncertainty of when I’ll see my husband again.Before he departed Australia for India in March, I was stressed knowing that repatriation flights were few and far between. But he managed to convince both me and the Australian government (that granted him a travel exemption) that he had to go to visit and care for his mum, his only surviving parent, who is suffering from stage-four cancer. Knowing him, his kindness and conscientiousness, I knew that it wasn’t really a choice for him to be at his dying mother’s side.
    The situation is emotionally draining for the 9,000 Australians who are stranded in India while it is ravaged by the deadly Covid-19 second wave, desperate to get home. To date, India has reported more than 19m cases and 216,000 deaths. I can’t even imagine the unbearable stress and fear of being in India surrounded by the countless stories of the lack of oxygen and hospital beds, the crumbling infrastructure and people dying on the streets.
    India does not allow for dual citizenship, so it does not owe Australians like my husband anything – if they were once Indians, they have given that up to become Australians. What does it mean to be an Australian citizen? Is Australia a fair-weather friend, only there for you in the good times? For Australian citizens stuck in India, the worst-case scenario is playing out in real time. What if India decides to prioritise its citizens’ health over others due to insufficient and crumbling infrastructure? What if India demands non-citizens leave the country or threatens them with prison sentences like the Australian government just did for its own citizens?
    Like most other Australians, I don’t want to compromise the health of the community, but surely Australians can be allowed back via a safe process and the virus can be contained by isolation. In March, shortly before the government’s decision to exclude Australians travelling from India, just 1,065 people travelled into Australia each day on average, so the existing protocols did not allow a huge number enough to suggest undue burden on infrastructure.Its decision to ban Australian travellers from India indicates the Australian government’s complete lack of confidence in its own quarantine system. While this may be justified, given the numerous quarantine mistakes, wouldn’t it be more appropriate for Australia to fix its quarantine system than to deny its own citizens their basic human right to return home to their families?Similar draconian laws and absolute bans were not considered when in the US and UK Covid cases were soaring only a few months ago. The US to date reported 32.4m cases and 576,000 deaths. The UK wasn’t that far behind, and a substantially deadlier strain of Covid-19, B.1.1.7, originated there. Why has a different approach been taken to Australians returning from India?I have always found Australians to be warm, open and inclusive, and so this is the first time I have any regrets in choosing Australia as my home. Other governments are doing so much more to help their citizens – the US, in its latest health alert, asked its citizens to leave India as soon as it is safe to do so, and additional flight options are available for them. British and Irish nationals, and third-country nationals with residence rights in the UK, are arriving into England from India with the requirement to quarantine. These are fair and reasonable options that Australians stranded in India would welcome.
    As for my husband, even if the borders were open, I know that he won’t return until his mother dies. At the same time, it is difficult for him being in India without any certainty as to when he might be able to return home. While the ban for travellers from India is temporary, for those stuck overseas “temporary” reads as “indefinitely”. For now, he continues to live among the Covid chaos in India, waking up at 3am daily to work Australian hours , while caring for his mum, who in addition to stage-four cancer now also has Covid-19.Despite all these challenges, he is still an amazing husband from afar, calling me daily to check in, calming me during my frequent meltdowns. All I want is for both of us to have the certainty that he can come home to Sydney when he is ready.There should be no barriers to Australians returning home. It is our right.Narita Nagin is an Australian lawyer. She is based in Sydney and was born in Fiji

    #Covid-19#migrant#migration#australie#inde#sante#variant#retour#contamination#santementale#droit

  • La Commission européenne propose de permettre l’entrée dans l’Union européenne aux voyageurs vaccinés
    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/05/03/la-commission-europeenne-propose-de-permettre-l-entree-dans-l-union-europeen

    La Commission européenne propose de permettre l’entrée dans l’Union européenne aux voyageurs vaccinés. La proposition doit, désormais, être soumise aux Etats membres, qui doivent l’examiner le 5 mai. Se dirige-t-on vers un retour des voyageurs extra-européens ? La Commission européenne a proposé, lundi 3 mai, de permettre l’entrée dans l’Union européenne aux voyageurs en provenance de pays tiers « dont la situation épidémiologique est bonne », mais aussi « aussi aux personnes qui ont reçu la dernière dose recommandée d’un vaccin autorisé dans l’UE », à l’approche de la saison touristique estivale.
    Les voyageurs devraient avoir reçu ce vaccin au moins quatorze jours avant leur arrivée. Les Etats membres pourraient étendre cette autorisation aux personnes ayant reçu un vaccin concerné par une homologation en urgence de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), est-il précisé.La proposition doit, désormais, être soumise aux Etats membres. Les ambassadeurs des Vingt-Sept doivent l’examiner mercredi 5 mai.La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen avait estimé, le 26 avril, que les touristes américains vaccinés devaient pouvoir être autorisés à venir dans l’Union européenne dans les prochains mois. L’UE prépare la mise en place d’un certificat sanitaire européen, qu’elle souhaite opérationnel avant la fin juin. D’ici là, les Etats membres devraient pouvoir accepter des certificats émis par des pays extérieurs à l’UE, précise le texte.
    L’UE a fermé ses frontières extérieures en mars 2020 pour les voyages « non essentiels » et établi à partir de juin une liste restreinte, révisée régulièrement, de pays tiers dont les résidents peuvent entrer dans l’Union.
    Depuis la fin janvier, les pays de cette liste sont l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Rwanda, Singapour, la Corée du Sud, la Thaïlande (et la Chine sous réserve de réciprocité). La Commission propose d’élargir cette liste, en assouplissant le critère du taux d’incidence sur quatorze jours, qui serait relevé de 25 à 100 (pour 100 000 habitants), ce qui reste nettement en dessous de la moyenne dans l’Union européenne, actuellement de plus de 420, est-il souligné.Un mécanisme est toutefois prévu pour suspendre rapidement les arrivées dans le cas où la situation épidémiologique d’un pays se détériore notamment en raison d’un variant.

    #Covid-19#migrant#migration#UE#sante#passeportvaccinal#circulation#frontiere#variant#tauxdincidence

  • Costa Croisières reprend la mer après une longue pause due au Covid 1 er Mai 2021 - afp/ther

    Le groupe italien Costa Croisières a repris la mer samedi soir depuis le port de Savone (nord-ouest) avec son navire amiral Costa Smeralda, après plus de quatre mois de pause forcée due à la pandémie de coronavirus.

    Maintes fois reporté, le départ de ce navire amiral du groupe italien Costa Croisières, numéro un en Europe, a finalement eu lieu à 18h00, avec à son bord environ 1500 passagers, soit un quart de sa capacité d’accueil théorique.

    Ce périple en Méditerranée durera de trois à sept jours, selon les formules, avec des escales sur la côte italienne à La Spezia, Civitavecchia, Naples, Messine et Cagliari. . . . .

    La suite : https://www.rts.ch/info/monde/12166232-costa-croisieres-reprend-la-mer-apres-une-longue-pause-due-au-covid.htm

     #covid-19 #coronavirus #pandémie #contamination #variant #Costa_Croisières #croisière #tourisme #croisières #méditerranée