• Vins de Bourgogne : ce générateur de vortex anti-grêle
    http://www.europe1.fr/France/Vins-de-Bourgogne-ce-generateur-de-vortex-anti-grele-2150277

    Un système dangereux pour la santé ? Toutefois, l’envoi de produits chimiques dans l’air pour modifier le climat soulève inévitablement des questions de santé publique. La dose d’iodure d’argent est très faible selon l’association qui précise « que les études ne montrent pas de risque reconnus pour la santé ». De plus, l’association préfère insister sur le fait que l’utilisation des générateurs est une action locale qui peut être arrêtée à tout moment et a donc un impact très limité. Pourtant, cette vision est contestée par certains scientifiques qui rappellent que les données manquent pour avoir une vision objective de l’impact sur l’environnement mais que celui-ci ne doit pas être ignoré. De plus, l’Agence de protection de l’environnement américaine, à l’occasion du clean water act, l’avait jugée « #polluant_toxique », particulièrement pour les organismes aquatiques.

    Bon, c’est E1, mais comme l’article est le plus documenté…

    #viticulture #grêle #agriculture #apprentis_sorciers #pollution

  • Résistance Naturelle
    http://www.rezofilms.com/distribution/resistance-naturelle

    Réunis sous le soleil de l’Italie, une poignée de vignerons et un directeur de Cinémathèque partagent leur passion du vin et du cinéma. […] Dix ans après MONDOVINO, Jonathan Nossiter part à la rencontre en Italie de ses quelques résistants, de ces passeurs de vie.

    Cool ! http://vimeo.com/95408865

    #Agriculture_biodynamique #Agriculture_biologique #Cinéma #Film_documentaire #Italie #Jonathan_Nossiter #Vin #Viticulture_en_Italie

  • En Bourgogne, les hélicoptères à #pesticides sont de retour - Reporterre
    http://www.reporterre.net/spip.php?article5744

    Entouré d’un vignoble de cinq mille hectares et fort d’une production de quarante-neuf millions de bouteilles par an, Mâcon est bien connu des vinophiles qui viennent de loin pour la plus ancienne Foire nationale des vins, en France. Au sud de la Bourgogne, son paysage offre un entrelacement de villages et de vignes ondulant au gré des monts couronnés de masses pierreuses. On y cultive les cépages de chardonnay pour les blancs et de gamay pour les rouges.

    Le 24 mars, la Coopérative agricole du Mâconnais Beaujolais (CAMB) a déposé à la préfecture de Saône et Loire une demande de dérogation d’épandages aériens de produits phytosanitaires pour lutter contre le mildiou, l’oïdium et le black-rot, maladies communes de la vigne, pour une période temporaire de quatre mois entre le 22 avril et le 4 août 2014.

    #viticulture #santé

  • Pesticides : la « faute inexcusable » d’un employeur viticole reconnue
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/04/11/pesticides-la-faute-inexcusable-d-un-employeur-viticole-reconnue_4400130_324

    C’est une victoire pour les opposants aux pesticides. Après sept années de combat judiciaire, Sylvie S. (elle a souhaité que son nom ne soit pas cité), salariée dans un domaine viticole en Gironde et intoxiquée par une pulvérisation de pesticides, a obtenu la reconnaissance de la « faute inexcusable de son employeur ».

    « Si les maladies dues à l’exposition aux #pesticides sont de plus en plus souvent reconnues comme professionnelles, cette reconnaissance de la faute inexcusable de l’employeur est une première », estime Nadine Lauverjeat, porte-parole de Générations futures, une association de défense de l’environnement.

    La bataille fut rude et donna lieu à de nombreux rebondissements. Employée par le château Monestier La Tour, un domaine qui propose blancs et rouges notamment dans l’appellation bergerac, Mme S. est amenée, le 8 juin 2007, à travailler sur des vignes traitées la veille avec deux produits phytosanitaires reconnus comme irritants, le Cabrio Top et le Clameur (du groupe BASF).

    #viticulture #santé #maladie_professionnelle #pollution

  • Jonathan Nossiter et le cinéma naturel, esquisse d’une nouvelle émotion ...
    http://blogs.mediapart.fr/blog/olivierbeuvelet/040314/jonathan-nossiter-et-le-cinema-naturel-esquisse-dune-nouvelle-emotio

    Cet été, sous le soleil d’Italie, attablé avec des amis vignerons1 et son ami Gian Luca Farinelli2autour de bouteilles de vins naturels, Jonathan Nossiter, avec l’aide de Paula Prandini, a tourné un film, presque spontanément, pour explorer in situ la manière dont les vignerons résistants pourraient dialoguer avec le cinéma. Ils étaient réunis pour parler d’un projet commun, prévu à la cinémathèque de Bologne, et défendre leurs positions vis-à-vis de la DOC (Denominazion di origine controllata – AOC). Norme administrative qui fait qu’aujourd’hui, par exemple, un Chianti de Giovanna Tiezzi et Stefano Borsa, réalisé selon la tradition toscane, dans le Chianti, à partir des cépages historiques, ne peut plus s’appeler Chianti …

    La conversation allait des anecdotes comiques racontant l’absurdité des normes industrielles appliquées à des produits du terroir à des considérations plus profondes sur le rapport des hommes à l’humus, à l’histoire des lieux et à l’éthique artisanale du geste créatif…

    La tribune de Jonathan Nossiter dans Libé
    http://next.liberation.fr/cinema/2014/02/16/apres-les-vignerons-naturels-les-cineastes-artisans_980612

    La prétendue « crise » est un euphémisme vendu par ceux qui n’ont rien perdu ces dernières années, pour adoucir le choc, sinon inadmissible, du nouvel ordre socio-économique. Entre autres victimes, la culture du geste artisanal, authentique et libre (aussi ancienne que la civilisation) est parmi les plus endommagées. Par miracle, il reste un petit village - plutôt gaulois, mais pas seulement - qui résiste : la tribu des vignerons « naturels ». En dix ans, des agriculteurs libres ont transformé la conception du vin ainsi que le marché du vin, surtout en France et en Italie, mais ailleurs aussi.

    Face à une culture dominante de marketing et d’uniformisation - à l’échelle industrielle certes, mais également chez des faux artisans -, des milliers de paysans et de paysans convertis ont déclaré d’abord leur liberté de pouvoir se rattacher à l’histoire artisanale d’un lieu. Ensuite, avec leurs vins libres, à la fois d’avant-garde et traditionnels, ils ont réussi à se faire une petite place (croissante) sur le marché mondial, suivi surtout par des jeunes, plus lucides que ceux de ma génération sur les escroqueries commerciales. Les vignerons naturels sont aussi hétéroclites que possible, unis dans le refus des règles dictées par le marché (ou par eux-mêmes !) et unis dans le respect absolu de la santé des sols, des hommes et des bêtes, les uns dépendant toujours des autres !

    Est-ce que mes collègues cinéastes s’inspireront de cette résistance ?

    #cinéma #financement_collaboratif #viticulture #vin_naturel #réflexion #industries #capitalisme

  • Le sperme se dégrade davantage dans les régions viticoles françaises - L’Express
    http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/le-sperme-se-degrade-davantage-dans-les-regions-viticoles-francaises_149606

    On connaissait déjà le déclin de la qualité du sperme en France, mais on sait maintenant que la tendance varie fortement selon la région. Une nouvelle analyse d’une étude entamée en 2012 par l’Institut de veille sanitaire (InVS) révèle ce jeudi que l’Aquitaine et les Midi-Pyrénées sont les plus touchées.

    Au point d’en accuser la production du vin ? « Les activités viticoles sont celles où l’on utilise le plus de pesticides proportionnellement à la surface », explique le Dr Joëlle Le Moal. L’épidémiologiste évoque « une exposition globale ubiquitaire de l’ensemble de la population depuis les années 50 » aux perturbateurs endocriniens. D’où l’hypothèse du rôle de facteurs environnementaux susceptibles de perturber le fonctionnement hormonal.

    Sur le fond, le déclin de la qualité du sperme -près d’un tiers de baisse de concentration en spermatozoïdes- est une tendance qui n’épargne pratiquement aucune région française. Le Dr Joëlle Le Moal et ses collègues avaient décrit ce phénomène dans une étude sur plus de 26 600 hommes en 2012, mais la nouveauté repose sur une analyse au niveau régional, parue dans la revue internationale Reproduction.
    Quid de la génétique ou du tabac ?

    Cette nouvelle étude régionale confirme que le déclin de la qualité du sperme touche surtout Aquitaine et Midi-Pyrénées, des régions qui n’ont pas de fort taux d’excès de poids qui pourraient être mis en cause. La période apparaît par ailleurs trop courte pour attribuer cette évolution à une influence génétique.

    Mais si ces régions ne font pas partie de celles où la consommation de tabac et d’alcool sont les plus élevées, il s’agit cependant de régions viticoles : l’Aquitaine est la 1re région française pour l’emploi dans le secteur agricole viticole et la 2e pour le nombre d’exploitations, quand les Midi-Pyrénées sont la 1re région pour le nombre d’exploitations et la 2e pour la surface cultivée pour les activités viticole et d’arbres fruitiers.

    Reste qu’en dehors de l’analyse régionale, le nombre des spermatozoïdes d’un homme de 35 ans est passé de 73,6 millions de spermatozoïdes par millilitre de sperme en 1989 à 49,9 M/ml en moyenne en 2005. La concentration du sperme a subi une baisse continue, de l’ordre de 1,9% par an pour atteindre en seize ans environ un tiers, selon la précédente étude portant sur 1989-2005. Les concentrations spermatiques restent en moyenne dans la norme fertile de l’OMS (supérieure à 15 millions/ml), relève toutefois le Dr Le Moal.

    « C’est très important de surveiller la qualité du sperme au niveau international maintenant que l’on a des données de sa dégradation en France », souligne-t-elle. C’est justement l’objet d’un réseau, nommé « Hurgent », lancé par l’InVS fin 2013 au niveau européen.

    #France
    #viticulture
    #santé
    #sperme se dégrade davantage dans les régions viticoles françaises

  • INRA - flavescence dorée de la vigne
    http://www.inra.fr/Chercheurs-etudiants/Biologie-vegetale/Tous-les-dossiers/flavescence-doree-de-la-vigne
    Publié le 26/03/2013

    Les moyens de lutte actuels reposent sur l’arrachage des ceps atteints, la prophylaxie de l’état sanitaire des plants de pépinière, et les traitements insecticides contre le vecteur. Ces traitements sont obligatoires, polluants, coûteux, et contrecarrent la démarche de réduction de pesticides de la filière viticole. Ces plans de lutte obligatoire posent en outre d’énormes problèmes aux viticulteurs engagés en Agriculture Biologique ou en processus de conversion vers celle-ci.

    Proposer des méthodes qui vont permettre de mieux gérer la lutte actuelle et développer des solutions de lutte alternatives plus économes en insecticides est donc indispensable à court terme. Ceci nécessite une meilleure connaissance du pathogène, du vecteur et des mécanismes qui gouvernent les interactions entre le phytoplasme, la cicadelle et la vigne.

    Via la campagne de l’IPSN en faveur d’ #Emmanuel_Giboulot #viticulture #vigne #vin #agriculture_biologique #inra #recherche

  • Une journée avec le vigneron jugé pour avoir dit non aux pesticides - Le nouvel Observateur
    http://rue89.nouvelobs.com/2014/02/21/journee-vigneron-juge-avoir-dit-non-pesticides-250124

    Emmanuel Giboulot, jugé lundi, risque six mois de prison et 30 000 euros d’amende pour avoir refusé d’utiliser des pesticides qu’il jugeait inutiles et dangereux pour la santé. Il parle d’« omerta complète ».

    #viticulture #pesticides

  • « Je travaillais les mains dans la chimie... », par Lémi (Article11)
    http://www.article11.info/?Je-travaillais-les-mains-dans-la

    « J’ai commencé à travailler à plein temps sur l’exploitation familiale en 1986, alors que j’avais à peine 18 ans ; je sortais tout juste de trois ans de formation au lycée viticole de Beaune. Ces cours, je les avais pris très au sérieux, parce que j’estimais ne pas avoir droit à l’erreur – surtout par rapport à mes parents, peu fortunés, qui finançaient mes études et la construction de la cave qu’ils destinaient à mon frère et à moi.

    Une fois le diplôme en poche, j’ai travaillé d’arrache-pied, sept jours sur sept. Nous avions en permanence le nez dans le guidon, d’autant que le domaine est vite passé de huit à seize hectares. Quand tu travailles autant, tu n’as pas vraiment le temps de réfléchir, de t’interroger sur ton métier. Tu fais comme les autres : tu écoutes les soi-disant spécialistes. En fait, tu cherches surtout à te faciliter la vie. »
    *

    « Un petit viticulteur reçoit régulièrement la visite de commerciaux de grandes boîtes chimiques, comme Sandoz, Bayer ou BASF. Ces gars te guident, te garantissent que tel produit sera « parfait pour toi ». Alors, tu l’achètes et tu penses avoir résolu tes problèmes.

    Tu n’as pas d’armes pour réfléchir autrement, parce que personne ne remet en cause ce modèle. Et puis, j’avais déjà été abreuvé du même discours à l’école. Mot pour mot ! Cette formation que j’ai suivie à Beaune avait pourtant très bonne réputation. Mais en fait d’études, j’avais surtout été matraqué de documents publicitaires édités par ces multinationales et d’incitations à recourir aux produits phytosanitaires chimiques.

    Je ne l’ai compris que bien plus tard, mais nos professeurs étaient probablement aussi victimes d’un état d’esprit disséminé au quotidien et dans les colloques. J’en arrive à penser qu’ils étaient embrigadés. À tel point qu’à l’époque ils nous décrivaient les vignerons qui tentaient de faire du bio comme des hippies attardés produisant une piquette écolo. Selon eux, leur démarche n’avait aucun intérêt. En trois ans de formation, je crois n’avoir bénéficié que d’une heure de cours sur les vins bio ou biodynamiques3.

    Pendant ma formation, on ne m’a jamais expliqué qu’il était possible de travailler autrement. Pire : les profs nous distribuaient des documents avec de belles photos couleur, estampillés au nom des grands labos : BASF, Bayer, Sandoz, etc. La première grappe de grenache que j’ai vue figurait sur une fiche ornée du logo de Bayer, avec au dos les indications pour combattre l’oïdium4 ou le mildiou sur ce cépage et la liste des produits à utiliser. Au cours de ma formation, j’ai dû apprendre ces éléments par cœur : ils faisaient partie intégrante des cours. »

    #viticulture #pesticides #vin

    • J’ai raté la photo du tracteur juste en face, sur le flanc de la montagne qui passe les produits chimiques sur les vignes, un nuage gris grand 10 fois comme lui tournoie, va se déposer sur la forêt, la route, les environs, gagne les maisons, on ferme les fenêtres pour ne pas respirer l’odeur infâme qui colle aux poumons. On n’a le droit de rien dire, le gars fait partie du pays, son père était lui aussi viticulteur. Réussir à détruire la terre, la santé, la nature environnante en moins de 20 ans et empoisonner le vin et des connaissances de plus de 2000 ans.
      #embrigadement #biodynamie

      « Outre les résidus de pesticide qu’ils contiennent, les vins industriels sont totalement aseptisés, transformés par les ajouts : gomme arabique, anti-oxydants, acide citrique, acide métatartrique, etc. Dans les cas extrêmes, il n’y aurait même plus la place d’inscrire le cépage s’il fallait énumérer sur la contre-étiquette l’ensemble des produits utilisés... Pour l’instant, seule la mention des sulfites est obligatoire ; le reste est invisible. C’est une exception dans l’agro-alimentaire, qui tient à la puissance du lobby français du vin « non bio ».

  • #Géomatique, quelques liens :
    Un beau rapport infographique 2013 sur les données d’Open Street Map (#OSM) (cc @reka)
    https://www.mapbox.com/osm-data-report ;

    pour les amateurs de #vin, l’université australienne d’Adélaïde vient de publier un rapport et une base de données sur la #viticulture
    http://www.portailsig.org/content/une-base-de-donnees-viticole-mondiale ;

    enfin, une splendide vidéo HD prise par satellite qui annonce une sacrée évolution dans le domaine de la #télédétection (via portail.sig)

    http://vimeo.com/82644547

    #SIG

  • Vin naturel … et si vous en mettiez sur votre table
    http://www.univers-nature.com/actualite/64771-64771.html
    Des fois, c’est brutal, mais ça change des pinards standardisés

    En conséquence, quand la dégustation des vins issus de la #viticulture et vinification industrielles exprime de manière standardisée les cépages, le vin naturel laisse apparaître des saveurs et arômes oubliés de ses descendants. Pour le caviste Jean-Charles Gauthey, de la Fontaine des Sens (2) à Château-Thierry (dans l’Aisne), avec les vins nature « On a des arômes un peu animaux, des arômes assez forts, surtout dans les vins rouges, mais en bouche c’est totalement différent. C’est souvent le fruit qui ressort énormément, avec de la rondeur et une relative puissance. Tout dépend évidemment du cépage, mais ce ne sont pas des arômes conventionnels et il y a plein de ressentis assez différents … »

  • La justice poursuit un viticulteur bio qui dit non aux pesticides
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/11/27/la-justice-poursuit-un-viticulteur-bio-qui-dit-non-aux-pesticides_3520557_32

    Comment concilier vignoble bio et lutte contre une maladie mortelle de la vigne ? C’est la question épineuse à laquelle s’est heurtée Emmanuel Giboulot, qui exploite dix hectares de vignes en biodynamie sur la Côte de Beaune et la Haute-Côte de Nuits, en Bourgogne. Le viticulteur de 51 ans doit être bientôt convoqué devant la justice pour avoir refusé de traiter ses cépages de chardonnay et de pinot noir. Il encourt jusqu’à six mois d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende, comme l’a révélé le site Bastamag.
    En juin, un arrêté préfectoral avait imposé le traitement de « l’ensemble des vignobles de la Côte-d’Or » au moyen « d’une application unique d’un insecticide ». Visée : la cicadelle, petit insecte vecteur de la flavescence dorée, une maladie très contagieuse et mortelle pour la vigne.

    #viticulture #pesticides

  • Aujourd’hui les berlinois sont appelés à décider sur la forme du rachat du fournisseur d’énergie électrique régional.

    Der Tagesspiegel explique comment l’entreprise communale fut vendue pour combler des trous dans le budget de la ville.

    Berliner entscheiden am Sonntag über den Rückkauf der Stromversorgung
    http://www.tagesspiegel.de/berlin/volksentscheid-energie-wie-berlins-strom-privat-wurde/9018512.html

    Ende 1995 äußerte Finanzsenator Elmar Pieroth (CDU) erstmals vage verkaufsabsichten. Zunächst war von einem Paket von 25,8 Prozent die Rede. Doch unter dem Eindruck eines Finanzlochs von drei Milliarden Euro im Haushalt 1997 signalisierte die Amtsnachfolgerin Pieroths, Annette Fugmann-Heesing (SPD) den Willen zum Komplettverkauf. Grüne und PDS, SPD-Linke und Gewerkschaften schäumten, während der SPD-Fraktionschef Klaus Böger angesichts des finanziellen Notstands davor warnte, „Berlin in die Unregierbarkeit torkeln“ zu lassen. 1997 votierte ein SPD-Landesparteitag knapp für die Privatisierung. Unter der Bedingung, dass sich auch eine private Bewag an den „energiepolitischen Zielen Berlins“ orientieren solle. Für die Christdemokraten war der Verkauf von vornherein kein Problem. Am Ende erhielt ein Bieterkonsortium aus Viag, Veba und dem US-Konzern Southern Energy den Zuschlag und es flossen, nachdem das Bundeskartellamt zögernd zugestimmt hatte, fast 1,5 Milliarden Euro in die leere Landeskasse.

    Die Bewag war das erste voll privatisierte Versorgungsunternehmen in Deutschland.

    On ne se rappelle prèsque plus de politiciens corrompus de l’époque. Le sénateur des finances Pieroth était connu pour ses vins nuisibles pour la santé. Il y rajoutait une substance comparable à l’anti-gel de voitures afin de manupuler leur goût et les vendre plus cher.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Glykolwein-Skandal

    Es kam zur Aufdeckung von Weinverfälschungen, als ein Winzer auffällig große Mengen von Frostschutzmittel steuerlich geltend machen wollte, obwohl er lediglich einen kleinen Traktor besaß.
    ...
    In der Bundesrepublik Deutschland wurde der Fall zum Medienereignis, als bekannt wurde, dass deutsche Firmen unter Mithilfe von Landesministerien involviert waren. Insbesondere die Firma des CDU-Politikers und Unternehmers Elmar Pieroth geriet dabei ins Visier der Ermittlungsbehörden.[4] So wurde in Weinen des Unternehmens Pieroth, an dem Elmar Pieroth zusammen mit anderen Gesellschaftern beteiligt war, Diethylenglykol nachgewiesen.[5] Pieroth sagte damals aus, er habe davon nichts gewusst.

    #allemagne #berlin #viticulture #energie

  • Pourquoi des bons crus sont vendus comme des vins de table (No wine is innocent)
    http://blogs.rue89.com/no-wine-innocent/2012/09/15/pourquoi-des-bons-crus-sont-vendus-comme-des-vins-de-table-228370

    « Faire un vin d’AOC aujourd’hui, c’est comme passer les éliminatoires de Miss Camping. C’est l’étape avant tous les autres concours qui alimentent le business juteux des petites vignettes, ces médailles d’or au concours de X ou Y qu’on voit partout.

    Le principe est le même : on paye pour qu’une bande de guignols au goût standardisé nous disent si notre vin a la goût de là où il vient. Et on paye cher.

    Mais tout est logique, cohérent. Déjà, les services techniques du conseil interprofessionnel nous rappellent à chaque début de vendanges qu’il est bon de levurer nos cuves, que les enzymes d’extraction ont de très bons résultats, ou encore que pour obtenir des rouges pleins de fruits, les chips de bois offrent d’excellents résultats en vinification... »

    #viticulture