• #libre-échange : la #Wallonie porte un coup fatal au traité avec le #Canada
    https://www.mediapart.fr/journal/international/241016/libre-echange-la-wallonie-porte-un-coup-fatal-au-traite-avec-le-canada

    Paul Magnette, ministre-président de la Wallonie. © Reuters Le #CETA est mort, dans sa version actuelle. C’est au nom de la « vitalité démocratique » que les socialistes qui dirigent la Wallonie ont dit non à l’accord commercial entre l’Europe et le Canada. Et ce malgré des pressions répétées, en particulier de la France. Ce refus bloque l’approbation de l’accord par l’Union européenne, qui se retrouve en plein désarroi. Accusées : les méthodes de négociations opaques de la Commission européenne.

    #International #Economie #accord_commercial #Belgique #europe #Paul_Magnette #TAFTA

  • One Tiny Belgian Region Blocks International Trade Deal : The Two-Way : NPR
    http://www.npr.org/sections/thetwo-way/2016/10/21/498883387/one-tiny-belgian-region-blocks-international-trade-deal

    As the Wall Street Journal reports, Paul Magnette, the Walloon president, briefed his parliament saying that there had been too little democratic debate over free trade and the negative impacts of globalization.

    (In French): An emotional @cafreeland speaks after EU trade deal talks collapse in Wallonia. https://t.co/ZJxWw7yaPW #cdnpoli #hw pic.twitter.com/rta45ZXqnn
    — John Paul Tasker (@JPTasker) October 21, 2016

    "He told Walloon lawmakers Friday he has nothing against Canada but wants to curb the power of corporations in future EU trade agreements with the U.S. and other countries.

    “He acknowledged that his region’s parliament got to play this role ’by chance’ and said that many in Europe likely regretted granting it this power.

    ” ’But the moment we are given this power, it’s logical we use it,’ he said. While EU trade deals don’t usually have to be ratified by legislatures, the commission decided in July that the 38 national and regional parliaments across the bloc should get a say on CETA. The move came in response to criticism from many European capitals, including Berlin, that the step shouldn’t be decided only in Brussels, amid opposition against what critics said were opaque deals the public had no say in."

    #CETA #Europe #Wallonie #Belgique

  • Le Conseil européen veut signer le CETA et .... relancer le TAFTA

    Vivement critiqués de toute part, le CETA, le TAFTA, et plus largement les politiques commerciales européennes sont à l’ordre du jour du Conseil européen de ces 20 et 21 octobre. Le brouillon des conclusions du sommet, qui a fuité, illustre les oeillères du Conseil européen qui pourrait exiger la signature du CETA et l’intensification des négociations avec les Etats-Unis et le Japon. Explications.

    https://blogs.mediapart.fr/maxime-combes/blog/201016/le-conseil-europeen-veut-signer-le-ceta-et-relancer-le-tafta

    #ceta #Conseil_européen #François_Hollande #Paul_Magnette #politiques_commerciales #TAFTA #Wallonie

  • Paul Magnette : « Le traité #CETA est déjà en train de se découdre lui-même » RTBF Jean-Claude Verset - Mercredi 19 octobre 2016
    http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_non-au-ceta-la-commission-n-a-pas-compris-l-importance-des-convictions-w

    La Wallonie ne donnera pas son accord à la signature du traité commercial avec le Canada avant la date fatidique de vendredi. Paul Magnette ne reviendra pas là-dessus. Mais le Ministre-président ne ferme pas la porte et, selon lui, quelques semaines de discussions permettraient de déboucher sur une solution définitive permettant de déboucher sur un traité où « les normes sociales très élevées profiteront à tout le monde ». 

    The Final Countdown
    L’Union Européenne donne encore à la Belgique deux jours, pas un de plus, pour signer l’accord CETA de libre échange avec le Canada. Mais rien n’y fait, Paul Magnette dira non : « Il est Impossible de donner notre accord d’ici vendredi, même si je suis conscient que cela aura des conséquences politiques ». Il n’y aura donc pas non plus de sommet, fin octobre, entre les Européens et le Canada, assume le ministre-président wallon qui estime « raisonnable » de reporter ce conseil sans en fixer la date.

    Je ne veux pas de confrontation, mais…
    Paul Magnette réfute l’accusation de vouloir la confrontation, « mais ce n’est pas parce que les Canadiens sont nos amis qu’il faut tout accepter ». La faute de ce retard ne viendrait d’ailleurs pas de la Wallonie, mais de la Commission elle-même qui n’a pas compris l’importance des convictions wallonnes. « Cela fait un an que j’ai indiqué à la commissaire Cecilia Malmström , les problèmes majeurs que j’avais avec ce traité. Mais, pendant un ans, l’attitude de la Commission a été de nous dire que nous n’avions pas compris les clauses du traité et qu’il suffisait de nous les réexpliquer. Et cela sans jamais accepter de modifications. Depuis quelques jours, il y a eu des vraies avancées, mais ce n’est pas suffisant ».

    Quelques semaines de plus suffiraient
    Pourtant, Le ministre-président l’assure, la Wallonie pourrait signer l’accord au traité CETA dans les prochaines semaines « Nous ne sommes, bien sûr, pas contre les accords de commerce. Il faut aider les entreprises wallonnes à exporter davantage ». Mais il dit refuser un traité qui contient de véritables menaces pour les normes sociales et environnementales.

    La mobilisation wallonne contre le traité actuel aurait même permis des avancées considérables dans l’élaboration du texte : « Le représentant canadien avait accepté que l’Europe puisse réguler en matière environnementale et sociale, mais à la condition que des entreprises puissent poursuivre les Etats et obtenir des réparations financières. C’était insensé. On ne peut pas dire à une société démocratique qu’elle peut réguler, mais en payant des indemnités aux multinationales. » C’est dans ce domaine précis que Paul Magnette revendique une avancée de taille.

    Tribunal d’arbitrage : le point qui fâche
    Un autre sujet sensible est le mécanisme d’arbitrage qualifié de
    « choquant » _ . Soutenu par des associations de juristes et de magistrats, le ministre-président soutient que les systèmes juridictionnels des Etats de l’Union Européenne et du Canada n’ont pas besoin de mécanismes d’arbitrage qui donneraient davantage de droits aux multinationales.

    Et si les tribunaux d’arbitrage sont un point essentiel du refus wallon, il reste celui de la clause de sauvegarde unilatérale de la politique agricole canadienne. Le Canada veut pouvoir se protéger en cas d’exportation trop importante depuis l’Europe. Paul Magnette dit comprendre cette demande, mais à la condition qu’elle soit réciproque et donc valable aussi en cas d’exportation massive depuis le Canada. Ce qui n’est pas le cas dans le texte actuel.

    Le Cheval de Troie américain
    Une autre clause litigieuse prévoit que des entreprises américaines installées de manière substantielle au Canada pourrait utiliser le CETA pour bénéficier des clauses canadiennes. C’est ce que les opposants au CETA nomment « le cheval de Troie ». « A ce jour, personne ne peut me dire ce qu’est une ’présence substantielle’  ».

    Les conditions d’un « oui » wallon
    L’accord wallon n’est pas impossible, rassure Paul Magnette, mais à certaines conditions, dont la première est de rouvrir les négociation : « Le traité est déjà en train de se découdre lui-même. Hier (mardi) au Luxembourg, une clause a été acceptée pour faire plaisir à l’Allemagne. Désormais, une cour constitutionnelle qui rendra un jugement dans un pays pourra suspendre le traité. Et par extension d’autres pays pourront suivre ce jugement par un vote en parlement. Avec des clauses comme celles-là, on est conscient que cela ne marchera pas. Prenons quelques mois. On parle d’un traité qui va concerner des millions de gens. Si on fait un traité qui fixe des normes (sociales et environnementales ndlr) très élevées, tant mieux pour tout le monde. »

    Tant pis pour les menaces *
    Le ministre-président wallon assure n’avoir reçu des menaces que du monde des affaires : « L’argument est toujours le même : la menace de désinvestir. C’est un risque, mais il y a des principes sur lesquels on ne doit jamais transiger. Il faut pouvoir dire que l’on n’accepte pas les menaces. On voit bien avec Caterpillar qu’il n’est pas nécessaire de prendre des normes pour subir des conséquences épouvantables. Une société sérieuse, installée chez nous pour travailler, ne va pas quitter le pays par mesure de rétorsion. Il y a des moments d’échauffement, mais ensuite on en revient à la raison. »

    Et si la Belgique signe malgré tout le traité, sans l’accord wallon, comme le propose le libéral flamand Karel De Gucht ? « Je le regretterai et j’utiliserai toutes les voies légales pour faire valoir les droits de la Wallonie. Mais je me réjouis d’entendre que le fédéral écarte cette piste. » 

    #union_européenne #canada #etats_unis #Wallonie #arbitrage #normes_sociales_et_environnementales #Cecilia_Malmström

    • Traités transatlantiques de libre-échange : la Bulgarie « ne signera pas » non plus s’il n’y a pas de levée des visas RTBF Belga - mercredi 19 octobre 2016
      http://www.rtbf.be/info/monde/detail_traites-transatlantiques-de-libre-echange-la-bulgarie-ne-signera-pas-non

      Le gouvernement bulgare a prévenu mercredi qu’il ne signerait pas le traité de libre échange entre l’UE et le Canada (CETA) s’il n’obtenait pas d’exemption de visa pour ses ressortissants désireux de se rendre dans ce pays.
      Sofia « ne signera pas le CETA sans un engagement irréversible du gouvernement canadien à accorder une exemption de visa à tous les citoyens bulgares » , a indiqué le gouvernement.

      La Bulgarie et la Roumanie réclament depuis plusieurs années une levée de l’obligation de visas canadiens pour leurs ressortissants.

      Le Premier ministre bulgare Boïko Borissov avait indiqué la semaine dernière avoir obtenu, lors d’une conversation téléphonique, un accord de principe de son homologue canadien Justin Trudeau pour une exemption totale de visas pour les Bulgares fin 2017.

      Mais Sofia a souligné mercredi attendre une confirmation formelle et définitive en échange de sa signature.
      La voix discordante de la Bulgarie s’ajoute à celle de la Wallonie, qui a annoncé mercredi exclure de donner son feu vert au gouvernement fédéral pour qu’il approuve le CETA cette semaine et qui a demandé une « réouverture » des négociations.

      La Commission européenne s’est fixé pour objectif de réunir l’unanimité des Vingt-Huit pays de l’UE en faveur du texte d’ici la fin du sommet européen vendredi, en vue d’une signature le 27 octobre à Bruxelles en présence de M. Trudeau.

      Le gouvernement roumain a lui aussi indiqué mercredi qu’il ne « pouvait pas soutenir à ce stade les démarches visant à la signature et l’application provisoire de l’accord CETA ».
      Le président Klaus Iohannis a ajouté que la question de l’exemption totale des visas en 2017 était « toujours en négociation ». Il a toutefois dit espérer une « solution raisonnable » permettant la signature de l’accord.

      #Roumanie #Bulgarie

    • Démondialiser Le Devoir(ca) - 20 octobre 2016 |Gérard Bérubé
      http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/482630/perspectives-demondialiser

      Le vote de blocage de la Wallonie rappelle, d’abord, la complexité de la mécanique européenne. Ensuite, l’intérêt réel des Européens pour un accord avec les États-Unis. Enfin, l’opposition montante dans la société civile à ces grands accords creusant les inégalités. Il a incité les tenants de la démondialisation à se remettre à rêver éveillés.

      Le veto wallon est venu doucher l’enthousiasme politique autour de l’AECG. Le petit territoire a exprimé la préséance de sa compétence exclusive en matière de développement économique, d’agriculture d’environnement sur les automatismes diplomatiques. L’ajout in extremis d’une annexe au document de 1600 pages, présentée comme une déclaration commune visant à clarifier les dispositions contestées dans un document juridiquement contraignant n’a, en définitive, fait qu’attiser les doutes ou les craintes. Le premier ministre du Canada pourrait éviter les frais d’un voyage à Bruxelles la semaine prochaine.
       
      Les tractations politiques se poursuivent. Un texte de La Presse canadienne nous indique que la ministre canadienne du Commerce international a rencontré mercredi le président de Wallonie pour tenter de dénouer l’impasse. Anne-Louise Chauvette, porte-parole de la ministre Chrystia Freeland, a rappelé que l’AECG constituait une priorité pour le gouvernement, « qui oeuvre d’arrache-pied avec ses partenaires européens afin qu’il soit ratifié cette année et mis en place l’an prochain » . Ottawa a aussi dépêché de toute urgence en Belgique Pierre Pettigrew, poursuit le texte de l’agence.
       
      Ballon d’essai
       
      L’intérêt économique du Canada est connu. Celui de l’Europe aussi, qui ne voit dans l’AECG qu’un « ballon d’essai » avec, dans la mire, la conclusion du Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (en anglais TTIP). Un accord se voulant plus ambitieux avec les États-Unis, qui n’ont pour obsession que de contrer la montée en puissance et en influence économiques de la Chine en Asie. Le tout s’insérant dans un environnement politique bigarré avec, à la clé, le Brexit et de nombreux rendez-vous électoraux. Déjà que les relents du protectionnisme faisaient leur oeuvre, voilà une carte politique constituant un terreau fertile à la reprise du thème de la démondialisation.
       
      Un thème qui se présente en opposition à la « globalisation », selon son expression anglo-saxonne, et qui se nourrit de la chute des exportations et du commerce international dans cette conjoncture d’après-crise où la Chine et l’Inde priorisent le développement de leur marché intérieur. La chronique s’active, surtout en Europe, pour voir dans cette méfiance, voir cette contestation du libre-échange, une mise en oeuvre de la démondialisation.
       
      L’idée générale est reprise ici et là. L’ouverture des marchés n’est pas économiquement et socialement neutre. Elle fait des gagnants et des perdants, une dialectique qui se heurte à la faiblesse ou l’inexistence de mécanismes de compensation. Elle soumet également la souveraineté des États au diktat des multinationales et de la libéralisation du commerce.
       
      L’ancien directeur général de l’Organisation mondiale du commerce Pascal Lamy parlait, dans une entrevue au Devoir en juin , du tour qu’a pris le capitalisme ces dernières années et qui semble systématiquement faire « un petit nombre de gros gagnants et beaucoup de petits perdants » . Et même entre les gagnants, la répartition des retombées positives de la mondialisation se veut inégale, profitant davantage aux multinationales et aux actionnaires, moins aux PME et aux salariés, ont déploré des économistes. « La hausse du salaire moyen camoufle la stagnation du salaire médian » , a déjà illustré l’économiste français Jacques Sapir, pour qui la progression du commerce et du PIB ne fait pas nécessairement progresser le bien-être.
       
      Cela dit, les architectes de son antonyme se font rappeler que la mondialisation, c’est aussi fluidité des capitaux dont les États endettés ont bien besoin. Que c’est tertiarisation et financiarisation de l’économie. Et que le jeu des importations-exportations implique la multiplication de sous-traitants répartis ici et là sur la planète.
       
      Que tout est devenu imbriqué dans un monde multipolaire toujours plus numérisé où les grandes chaînes de production s’automatisent et se régionalisent. Et que les grands défis, notamment celui que pose l’environnement, sont mondiaux et donc contraires à une démondialisation synonyme de protectionnisme et de repli sur soi.
       
      Faudra démondialiser autrement.

      #démondialisation #mondialisation #TTIP #CETA #veto #AECG #union_européenne #Canada #Wallonie

    • Les Wallons refusent de céder _ Le Devoir(Ca) 20 octobre 2016 La Presse canadienne
      La Belgique paraît incapable de dénouer l’impasse *

      http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/482564/accord-canada-ue-la-wallonie-refuse-de-se-soumettre-a-la-date-butoir

      . . . . . .
      Respecter le délai fixé par la Commission « me paraît très difficile » , a jugé M. Magnette, tout en assurant qu’il examinerait « avec le plus grand sérieux » d’éventuelles nouvelles propositions de la Commission mais qu’il ne « s’enfermait dans aucun ultimatum, aucun calendrier ».
       
      « Je ne cherche pas à créer une crise en Europe, il se fait juste que c’est en train d’arriver », a-t-il expliqué.
      . . . . . . . .

  • La #Belgique, d’un plan social à l’autre
    https://www.mediapart.fr/journal/international/031016/la-belgique-d-un-plan-social-l-autre

    Après l’américain #Caterpillar en septembre, c’était au tour de la banque #ING d’annoncer lundi un plan social très lourd en Belgique, avec la suppression de 3 158 emplois. Les #licenciements_collectifs se multiplient. Pourtant, le royaume s’est souvent montré accommodant avec les entreprises étrangères et leurs impôts…

    #International #Economie #banques #Charles_Michel #europe #Paul_Magnette #Wallonie

  • La Wallonie retenue par la Commission européenne pour développer la chimie verte
    http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_la-wallonie-retenue-par-la-commission-europeenne-pour-developper-la-chim

    La #Wallonie a (...) été sélectionnée par l’exécutif européen (...) dans le domaine de la production chimique durable, a tweeté lundi le ministre PS. Ce label (...) permettra à la Wallonie de bénéficier ces deux prochaines années de l’appui et des conseils stratégiques de la #Commission pour décrocher des #financements dans la #chimie_verte, l’économie circulaire et la biomasse, a détaillé le cabinet Marcourt. (...) La Région a pu mettre en avant (...) ses pôles de compétitivité Greenwin et Wagralim, son administration DGO6, les programmes Next (renforcement de la politique industrielle) et Essencia (secteur de la chimie et des sciences de la vie, la deuxième activité industrielle de la Wallonie) (...)

    Cette notion de chimie verte ne me rien qui vaille :-p

  • Bruxelles - Capitale de l’Union Européenne - Nombreuse détonations ces 25 et 26 Décembre. Attentats ?

    La Belgique, enfin, la Wallonie et la ville de Bruxelles sont en niveau d’alerte niveau 3, le #terrorisme, les menaces d’Eric_Zemmour de bombarder la commune de #Molenbeek . . . . . . .

    Le gouvernement belge est dominé par la communauté flamande, et tout est fait pour que ce qui n’est pas flamand soit paralysé.

    La #Wallonie et la vile de #Bruxelles, ont été classés au niveau d’alerte 3, les mirlitaires dans les rues, gare à vous !
    Niveau d’alerte niveau 3, par exemple, les parents qui doivent déposer ou reprendre leurs enfants à l’école s’arrachent les cheveux suite aux aux délires administratifs et sécuritaires.

    Les mirlitaires sont dans les rues, avec leurs armes, les gendarmes et la police peuvent tout se permettre, comme en France.

    Ces Vendredi 25 Décembre 2015 au soir et Samedi 26 Décembre, nombreuses pétarades derrière la cathédrale de #Koekelberg, malgré l’état de siège.
    C’est prés de Laken, le palais royal.


    La vente des gros pétards est encore libre en Belgique, et cela peut remplacer les tartes à la crème de #Noel_Godin, l’entartreur.

    Cette information, c’est pas les journalistes indignés de la #RTBF, de la #DH, du journal #Le_Soir, qui vous la donneront !
    Aucune feuille du groupe #rossel non plus.

    Monsieur #Eric_Zemmour ne va t’il demander une fois de plus de bombarder Mollenbeek ?

  • Le Centre, la websérie qui n’a pas peur de se mouiller
    http://www.rtbf.be/webcreation/webseries/le-centre/actualites/article_le-centre-la-webserie-qui-n-a-pas-peur-de-se-mouiller?id=9090369&

    "Et si le Nord du pays était envahi par les eaux à cause du réchauffement climatique ? Dans "Le Centre", la #wallonie accueille les réfugiés flamands forcés de quitter leurs maisons suite à une montée subite de la mer. Une websérie inédite et totalement fictionnelle, sous-titrée en néerlandais."(Permalink)

    #belgique #série #humour #flandre

  • Défense et illustration du métier d’éditeur indépendant et local | Actualitté
    https://www.actualitte.com/article/tribunes/en-belgique-les-difficultes-a-etre-editeur-independant/60167

    Les éditions #Mardaga se sont créées en 1966, avec la ferme intention de rester familiales, #belges et #indépendantes. Un catalogue qui repose sur un #patrimoine éditorial fort, pour parler du monde et de ses légitimes questionnements. André Querton, administrateur, et Clotilde Guislain, directrice de la maison, nous font part des difficultés rencontrées. Première partie.

    Les éditions Mardaga se sont créées en 1966, avec la ferme intention de rester familiales, belges et indépendantes. Un catalogue qui repose sur un patrimoine éditorial fort, pour parler du monde et de ses légitimes questionnements. André Querton, administrateur, et Clotilde Guislain, directrice de la maison, nous font part des difficultés rencontrées. Première partie.

    Lorsqu’on pense « culture » en Fédération #Wallonie-Bruxelles, on pense bien sûr « spectacle vivant » : théâtre, opéra, danse, musique ; on pense aussi « cinéma » ; on pense sans doute – un peu — « arts plastiques » ; plus rarement « édition »…
    Ou alors, et c’est tant mieux, « auteurs » : d’Amélie Nothomb à Simenon en passant par Schuiten ou Van Hamme.

    Mais qui connaît, qui défend, qui revendique le travail de ces nombreux tâcherons de l’édition (combien sont-ils ? Quel poids économique représentent-ils ? Qui font-ils travailler ? Quelle image de notre communauté donnent-ils ? quels savoirs distillent-ils ?) dont le métier est avant tout d’être des « passeurs » : passeurs d’idées, passeurs d’histoires, passeurs de savoirs, passeurs de patrimoine…

    #édition #éditions #Belgique #culture

  • Dis-moi où tu vis, je te dirai si tu es heureux (Carte interactive) - La Libre.be
    http://www.lalibre.be/actu/belgique/dis-moi-ou-tu-vis-je-te-dirai-si-tu-es-heureux-carte-interactive-55918288357

    Les Wallons sont-ils heureux ? Ou du moins sont-ils dans les conditions adéquates pour goûter à ce fameux bien-être qui, pour certains, reste une vue de l’esprit. L’IWEPS (Institut wallon de l’évaluation, de la prospective et de la statistique) développe depuis peu, à la demande du gouvernement wallon, des indicateurs complémentaires pour obtenir une image plus diversifiée que celle rendue par les grands indices classiques tels que le produit intérieur brut (PIB).


    #indice #indicateurs #cartographie #ICBE #Wallonie
    cc @reka

  • La diminution des terres agricoles belges en question les trois prochaines semaines - RTL Info
    http://www.rtl.be/info/monde/economie/la-diminution-des-terres-agricoles-belges-en-question-les-trois-prochaines-semai

    La cinquième édition de cette campagne-action met l’accent cette année sur l’accès au foncier. Le réseau a calculé que ces 25 dernières années, l’équivalent de 3.000 ? avait été urbanisé par an en Wallonie, soit « des terres qui ne nourrissent plus ». Pas moins de 30% des petites exploitations agricoles wallonnes ont disparu en #Wallonie depuis 2000. « Les terres agricoles sont aujourd’hui pour l’essentiel dans les mains d’exploitations agricoles excessivement spécialisées, tournées vers les marchés et constamment poussées à l’agrandissement », met en garde Corentin Dayez, animateur de la campagne. « Les terres agricoles viennent à manquer pour permettre une production alimentaire au niveau local, ce qui nous rend dépendant des exportations », explique-t-il.

    #agriculture #urbanisation #alimentation

  • Handicapés français en Belgique : l’enquête glaçante de Libération - Le nouvel Observateur
    http://rue89.nouvelobs.com/2014/04/25/handicapes-francais-belgique-lenquete-glacante-liberation-251770

    Libération consacre un dossier très approfondi au business de l’accueil des handicapés français en Wallonie (Belgique). Une forme de sous-traitance s’est mise en place entre les deux pays, avec une prise en charge parfois « calamiteuse » en Belgique.

    Des dérives graves ont lieu : « manque de soins, insalubrité, isolement, personnel pas formé, nourriture rationnée, surmédication ».

    « Les investisseurs privés qui profitent de ce marché florissant ne s’embarrassent pas toujours de moralité. Libération a pu entrer aux Boutons d’or, un des ces établissements wallons destinés aux Français.

    On pénètre par l’entrée de service. Un long couloir étroit et sombre. Au bout, une porte fermée à double tour. Derrière, six personnes, très lourdement handicapées. Elles se déplacent avec difficulté, essaient de parler, mais leurs propos ne sont pas compréhensibles. Quatre hommes et deux femmes, entre 20 et 60 ans, déficients mentaux et physiques.

    Après quelques minutes de flottement, nous comprenons qu’ils sont seuls, livrés à eux-mêmes dans cet immense vestibule où tout résonne. Aucun éducateur n’est là pour les surveiller. Un jeune homme est accroupi, la tête entre les bras. Il ne bouge pas, la bouche pleine de dentifrice. »

    Les articles (payants) : http://www.liberation.fr/societe/2014/04/24/fils-denudes-chambres-glaciales-et-residents-errants_1003931

    Le reportage photo : http://www.liberation.fr/photographie/2014/04/24/homefrigo-aux-boutons-d-or-la-survie-des-handicapes-francais-exiles_98781

    #Wallonie #Belgique #France #handicap

  • La solidarité a coûté 1,2 milliard d’euros à la Flandre

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1378059/2012/01/13/La-solidarite-a-coute-1-2-milliard-d-euros-a-la-Flandre.dhtml

    La Flandre a déboursé 1,278 milliard d’euros pour la Wallonie, Bruxelles et la Communauté française en 2010, selon une extrapolation des chiffres publiés dans le dernier cahier du Centre de recherche et d’information socio-politiques (Crisp), intitulé « Vingt ans de solidarité entre les entités fédérées (1989-2009) », rapporte vendredi La Dernière Heure.

    Les plus riches payent pour les plus pauvres. C’est normal, non ? Les flamands ne trouvent pas ça normal. Chez eux, ce sont les nouveaux-nés qui allaitent leur mère. C’est sans doute pour ça qu’il y a dénatalité en Flandre. Ils n’ont pas encore compris que pour avoir une retraite, il faut des actifs. La solidarité se nourrit de la solidarité.

    #Belgique, #Flandre, #Wallonie, #Bruxelles