• Pénurie de bouteille en verre : les viticulteurs dans une impasse
    https://www.europe1.fr/economie/penurie-de-bouteille-en-verre-les-viticulteurs-dans-une-impasse-4110237

    Les vignerons font face à une crise du verre sans précédent, mais aussi d’étiquettes, de cartons ou encore de capsules. Jusqu’à deux mois de retard dans les livraisons de bouteilles en verre. Une nouvelle conséquence de la guerre en Ukraine. De nombreux viticulteurs se retrouvent avec des cuves pleines sans pouvoir les vider.

    C’est la conséquence du refus de réinstaurer le principe de la consigne des bouteilles en verre, bien plus efficace que celle du recyclage.

    • La consigne des bouteilles en verre, plus écologique que le recyclage ? | Durabl Pro
      https://www.durabl.fr/la-consigne-des-bouteilles-en-verre-plus-ecologique-que-le-recyclage

      Ses avantages écologiques par rapport au recyclage du verre ?
      Bocal consigné

      D’après une étude de 2009, une bouteille en verre consignée et réutilisée 20 fois peut émettre jusqu’à 80% de moins de gaz à effet de serre (à condition qu’elle soit lavée dans un rayon de moins de 300 km) qu’une bouteille à usage unique. La bouteille consignée vit alors plusieurs cycles, elle va passer en station de lavage avant retour chez le producteur. Et ainsi de suite.

      En comparaison avec le recyclage du verre, la fabrication d’une bouteille consomme 15 fois plus d’énergie qu’un unique lavage de celle-ci ! Un chiffre important lorsque nous mettons en parallèle les deux méthodes.

      Le réemploi des bouteilles chez les professionnels, dans les cafés, hôtels, et restaurants est donc une action importante. Elle permet d’éviter près de 500 000 tonnes de déchets en France chaque année. Cette pratique permet également environ 75% d’économie d’énergie et 30% d’économie d’eau.

      (…)

      Il faut savoir que la France ne trie et ne recycle en moyenne que 60% de ses bouteilles, contre 90% pour notre voisin l’Allemagne, où la consigne est ancrée dans les usages quotidiens.

      Mais sur les 60% de bouteilles recyclées, combien la France en lave, 3% ? elles sont surtout fusionnées pour refabriquer des bouteilles (quand c’est possible) et je ne trouve pas d’étude à part le fait que l’Allemagne c’est 90% en consigne !! le site « Les services du Centre Européen de la Consommation »
      https://www.cec-zev.eu/thematiques/environnement/la-consigne-en-allemagne
      qui indique

      Grâce à un système de consigne bien établi et appliqué uniformément dans toute l’Allemagne, le taux de retour des bouteilles réutilisables et à usage unique s’élèverait aujourd’hui autour de 90%.

      #france #gaspillage #énergie_grise #bouteilles #vins #verre

    • J’ai vu que les Berlinois paresseux laissent leurs bouteilles dans la rue (une fois bues) car ils savent que d’autres viendront récupérer le verre et l’échanger contre monnaie trébuchante. #consigne

      Je suis bien d’accord que c’est une aberration totale, j’ai vu des centres de lavage fermer parce que soit-disant ça n’était pas économique en eau. Mais la fusion du verre c’st bon pour les industriels et le nucléaire et ça demande autant de compétences en ingénierie que d’effectuer un recyclage de l’eau.

  • Veronika Bennholdt-Thomsen et Maria Mies, Subsistance et économie mondialisée, 1997
    https://sniadecki.wordpress.com/2022/11/18/perspective-subsistance-fr

    Nouvelle traduction et publication aux éditions La lenteur de « La perspective de subsistance » renommé en français en « La Subsistance, une perspective écoféministe ». Ici l’intro du livre.

    Si nous rapportons cette histoire, c’est parce qu’elle montre en quelques mots la différence de perspective entre Hillary Clinton et les villageoises de Maishahati. Leur perspective est une perspective d’en bas, qui se fonde sur ce qui est nécessaire à la vie ; c’est une perspective de la subsistance.

    Si l’on observe le monde depuis cette perspective, toutes les choses et toutes les relations nous apparaissent sous un autre jour. Il en va de même pour ce qui fonde une vie bonne : pour Mme Clinton et la plupart de ses sœurs riches au Nord, une vie bonne ne peut se fonder que sur beaucoup d’argent et une abondance de marchandises et de produits luxueux que l’on ne trouve que dans les pays du Nord ou au sein des classes les plus aisées dans le reste du monde. Pour elles, tous les autres modes de vie relèvent de la misère.

    La rencontre à Maishahati a sans doute été un choc culturel pour Mme Clinton. Elle s’attendait probablement à ce que les villageoises lui demandent humblement un peu d’argent pour l’un ou l’autre de leurs projets et qu’elles la regardent avec admiration, elle, l’épouse de l’homme le plus puissant au monde, venue du pays le plus riche du monde.

    Mais ce n’est pas ce qui s’est produit. Les femmes de Maishahati n’ont pas adopté la perspective par en haut de Hillary Clinton. Par leurs questions, elles montrent qu’elles se font une idée différente de la richesse et de la pauvreté. Elles n’ont pas besoin de supermarchés remplis de marchandises importées. Elles nous montrent l’absurdité de nos conceptions de la pauvreté, de la richesse et de ce qui fait une vie bonne.

    […]

    La crise actuelle nous permet aussi de comprendre que toutes les affirmations au sujet de la stabilité du système économique en place ne tiennent pas. Il ne peut plus nous échapper que l’accumulation des richesses entre les mains d’un nombre toujours réduit de personnes s’accompagne d’une pauvreté et d’un chômage toujours plus importants, qui touche de plus en plus de gens, même dans le Nord.

    Mais si on regarde le monde depuis le point de vue des villageoises du Bangladesh (et elles représentent la majorité des habitants de la planète), alors on se retrouve immunisé contre cette tendance au désespoir apocalyptique. Ce désespoir est le luxe d’une minorité choyée dans le Nord, qui empêche surtout cette minorité de comprendre que ses privilèges sont fondés sur le pillage et qu’une vie bonne pour tous (ce que nous appelons la subsistance) ne nécessite pas de tels privilèges. Les gens qui partagent cette orientation vers la subsistance n’attendent pas de grands changements sociaux de la part des institutions situées en dehors et au-dessus d’eux. Ils sont conscients de leur propre pouvoir et sont capables d’agir à la fois individuellement et au sein d’une communauté.

    #subsistance #écoféminisme #féminisme #femmes #sud #anti-industriel #économie #Éditions_La_Lenteur #Marie_Mies #Veronika_Bennholdt-Thomsen

    • Une présentation de l’ouvrage par l’autrice aura lieu le 29 mars à 19h au 83 du boulevard Ornano à Paris. Je ne site pas le nom du lieu car je ne cautionne pas son mode de fonctionnement, mais la rencontre me semble tout de même à signaler.

  • Betriebsprüfungen der Berliner Finanzverwaltung dämmen Steuerbetrug im Bargeldverkehr ein – Glücksspiel-, Taxi- und Gastronomiebranche im Fokus
    https://www.berlin.de/sen/finanzen/presse/pressemitteilungen/pressemitteilung.879079.php

    Pressemitteilung vom 27.12.2019

    Der Schwerpunkt der Berliner Finanzverwaltung bei den steuerlichen Überprüfungen lag 2019 auf der Glückspiel-, Taxi- und Gastronomiebranche. Bis zum 30. November dieses Jahres wurden knapp 50 Prozent der Aufsteller von Spielautomaten kontrolliert. Im Taxigewerbe sind bisher 6.776 Fahrzeuge überprüft worden. Im Gast-ronomiebereich wurden insgesamt 2.245 Betriebsprüfungen abgeschlossen – mit einem Mehrergebnis von rund 50,4 Mio. Euro.

    Finanzsenator Dr. Matthias Kollatz: „Der Bargeldverkehr ist grundsätzlich anfällig für Steuerbetrug. Das belegen unsere systematischen Steuerprüfungen. Wir haben unsere Kontrollen daher intensiviert, insbesondere im Glückspiel-, Taxi- und Gastronomiegewerbe. Die Gleichmäßigkeit der Besteuerung hat für uns oberste Priorität. Zur Wahrheit gehört aber auch, dass die Kassenpflicht manipulationssicherer und ein wesentlich bedeutenderer Beitrag zur Steuergerechtigkeit wäre.“

    Ein Kontrollschwerpunkt in diesem Jahr war das Glücksspiel. Der Finanzverwaltung sind 1.022 Aufsteller von Spielautomaten in Berlin bekannt. An 2.566 Standorten sind 9.771 Geldgewinnspielgeräte aufgestellt. An knapp 1.150 Standorten wurden mehr als 4.100 Geräte überprüft. Das sind rund 42 Prozent der erfassten Spielautomaten. Bei 57 Fällen wurde zu einer Umsatzsteuer-Sonderprüfung übergegangen. Gegen 29 Unternehmer wurde ein Strafverfahren eingeleitet.

    Bisher sind rund 479 Kassen-Nachschauen nach § 146b Abgabenordnung erfolgt. Nach Fallgruppen kategorisiert sind bereits 359. Dabei ergibt sich folgende Verteilung:

    Fallgruppen I und II: keine Beanstandungen bei 25 Fällen (7 %) bzw. geringfügige Beanstandungen bei 94 Fällen (26 %),
    Fallgruppe III: erhebliche Beanstandungen bei 206 Fällen (57 %),
    Fallgruppe IV: Straffall bei 34 Fällen (10 %).

    „Die Zahlen zeigen, dass es richtig ist, verstärkt Spielhallen und Spielautomaten in den Blick zu nehmen. Die Außenprüferinnen und Außerprüfer sind vor Ort präsent und stellen fest, ob die Geräte manipuliert oder die Buchführungen mangelhaft sind. Unser Ziel sind nicht möglichst viele Sonderprüfungen oder Betriebsprüfungen. Vielmehr disziplinieren wir die Branche, vorab auf gesetzeskonforme Geschäftsprozesse umzustellen“, so Dr. Kollatz.

    Auf Basis der ermittelten Daten wird nun festgelegt, ob beispielsweise noch eine anschließende Umsatzsteuer-Sonderprüfung oder Betriebsprüfung notwendig ist. Dieses mehrstufige Prüfverfahren ist äußerst aufwendig. Der Fokus lag in diesem Jahr zunächst auf der Datenerfassung. Parallel zur Überprüfung der restlichen Spielautomaten werden nun die ermittelten Daten für weitere Prüfmaßnahmen herangezogen. Belastbare Zahlen zum Mehrergebnis liegen vor, sobald die Umsatzsteuer-Sonderprüfungen oder Betriebsprüfungen abgeschlossen sein werden.

    Verstärkte Kontrollen auch im Taxigewerbe und in der Gastronomiebranche
    Seit Januar 2017 ist die Vergabe einer Taxikonzession an die Nutzung eines Fis-kaltaxameters geknüpft. Somit gelten strengere Anforderungen für die Aufbewah-rung digitaler Unterlagen bei Bargeschäften. Gemeinsam mit den Berliner Finanz-ämtern hat die Senatsfinanzverwaltung seitdem die ordnungsgemäße Ausstattung der Taxen verstärkt kontrolliert.

    Unternehmen, die im Rahmen der ersten Kontrollen auffällig waren, wurden ein zweites Mal überprüft. Bisher gab es 5.279 Erstprüfungen und 1.497 Zweitprüfun-gen. Waren bei den Erstprüfungen mit 2.827 Fahrzeugen lediglich etwas mehr als die Hälfte ordnungsgemäß ausgestattet, sind es bei den Zweitprüfungen mit 1.186 Fahrzeugen bereits mehr als Dreiviertel gewesen. Bei 38 Unternehmen wurde bereits der Konzessionsentzug beim Landesamt für Bürger- und Ordnungsangelegenheiten angeregt. Gegen 16 Unternehmer wurden steuerliche Strafverfahren eingeleitet.

    Für die Kontrolle der Gastronomiebranche steht der Finanzverwaltung seit dem 1. Januar 2018 das rechtliche Instrument der Kassen-Nachschau zur Verfügung. Die gespeicherten Geldbewegungen der Kasse werden kontrolliert und die verzeichneten Einnahmen und Ausgaben auf Plausibilität geprüft. Gibt es keine elektronische Kasse, erfolgt ein sogenannter Kassensturz. Gemäß § 146b Abgabenordnung sind im Gastronomiesektor insgesamt 907 Nachschauen erfolgt. Diese liefern wichtige Erkenntnisse für die anschließende Betriebsprüfung. Zu Gastronomiebetrieben zählen neben Gaststätten und Restaurants auch Imbissstuben, Cafés, Eissalons, Caterer oder Schankwirtschaften. 2.245 Betriebsprüfungen nach § 193 Abgabenordnung sind bereits erfolgt. Davon wurden 1.861 bereits ausgewertet. Das Mehrergebnis beträgt rund 50,4 Mio. Euro.
    „Das ist außerordentlich hoch. Allein aus den zehn Fällen mit dem höchsten Mehrergebnis resultierten 2019 rund 5,5 Mio. Euro. Umso wichtiger ist es, konsequent gegen Steuerhinterziehung und -vermeidung vorzugehen und dafür Sorge zu tragen, dass der Anteil auffälliger Gastronomiebetriebe langfristig sinkt“, so Dr. Kollatz.

    In 84 Fällen hat die Senatsverwaltung für Finanzen bereits Strafbeziehungsweise Bußgeldverfahren eingeleitet.

    Die Außenprüfungsdienste der Berliner Steuerverwaltung werden auch 2020 verstärkt Branchen kontrollieren, in denen vorzugsweise mit Bargeld bezahlt wird.

    Pressestelle

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    Frederik Bombosch
    Pressesprecher

    Sachbearbeiterin

    Presse- und Öffentlichkeitsarbeit
    Christina von Gratkowski
    Online-Kommunikation

    Julia Schabos

    #Berlin #Verwaltung #Schwarzarbeit

  • Her mit den Autos! Die kranke Debatte um die Berliner Friedrichstraße
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/her-mit-den-autos-die-kranke-debatte-um-die-berliner-friedrichstras

    27.10.2022 von Peter Neumann - Einzelhändler, die ihr eigenes Viertel schlechtreden. Politiker, die auf Zwangsbeglückung setzen. Richtige Maßnahmen am falschen Ort – das musste scheitern. 

    Als alles begann: Im August 2020 wurde der rund 500 Meter langer Abschnitt zwischen der Leipziger und der Französischen Straße autofrei. Doch die Flaniermeile geriet in die Kritik.Berliner Zeitung/Carsten Koall

    Wohnungsknappheit. Marode Schulen. Müll in Parks. Berlin hat viele Probleme. Doch die Stadt streitet sich lieber über eine unbedeutende Straße in Mitte. Für diejenigen, die dort ihr Geld verdienen, mag sie sicher wichtig sein. Für den Großteil der Berliner spielt die Friedrichstraße, abgesehen vom dort gelegenen Bahnhof, im Alltag keine Rolle.

    Wenn es allerdings um Mobilitätspolitik geht, ist der Abschnitt rund um die Galeries Lafayette, der seit August 2020 von Autos nicht mehr befahren werden darf, so etwas wie Ground Zero. Um ihn tobt eine Diskussion, bei der man erleben kann, wie laut Argumente detonieren, wenn privaten Kraftfahrzeugen auch nur ein paar Meterchen Straße genommen werden. Nachdem das Verwaltungsgericht die derzeitige Sperrung vor Kurzem für rechtswidrig erklärt hat, hat der Streit wieder an Aggressivität gewonnen.

    Eine positive Vision fehlt, es ist alles nur negativ

    Auf der einen Seite stehen manche Anlieger, Verbände, die Opposition. Es ist ihr gutes Recht, die Sperrung und die notgedrungen provisorische Gestaltung zu kritisieren. Auch, als Betroffene dagegen zu klagen. Aber manchmal verwundert es schon, mit wie viel Verve Anlieger, Verbände und die Opposition diesen Bereich seit Jahren zu einer Art Elendsgebiet stilisieren, in dem der Handel einen von den Grünen verursachten Tod stirbt und Radfahrer Fußgänger jagen. Wer die tristen Darstellungen liest, dürfte erst recht keine Lust mehr haben, dort vorbeizuschauen – und vielleicht sogar einzukaufen.

    Dabei bestand vor der Sperrung dazu kaum Anlass. Außer, man brauchte eine neue Rolex, einen neuen Montblanc. Schon vorher waren Leerstandsrate und Fluktuation hoch, schon vorher fühlten Berliner nicht das Bedürfnis, in der Friedrichstraße zu bummeln, geschweige denn abends auszugehen. Der Investorentraum von einem Ost-Kudamm, einer Luxusmeile mit hohen Mieten, aber ohne Aufenthaltsqualität ging nicht auf. Mit Sitzbänken, Vitrinen und 65 Bäumen in Kübeln hat der Bezirk versucht, die Tristesse zu kaschieren - und bekam diese Bemühungen dann auch noch um die Ohren gehauen.

    Zu Recht beschweren sich Anrainer darüber, dass der Autoverkehr in den Parallelstraßen zugenommen habe. Das hat auch die Klägerin, die nun Recht bekam, mit guten Gründen moniert. Allerdings bleiben die Kritiker eine Erklärung dafür schuldig, was genau für den Einzelhandel in der Friedrichstraße besser werden soll, wenn auch sie wieder auf ganzer Länge von Autos befahren werden darf und wenn Fußgänger auch dort wie früher auf die schmalen Gehwege verwiesen werden. Eine positive Vision fehlt, es ist alles nur negativ.

    ... und so war es vorher: die Friedrichstraße mit den Galeries Lafayette (hinten links) im Oktober 2018.

    Verfechter der Mobilitätswende erleben erneut, wie schwierig ihr Anliegen umzusetzen ist und wie sehr sie vom Straßenverkehrsrecht behindert werden. Politiker und Verwaltungsleute müssen erkennen, dass Zwangsbeglückung nicht funktioniert. Wenn die Anrainer die Flaniermeile partout nicht wollen, ist es eben so. Dann lasst wieder Autos lärmen und stauen! Mit der Bedingung, dass das auf absehbare Zeit so bleibt, damit die Staatskasse von Kosten für weitere Verschönerungsversuche verschont wird.

    Auch wenn Details zu kritisieren sind: Was in der Friedrichstraße geschehen ist, waren die richtigen Maßnahmen am falschen Ort. Das nächste Mal sollte der Senat eine berlinweite Ausschreibung starten. Wer will, dass sein Kiezzentrum schöner wird? Das Viertel, das die breiteste Unterstützung nachweist, bekommt zehn Millionen Euro.

    #Berlin #Mitte #Friedrichstraße #Verkehr #Stadtentwicklung

  • Deux ans en #tout-doux-cratie : bilan et perspectives
    https://framablog.org/2022/10/24/deux-ans-en-tout-doux-cratie-bilan-et-perspectives

    Ce billet est la seconde et dernière partie d’une enquête sur la gouvernance associative. La première partie est par ici : https://framablog.org/2022/09/05/de-la-bureau-cratie-a-la-tout-doux-cratie-refonder-la-gouvernance-associa TL ;DR : #Picasoft est un chaton majoritairement étudiant actif depuis 2016. Comme nombre d’associations 1901, il fonctionnait avec un bureau … Lire la suite­­

    #Claviers_invités #Internet_et_société #Libr'en_Vrac #administratif #assemblée_générale #Association #bienveillance #bureaucratie #chatons #décision #Democratie #étudiant⋅e⋅s #Koweit #reine_du_muguet #statuts #todo-cratie #verrou #vote

  • „Das ist schon gravierend“: So ernst sind die Schäden im U-Bahn-Tunnel unterm Alexanderplatz
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/das-ist-schon-gravierend-so-ernst-ist-der-tunnelschaden-unterm-alex

    18.10.2022 von Peter Neumann - Weil der Tunnel der U-Bahn-Linie U2 unter dem Alexanderplatz in Bewegung geraten ist, wurde ein Gleis gesperrt. Weiterhin können die Berliner Verkehrsbetriebe (BVG) nicht sagen, wie lange die Fahrgäste noch umsteigen und einen Pendelverkehr nutzen müssen. Doch nun zeichnet sich das Konzept ab, wie das unterirdische Bauwerk in der City Ost saniert werden könnte. Bekannt wurde auch, dass erste Schäden schon im August beobachtet wurden – und dass sie ein schwerwiegendes Ausmaß erreicht haben. „Das ist nicht zu unterschätzen“, sagte Ephraim Gothe (SPD), Baustadtrat von Mitte.

    Wie berichtet hat sich das Tunnelbauwerk der U2 im Bereich des U-Bahnhofs Alexanderplatz um fast vier Zentimeter gesetzt. Das bedeutet, dass sich die Betonkonstruktion gesenkt hat. Nach den Informationen, die Gothe vorliegen, bewegte sie sich bisher je nach Bereich um 3,1 bis 3,6 Zentimeter nach unten. „Das ist schon gravierend“, lautet die Einschätzung des Stadtrats, der Bauingenieur ist.
    Beton ohne Stahl auf der historischen „Centrumslinie“

    Für das Bauwerk bedeutet eine Setzung fast immer eine Belastung. In diesem Fall gilt das in besonderem Maße, denn der Beton ist unbewehrt. Das bedeutet, dass kein Stahl eingebaut wurde, der die Stabilität normalerweise erhöht. Der Abschnitt der damaligen „Centrumslinie“, der vom Spittelmarkt zum Alexanderplatz und zum Teil als Hochbahn weiter zum heutigen U-Bahnhof Schönhauser Allee führt, ist 1913 in Betrieb gegangen.

    Risse in den Tunnelwänden des Bahnhofs der U2 zeigen, wie stark das Bauwerk durch die Setzung belastet ist. Ende August seien sie erstmals gesichtet worden, berichtete der Stadtrat. Daraufhin habe die BVG mit der Covivio Kontakt aufgenommen, so Gothe. Das Immobilienunternehmen will nebenan ein Hochhaus mit Zwillingstürmen errichten, die über 33 ober- und drei unterirdische Geschosse verfügen. Dazu wurde neben dem Hotel Park Inn, in unmittelbarer Nachbarschaft des U-Bahnhofs, eine Baugrube ausgehoben, die mehrere Stockwerke tief in den Boden reicht. Weil sie im Wesentlichen fertig ist, gebe es dort inzwischen keine Arbeiten mehr, wie die Covivio bestätigte.
    Nicht mehr lange – und die BVG hätte den U-Bahn-Tunnel sperren müssen

    Dem Vernehmen nach hielt man es bei der BVG noch Anfang Oktober für möglich, den Verkehr auf der stark belasteten U-Bahn-Linie U2 in vollem Umfang aufrechtzuerhalten. Doch nach einem erneuten Gespräch mit Covivio zogen die Bauexperten des Landesunternehmens am 7. Oktober die Reißleine. „Da die Messung für das Gleis in Richtung Pankow sich nun einem Grenzwert nähert und Sicherheit oberste Priorität hat, lässt die BVG die U2 im Bereich des Alexanderplatzes bis auf weiteres vorsichtshalber nur noch auf dem gegenüberliegenden Gleis fahren“, teilte die BVG damals am Abend mit.

    Der U-Bahnhof Alexanderplatz ist mit drei Linien ein stark genutzter Knotenpunkt im Osten Berlins. Auf diesem Bild von 2020 ist die U2 nach Pankow zu sehen. Dieses Gleis ist seit dem Abend des 7. Oktober gesperrt.

    Der U-Bahnhof Alexanderplatz ist mit drei Linien ein stark genutzter Knotenpunkt im Osten Berlins. Auf diesem Bild von 2020 ist die U2 nach Pankow zu sehen. Dieses Gleis ist seit dem Abend des 7. Oktober gesperrt.imago/Rolf Zöllner

    Der Grenzwert für die Setzung, um den es geht, beläuft sich auf vier Zentimeter. Tiefer darf das Bauwerk nicht absacken. „Wenn der Wert überschritten wird, wäre die Vollsperrung des Tunnelabschnitts die zwangsläufige Folge“, sagte ein Insider.
    Zu früh an die Öffentlichkeit gegangen? Covivio schreibt kritischen Brief

    Um den Betrieb auf der U2 wenigstens zum Teil aufrechtzuerhalten und den Fahrgästen zusätzliche Unannehmlichkeiten zu ersparen, habe die BVG „verantwortungsvoll reagiert“. Das sieht manch einer bei der Covivio aber offenbar anders. Nach Informationen der Berliner Zeitung hat das Unternehmen vor Kurzem einen Brief geschrieben. Dass die BVG an die Öffentlichkeit gegangen sei, bevor der Grenzwert erreicht wurde, stößt darin auf ein negatives Echo.

    Auf der Arbeitsebene stellt Bezirksstadtrat Gothe eine gute Zusammenarbeit zwischen der BVG und den Hochhausbauern fest. Dies und die Tatsache, dass in der Baugrube nicht mehr gearbeitet werde, habe ihn und die Verwaltung dazu bewogen, von der behördlichen Anordnung eines Baustopps abzusehen. „Das ist nicht erforderlich“, sagte der Bezirkspolitiker. „Wichtig ist, dass an der Lösung der Probleme gearbeitet wird.“

    Das sei offensichtlich der Fall, so Gothe. Es gebe bereits ein erstes Konzept, wie das Tunnelbauwerk stabilisiert werden könnte. Seitlich von der Baugrube aus könnte Beton unter die Konstruktion injiziert werden, erfuhr der Ingenieur. Dadurch würde der U-Bahnhof wieder eine feste Grundlage bekommen.
    BVG kündigt für Ende dieser Woche neue Informationen an

    Wie lange die Teilsperrung andauere und Fahrgäste auf den nur alle 15 Minuten verkehrenden Pendelverkehr ausweichen müssten, teilt die BVG weiterhin nicht mit. Doch das Unternehmen möchte in absehbarer Zeit ein Update geben. „Die Prüfungen an den Anlagen der U2 am Alexanderplatz dauern an“, teilte BVG-Sprecher Nils Kremmin mit. „Wir gehen davon aus, dass erste Zwischenergebnisse Ende dieser Woche vorliegen. Sollte es Änderungen im Betriebskonzept geben, werden wir umgehend informieren.“

    Covivio-Sprecherin Barbara Lipka bekräftigte den Zeitplan. „Wir hatten letzte Woche eingeschätzt, dass es rund 14 Tage dauern würde, bis erste Ergebnisse der gemeinsamen Untersuchungen seitens BVG, Bauunternehmen und Covivio vorliegen würden“, teilte sie am Dienstag mit.

    Die Linke fordert, Hochhausbauten in der Nähe von U-Bahn-Tunneln zu stoppen. „Alle Hochhausbauten im Umfeld von genutzten U-Bahn-Tunneln müssen sofort angehalten werden“, verlangten die Abgeordneten Katalin Gennburg und Kristian Ronneburg. „Bevor diese weitergeplant oder weitergebaut werden können, müssen die Projekte hinsichtlich ihrer Risiken für den U-Bahn-Verkehr erneut untersucht und neu bewertet werden. Das gilt beispielsweise für weitere Planungen am Alexanderplatz und am Hermannplatz.“
    Investor Hines zahlt BVG 30 Millionen Euro für die Tunnelertüchtigung

    Am Alexanderplatz will auch das US-Unternehmen Hines ein Hochhaus errichten. Es nahm die Debatte zum Anlass, um darauf hinzuweisen, dass man sich mit der BVG 2021 auf ein Verfahren zum Schutz des darunter liegenden Tunnels der U5 geeinigt habe. 30 Millionen Euro würden investiert. „Zur bestmöglichen Optimierung der Tunnel-Sicherheit wird der alte Beton der Tunnelwand teilweise abgetragen und eine neue dichte, lasttragende Innenschale gesetzt werden. Das Verfahren kommt im Ergebnis einem Neubau des rund 90 Jahre alten U-Bahn-Tunnels gleich“, so Hines. Eine längere durchgehende Unterbrechung des U-Bahn-Verkehrs sei dafür nicht erforderlich, hieß es bei der BVG. Sperrungen in der Nacht oder am Wochenende reichten aus.

    #Berlin #Mitte #Alexanderplatz #Verkehr #ÖPNV #U-Bahn #Immobilien #Hochhaus #Privatisierung

  • Free Now, Uber, Google Maps: Verdächtig kurze Wartezeiten und Quatsch auf Karten - DER SPIEGEL
    https://www.spiegel.de/netzwelt/web/free-now-uber-google-maps-verdaechtig-kurze-wartezeiten-und-quatsch-auf-kart

    19.10.2022 von Markus Böhm - Es nervt, Free Now und Google Maps! Mit vermeintlich exakten Prognosen und auf dem Bildschirm herumkurvenden Miniautos wird vor der Buchung einer Fahrt suggeriert, der nächste freie Wagen sei fast schon vor Ort. Schön wär’s.

    Free Now beschäftigt keine eigenen Fahrer, die App vermittelt aber in 150 Städten bequem Taxifahrten sowie sogenannte Rides, bei denen einen Fahrer in »Mietwagen« kutschieren. Für jemanden wie mich, ohne eigenes Auto, ist so etwas manchmal praktisch. An meinem Wohnort #Düsseldorf lockt Free Now zudem vielerorts mit Anfahrtszeiten von nur einer oder zwei Minuten. Dazu überschüttet einen die App mit Gutscheinen, die manche Ride-Trips grenzwertig günstig machen.


    Typische Wartezeitprognose vor dem Buchen: Meinen Erfahrungen nach ist eher kein Auto in nur einer Minute da

    Doch so sehr sich Free Now mit seinen Prognosen und Preisen anbiedert: Ich traue der App nicht mehr. Schon mehrfach stand ich vor dem Klick auf »Jetzt bestellen« samt Jacke im Flur, weil der Wagen ja angeblich in einer Minute da sein sollte. Wurde aber ein Fahrer gefunden, wurden als reale Wartezeit schon mal zehn Minuten angegeben. Oder ich erfuhr erst nach einer fünfminütigen Suche, dass derzeit kein Fahrer verfügbar sei. So viel zu »in 1 Min«.

    Wäre es nicht ehrlicher, wenn Free Now einfach eine Zeitspanne wie »circa 1 bis 10 Minuten« in dem Raum stellt und nicht nur ein Idealszenario, getarnt als sehr exakte Prognose? Ich wohne übrigens in einer Einbahnstraße: Damit es ein Fahrer »in 1 Min« legal hierhin schafft, müsste er während ich buche schon fast in meine Straße einbiegen.


    Service oder Trick? Dauert die Ride-Suche mal länger, schlägt einem Free Now häufig eine teurere Taxibestellung vor

    Fiktive Fahrzeuge auf echten Karten

    Womit wir bei der zweiten Sache wären, die ich für Kundenveräppelung halte. Sind Sie schon mal über die Routenplanung in Googles populärer Karten-App Maps bei einer Taxi- oder Ride-Verbindung gelandet? Auf der entsprechenden Unterseite erscheint eine Karte, auf der Wägelchen herumfahren, in Düsseldorf entweder im Look von Free Now oder von Sixt Ride. Welchen Eindruck das vermittelt, ist klar: Der nächste Fahrer ist nur eine Straßenecke entfernt.


    Fiktive Autos auf Google-Maps: Da, wo sich die Wägelchen befinden, sind in Wahrheit keine Taxis

    Auch hier ist der Realitätscheck ernüchternd und teils mit einem Blick aus dem Fenster erledigt: Da, wo Google Mitfahrfahrzeuge verortet, sind keine unterwegs. »Die Autos auf der Karte sind eine Visualisierung der Wartezeit, die auf den Informationen des Mitfahrpartners basiert«, bestätigt mir Google diese Beobachtung. »Je kürzer die geschätzte Wartezeit für eine Fahrt ist, desto mehr ›Autos‹ zeigen wir auf der Karte.«


    Eine Google-Maps-Karte mit Free-Now-Wagen: Nur eine optische Spielerei


    Neuer Look mit einem Klick: So sieht dieselbe Google-Karte mit Sixt-Ride-Wagen aus

    Umher kurvende Autos, die nicht als fiktiv gekennzeichnet sind? Ich finde diese Google-Idee eher irreführend als hilfreich. Allein ist der Digitalkonzern mit dem Ansatz aber nicht: Auch in der App von Uber fahren bis zum Abschicken einer Bestellung fleißig Digitalwagen durch die Gegend. Autos, die es so nicht gibt.


    Ein Uber-Wagen, der zufällig direkt am potenziellen Kunden vorbeifährt? Pustekuchen

    »Die Symbole in der App zeigen keine realen Autos«, teilt mir Uber dazu mit, »sondern verweisen nur auf eine allgemeine Verfügbarkeitssituation.« Da die Fahrtanfragen an den Betriebssitz der Mietwagenpartner vermittelt und dort angenommen würden, sei es »für den Fahrgast vollkommen irrelevant, wo sich ein Auto gerade befindet«. Ach so? Aber dann könnte man die Fake-Autos doch eigentlich weglassen.

    Als Kontrast ist der Ride-Bereich der Sixt-App interessant: Bei der dortigen Karte kommen tatsächlich Live-Standortdaten realer Fahrzeuge zum Einsatz. Wie Sixt mitteilt, werden die Angaben, die von Partnerfirmen stammen, alle paar Sekunden aktualisiert. Sicher sein, dass das nächstgelegene Fahrzeug sogleich vor der eigenen Tür auftaucht, darf man sich aber auch bei Sixt Ride nicht: Ein Taxi zum Beispiel, das ich dank der App-Karte tatsächlich am angezeigten Ort vorfand, stand gerade leer – der Fahrer war kurz im Supermarkt.


    Ride-Wagenanzeige in der Sixt-App: Schon mal einen Haufen Autos gesehen? Die Angaben basieren in diesem Fall aber tatsächlich auf Live-Standortdaten

    Eine Branche, die es schwer hat

    Grundsätzlich ist es kein Wunder, dass derzeit nicht jederzeit und überall Taxis verfügbar sind. Trotz einer wieder gestiegenen Nachfrage fehlen in vielen Städten Fahrer , und die aus Sicht vieler Anbieter dringend notwendigen Preisanpassungen ziehen sich . Ein Ride-Fahrer erzählte mir, er habe neulich einen Auftrag angenommen, bei dem der Kunde 17 Minuten entfernt stand. Dieser jedoch habe ihn angerufen und geschimpft, ihm sei ein Wagen in zwei Minuten versprochen worden. Ich ahne, wo solche Missverständnisse herkommen.

    Von Free Now heißt es, die vor der Bestellung prognostizierte Ankunftszeit berücksichtige mehrere Aspekte, »zum Beispiel wie viele freie Fahrer sich insgesamt in der Nähe befinden.« Auch die Wahrscheinlichkeit für eine Annahme der Tour spiele eine Rolle. Free Now habe als Tourenvermittler jedoch keinen Einfluss darauf, welcher Fahrer diese Fahrt tatsächlich auch annehme. Im September allerdings seien etwa 60 Prozent aller Fahrer nach einer oder zwei Minuten am Abholort gewesen, wenn in der App zuvor eine Ankunftszeit von einer oder zwei Minuten angezeigt worden war.

    Ich selbst habe zuletzt testweise acht Bestellungen protokolliert, bei denen es »in 1 Min« oder »in 2 Min« losgehen sollte: Zweimal wurde gar kein Fahrer gefunden, einmal kam das Auto nach dreieinhalb Minuten, zweimal in sechs Minuten, einmal in acht, einmal in zehn, einmal in zwölf Minuten.

    All das sind – abgesehen von den nicht vermittelten Fahrten – keine fatalen Verspätungen. Aber, wie formulierte es mal James Brooke , Chief Product Officer von Free Now: »Stellen Sie sich vor, Sie sind ein Fahrgast und ein Taxiunternehmen würde Ihnen sagen: ›Oh ja, Ihr Auto ist in fünf Minuten da.‹ Und dann dauert es 8, 9, 10 Minuten. Nach diesen 5 Minuten schaut man auf die Uhr und kann den Fahrer immer noch auf der Karte sehen, aber man fängt natürlich an, die Genauigkeit infrage zu stellen und verliert das Vertrauen in die App.«

    Zweimal habe ich bei Free Now übrigens noch Wagen mit der Vorabprognose »in 3 Min« gebucht. Einer davon kam zeitlich passend – und einer war binnen zwei Minuten da. So herum ist mir die Überraschung deutlich lieber.

    ...

    Ich wünsche Ihnen eine gute Restwoche,

    Markus Böhm

    #Taxi #Uber #FreeNow #Vermittlung

  • Riesen-Panne bei BVG: 29-Euro-Ticket für Oktober bis Freitag gratis verfügbar
    https://prod.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/riesen-ueberraschung-bei-bvg-29-euro-ticket-fuer-oktober-umson

    29.09.2022 | aktualisiert am 30.09.2022 - 08:10 Uhr - Die BVG hat einen Link zum neuen 29-Euro-Ticket auf ihrer Website veröffentlicht. Dort kann es jeder kostenlos herunterladen – das soll sich jetzt ändern.

    Am Mittwochabend wurde bekannt, dass es bei der BVG im Rahmen der Einführung des neuen 29-Euro-Tickets zu einem gravierenden Fehler gekommen ist.

    Da die Chipkarte für den Fahrschein erst im November verfügbar ist, sind Tickets für den Oktober über einen Link auf der BVG-Website frei abrufbar. Aus dem 29-Euro-Ticket wurde damit ein 0-Euro-Ticket.

    Zuerst war das Schlupfloch dem Journalisten Sebastian Pertsch aufgefallen. Er erkannte, dass man als Käufer des Tickets für den kurz bevorstehenden Oktober noch keine haptische Chipkarte erhält – sondern lediglich einen ausgedruckten Zettelbeleg, auf dem man seinen Namen selbst eintragen muss.

    Die FAX-Abteilung der #BVG am Digitalisierungslimit in Kooperation mit dem #BerlinerSenat: Wer ein Abo wegen des #29EuroTicket​s bestellt, bekommt die Chipkarte erst zum November. Das Oktober-Ticket ist frei abrufbar. Ja, genau. Für alle. Ungeschützt → https://t.co/bBKCr6V3E9 pic.twitter.com/MivW8hx6kV
    — Sebastian Pertsch (@Pertsch) September 28, 2022

    Den Zettel konnte man so oft ausdrucken, wie man wollte. Pertsch weist jedoch darauf hin, dass Personen, die sich den Zettel ausdrucken und damit BVG fahren, wohl eine Straftat begehen, dass sie sich Leistungen erschleichen – auch wenn Kontrolleure das nicht überprüfen können. Mittlerweile hat die BVG auf das Schlupfloch reagiert. Sie begründete die Lücke mit der kurzen Vorlaufzeit, die es bei der Einführung gegeben hatte.

    1/6 Das Verfahren mit einer Interims-Fahrberechtigung ist der kurzen Vorlaufzeit geschuldet. Nur so ist es möglich, dass alle schon zum 1. Oktober mit dem neuen 29-Euro-Abo unterwegs sein können.
    — Weil wir dich lieben (@BVG_Kampagne) September 29, 2022

    Bestellbestätigung muss künftig mit Ticket vorgezeigt werden

    Die BVG teilte gegenüber T-Online mit, dass sie gegen das Erschleichen von Leistungen mit dem Gratis-Ticket vorgehen wolle. So solle es zukünftig erforderlich sein, eine Bestellbestätigung neben dem Lichtbildausweis zum Ticket vorzuweisen. Auf diesem Weg will der Verkehrsbetrieb sicherstellen, dass niemand mit einem 0-Euro-Ticket unterwegs ist, das er über einen Twitter-Link erhalten hat. Darauf wolle die BVG künftig auch in ihren FAQ hinweisen.

    Eine weitere Änderung soll es am Freitag geben: Im Bestellvorgang für das Ticket soll von nun an automatisch der Name des Ticketkäufers auf den Fahrschein gedruckt werden. So kann es nur der echte Käufer nutzen.

    Außerdem entschuldigte die BVG sich bei ihren ehrlichen Kunden. Diese sollten schon bald über die Änderungen informiert werden. Das Papierticket sei notwendig gewesen, um den kurzfristigen Start des 29-Euro-Tickets im Oktober überhaupt möglich zu machen. Man habe es gemeinsam mit dem Verkehrsbund Berlin-Brandenburg (VBB) entwickelt.

    #Berlin #Verkehr #ÖPNV

  • A France Culture, un « système de violence et de soumission » venu d’en haut – Libération
    https://www.liberation.fr/economie/medias/a-france-culture-un-systeme-de-violence-et-de-soumission-venu-den-haut-20

    « Verticalité dictatoriale », « mise en insécurité », « humiliations »... Plusieurs collaborateurs de la radio publique dénoncent le management de Sandrine Treiner et de certains de ses adjoints. Quatre signalements ont été effectués pour harcèlement moral depuis le début de l’année.

    « Le malaise est énorme. » Lorsque l’on interroge cette figure d’antenne de France Culture sur l’ambiance qui règne au sein de la chaîne des idées et du savoir de Radio France, le constat fuse, brutal : « Les gens sont maltraités, essorés et tristes. Et d’autant plus car c’est une chaîne où l’on vient par ambition intellectuelle et humaniste, et dont certains repartent dégoûtés », explique cette voix bien connue, qui ne souhaite pas être nommée. Et de poursuivre : « A l’antenne, on prône l’horizontalité et la délibération ; en interne, on a affaire à une verticalité dictatoriale, avec une omni-directrice. »

    #media #France_Culture

  • Mit dem Ridepooling-Service „Muva“ will die BVG Barrierefreiheit und Komfort bieten – aber nicht die Fehler des „BerlKönigs“ machen.
    https://taz.de/Neue-Rufbusse-in-Berlin/!5881817

    15. 9. 2022, von Claudius Prößer - Ist der Fahrstuhl zur U-Bahn mal wieder kaputt, und Sie sind auf ihn angewiesen? Kein Problem: Spätestens in 10 Minuten kommt ein kleiner schwarzer Minibus angerollt, der Sie zum nächsten Bahnhof bringt, wo der Lift funktioniert. Das zumindest ist das Versprechen des neuen Ridepooling-Angebots der BVG, das am heutigen Donnerstag unter dem Namen „Muva“ den Betrieb aufnimmt.

    „Muva“ klingt wie die berlinische Version von „Mover“ (schließlich werden hier Menschen bewegt) und kommt wohl aus derselben Wortschmiede wie die App „Jelbi“, die auf die Markenfarbe der BVG anspielt. Wie auch immer, das Versprechen, das die BVG mit dem neuen Service macht, ist alles andere als trivial: Es geht um einen enormen Schritt in Richtung Barrierefreiheit, aber auch Komfort, zwei Grundbedingungen, damit die Verkehrswende funktionieren kann. „Mobilität für alle, jederzeit und überall in Berlin“, wie es BVG-Chefin Eva Kreienkamp bei der Vorstellung des Dienstes ausdrückte.

    Das Angebot ist ein doppeltes: Als „Aufzugersatz“ werden die kleinen Rufbusse U- und S-Bahn-Stationen bedienen, bei denen der Aufzug klemmt – oder die noch immer keinen haben. Unter dem Motto „Flexible Fahrt“ kommen sie dagegen im Osten der Stadt zum Einsatz, wo immer noch große Lücken zwischen den Bahnhöfen und Haltestellen klaffen: Das Gebiet, das bedient wird, reicht von Rummelsburg bis zur Stadtgrenze bei Hoppegarten, und von Biesdorf bis kurz vor Köpenick.

    Die „Muvas“ werden für die BVG vom Dienstleister Via betrieben. Wie beim früheren Ridepooling-Angebot „Berlkönig“ errechnet ein Algorithmus bei entsprechend hoher Nachfrage kombinierte Fahrten für mehrere Fahrgäste. Gerufen werden die Kleinbusse per App oder Telefon. In jedem Fall soll es möglich sein, ein Fahrzeug zu buchen, das auch einen größeren Rollstuhl aufnehmen kann. „Beim Fahrtanlass ‚Flexible Fahrt‘ wird sichergestellt, dass eine Person mit Mobilitätseinschränkung vergleichbare Beförderungsmöglichkeiten wie ein*e Fuß- gänger*in“ hat, so lautet der Anspruch, den die BVG an sich selbst formuliert.

    Der Aufzugersatz-Service beschränkt sich bis Ende 2023 auf die U8, einen kleinen Teil der U5 – zwischen Frankfurter Allee und Tierpark – und die beiden S-Bahnhöfe Attilastraße und Marienfelde. Letzerer ist einer der wenigen verbliebenen Berliner S-Bahn-Halte ohne Fahrstuhl. Auf der U8 gibt es insgesamt noch sieben Bahnhöfe ohne Aufzug, unter anderem Schönleinstraße, Moritzplatz und Heinrich-Heine-Straße. Ab 2024 soll dann das komplette Stadtgebiet bedient werden, bis dahin wolle man aus dem Nutzungsverhalten lernen, heißt es aus der BVG.
    Immer noch nicht barrierefrei

    Eigentlich müsste der Berliner Nahverkehr gemäß der UN-Behindertenrechtskonvention seit diesem Jahr komplett barrierefrei sein – tatsächlich sind aber allein bei der U-Bahn erst rund 80 Prozent der Bahnhöfe per Aufzug oder Rampe erreichbar. Die BVG verweist auf lange Genehmigungsverfahren und teils beachtliche bauliche Herausforderungen. Aktuell zielt die Planung auf Ende 2024. Zuletzt ging ein Lift im Bahnhof Birkenstraße (U9) in Betrieb, an zehn weiteren Stationen ist ein solcher im Bau – darunter die Bahnhöfe Schlesisches Tor, Rathaus Schöneberg, Seestraße und Platz der Luftbrücke.

    Laut BVG-Sprecher Jannes Schwentu liegt die Verfügbarkeit der Aufzüge des Unternehmens „sehr konstant zwischen 98 und 99 Prozent, der Großteil der Störungen ist also binnen kurzer Zeit behoben“. Gemeint seien damit „wenige Stunden“, so Schwentu. Freilich nutzt auch das einem Fahrgast nichts, der unerwartet vor verschlossenen Türen steht.

    Das Rufbus-Projekt „BerlKönig“, das 2018 gestartet war und die östliche Innenstadt bediente, endete im vergangenen Juli. Die Kritik an dem ebenfalls von Via betriebenen Dienst zielte vor allem darauf ab, dass er ein weiteres Zusatzangebot für die schon gut versorgte Innenstadt darstellte, während die Mobilität vor allem in den Außenbereichen verbesserungswürdig sei. Der Senat war dann auch nicht gewillt, den BerlKönig länger am Leben zu erhalten, zumal das – angeblich – bei einer Ausweitung auf die gesamte Stadt über 40 Millionen Euro im Jahr gekostet hätte.

    Was die Kosten für „Muva“ betrifft, hält sich die BVG bedeckt. Man verweist darauf, dass der Service im Rahmen des mit dem Land abgeschlossenen und ausfinanzierten Verkehrsvertrags angeboten werde. Im Fall der „Flexiblen Fahrt“ müssen die KundInnen auch selbst etwas zu ihrem gültigen VBB-Ticket dazuzahlen: 1,50 Euro (bzw. 0,50 Euro für Mitfahrende), wenn es nur zum nächstgelegenen Bahnhof geht, oder aber 1,50 Euro pro Kilometer, wenn man sich direkt zu einer Wunschadresse innerhalb des Servicegebiets fahren lässt. Dabei halten die Busse nicht unbedingt vor der Haustür, sondern an insgesamt 4.000 definierten „Haltepunkten“.

    Jens Wieseke, Sprecher des Fahrgastverbands IGEB, kann über das Angebot „nicht so viel Negatives sagen“, skeptisch bleibt er trotzdem: Er vermisse „ein stabiles 10-Minuten-Angebot für alle Berliner Ortsteile zu normaler Uhrzeit“. Wieseke findet auch, dass die BVG sich erst einmal „ums Kerngeschäft kümmern“ sollte. „Bevor Mittel für ein Nice-to-Have ausgegeben werden, muss der Normalbetrieb wiederhergestellt sein.“ Die U-Bahn etwa fahre seit Jahren nach einem abgespeckten Notfahrplan, weil FahrerInnen fehlten. „Dann müssen eben Stellen ausgeschrieben werden“, fordert der IGEB-Sprecher.

    #Berlin #Verkehr #BVG #Sammeltaxi

  • À Lille, des projets contre nature, Saint-Sauveur et Bois-Blancs Angle d’ATTAC !
    C’était ce 17 septembre sur Radio Campus Lille. 



    Avec leur asso PARC Saint Sauveur et Deûl’air, elles ne vont pas laisser faire la MEL et la mairie.

    La parole était à Bénédicte Vidaillet, Yolande Winders 


    Le lien afin d’écouter, de télécharger l’émission => https://www-radio-campus.univ-lille1.fr/ArchivesN/LibrePensee/attac220917.mp3



    PARC (Protection aménagement réappropriation collective de Saint-Sauveur), et ASPI (Association pour la Suppression des Pollutions Industrielles) https://www.helloasso.com/associations/parc-saint-sauveur

    Et aussi Pas d’aqua-poney à Moulins => https://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/1027-pas-d-aqua-poney-a-moulins


    
Angle d’ATTAC tous les 3ème samedi du mois, à midi sur Radio Campus Lille.
    Christian Ladesou  : 06 68 90 61 33, lille@attac.org


    #Lille #martine_aubry #Bénédicte_Vidaillet #Attac #Saint_Sauveur #balado_diffusion #Podcast #Nord

    • Expo "Villes vivantes" : maquette de rêve pour cauchemar en béton
      https://chez.renart.info/?Expo-Villes-vivantes-maquette-de-reve-pour-cauchemar-en-beton

      Les opposants au projet Saint-Sauveur nous font le compte-rendu de leur passage au vernissage de l’expo "Villes vivantes"

      https://elnorpadcado.org/Les-Villes-vivantes-des-betonneurs-au-Bazaar-Saint-So
      , au Bazaar Saint So. Ils laissèrent une grue-cagette en cadeau aux organisateurs. Et nous offrent de profondes réflexions de San Antonio sur ce qu’il faut penser des "réceptions". Quelle générosité.

      Nous voici donc une dizaine, portant notre grue en cagette vers le vernissage-cocktail de « #Villes_vivantes », au Bazaar Saint-So, juste derrière notre friche. A côté des archis, des urbas et des promoteurs qui comptent à Lille, les gueux sont vite repérés. Et d’abord par le directeur du Bazaar, Benoît Garet, qui nous attendait un peu énervé.


      « Regardez d’abord l’expo avant de critiquer.

      


      On s’en fout de l’expo, ce qui nous intéresse c’est le contexte. Et pis t’as vu tes finançeurs ? C’est les mêmes qui détruisent le vivant juste à côté. »
#Bouygues, #Vinci, #Eiffage, #Ramery, #Vilogia, #Nacarat, réunis pour célébrer la « réconciliation entre #ville et #nature ». La situation ne manque pas de sel.

      On sent comme une nervosité au moment d’introduire notre grue dans l’expo. Restons calme. De toute façon elle ne passe pas la porte. Un débat de 45 minutes s’engage alors avec Benoît dont on vous épargne les finasseries. Nous on pense que son expo est typique du greenwashing de Lille3000, lui insiste que l’expo va dans notre sens.

      D’ailleurs, c’est drôle, mais ce soir tout le monde trouve que « c’est très important ce que vous faites ». Même les représentants du cabinet #Béal-Blanckaert, les urbanistes associés pour la ZAC #Saint-Sauveur, à qui on distribue notre tract https://parcsaintsauveur.wordpress.com/2022/08/19/piscine-de-saint-sauveur , trouvent que notre rôle est « important pour la démocratie ». C’est trop d’honneurs.

      Ah, voilà #Xavier_Galand, le directeur de la Maison régionale de l’environnement et des solidarités, contributeur de l’expo. Il arrive souriant et vague à son aise entre les promoteurs, stylés en assureurs de province, costard et « cheveux de riche », et les « créatifs », archis tendance jean-baskets-tatouages. Parmi eux, le délégué à Saint-Sauveur pour la SPL #Euralille, David Wauthy, qui nous avait suggéré le suicide collectif il y a quelques années, est un peu sur la retenue quand on lui tend notre tract. La soirée est exquise, elle le restera.

      Il n’y a guère qu’Antoine Béal, l’urbaniste associé de Saint-Sauveur, à qui est cédé le micro pour mignoter les « partenaires », qui râle un peu. C’est qu’on ne l’entend pas jacter, tellement résonne l’environnement brutaliste verre et béton du Bazaar, dans la cacophonie de l’auditoire qui s’en fout – de ce qu’il raconte, comme de l’expo. Erreur classique de protocole : le bar est ouvert pendant les discours, et le Dj s’impatiente derrière ses platines. Alors chacun déroule ses vacances, devise sur les projets en cours, entre bétonneurs de la « ville morte ». L’important c’est d’être là, de voir et d’être vu, pourquoi pas au dessus des briques en terre-paille exposées comme preuves du renouvellement écologique de la corporation. Ça n’engage à rien. Va construire une fosse de plongée en terre-paille, toi ! Ou une cité administrative !

      Au bout d’un temps, tout le monde a eu notre tract, et l’ambiance nous pèse un peu. Alors on va y aller. Mais avant de partir, on laisse notre grue à l’entrée. C’est cadeau. Un souvenir de la vie vivante qu’on trouve sur la friche. Dessus il est inscrit : « Vends maquette de rêve pour #cauchemar en #béton. » C’est simple et ça résume. Et puis les conclusions de Frédéric Dard, alias San Antonio, sur les « gnagnateries d’usage » dans ce genre de #vernissage, c’était trop long. Mais comme on est généreux, on vous les livre quand même. C’est comme la grue, c’est cadeau :

      « Rien de plus con qu’une réception, si ce n’est une autre réception plus importante. T’as une douzaine de mots à dispose qu’il faut absolument placer dans le laps de temps qui t’est imparti. Le premier d’entre eux est « merveilleux » : soirée merveilleuse, toilette merveilleuse, ambiance merveilleuse, buffet merveilleux ; et comme quoi c’est merveilleux l’à quel point tout est merveilleusement merveilleux ! Bande de cons ! Écrémés du bulbe ! Fornicateurs de trous d’évier ! Mais tu sais qu’il faudrait me haïr tout ça, mon pote ? Me l’empiler dans des fosses d’aisance en laissant une couche de merde au-dessus, pas qu’ils prennent l’air ! Ils sont dépravants, ces faisandés. Ils puent la venaison attardée ! Le chrysanthème flétri, le slip trop longtemps porté ! Heureusement que le temps les tue ! Mais ils repoussent ! C’est ça, l’horreur : ils repoussent, y compris du goulot ! »

  • Quand la vérité s’arme de mensonge
    https://laviedesidees.fr/Gunther-Anders-La-Catacombe-de-Molussie.html

    À propos de : Günther Anders, La Catacombe de Molussie, L’échappée. “Moi aussi, je suis la vérité”, “la vérité rend libre”, tels sont les deux mensonges que doit concéder toute #résistance. Dans son roman écrit contre Mein Kampf, inédit jusqu’en 1992 et tout juste traduit en français, Anders met en scène les conditions limites de la lutte et enseigne sa complexité.

    #Philosophie #vérité #nazisme #corruption #fiction #idéologie
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20220715_anders.pdf
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20220715_anders.docx

  • Lecture d’un extrait du livre « Les sables » de Basile Galais, paru chez Actes Sud, en 2022.

    http://liminaire.fr/radio-marelle/article/les-sables-de-basile-galais

    Dans une ville portuaire à l’atmosphère d’intranquillité, déstabilisante et déroutante, le paysage donne le vertige autant qu’il inquiète avec son climat mystérieux tout en clair-obscur. L’information sur les réseaux de la mort du Guide désole la foule éplorée des habitants, très vite démentie, transformée en fake news qui tourne en boucle sur les chaînes d’informations en continu. Chaque personnage livre à distance sa version imparfaite des faits, parcellaire. Leurs relations se tissent au fil des chapitres « dans des couches de réalités indistinctes. » Sans doute est-ce dans cette instabilité constante que se construit cette histoire de disparition et d’oubli, ce roman sur le temps et la mémoire, insaisissable et mouvant comme les sables. (...) #Radio_Marelle / #Écriture, #Langage, #Livre, #Lecture, #Art, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Voix, #Littérature, #Vérité, #Réel, #FakeNews (...)

    http://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_les_sables_basile_galais.mp4

    https://www.actes-sud.fr/catalogue/litterature/les-sables

  • Die Fackel Karl Kraus - Suche nach „Kutscher“
    https://fackel.oeaw.ac.at

    Verkehrsregelung - Glück muß man haben oder: Wenn die Ochsen den Schwoaf aufstellen (Die Fackel, Heft 820-826, 1929)

    Dieser Straßenverkehr — dessen System #Paris oder #Berlin täglich unfehlbar in ein Schlachtfeld verwandeln würde, während man dort durch das dichteste Gewühl heil hindurchkommt —, dieses Chaos aus Dürftigkeit und Zufall muß eine Strafexpedition bedeuten gege die Stadt, deren Bevölkerung in ihrer Majorität den Tag nicht vergessen kann, wo es auf der Ringstraße Unfälle ohne Verschulden von Autos gab, welche vielmehr ausschließlich für den Transport der Verwundeten herangezogen wurden. ... Ohne Zweifel, wenn man in Wien sich vor den Autos retten will, muß man eins nehmen, und auch da ist es nicht sicher, ob es gelingt. Glück muß man haben.

    Wie anders auf dem flachen Lande! Dort, von wo unsere Minister offenbar mit dem Personenzug angekommen sind, betrachtet man das Automobil zwar auch als den Feind der Bevölkerung, aber als einen, der ihr unterliegt. Dort bildet es wieder das einzige Denkproblem des Autolenkers, wie er ungefährdet vom Fußgänger auf der Landstraße weiterkommt. Die Gefahr, daß der Kutscher eines Jauchewagens beherzt eine Schaufel seiner Fuhre auf die Insassen des Autos schütte, ist die geringere. Selbst die nachgeschleuderte Verdammnis: »Stinkata!« mag einen unberührt lassen. Doch auf dem Lande werden Autounfälle veranstaltet. Und zwar mit der plausiblen Begründung, daß die Urheber einmal einen solchen sehen wollten, zu welchem Behufe sie ebeni — man muß sich zu helfen wissen — Telegraphenstangen, die doch gleichfalls zu nichts nütz sind, über die Straße legen. Denn man darf nicht glauben, daß der Troglodyt nur so hinvegetiert, auch seine Wißbegier ist durch die Zeitung schon geweckt worden, und er kann seiner natürlichen Abneigung gegen das Automobilwesen tätigeren Ausdruck geben als die Hunde, die sich nach wie vor damit begnügen müssen, durch Bellen prinzipielle Verwahrung gegen den Fortschritt einzulegen, wie seinerzeit die deutsche Fortschrittspartei gegen die Unbilden der Regierung.

    Wacker (Die Fackel, Heft 454-456, 1. 4. 1917)

    Hohe Staatsbeamte beim Schneeschaufeln in Berlin.

    Aus Berlin wird uns berichtet: Der Aufruf des Oberbefehlshabers in den Marken zum Schneeschaufeln hat auch in den höchsten Beamtenkreisen tatkräftige Nacheiferung gefunden. Wer gestern durch die Linden ging, konnte vor dem Kultusministerium das Schauspiel erleben, daß Unterstaatssekretär Dr. Chappuis und Wirklicher Geheimer Oberregierungsrat Nentwig an der Spitze
    mehrerer Geheimer Kanzlei- und Rechnungsräte und Kanzleidiener eifrig am Werke waren, um Bürgersteig und Fahrdamm vor dem Kultusministerium vom Schnee zu reinigen.

    Wir leben seit drei Jahren nach der Fibel. So aber, wie in diesem Lesestück, sollte es immer gewesen sein. Daß die Schneeschaufler im Krieg sein müssen, ist eine bittere Empfindung.

    Aber es wird uns künftig erspart werden, wenn die Wirklichen Geheimen Oberregierungsräte mehr vor den Ministerien als drinnen tätig sein werden. Wer jetzt nach Berlin kommt, erlebt das letzte Wunder, dessen diese Zauberwelt des Ersatzes fähig ist. Es hat dort immer Menschenersatz gegeben, aber es gibt keinen Ersatz für die Ordnung. Da Klimbim, Betrieb und Aufmachung weggeblasen sind und die dürftige Seele, die sich für diese Güter geopfert hat, zurückgeblieben ist, herrscht ein Pallawatsch, der in Wien durch die Gewohnheit gemildert ist. Aus Schuhsohlen Marmelade zu machen, gelingt eben dann nicht mehr, wenn keine Schuhsohlen mehr da sind. Und wenn das nicht mehr da ist, was sich früher von selbst verstanden hat, so lebt sichs weit wienerischer als in Wien. Nur der Telephonzauber, uns ewig unerreichbar, funktioniert wie eh und je. Die Gesten des Betriebs sind geblieben, jetzt versteht sich eben das Hindernis von selbst wie einst der Fortschritt, und das Chaos klappt famos. Natürlich nur für den Einheimischen. Der Fremde steht verblüfft, denn ein Berliner Kutscher, wenn’s einen gibt, will nicht fahren und schon gar nicht um die Taxe, und durch das fabelhaft funktionierende Telephon fragt mich ein Konzertagent, auf den man ehedem nur einmal zu drücken brauchte, um einen fertigen Saal zu haben, fragt mich Ankommenden: »Habn Se für Kohlen jesorgt?« Das Geheimnis, keines zu haben, über nichts zu staunen und sich bei nichts aufzuhalten, wirkt fort. Und auch an der Straßenreinigung will man jetzt die alte Kraft erproben. Da eine Menschheit, die sich daran verausgabt hat, im großen Ganzen fehlt, so schaffen’s die Beamten. In Wien hat sich auch darin nichts verändert, indem der Dreck, der auf der Straße liegt, eh’ noch vom Frieden herrührt. Nicht um ihn wegzukriegen, sondern wegen meiner Einschätzung der kulturellen Tätigkeit unseres Unterrichtsministeriums würde ich wünschen, daß das Berliner Beispiel tatkräftige Nachahmung findet, und ich miete eine Proszeniumsloge, um das Schauspiel zu erleben, wie der Khoss von Sternegg sowie der Milosch von Fesch Hand anlegen.

    #Verkehr #Geschichte #Wien #Kutscher #Krieg

  • Karl Kraus - Aphorismen: Länder und Leute - Sprüche und Widersprüche
    https://www.textlog.de/39295.html

    Jeder Wiener ist eine Sehenswürdigkeit, jeder Berliner ein Verkehrsmittel.

    Wien und Berlin. Ich brauche Automobildroschken, um schneller zu mir selbst zu kommen. Die Ambrasersammlung habe ich in mir. Vielleicht auch die Kapuzinergruft.

    Der Mangel an Individualitäten, die uns vorwärtsbringen, erklärt sich am Ende daraus, daß hier so viele Kutscher Individualitäten sind.

    Im Gefühlsleben der Kutscher und Dienstmänner schätze ich am höchsten die Dankbarkeit. Ihre Seele hat einen Standplatz und wenn ich an dem vorbeikomme, so wünscht mir noch heute einen guten Tag, wessen ich mich vor zehn Jahren einmal bedient habe. Habe ich das Glück, neben dem Standplatz zu wohnen, so muß ich solche Wünsche öfter im Tage hören und zurückgeben. Sind die Kutscher bei ihren Wagen, so zeigen sie, so oft ich vorübergehe, auf ihre Wagen und erklären mir, daß es Wagen sind. Jedenfalls dulden sie es nicht, daß ich eine vorüberfahrende Droschke benütze. Schicke ich mich dazu an, so stürzen sie alle aus dem Wirtshaus zu der verlassenen Wagenburg und geben dem Gefühl der Kränkung in unvergeßlichen Worten Ausdruck. Treffe ich einmal einen bei seinem Gefährt, so eilt ein Mann mit nackten Füssen hinzu und beginnt es abzuwaschen. Sitze ich noch nicht drin, so öffnet er freiwillig die Wagentür. Der Kutscher weiß, daß ich Eile habe, und nützt darum die Zeit der Reinigung aus, um rasch Kaffee zu trinken und von den Kollegen Abschied zu nehmen. Wer weiß, wohin die Fahrt geht und was einem zustößt. Dann besteigt er den Bock und nachdem er das Pferd abgedeckt und den Taxameter, wenn ein solcher vorhanden ist, zugedeckt hat, wird’s Ernst.

    Der Zauber alles phantastischen Lebens, alle Märchenschimmer weben um eine Stadt, in der es Taxameter gibt. Ein öder Kasernengeist zwingt uns, täglich einmal anzuerkennen, daß der Prater schön ist.

    Wenn man an den Denkmälern einer Stadt in einer Automobildroschke vorüberkommt, dann können sie einem nichts anhaben.

    Die Musik, die ich mir zum Geratter einer Bahnfahrt oder zum Gepolter einer Droschke mache, kann mich höher erheben als die neunte Symphonie, die ich im Konzertsaal höre.

    In Berlin wächst kein Gras. In Wien verdorrt es.

    #Wien #Berlin #Verkehr #Aphorismus

  • #sport et liberté du meurtre
    http://carfree.fr/index.php/2022/08/24/sport-et-liberte-du-meurtre

    La population de #versailles a été douloureusement impressionnée par une série de graves accidents d’automobile qui se sont produits récemment dans la ville du Grand Roi. Le 12 mai, vers Lire la suite...

    #Alternatives_à_la_voiture #Fin_de_l'automobile #Insécurité_routière #Marche_à_pied #accident #histoire #liberté #mort #presse #sécurité_routière #vitesse

  • Ab 2023: Deshalb werden Fahrradtaxis in Barcelona verboten | WEB.DE
    https://web.de/magazine/reise/2023-fahrradtaxis-barcelona-verboten-37180976

    - Fahrradtaxis werden in Barcelona und ganz Katalonien verboten.
    – 2023 tritt eine neue Verordnung in Kraft.
    – Der Hauptgrund dafür sind die fehlenden Lizenzen der Betreiber.

    Die beliebten Fahrradtaxis in Barcelona gehören bald der Vergangenheit an. Sie werden schon 2023 abgeschafft. Das berichtet die katalonische Zeitung „El Periódico“. Laut dem stellvertretenden Bürgermeister Jaume Collboni gilt das Verbot ab dem 1. Januar.

    Schon jetzt sind die touristischen Fortbewegungsmittel in der Stadt und in ganz Katalonien eingeschränkt: Sie dürfen nicht mehr an die Sightseeing-Hotspots fahren. Grund dafür sind die seit mehreren Jahren anhaltenden Auseinandersetzungen zwischen der Stadt und den Rikscha-Betreibern. Viele von ihnen arbeiten ohne Lizenzen. Schon jetzt hat die Stadt deshalb mehr als 40 Fahrradtaxis beschlagnahmt.

    Die Betreiber der illegalen Dienstleistung müssen mit einer Strafe von bis zu 6.000 Euro rechnen. Nachdem die neue Verordnung in Kraft getreten ist, sind noch höhere Bußgelder zu erwarten. Ein weiterer Grund für das Verbot ist, dass die Fahrradtaxis nicht die Mobilität der Einheimischen verbessern, sondern nur den Touristen dienen. Zudem arbeiten die Fahrer unter unsicheren und schlecht bezahlten Arbeitsbedingungen.

    #Barcelona #Ausbeutung #Verkehr #Tourismus #Fahrrad

  • Base de données de plus de 7000 plantes, arbustes, arbres créee par des anglais...

    Une vraie mine d’or d’information, avec un moteur de recherche génial multicritères (résistance au gel, usage, médicinal, vitesse de croissance…,)

    « J’ai réactualisé la version anglaise pour prendre en compte la traduction automatique en français sous un environnement Firefox à jour. »

    Pour télécharger cette version francisée, c’est par ici : https://drive.google.com/file/d/19_NCjWofCCQMT17aNxhqlW_WThC0B5OL/view?usp=sharing

    À décompresser, puis lancer Permaflorea.exe.

    Nota : Version modifiée à partir de l’appli officielle : http://www.permaculture.eu.org/permaflorae

    Solution équivalente en ligne : https://pfaf.org/user/Default.aspx

    #permaculture #potager #verger #resilience #autosuffisance #permaflorae

    gotwit

  • Linus Torvalds: Linux succeeded thanks to selfishness and trust
    https://www.bbc.com/news/technology-18419231

    Vor zehn Jahren sprach der Erfinder des heute als Linux bekannten Betriebssystems über die Gründe für den enormen Erfolg seines Projekts. Der BBC Reporter und Thorvalds sind sich einig darin, dass mephistophelischer Eigennutz kombiniert mit gegenseitigem Vertrauen der beteiligten Entwickler, von weiblichen „contributors“ ist nicht die Rede und braucht es grammatikalisch betrachtet im Englischen auch nicht, zwei wichtige und widersprüchliche Faktoren für den Siegeszug des freien Betriebssystems sind.

    Wir finden hier Hinweise darauf, wie eine besser als im Taxigewerbe organisierte #verteilte_Arbeit aussehen kann. Auch der Hinweis auf den #Arbeitsvertrag von Thorvalds und seiner Stiftung ist eine interessante Anregung für die Entwicklung neuartiger, menschenwürdiger Arbeitsverhältnisse. Bei genauem Hinschauen zeigt sich, dass die im Titel beschworene Selbstsucht nur unter kapitalistischen Bedingungen eine solche ist.

    Ein erhellendes Interview, das Kernfragen der Bewegung für freie Software berührt.

    13.6.2012 by Leo Kelion - Linus Torvalds developed Linux in 1991 while at the University of Helsinki, Finland. He became a US citizen in 2010.

    Linux creator Linus Torvalds has won the Millennium Technology Prize and an accompanying cheque for 600,000 euros ($756,000; £486,000) from the Technology Academy of Finland.

    He was nominated for the award in recognition of the fact he had created the original Linux operating system and has continued to decide what modifications should be made to the Linux kernel - the code that lets software and hardware work together.

    Today a variety of Linux-based systems power much of the world’s computer servers, set-top boxes, smartphones, tablets, network routers, PCs and supercomputers.

    Ahead of the announcement Mr Torvalds gave a rare interview to the BBC.

    When you posted about the original system kernel on Usenet in 1991 what did you think would happen to it?

    I think your question assumes a level of planning that simply didn’t really exist. It wasn’t so much about me having any particular expectations of what would happen when I made the original kernel sources available: a lot of the impetus for releasing it was simply a kind of “hey, look at what I’ve done”.

    I was definitely not expecting people to help me with the project, but I was hoping for some feedback about what I’d done, and looking for ideas of what else people would think was a good idea.

    The success of Linux is in large part due to its open source nature. Why do you think people have been willing to give up so much time without financial reward?

    In many ways, I actually think the real idea of open source is for it to allow everybody to be “selfish”, not about trying to get everybody to contribute to some common good.

    In other words, I do not see open source as some big goody-goody “let’s all sing kumbaya around the campfire and make the world a better place”. No, open source only really works if everybody is contributing for their own selfish reasons.

    Now, those selfish reasons by no means need to be about “financial reward”, though.

    The early “selfish” reasons to do Linux tended to be centred about just the pleasure of tinkering. That was why I did it - programming was my hobby - passion, really - and learning how to control the hardware was my own selfish goal. And it turned out that I was not all that alone in that.

    Big universities with computer science departments had people who were interested in the same kinds of things.

    And most people like that may not be crazy enough to start writing their own operating system from scratch, but there were certainly people around who found this kind of tinkering with hardware interesting, and who were interested enough to start playing around with the system and making suggestions on improvements, and eventually even making those improvements themselves and sending them back to me.

    And the copyright protected those kinds of people. If you’re a person who is interested in operating systems, and you see this project that does this, you don’t want to get involved if you feel like your contributions would be somehow “taken advantage of”, but with the GPLv2 [licence], that simply was never an issue.

    The fundamental property of the GPLv2 is a very simple “tit-for-tat” model: I’ll give you my improvements, if you promise to give your improvements back.

    It’s a fundamentally fair licence, and you don’t have to worry about somebody else then coming along and taking advantage of your work.

    And the thing that then seemed to surprise people, is that that notion of “fairness” actually scales very well.

    Sure, a lot of companies were initially fairly leery about a licence that they weren’t all that used to, and sometimes doubly so because some portions of the free software camp had been very vocally anti-commercial and expected companies to overnight turn everything into free software.

    But really, the whole “tit-for-tat” model isn’t just fair on an individual scale, it’s fair on a company scale, and it’s fair on a global scale.

    Once people and companies got over their hang-ups - renaming it “open source” and just making it clear that this was not some kind of anti-commercial endeavour definitely helped - things just kind of exploded.

    And the thing is, if your competition doesn’t put in the same kind of effort that you do, then they can’t reap the same kinds of rewards you can: if they don’t contribute, they don’t get to control the direction of the project, and they won’t have the same kind of knowledge and understanding of it that you do.

    So there really are big advantages to being actively involved - you can’t just coast along on somebody else’s work.

    7,800 developers across 80 countries contributed to the last version of the Linux kernel. But as it becomes more complex is there a danger it become less accessible for new people to get involved?

    So the kernel has definitely grown more complex, and certain core areas in particular are things that a new developer should absolutely not expect to just come in and start messing around with.

    People get very nervous when somebody they don’t see as having a solid track record starts sending patches to core - and complex - code like the VM subsystem.

    So it’s absolutely much harder to become a core developer today than it was 15 years ago.

    At the same time, I do think it’s pretty easy to get into kernel development if you don’t go for the most complex and central parts first. The fact that I do a kernel release roughly every three months, and each of those releases generally have over 1,000 people involved in it, says that we certainly aren’t lacking for contributors.

    You have previously mentioned that you can’t check that all the code that gets submitted will work across all hardware - how big an issue is trust in an open source project like this?

    Oh, trust is the most important thing. And it’s a two-way street.

    It’s not just that I can trust some sub-lieutenant to do the right thing, it’s that they in turn can trust me to be impartial and do the right thing.

    We certainly don’t always agree, and sometimes the arguments can get quite heated, but at the end of the day, you may not even always like each other, if you can at least trust that people aren’t trying to screw you over.

    And this trust issue is why I didn’t want to ever work for a commercial Linux company, for example.

    I simply do not want people to have even the appearance of bias - I want people to be able to trust that I’m impartial not only because they’ve seen me maintain the kernel over the years, but because they know that I simply don’t have any incentives where I might want to support one Linux company over another.

    These days, I do work full-time on Linux, and I’m paid to do it, but that didn’t happen until I felt comfortable that there was a way that could be pretty obviously neutral, through a industry non-profit that doesn’t really sell Linux itself.

    And even then, in order to allay all fears, we actually made sure that my contract explicitly says that my employment does not mean that the Linux Foundation can tell me what to do.

    So exactly because I think these kinds of trust issues are so important, I have one of the oddest employment contracts you’ve ever heard of.

    It’s basically one paragraph talking about what I’m supposed to do - it basically boils down to the fact that everything I do has to be open source - and the rest of the contract is about all the ways that the company I work for cannot influence me.

    “Trust” is not about some kind of absolute neutrality, or anything like that, but it’s about a certain level of predictability and about knowing that you won’t be shafted.

    Linux is popular in many areas of computing including smartphones and servers, but it has never had quite the same breakthrough on desktops - do you think it will ever happen?

    So I think that in order to make it in a consumer market, you really do need to be pre-installed. And as Android has shown, Linux really can be very much a consumer product. So it’s not that the consumer market itself would necessarily be a fundamentally hard nut to crack, but the “you need to come preinstalled” thing is a big thing.

    And on the laptop and desktop market, we just haven’t ever had any company making that kind of play. And don’t get me wrong - it’s not an easy play to make.

    That said, I wouldn’t dismiss it either. The whole “ubiquitous web browser” thing has made that kind of consumer play be more realistic, and I think that Google’s Chrome push (Chromebox and Chromebooks) is clearly aiming towards that.

    So I’m still hopeful. For me, Linux on the desktop is where I started, and Linux on the desktop is literally what I still use today primarily - although I obviously do have other Linux devices, including an Android phone - so I’d personally really love for it to take over in that market too.

    But I guess that in the meantime I can’t really complain about the successes in other markets.

    Steve Ballmer once described Linux as a “cancer”, but in recent months we’ve heard that Microsoft is running its Skype division off Linux boxes, and it’s now offering a Linux-based version of its Azure cloud service - does this give you satisfaction?

    Well, let’s say that I’m relieved that Microsoft seems to have at least to some degree stopped seeing Linux as the enemy. The whole “cancer” and “un-American” thing was really pretty embarrassing.

    The recent launch of the Raspberry Pi, running on Linux, has attracted a lot of attention. Are you hopeful it will inspire another generation of programmers who can contribute to the Linux kernel?

    So I personally come from a “tinkering with computers” background, and yes, as a result I find things like Raspberry Pi to be an important thing: trying to make it possible for a wider group of people to tinker with computers and just playing around.

    And making the computers cheap enough that you really can not only afford the hardware at a big scale, but perhaps more important, also “afford failure”.

    By that I mean that I suspect a lot of them will go to kids who play with them a bit, but then decide that they just can’t care.

    But that’s OK. If it’s cheap enough, you can afford to have a lot of “don’t cares” if then every once in a while you end up triggering even a fairly rare “do care” case.

    So I actually think that if you make these kinds of platforms cheap enough - really “throw-away cheap” in a sense - the fact that you can be wasteful can be a good thing, if it means that you will reach a few kids you wouldn’t otherwise have reached.

    You work from home - how hard is it to avoid being distracted by family life and focusing on what must be very abstract concepts?

    Oh, I’m sure it can be hard for some people. It’s never been a problem for me.
    Linus Torvalds in front of computers
    Image caption,
    Mr Torvalds works on the Linux kernel in his office at home in Oregon

    I’ve always tended to find computers fascinating, often to the point where I just go off and do my own thing and am not very social.

    Having a family doesn’t seem to have made that character trait really any different.

    I’ll happily sit in front of the computer the whole day, and if the kids distract me when I’m in the middle of something, a certain amount of cursing might happen.

    In other words: what could be seen as a socially debilitating failure of character can certainly work to your advantage too.

    .

    #Linux #FLOSS #Software #Arbeit #Kapitalismus #open_source #USA

  • Activision Blizzard workers walk out, protesting loss of abortion rights - The Washington Post
    https://www.washingtonpost.com/video-games/2022/07/21/activision-blizzard-roe-walkout

    Hundreds of Activision Blizzard employees are walking out Thursday in Texas, California, Minnesota and New York to protest the overturn of Roe v. Wade and demand protections. The current count, as of this writing, is 450 employees, in-person and online.

    The demands include a request for all workers to have the right to work remotely, and for workers living in “locations passing discriminatory legislation,” such as antiabortion laws, to be offered relocation assistance to a different state or country. Employees are also demanding the company sign a labor-neutrality agreement to respect the rights of workers to join a union; on Twitter, the workers’ group A Better ABK said the demand was necessitated by union-busting efforts on the part of Activision Blizzard.

    ABetterABK 💙 ABK Workers Alliance sur Twitter :
    https://twitter.com/ABetterABK/status/1544717283087757312

    In light of the recent attacks on the civil liberties of our employees, the employee-led Committee Against Sex and Gender Discrimination has scheduled a walk out action on July 21st, 2022 (1/17)

    Manifestation chez Activision-Blizzard-King pour l’accès à certains droits.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #activision_blizzard #a_better_abk #ressources_humaines #roe_v_wade #syndicalisme #revendication #droit #avortement #manifestation #travail_à_distance #télétravail #lgbt #assurance_santé #fabby_garza #rich_george #égalité_des_sexes #équité_des_sexes #équité #qa #raven_software #assurance_qualité #kate_anderson #alejandra_beatty #verily #alphabet #google

    • Moulaye Niang

      Moulaye Niang arrived in Venice about 10 years ago from Senegal.

      First he started as a musician and painter but soon after he met glass and was utterly fascinated by it. The next consequence soon followed: Moulaye decided to work in order to pay for the lessons at the Scuola Abate Zanetti .

      Being well determine, his efforts have payed off and eventually he became master glassmaker.

      Together with the south tyrolean Emanuela Chimenton, designer and jewellerymaker, Moulaye opened his first and successful workshop “Muranero” in Venice.

      Deeply inspired by nature, Moulaye tries to combine in his artworks colours and themes of African culture with European elements.

      He’s so talented that today he is the first non-Venetian master glassmaker to be recognized as such by the Muranese and Venetian glassmasters themselves. In this video you can listen Moulaye and the great master Pino Signoretto tell this incredible adventure.

      https://www.muranonet.com/blogs/unfold-venice/the-first-african-murano-glass-master

    • Un vetraio senegalese a Venezia

      Si chiama Muranero, è il progetto di Moulaye Niang, senegalese arrivato a Venezia più di vent’anni fa. I maestri del vetro di Murano lo chiamavano così: Muranero. Nessuno di loro avrebbe immaginato che quel “foresto” sarebbe diventato prima un bravo artigiano, poi un maestro, e che avrebbe ridato vita alle perle di vetro, nonostante la professione sia ormai in declino.

      Oggi Moulaye Niang realizza perle di vetro a lume nel suo laboratorio (online su muranero.blogspot.it o pagina Facebook @muranero) e collane in vetro ed ebano che uniscono l’arte africana a quella veneziana.

      In Senegal Moulaye ha insegnato l’arte del vetro in una scuola di bambini di strada, realizzando un piccolo laboratorio per le perle di vetro; ha formato giovanissimi senegalesi tra i 12 e i 16 anni. Insegnare nelle sue botteghe ai ragazzi, afferma, è la sua più grande passione. Il suo laboratorio a Venezia è in un’area storica tra le calli della zona Castello, a nord di San Marco e dietro Campo della Bragora. E nonostante sia fuori dai sentieri tradizionali battuti dal turismo, in tanti vengono a conoscerlo.

      https://www.africarivista.it/un-vetraio-senegalese-a-venezia/117744

  • Aucune disposition légale ou réglementaire n’incrimine le seul fait de participer à une manifestation non déclarée.
    Maitre Eolas @Maitre_Eolas – Twitter
    https://twitter.com/Maitre_Eolas/status/1547886920079794178

    Aucune disposition légale ou réglementaire n’incrimine le seul fait de participer à une manifestation non déclarée. Crim. 8 juin 2022 pourvoi n° 21-82.453

    Et je lève mon verre au prévenu qui a fait un pourvoi en cassation pour 11 euros d’amende.

    Collect’ hyphe – @CollectHyphe
    https://twitter.com/CollectHyphe/status/1547888796439494659
    En réponse à @Maitre_Eolas

    C’était un groupe de chorale et ils ont fait une cagnotte pour les frais. L’idée était justement de faire trancher la question car bcp d’amendes de ce type (et parfois à 135 euros …) pour : rien puisque pas d’incrimination légale.

    • Pour la Cour de cassation, participer à une manifestation non déclarée n’est pas une infraction
      https://www.radiofrance.fr/franceinter/pour-la-cour-de-cassation-participer-a-une-manifestation-non-declaree-n-


      La Cour de cassation s’est prononcée mi-juin sur le cas de huit manifestants verbalisés
      © AFP - Thomas Samson

      Saisie par huit habitants de la région de Metz, la Cour de cassation a rendu, mi-juin, une décision majeure pour les futurs mouvements sociaux : selon la plus haute juridiction, une personne ne peut se faire verbaliser pour avoir simplement participé à une manifestations non déclarée.

      23 mai 2020, début du déconfinement. Une manifestation se prépare pour la défense du service public, et les membres de la « Chorale révolutionnaire » de Metz décident de répéter en centre-ville. « En petits groupes pour être moins de dix, distants entre chanteurs d’1,50 mètre à deux mètres, et masqués », précise Xavier Phan Dinh, membre de la formation. Mais la quinzaine de chanteurs n’a pas vraiment le temps de donner de la voix : tous sont rapidement verbalisés par la police, au nom d’un arrêté pris la veille par le préfet, interdisant tout regroupement sur la voie publique. « L’un d’eux m’explique qu’il est interdit de ’revendiquer’, avant que l’un de ses collègues le corrige en précisant qu’il est interdit de ’manifester’. Ce quiproquo est révélateur, selon moi », se souvient Xavier Phan Dinh.

      Décidés à défendre « un droit fondamental, celui de s’exprimer, certes en chantant, et surtout le droit de manifester », le choriste et sept de ses camarades décident de contester ces amendes, dans un premier temps devant le tribunal de police, dédié aux affaires donnant lieu à des contraventions. Divisés en trois groupes confrontés à trois juges différents, les choristes voient tous leurs amendes confirmées par le tribunal, mais à des montants allant decrescendo : de 135 euros pour les premiers dont le cas est examiné, à onze euros pour les derniers. « A mon humble avis, c’était pour nous diviser ou pour nous dissuader d’aller en cassation », analyse Xavier Phan Dinh. Dans tous les cas, les juges retiennent la participation à une manifestation non déclarée.

      « Sous prétexte de limiter les regroupements sur la voie public au motif de freiner la propagation du virus, on en était venus à porter une atteinte disproportionnée à la liberté de manifester », détaille Xavier Sauvignet, l’un des avocats qui a accompagné la chorale dans sa démarche. Les choristes refusent d’en rester là. La loi ne permettant pas de faire appel d’une amende inférieur à 150 euros, ils se trouvent dans l’obligation de se pourvoir directement en cassation. La plus haute juridiction française leur donne alors raison.

      "Une infraction qui n’existait pas"
      « La Cour de cassation rend un attendu très clair qui vient dire que le tribunal de police avait condamné pour une infraction qui n’existait pas, c’est-à-dire la participation à une manifestation non déclarée. Et, en l’absence de texte, on ne peut pas condamner quelqu’un sur ce fondement-là », détaille Me Sauvignet. « Ce que l’on peut retenir de cette décision, qui est une règle qui existait déjà mais qui est posée de manières très claire par cette autorité régulatrice qu’est la Cour de cassation, est qu’il est interdit de participer à une manifestation interdite, qu’il est également interdit d’organiser une manifestation non déclarée. En revanche, il n’est pas interdit de participer à une manifestation non déclarée ». En effet, dans son arrêt, la Cour précise que « ni l’article R. 610-5 du code pénal, ni aucune autre disposition légale ou réglementaire n’incrimine le seul fait de participer à une manifestation non déclarée ».

      Comment expliquer que la Cour de cassation intervienne aussi tard, alors que les manifestations se sont multipliées ces dernières années ? « Des gendarmes ou policiers peuvent facilement verbaliser quelqu’un sur un fondement qui n’est pourtant pas prévu par la loi. En revanche, il est très difficile de venir contester cette verbalisation, de savoir par quel biais saisir le tribunal », analyse l’avocat. L’étape de la cassation est encore plus complexe, d’autant que les requérants n’ont que cinq jours pour saisir la juridiction. A cela s’ajoute la difficulté de financer les services d’avocats spécialisés. « Vous êtes, à toutes les étapes, dissuadés financièrement et intellectuellement de contester ce type d’amende », ajoute-t-il.

      "Un autre enjeu que le montant de l’amende"
      En l’occurrence, les choristes ont fait appel à des particuliers, mais aussi des syndicats comme Sud ou la CGT, au Parti communiste, ou encore à la Ligue des Droits de l’Homme, qui les ont aidés à lancer une cagnotte en ligne pour financer les frais de justice. « Les avocats ont également fait un geste, en nous disant que le montant de la cagnotte leur suffisait, mais ça aurait dû coûter cinq à six fois plus cher », souligne Xavier Phan Dinh, qui évalue l’action, habituellement, à environ 3.000 euros par requérant. « Lorsque nous nous sommes pourvus en cassation, la dame derrière le guichet m’a regardé et m’a dit ’mais monsieur, l’amende est à onze euros, la cassation coûte énormément cher !’ Je pense qu’elle ne comprenait pas qu’il y avait là un autre enjeu que le montant de l’amende (…). Plus on avançait dans notre raisonnement, plus nous étions convaincus qu’il s’agissait-là de quelque chose d’absolument crucial à défendre : le droit de manifester est un droit qui l’emporte sur tous les autres. Si, demain, on ne peut plus exprimer son opinion en manifestant, tout peut nous arriver ».

      Le 6 juillet, les choristes ont à nouveau uni leurs voix pour aller célébrer leur victoire en cassation. Ils ont défilé du palais de justice à l’hôtel de police. Une manifestation qu’en tant qu’organisateurs, ils ont dûment déclarée auprès des autorités.