#vins_macédoniens

  • Le nom de la Macédoine, obstacle récurrent à son adhésion à l’Union européenne - REGARD SUR L’EST

    http://www.regard-est.com/home/breve_contenu.php?id=1405

    Les Grecs - comme s’ils n’avaient pas d’autres chats à fouetter - s’opposent toujours à l’adhésion de la Macédoine à l’UE tant qu’elle refuse de changer son nom...

    Le nom de la Macédoine, obstacle récurrent à son adhésion à l’Union européenne

    Par Joe HERZBRUN*
    Le 01/06/2013

    Le gouvernement grec s’opposera à l’ouverture des négociations d’adhésion entre l’Union européenne et la Macédoine tant que la question du nom de cette ancienne République yougoslave, qu’il considère comme appartenant au patrimoine grec, n’est pas réglée. Mais l’adhésion à l’Union a été définie comme la principale priorité stratégique par le gouvernement macédonien.

    #macédoine #grèce #frontières #toponymie #les_mots_sont_important

    • Très bizarrement, j’ai entendu parlé du sujet en regardant un épisode d’une série télé américaine vers mi-mai.

      J’ai cru que c’était une fable et une sorte de moquerie anti-européenne, mais on dirait que non. Je suis stupéfait.

    • Grecia-Macedonia, ripartono i negoziati sul nome

      Ripartono oggi, con rinnovate speranze, i negoziati tra Atene e Skopje per sciogliere l’infinita odissea della “questione del nome”, che contrappone i due vicini dalla dichiarazione di indipendenza della Macedonia nel 1991.

      Per Atene il nome “Repubblica di Macedonia” è inaccettabile perché considerato parte integrante dell’eredità storica greca. Per le autorità elleniche il suo utilizzo da parte del vicino settentrionale nasconde potenziali mire espansionistiche verso la regione greca che porta lo stesso nome.

      A causa della disputa, in sede ONU Skopje ha dovuto accettare la denominazione provvisoria di FYROM, acronimo di “Ex-repubblica jugoslava di Macedonia”, mentre il veto greco le ha sbarrato le porte all’ingresso nell’Unione europea e nella Nato.

      https://www.balcanicaucaso.org/Media/Multimedia/Grecia-Macedonia-ripartono-i-negoziati-sul-nome

    • Grèce : large mobilisation contre un compromis sur le nom de la Macédoine

      Des dizaines de milliers d’opposants au compromis sur le nom de la Macédoine envisagé par le gouvernement grec se sont rassemblés dimanche après-midi à Athènes, 140.000 selon la police, dix fois plus selon les organisateurs.


      http://www.lepoint.fr/monde/grece-la-foule-se-rassemble-a-athenes-contre-le-compromis-sur-le-nom-de-la-m
      #nationalisme #manifestation #Athènes

    • Grèce : la foule se rassemble à Athènes contre le compromis sur le nom de la Macédoine

      Une foule était attendue dimanche après-midi dans le centre d’Athènes pour exprimer son opposition au compromis sur le nom de la Macédoine envisagé par le gouvernement Tsipras, un rassemblement voulu « majestueux » par les organisateurs.


      https://www.courrierinternational.com/depeche/grece-la-foule-se-rassemble-athenes-contre-le-compromis-sur-l

    • Grèce - Macédoine : comment en finir avec le nom qui fâche ?

      Le contentieux sur le nom de la “Macédoine” envenime depuis près de trente ans les relations entre Athènes et Skopje. Débloquer la situation devient impératif pour l’UE afin d’avancer la candidature de cette ancienne république yougoslave et contrer l’influence de Moscou dans les Balkans Occidentaux, estime le correspondant bruxellous de Jutarnji list, de Zagreb.

      https://www.courrierinternational.com/article/europe-grece-macedoine-comment-en-finir-avec-le-nom-qui-fache

    • Macedonia Removes ‘Alexander the Great’ Highway Signs to Greece

      Workers began removing signs for Macedonia’s “Alexander the Great” highway to Greece on Tuesday, in preparation for the replacement signs featuring the road’s new name, “Friendship”, to be installed. As part of concessions reached with Athens, Skopje agreed to rename its main highway to Greece and its airport, currently named “Alexander the Great Airport”, as part of efforts to ease relations between them and move towards solving the long-standing dispute over Macedonia’s name.


      http://www.balkaninsight.com/en/gallery/macedonia-removes-alexander-the-great-highway-signs-to-greece-02-21-2

      #Alexandre_le_Grand

    • Macédoine : la #diaspora mobilise en force contre les négociations avec la Grèce

      30 000 personnes à Sidney, des milliers à Brisbane, Melbourne ou Perth. C’est sous le slogan « Nous sommes la Macédoine » que des manifestations étaient organisées samedi 3 mars dans quatorze villes du monde, afin de réclamer l’arrêt des pourparlers avec la Grèce sur la question du nom et condamner la politique du gouvernement macédonien. Une démonstration de force qui fragilise les négociations avec Athènes.

      https://www.courrierdesbalkans.fr/Macedoine-la-diaspora-manifeste-et-demande-l-arret-des-pourparler

    • Macédoine, le nom de toutes les mobilisations !

      Le conflit toponymique opposant l’autodénommée République de Macédoine et la Grèce sur l’usage du nom de Macédoine dure depuis plus de 25 ans. Il bloque les perspectives d’adhésion à l’UE et à l’Otan de la « République de Macédoine ». Celle-ci est reconnue sous ce nom par plusieurs grandes puissances (Etats-Unis et Royaume-Uni et régionalement Turquie et Bulgarie), mais l’Onu et l’Union européenne ne la reconnaissent que sous le nom de « Former Yougoslav Republic of Macedonia ». Ce conflit connaît un rebondissement dans un contexte politique nouveau. En effet, l’actuel chef de gouvernement grec a proposé d’introduire une discussion bilatérale sur le nom du pays. Ceci suite au changement de gouvernement début 2017 en « République de Macédoine », à son positionnement moins radical en matière d’affirmation de sa Macédonité primordiale, et à des concessions symboliques qui reviennent sur la politique dite d’Antiquisation précédente, notamment le changement de nom de l’aéroport international, d’une autoroute et d’une monumentale statue équestre, toutes trois nommées initialement d’après Alexandre le Grand. Cette discussion devait permettre de sortir de l’impasse dans les relations internationales en envisageant un compromis sur l’usage du nom Macédoine pour désigner le pays. Il s’agissait de trouver une expression moins péjorative que celle de #FYROM imposée aujourd’hui par les alliés occidentaux des Grecs.


      https://neotopo.hypotheses.org/987
      #nationalisme

    • Grèce : 24 villes se mobilisent contre le nom de la Macédoine

      Mercredi soir, des milliers de manifestants se sont rassemblés dans pas moins de 24 villes du nord de la Grèce, mais aussi à Rhodes ou en Crète, pour dénoncer tout accord avec Skopje sur le nom de la Macédoine. Alors que les négociations paraissent stagner, les opposants nationalistes entendent défendre le caractère « exclusivement hellénique » de la Macédoine.

      https://www.courrierdesbalkans.fr/24-manifestations-pour-s-opposer-a-une-solution-sur-l-appellation
      #paywall

    • Macédoine : échec du référendum sur le changement de nom

      C’est un échec retentissant. Le « oui » l’emporte largement (90% des exprimés), mais la participation au référendum de dimanche n’est que de 36% des inscrits. 1,8 millions d’électeurs étaient appelés aux urnes pour répondre à la question : « Êtes-vous pour l’adhésion à l’Union européenne et à l’OTAN, en acceptant l’accord entre la République de Macédoine et la République de Grèce ? » Le Premier ministre Zaev évoque des élections anticipées si le Parlement ne ratifie pas le changement de nom.

      https://www.courrierdesbalkans.fr/Referendum-sur-le-nom-de-la-Macedoine-c-est-le-Jour-J

    • Grèce : le nom de la Macédoine fait vaciller le gouvernement Tsipras

      Vendredi, le Parlement de Skopje a entériné le changement de nom du pays en Macédoine du nord. C’est maintenant la Grèce qui va devoir se prononcer sur l’accord conclu le 17 juin 2018. Après la démission, dimanche, du ministre souverainiste de la Défense, le gouvernement d’Alexis Tsipras n’a plus de majorité. Survivra-t-il au vote de confiance qui aura lieu mercredi ?

      https://www.courrierdesbalkans.fr/le-gouvernement-d-Alexis-Tsipras-ne-tient-plus-qu-a-un-fil-apres-

    • Macedonia del Nord: addio Fyrom, approvato il nuovo nome

      L’approvazione da parte del Parlamento macedone della modifica costituzionale che cambia ufficialmente il nome del Paese in “Repubblica della Macedonia del Nord” apre finalmente le porte alla futura integrazione euro-atlantica di Skopje. Contestualmente, anche il Parlamento greco ha ratificato l’Accordo di Prespa – firmato lo scorso giugno per porre fine alla quasi trentennale disputa sulla legittimità dell’uso del nome “Macedonia” -. Atene aveva previsto un voto inizialmente giovedì 24 gennaio, rimandato poi al giorno successivo, quando 153 deputati (di Syriza, indipendenti e dissidenti di Anel) contro 146 hanno votato a favore della ratifica voluta dal governo di Alexis Tsipras. Il passaggio parlamentare è andato a buon fine in entrambi i Paesi, nonostante le resistenza portate avanti da una parte delle due società civili.

      Nome e bilinguismo, la Macedonia cambia volto
      Il percorso di integrazione euro-atlantica della Macedonia del Nord è tuttavia ancora agli inizi. La risoluzione della disputa sul nome con la Grecia era infatti una condicio sine qua non per avviare questo processo, e ora i legislatori macedoni devono aprire i negoziati con la controparte europea. L’impianto legislativo macedone deve essere notevolmente revisionato e – a differenza dell’ingresso nella Nato -, questo potrebbe portare a dei rallentamenti per la sua adesione all’Unione europea, in particolare per quanto riguarda la lotta alla corruzione e le tematiche ambientali.

      Negli stessi giorni, Skopje ha pubblicato sulla Gazzetta ufficiale la legge sul bilinguismo, che eleva la lingua albanese a lingua ufficiale del paese, garantendo maggiori diritti per la minoranza albanese. La ratifica e pubblicazione della legge sul bilinguismo è l’ultimo dei passi intrapresi dall’esecutivo macedone dopo il breve conflitto scoppiato nel 2001, quando forze ribelli albanesi compirono attacchi di guerriglia per forzare l’allora governo di Skopje a concedere maggiori diritti alla minoranza etnica.

      Elezioni anticipate per rafforzare la maggioranza?
      Nel frattempo, il premier macedone Zoran Zaev e il suo partito di governo, i socialdemocratici della Sdsm, sembrano intenzionati a tornare alle urne con delle elezioni anticipate. Il loro interesse è quello di capitalizzare il successo politico ottenuto dall’approvazione del cambio del nome e strutturare una più forte maggioranza in parlamento. Questo soprattutto alla luce della fuga dell’ex premier conservatore Nikola Gruevski, che ha richiesto l’asilo politico in Ungheria dopo una condanna di due anni per aver utilizzato fondi pubblici per fini personali, insieme all’ex ministro dell’Interno Gordana Jankulovska e al suo assistente Gjoko Popovski.

      L’assenza dell’uomo forte dei conservatori della Vmro-Dpmne potrebbe avvantaggiare la Sdsm, che si troverebbe a correre contro un partito senza un vero leader al comando. Tuttavia, il referendum consultivo sulla questione del nome potrebbe essere un indicatore dell’andamento di possibili elezioni anticipate. A fronte di un largo consenso dei votanti per la modifica costituzionale, ad aver affossato il referendum (benché di natura consultativa) erano stati una bassa affluenza e il mancato raggiungimento del quorum. La diserzione delle urne può infatti essere letta come la contrarietà all’accordo da parte della popolazione, e quindi lasciar pensare possibile uno spostamento di voti verso la Vmro-Dpmne.

      L’obiettivo è l’Unione europea
      La modifica costituzionale è certamente un fattore positivo per il futuro del Paese. La risoluzione della controversia apre ufficialmente le porte per l’inizio dei negoziati con l’Unione europea, che dovrebbero avviarsi nel giugno prossimo, insieme all’Albania. Il percorso, tuttavia, è ancora molto lungo ed è dato non solo dalle criticità interne della Macedonia del Nord, ma anche dalla volontà espressa dal presidente della Commissione europea Jean-Claude Juncker di non procedere ad alcun allargamento fino al 2025. Alla finestra dell’Europa, dove già attendono Montenegro e Serbia, potrebbero aggiungersi presto anche Macedonia del Nord e Albania.

      https://www.affarinternazionali.it/2019/01/macedonia-del-nord-approvato-nome

    • Entre Athènes et Skopje, la guerre des « #vins_macédoniens »

      Malgré la visite « historique » du Premier ministre grec Aléxis Tsípras à Skopje, mardi 2 avril, de nombreux contentieux perdurent entre les deux pays après la signature de l’accord de Prespa. Des producteurs grecs de vin s’indignent ainsi de constater que les bouteilles produites un peu plus au nord conservent leur appellation « #vin_de_Macédoine »...


      https://www.courrierdesbalkans.fr/Macedoine-du-Nord-Grece-qui-peut-vendre-des-vins-macedoniens

      #vin #vin_macédonien

    • North Macedonia PM says EU accession halt putting name deal at risk

      North Macedonia’s prime minister, Zoran Zaev, has warned that a decision not to launch European Union accession talks with the Balkan nation may put the Prespes name deal at risk, as the two processes are intrinsically linked.

      Speaking to the Greek edition of Euronews in Skopje on Monday, Zaev said that certain fundamental articles of the agreement signed with Greece in the summer of 2018 settling a decades-old name dispute between the two neighbors, are linked to the progress of his country’s accession to the EU.

      “Certain chapters will be frozen because they cannot be implemented. We will try to implement them, but the two are connected to each other,” Zaev said in comments translated into Greek by Euronews, stressing that the contentious chapters mainly concern domestic use of the country’s new name.

      Zaev, who called early elections for April after his country’s bid for EU accession was blocked earlier this month, mainly by France, said that admission into the bloc is the only way forward for his country and other Western Balkan nations.

      “We have no alternative. There are no other offers that could serve as an alternative. What other offers there may be do not give us democracy, rule of law and liberties. If the light of the stars of the European Union flag is extinguished, we will have darkness here. And we may get lost in this darkness,” Zaev was quoted as saying.

      “If radicalization and the resurgence of nationalism are given fertile ground, this will do a lot of harm to the entire Balkans. And when the Balkans have a problem, Europe has a problem,” the prime minister added.

      http://www.ekathimerini.com/245913/article/ekathimerini/news/north-macedonia-pm-says-eu-accession-halt-putting-name-deal-at-risk