Thread by mugecevik on Thread Reader App – Thread Reader App
▻https://threadreaderapp.com/thread/1308080056384843777.html
#covid-19 #contagiosité #transmission #vulnérabilité
Thread by mugecevik on Thread Reader App – Thread Reader App
▻https://threadreaderapp.com/thread/1308080056384843777.html
Muge Cevik sur Twitter : “A real overlap in the causes of mortality and deprivation can be seen here. The age-standardised rate of deaths involving #COVID-19 in the most deprived quintile was more than double (2.3 times higher) than in the least deprived quintile in Scotland.” / Twitter
▻https://twitter.com/mugecevik/status/1308080099900698624
La #pauvreté est un facteur de risque ignoré de décès par #COVID-19
Muge Cevik sur Twitter : "In summary: The disproportionate impact of COVID-19 on households living in poverty, and the racial and ethnic disparities observed in many countries, emphasize the need to urgently update our definition of “#vulnerable” populations for COVID-19 & address these inequities. (22/n)" / Twitter
▻https://twitter.com/mugecevik/status/1308080103407132673
C’est une question d’exploitation et donc de capacité à se soustraire aux risques de contagion.
Quelle communauté de risques et de destin entre le bourgeois de centre-ville qui s’est tranquillou dématérialisé dans sa résidence secondaire en Normandie et sa femme de ménage qui a lutté pour sa survie dans son clapier de Seine-Saint-Denis ?
Rappelons que les FDO on laissé les premiers violer le confinement pour aller se « vacancer » en cambrousse (où ils ont généreusement covidé l’autochtone !) pendant qu’ils harcelaient le fils de la seconde qui tentait d’aller au ravitaillement dans sa cité-cimetière.
L’agence chargée des réfugiés palestiniens « au bord de la cessation de paiement »
▻https://www.lemonde.fr/international/article/2020/09/19/l-agence-chargee-des-refugies-palestiniens-au-bord-de-la-cessation-de-paieme
Où en est la progression de l’épidémie de Covid-19 dans les camps de réfugiés palestiniens ? En juillet, nous avions moins de 200 cas recensés, sur nos cinq théâtres d’opération (Liban, Jordanie, Syrie, Cisjordanie et bande de Gaza). Le taux de contamination était inférieur à celui des pays hôtes. Depuis, l’épidémie a progressé de façon drastique dans ces pays et cela s’est traduit aussi dans les camps, principalement dans ceux de Cisjordanie. On recensait 6 876 cas le mardi 15 septembre, et 685 morts. Comme partout, le plus à craindre c’est l’épidémie de pauvreté. Le Covid-19 a un impact socio-économique terrible sur la population des camps, déjà très vulnérable. Songez que dans les camps libanais, le taux de chômage dépasse les 80 %. Les attentes de nos bénéficiaires n’ont jamais été aussi élevées. Le problème c’est que nos donateurs, eux, s’apprêtent à entrer en récession.
Dans quelle situation budgétaire se trouve l’agence ? Il nous manque 200 millions de dollars pour finir l’année, notamment payer les salaires de nos 30 000 employés de septembre à décembre. Ce montant est séparé de l’appel à contribution, à hauteur de 95 millions de dollars, que j’ai récemment lancé pour couvrir les besoins supplémentaires créés par l’épidémie de Covid-19. On entre dans une zone dangereuse. Nous naviguons à vue. Nous sommes au bord de la cessation de paiement. Si nous ne parvenons pas à régler les salaires des prochains mois, c’est notre réponse au Covid-19 qui sera mise en cause. Dans une région aussi instable et volatile que le Moyen-Orient, l’UNRWA est une source de prévisibilité. Investir dans l’UNRWA, c’est investir dans le développement humain, donc dans la stabilité.
#Covid-19#migrant#migration#camp#refugie#palestine#vulnerabilite#sante#pauvrete#liban#jordanie#syrie#cisjordanie#gaza#unrwa
Coronavirus spurs discrimination towards Chinese, migrants, foreigners in Asia: IFRC | South China Morning Post
▻https://www.scmp.com/news/asia/southeast-asia/article/3101918/coronavirus-spurs-discrimination-towards-chinese-migrants
The International Federation of Red Cross and Red Crescent Societies (IFRC) warned on Thursday that the novel coronavirus
is driving discrimination towards vulnerable communities in Asia
, including migrants and foreigners. The humanitarian agency surveyed 5,000 people in Indonesia, Malaysia, Myanmar and Pakistan and found about half blamed a specific group for spreading the coronavirus, with many mentioning Chinese people, immigrants and foreigners.“It is particularly concerning that both national migrant and foreign workers are blamed for the spread of Covid-19 as they are quite vulnerable already,” said Dr Viviane Fluck, one of the lead researchers and the agency’s Asia-Pacific community engagement and accountability coordinator.
#Covid-19#migrant#migration#asie#discrimination#travailleurmigrant#etranger#vulnerabilite#sante#immigrant
Covid-19 death rate among African Americans and Latinos rising sharply | World news | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/world/2020/sep/08/covid-19-death-rate-african-americans-and-latinos-rising-sharply
▻https://i.guim.co.uk/img/media/c88b9398ca57aa1814aa95fe9314e886204fccb2/0_98_5040_3024/master/5040.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali
The death rate in the US from Covid-19 among African Americans and Latinos is rising sharply, exacerbating the already staggering racial divide in the impact of the pandemic which has particularly devastated communities of color.New figures compiled by the Color of Coronavirus project shared with the Guardian show that both total numbers of deaths and per capita death rates have increased dramatically in August for black and brown Americans. Though fatalities have also increased for white Americans, the impact on this group has been notably less severe.
The latest figures record that in the two weeks from 4 to 18 August the death rate of African Americans shot up from 80 to 88 per 100,000 population – an increase of 8 per 100,000. By contrast the white population suffered half that increase, from 36 to 40 per 100,000, an increase of 4 per 100,000. For Latino Americans the increase was even more stark, rising from 46 to 54 per 100,000 – an increase of 9 per 100,000.The new batch of statistics is a cause for concern on a number of levels. The death rate for all racial and ethnic groups had been falling through the summer but after the virus began surging through the south and midwest in July it produced a time-lagged spike in deaths in August that has driven the human suffering back up to previous grim heights.
“We are seeing more deaths among African Americans and Latinos than at any time this summer. So as we go into the fall, with schools and colleges reopening and other new avenues for exposure, it portends a very frightening future,” said Andi Egbert, senior researcher with APM Research Lab, the non-partisan research arm of American Public Media that compiles the data.On 18 August, the latest date on which the researchers have crunched the numbers, almost 36,000 African Americans had died from Covid-19. The new uptick means that 1 in 1,125 black Americans have died from the disease, compared with 1 in 2,450 white Americans – half the rate.
That striking disparity underlines a major failing at the heart of the US response to Covid. It has been known now for several months that the virus is extracting an especially punishing toll among communities of color, yet federal and state governments have not taken steps effectively to ameliorate the disaster. “It’s not breaking news that black and Latino communities are suffering and dying from Covid-19 in much higher rates than white Americans. But as the months drag on we see the death rates continuing to be much higher and even accelerating for vulnerable groups,” Egbert said.
#covid-19#migrant#migration#etatsunis#minorite#inegalité#mortalite#morbidite#sante#diaspora#vulnerabilite#communaute
HCR - Rapport du HCR : L’éducation des réfugiés gravement menacée par le Covid-19 – la moitié des enfants réfugiés dans le monde ne sont pas scolarisés
▻https://www.unhcr.org/fr/news/press/2020/9/5f4cc359a/rapport-hcr-leducation-refugies-gravement-menacee-covid-19-moitie-enfants.htm
Dans un rapport publié ce jour, intitulé « Tous unis pour l’éducation des réfugiés », le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, prédit qu’en l’absence de mesures immédiates et audacieuses adoptées par la communauté internationale pour contrer les effets catastrophiques du Covid-19 sur l’éducation des réfugiés, le potentiel de millions de jeunes réfugiés vivant dans certaines des communautés les plus vulnérables au monde sera mis un peu plus en péril. Les données du rapport sont issues de statistiques brutes sur la scolarisation pour l’année scolaire 2019.Même si les enfants de tous les pays ont subi les conséquences du Covid-19 sur leur éducation, le rapport montre que les enfants réfugiés ont été particulièrement impactés. Avant la pandémie, un enfant réfugié risquait deux fois plus d’être déscolarisé qu’un enfant non réfugié, un écart qui va encore se creuser : nombre d’entre eux n’auront probablement pas la possibilité de reprendre leurs études du fait de la fermeture des écoles, des difficultés à payer les frais de scolarité, les uniformes ou les manuels scolaires, du manque d’accès aux technologies ou parce qu’on leur impose de travailler pour subvenir aux besoins de leur famille.
#Covid-19#migrant#migration#refugie#enfant#education#sante#vulnerabilite
Réussir ses études à l’Université tout en gérant tant bien que mal des situations de précarité est désormais le pari de nombreux étudiant.e.s… Article en collaboration avec le Cereq #éducation #université #précarité
Quand études et #autonomie riment avec #vulnérabilité
Réussir ses études est un des principaux défis auxquels sont confrontés les étudiants. Les réussir tout en gérant des situations de précarité plus ou moins importantes, dans un parcours de marche progressive vers l’autonomie, en est un autre dont on parle beaucoup moins alors qu’elles affectent désormais un nombre important de jeunes
#précarité_étudiante #études #ESR #université #facs #études_universitaires
Une étude de l’OIM met en lumière l’impact de la COVID-19 sur la population migrante en Amérique centrale et au Mexique | Organisation internationale pour les migrations
▻https://www.iom.int/fr/news/une-etude-de-loim-met-en-lumiere-limpact-de-la-covid-19-sur-la-population-migra
▻https://www.iom.int/sites/default/files/styles/highlights/public/press_release/media/covid_survey_picture1_0.jpg?itok=870ZOFfw
Près de 60 pour cent des personnes ayant l’intention de migrer ont décidé de reporter ou d’annuler leurs projets en raison de la pandémie. Plus de 20 pour cent des migrants existants envisagent de retourner dans leur pays d’origine dès que leur situation économique ou les mesures sanitaires adoptées par leur pays le leur permettront. Environ la moitié des migrants en Amérique centrale et au Mexique ont perdu leur emploi en raison de la pandémie. Ce sont là quelques-unes des conclusions mises en lumière cette semaine dans une étude menée par l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Plus de 1 600 personnes ont participé à cette étude organisée par l’OIM, qui a été lancée en juin pour mesurer et comprendre l’impact de la pandémie sur les intentions de migration. L’étude a également porté sur la situation socioéconomique, la santé physique et mentale et les facteurs de risque auxquels sont confrontés les migrants de la région.Alors que plus de la moitié des migrants ayant participé au sondage ont effectivement perdu leur emploi en raison de la pandémie, seuls 20 pour cent des migrants environ travaillent actuellement, ce qui suggère qu’un tiers de tous les migrants de la région ne parviennent pas à trouver un emploi pendant leur séjour. Dans le même temps, quatre migrants sur dix ayant un emploi ont vu leurs heures de travail ou leur salaire réduits. Près de la moitié (48 pour cent) des participants ont indiqué que leurs salaires et revenus ont diminué en raison de la COVID-19. Concernant l’accès à la santé, presque tous les migrants ont déclaré qu’ils se conformaient aux mesures préventives de santé contre la COVID-19. Moins de 10 pour cent d’entre eux soupçonnent d’avoir contracté la maladie à un moment donné, mais seulement un tiers environ de ces derniers ont eu recours aux services de santé. Cette constatation renforce l’importance de garantir aux migrants l’accès aux services de santé.
#Covid-19#migrant#migration#ameriquelatine#sante#economie#accessante#chomage#santementale#vulnerabilite
UN refugee chief underlines continued support to Lebanon | | UN News
▻https://news.un.org/en/story/2020/08/1070772
Lebanon, which has a population of around six million, hosts the largest number of refugees per capita in the world. More than one million refugees, mainly Syrians and Palestinians, have found shelter there. As a result of the deepening economic and financial crisis, and the COVID-19 pandemic, the proportion of refugees living under the extreme poverty line has jumped from 55 per cent to over 75 per cent, according to UNHCR.
#Covid-19#migrant#migration#liban#refugie#crisehumanitaire#sante#pauvrete#vulnerabilite
HCR - L’escalade de la violence a déjà forcé un million de personnes à fuir leur foyer au Burkina Faso
▻https://www.unhcr.org/fr/news/briefing/2020/8/5f3bc9b4a/lescalade-violence-deja-force-million-personnes-fuir-foyer-burkina-faso.html
En Espagne, le Covid-19 révèle les conditions de vie inhumaines des travailleurs migrants
▻https://www.lemonde.fr/international/article/2020/08/13/en-espagne-le-covid-19-met-en-lumiere-les-conditions-de-vie-inhumaines-des-t
Et à Albacete, en Castille-la Manche, les premiers cas ont été détectés dans un campement insalubre installé dans une usine de céréales désaffectée. Là vivaient entre 300 et 500 personnes avec un seul point d’eau potable. La région n’a d’abord pas eu d’autre idée que de les confiner… à l’intérieur. Après la protestation des migrants, dont plusieurs se sont échappés pour éviter la quarantaine, elle les a finalement relogés, deux jours plus tard, dans le palais des expositions. Mais en y regroupant 200 personnes, le nombre de cas positifs est monté à 126, et de nouvelles protestations et fuites ont eu lieu début août. Entre-temps, les manifestations publiques de racisme se sont multipliées dans la ville, poussant le diocèse à appeler la population à « l’empathie ». Et le directeur général de santé publique de la région, Juan José Camacho, a résumé le problème le 7 août en une phrase : « Officiellement, ces gens n’existent pas. » Benito Almirante, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Vall d’Hebron de Barcelone, estime que si la première vague de Covid-19 a touché l’Espagne sans trop de discrimination sociale, « la deuxième frappera majoritairement les précaires, les mal-logés, les plus vulnérables… ».
#Covid-19#migrant#migration#espagne#travailleurmigrant#sante#cluster#vulnerabilite#droit#clandestin#discrimination#santepublique
To stop the spread of COVID-19 and associated stigma in Somalia, communities need the facts | The Storyteller
▻https://storyteller.iom.int/stories/stop-spread-covid-19-and-associated-stigma-somalia-communities-need
The lack of accurate, factual information about public health emergencies presents a very real and present risk for people in Somalia, especially among the estimated 2.6 million internally displaced persons (IDPs) and the thousands of migrants that transit through the country every year. Health messages broadcasted through media outlets do not reach everyone. Rumours and hearsay spread faster than any virus, putting people’s lives in danger and bringing stigma and shame to those who contract COVID-19.
These are features of the COVID-19 pandemic response which has produced 3,212 positive cases in Somalia and claimed the lives of 93 people since March. While COVID-19 awareness is generally high here, recent findings from the International Organization for Migration (IOM) show that four months after the first confirmed case, there are still many vulnerable populations who have not received this information, particularly those living in displacement sites. Worse still, misconceptions about how the disease spreads remain pervasive across the country. Many young migrants crossing into Somalia, mainly from Ethiopia, told IOM that they were unaware of the COVID-19 pandemic. When surveyed in March, IOM found that only 19 per cent had heard about the disease. This number has increased to 46 per cent since the exercise started.
#COvid-19#migrant#migration#somaliie#ethiopie#OIM#stigmatisation#information#pandemie#vulnerabilite#refugie#sante
HCR - Le HCR met en garde contre les risques accrus de traite d’êtres humains liés à la crise de Covid-19 pour les réfugiés, les déplacés internes et les apatrides
▻https://www.unhcr.org/fr/news/press/2020/7/5f24656d0/hcr-met-garde-contre-risques-accrus-traite-detres-humains-lies-crise-covid.ht
WFP Turkey Country Brief, June 2020 - World Food Program
WFP continues to support 55,159 refugees in six camps, through a monthly e-voucher payment of TRY 100 (USD 15) per person. In June, WFP delivered the second round of 15,000 hygiene kits to cover camp residents’ household hygiene needs, with the second distribution completing one full kit; each kit covers 3 months’ needs.
As of 30 June, no COVID-19 positive cases have been confirmed among refugees in the camps.
#Covid-19#migrant#migration#turquie#camp#réfugiés#sante#vulnerabilité
▻https://reliefweb.int/report/turkey/wfp-turkey-country-brief-june-2020
Presence of Genetic Variants Among Young Men With Severe COVID-19 | Allergy and Clinical Immunology | JAMA | JAMA Network
►https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2768926
Key Points
Question Are genetic variants associated with severe coronavirus disease 2019 (COVID-19) in young male patients?
Findings In a case series that included 4 young male patients with severe COVID-19 from 2 families, rare loss-of-function variants of the X-chromosomal #TLR7 were identified, with immunological defects in type I and II interferon production.
Meaning These findings provide insights into the pathogenesis of COVID-19.
#COVID-19 : Une #vulnérabilité #génétique aussi | santé log
▻https://www.santelog.com/actualites/covid-19-une-vulnerabilite-genetique-aussi
Les observations actuelles suggèrent que le coronavirus #SARS-CoV-2 provoque des symptômes graves principalement chez les patients âgés atteints de maladie chronique. Cependant, lorsque [des] médecins ont dû prendre en charge 2 jeunes frères auparavant en bonne santé, que ces jeunes patients ont nécessité une ventilation mécanique en unité de soins intensifs (USI), ils se sont évidemment posé la question des facteurs génétiques. Ces recherches identifient alors un #gène au rôle clé dans la réponse immunitaire contre le #SRAS-CoV-2 [avec par la suite confirmation chez deux autres frères d’une autre famille avec une forme sévère.]
[...]
La découverte pourrait avoir des conséquences importantes pour le traitement des patients atteints de formes sévères de #COVID-19 et ouvre pour ces patients la piste de l’administration d’#interféron pour soutenir la réponse immunitaire.
HCR - Au Brésil, le HCR renforce son appui aux réfugiés et aux communautés d’accueil alors que le Covid-19 y fait des ravages
▻https://www.unhcr.org/fr/news/briefing/2020/7/5f1ac0daa/bresil-hcr-renforce-appui-refugies-communautes-daccueil-covid-19-fait-ravages
Le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, intensifie ses efforts au Brésil pour protéger des dizaines de milliers de réfugiés et de migrants du Venezuela ainsi que leurs communautés d’accueil, alors que ce pays d’Amérique latine lutte contre la pandémie de Covid-19. Le Brésil est devenu le deuxième pays le plus touché au monde, avec près de 83 000 décès et une augmentation continue des cas confirmés. Considéré comme l’un des épicentres de la pandémie en Amérique latine, la situation au Brésil fait payer un lourd tribut aux populations les plus vulnérables, notamment les plus pauvres, les communautés autochtones et les réfugiés. Tous ont été touchés de manière disproportionnée. Le pays accueille plus de 345 000 réfugiés et demandeurs d’asile, pour lesquels les conséquences de la pandémie sont particulièrement sévères. Bien que le nombre total de réfugiés qui ont contracté le virus au Brésil soit inconnu en raison de l’absence de statistiques détaillées selon le statut et de l’absence de tests généralisés, le HCR a connaissance d’au moins 19 décès liés au Covid-19 parmi les réfugiés, dont neuf étaient des réfugiés autochtones vénézuéliens.
#covid-19#migrant#migration#bresil#venuezuela#refugie#sante#autochtone#vulnerabilite#demandeurdasile#test#epicentre#pandemie
HCDH | Bachelet sounds alarm over Lebanon economic crisis, calls for urgent and unified response
▻https://www.ohchr.org/FR/NewsEvents/Pages/DisplayNews.aspx?NewsID=26072&LangID=E
The UN High Commissioner for Human Rights Michelle Bachelet today warned of the crippling impact of the socio-economic crisis on Lebanon’s population, and urged the Government, political parties and the financial sector to work together to ensure the protection of the poorest and most vulnerable.
Vulnerable Lebanese, in addition to other vulnerable groups such as refugees and migrant workers, are increasingly unable to meet their basic needs, she said. “This situation is fast spiralling out of control, with many already destitute and facing starvation as a direct result of this crisis,” Bachelet said.
"The growing economic shocks, coupled with the outbreak of COVID-19, have touched all sections of society. Many have lost jobs, seen their life-savings evaporate before their eyes and lost their homes.
#Covid19#migrant#migration#liban#onu#droitsfondamentaux#pauvrete#vulnerabilite
#Melbourne tower lockdowns unfairly target already vulnerable public housing residents
This week, the Victorian government unilaterally placed the residents of nine public housing towers in inner Melbourne under “hard lockdown” due to the “explosive potential” of increasing COVID-19 cases.
The lockdown requires all residents of these estates to remain inside their homes for at least five days, placing around 3,000 residents under special punitive measures that apply to no one else in Victoria. Residents are “reeling”.
The lockdown is being enforced by a significant police presence on the estates, with officers on every floor, no warning and immediate effect. Other outbreak areas have been given more than 24 hours’ notice for similar numbers of coronavirus cases.
Outbreaks in more affluent areas, such as the Mornington Peninsula, have not been met with the same harsh restrictions.
Emma King, the Victorian Council of Social Service CEO, described the lockdown of the estates as looking “like a crime scene”. A pandemic response should not be a crime scene. It is a collective, public health issue from which no one is immune.
The government’s justification for this action is that residents of public housing are vulnerable and living in high density with many shared spaces. The latter is true of any large apartment building in Melbourne.
Quarantine from Toorak to Broadmeadows should look the same if we are following public health guidelines. If living conditions in public housing are riskier than elsewhere then we need to ask why.
If it is true that communities in housing stress are more susceptible to pandemics, we need to ask how and why this should be true in such a privileged country as Australia.
À lire aussi : Overcrowding and affordability stress: Melbourne’s COVID-19 hotspots are also housing crisis hotspots
Public housing has been suffering for decades
What is unfolding in Melbourne this week is the product of a punitive public housing system whose residents have been neglected for decades. The status of “vulnerable” that governments so blithely apply to public housing tenants does not come from nowhere.
Vulnerability is not an objective condition, but the result of a system geared toward inequality and enabled by policy choices. Public housing in Victoria is the product of decades of neglect, disinvestment and stigmatisation by governments and media.
The amount of public housing in Victoria has been declining in real terms for at least two decades, with fewer dwellings in 2019 (64,428) than in 2009 (65,064). Victoria has the lowest proportion of public housing of all the Australian states.
At the same time, the number of people experiencing homelessness and housing insecurity in Victoria has increased to 100,000, according to waiting lists. Repeated inquiries and reports point to inadequate investment, poor maintenance and lack of strategy. Overcrowding is a function of a broken system.
These conditions directly feed a narrative of decline that is used to stigmatise, detain, constrain and displace public housing residents.
It is no coincidence the estates under lockdown are also earmarked for “socially-mixed” redevelopment and privatisation, which will break up the existing communities and provide even fewer places for those on lowest incomes.
There are alternatives to a hard lockdown
The public housing lockdowns are a police-led intervention in an already over-policed community. There is now welcome evidence of social services engagement, but this comes as a secondary consideration.
The residents of the affected towers do not need more policing. They have community-based and grassroots organisations such as RISE that have been actively engaged as members of the community. The spike in cases demands a health care response, not a police response.
À lire aussi : Nine Melbourne tower blocks put into ’hard lockdown’ – what does it mean, and will it work?
The Victorian government did not have to look far for existing models, such as the Aboriginal-led COVID-19 response across Australia, which demonstrates the effectiveness of community-led initiatives.
The most effective models for delivering public housing at a scale that can address need are also well-known to policy-makers and academics. Yet this government continues to pursue policies that reduce the amount of public housing available.
What Victoria needs is more and better quality public housing and supportive community-building practices that grant everyone the same dignities. Let’s trust those living in public housing.
If the right information, in the right language, with trusting relationships with government and other authorities were enabled, this public health crisis could be worked through in a just and equitable way. As it seems to be in all other sections of Victorian society.
▻https://theconversation.com/melbourne-tower-lockdowns-unfairly-target-already-vulnerable-public
#Australie #confinement #coronavirus #covid-19 #vulnérabilité #HLM #logement_social #inégalités #discriminations #Victoria #stigmatisation #pauvres #surveillance #surveillance_policière
Idlib reports first Covid-19 case and braces for fresh disaster | World news | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/world/2020/jul/10/idlib-reports-first-covid-19-case-and-braces-for-fresh-disaster-syria
▻https://i.guim.co.uk/img/media/3796d7bbac2201fb62e0ff524b9c9289a264248f/0_368_6720_4032/master/6720.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali
The miserable situation in Idlib and the surrounding countryside may be compounded after a UN security council vote on Friday over continuing the delivery of humanitarian aid from two border crossings from Turkey.On Thursday, Russia introduced a rival draft resolution that would authorise just one border crossing instead of two for the next year, in effect cutting off about 300,000 people trapped by frontlines from receiving UN aid.
Russia and China have repeatedly used their vetoes as permanent members of the security council to stymie aid to areas outside of Assad’s control.
Also on Thursday, the UN counter-terrorism chief said his office received information that 700 people have recently died in two overcrowded and disease-ridden camps in north-east Syria that are home to about 70,000 women and children with connections to Islamic State. Lack of food and medicine and outbreaks of tuberculosis had contributed to the dramatic mortality rates, Vladimir Voronkov said, creating ripe conditions for continued radicalisation
#Covid-19#migrant#migration#turquie#camp#syrie#sante#frontiere#surpopulation#vulnerabilité
L’Irak dépassé par le Covid-19
▻https://www.lemonde.fr/international/article/2020/07/07/l-irak-depasse-par-le-covid-19_6045529_3210.html
La stratégie choisie par les autorités, au début de la pandémie, d’isoler toute personne symptomatique, sous escorte policière au besoin, a effrayé les gens. « Certains ne signalent pas leurs symptômes et restent chez eux au risque de contaminer leur famille », poursuit M. Bayati. La peur et la stigmatisation sociale de la maladie ont été telles que les croque-morts, impréparés, ont refusé de prendre en charge les victimes du Covid-19, laissant cette tâche aux unités de la Mobilisation populaire, une formation paramilitaire. Mais c’est surtout la crise économique, et la nécessité de subvenir à leurs besoins, qui a poussé des millions d’Irakiens à ne pas respecter le confinement. Selon le ministère des affaires sociales, 11,6 millions de personnes sont éligibles à une aide d’urgence, et le taux de pauvreté est passé de 22 % à 34 % pendant la pandémie. Ceux qui vivent dans les quartiers informels – trois millions de personnes – et dans des camps de déplacés – 1,5 million de personnes – sont les plus exposés au risque de la maladie, faute d’infrastructures sanitaires.
#Covid-19#migrant#migration#irak#camp#personnedeplacee#sante#pauvrete#vulnerabilite#systemesante#stigmatisation
Les Nations unies en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale sont préoccupées par la vulnérabilité accrue des migrants en pleine COVID-19 | Organisation internationale pour les migrations
▻https://www.iom.int/fr/news/les-nations-unies-en-afrique-de-louest-et-en-afrique-centrale-sont-preoccupees-
►https://www.iom.int/sites/default/files/styles/highlights/public/press_release/media/west_africa_0.png?itok=DTCbxAa8
Le Réseau régional des Nations Unies sur les migrations et le Comité exécutif régional des Nations Unies sur la COVID-19 en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale s’inquiètent pour le bien-être de millions de migrants à travers la région en pleine crise de COVID-19. Bien qu’ils soient confrontés aux mêmes menaces sanitaires de la COVID-19 que tout autre être humain, les migrants peuvent être exposés à un niveau de vulnérabilité plus élevé lié à la discrimination et à l’exclusion dans leurs conditions de vie et de travail ou dans leur accès aux services de base, notamment les soins de santé. Dans ces circonstances difficiles, les migrants peuvent être exposés à des exactions et d’autres violations des droits de l’homme.
Plus de 30 000 migrants sont actuellement bloqués aux frontières et plus de 2 000 attendent une aide dans des centres de transit surpeuplés où ils sont exposés à un risque accru d’infection par la COVID-19. Depuis l’apparition de l’épidémie dans la région, des milliers de personnes ont été abandonnées dans le désert par les passeurs et les trafiquants le long des itinéraires migratoires. Certains ont été expulsés, mettant leur vie et leur santé en danger, tandis que d’autres sont victimes de discrimination, de discours haineux et de xénophobie.
Alors que les gouvernements d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale prennent des mesures préventives telles que la fermeture des frontières pour protéger leurs pays de la propagation de la COVID-19, les migrants, y compris ceux en situation irrégulière, peuvent être touchés de manière disproportionnée, incapables d’accéder aux soins de santé, aux services sociaux ou de se protéger. En outre, la fermeture des frontières limite davantage les possibilités de migration régulière, y compris le retour, tout en obligeant les migrants à emprunter des itinéraires migratoires plus dangereux et en les exposant au risque d’être exploités, extorqués ou maltraités.
#Covid-19#migrant#migration#onu#afriquedelouest#afriquecentrale#vulnerabilite
« La propriété privée n’a absolument rien de naturel »
▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-propriete-privee-na-absolument-rien-de-naturel
C’est l’une des institutions les plus puissantes et les plus opaques de la modernité. Elle s’impose à tous et même en partie aux États, qui l’organisent mais ne peuvent y déroger que dans des circonstances limitées et codifiées. La propriété privée peut d’ailleurs être vue comme une forme de protection contre les dérives tyranniques ou autoritaires – c’est notamment une idée très implantée aux États-Unis. Mais cette même propriété privée est souvent présentée comme une évidence, comme quelque chose de naturel.
Et pourtant… elle n’a absolument rien de naturel ! C’est une forme d’#appropriation qui a une histoire, qui n’est pas de toute éternité et qui est dépendante de nos codes sociaux, de nos valeurs et de nos usages. C’est vrai, plus généralement, des différentes formes de propriété : propriété publique, propriété commune, droits #collectifs... le monde de la propriété est vaste et complexe. Alors comment en sonder les mécanismes, les logiques profondes, les dimensions matérielles et écologiques ? Notamment avec cette idée du crash-test qui consiste à analyser ce qui se passe quand la propriété « percute » la survenue d’une #catastrophe, idée que nous avons cherché à développer dans un volume collectif codirigé avec mon collègue Marc Elie, Crash Testing Property2..
’Get me back to Caracas’: desperate Venezuelans leave lockdown Bogotá | Global development | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/global-development/2020/jul/04/get-me-back-to-caracas-desperate-venezuelans-leave-lockdown-bogota
▻https://i.guim.co.uk/img/media/53220cc80fda2fbb5b9acda93b000c1863735324/90_0_4920_2952/master/4920.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali
More than 4 million Venezuelans have now left, with about 5,000 crossing into neighbouring Colombia each day at the end of last year, according to data from the UN High Commissioner for Refugees (UNHCR). Nearly 2 million live in Colombia.But now, with lockdown shuttering businesses and keeping customers away, there is little work for Venezuelans such as Vera. Unable to pay rent, she was evicted from the house she shared with other migrants in the south of Bogotá. She has spent the past month camped outside a bus terminal on the northern outskirts of the city. Vera, like the 430 others here, would rather be home in Venezuela, where at least shelter is guaranteed. “I can knock on doors but if there’s no work, what can I do?” Vera asks, as she washes her clothes in a stream. “Going home is the only option I have. “The dream is to get home and get a roof over my head,” Vera says. “With a little help from God, I’ll get there.”
#Covid-19#migrant#migration#venezuela#colombie#sante#vulnerabilite#confinement
’Suddenly they started gassing us’: Cuban migrants tell of shocking attack at Ice prison | US news | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/us-news/2020/jul/02/cuban-migrants-detention-ice-facility-new-mexico
▻https://i.guim.co.uk/img/media/ee41c0c479801b08f1797aa38f8b0fae751c16a9/0_130_3000_1801/master/3000.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali
The 14 May “attack”, in the words of Bacallao and other migrants, took place at Torrance County Detention Facility, a sprawling complex located about an hour south-east of Albuquerque. Set off from the desert scrub by a tall chain-link fence draped in rolls of razor wire, it is run by CoreCivic, a private prison company, and mostly houses migrants under the custody of US Immigration and Customs Enforcement. CoreCivic spokesperson Ryan Gustin confirmed the incident and said, in a written statement, that guards “responded to a protest” and used pepper spray “on a group of detainees who became disruptive by refusing to comply with verbal directives provided by staff.”Gustin declined to say what the migrants were doing to protest and what “verbal directives” they’d been given. He referred those questions to Ice, which did not respond to a request for comment.
A fuller account came from Bacallao and two fellow detainees, who said the attack came in response to a hunger strike the men launched to protest against the terrible food and their vulnerability to Covid-19.
The men were not detained because they’d been convicted of a crime; instead, like others in Ice custody, they were in a sort of immigration limbo, being held until the government could figure out what to do with them. They spoke with Searchlight New Mexico through a translator, though only Bacallao agreed to be quoted by name. “It felt like I had been burned with gasoline,” said one Cuban detainee who, like Bacallao, came to the United States seeking political asylum. “My throat closed, and I just fell on the floor. I couldn’t speak. I couldn’t breathe. I thought I was going to die.”
#Covid-19#migrant#migration#etatsunis#sante#santementale#prison#immigration#vulnérabilite
A Paris, un campement de mineurs étrangers pour alerter l’Aide sociale à l’enfance
▻https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/06/30/a-paris-un-campement-de-mineurs-etrangers-pour-alerter-l-aide-sociale-a-l-en
Elle mesure l’impact du « non-accueil » chez ces adolescents : « Cela les affecte psychologiquement, explique-t-elle. Tous les services réservés aux mineurs leur sont fermés car ils ne sont pas reconnus comme tels. Ils n’ont ni accès à la scolarité ni à un travail. Ils se retrouvent dans une situation d’attente qui peut durer de deux à dix-huit mois, à la rue ou dépendants de la charité qu’on veut bien leur donner. Il y a de l’angoisse, de la tristesse et une immense solitude. » Salahou-Dine ne connaît « personne » en France. « Je suis le seul Béninois de tout le groupe présent ce soir », assure ce jeune de 17 ans, arrivé en France en septembre 2019, après être passé par l’Italie, la Libye et le Niger. Pendant des mois, il a vécu à la rue, échouant tantôt porte de La Chapelle, tantôt porte d’Aubervilliers ou encore porte de La Villette. De cette errance aux confins de la capitale, en bordure du périphérique, il a gardé un souvenir douloureux. « J’ai peur de retourner dormir dehors », confie Salahou-Dine, qui a pu être logé dans une chambre d’hôtel par MSF depuis le mois de janvier. « Je ne suis pas tranquille, poursuit-il. En venant ici ce soir, j’ai peur de la police, j’ai peur du virus aussi. » Salahou-Dine a été testé positif au SARS-CoV-2 pendant la période de confinement mais il craint une rechute. La semaine prochaine, il devrait commencer à suivre des cours de soutien scolaire dispensés par l’association Droit à l’école. Mais il prévient : « Si je ne peux pas me doucher, je ne sais pas si je pourrais y aller. »
#Covid-19#migrant#migration#france#mineur#sante#santementale#asile#vulnerabilite