• L’amendement de la droite au Sénat : la nouvelle embrouille des LR telle les 1200€ minimum garanti pour tous.

    - En débat chez Yves Calvi, Catherine Deroche, pdte de la Commission des affaires sociales du Sénat, a affirmé, malgré nos dénégations, que l’amendement déposé hier par sa Commission permettrait à certaines femmes de partir dès 63 ans.

    Après vérification ce n’est pas le cas.

    L’amendement déposé (n° 2127) ne permet pas cela du tout.
    S’il était adopté, il permettrait aux femmes de surcoter à partir de 63 ans si elles ont une carrière complète à cet âge, mais pas de partir avant 64 ans.
    Donc pas de départ à 63 ans.

    – A propos de l’amendement de la droite au Sénat sur les majorations de durée d’assurance pour enfant ("surcote pour les mères").
    Schématiquement, avec la réforme, les personnes concernées (principalement les mères) perdent le choix entre partir à 62 ans à taux plein ou gagner 10% de surcote en partant à 64.

    (les effets sont un peu différent dans le public où la prise en compte des enfants est moindre)
    Si l’amendement était adopté, le départ à 64 ans serait maintenu, mais elles récupéreraient 5% de surcote à 64 ( au lieu des 10% sans réforme pour un taux plein à 62 ans).
    Ça serait intéressant de savoir si le Sénat a un chiffrage du nombre de bénéficiaires et du montant global.

    Michael Zemmour

    https://twitter.com/ZemmourMichael/status/1630852511371255808?cxt=HHwWgICz1f3t-aEtAAAA

    Retraites à 1 200 euros : après l’aveu de Dussopt, l’embarras grandissant du pouvoir https://www.mediapart.fr/journal/politique/010323/retraites-1-200-euros-apres-l-aveu-de-dussopt-l-embarras-grandissant-du-po
    Deux mois après la présentation du projet de réforme des retraites, le ministre du travail a reconnu que pas plus de 20 000 nouveaux retraités bénéficieront chaque année de la revalorisation des petites pensions. Le mythe d’une réforme de « justice sociale » s’effondre, laissant le gouvernement démuni.

  • covid long : c’est officiel, merci Véran, merci TousAntiCovid !

    Le Covid long handicape les Français
    [TAC | ven. 25 mars 2022 | 08:17]

    Les symptômes persistants après une infection au Covid-19, ou “Covid long”, peuvent survenir jusqu’à trois mois après l’infection et durer des mois.

    En France, “plusieurs dizaines de milliers, peut-être 60 à 70 000” personnes souffrent d’un Covid long, a indiqué le ministre des Solidarités et de la Santé lors d’une interview le 16 mars. Les symptômes les plus fréquents sont l’épuisement, les troubles du goût et de l’odorat, l’essoufflement, les douleurs thoraciques, les troubles de la mémoire ou de l’attention.

    Le plus souvent, le patient souffre de plusieurs symptômes associés, qui peuvent fluctuer ou récidiver, ce qui est très perturbant pour les patients comme pour les médecins. Face à ce phénomène, un parcours de soin spécifique peut être conseillé et “95 % des demandes de reconnaissance en affection longue durée” pour un Covid long “sont acceptées par l’Assurance Maladie”, a détaillé Olivier Véran.

    (source : Assurance Maladie)

  • Véran et Delfraissy, deux grands comiques dans la Pandémie !

    — Pour #Delfraissy, qui confesse qu’il ne « devrait pas dire ça », les nouveaux vaccins anti-covid sont quand même « très particuliers »https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-
    On ne le sait pas. Il y a une diminution de la protection avec le temps” pour Jean-françois Delfraissy. “Ce vaccin est très particulier, c’est un vaccin-médicament. Il protège contre les formes sévères et les formes graves, et ça n’a pas été assez dit

    –- Pour #Véran, dont la théologie byzantine évolue de jour en jour, il n’est finalement plus nécessaire de faire une injection post-infection au bout 4 mois (qui était pourtant vitale la semaine dernière !)
    https://www.bfmtv.com/sante/pass-vaccinal-olivier-veran-annonce-qu-une-injection-equivaut-a-une-infection

    –- D’ailleurs, pour Delfraissy auditionné au Sénat, ces injections répétées pourraient bien déclencher des maladies auto-immunes, on ne sait pas trop, « on n’a jamais fait ça ! »

    "la vaccination peut être un facteur de génération de maladie auto-immune chez une personne prédisposée. Est ce que les vaccins répétés pourraient induire des phénomènes d’auto-immunité plus fréquents ? Je ne sais pas" !

    https://twitter.com/B_Stiegler/status/1489701674746884102

  • Le média en ligne « #QG » dénonce sa « #censure » par YouTube

    « Le reste de la presse devrait se réveiller. Sinon, qui empêchera Youtube, et les autres plateformes, de déterminer qui peut parler et qui doit être réduit au silence ? »
    https://reporterre.net/Le-media-en-ligne-QG-denonce-sa-censure-par-YouTube

    Dans un tweet posté le 31 janvier, le média en ligne QG dénonce son « shadow banning » (« bannissement fantôme ») par la plateforme de diffusion de vidéos YouTube. Ce bannissement est en fait une #invisibilisation : les #algorithmes de #YouTube rendent peu visibles aux internautes les sujets présentés par le média.

    Cette invisibilisation, explique à Reporterre Aude Lancelin, directrice de QG, a commencé en juillet 2021, à la suite de la participation du professeur Christian Perronne à un #débat [ démocratique équilibré ] avec le docteur Jean-Michel Constantin, du service de réanimation de l’hôpital Pitié-Salpêtrière. M. Perronne défend des positions mettant en doute l’utilité des vaccins Pfizer et Moderna contre le Covid. « Il était confronté à un médecin hospitalier qui l’a contredit pied à pied », précise Aude Lancelin. Le débat a été diffusé en mai 2021. Un best off a ensuite été diffusé en juillet 2021. La vidéo entière de l’émission a alors été supprimée par YouTube, qui a envoyé un « avertissement » à QG. Motif : « violation des droits de YouTube » et un contenu « pas en accord avec notre règlement à ce sujet ».


    « Il s’agit d’une censure qui ne dit pas son nom »

    Depuis, le nombre de vues des vidéos de QG vues sur YouTube, quel qu’en soit le sujet, sont à un niveau très bas, alors que sur Facebook, il reste à son niveau habituel. Dans un courriel à YouTube, le média en ligne écrit : « Nous observons une baisse significative du nombres de vues sur nos vidéos. De plus, après plusieurs essais, nous avons constaté que certains contenus exactement identiques aux nôtres mais postés sur des chaînes différentes réalisaient un nombre de vues bien supérieur, sur des chaînes dont le nombre d’abonnés est comparable à la nôtre. (…) La baisse de visibilité est réellement significative depuis que nous avons reçu cet avertissement. (…) YouTube a été un des leviers majeurs de notre essor et cette soudaine invisibilisation pourrait mener à des conséquences néfastes à terme. » QG n’a reçu aucune réponse de YouTube.

    « Il s’agit d’une censure qui ne dit pas son nom », dit Aude Lancelin à Reporterre. « On n’a pas fait énormément de contenus sur ce sujet, mais il faut donner la parole, non pas à des fous, mais à ceux qui discutent le passe vaccinal et qui discutent l’obligation vaccinale. » Elle précise que QG a suivi des manifs de Gilets jaunes contre le passe vaccinal, « mais jamais Philippot [leader d’extrême droite venant du Rassemblement national] et les gens de cette mouvance ».

    YouTube opère souvent des retraits de vidéos selon des critères opaques

    QG, qui compte une équipe d’une dizaine de personnes dont cinq journalistes, est un média reconnu par la CPPAP (Commission paritaire des publications et agences de presse), et membre du syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (le Spiil), dont font partie de nombreux #médias-indépendants, tels Reporterre ou Mediapart.

    YouTube opère souvent des retraits de vidéos selon des critères opaques. En janvier 2022, la plateforme a retiré un discours à… l’Assemblée nationale du député La France insoumise Bastien Lachaud.

    Reporterre a cherché à joindre YouTube France pour connaître son point de vue. Mais il n’a pas été possible de parler à une personne humaine, le standard téléphonique n’ouvrant pas la possibilité d’un tel échange.

    • Pour chaque Post d’articles de Reporterre le fan-club des « anticomplotistes » :p se déchaîne désormais contre lui. Bientôt plus personne Ici va oser le référencer sans être taxer de complotiste ou de confusionniste ou même de (beurk) covidonégationniste !

      Je m’attend au pire avec celui là !

    • Remettre en question la politique autoritaire (censure de Médias indépendants comme Nantes Révoltée et QG par la plateforme Youtube ) ni surtout la #politique-non-sanitaire en Macronie mais pas que, est désormais suspect !

      Pourtant au Sénat, Véran ...

      « Le ministre des Solidarités et de la Santé, Olivier Véran, a été auditionné ce 2 février 2022 par la commission d’enquête du Sénat sur l’influence des cabinets conseil. La rapporteure lui a demandé des explications, en lui soumettant plusieurs documents auxquels a participé le cabinet McKinsey. »
      https://www.youtube.com/watch?v=hnQvDere0Zg

      Véran avoue carrément que #McKinsey n’est mentionné sur aucun des documents qu’ils ont rédigés puisque c’est toujours le logo du ministère de la santé qui apparaît dessus.

      Tout est toujours flou en #macronie parce que tout n’est qu’arnaque…

      Cette scène surréaliste où Véran bafouille, tempête et nie l’évidence quand on lui explique qu’on a payé 700 000€ 2 personnes de #McKinsey pour des missions floues, c’est l’illustration parfaite du vol en bande organisé auquel se livrent #Macron-et-sa-bande.

      La première action de n’importe quel nouveau président devait être de lever le #secret-défense sur cet iceberg de magouilles, dont on devine que la partie immergée est immense, qu’est la politique non-sanitaire de cette fine équipe de truands…

      Ils en pensent quoi les candidats ?

      Véran explique au Sénat qu’il a dépensé 26,8 millions en cabinets de conseil depuis 2020 pour des plans moisis qui ne l’ont soit-disant pas aidé à prendre ses décisions, sans qu’on sache ce qui vient de #McKinsey ou de l’administration.

      L’arnaque du siècle !

      #VeranDemission

      https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/a-aucun-moment-mckinsey-ne-m-a-fait-prendre-une-decision-en-lien-avec-la

      Il n’y a pas une once d’humanité dans la politique de Macron.

      Ce n’est pas un rempart, c’est déjà le fascisme !

  • Sourions un peu avant de basculer dans la nouvelle année !

    Restrictions anti-Omicron en Absurdistan : le parti d’en rire (*) recrute
    http://noslendemains.fr/restrictions-anti-omicron-en-absurdistan-le-parti-den-rire-recrute

    Suffisantes, ou pas, les restrictions, en France ? Joker. On verra. Bientôt. Les chiffres, eux, donnent le « vertige » au ministre de Santé, qui a estimé mercredi le nombre actuel de Français positifs à un million, 208.000 cas supplémentaires ayant été détectés en 24 heures, record d’Europe.

    Le gouvernement affirme avoir intégré ce « raz-de-marée » à sa stratégie anti-omicron. Avec une clause de revoyure en 2022, le 5 janvier. C’est-à-dire après la Saint-Sylvestre puis la rentrée scolaire, maintenue, sans demi-jauges. Pourtant les prédictions du Conseil scientifique font peur : selon le professeur Arnaud Fontanet, un tiers des enseignants sera touché « voire plus, de façon directe ou indirecte ».« Ce sera la même chose pour les élèves ». L’Éducation nationale attend comme toujours dans le brouillard la fin des vacances et rêve de masques FFP2, de tests systématiques, de dispositifs d’aération, pendant que le ministre saute à la marelle de plateaux en studios et lâche des annonces qui sèment la panique.

    Les confidences de Jean Castex à son prompteur, lundi, pour égrener les mesures anti-virus en Absurdistan, auront au moins eu le mérite d’inspirer ceux Zé celles qui ont pris le parti d’en rire. Pas de couvre-feu ni fermeture, avait dit le Premier ministre. On pouffe à peine en apprenant deux jours plus tard la fermeture des bars à 2 heures du matin le 1er et le 2 janvier à Paris et en IDF. Une bonne surprise qui va réjouir les Franciliens et Parisiens. Tout comme le grand retour du masque à l’extérieur de ci de là, à l’initiative des préfectures. Les chefs d’entreprises, eux, ont dû être ravis d’entendre jeudi matin de la bouche d’Élisabeth Borne que contrevenir à l’obligation de mettre en place trois jours de télétravail par semaine leur coûterait au maximum 50.000 euros. De leur côté, les partisans de l’interdiction de manger des popcorns au cinéma aimeraient beaucoup que celle-ci survive à la période Covid et ne cachent pas leur joie depuis lundi. Quelques artistes se sont adaptés en mode ironique au retour des jauges, pour les concerts notamment, à pas plus de 2.000 en intérieur, alors que les meetings politiques en sont dispensés. « C’est un enjeu constitutionnel difficile à contourner », s’est défendu Olivier Véran devant les députés. Face à ce qui est ressenti comme un deux poids deux mesures, Eddy de Pretto s’est déclaré candidat à la présidentielle. Idem pour Hoshi qui a mis sa frimousse à la place de celle d’Emmanuel Macron dans le portrait officiel du Président. Julien Doré quant à lui ne s’est pas privé de souligner le paradoxe, mimique à l’appui.

    La version 2G+ du pass vaccinal, discrètement sortie du chapeau, pourrait mettre tout le monde d’accord. Ce dispositif imposera la détention d’un certificat de vaccination ET la présentation d’un test… « Si et seulement si l’intérêt de la santé publique le justifie ». C’est flou. Même si on a bien compris que la réouverture des discothèques se ferait à ce prix alors qu’une simple preuve de négativité suffirait. Tout ça pour que 5,3 millions de Gaulois non vaccinés, et qui ont parfaitement le droit de ne pas se faire injecter l’antidote, soient contraints de le faire. Cherchez l’erreur.

    L’obligation de rester assis dans les bars et les restaurants a eu beaucoup de succès, elle aussi, sous les hashtags « #assis » et « #debout ». « C’est la bonne déconnade au conseil de défense sanitaire ! Consommer debout dans un bar, c’est non ! Mais assis, c’est oui ! Mais dans le train, là c’est non ! Même assis … », commente le dessinateur Allan Barte. Pendant que Franjo s’interroge : « Le PCR est passé à 24 heures de validité. Le dernier test que j’ai fait, on m’a dit « Vous aurez les résultats dans 48 heures ». J’ai dit « Bin oublie, j’vais aller lécher les barres du métro, c’est plus simple » ». Pierre-Emmanuel Barré, évidemment pas en reste, a proposé une synthèse hilarante avec effet immédiat sur les zygomatiques. « Les médecins y z’étaient là : « Allez Jeannot, mets des purificateurs d’air, distribue des FFP2 gratis ! ». Et Castex, tout ce qu’il annonce, c’est qu’on n’a plus le droit de manger des sandwichs dans le TGV !!! Quand on fait le bilan, le seul truc qu’ils ont réussi, au gouvernement, avec le CoVid, c’est l’attraper ! ».

    Le parcours parlementaire du projet de loi, entamé mercredi avec l’audition d’Olivier Véran, s’annonce moins drôle. Le ministre de la Santé a répondu sobrement et à vitesse grand V à toutes les questions des élus, sans abuser de sa collection de punchlines. Excepté à l’endroit de la LFI Mathilde Panot qui lui a reproché de pervertir l’État de droit. Le ministre l’a invitée à regarder ce qui se passe dans les pays adeptes d’options jugées radicales. « Quand on se compare, Madame la députée, on se console ». Ça dépend avec qui on se compare et sur quoi. Par exemple, pour ce qui est du classement de la mortalité CoVid par pays, il vaut mieux que la France ne regarde pas du côté de l’Allemagne ou des Pays-Bas. Le débat à l’Assemblée nationale, à partir de lundi, risque de faire rire jaune les Français attachés à l’État de droit. Les libertés de 50 millions de citoyens de plus de 12 ans s’apprêtent à être verrouillées par QR Code via un pass plus du tout sanitaire et qui ne l’a jamais été puisqu’il n’empêche personne de se contaminer. Tout parlementaire qui, à l’image des députés LFI au taquet en commission des lois mercredi soir, montera au créneau contre le scénario choisi au sommet et mis en musique par la majorité présidentielle s’exposera à être traité d’ennemi de la République. Sans blague.

    (*) Parti politique humoristique créé dans les années 1950 par Pierre Dac et Francis Blanche.

  • TRIBUNE. #Covid-19 : 50 personnels de santé alertent Olivier Véran sur la circulation du #virus chez les enfants
    https://www.lejdd.fr/Societe/Sante/tribune-covid-19-50-personnels-de-sante-alertent-olivier-veran-sur-la-circulat

    nous déplorons cependant les faibles moyens déployés jusqu’à présent par le ministère de l’Education nationale pour freiner l’épidémie dans les écoles

    #covid_long, #santé, #éducation, #blanquer, #véran

    • Nous, professionnels de santé, attendons de vous, Monsieur le ministre, la prise en charge de la gestion sanitaire dans les établissements scolaires, avec son transfert immédiat. Au regard de l’urgence de la situation, nous vous appelons aux mesures suivantes dès la rentrée au mois de janvier 2022 :

      le report de la rentrée du 3 janvier, à haut risque compte tenu de sa proximité avec les festivités du Nouvel An, avec recours au télé-enseignement jusqu’au retour à des seuils d’indicateurs sanitaires définis publiquement ;

      la sensibilisation des instances éducatives sur la transmission par aérosol et les pratiques à adopter pour limiter le risque de contamination aéroportée du virus : capteurs de CO2, aération, ventilation, etc. ;

      l’association des professionnels de la santé à l’élaboration d’un nouveau protocole sanitaire dans les écoles, (...)

    • Ellen Queen Of The Bouse @EllenAgreaux
      https://twitter.com/EllenAgreaux/status/1475018885174812682

      mh. ya mon moi 2020 en larmes devant le massacre de nos gosses qui vous juge quand même SEVEREMENT quant à la LENTEUR de vos gros cerveaux là hein.

      en plus clairement non, c’est même pas je vous juge c’est je vous condamne et je vous pardonnerai pas. on a rouvert les #écoles en yolo en septembre 2020 avec votre soutien. vous avez tous validé l’avalanche de merde déversée sur les familles particulièrement les mères pauvres.

      les mêmes qui ont soutenu que le confinement était mauvais pour les enfants que sans les #cantines on saurait pas les nourrir que leur niveau allait baisser tellement on est résumés illettrés parce qu’on n’est pas médecins, nous, qui nous ont même accusées de maltraitance...

      nan franchement jvous déteste et j’en ai rien à taper de votre tentative de rattrapage aux branches un an et demi après une fois que les gamins ont bien été lancés au feu sur TROIS variants covid au total.
      vous avez enfin raison mais je vous pardonne pas.

    • Harcelé, Claude-Alexandre Gustave, biologiste médical annonce cesser de publier ses contributions sur le covid
      https://twitter.com/C_A_Gustave/status/1475576253579157513

      Suite à la parution de la tribune dans le JDD, je n’ai jamais reçu autant d’insultes, menaces...
      Sur @LCI on se fait même traiter de « fanatiques » en toute tranquilité...

      Merci entre autres, @LCI, @JDD, @BFMTV, d’avoir bien instrumentalisé cette tribune en pointant 1 seule des mesures citées, la veille d’annonces qui seraient évidemment diamétralement opposées, pour mieux caricaturer le propos et en stigmatiser les auteurs

      Ça fait près de 2 ans que j’essaie d’alerter, informer, vulgariser...
      Apparemment, il ne faut pas faire ça.
      J’ai bien compris le message. Le sanitaire doit se taire.
      Il ne faut pas nuire à l’économie.

      Je laisse mon compte ouvert pour qui veut lire, pour les DM (car Twitter ce fut aussi de belles rencontres avec qui j’espère garder le contact)

      Mais dorénavant, je ne publierai plus rien.
      Bon vent à tous. Bon courage.

      Merde. C’est (c’était ?) un compte précieux.
      Cette pause n’aurait pas eu lieu sans la faiblesse persistante de tout ce qui dans et hors institutions se préoccupe de santé publique.

      De l’autre côté, la pétition « Ecoles = retour à la normale le 3 janvier 2022 », lancée le 15 décembre par Blachier (qui se présente comme « médecin de santé publique ») et Marie-Estelle Dupont réclame « la fin du port du masque en classe (...) la fin des évictions scolaires pour les enfants positifs au covid. » Elle a recueilli 120 000 signatures.

    • Je citais la pétition pour le « retour à la normale » à l’école pour illustrer la multiplication des initiatives mobilisatrices qui, avec ce que diffusent les mass média, avec ce que les RS promeuvent, continuent à permettre au gouvernement de faire semblant ou n’importe quoi. Je découvre avec retard que le terme « fanatique » cité par Claude-Alexandre Gustave s’applique à tous les signataires de la pétition et qu’on le doit à... Blachier (cet « ami de Bigote Macron » et probable "visiteur du soir de l’Élysée dont le maître avait pas mal échangé avec Raoult, y compris après qu’il ait quitté le « conseil scientifique ».

      Je trouve, comme Ellen Queen Of The Bouse, que la pétition alertant sur la circulation du virus vient bien tard et reste timide. De l’autres coté, ils ont de l’avance et une doctrine radicale (un eugénisme qui ne dit pas son nom) et ils s’y tiennent au gré des événements pandémiques, en adaptant juste ce qu’il faut pour circonvenir préventivement toute critique qui puisse être décisive. La déclaration de Great Barrington, c’est un peu comme l’antisémitisme aujourd’hui, c’est mauvais genre de s’en revendiquer quand on veut qu’elle pèse, et, ici et ailleurs, innerve les orientations des politiques publiques.

      Edit spécial pluralisme, 4 vérités valent mieux qu’une

      sur cet abject personnage, 7 décembre ( Omicron, qui s’appelait encore B.1.1.529, a été identifié le 23 novembre)

      et encore hier

      malgré le taux d’incidence ici, malgré l’augmentation des hospitalisations en GB...
      #Martin_Blachier

      #eugénisme #Great_Barrington_Déclaration

  • « Leçon 1 : elle se croit au dessus des lois.
    Leçon 2 : son cabinet a menti.
    Leçon 3 : libé a publié une première version faussée par ce mensonge. »
    https://www.liberation.fr/checknews/la-ministre-amelie-de-montchalin-a-t-elle-ete-debarquee-dun-avion-pour-ge

    « Ci-gît le « fact checking. ».

    Nous avons affaire à un gouvernement indigne de menteurs compulsifs.

    Il est temps d’abroger nos souffrances. #MontchalinGate #Véran #macron

    C’est une honte de se soumettre à cette clique ! »
    #Libération #fact-checking

  • Le coup de la réunion dînatoire, c’est très fort. Même pour la REM, c’est fort. Celle-là, elle va finir députée européenne, au moins.

    https://twitter.com/codubost/status/1339675615021117440

    https://video.twimg.com/ext_tw_video/1339675529998381057/pu/vid/848x464/gwvJ3RH5fTSzRIol.mp4

    Ce ne sont pas des diners conviviaux mais des réunions de travail qui durent tard dans la nuit. Ces réunions ont notamment lieux aux heures du diner, c’est dans ce sens là qu’il faut voir les choses.

  • Stimmt, #niemehrCDU sollte endlich #Verantwortung für ihre #Lobbyis...
    https://diasp.eu/p/11676771

    Stimmt, #niemehrCDU sollte endlich #Verantwortung für ihre #Lobbyisten-Politik übernehmen. Für die Folgen aus #RWE-Skandal, #Waffenhandel (Karlheinz-Schreiber, Häckler&Koch), Drehtürpolitik (Guttenberg, Merz, Koch...),...den „jungen“ #Amthor zur Verantwortung ziehen #Lobbykratie Quelle: https://twitter.com/BerlinVic/status/1307352301070438401

  • Le gouvernement veut créer un #fichier pour les malades du coronavirus

    Le projet de loi du gouvernement prévoit la création d’un fichier spécifique rassemblant les noms des #malades du #Covid-19 ainsi que de leurs contacts. Et ce « sans le consentement » des personnes concernées.

    Comment assurer le #suivi des malades du Covid-19 et des personnes qu’ils ont croisées ? C’est pour répondre à cette question que le gouvernement entend créer un nouveau fichier, prévu par le projet de loi prorogeant l’#état_d’urgence_sanitaire, qui devrait être examiné par les parlementaires les 4 et 5 mai.

    L’article 6 du texte prévoit en effet que soient rassemblées dans un même fichier toutes les informations susceptibles d’aider à la reconstitution, par des « #brigades » d’#enquêteurs_épidémiologiques, des #relations de chacun. Le fichier, non anonyme, devrait ainsi contenir l’#identité des malades et les résultats de leurs #examens_biologiques, mais aussi plus largement la liste des personnes croisées au cours des derniers jours – car « présentant un #risque_d’infection » -, leur #adresse et leurs #déplacements. Et ce afin d’opérer, peut-on lire dans le texte du gouvernement une « #surveillance_épidémiologique aux niveaux national et local ».

    Plusieurs administrations auront accès aux données

    Le nouveau fichier, qui n’a aucun lien avec l’application de #traçage #StopCovid, dont Olivier #Véran a annoncé qu’elle ne serait pas prête le 11 mai, abritera ces #informations, d’abord collectées par le #médecin_traitant puis par les « brigades » de l’#Assurance_maladie. Des #données_personnelles extrêmement sensibles qui seront ensuite mises à la disposition non seulement des professionnels de santé en charge du suivi des personnes malades, mais aussi de plusieurs administrations comme le #ministère_de_la_santé, le service de santé des #armées, l’Assurance maladie et les #Agences_régionales_de_santé.

    Le dossier est d’autant plus sensible que les données dont il est question sont en partie couvertes par le #secret_médical. « Comme lorsque nous consultons un confrère à propos d’un patient ou lorsque nous envoyons à l’Assurance maladie les motifs médicaux d’arrêt de travail, nous serons dans le cadre d’un #secret_médical_partagé », assure le docteur Jacques Battistoni, président du premier syndicat de médecins généralistes, #MGFrance. Les #généralistes seront chargés de collecter les premières informations sur le « #premier_cercle » fréquenté par un malade dans le fichier. Ils ont d’ailleurs reçu un courrier en ce sens, jeudi 30 avril, signé par Nicolas Revel, le patron de l’Assurance maladie.

    « Je comprends que ce système puisse impressionner, car il contient des #informations_sensibles et personnelles, mais c’est un moindre mal. Il me semble vraiment indispensable si l’on ne veut pas que l’#épidémie reparte », souligne le docteur Battistoni.

    Une transmission de données « sans le #consentement des personnes »

    Autre question sensible, au cœur de ce nouveau fichier : la #transmission_des_informations qu’il contient sera opérée « sans le consentement des personnes intéressées », peut-on lire dans le projet de loi gouvernemental. Une précision qui inquiète plusieurs observateurs, comme le président de l’#Union_française_pour_une_médecine_libre (#UFML), le docteur Jérôme Marty. « Le consentement est l’un des socles de la médecine. Le fait de ne pas demander le consentement de son patient pour constituer un fichier est sans précédent. La situation d’#urgence ne peut pas tout justifier », alerte-t-il.

    « Imaginez le scandale si nous avions fait ce genre de fichiers pour le sida, poursuit-il. Cela pose un problème #éthique et déontologique important. » Ce praticien réclame l’avis Conseil de l’Ordre sur le sujet, mais aussi celui du Comité national d’éthique, de l’Académie de médecine, de la Cnil et du Conseil constitutionnel.

    « Garde-fous »

    « Que signifie cette absence de consentement ? », interroge quant à lui l’avocat Thierry Vallat. Ce spécialiste des données personnelles estime que des « #garde-fous » devront ainsi être nécessaires. « Il faut définir très précisément qui collectera les informations, la liste des informations précises, qui pourra y avoir accès et surtout pour combien de temps », insiste l’avocat. Sur ce dernier point, le gouvernement prévoit la disparition du fichier « au plus tard » un an après la promulgation de la loi.

    Mais surtout, l’avocat s’inquiète d’éventuelles #fuites de données. « Nous sommes dans un contexte exceptionnel où les services de l’État agissent très rapidement, et risquent de ne pas avoir le temps de sécuriser ce nouveau fichier. Or les données de santé font régulièrement l’objet de fuites, et elles sont extrêmement convoitées », estime-t-il.

    Dans l’ensemble, l’architecture de ce nouveau dispositif demeure assez floue. Et pour cause : il devrait ainsi être précisé, après coup, par un #décret d’application. Ce qui permettra de consulter la Cnil sur ce nouveau fichier. Jusqu’à maintenant, la Commission indépendante n’a en effet pas été sollicitée sur ce dossier sensible.

    https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/Le-gouvernement-veut-creer-fichier-malades-coronavirus-2020-05-03-12010923
    #coronavirus #France #loi #déontologie
    ping @etraces @isskein

  • Corona Chroniques, #Jour35 - davduf.net
    http://www.davduf.net/corona-chroniques-jour35

    Sur toutes les chaines, le même désastre depuis Matignon, deux pupitres, deux Shadoks qui pompent, deux ministres, l’un que l’on dit Premier, l’autre, de la Santé, réduits au rôle ingrat de Pipeau et Pipelette. En chefs de rayon hexagonal, Edouard #Philippe et Olivier #Véran comblent le vide (de masques, de tests, de vision, de dates, de perspectives, de lits, de décisions, de certitudes, de respirateurs, de sur-blouses, de charlottes, d’écouvillons, de franchise). Sur Twitter-le-cruel, un éditeur (Johan Faerbe) note : « Olivier Véran nous raconte ses coups de fil. J’ai téléphoné en Inde. J’ai eu un collègue au téléphone l’autre jour. J’épelle un numéro vert. Oliver Véran, ministre des Télecoms. »

    Leurs visages disent ce que leurs bouches voudraient masquer — leur dépassement total, et complet : le blanc qui gagne la barbe de Philippe, inexorablement ; comme les cernes de Véran, qui creusent le trou dans lequel il est — et nous avec. C’est un discours de disette, de confineMENT, en apparence peu clair mais dont on finit par comprendre au contraire qui l’est foutrement : s’ils n’ont rien à dire, c’est que ceux deux-là ne gèrent pas la pandémie mais la pénurie.

    Je les écoute sans plaisir — leur désarroi est le nôtre —, rétrogradant dans leurs rétropédalages intenables : minute après minute, ils s’enfoncent un peu plus bas dans leur parking à eux, de plus en plus humide, et sombre, froid comme un néon qui grésille. Deux gars dans un garage, sans huile et sans outils. Je les regarde et je me demande quelle mécanique les pousse à rester là, au sixième sous-sol d’un pays richissime mais incapable de produire le minimum vital ? Quelle force pour nous et se mentir à ce point ? Quelles perspectives, peut-être ? Quelle destination, pour l’un, pour l’autre ? Un raclement de gorge de Véran, la voix blanche de Philippe, et parfois, on se dit, ils vont sortir de là, prendre l’escalier de secours, et le courage de la fuite. Mais non. D’un trait, ils achèvent cette conférence de presse sans presse comme on débranche un respirateur à l’hôpital. Décès constaté, humanité dévastée, courage politique zéro.

  • « Attention danger : Olivier #Veran voulait enlever le terme "Sécurité Sociale" de la Constitution et c’est justement parce que la Sécu est inscrite dans la constitution que ça lui a évité d’être mise en concurrence selon les directives européennes. Vous sentez la direction prise ? »

    Qui a essayé de supprimer toute référence à la Sécurité sociale dans notre Constitution à l’exception d’une seule ? Olivier Véran. À l’été 2018, le député LaREM passé par le PS fait voter un amendement pour que 8 des 9 occurrences à la « Sécurité sociale » dans notre loi fondamentale soient remplacées par « protection sociale ». Pourquoi ? Parce que la Sécurité sociale n’est, par définition juridique, pas soumise à la concurrence, contrairement à la protection sociale ! Si Olivier Véran a finalement reculé après les révélations de notre journal sur son funeste projet, il continue chaque année de s’attaquer à la Sécu. En tant que rapporteur général du budget de la Sécurité sociale, il impose tous les ans une nouvelle cure d’austérité à la Sécu et aux hôpitaux, qui a commencé par une coupe nette de 4,2 milliards votée en 2017.

    Le neurologue, qui a certes tenté sans succès de ne pas faire reposer les mesures concédées aux gilets jaunes sur les comptes de la Sécu, est aussi celui qui a défendu dès le début la suppression des cotisations maladie et chômage et la hausse de la CSG. Il veut aujourd’hui s’en prendre aux retraites pour achever son œuvre : c’est lui qui sera chargé du volet organique de la réforme, c’est-à-dire tout ce qui complète la Constitution en étant placé au-dessus des lois ordinaires… Le Medef doit déjà se frotter les mains.

    L’humanité Dimanche

    « Pour nous, mettre comme ministre celui qui avait été à la manœuvre pour faire voter la loi de finance, qui motive aujourd’hui le mouvement à l’hôpital, ça frise la provocation »
    https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/ca-frise-la-provocation-reagit-christophe-prudhomme-apres-la-nomination

    • Le nouveau ministre de la Santé a été de tous les coups portés à la Sécurité sociale depuis 2017, défendant l’austérité et tentant de supprimer huit mentions sur neuf de la Sécu dans la Constitution...

      Olivier Véran a aussi porté le transfert massif des cotisations sociales (maladie et chômage) vers la CSG. Ce qui n’empêche pas le nouveau ministre de se réclamer d’Ambroise Croizat, y compris au sujet des retraites. Ce qui lui a valu cette remarque acerbe du communiste Pierre Dharréville : « Vous n’êtes pas les exécuteurs testamentaires de Croizat. Vous êtes les exécuteurs tout court ! »

      https://www.humanite.fr/qui-est-olivier-veran-le-nouveau-ministre-de-la-sante-684792

  • Die Doku „Die Unbegleiteten“ von Hanna Schygulla feiert Premiere im Adria - Steglitz - berliner-woche.de
    http://www.berliner-woche.de/steglitz/kultur/die-doku-die-unbegleiteten-von-hanna-schygulla-feiert-premiere-im-adr

    Veranstaltungstipp:
    Sonntag, 10. Dezember, 11 Uhr
    Adria Filmtheater

    Die international bekannte Schauspielerin und Sängerin Hanna Schygulla hat einen Dokumentarfilm „Die Unbegleiteten“ gedreht. Er basiert auf Begegnungen und Gesprächen der Schygulla mit jugendlichen Geflüchteten.
    Der Dok-Film erzählt eindrucksvoll von schmerzvollen Erlebnissen, von zerstörter Heimat, einer entbehrungsreichen Flucht ohne Eltern, dem Ankommen in Deutschland und dem Bedürfnis nach Sicherheit und Geborgenheit.

    Hanna Schygulla lernte zehn Jungen aus zehn verschiedenen Herkunftsländern am Rande eines Bildungsprojekts der Victor-Gollancz-Volkshochschule kennen. Den Anstoß gaben die ausdrucksstarken Figuren, die die zehn- bis 17-Jährigen kreiert hatten und die Hanna Schygulla während eines Besuchs in der Schwartzschen Villa entdeckte. Der Film „Die Unbegleiteten“ fängt deren Lebenswirklichkeit ein und auch ihr Potenzial.

    Dieses Potenzial zu entfalten und zu fördern war Ziel des talentCAMPus-Projekts, an dem die Jugendlichen im September dieses Jahres teilnahmen. Das Projekt bietet den jugendlichen Geflüchteten die Chance, ihre Erfahrungen künstlerisch zu verarbeiten, sozialen Halt und Orientierung zu gewinnen und die deutsche Sprache zu erlernen.

    Mit ihrem Film „Die Unbegleiteten“ wirbt Hanna Schygulla, die 1945 als Kind mit ihrer Mutter aus Schlesien floh, um menschliches Mitgefühl und Integrationsbereitschaft gegenüber Geflüchteten.

    Produziert wurde der Film im Herbst 2017. Er feiert am Sonntag, 10. Dezember, 11 Uhr, im Adria Filmtheater, Schloßstraße 48, Premiere. Ein Gespräch mit Hanna Schygulla schließt sich an die Premiere der 40-minütigen Dokumentation an. Der Eintritt ist frei.

    #Berlin #Veranstaltungen #Flüchtlinge

  • Bunte Kuh - Buchclub : Die autoritäre Revolte
    http://www.buntekuhverein.de/termine.htm

    Freitag | 29.9.2017 | 18:00 Uhr

    Die Neue Rechte und der Untergang des Abendlandes.In seinem hochaktuellen Buch bietet Volker Weiß die erste tiefgehende und historisch fundierte Zeitdiagnose zu den rechtspopulistischen Phänomenen Pegida, AfD & Co. Dabei beschreibt er das vielfältige Spektrum der neuen rechten Bewegungen und untersucht die Herkunft und Vernetzung ihrer Kader. Mit seinem kenntnisreichen Blick in die deutsche Geschichte zerschlägt er die zentralen Mythen der Neuen Rechten und zeigt: Gegenwärtig werden nationalistische Strömungen der Vergangenheit, die der Nationalsozialismus verdrängt hatte, wieder aufgegriffen. Volker Weiß geht den autoritären Vorstellungen nach und veranschaulicht Übergänge von Konservativismus, Rechtspopulismus und Rechtsextremismus.

    Die Bunte Kuh ist ein weitgehend selbstverwaltetes Jugendzentrum im Stadtteil Berlin-Pankow. Als Trägerverein fungiert der Verein Bunte Kuh e.V., der unsere Belange gegenüber Ämtern und Behörden vertritt.

    Inhaltliche Entscheidungen fällt der zweiwöchentliche Koordinationsrat. An diesem Plenum beteiligen sich nicht nur die Festangestellten, sondern auch die ehrenamtlichen MitarbeiterInnen und AktivistInnen, die an er Entwicklung des Vereins Bunte Kuh e.V. interessiert sind.

    Die Bunte Kuh bietet Raum für individuelle, gewaltfreie Freizeitgestaltung ohne diskriminerende Sprüche und Pöbeleien.

    Die Bunte Kuh positioniert sich gegen Rassismus, Sexismus, Antisemitismus und Faschismus und unterstützt Gruppen und Initiativen, die gegen entsprechende Tendenzen in der bundesrepublikanischen Gesellschaft agieren.

    Adresse: Bernkastelerstr. 78, 13088 Berlin
    Büro- und Öffnungszeiten: Mo-Fr. 16 -22

    Telefon:030 - 927 43 85
    Mail: buntekuh@t-online.de
    Band & Terminanfragen: buntekuhverein@gmx.de

    öffentliche Verkehrsverbindungen: Haltestelle Betriebshof Weissensee, Tram M4 / Bus 255 / Bus 158
    Spendenko: Deutsche Bank, Kn: 899367700, Blz: 10070024

    http://www.openstreetmap.org/node/1727684579#map=15/52.5495/13.4594
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Bernkasteler-Strasse-13088-Berlin

    #Berlin #Weißensee #Bernkasteler_Straße #Jugendzentrum #Veranstaltung #Antifa

  • 1917 - Der wahre Oktober. Ein Film von Katrin Rothe
    http://www.1917-derfilm.de

    https://vimeo.com/198816792

    1917 – Der wahre Oktober ist eine filmkünstlerische Neuerzählung der Russischen Revolution. Basierend auf Recherchen in teils bisher unbekanntem Quellmaterial, in Tagebüchern, Berichten und literarischen Werken ihrer Trickfilm-Protagonisten, unternimmt die zweifache Grimme-Preisträgerin Katrin Rothe eine multiperspektivische Befragung dessen, was heute weithin als „Die Oktoberrevolution“ bekannt ist.

    St. Petersburg 1917. Die Weltkriegsfront rückt täglich näher, man hungert, bangt, wütet. Im Februar wird der Zar gestürzt. Auch viele Künstler sind euphorisch: Revolution! Freiheit! Endlich Frieden? Nein. Ab Oktober herrschen allein die Bolschewiki. Was taten Dichter, Denker, Avantgardisten wie Wladimir Majakowski, Maxim Gorki und Kasimir Malewitsch während dieser radikalen Gewaltenwechsel? Im Film entsteigen fünf von ihnen als animierte Legetrickfiguren den Bücherstapeln der Regisseurin. Eigene überlieferte Worte im Munde durchkreuzen sie Salons, Komitees und Straßenschlachten: Momente, in denen der Ausgang der Geschichte noch offen ist.

    16.6., 20:00, Klick Kino (Windscheidstr. 19, Berlin-Charlottenburg)
    Gäste: Peter Roloff, Thomas Mävers

    Vorverkauf hier: http://www.klickkino.de/tickets

    *21.6., 19:30, **Kino Moviemento
    *in Anwesenheit von Katrin Rothe

    Vorverkauf hier: http://www.kinoheld.de/Kino-Berlin/Moviemento%20Kino?showId=1698673945

    *22.6., 20:30, Lichtblick Kino (Kastanienallee 77, Berlin-Prenzlauer Berg)
    in Anwesenheit von Katrin Rothe*. *(Vorführung der deutschen Originalfassung mit englischen Untertiteln)

    Weiteres Filminfos hier: www.1917-derfilm.de

    #Berlin #Kino #Veranstaltungskalender

  • Veranstaltungshinweis: Miete essen Seele auf
    https://www.weltfilm.com/de/filme/in-produktion/miete-essen-seele-auf

    Vorführung des Dokumentarfilms „Miete essen Seele auf“ von Angelika Levi und Christoph Dreher über die Mieter*inneninitiative Kotti & Co.

    https://www.youtube.com/watch?v=nn638lqeAZ8

    Im Rahmen von 48 Stunden Neukölln beginnt eine Kooperation des Refugio mit dem Menschenrechtsfilmfestival One World Berlin, das in loser Folge in den Räumlichkeiten des Sharehauses Filmprogramme zeigt.

    Der Film dokumentiert 2 Jahre nachbarschaftliche Organisierung und Protest am südlichen Kottbusser Tor. Der Film verknüpft die Wohnungsfrage mit der Geschichte der Migration und betont eine Verbindung von Rassismus und urbaner Verdrängung.

    Mit dieser Besetzung eines öffentlichen Platzes im Zentrum von Kreuzberg, begann die Mieterinitiative Kotti & Co einen bis heute täglich sichtbaren Widerstand, und holte das Thema des sozialen Wohnungsbaus und die massive Verdrängung von langjährigen BewohnerInnen aus der Innenstadt auf die politische Agenda.

    Menschen mit sehr verschiedenen Biografien und politisch unterschiedlichen Ansichten begannen miteinander zu reden und ihre Geschichten zu teilen. Die Abgrenzungen und Vorurteile wichen einer positiven Verunsicherung, aus Nachbarschaft entstand Freundschaft.

    Im Film spielt der „Cottbusser Chor“ mit, ein radikal postideologischer Chor, arrangiert und musikalisch komponiert von Nicholas Bussmann. Er versteht sich in Tradition linker Laienchöre, doch die sonst hierarchische Struktur des Chors wird durchbrochen und eine musikalische Fährte gelegt, die das Thema des Films spiegelt: das Verhältnis von Kollektiv und Individuum.

    Am Freitag, 23.06.2017, 20:00 wird der Film gezeigt. Im Anschluss findet ein Gespräch mit Co-Regisseurin Angelika Levi statt.

    Am Samstag, 24.06.2017 und Sonntag, 25.06.2017, ist die ständige Installation „Miete essen Seele auf“ zu sehen im

    Café Refugio | Lenaustr. 3-4, 12047 Berlin-Neukölln (am Kottbusser Damm, nahe U-Bahnhof Hermannplatz)

    MIETE ESSEN SEELE AUF
    Ein Gespräch mit Sandy Kaltenborn von der Kreuzberger Mietergemeinschaft Kotti & Co
    http://www.99prozenturban.de/miete-essen-seele-auf

    Umringt von den mächtigen Hochhäusern am Kottbusser Tor, erinnert das Hauptquartier von Kotti & Co, eine zusammengezimmerte Holzhütte, an das von römischen Festungen belagerte widerständige Gallier-Dorf. Allerdings ist dieser Eindruck ein wenig irreführend: Nicht etwa die Holzhütte, sondern die Bewohner_innen der umliegenden Betonburgen sind gefährdet. Die Bedrohung geht nicht von einer feindlichen Großmacht aus, sondern von Immobiliengesellschaften und der Politik des Berliner Senats.

    Die Hochhaussiedlung am Kottbusser Tor mit ihren überwiegend migrantischen Mieter_innen war lange ein stabiler Riegel gegen die „Aufwertung“ des Viertels, die andere Teile Kreuzbergs schon früher erfasste. Das änderte sich aber zuletzt immer mehr: Alljährliche Mieterhöhungen machen das Wohnen zunehmend unerschwinglich und schüren Existenzängste.

    2011 taten sich Anwohner_innen unter dem Namen Kotti & Co gegen Mieterhöhungen und Verdrängung zusammen. Im Frühling 2012 folgte die Errichtung der Holzhütte, genannt Gecekondu (aus dem Türkischen: „über Nacht gebaut“). Auch heute noch steht sie am gleichen Ort. Kotti & Co wird sogar über Berlin hinaus wahrgenommen. Wie haben sie das geschafft? Die Mittel der Aktivist_innen sind auf jeden Fall andere als die der dickköpfigen Gallier: sie schlagen zwar auch, aber nur auf Kochtöpfe – bei ihren Lärmdemonstrationen.

    Mit Sandy Kaltenborn von Kotti & Co sprachen wir im Gecekondu zum ersten Geburtstag über ihre Ängste, den Berliner Wohnungsmarkt und die Ermächtigung der Menschen, denen sonst niemand zuhört.

    I. ÜBER KOTTI & CO

    Hannes Obens: Gab es eine Art Initialzündung für eure Gründung?

    Sandy Kaltenborn: Ja. Wir haben uns im März 2011 gegründet. Das ist kein beliebiges Datum, weil zum 1. April immer die Mieterhöhung im sozialen Wohnungsbau kommt. Die Häuser am Kotti gehören primär zwei Wohnungsbaugesellschaften. Zu einem Teil der GSW, der 2004 privatisierten, ehemals städtischen Wohnungsbaugesellschaft. Ein anderer Teil ist im Besitz der Hermes Hausverwaltung, die ein Immobilienfonds ist. Jährlich wird die Miete um 13 Cent pro Quadratmeter angehoben. Zusätzlich kamen bei den Hermes-Wohnungen, die so genannten Instandhaltungspauschalen dazu. Das hat dann eine Mieterhöhung von oftmals mehr als 80 Euro auf einen Schlag bedeutet. Das hat das Fass zum Überlaufen gebracht.

    Auf eurer Webseite wird die soziale Brisanz der jährlichen Mieterhöhungen durch eine Zahl drastisch veranschaulicht. Fast 50% der Mieter_innen leben – nach Abzug der Miete – von nicht mehr als 200 Euro im Monat. Wie habt ihr diese Zahl ermittelt und wie ist das möglich?

    Wir haben eine Umfrage mit einem detaillierten Fragebogen unter 130 Nachbar_innen gemacht. Diese ergab, dass viele 50 bis 60% ihres Monatseinkommens für ihre Miete aufwenden müssen. Da bleiben dann häufig nur 200 Euro im Monat für einen Menschen zum Leben übrig. Ich kann mir diese Zahl, immer wenn ich sie ausspreche, selbst gar nicht vorstellen. Aber sie erklärt sich sehr leicht: sehr viele Menschen beziehen hier Transferleistungen wie Hartz IV oder Rente. Der Regelsatz für die Kosten der Unterkunft – also der Teil, den das Jobcenter bezahlt – liegt bei 4,91 Euro pro Quadratmeter netto kalt. Die Mieten liegen hier aber bei bis zu sechs Euro. Diese Differenz muss aus dem Regelsatz (derzeit 382 Euro) bezahlt werden. Zudem sind auch die Nebenkosten zu niedrig angesetzt. Daraus ergibt sich, dass die Leute so wenig haben. Vor kurzem hat auch erst das Berliner Sozialgericht entschieden, dass die Kosten für die Unterkunft zu niedrig angesetzt sind.

    Und was macht der Senat jetzt?

    Sozialsenator Czaja sträubt sich gegen dieses Urteil und will vor die nächste Gerichtsinstanz ziehen. Ein Skandal! Das bedeutet nichts anderes als dass sich Berlin strukturell der Armen entledigt. Die Leute sparen am Essen und ziehen noch enger zusammen, weil es keinen bezahlbaren Wohnraum mehr gibt. Teenager haben keine Rückzugsmöglichkeiten, teilen sich ihr Zimmer mit den Geschwistern. Wegziehen aus dem Kiez ist aber keine Option für die meisten Menschen hier. Die Mobilität, die von stadtplanerischer Seite und der Politik imaginiert wird, existiert hier nicht. Viele Familien sind hier sehr verankert, gerade ältere Menschen sind darauf angewiesen, dass Familienmitglieder in der Umgebung wohnen und ihnen helfen.

    Hintergrundinfo zum sozialen Wohnungsbau in Berlin: Die Absurdität der Praxis des sozialen Wohnungsbaus in Berlin lässt sich gut anhand der Begriffe „Kostenmiete“ und „Sozialmiete“ darstellen. Die Kostenmiete ist der Betrag, der den Immobiliengesellschaften von der Stadt vertraglich als Festeinnahme zugesichert worden ist. Sie liegt bei bis zu 18 Euro pro Quadratmeter in diesem Viertel. Die Sozialmiete, also der Anteil, den die Bewohner_innen der Sozialwohnungen selbst berappen müssen, liegt am Kottbusser Tor derzeit bei sechs Euro pro Quadratmeter. Die Differenz zwischen diesen beiden Summen – zwölf Euro – begleicht die Stadt und überweist sie Monat für Monat an die längst privatisierten Immobiliengesellschaften! 18 Euro pro Quadratmeter ist ein astronomisch hoher Preis, den man höchstens für Top-Immobilien am Markt erzielen könnte.
    Wie kommt es denn zu den krassen Mietsteigerungen? Unter dem ehemaligen Finanzsenator Thilo Sarrazin wurde 2003 beschlossen die Subventionen für den sozialen Wohnungsbau schrittweise zu senken. Die Reduktion wurde auf jährlich 13 Cent pro Quadratmeter festgelegt und auf die Mieter_innen umgelegt. Im Jahr 2004 verkaufte die Stadt dann die kommunale Wohnungsbaugesellschaft GSW an private Investoren.

    Fortsetzung des Interviews:

    Was macht das Wohnen am Kotti unverzichtbar für dich?

    Also, ich kann nur für mich reden und dann versuch ich es zu verallgemeinern. Kreuzberg ist einer der wenigen Orte in Deutschland, die sich durch ein starkes Maß an Diversität, Interkultur, auszeichnen. Es ist ein Ort, an dem ich beruhigt atmen kann. Aus zweierlei Gründen: Der eine ist die Geschichte der Alternativkultur, die ganz unterschiedliche Lebensentwürfe zulässt. Hier wird man nicht schräg angeguckt, wenn man „anders“ ist. Hier ist das Anderssein ein Stück Normalität. Und das zweite, was diesen Stadtteil prägt, ist die Geschichte der Migration. Das ist für mich und viele meiner Nachbarinnen und Nachbarn der wesentliche Grund, dass sich ein Lebensumfeld über Jahrzehnte herausgebildet hat, was mit Community zu bezeichnen ist. Die Leute wohnen über Generationen am Kotti, haben ihre Kinder hier großgezogen. Es sind vor allem die sozialen Netzwerke, die diesen Ort hier lebenswert machen. Alternative Ökonomien sind entstanden und die daher existierende dichte Gewerbestruktur wird den Ansprüchen vieler Menschen gerecht. Zudem ist die Anbindung an den öffentlichen Nahverkehr sehr gut. Im positiven Sinn existieren hier viele Parallelwelten, die sich tolerieren. Es gibt hier natürlich auch viele Schnittstellenakteure, die dazu beitragen, dass sich diese Welten überlappen.

    Ihr ermahnt die Medien nachdrücklich zu einer sensiblen Berichterstattung: „Wir sind keine Zootiere“ und „Wir lassen uns nicht ausstellen!“ ist auf eurer Webseite zu lesen. Habt ihr denn so miese Erfahrungen mit der Presse gemacht?

    Diese Ansprache an die Presse resultiert eher aus dem Sensationsjournalismus. Standard ist, dass dir Journalisten sagen, ich kann das meinen Redakteuren nicht verkaufen, wenn ich nicht ein Subjekt habe, wo ich eine Geschichte dran aufhängen kann. Du brauchst immer solche Opfergeschichten. Ich habe eine ganze Sammlung von Journalistenanfragen wie z.B.: „Ich bin auf der Suche nach Menschen, die schon verdrängt worden sind. Können Sie mir einen Kontakt herstellen?“ Oft werden ganz konkrete Vorstellungen der Personen genannt. Zum Beispiel sollten sie alt, gebildet und mit Migrationshintergrund sein und am besten noch ein Kopftuch tragen. Wir weisen das aber zurück: Wir sind keine Einzelfälle.

    Was macht ihr konkret und was sind eure Protestformen? Was hat es beispielweise mit den Lärmdemonstrationen auf sich?

    Erstens: Wir bilden Bündnisse mit anderen Mietergruppen und wir reden mit allen, auch mit Politikern, die für den Salat verantwortlich sind. Zweitens: Wir organisieren Veranstaltungen, wie vor kurzem im Abgeordnetenhaus, aber auch Events bei uns, in Theatern oder auch an Unis. Drittens: Politik auf der Straße. Wir organisieren die Lärmdemonstrationen. Wir wollen keine klassischen Demonstrationen machen, sondern versuchen ein niedrigschwelliges Format zu finden. Es ist wichtig, dass die Routen sehr kurz sind und dass man immer wieder an den Ausgangsort zurückzukommt. Nicht alle Menschen hier sind so mobil und können überall hinfahren. Wir wollen hier im Kiez vor Ort sein. Zur Form der Lärmdemonstration: Das mit den Kochtöpfen haben wir ja nicht erfunden. Das ist ein Ausdruck von Existenz, Essen und Reproduktion. Es ist ein universelles Format, das z.B. in Argentinien und Spanien zu finden ist. Die Lärmdemonstrationen sind eine Form der Artikulation, gerade für diejenigen, denen eine gesellschaftliche Teilhabe verweigert wird. Im letzten Jahr haben wir anfangs jede Woche demonstriert, im Winter dann aber etwas seltener.

    Wie lauten eure Kernforderungen?

    Erstens: eine temporäre Deckelung der Miete im sozialen Wohnungsbau auf max. vier Euro netto kalt pro Quadratmeter.
    Zweitens: eine Rekommunalisierung des sozialen Wohnungsbaus. Ein Konzept dazu sollte nach dem Beschluss zur Deckelung der Miete erarbeitet werden.

    II. MENSCHEN UND MÄRKTE

    Das Wohnen soll also nicht mehr dem Markt überlassen werden. Wie wirkt sich die Marktlogik auf euch und euer Ansinnen aus?

    Der Witz ist ja, dass bei uns die Marktlogik nur indirekt greift. Wir heißen ja Kotti & Co, weil wir auf der einen Seite im Kotti – also im sozialen Wohnungsbau – leben. Auf der anderen Seite steht das „Co“ für unsere Freundinnen und Freunden aus der Nachbarschaft, die auf dem freien Markt von den Mietsteigerungen, der Gentrifizierung, direkt betroffen sind. Im größeren Maßstab, auf der europäischen Ebene, reihen wir uns ein in die Auseinandersetzung über die Frage, welche Form die sogrannte Marktwirtschaft, der Kapitalismus in den nächsten zwanzig Jahren haben wird.

    Das musst du jetzt nochmal ausführen!

    Gern. Auf der einen Seite sehen wir, dass Deutschland auf europäischer Ebene seine Vorstellung auf breiter Front durchsetzt. Auf der anderen Seite haben wir in Berlin einen Diskurs über Rekommunalisierung – Stichwort Wasserbetriebe und Energie – und Bürgerbeteiligung, wie im Fall von Stuttgart 21. Die große Frage bei uns in Berlin ist, ob man trotz der hohen Verschuldung von über 60 Milliarden Euro weg von der Austeritätspolitik kommt. Und ob man wegkommt von der neoliberalen Stadtpolitik, die auf die Selbstregulierung des Marktes und reine Privatisierung setzt. Dies ist nicht nur eine Frage des Wohnens und der Stadtentwicklung, sondern auch eine der Grundversorgung und des Demokratieverständnisses. Wenn man Demokratie nicht nur als eine Form der politischen Vertretung über den Parlamentarismus, sondern auch als eine Form der sozialen Gerechtigkeit und des sozialen Ausgleichs begreift, dann muss man auch über soziale Rechte und Umverteilung reden.

    Auf eurer Webseite ist vom Rassismus der Verdrängung die Rede: Inwiefern kann aber Verdrängung, die Teil der Marktlogik ist, rassistisch sein?

    Man kann sicherlich nicht sagen, dass aus einem rassistischen Interesse versucht wird Migrant_innen aus diesem Stadtteil zu vertreiben. Zumindest nicht im großen Stil. Aber: es bewegt sich auf unterschiedlichen Ebenen. Wir haben es in dieser Gesellschaft mit einem strukturellen Rassismus zu tun, der sich sowohl in den verschiedenen gesellschaftlichen Institutionen als auch auf dem Markt niederschlägt. Das einfachste Beispiel hierfür ist, du rufst mit dem Nachnamen an und fragst nach einer Wohnung oder du tust das Gleiche mit einem anderen Nachnamen. Ich kann ein Beispiel geben: Hier im Block stehen sehr viele GSW-Wohnungen leer. Unsere Kids haben festgestellt, dass auf den Klingelschildern der leerstehenden Wohnungen nur typisch deutsch klingende Namen angebracht wurden. So will man nach außen suggerieren, dass dieses „Ghetto“ mittlerweile „durchmischt“ ist. Die Häuser sollen „aufgeknackt“ werden. Und den Hintergrund für solche Strategien er Hausverwaltungen bilden oftmals rassistische Stereotypen.

    Der Tourismus in Berlin, und gerade in Kreuzberg, boomt. Ein neuer Markt ist entstanden. Wie beeinflusst diese Entwicklung euer Viertel?

    Viele Freundinnen und Freunde freuen sich erst einmal über die Touristen. Plötzlich kommt die Welt zu ihnen. Das ist eine Bereicherung für viele – man kann Menschen aus aller Welt treffen. Von den Imbissbesitzerinnen konnte vor ein paar Jahren wenige Englisch und jetzt haben alle mindestens Grundkenntnisse. Einige lernen auch Spanisch und andere Sprachen. Natürlich profitieren die Imbissbesitzerinnen auch von der erhöhten Nachfrage. Wir haben auch schon mal ein Flugblatt geschrieben, in dem wir Touristen auffordern mit uns zu demonstrieren. Aber natürlich gibt es auch eine Kehrseite. Das Problem sind weniger, auch wenn sie mal nerven können, einzelne randalierende Tourigruppen, sondern die Ausrichtung dieses Stadtteils und der ganzen Stadt auf eine Tourismusökonomie. Die Gewerbestruktur verändert sich. Alles verliert ein wenig die Seele, in vielen Kneipen wird man nur noch als Portemonnaie gesehen. Auch die Preise in der gastronomischen Infrastruktur ziehen immer weiter an.

    III. PERSPEKTIVEN

    Gab es Versuche seitens der Stadt bzw. der Wohnungsgesellschaften, euch ruhigzustellen oder zu Tode zu umarmen?

    Eine komplexe Frage. Aber, ja, die gab’s. Seit dem Einzug von Senator Müller ist ein neuer Politikstil festzustellen. Während zuvor das Wohnungsproblem völlig ignoriert wurde, gibt Müller sich betont dialogisch. Wir werden gerade andauernd zu Veranstaltungen, z.B. von parteinahen Stiftungen, eingeladen. Alle wollen uns dabei haben. Das ist eine Art zu Tode umarmt werden. Das ist ja auch schwierig. Man kann ja einerseits froh sein, dass man ins vermeintliche Zentrum der Macht vorstößt. Wir wollen unsere Veranstaltungen ja auch nicht im stillen Kämmerchen oder immer nur im Stadtteilzentrum machen, sondern z.B. auch im Abgeordnetenhaus. Das ist der Ort, weil wir über ein städtisches Problem reden. Andererseits ist klar, dass wir als Mieterinnengruppe den Politiker_innen nicht so gegenübertreten können wie Lobbyverbände und große Firmen, die ihnen ganz andere Dinge anbieten können. Aber wir sind auch nicht die einzige Gruppe, die diesen Weg geht und der Austausch hilft einen klaren Kopf zu behalten.

    Seit einem Jahr campiert ihr an der Kreuzung. Haben sich der lange Winter und die Beschwichtigungsversuche der Politik bemerkbar gemacht?

    In der Kerngruppe sind wir geschlossen geblieben, wir sind eine starke Gemeinschaft. Während des Ramadans sind wir etwas ausgedünnt, weil die Hälfte von uns gefastet hat. Aber nein, alle sind sehr stolz auf das, was bisher erreicht wurde. Es ist vielleicht eher so, dass bei den Unterstützermilieus über den langen Winter das Interesse etwas nachgelassen hat. So nach dem Motto: Das ist nichts Neues, die sind ja auch nächste Woche da und so. Aber insgesamt sind wir trotzdem sogar gewachsen.

    Wie schätzt du die gegenwärtigen Entwicklungen und eure Perspektiven ein?

    Sandy leitet die Frage an Mehmet Kavlak weiter, einen neben uns sitzenden jungen Mann.
    Mehmet: Bis jetzt sehe ich die Entwicklung positiv. Es liegt an uns, je mehr wir werden, desto besser sind unsere Aussichten. Wenn man positiv auf etwas guckt, dann kommt etwas Gutes dabei heraus. Und wir haben jetzt sogar eine Jugendgruppe gegründet.

    Gibt es Netzwerke und Kooperationen mit anderen Mieterinitiativen in Berlin und andernorts? Etwa mit Aktivist_innen der spanischen Bewegung gegen Zwangsräumungen (PAH)?[i]

    Wir arbeiten mit vielen Berliner Mieterinitiativen zusammen. Es gibt auch internationale Kontakte, so auch zur spanischen Bewegung gegen Zwangsräumungen. Die Spanier haben hier auch schon eine Veranstaltung gemacht. Die Zusammenarbeit hat sich aber immer durch persönliche Kontakte ergeben. Vor kurzem haben wir auch eine Solidaritätsaktion für die Zwangsgeräumten in Spanien vor der spanischen Botschaft in Berlin unterstützt.

    Was habt ihr bisher schon erreicht?

    Wir haben zum einen sicher Öffentlichkeit für unsere Probleme geschaffen und die Nachbarschaft gestärkt. Aber ich denke, dass etwas anderes entscheidend ist. Nämlich die Organisierung der Menschen, die aus unterschiedlichen Gründen bisher meist passiv geblieben sind. Das ist eine große Ermächtigung, die hier stattfindet. Kotti & Co ist eine kleine feine Ermächtigungsmaschine.
    Viele Menschen, die bisher oft geschwiegen haben oder keine Stimme hatten, eignen sich an, wie die Stadt, wie die Gesellschaft mit ihren unterschiedlichen Institutionen und Interessengruppen, funktioniert. Wir lernen natürlich auch Demonstrationen und Veranstaltungen zu organisieren, Flugblätter zu verteilen. Es ist eine Aneignung des politischen Raums, die auch das Selbstwertgefühl steigert.

    Anmerkung: Dieser Beitrag ist auch in der Printausgabe der Zeitschrift „analyse & kritik“ vom 17.05.13 veröffentlicht worden

    Webseite von Kotti & Co:

    www.kottico.net

    #Berlin #wohnen #Kottbusser_Tor #Gentrifizierung #Veranstaltungskalender

  • Berlin-Charlottenburg: Das Kiezkino am „Stutti“ wird wiederbelebt - Bezirke - Berlin - Tagesspiegel
    http://www.tagesspiegel.de/berlin/bezirke/charlottenburg-wilmersdorf/berlin-charlottenburg-das-kiezkino-am-stutti-wird-wiederbelebt/14626732.html


    Endlich wieder Helzapoppin !

    Zum Herbstwetter passt ein abendlicher Kinobesuch. Dazu lädt auch Low-Budget-Regisseur Patrick Banush ein, der erneut mit seiner Filmreihe „Mädchenkino“ im Ex-Kino Klick an der Windscheidstraße 19 gastiert. Dabei koopiert er mit Nora Kasparick vom Laden „DaWanda Snuggery“ in den alten Kinoräumen. Los geht es am Freitag, 30. September, um 20 Uhr mit Woody Allens „Der Stadtneurotiker“, am 7. Oktober folgt „Mystery Train“ von Jim Jarmusch.

    Bis zum 2. Dezember laufen freitags ab 20 Uhr acht weitere Filme - darunter Banushs eigenes Werk „Die Liebe und Viktor“ am 18. November sowie zum Abschluss am 2. Dezember der Musicalfilm „Hellzapoppin“ (1941). Letzterer lief oft im „Klick“ und soll so einen gewissen Kultstatus im Kiez erlangt haben. Vor und nach den Vorführungen legt Banush als DJ alte Platten auf. Eintritt: 8 Euro.

    #Berlin #Charlottenburg #Windscheidstraße #Kino #Veranstaltung

  • Der Ort - ZK/U Berlin
    http://www.zku-berlin.org/de/der-ort

    Der zweigeschossige Gebäuderteil des ehemaligen Güterbahnhofs wurde bis zum Sommer 2012 komplett instandgesetzt und zu 13 Atelierwohnungen (32-53 qm pro Einheit) für 2- 8 monatige Aufenthalte für Künstler, Stadtforscher und andere Aktive ausgebaut.

    Das im Sommer 2012 eröffnete Zentrum für Kunst und Urbanistik (ZK/U) ist ein neuer, unabhängiger Denk- und Produktionsraum im ehemaligen Güterbahnhof Moabit, Berlin. Nach über 4 Jahren Planung, einem umfangreichen Umbau und Dank der Hilfe von Freunden und Unterstützern ist es dem Künstlerkollektiv KUNSTrePUBLIK gelungen das Gebäude über einen Erbpachtvertrag als langfristigen Standort für öffentliche Veranstaltungen und Forschungsresidenzen mit mehrmonatiger Dauer zu eröffnen. Neben Symposien, Workshops, Konferenzen, Konzerten und Ausstellungsprojekten werden experimentelle Formate für unterschiedlichste Öffentlichkeiten erprobt. Analog dem Warenaustausch der industriell geprägten Dekaden, soll der Güterbahnhof nun zu einem Umschlagplatz zeitgenössischer postindustrieller Werte werden.

    ZK/U – Zentrum für Kunst und Urbanistik
    Siemensstrasse 27
    10551 Berlin
    Germany

    Tel.: +49 30 39885840
    Fax.:+49 30 39885841

    Allgemeine Anfragen: info(at)zku-berlin.org
    Künstlerresidents-Anfragen: residency(at)zku-berlin.org
    Veranstaltungsanfragen: events(at)zku-berlin.org

    http://www.openstreetmap.org/way/225919675

    #Berlin #Moabit #Siemensstraße #Kunst #Veranstaltungen

  • Die 10 besten Berlin-Blogs im Test
    http://www.kaeuferportal.de/ratgeber/wohnen-wohlfuehlen/extras-wohnen-wohlfuehlen/die-10-besten-berlin-blogs
    Hier kommt die Stiftung Warentest für Blogs, könnte man meinen. Ich finde das prätentiös, aber was tut man nicht alles für die Räpjutäischn .

    Um für Sie die besten unter den zahllosen Blogs aus und über Berlin zu finden, haben wir nach unterschiedlichen Qualitätskriterien ausgewählt.
    In erster Linie sollte sichergestellt werden, dass es sich bei den Autoren um reale und authentische Personen handelt. Eine Seite, auf der die Autoren sich und ihren Blog persönlich vorstellen sowie ein Impressum waren deshalb Auswahlkriterien. Die Qualität der Texte war uns natürlich ebenso wichtig. Das Geschriebene sollte informativ aber auch einzigartig sein und der Mehrwert für Sie als Leser deutlich erkennbar. Die Autoren unserer Top 20 Blogs haben sich allesamt, wenn nötig, auf weiterführende Links und Quellen gestützt, um die Richtigkeit ihrer Aussagen zu gewährleisten. Eine rege Beteiligung über die Kommentarfunktion sowie die Präsenz und den Zuspruch in sozialen Netzwerken waren ein weiteres Qualitätskriterium.

    Was die Seiten wirklich taugen, wofür man sie gebrauchen kann, muß man nur selbst herausfinden, die Bewertungen sagen fasct nichts.

    Die Liste

    http://www.mitvergnuegen.com #Essen #Lifestyle #Magazin
    http://weddingweiser.wordpress.com #Wedding
    http://berlinmittemom.com #Familie #Kinder
    http://www.ostkreuzblog.de #Friedrichshain #S-Bahn #Stadtentwicklung
    http://www.masha-sedgwick.com #Mode
    http://berlinlovesyou.com #Lifestyle #Blabla
    http://blog.inberlin.de #Nachrichten #Veranstaltungen #Geschichte
    http://www.hauptstadtblog.de #Wartung
    http://gestern-nacht-im-taxi.de/wordpress #taxi

    und ...

    http://www.bioberlin.wordpress.com
    http://www.lebeberlin.net
    http://www.piecesofberlin.com
    http://www.haraldboettger.wordpress.com
    http://www.blog.kunstleben-berlin.de
    http://www.kalinkakalinka.de
    http://eichiberlin.com
    http://www.berlin-du-bist-wunderbar.de
    http://www.greatest-berlin.de
    http://www.sanzibell.com

    #Berlin #Blog

  • A Guide to Berlin’s Coolest English Language Blogs - Berlin Logs
    http://www.berlinlogs.com/2015/05/berlins-english-blogs.html


    Englisch muß schon sein, wenn man heute in B überleben will.

    Not sure where to start in Berlin? Here’s our comprehensive- yet by no means definitive- list of some of the city’s best English language blogs:

    Berlin Logs is a print & online publication, based on the idea of citizen journalism. We are a growing team of writers from all over the world who all have one thing in common – a passion for this city we now call home.
    So, whether you live here, are thinking of moving here, or are just passing through, we’re sure you’ll find something to interest you.

    Was auch immer man davon hält, ansehen kostet nix (außer viiiel Zeit ;- 0)

    IHeartBerlin - http://www.iheartberlin.de

    We live in Berlin and we heart it so much that we have to share our love for it by running this blog. Here you find reviews and tipps if you visit or live in Berlin and want to know how to find the good stuff. From restaurants to shops, from theaters to art galleries, from concerts to party, from places to people.

    #Ausgehen #Veranstaltungen

    StilinBerlin - http://www.stilinberlin.de

    At its inception in the beginning of 2006, Stil in Berlin dealt with streetstyle, a city finding its feet, fashionwise, but over the past few years its scope has expanded, covering everything from food, style, art and life in ever-changing Berlin. It’s a way to share favorites, to hopefully reflect a little of what life here is and looks like.

    #magazin #Ausgehen #Essen #Veranstaltungen

    Collidoscopeberlin - http://collidoscopeberlin.com

    Collidoscope Berlin (and beyond) is a democratic and inclusive view of the many peoples, spaces, and settings that constitute the modern city. Through the lens of migration – the movement and coming together of people – we believe that we can understand more about what makes ‘us’ who we are on an individual, local, and global scale. Cities, as a reflection of ‘the we’, are a good place to start.

    #Politik #Kunst #Essen #Geschichte #Medien #Religion #Stadtentwicklung

    What Ali Wore - http://alioutfit.tumblr.com

    This is Ali. He walks past my work every morning wearing great clothes /
    www.zoespawton.com

    #Mode

    Wholy Goodness - http://www.wholygoodness.com

    This website is a manifestation of my long term desire to share my recipes and my journey with vegan cooking.

    #Essen #vegan

    The Needle - http://needleberlin.com

    Joseph Pearson (1975) is a writer and historian based in Berlin. He is the essayist and blogger of the Schaubühne Theatre, one of Berlin’s best known state-funded institutions. Since 2008, he has been the voice of The Needle, one of Berlin’s most popular blogs.

    #Tja

    Days of Deutsch - http://www.daysofdeutsch.com

    Learning German, word by word, image by image. Some of it is useful, some of it is utterly useless.

    #Sprache #deutsch

    Maedel’s With a Microphone - http://maedelswithamicrophone.wordpress.com

    The Mädels with a Microphone is a podcasting series from local journalists Jennifer Collins and Tam Eastley. Together, they strive to create informative and quirky long and short podcasts about the hidden side of Berlin. Jen and Tam use Creative Commons music from SoundCloud and make all of their podcasts free to use and share.

    #Podcast #Radio #sound #Kiez #

    Digital in Berlin - http://www.digitalinberlin.de

    As an independent cultural agency Digital in Berlin presents quality forms of serious music. Since 2007 we develop, curate and promote unique event concepts and concerts around the world.

    #Musik

    Kreuzberg’d - http://kreuzberged.com

    Everything You Never Knew You Wanted to Know About Berlin And Kreuzberg

    #Kreuzberg

    Berlin Food Stories - http://berlinfoodstories.com

    Hello, my name is Per and I’m your Berlin food expert.

    #Essen

    Digital Cosmonaut - http://digitalcosmonaut.com

    5 Days a Week week I sit in an office and dabble with the Internet for a living. On the weekends I head out an explore Berlins Abandoned locations. I have a passion for history and love uncovering Berlins little secrets.

    111 PLACES IN BERLIN
    #Foto

    Slow Travel Berlin - http://www.slowtravelberlin.com

    Slow Travel Berlin was founded in January 2010 by British guidebook author, travel journalist and photographer Paul Sullivan. The aim is to establish a repository of eclectic information about the city from a range of perspectives to encourage deeper, more varied exploration and promotion of small, locally-minded businesses and services.

    #Magazin

    Bildquelle: https://www.flickr.com/photos/videren

    Flickr

    #Berlin #Blog