• Khrys’presso du lundi 18 mars 2024
    https://framablog.org/2024/03/18/khryspresso-du-lundi-18-mars-2024

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • Plaidoirie magistrale de Monique Chemillier-Gendreau à la CIJ – Aurdip

    "La plaidoirie magistrale de la Professeure Monique Chemillier-Gendreau au nom de l’Organisation de la coopération islamique devant la Cour Internationale de Justice concernant les « Conséquences juridiques découlant des politiques et pratiques d’Israël dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est »"

    https://aurdip.org/plaidoirie-magistrale-de-monique-chemillier-gendreau-a-la-cij

    #palestine #cij

  • Les #sciences_humaines et sociales face aux #verrous de la #transition | Institut de la transition environnementale de l’Alliance Sorbonne Université
    https://ite.sorbonne-universite.fr/actualites-ite/les-sciences-humaines-et-sociales-face-aux-verrous-de-la-tra

    #videos

    Mercredi 15 novembre
    Introduction
    09 :15 – 09 :45 > Introduction au #colloque
    Organisateur.e.s et Anouk Barberousse, directrice de l’ITE

    Session 1 : La transition : un verrou ?
    Modérateurs : Nelo Magalhães et Luc Elie
    09:45 - 10:15 › S1-1 : Sans transition. Une nouvelle histoire de l’énergie
    #Jean-Baptiste_Fressoz (historien, CNRS)
    10:15 - 10:45 › S1-2 : Retour sur une longue série de sémantiques socio-politiques : Forces et faiblesses de la transition écologique
    Florence Rudolf (sociologue, INSA Strasbourg)
    10:45 - 11:15 › S1-3 : La transition, une métaphore adaptée pour aller vers une société climatiquement neutre
    #Philippe_Quirion (économiste, #CNRS)
    11:15 – 12 :00 › S1-4 : Débat de la session 1

    https://vimeo.com/902875269

  • Mort d’#Adam et #Raihane : les incohérences de la version policière révélées

    En août 2022 à #Vénissieux, deux jeunes hommes étaient tués par des tirs policiers sur un véhicule signalé volé. Les policiers ont justifié leur usage des armes en invoquant la #légitime_défense : l’un des agents aurait tiré cinq fois alors qu’il se trouvait embarqué sur le capot du véhicule en fuite. Reconstitution 3D à l’appui, la contre-enquête d’INDEX révèle les failles de ce récit.

    Dans la nuit du 18 au 19 août 2022, une intervention de police sur le parking de l’hypermarché Carrefour à Vénissieux fait deux morts. Adam B., âgé de 20 ans, et Raihane S., âgé de 25 ans, sont tués par des tirs de pistolet semi-automatique alors qu’ils se trouvent à bord d’un véhicule Renault Mégane, signalé volé.

    L’enquête a déterminé que les deux individus ont été tués par des balles provenant de la même arme, appartenant au policier Geoffray D., chef de bord d’une patrouille de la Brigade Spécialisée de Terrain affectée à Vénissieux. Au total, onze balles ont atteint le véhicule dans lequel se trouvaient Adam et Raihane.

    Les policiers ont justifié ces tirs en invoquant la légitime défense, devant un cas de « refus d’obtempérer » qui les mettait en grave danger. Selon leur récit, le policier Geoffray D. aurait été percuté par le véhicule en fuite et aurait tiré alors qu’il se trouvait embarqué sur le capot du véhicule, affirmant qu’il n’avait « pas d’autres solutions ». L’expert balistique désigné a conclu que le scénario présenté par les policiers étaient « parfaitement cohérent » avec les constatations matérielles. Le parquet a classé l’affaire sans suite.

    INDEX a mené une contre-enquête, à partir d’une reconstitution numérique en 3D de l’incident. Celle-ci révèle le caractère très peu plausible du récit policier concernant les circonstances de la mort d’Adam B. et de Raihane S., et souligne de nombreuses zones d’ombres à ce jour ignorées par l’enquête officielle.

    Adam B. et Raihane S. sont deux des treize personnes tuées par des tirs policiers sur des véhicules en mouvement au cours de l’année 2022, dans des situations dites de « refus d’obtempérer ».

    https://www.index.ngo/enquetes/mort-dadam-et-raihane-les-incoherences-de-la-version-policiere-revelees
    #enquête #contre-enquête #violences_policières #Index #refus_d'obtempérer #reconstitution #reconstruction

    • Lögnen och sanningen
      https://www.youtube.com/watch?v=KoZLApMb6bs

      Lögnen tar hand om dom sina
      Skänker dom skärm och beskydd
      Håller dom noga om ryggen
      Ger dom en famn som är trygg

      Lögnen förtrollar och tjusar
      Som mannen och kvinnan av värld
      Lögnen förtrollar och krusar
      Lögnen är alltid modern

      Sanningen sticker och sårar
      Sanningen sliter isär
      Sanning är för barn eller dårar
      Som inte har nån karriär

      Sanningen spottar och fräser
      Står mitt i kyrkan och svär
      Sanningen fnyser och snäser
      Sanningen är sällan bekväm

      Lögnen har väldiga vingar
      Svarta som tjära och sot
      Lögnen far fram över världen
      Med stålskodda näbbar och klor

      Lögnen har mäktiga vänner
      Lögnen ger pengar och makt
      Där sanningen visas på dörren
      Har lögnen en hedersplats

      Sanningen saknar resurser
      Sanningen tigger sig fram
      Sanningen snarar och snubblar
      En flykting i främmande land

      Sanningen stampar i kylan
      På ödsliga gator och torg
      Sanningen hulkar och ylar
      Av vrede och smärta och sorg

      Men när dansen på kvällen ska trådas
      När kropp ska tryckas mot kropp
      Är det ingen som dansar med lögnen
      Det är sanningen man bjuder upp

      Och när dommen en dag ska fällas
      Och rättvisa ripas tillslut
      Är det sanningens ord man vill höra
      Och lögnen som kastas ut

      Ja det sägs att det sanna är heligt
      Och att sanningen aldrig kan dö
      Att sanningen är nånting heligt
      Och ren som den renaste snön

      Och dom säger att sanningen segrar
      Och jag hoppas och tror det är sant
      Men då vill det nog till vi blir flera
      Som kan ge den en hjälpande hand

      Och dom säger att sanningen segrar
      Och jag hoppas och tror det är sant
      Men då vill det nog till vi blir flera
      Som kan ge den en hjälpande hand.

      –-

      Menzogna e Verità

      La menzogna ha cura dei suoi,
      Dà loro riparo e protezione
      Se li tiene ammodo sulle spalle,
      Dà loro un abbraccio sicuro

      La menzogna incanta e ammalia
      Come l’uomo la donna di mondo,
      La menzogna ammalia e fa smancerie,
      La menzogna è sempre moderna

      La verità punge e fa male,
      La verità taglia a pezzetti
      La verità è per i bimbi e gli sciocchi
      Che non faranno carriera

      La verità sputa e s’incazza
      Mòccola in mezzo alla chiesa,
      La verità sbuffa e sgrida,
      La verità di rado è comoda

      La menzogna ha ali possenti
      Nere come il catrame e la fuliggine
      La menzogna si spande sul mondo
      Con becchi e artigli d’acciaio

      La menzogna ha amici potenti
      La menzogna dà soldi e potere
      La verità viene sbattuta fuori di casa
      Mentre la menzogna ha un posto d’onore

      La verità manca di risorse
      La verità mendica per strada
      La verità insidia e barcolla
      Come un profugo in terra straniera

      La verità bùbbola dal freddo
      In strade e piazze deserte,
      La verità strepita e ulula
      Di rabbia, di dolore e pena

      Ma quando poi la sera
      Si va a ballar corpo a corpo,
      Nessuno balla con la menzogna
      E tutti invitan la verità.

      E quando un giorno ci sarà il verdetto
      E alla fine giustizia sarà fatta,
      Si vorran sentire le parole della verità
      E la menzogna verrà buttata fuori

      Sì, si dice che il vero sia sacro
      E che la verità sia immortale,
      Che la verità sia una cosa sacra
      E pura come la neve più candida

      Dicon che la verità vince sempre
      E io spero e credo sia vero,
      Ma ci vorrà tempo per esser tanti
      Abbastanza per darle una mano.

      Dicon che la verità vince sempre
      E io spero e credo sia vero,
      Ma ci vorrà tempo per esser tanti
      Abbastanza per darle una mano.

      #Mikael_Wiehe #vérité #mensonge #musique #chanson

  • France : second exportateur mondial d’armes ! Les autorités se dérobent à leurs obligations de contrôle démocratique et de transparence. Jusqu’à quand ?
    https://www.obsarm.info/spip.php?article644

    Selon le dernier communiqué du Sipri, la France s’élève au rang de deuxième exportateur d’armes au monde après les États-Unis. L’augmentation des exportations d’armes est faramineuse : plus de 47 % entre les périodes 2014-2018 et 2019-2023. Alors que la contestation monte contre les ventes d’armes et de composants à double usage à Israël et à la Russie, le gouvernement fait traîner la mise en place de la Commission parlementaire d’évaluation de la politique d’exportation d’armement. (...) #Armements

    / Transferts / exportations, #Contrôle_des_exportations, #Biens_à_double_usage, #Droit_international_humanitaire, #Actions_contre_la_guerre, La (...)

    #Transferts_/_exportations #La_une
    https://www.obsarm.info/IMG/pdf/cp_france_second_exportateur_2024-02-11.pdf

  • SAINTE SOLINE, AUTOPSIE D’UN CARNAGE

    Le 25 mars 2023, une #manifestation organisée par des mouvements de défense de l’environnement à #Sainte-Soline (#Deux-Sèvres) contre les #megabassines pompant l’#eau des #nappes_phréatiques pour l’#agriculture_intensive débouche sur de véritables scènes de guerre. Avec près de 240 manifestants blessés, c’est l’une des plus sanglantes répressions de civils organisée en France depuis le 17 octobre 1961 (Voir en fin d’article le documentaire de Clarisse Feletin et Maïlys Khider).

    https://www.off-investigation.fr/sainte-solineautopsie-dun-carnage
    Vidéo :
    https://video.off-investigation.fr/w/9610c6e9-b18f-46b3-930c-ad0d839b0b17

    #scène_de_guerre #vidéo #répression

    #Sainte_Soline #carnage #méga-bassines #documentaire #film_documentaire #violences_policières #violence #Gérald_Darmanin #résistance #militarisation #confédération_paysanne #nasse
    #off_investigation #cortège #maintien_de_l'ordre #gaz_lacrymogènes #impuissance #chaos #blessés #blessures #soins #élus #grenades #LBD #quads #chaîne_d'élus #confusion #médic #SAMU #LDH #Serge_Duteuil-Graziani #secours #enquête #zone_rouge #zone_d'exclusion #urgence_vitale #ambulances #évacuation #plainte #justice #responsabilité #terrain_de_guerre #désinformation #démonstration_de_force #récit #contre-récit #mensonge #vérité #lutte #Etat #traumatisme #bassines_non_merci #condamnations #Soulèvements_de_la_Terre #plainte

    à partir de 1h 02’26 :

    Hélène Assekour, manifestante :

    « Moi ce que je voudrais par rapport à Sainte-Soline c’est qu’il y ait un peu de justice. Je ne crois pas du tout que ça va se faire dans les tribunaux, mais au moins de pouvoir un peu établir la vérité et que notre récit à nous puisse être entendu, qu’il puisse exister. Et qu’il puisse même, au fil des années, devenir le récit qui est celui de la vérité de ce qui s’est passé à Sainte-Soline ».

    • question « un peu de vérité », il y avait aussi des parlementaires en écharpe, sur place, gazé.es et menacé.es par les quads-à-LBD comme le reste du troupeau alors qu’ils protégeaient les blessés étendus au sol ; personne n’a fait de rapport ?

      Il y a eu une commission d’enquête parlementaire aussi, je crois, qui a mollement auditionné Gérald ; pas de rapport ?

  • Keith Richards célèbre Lou Reed sur “I’m Waiting for the Man”
    https://www.radiofrance.fr/fip/keith-richards-celebre-lou-reed-sur-i-m-waiting-for-the-man-1757566

    Lou Reed nous manque. Disparu en octobre 2013, l’ange noir du rock aurait fêté ses 82 ans il y a quelques jours tandis que son influence et son héritage, en solo ou avec le #Velvet_Underground, demeurent aujourd’hui encore immenses. Après avoir exhumé il y a peu une série d’archives poignantes du rockeur américain, le label américain Light in the Attic poursuit cette année son travail de mémoire en annonçant la sortie le mois prochain d’un album de reprises en forme d’hommage collectif à l’auteur de Walk on the Wild Side. Intitulée The Power Of The Heart : A Tribute To #Lou_Reed, cette célébration discographique couvre l’ensemble de la carrière du rockeur au travers de relectures inédites enregistrées par ses amis, compagnons de route, ou disciples tardifs, parmi lesquels Rosanne Cash, Lucinda Williams, Joan Jett and the Blackhearts, The Afghan Whigs, ou encore Maxim Ludwig & Angel Olsen.

    https://lightintheattic.net/products/the-power-of-the-heart-a-tribute-to-lou-reed-rsd-2024-world-exclusi
    https://loureed.bandcamp.com/track/i-m-waiting-for-the-man


    https://seenthis.net/messages/973894

  • Tren de Aragua ; The Rising Venezuelan Mafia
    https://www.crashoutmedia.com/p/tren-de-aragua-the-rising-venezuelan

    “Inside the prison, I saw AK-47s, M-16s, grenades,” Benezra says. “They dress however they like. Families can go in for 15, 30 days or even more, without anyone saying anything. They are the ones who really run the internal security. They charge a ‘vaccine’ [extortion payment] to prisoners who want better conditions.”

    Through controlling prisons, gangs then control the streets. Criminals know they could end up inside so pay dues to the bosses as a form of insurance. The prisons provide a site where leaders can meet and send orders to their barrios and towns. Rather than taking the gangsters away from crime, penitentiaries become their headquarters.

    #Venezuela

  • Khrys’presso du lundi 4 mars 2024
    https://framablog.org/2024/03/04/khryspresso-du-lundi-4-mars-2024

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • Le #vélo cargo est bien une alternative crédible à la voiture, selon une étude allemande - Transition Vélo
    https://www.transitionvelo.com/velos/velos-electriques/velos-cargos-electriques/le-velo-cargo-est-bien-une-alternative-credible-a-la-voiture-selon-u

    En bref : Une étude démontre que le fait de posséder un vélo cargo remet sérieusement en cause l’usage et la possession d’une voiture. Parmi les motivations des utilisateurs de cargos, l’écologie vient en premier, devant un choix financier ou l’absence d’intérêt pour la conduite d’une automobile.

    -- Permalien

    #mobilité

  • #Marie-Louise_Berneri
    https://www.partage-noir.fr/marie-louise-berneri-1484

    Fille aînée de Camillo et #Giovanna_Berneri, Marie-Louise Berneri est née le 1er mars 1918 à Arezzo, près de Florence. Son père, d’abord socialiste, puis devenu anar­chiste au début des années 20, avait quitté l’Italie avec sa famille en 1926 pour Paris. La maison familiale devint vite un centre d’acti­vité antifasciste et cette ambiance eut une pro­fonde influence sur Marie-Louise (et sur sa sœur Giliane). C’est là aussi qu’elle rencontre à l’âge de 13 ans le fils d’un autre anarchiste et (...) #Itinéraire_-_Agenda_2001

    / #Camillo_Berneri, Giovanna Berneri, Marie-Louise Berneri, #Vernon_Richards, #Freedom, #Grande-Bretagne, #@narlivres, Archives Autonomies , Itinéraire - Une vie, une (...)

    #Archives_Autonomies #Itinéraire
    https://archivesautonomies.org/spip.php?rubrique324
    https://freedomnews.org.uk/archive/#archive1930s
    https://www.deviantart.com/xit666/gallery

  • Kita-Sterben? Prenzlauer Berg hat zu viele Kita-Plätze – wie kann das sein?
    https://www.berliner-zeitung.de/news/kita-sterben-prenzlauer-berg-hat-zu-viele-kita-plaetze-li.2192322

    Die Gentrifizierung hat mit ihrer Eigentumswohnungisierung die soziale und Altersmischung des Stadtteils zerstört. Wo früher immer wieder neue junge Familien in die großen Mietwohnungen einzogen, bleiben die Alten heute bis zum Tod in ihrer Eigentumswohnung, dem Lebensprojekt.

    Eine unfähige städtische Schulplanung hatte bereits in den Neunzigern zu einem Angebotsmangel an Kindergarten- und Schulplätzen geführt, der von privaten Trägern im Kitabereich aufgefangen wurde. Die leiden nun an den absehbaren Überkapazitäten. Kapitalismus eben, das organisierte Chaos.

    29.2.2024 von Jule Damaske - In Prenzlauer Berg sind Hunderte Kitaplätze nicht besetzt. Einrichtungen sind sogar offen für Familien aus Brandenburg. Warum ist das so?

    Über Jahre hieß es, in Berlin gebe es zu wenig Kitaplätze. Doch in Prenzlauer Berg sind einem Bericht der Prenzlauer Berg Nachrichten zufolge aktuell rund 800 Plätze nicht belegt. „Das ist fast jeder zehnte von insgesamt 9565 Plätzen, die für 9625 anspruchsberechtigte Kinder zur Verfügung stehen“, heißt es dort. Vor zehn Jahren kämen auf 8700 Plätze noch 10.655 Kinder. Wie kann das sein?

    Schon in den 1990er Jahren wurden in Prenzlauer Berg Schulen geschlossen, weil dafür die Kinder fehlten. Zehn Jahre später kehrte sich das wieder um. Grund dafür ist dem Bericht zufolge die weniger starke Altersdurchmischung im Bezirk. Dadurch komme es zu Schwankungen im Bedarf, nicht nur bei Kitas und Schulen, sondern auch bei Altenheimen.

    Die Kindergärten Nordost in Prenzlauer Berg betreiben den Angaben zufolge 15 Kitas. Von den etwa 1900 Kitaplätzen seien zurzeit rund 300 nicht belegt. „Mittelfristig wäre auch eine Schließung von Einrichtungen, die etwa unsere baulichen und damit pädagogischen Standards nicht mehr gänzlich erfüllen, zu überprüfen“, sagt Sprecherin Judith Frenz den Prenzlauer Berg Nachrichten. Doch nicht nur die sinkende Nachfrage sei dafür verantwortlich, auch der Personalmangel trage dazu bei. Ohne Erzieherinnen und Erzieher könnten nicht alle vorgesehenen Plätze auch wirklich angeboten werden.

    Pankower Kitas offen für Familien aus anderen Berliner Bezirken und Brandenburg

    In den Einrichtungen werde deshalb ein wirtschaftlicher Verlust befürchtet. Vom großen Kita-Sterben sei der Bezirk jedoch noch weit entfernt. Aktuell würden Räume in den Einrichtungen umgebaut oder das pädagogische Profil geschärft, um so im Konkurrenzkampf um Kinder herauszustechen. Selbst kleine Kitas, die jahrelang bewusst auf Werbung verzichteten, sähen sich nun gezwungen Plakate aufzuhängen oder auf Instagram zu posten, um Nachfolger zu gewinnen.
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    Mittlerweile ist der Bezirk sogar offen für Familien aus anderen Bezirken und aus Brandenburg, sagt Pankows Bezirksstadträtin Rona Tietje (SPD) dem Artikel zufolge. Das Pankower Jugendamt helfe dabei, suchende Eltern und Kitas mit Plätzen zusammenzubringen. Doch nicht jede Familie fände automatisch einen Platz in ihrer Wunschkita. Insbesondere Eltern mit Spätschicht oder Kinder mit besonderem Unterstützungsbedarf müssten in vielen Fällen länger suchen.

    #Berlin #Prenzlauer_Berg #Kindergarten #Pädagogik #Stadtentwicklung #Verwaltung #Immobilien #Soziologie

  • RTS  : La « conduite inappropriée » de certains soldats israéliens à Gaza dénoncée

    En Israël, l’avocate générale des armées met en garde contre des comportements inacceptables de la part de certains soldats à Gaza. En effet, plusieurs d’entre eux ont affiché leurs faits d’armes sur les réseaux sociaux, notamment des actes de #vengeance.

    Dans une lettre envoyée au bureau du procureur militaire, l’avocate générale des armées fait état de « conduites inappropriées qui s’écartent des valeurs de l’armée israélienne » : des recours à la force injustifié, des #pillages, des #destructions de biens civils…

    Moqueurs, sans-gêne, destructeurs...
    Plusieurs publications de vidéos prises en territoire palestinien par des soldats israéliens ont été dénoncés. Par exemple, sur l’une d’elles, un soldat assis sur une chaise sort d’un sac posé devant lui des maillots de football de grands clubs européens.

    Sur d’autres images, un militaire montre un pendentif qu’il compte, dit-il, ramener à sa petite amie. Tandis qu’un autre joue avec une guitare trouvée dans les décombres et que d’autres forcent un petit coffre-fort.

    Dans une autre vidéo, tournée dans une papeterie du camp de réfugié de Jabaliya, au nord de la bande de Gaza, un militaire renverse un présentoir encore rempli de crayons et d’autocollants. Il jette les cahiers qui se trouvent sur les étagères de cette petite boutique alors que son camarade le filme en riant.

    Des images de soldats qui mettent le feu à des cartons de nourriture et à des packs d’eau trouvés à l’arrière d’un camion dans un entrepôt ont aussi été diffusées. Le militaire qui filme retourne la caméra vers lui et conclut tout sourire par souhaiter à tous de bonnes vacances et de joyeuses fêtes de #hanouka.

    Un préjudice stratégique
    Selon l’avocate générale de l’armée israélienne, de tels actes causent à l’Etat d’israël et à l’armée un préjudice stratégique sur la scène internationale. Certains incidents dépassent le seuil disciplinaire et franchissent le seuil pénal, poursuit Yifat Tomer Yérushalmi.

    Ces actes entachent l’image des forces de défenses israéliennes qui se sont longtemps targuées d’être l’armée la plus morale au monde.

    Dans une lettre envoyée tout récemment à ses troupes, le chef d’état-major de l’armée, Herzi Halevi, rappelle notamment aux soldats qu’il ne faut rien prendre qui ne leur appartient pas et qu’il ne faut pas filmer de vidéos de vengeance.

    Sujet radio : Charlotte Derouin
    Adaptation web : juma
    Publié vendredi à 09:57 Modifié vendredi à 09:58

    Source : https://www.rts.ch/info/dossiers/2023/guerre-entre-israel-et-le-hamas/2024/article/la-conduite-inappropriee-de-certains-soldats-israeliens-a-gaza-denoncee-28413706

    #vols #destruction #moralité #armée #militaires #exactions #soldats #violence #butin #racisme #religion

  • Jury convicts #Ibrahima_Bah : Statement from Captain Support UK

    Following a three-week trial, Ibrahima Bah, a teenager from Senegal, has been convicted by an all-white jury at Canterbury Crown Court. The jury unanimously found him guilty of facilitating illegal entry to the UK, and by a 10-2 majority of manslaughter by gross negligence. This conviction followed a previous trial in July 2023 in which the jury could not reach a verdict.

    Ibrahima’s prosecution and conviction is a violent escalation in the persecution of migrants to ‘Stop the Boats’. Observing the trial has also made it clear to us how anti-black racism pervades the criminal ‘justice’ system in this country. The verdict rested on the jury’s interpretation of generic words with shifting meanings such as ‘reasonable’, ‘significant’, and ‘minimal’. Such vagueness invites subjective prejudice, in this case anti-black racist profiling. Ibrahima, a teenage survivor, was perceived in the eyes of many jurors to be older, more mature, more responsible, more threatening, with more agency, and thus as more ‘guilty’.
    Why Ibrahima was charged

    Ibrahima was arrested in December 2022 after the dinghy he was driving across the Channel broke apart next to the fishing vessel Arcturus. Four men are known to have drowned, and up to five are still missing at sea. The court heard the names of three of them: Allaji Ibrahima Ba, 18 years old from Guinea who had travelled with Ibrahima from Libya and who Ibrahima described as his brother; Hajratullah Ahmadi, from Afghanistan; and Moussa Conate, a 15 year old from Guinea.

    The jury, judge, defense, and prosecution agreed the shipwreck and resultant deaths had multiple factors. These included the poor construction of the boat, water ingress after a time at sea, and later everyone standing up to be rescued causing the floor of the dinghy ripping apart. A report by Alarm Phone and LIMINAL points to other contributing factors, including the lack of aerial surveillance, the failure of the French to launch a search and rescue operation when first informed of the dinghy’s distress, and the skipper of Arcturus’ delay in informing Dover Coastguard of the seriousness of the wreck. Nonetheless, the Kent jury has decided to exclusively punish a black teenaged survivor.

    What the jury heard

    Many of the other survivors, all of whom claimed asylum upon reaching the UK, testified that Ibrahima saved their lives. At the moment the dinghy got into danger, Ibrahima steered it towards the fishing vessel which rescued them. He was also shown holding a rope to keep the collapsed dinghy alongside the fishing vessel while others climbed onboard. One survivor told the court that Ibrahima “was an angel”.

    The story told by witnesses not on the dinghy contrasted greatly to that of the asylum seekers who survived. Ray Strachan, the captain of the shipping vessel Arcturus offered testimony which appeared particularly prejudiced. He described Ibrahima using racist tropes – “mouthy”, not grateful enough following rescue, and as behaving very unusually. He complained about the tone in which Ibrahima asked the crew to rescue his drowning friend Allaji, who Strachan could only describe as being “dark brown. What can you say nowadays? He wasn’t white.” Strachan also has spoken out in a GB News interview against what he considers to be the “migrant taxi service” in the Channel, and volunteered to the jury, “It wasn’t my decision to take them to Dover. I wanted to take them back to France.” This begs the question of whether Strachan’s clearly anti-migrant political opinions influenced his testimony in a way which he felt would help secure Ibrahima’s conviction. It also raises the question if jury members identified more with Strachan’s retelling than the Afghans who testified through interpreters, and to what extent they shared some of his convictions.

    When Ibrahima took the stand to testify in his defense he explained that he refused to drive the rubber inflatable after he was taken to the beach and saw its size compared to the number of people expecting to travel on it. He told how smugglers, who had organised the boat and had knives and a gun, then assaulted him and forced him to drive the dinghy. The other survivors corroborated his testimony and described the boat’s driver being beaten and forced onboard.

    The prosecutor, however, sought to discredit Ibrahima, cross-examining him for one-and-a-half days. He demonised Ibrahima and insisted that he was personally responsible for the deaths because he was driving. Ibrahima’s actions, which survivors testified saved their lives, were twisted into dangerous decisions. His experiences of being forced to drive the boat under threat of death, and following assault, were disbelieved. The witness stand became the scene of another interrogation, with the prosecutor picking over the details of Ibrahima’s previous statements for hours.

    Ibrahima’s account never waivered. Yes he drove the dinghy, he didn’t want to, he was forced to, and when they got into trouble he did everything in his power to save everybody on board.
    Free Ibrahima!

    We have been supporting, and will continue to support, Ibrahima as he faces his imprisonment at the hands of the racist and unjust UK border regime.

    This is a truly shocking decision.

    We call for everybody who shares our anger to protest the unjust conviction of Ibrahima Bah and to stand in solidarity with all those incarcerated and criminalised for seeking freedom of movement.

    https://captainsupport.net/jury-convicts-ibrahima-bah-statement-from-captain-support-uk

    #scafista #scafisti #UK #Angleterre #criminalisation_de_la_migration #migrations #réfugiés #procès #justice #condamnation #négligence #Stop_the_Boats #verdict #naufrage #responsabilité #Arcturus

    • “NO SUCH THING AS JUSTICE HERE”. THE CRIMINALISATION OF PEOPLE ARRIVING TO THE UK ON ‘SMALL BOATS’

      New research shows how people arriving on small boats are being imprisoned for their ‘illegal arrival’. Among those prosecuted are people seeking asylum, victims of trafficking and torture, and children with ongoing age disputes.

      This research provides broader context surrounding the imprisonment of Ibrahima Bah, a Senegalese teenager, who has recently been found ‘guilty’ of both facilitating illegal entry and manslaughter. He was sentenced to 9 years and 6 months imprisonment on Friday 23rd February. In their statement, Captain Support UK argue that “Ibrahima’s prosecution and conviction is a violent escalation in the persecution of migrants to ‘Stop the Boats’.”

      The research

      This report, published by the Centre for Criminology at the University of Oxford and Border Criminologies, shows how people have been imprisoned for their arrival on a ‘small boat’ since the Nationality and Borders Act (2022) came into force. It details the process from sea to prison, and explains how this policy is experienced by those affected. Analysis is based on observations of over 100 hearings where people seeking asylum were prosecuted for their own illegal arrival, or for facilitating the arrival of others through steering the dinghy they travelled on. The report is informed by the detailed casework experience of Humans for Rights Network, Captain Support UK and Refugee Legal Support. It also draws on data collected through Freedom of Information requests, and research interviews with lawyers, interpreters, and people who have been criminalised for crossing the Channel on a ‘small boat’.

      Background

      In late 2018, the number of people using dinghies to reach the UK from mainland Europe began to increase. Despite Government claims, alternative ‘safe and legal routes’ for accessing protection in the UK remain inaccessible to most people. There is no visa for ‘seeking asylum’, and humanitarian routes to the UK are very restricted. For many, irregular journeys by sea have become the only way to enter the UK to seek asylum, safety, and a better life.

      Soon after the number of people arriving on small boats started to increase, the Crown Prosecution Service began to charge those identified as steering the boats with the offences of ‘illegal entry’ or ‘facilitation’. These are offences within Section 24 and Section 25 of the Immigration Act 1971. However, in 2021, a series of successful appeals overturned these prosecutions. This was on the basis that if the people on a small boat intended to claim asylum at port, there was no breach of immigration law through attempted ‘illegal entry’. The Court of Appeal found that those who arrive by small boat and claim asylum do not enter illegally, as they are granted entry as an asylum seeker.

      In response, in June 2022, the Nationality and Borders Act expanded the scope of criminal offences relating to irregular arrival to the UK. First, the offence of ‘illegal arrival’ was introduced, with a maximum sentence of 4 years. Second, the offence of ‘facilitation’ was expanded to include circumstances in which ‘gain’ was difficult to prove, and the maximum sentence was increased from 14 years to life imprisonment. During Parliamentary debates, members of both Houses of Parliament warned that this would criminalise asylum seeking to the UK.

      Who has been prosecuted since the Nationality and Borders Act (2022)?

      New data shows that in the first year of implementation (June 2022 – June 2023), 240 people arriving on small boats were charged with ‘illegal arrival’ off small boats. While anyone arriving irregularly can now be arrested for ‘illegal arrival’, this research finds that in practice those prosecuted either:

      – Have an ‘immigration history’ in the UK, including having been identified as being in the country, or having attempted to arrive previously ( for example, through simply having applied for a visa), or,
      – Are identified as steering the dinghy they travelled in as it crossed the Channel.

      49 people were also charged with ‘facilitation’ in addition to ‘illegal arrival’ after allegedly being identified as having their ‘hand on the tiller’ at some point during the journey. At least two people were charged with ‘facilitation’ for bringing their children with them on the dinghy.

      In 2022, 1 person for every 10 boats was arrested for their alleged role in steering. In 2023, this was 1 for every 7 boats. People end up being spotted with their ‘hand on the tiller’ for many reasons, including having boating experience, steering in return for discounted passage, taking it in turns, or being under duress. Despite the Government’s rhetoric, both offences target people with no role in organised criminal gangs.

      The vast majority of those convicted of both ‘illegal arrival’ and ‘facilitation’ have ongoing asylum claims. Victims of torture and trafficking, as well as children with ongoing age disputes, have also been prosecuted. Those arrested include people from nationalities with a high asylum grant rate, including people from Sudan, South Sudan, Afghanistan, Iran, Eritrea, and Syria.

      Those imprisoned are distressed and harmed by their experiences in court and prison

      This research shows how court hearings were often complicated and delayed by issues with interpreters and faulty video link technology. Bail was routinely denied without proper consideration of each individual’s circumstances. Those accused were usually advised to plead guilty to ‘illegal arrival’ at the first opportunity to benefit from sentence reductions, however, this restricted the possibility of legal challenge.

      Imprisonment caused significant psychological and physical harm, which people said was particularly acute given their experiences of displacement. The majority of those arrested are imprisoned in HMP Elmley. They frequently reported not being able to access crucial services, including medical care, interpretation services including for key documents relating to their cases, contact with their solicitors, immigration advice, as well as work and English lessons. People shared their experiences of poor living conditions, inadequate food, and routine and frequent racist remarks and abuse from prison staff as ‘foreign nationals’.

      Children with age disputes are being imprisoned for their arrival on small boats

      Research (see, for example, here) by refugee support organisations has highlighted significant flaws in the Home Office’s age assessment processes in Dover, resulting in children being aged as adults, and treated as such. One consequence of this is that children with ongoing age disputes have been charged as adults with the offences of ‘illegal arrival’ and ‘facilitation’ for their alleged role in steering boats across the Channel.

      Humans for Rights Network has identified 15 age-disputed children who were wrongly treated as adults and charged with these new offences, with 14 spending time in adult prison. This is very likely to be an undercount. The Home Office fails to collect data on how many people with ongoing age disputes are convicted. These young people have all claimed asylum, and several claim (or have been found to be) survivors of torture and/or trafficking. The majority are Sudanese or South Sudanese, who have travelled to the UK via Libya.

      Throughout the entirety of the criminal process, responsibility lay with the child at every stage to reject their ‘given’ age and reassert that they are under 18. Despite this, the Courts generally relied on the Home Office’s ‘given age’, without recognition of evidence highlighting clear flaws in these initial age enquiries. Children who maintained that they were under 18 in official legal proceedings faced substantial delays to their cases, due to the time required by the relevant local authority to carry out an age assessment, and delays to the criminal process. Due to this inaction, several children have decided to be convicted and sentenced as adults to try to avoid spending additional time in prison.

      These young people have experienced serious psychological and physical harm in adult courts and prisons, raising serious questions around the practices of the Home Office, Border Force, Ministry of Justice, magistrates and Judges, the CPS, defence lawyers, and prison staff.

      Pour télécharger le rapport :
      Full report:https://blogs.law.ox.ac.uk/sites/default/files/2024-02/No%20such%20thing%20as%20justice%20here_for%20publication.pdf
      Summary : https://blogs.law.ox.ac.uk/sites/default/files/2024-02/SUMMARY_No%20such%20thing%20as%20justice%20here_for%20publication.pd

      https://www.law.ox.ac.uk/content/news/report-launch-no-such-thing-justice-here
      #rapport

    • Ibrahima Bah was sentenced to nine years for steering a ‘death trap’ dinghy across the Channel. Was he really to blame?

      The young asylum seeker was forced into piloting the boat on which at least four people drowned. Under new ‘stop the boats’ laws, he’s responsible for their deaths – but others say he’s a victim

      In the dock at Canterbury crown court, Ibrahima Bah listened closely as his interpreter told him he was being sentenced to nine years and six months in prison.

      In December 2022, Bah had steered an inflatable dinghy full of passengers seeking asylum in the UK across the Channel from France. The boat collapsed and four people were confirmed drowned – it is thought that at least one other went overboard, but no other bodies have yet been recovered.

      Bah’s conviction – four counts of gross negligence manslaughter and one of facilitating a breach of immigration law – is the first of its kind. The Home Office put out a triumphant tweet after his sentencing, with the word “JAILED” in capital letters above his mugshot. According to the government, Bah’s sentence is proof that it is achieving one of Rishi Sunak’s main priorities: to “Stop the Boats”. But human rights campaigners are less jubilant and fear his conviction will be far from the last.

      Of the 39 passengers who survived that perilous journey in December 2022, about a dozen were lone children. Bah is a young asylum seeker himself, from Senegal. The judge determined he is now 20; his birth certificate says he is 17. Either way, he was a teenager at the time of the crossing. So how did his dream of a new life in the UK end up here, in this courtroom, being convicted of multiple counts of manslaughter?

      As with so many asylum seekers, details about Bah’s life are hazy and complicated. He has had little opportunity to speak to people since he arrived in the UK because he has been behind bars. His older sister, Hassanatou Ba, who lives in Morocco, says the whole family is devastated by his imprisonment, especially their mother. Hassanatou says her brother – the only son in the family, and the only male after the death of their father – has always been focused on helping them all.

      “He is gentle, kind and respectful, and loves his family very much,” she says. “He always wanted to take care of all of us. He knew about the difficulties in our lives and wanted our problems to stop.”

      In court, the judge, Mr Justice Johnson KC, noted that Bah’s early upbringing was difficult and that he was subjected to child labour. His initial journey from Senegal was tough, too, as he travelled to the Gambia, then Mali (where the judge acknowledged he had been subjected to forced labour), Algeria and Libya before crossing the Mediterranean to reach Europe. The risk of drowning in a flimsy and overcrowded boat in the Mediterranean is extremely high, with more than 25,000 deaths or people missing during the crossing since 2014. The Immigration Enforcement Competent Authority found there were reasonable grounds to conclude Bah was a victim of modern slavery based on some of his experiences on his journey. He told the police the boat journey was “terrifying”, and took four days and four nights in an “overcrowded and unsuitable” vessel.

      Bah and his fellow travellers were rescued and taken to Sicily. From there, he travelled to France and met Allaji Ba, 18, from Guinea, who became his friend and who he has described as his “brother”. The pair spent five months in Bordeaux before travelling to Paris, then Calais, then Dunkirk, spending three months in an area known as the Jungle – a series of small, basic encampments. The refugees who live there are frequently uprooted by French police. The vast original Calais refugee encampment – also known as the Jungle – was destroyed in October 2016, but the camps still exist, albeit in more compact and makeshift forms. Some people have tents, while others sleep in the open air, whatever the weather.

      In the Jungle, Bah met a group of smugglers. He was unable to pay the going rate of about £2,000 for a space on a dinghy to come to the UK, so instead he agreed to steer the boat in exchange for free passage. Smugglers don’t drive boats themselves: they either offer the job to someone like Bah, who can’t afford to pay for their passage; force a passenger to steer; or leave it to the group to share the task between them.

      When Bah saw how unseaworthy and overcrowded the boat was, he refused to pilot it, and in court, the judge accepted there was a degree of coercion by the smugglers. Bah said smugglers with a knife and a gun assaulted him, and other survivors corroborated his account of being beaten after refusing to board the boat.

      Once the dinghy was afloat, survivors have said the situation became increasingly terrifying. Out at sea, under a pitch black sky, the dinghy began taking in water up to knee level. It was when the passengers saw a fishing vessel, Arcturus, that catastrophe struck, with some standing up, hoping that at last they were going to be saved from what they believed was certain drowning.

      At Bah’s trial, witnesses gave evidence about his efforts to save lives by manoeuvring the stricken dinghy towards the fishing trawler, so that people could be rescued.

      One witness said that if it hadn’t been for Bah, everyone on board would have drowned. “He was trying his best,” he said. Another survivor called him an “angel” for his efforts to save lives, holding a rope so others could be hoisted to safety on the fishing vessel and putting the welfare of others first. The judge acknowledged that Bah was one of the last to leave the dinghy and tried to help others after he did so, including his friend Ba, “who tragically died before your eyes”.

      The dinghy was described by the judge as a “death trap”; he also recognised that the primary responsibility for what happened that night rests with the criminal gangs who exploit and endanger those who wish to come to the UK. He noted that Bah was “significantly less culpable” than the gangs and did not coerce other passengers or organise the trip.

      “Everything that has happened to Ibrahima since he was forced to drive the boat in 2022 has been bad luck,” says Hassanatou. “In fact, Ibrahima’s whole journey has been suffering on top of suffering.”

      Had Bah made the journey just a few months earlier, he would not be in this courtroom today. His conviction was made possible by recent changes in the law – part of the Conservative government’s clampdown on small boats. In June 2022, the Nationality and Borders Act (NABA) expanded the scope of criminal offences relating to irregular arrival to the UK. The offence of “illegal arrival” was introduced, with a maximum sentence of four years. This criminalises the act of arriving in the UK to claim asylum – and effectively makes claiming asylum impossible since, by law, you have to be physically in the country to make a claim.

      At the same time, the pre-existing offence of “facilitation” – making it possible for others to claim asylum by piloting a dinghy, for example – was expanded, with the maximum sentence increased from 14 years to life imprisonment. Hundreds of people, including children and victims of torture and smuggling, have subsequently been jailed for the first offence and a handful for the second.

      The reasons Bah and thousands of others are forced into this particularly deadly form of Russian roulette on the Channel is due to government policy not to provide safe and legal routes for those who are fleeing persecution. Last year, the government went further than NABA with the Illegal Migration Act, making any asylum claim by someone arriving by an “irregular” means, such as on a small boat, inadmissible. It is hard to overstate the significance of this change. The right to claim asylum was enshrined in the 1951 Geneva Convention after the horrors of the second world war – and has saved many lives. The UK is still signed up to that convention, but the Illegal Migration Act now makes it almost impossible to exercise that essential right, and has been strongly criticised by the UN.

      None of these legal changes are stopping the boats. Although the number of Channel crossings fell by 36% last year, much of that reduction was due to 90% fewer crossings by Albanians (there had been a spike in the numbers of Albanians coming over in 2022). Those fleeing conflict zones are still crossing in large numbers, and according to a report by the NGO Alarm Phone, measures introduced to stop the boats are likely to have increased the number of Channel drownings.

      Most asylum seekers do not seek sanctuary in the UK but instead head to the nearest safe country. Those who do come here often have family in the UK, or speak English. The decisions people make before stepping into a precarious dinghy on a beach in northern France are not a result of nuanced calculations based on the latest law to pass through parliament. “I come or I die,” one Syrian asylum seeker told me recently, when I asked about his decision to make a high-risk boat crossing after experiencing torture in his home country.

      Some lawyers who have followed Bah’s case and the broader implications of the new legislation are worried about these developments. “There is now no legal way to claim asylum,” one lawyer says.

      “The use of manslaughter in these circumstances is completely novel and demonstrates how pernicious the new laws are. It is the most vulnerable who end up piloting the boats and asylum seekers have no knowledge that the law has changed.”

      Bah’s case has also caused consternation among campaigners. “The conviction of Ibrahima Bah demonstrates a violent escalation in the prosecution of people for the way in which they arrive in the UK,” reads a joint statement from Humans for Rights Network and Refugee Legal Support, two of the organisations supporting Bah. They also point out that Bah had already spent 14 months in prison without knowing how long he would remain there, after a previous trial against him last year collapsed when the jury failed to reach a verdict.

      “He too is a survivor of the shipwreck he experienced in December 2022,” the statement continues. “Imprisonment has severely impacted his mental health and will continue to do so while he is incarcerated. Ibrahima navigated a horrific journey to the UK in the hope of finding safety here through the only means available to him and yet he has been punished for the deaths of others seeking the same thing, sanctuary.”

      The organisation Captain Support is helping 175 people who face prosecution as a result of the new laws to find legal representation. A letter-writing campaign calling for Bah to be freed has been launched.

      Hassanatou says she is struggling to comprehend the UK’s harsh laws towards people like her little brother, and she fears his age will make it particularly difficult for him to cope behind bars. He will be expected to serve two-thirds of his sentence in custody, first in a young offenders’ institute and then in an adult jail.

      In his sentencing remarks the judge said to Bah: “This is also a tragedy for you. Your dream of starting a new life in the UK is in tatters.”

      https://www.theguardian.com/uk-news/2024/mar/12/ibrahima-bah-teenage-asylum-seeker-manslaughter

  • Khrys’presso du lundi 26 février 2024
    https://framablog.org/2024/02/26/khryspresso-du-lundi-26-fevrier-2024

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • Julien Gossa : « [#VeilleESR] 904 M€ de crédits supprimés pour la MIRES (Mission Interministérielle Recherche et Enseignement Supérieur) www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORF... » — Bluesky
    https://bsky.app
    https://bsky.app/profile/michelbessiere.cpesr.fr/post/3klym4gm7cs2d

    Plus de 20% des annulations de crédit (2,2Md€) portent sur le programme Écologie, développement et mobilité durables.

    500M€ d’annulations portent sur les dépenses de personnel de l’enseignement scolaire.

    Tout un programme politique.

    Les 15 programmes les plus touchés.

    Le programme 172 (Recherche = CNRS, etc.) arrive en 6e position avec 383M€ annulés.

    Commentaire de Michel Bessière
    https://bsky.app/profile/michelbessiere.cpesr.fr/post/3klym4gm7cs2d

    Dormez braves gens ac la LPR plein de moyens et on va atteindre 3% du PIB pour la recherche
    – 80M€ sur pgm 150 (enseignement supérieur et recherche universitaire)
    – 383M€ sur pgm 172 (recherche)
    – 125M€ sur pgm 231 (vie étudiante)
    – 192M€ sur pgm 193 (recherche spatiale)

  • Taxis in Berlin zum Festpreis: Senat will Branche im Kampf gegen Uber, Bolt & Co. stärken
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/taxis-in-berlin-zum-festpreis-so-will-der-senat-die-branche-im-kamp

    Bild: Warten auf Fahrgäste: Taxis in Berlin stehen am Straßenrand. Im Januar 2024 waren rund 5600 Taxikonzessionen vergeben. 2019 waren allerdings in Berlin mehr als 8000 Taxis gemeldet.

    21.2.2024 von Peter Neumann - Verkehrssenatorin Manja Schreiner kündigt eine baldige Reform an. Fahrgäste sollten aber ein wichtiges Detail beachten. Eine weitere Maßnahme sieht der Berliner Senat skeptisch.

    Der Weg ist frei. Im Berliner Taxiverkehr soll es bald Festpreise geben. Das kündigte Verkehrssenatorin Manja Schreiner (CDU) am Mittwoch im Mobilitätsausschuss des Abgeordnetenhauses an. „Kunden schätzen es, wenn sie bei der Buchung den Preis im Vorhinein wissen“, sagte die CDU-Politikerin während einer Anhörung zur Taxibranche. „Künftig tragen sie bei Staus kein Preisrisiko mehr.“ Die Verwaltung bereite eine Verordnung vor, über die der Senat im ersten Quartal 2024 entscheiden soll.

    Wer bei Uber, Bolt und FreeNow per App eine Fahrt bucht, dem wird mitgeteilt, wie viel die Tour kostet. Taxikunden haben diese Sicherheit und Preistransparenz bislang nicht. Nun sollen Festpreise in diesem Punkt gleiche Wettbewerbsbedingungen mit der Konkurrenz herstellen. Wer dann telefonisch oder auf andere Art eine Taxifahrt bestellt, bekommt einen verbindlichen Festpreis genannt, der nachträglich nicht mehr geändert werden kann. Umleitungen oder Wartezeiten vor Ampeln schlagen nicht mehr zu Buche.

    Fahrgäste sollten aber ein wichtiges Detail beachten. Im Vergleich zum zu erwartenden Taxametertarif können sich Festpreise in einem Korridor bewegen, erklärte Manja Schreiner. Sie können um bis zu zehn Prozent darunter, aber auch bis zu 20 Prozent darüber liegen, sagte die Senatorin. Dies hatte die Taxibranche vorgeschlagen. Rechtlich sehe er hier keine Probleme, kommentierte der Anwalt Simon Kase von der Kanzlei BBG und Partner. „Die Unsicherheit darüber, wie hoch der Fahrpreis ist, kann ein Wettbewerbsnachteil für die Taxibranche sein“, so der Jurist. Was der Senat plane, sei eine „sinnvolle Maßnahme“.


    Taxis warten in Berlin auf Fahrgäste. Die Umsätze sind um rund 40 Prozent gesunken, sagt die Branche. Paulus Ponizak/Berliner Zeitung

    Auch von der Taxi-Konkurrenz kam eine positive Reaktion. In München würden bereits Festpreise angeboten, rief Christoph Weigler vom Fahrdienstvermittler Uber am Mittwoch im Ausschuss in Erinnerung. Bislang entfielen nur ein bis zwei Prozent der Fahrten, die bei Uber in München gebucht wurden, auf Taxis. Fünf Monate nach Einführung der Festpreise waren es bereits rund zehn Prozent. Der Deutschland-Chef des amerikanischen Unternehmens begrüßte, dass es auch im Berliner Taxiverkehr Preistransparenz geben soll. Allerdings sollte der Tarifkorridor weiter gezogen werden, forderte Weigler.

    Der Raum 311 des Abgeordnetenhauses war gut gefüllt; fast drei Stunden waren für die Debatte über die Zukunft des Berliner Taxiverkehrs vorgesehen. „So eine große Anhörung zu diesem Thema hat es noch nicht gegeben“, sagte der Linke-Verkehrspolitiker Kristian Ronneburg. Doch die Anwesenden waren sich darin einig, dass es dafür einen Anlass gibt. Die Lage der Branche sei prekär, die Funktionsfähigkeit ernsthaft in Gefahr, bekräftigte Hermann Waldner, Vizepräsident des Bundesverbands Taxi und Mietwagen sowie erster Vorsitzender des Verbands Taxi Berlin.

    Zum Festpreis durch Berlin: So soll Taxifahren wieder attraktiv werden

    „Viele Taxiunternehmer, die noch nicht aufgegeben haben, ringen um ihre Existenz“, sagte Waldner. Klar sei, dass weitere Taxibetreiber bald pleitegehen werden. Das Gewerbe steckt in einer Dauerkrise, und dazu hat nach Einschätzung von Branchenvertretern vor allem die Konkurrenz durch Mietwagen beigetragen, die weitgehend unreguliert gegen sie antrete. Die Zentrale Taxi Berlin habe 2015 rund acht Millionen Aufträge vermittelt, 2023 waren es nur noch rund fünf Millionen. Die Umsätze seien auf rund 60 Prozent des Durchschnitts 2016 bis 2019 gesunken, erklärte Waldner.

    Im Januar dieses Jahres waren nur noch 5605 Taxis in Berlin zugelassen, die 1764 Taxiunternehmen gehörten. Zum Vergleich: 2019 waren mehr als 8000 Konzessionen vergeben. Die Konkurrenz sei immer stärker geworden, hieß es. Mietwagen mit Fahrer: Unter dieser Bezeichnung firmieren die Fahrdienste, die bei Plattformen wie Uber, Bolt und FreeNow gebucht werden können. Deren Subunternehmen, in Berlin waren es im Januar 691, betrieben im selben Monat 4498 Mietwagen. Weil aber viele Fahrzeuge ohne Konzession betrieben werden und auch Mietwagen aus dem Umland unterwegs sind, sei die Zahl mit 6500 bis 7000 schon jetzt höher als der Taxibestand in Berlin, rechnete Waldner vor.
    Branchenvertreter warnt: Das Berliner Taxigewerbe könnte bald sterben

    Der SPD-Abgeordnete Tino Schopf sprach am Mittwoch von „2000 illegal fahrenden Mietwagen, deren Fahrgäste nicht versichert sind. Dabei ist das Perfide, dass die Fahrgäste das nicht wissen.“ Der Verkehrspolitiker sieht in dem Bereich „organisierte Kriminalität“ und „mafiöse Strukturen, die weit ins Bundesgebiet hineinreichen“. Die Fahrer bekämen meist Hungerlöhne und müssten ihre Einkünfte mit Geld vom Staat aufbessern, um über die Runden zu kommen. Schopf: „Die Koalition hat das Ziel, den Sumpf auszutrocknen – und dass geltendem Recht zur Geltung verholfen wird.“

    Schopf sowie andere Teilnehmer der Anhörung forderten den Senat auf, weitere Möglichkeiten auszuschöpfen, die das Personenbeförderungsgesetz seit seiner Novellierung bietet. So wurde die Forderung bekräftigt, den neuen Paragrafen 51a zu nutzen und Mindesttarife für den Mietwagenverkehr festzusetzen. „Sonst haben wir keine Chance. Sonst wird das Berliner Taxigewerbe absterben“, warnte Waldner.

    Unterstützung bekamen die Befürworter von einem Unternehmen, das Mietwagenfahrten vermittelt. „Mindesttarife würden Mindestlöhne sichern und Sozialdumping verhindern“, sagte Alexander Mönch von FreeNow. „Während der Taxitarif behördlich festgelegt und verbindlich ist, kann der Mietwagentarif frei festgelegt werden. In diesem Verdrängungswettbewerb hat das Taxigewerbe keine Chance zu konkurrieren. Das Mindestentgelt würde die Wettbewerbsfähigkeit wiederherstellen“, hatte das Unternehmen bereits im vergangenen Herbst betont.
    Senat prüft Mindesttarife für Mietwagenverkehr – aber schon seit langem

    Der Senat habe sich vorgenommen, wie von der Koalition gefordert, den gesetzlichen Gestaltungsspielraum auszuschöpfen, sagte Manja Schreiner. „Dem fühle ich mich verpflichtet“, bekräftigte die Verkehrssenatorin. „Wir arbeiten mit Hochdruck an der Umsetzung.“ Die Senatorin blieb aber auch am Mittwoch konkrete Angaben dazu schuldig, ob und wann Berlin Mindestbeförderungsentgelte für Uber, Bolt und Co einführt. Mindesttarife könnten „Dumpingpreise wahrscheinlich verhindern“, sagte Simon Kase, der den Senat berät. Doch das Thema sei rechtlich deutlich komplexer als Festpreise, die nach dem Grundsatz der Verhältnismäßigkeit als das mildeste Mittel gelten. Er befürchte Klagen.

    Der Kreis Lörrach im Südwesten hat die Möglichkeit, die der novellierte Paragraf 51a des Personenbeförderungsgesetzes eröffnet, genutzt und Mindesttarife fixiert. „Bei der Allgemeinverfügung geht es um die berechtigten Interessen der Unternehmen, eine strukturelle Gleichheit mit Anbietern aus dem Ausland herzustellen“, teilte Torben Pahl vom Landratsamt Lörrach der Berliner Zeitung mit. Weil Lörrach in einer Grenzregion liegt, die Schweiz und Frankreich nicht weit entfernt sind, sei der „Landkreis in einer besonderen Situation, was Anbieter aus dem Ausland angeht“, erklärte Pahl. „Es gab weder Widersprüche noch Klagen gegen die Allgemeinverfügung.“

    Leipzig setzte Mindesttarife für Mietwagen fest – doch dagegen wird geklagt

    In Leipzig ist das anders. Die sächsische Großstadt sorgte im September 2021 in der Branche für Aufsehen, als sie eine Verwaltungsrichtlinie beschloss, die für den Gelegenheitsverkehr mit Mietwagen Mindestentgelte festsetzte. Ziel sei es, zu den Tarifen der Leipziger Verkehrsbetriebe einen Abstand zu garantieren. Der Nahverkehr als Teil der Daseinsvorsorge soll nicht gefährdet werden. „Weiterhin wird eine Kannibalisierung des Taxiverkehrs als Ergänzung des ÖPNV verhindert beziehungsweise begrenzt“, heißt es weiter. Doch wie berichtet liegt eine Klage gegen die Richtlinie vor. Eine Gerichtsentscheidung gebe es bislang nicht, ließ das Ordnungsamt ausrichten.

    Der Europäische Gerichtshof hat sich bereits mit dem Mietwagenverkehr befasst – 2023 im Barcelona-Urteil. Mietwagenunternehmer hatten für Barcelona und Umgebung zusätzliche Genehmigungen beantragt. Allerdings hatte die zuständige Behörde auf ein Dreißigstel der Taxizahl beschränkt. Die Mietwagenbetreiber zogen vor Gericht, der Fall landete in Luxemburg. Der Europäische Gerichtshof urteilte, dass rein wirtschaftliche Gründe nicht ausreichen dürfen, wenn es um Taxidienste geht. Deshalb dürften keine Mindesttarife für Mietwagen eingeführt werden, argumentieren Uber und Bolt. Juristen entgegnen, dass es auf die Begründung ankäme. Nach dem Urteil wären Maßnahmen möglich, wenn sie „öffentlichen Verkehrsinteressen“ entsprächen.

    Bei Plattformen wie Uber können via App Mietwagen mit Chauffeur gebucht werden. Die Fahrpreise liegen meist deutlich unter den Taxitarifen. Die Autos gehören nicht Uber, sondern Subunternehmen.

    Uber lehnt Mindesttarife für den Mietwagenverkehr ab. Behörden, die den Paragrafen 51a anwenden, handelten „unzweifelhaft rechtswidrig“, hieß es. Die Regelung beschränke die Niederlassungsfreiheit, da „eine Tarifregulierung das Angebot von Mietwagendiensten in Deutschland weniger attraktiv machen kann“, stellten Gutachter fest. Eine Preisregulierung wäre möglich, wenn dies dem Schutz der öffentlichen Verkehrsinteressen diene. Doch diese Interessen könnten heute nicht mehr mit dem Schutz des Taxiwesens gleichgesetzt werden. Auch Bolt sieht Mindesttarife kritisch – und behält sich rechtliche Schritte vor, wenn Kommunen solche Tarife festlegen.

    Alexander Mönch von FreeNow stellte bei der Anhörung am Mittwoch infrage, ob das Geschäftsmodell bei taxiähnlichen Mietwagen wirtschaftlich tragfähig sei. „Selbst bei dauerhafter maximaler Auslastung und niedrigen Vermittlungsgebühren entsteht Betreibern ein Verlust“, rechnete Mönch vor. Christoph Weigler von Uber wies dies zurück. „Das Mietwagenmodell rechnet sich“, sagte er. Weigler bezifferte die „Servicegebühr“, die der Fahrzeugbetreiber Uber für die Vermittlung zahlen muss, auf durchschnittlich 15 Prozent.

    #Berlin #Taxi #Politik #Abgeordnetenhaus #Verkehtsausschuß

  • Stralauer Spreetunnel: Berlins unsichtbares Denkmal
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/stralauer-spreetunnel-berlins-unsichtbares-denkmal-li.2187721


    Achtung, hier kommt die Tunnelbahn! Von 1899 bis 1932 verkehrte die Straßenbahnlinie 82 unter der Spree zwischen der Stralauer Halbinsel und dem Treptower Park. Die Postkarte illustriert eine Fahrt um 1905

    21.2.2024 von Michael Brettin - Der Straßenbahntunnel, der Stralau mit Treptow verband, wurde vor 125 Jahren fertiggestellt – trotz vieler Probleme. Er war der erste seiner Art in Deutschland.

    Wer sich auf die Halbinsel Stralau begibt und der Straße Alt-Stralau folgt, an der sehr viele neuere Wohnhäuser stehen, kommt geradezu auf die Tunnelstraße. An ihr steht die Stralauer Dorfkirche, deren Geschichte auf das Jahr 1464 zurückgeht, was sie zum ältesten Bauwerk im Bezirk Friedrichshain-Kreuzberg macht.

    Auf Höhe des neben der Kirche liegenden Friedhofs gabelt sich die Tunnelstraße. Zwischen den beiden Fahrbahnen streckt sich eine annähernd 100 Meter lange, gut fünf Meter breite Rasenfläche, auf der sich an diesem Februartag die ersten Krokusse blicken lassen. Eine durchgängige Mulde prägt dieses Fleckchen. Damit erinnert es an ein vor langer Zeit ausgetrocknetes Bachbett.

    An dieser Stelle befand sich einst die Ein- beziehungsweise Ausfahrt des Spreetunnels, der Stralau mit Alt-Treptow verband. Von ihm erzählt eine Infotafel, die neben der Busendhaltestelle Tunnelstraße steht. Vor 125 Jahren, am 21. Februar 1899, wurde dieser Tunnel fertiggestellt. Als erster seiner Art in Deutschland.

    Die Geschichte des Spreetunnels beginnt genau genommen 1891. In jenem Jahr unterbreitet das Unternehmen A.E.G. der Stadt Berlin Vorschläge zum Bau einer Untergrundbahn. Die Stadtoberen haben jedoch Bedenken: Ist der märkische Boden dafür überhaupt geeignet? Berlin steht ja im Gegensatz zu London, wo die weltweit erste U-Bahn-Linie 1863 ihren Betrieb aufnahm, nur aus „Buddelkistensand“.
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    Doch die A.E.G. lässt sich nicht beirren. Auf ihrem Firmengelände an der Voltastraße in Wedding stellt sie 1895 einen Versuchstunnel fertig. Eine kleine Bahn mit Elektromotor und Oberleitung fährt durch den 295 Meter langen Tunnel, der zwei Betriebsgelände miteinander verbindet. Noch heute gibt es ihn. Der Verein Berliner Unterwelten bietet Führungen an.


    Die Tunnelbahn sollte zur Gewerbeausstellung im Treptower Park 1896 in Betrieb gehen. Bei der Ausstellungseröffnung war sie aber noch im Bau. Die Karte zeigt ihren Verlauf.

    Die Berliner Gewerbeausstellung im Treptower Park 1896 ist ein willkommener Anlass für die A.E.G., beweisen zu wollen, dass Bahnen auch unter der deutschen Hauptstadt verkehren können. Mit dem Unternehmen Phillip Holzmann & Co. und der Deutschen Bank gründet die A.E.G. die Gesellschaft für den Bau von Untergrundbahnen. Ihr Auftrag: einen Tunnel unter der Spree zu bauen, von der Stralauer Halbinsel zum Treptower Park, und ihn – so will es die Gemeinde Stralau – an das Straßenbahnnetz anzuschließen.

    Den Bau sollen die Ingenieure Carl Schwebel und Wilhelm Lauter mittels eines sogenannten Schildvortriebs verwirklichen, einem in England entwickelten, in Deutschland noch nicht angewandten Verfahren. Schwebel und Lauter verantworteten auch den Bau des AEG-Tunnels.

    Wie das Schildvortriebsverfahren funktioniert, beschreibt die Illustrierte Die Gartenlaube in ihrem Heft 11 im Jahr 1899: „Von der Stelle an, wo das Eindringen von Grundwasser möglich ist, werden die Tunnel als Rohre aus Eisen oder Stahl ausgebildet. Der vordere Teil derselben ist der sogenannte ,Schild‘. Das Rohr ist hier in einige Kammern abgeteilt, die nach hinten durch luftdicht schließende Thüren abgegrenzt sind. In diesen Kammern verrichten die Arbeiter das Ausgraben des Erdreichs. Damit sie vom Eindringen des Grundwassers gesichert bleiben, wird in die Kammern komprimierte Luft eingetrieben, die alles Wasser der Umgebung fortdrängt. Das gelockerte Erdreich räumt man durch die dem Schilde zunächst liegende Kammer bergmännisch fort. Nachdem dies geschehen ist, wird das Tunnelrohr durch hydraulische Maschinen vorwärts geschoben.“

    Die Tunnelröhre besteht aus einer ein Zentimeter dicken Eisenwand und hat einen Durchmesser von vier Metern; sie ist aus Ringen zusammengefügt, die aus jeweils neun gusseisernen Platten geformt sind, und ist, um sie vor Rost zu schützen, mit Zementmörtel ummantelt, innen mit einer zwölf und außen mit einer acht Zentimeter dicken Schicht.

    Eine kompliziertere Stelle hätten sich die Tunnelbauer allerdings nicht aussuchen können.
    Dietmar Arnold, Vorsitzender des Vereins Berliner Unterwelten

    An der Verlängerten Dorfstraße (heute Tunnelstraße) auf Stralau und an der Treptower Chaussee (heute Puschkinallee) im Treptower Park sind die Rampen für die Ein- beziehungsweise Ausfahrt geplant. „Eine kompliziertere Stelle hätten sich die Tunnelbauer allerdings nicht aussuchen können“, sagt Dietmar Arnold, Vorsitzender des Vereins Berliner Unterwelten, „ständig nachrutschender Schwemmsand verzögerte die Bauarbeiten ungemein.“ Zur Eröffnung der Gewerbeausstellung am 1. Mai 1896 stand erst ein rund 160 Meter langer Tunnelabschnitt.

    „Nach dreijährigem Kampfe mit vielen Hindernissen ist der Tunnel unter der Oberspree im Osten Berlins zwischen Stralau und Treptow glücklich, ohne einen einzigen schweren Unfall, fertiggestellt worden“, berichtet Die Gartenlaube in ihrem bereits erwähnten Heft 11 aus dem Jahr 1899. Das Problem mit dem „gänzlich ungeeigneten Baugrund“ habe dazu geführt, „daß das vordere Tunnelende zu mehreren Malen gleichsam ins offene Wasser auslief und die Ersäufung des ganzen Tunnels zu befürchten war“.

    Doch nicht nur das habe die Tunnelbauer in Verzug gebracht, merkt die Illustrierte an. Es sei zu berücksichtigen, „daß die Arbeiten mehrmals monatelange, ja halbjährige Unterbrechungen erlitten, die nicht auf technische Hindernisse, sondern auf den langsamen Fortschritt der Verhandlungen mit den in Frage kommenden Verwaltungen zurückzuführen waren“.

    Der Tunnel an sich ist 454 Meter, mit seinen beiden Rampen 582 Meter lang; er kreuzt die an einer Stelle 195 Meter breite Spree annähernd rechtwinklig. Sein Scheitelpunkt liegt in zwölf Meter Tiefe unter dem mittleren Wasserspiegel; zeitgenössische Postkarten werben mit „15 Meter unter der Spree“.

    Das Bauwerk verschlang 1,7 Millionen Goldmark, das entspricht der heutigen Kaufkraft von fast 16,8 Millionen Euro.

    Am 18. Dezember 1899 nimmt die im selben Jahr gegründete Berliner Ostbahnen GmbH, eine Tochtergesellschaft der bereits erwähnten Gesellschaft für den Bau von Untergrundbahnen, den Spreetunnel in den Straßenbahnbetrieb. Die Linie 82 verkehrt zwischen Schlesischem Bahnhof (heute Ostbahnhof) und Treptow, Platz am Spreetunnel; sie wird bis 1908 nach Schöneweide und 1909 nach Cöpenick erweitert.


    Knüppel an den Mann! Zur Fahrt durch den Tunnel war nur der Wagen mit dem Signalstab („Knüppel“) befugt. Der Stab wurde bei der Ausfahrt eingeholt und bei der Einfahrt vergeben. Daher nannte der Volksmund die Linie 82 „Knüppelbahn“.

    Die Trasse im Tunnel ist eingleisig, es ist daher nur eine Fahrt je Richtung möglich. Um Zusammenstöße zu vermeiden, ist nur der Fahrer, der einen Signalstab – im Volksmund „Knüppel“ – an seinem Straßenbahnwagen hängen hat, zur etwa zweiminütigen Durchfahrt befugt. Eine Betriebsaufsichtsperson an der Ausfahrt nimmt den Stab entgegen und gibt ihn wieder ab. Daher nennen die Berliner die Linie 82 „Knüppelbahn“.

    Der Spreetunnel bilde nicht nur „eine Sehenswürdigkeit“, heißt es in einer 1899 veröffentlichten Schrift; er verschaffe der Stadt „einen nicht unbeträchtlichen Vermögensvorteil, da sie vertraglich berechtigt ist, schon nach 36 Jahren von diesem mit grossen Kosten hergestellten Bauwerk unentgeltlich Besitz zu ergreifen“.

    Der U-Bahn-Bau nimmt in Berlin Fahrt auf, allerdings angetrieben von Siemens – das Unternehmen unterbreitete bereits um das Jahr 1880 Pläne für eine Hochbahn –, seinem Mitgesellschafter Halske und der Deutschen Bank. Am 18. Februar 1902 nimmt die erste U-Bahn-Linie für den öffentlichen Nahverkehr in Deutschland ihren Betrieb auf, vom Stralauer Tor (ab 1924 Osthafen, 1945 durch einen Bombentreffer zerstört) bis zur Warschauer Brücke und zum Zoologischen Garten erweitert.

    Die Rechnung, mit dem Spreetunnel Geld zu machen, geht nicht auf. Als die Stadt ihn 1935 übernehmen kann, ist der Straßenbahnverkehr durch den Spreetunnel bereits seit drei Jahren eingestellt. Die Verantwortlichen mussten zunehmend Bauschäden feststellen. Immer wieder sickerte Wasser ein. Die voraussichtlichen Sanierungskosten standen in keinem Verhältnis zum Nutzen. In jedem einzelnen Straßenbahnwagen saßen schließlich nur noch zwei bis drei Fahrgäste. Der Tunnel wurde daher am 15. Februar 1932 für den Bahnbetrieb geschlossen. Damit endete seine Geschichte allerdings nicht.

    Für die Olympischen Spiele 1936 erfährt der Spreetunnel eine Instandsetzung als Fußgängerpassage. Anfang 1945 werden in die Röhre Trennwände mit Türen eingebaut sowie Bänke und Stühle aufgestellt, damit sie als Luftschutzraum dienen kann. Vermutlich infolge eines Bombentreffers füllt sich der Tunnel teilweise mit Wasser. Er wird drei Jahre später sicherheitshalber ganz geflutet. Und 1968 werden beide Zufahrtsrampen und einige Tunnelmeter auf der Treptower Seite abgetragen, die Überreste zugeschüttet.


    Der Spreetunnel zwischen Stralau und Alt-Treptow diente ab Anfang 1945 als Luftschutzraum. Als er im Dezember 1996 leer gepumpt wurde, fanden sich unter anderem etliche Parkbänke. Die Idee, ihn wieder nutzbar zu machen, wurde fallen gelassen. Andreas Kopietz

    In den 1990er-Jahren plant die Entwicklungsgesellschaft Rummelsburger Bucht, auf Stralau Hunderte neue Wohnungen zu bauen. Sie erwägt, den Spreetunnel wieder nutzbar zu machen. Für die Untersuchung des Bauwerks beauftragt sie 1996 den Verein Berliner Unterwelten. Der macht sich im Dezember ans Werk. Zuerst wird ein Teil des Rasenstreifens auf der Tunnelstraße aufgebrochen – jener Teil, welcher der Spree am nächsten liegt – und der Zugang zur Röhre freigelegt. Ein Taucher der Feuerwehr begibt sich anschließend hinein. Nachdem er sich versichert hat, dass das Bauwerk betreten werden kann, wird der Tunnel leer gepumpt.

    „Im Inneren des Bauwerks sah es noch erstaunlich gut aus“, erinnert sich Dietmar Arnold, der Vorsitzende der Berliner Unterwelten, an die Begehung des Tunnels. „Der vordere Teil befand sich sogar in einem relativ sauberen Zustand, die Spuren der Luftschutzanlage waren noch gut zu erkennen.“ Die Parkbänke aus Ausflugslokalen, die für die Schutzsuchenden bereitgestellt worden waren, standen immer noch da. Und: „An den Decken gab es noch Reste der Isolatoren. Hier verlief einst die Oberleitung, ein letzter Hinweis auf den ehemals durchfahrenden Straßenbahnverkehr.“

    Als hätten die Schutzsuchenden die Tunnelröhre überhastet verlassen – so stellt sich die Szenerie dar: Auf den Bänken stehen oder liegen Tassen und Teller, Flaschen und Kannen sowie ein Wasserbehälter des Reichsluftfahrtministeriums; zu sehen sind auch ein Kartenspiel und ein Kamm sowie ein Paar Damenschuhe.

    Das Vorhaben, den Spreetunnel instand zu setzen, gab die Entwicklungsgesellschaft Rummelsburger Bucht aus Kostengründen auf. Sobald die Pumpe abgestellt war, füllte sich der Tunnel wieder mit Wasser. Der Zugang wurde wieder verschlossen.
    Eine Wand und eine Frage

    Auch im Treptower Park erinnert eine Infotafel an den Spreetunnel. Sie steht an der Puschkinallee, nahe dem Parkplatz am Gasthaus Zenner, an einem Kiesweg am Sommerblumengarten. Hier befand sich die Rampe zur Ein- beziehungsweise Ausfahrt. Bei der Erneuerung des Gartens im Jahr 2016 wurden deren Überreste teilweise freigelegt. Und anschließend wieder zugeschüttet.

    Vorbei an den vier Springbrunnen der Gartenanlage sind es nur ein paar Meter zum Ufer der Spree mit Blick auf Stralau. Sanft wellt sich das Wasser. Und dunkel. Irgendwo da unten liegt es, das nicht sichtbare Denkmal der Berliner Verkehrsgeschichte.

    Der Verein Berliner Unterwelten kann sich vorstellen, den Spreetunnel zumindest teilweise aus der Versenkung zu holen. „Man könnte“, regt Dietmar Arnold an, „die Tunnelrampen wieder ausgraben und ,archäologische Fenster‘ einsetzen.“

    Bei ihrer Erkundung des Spreetunnels 1996 stießen die Besucher nach etwa 80 Metern in Richtung Treptow erst auf den Hinweis „Notausgang“ und dann auf eine türlose Trennwand aus Ziegelsteinen. Ein Notausgang ist aber Arnold zufolge in keinem Bauplan verzeichnet. Was verbirgt sich hinter dieser Mauer?

    #Berlin #Stralau #Tunnelstraße #Spree #Geschichte #Verkehr #Straßenbahn

  • Khrys’presso du lundi 19 février 2024
    https://framablog.org/2024/02/19/khryspresso-du-lundi-19-fevrier-2024

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

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  • DeepOcean Secures Major Subsea Contract with ExxonMobil in #Guyana
    https://gcaptain.com/deepocean-secures-major-subsea-contract-with-exxonmobil-in-guyana


    The multi-purpose support vessel (MPSV) Siem Day.
    Photo courtesy DeepOcean

    Norway-based DeepOcean, a leading provider of ocean services, has secured a major contract from ExxonMobil Guyana for subsea construction and inspection, maintenance, and repair (IMR) services off the coast of Guyana, South America.

    The contract marks DeepOcean’s first substantial contract with ExxonMobil in the Americas and its debut in the burgeoning Guyana offshore market.
    […]
    DeepOcean will utilize the Siem Day multi-purpose support vessel (MPSV), which is outfitted with a 250-tonne crane and state-of-the-art technology and features that allow for efficient and safe operation even in challenging offshore environments. The vessel’s large deck space, advanced dynamic positioning systems, and dual ROV spreads guarantee superior performance and maximum productivity.

    The #Stabroek_Block is hailed as one of the world’s most promising oil and gas discoveries, with estimated recoverable resources exceeding eight billion oil-equivalent barrels to date.

    pas tout-à-fait sans rapport avec la réactivation des prétentions du #Venezuela sur l’#Esequibo