• #Actu_Coronavirus – 25 mai
    https://www.les-crises.fr/actu-coronavirus-25-mai

    Ce fil d’actualités comprend des informations provenant de trois sources : Les Lives #Covid-19 du Figaro, de 20 minutes et le compte Twitter @Conflits_FR. 25 mai 18h Le tribunal administratif de #Strasbourg a suspendu ce lundi l’arrêté municipal rendant obligatoire le port du #masque dans le centre-ville de Strasbourg. Il estime que l’arrêté « porte une atteinte à la vie privée des personnes ». (FRB) #COVID19 l’hôpital général de #Weston-Super-Mare (sud-ouest de l’#Angleterre), a suspendu ses admissions car il est débordé par les cas de #COVIDー19. L’hôpital veut « protéger ses patients et son personnel ». (Le Parisien) #virus #WestonGeneralHospitalLire la (...)

    #Revue_de_Presse #SRAS-2 #Revue_de_Presse,_Actu_Coronavirus,_Covid-19,_SRAS-2

  • #Nouvelle_Zélande : le #tourisme_glaciaire face aux évolutions climatiques

    1La Nouvelle-Zélande est un pays bien connu dans la recherche concernant le tourisme glaciaire. Deux grands espaces touristiques existent à cette fin (figure 2) : le #Parc_National Aoraki-Mont Cook dont le glacier du Tasman fait partie (330 km depuis Christchurch, principal point d’entrée de l’Île du Sud ; lien vers la brochure touristique) et le Parc National Westland Tai Poutini qui inclue les glaciers de Fox et Franz Josef (400 km de Christchurch à Fox Glacier ; lien vers le site promotionnel). L’ensemble de ces #glaciers est aujourd’hui impacté par l’augmentation des températures en Nouvelle Zélande (Wratt et Mullan, 2016) qui pourrait les amener à perdre jusqu’à 80 % de leur volume de glace d’ici 2100 (Bosson et al., 2019).

    https://journals.openedition.org/rga/6824
    #tourisme #Aoraki-Mont Cook
    #Westland_Tai_Poutini #changement_climatique #climat

  • The Rise of the Video Surveillance Industrial Complex
    https://theintercept.com/2020/01/27/surveillance-cctv-smart-camera-networks

    There’s widespread concern that video cameras will use facial recognition software to track our every public move. Far less remarked upon — but every bit as alarming — is the exponential expansion of “smart” video surveillance networks. Private businesses and homes are starting to plug their cameras into police networks, and rapid advances in artificial intelligence are investing closed-circuit television, or CCTV, networks with the power for total public surveillance. In the not-so-distant (...)

    #Western_Digital #Axis #Accenture #Briefcam #Canon #Cisco #Comcast #Google #Microsoft #Milestone #Motorola_Mobility #Verizon #Amazon #algorithme #CCTV #smartphone #biométrie #criminalité #police #racisme #automobilistes #émotions #facial #législation (...)

    ##criminalité ##prédiction ##reconnaissance ##vidéo-surveillance ##bénéfices ##BigData ##MinorityReport ##comportement ##BlackLivesMatter ##data ##discrimination ##Islam ##profiling

  • Secret F.B.I. Subpoenas Scoop Up Personal Data From Scores of Companies
    https://www.nytimes.com/2019/09/20/us/data-privacy-fbi.html

    The F.B.I. has used secret subpoenas to obtain personal data from far more companies than previously disclosed, newly released documents show. The requests, which the F.B.I. says are critical to its counterterrorism efforts, have raised privacy concerns for years but have been associated mainly with tech companies. Now, records show how far beyond Silicon Valley the practice extends — encompassing scores of banks, credit agencies, cellphone carriers and even universities. The demands can (...)

    #Google #FBI #Altaba/Yahoo ! #BankofAmerica #Equifax #Experian #Microsoft #T-Mobile #Verizon #Western_Union #Facebook #anti-terrorisme #data #FISA #surveillance #enseignement (...)

    ##Altaba/Yahoo_ ! ##EFF

  • ’Bangladesh agrees to allow India to construct fence in 13 places’

    Bangladesh government has in principle, agreed to allow India to erect barbed wire fencing along the zero-line in at least 13 areas along the India-Bangladesh border in #Meghalaya, a senior Indian official told PTI on Sunday.

    As per the Indira-Mujib pact of 1972, no permanent structure can be built within the 150 yards of the border.

    In 1975, a guideline for the management of the 4,000 km long India-Bangladesh border was formulated by the two countries which also agreed not to construct any permanent structure within the 150-yard limit.

    ’Following India’s request, the Bangladesh government has in principle agreed to allow construction of fencing on zero-line in at least 13 areas of the state within the zero line,’ the official said to Press Trust of India.

    Fencing at the identified areas along the zero line at #East_Jaintia_Hills district, #West_Jaintia_Hills district, #East_Khasi_Hills district and #South_West_Khasi_Hills district will be taken up accordingly, he said, the Indian news agency added.

    The state government had identified those areas where erection of fencing 150 yards away from zero-line would not be feasible and as such approached India to seek permission from Bangladesh, the official said.

    The matter is awaiting final nod from the Bangladesh government as all line departments including the BGB has sent their note of agreement on the matter, he said.

    Of the 443 km-long India-Bangladesh border in Meghalaya, about 100 km was unfenced. Earthworks have already begun for the remaining patches, the official said, says PTI.

    Till date, some problems have cropped up in the erection of fencing on certain stretches of the border due to existence of low-lying areas, human habitations, cemetery and cash crops within the 150 yards of the border, a BSF official.

    According to PTI, checking of illegal cross-border activities has been a major challenge for the BSF manning it, the official said.

    The Bangladesh government in 2012 had allowed India to erect barbed wire fencing along the zero-line in Tripura’s Mohanpur market, near the international border.

    https://en.prothomalo.com/bangladesh/news/205887/Bangladesh-agrees-to-allow-India-to-construct
    #murs #barrières_frontalières #Bangladesh #Inde #frontières

    Localisation:

    ping @reka @fil

  • « Les plates-formes du numérique n’ont pas pu s’opposer au mouvement de fond actuel pour une meilleure redistribution »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/09/17/les-plates-formes-du-numerique-n-ont-pas-pu-s-opposer-au-mouvement-de-fond-a


    La représentante démocrate de Californie Lorena Gonzalez défend sa proposition de loi à San Diego (Californie), le 28 août 2019. Rich Pedroncelli / AP

    En Californie, une loi impose aux entreprises de requalifier comme employés leurs travailleurs payés à la tâche et de leur octroyer des prestations sociales, détaille Corine Lesnes, correspondante du « Monde » à San Francisco .

    Chronique. La Californie a été le berceau de l’économie de partage et de l’emploi à la demande. Le laboratoire où se dessine l’avenir du travail ou ce qu’il en restera (selon les Cassandre) quand les robots auront fini de s’emparer de secteurs d’activité entiers. Elle est aujourd’hui à l’avant-garde des efforts des pouvoirs publics pour remettre le génie dans la bouteille, à un moment où le débat politique – dans le camp démocrate – est centré sur les moyens de corriger les inégalités.

    Le 13 septembre, les parlementaires californiens, aux deux tiers démocrates, ont envoyé pour promulgation au gouverneur, Gavin Newsom, une loi qui modifie profondément le code du travail dans l’Etat. Elle impose aux entreprises de requalifier comme employés leurs travailleurs contractuels payés à la tâche. A partir du 1er janvier 2020, des centaines de milliers de travailleurs précaires – jusqu’à 1 million de personnes, selon les sources – devraient avoir droit à des prestations sociales : salaire minimum, congé maladie, assurance chômage. Ils pourront même se syndiquer.

    La loi vise au premier chef les forçats de l’économie numérique : les chauffeurs des compagnies de VTC, Uber et Lyft, ou du service Amazon Flex ; les livreurs de DoorDash, Uber Eats, Instacart, Postmates, dont le paiement est soumis à la loi de l’offre et la demande, selon des modalités algorithmiques qui leur échappent le plus souvent. Les plates-formes l’ont combattue bec et ongles. Mais elles n’ont pas pu s’opposer au mouvement de fond actuel pour une meilleure redistribution, illustré à merveille par les livreurs de DoorDash. Le 5 septembre, ceux-ci sont venus déposer des sacs de cacahuètes devant le siège de la compagnie à San Francisco pour montrer ce que représente leur salaire : « Peanuts. »

    Des livreurs de journaux sous-payés

    La loi est considérée comme une victoire pour le mouvement syndical, que la « gig economy » (celle du travail à la tâche) croyait avoir réduit à l’obsolescence dans la nouvelle économie. Son auteure, la représentante démocrate Lorena Gonzalez, ancienne responsable de l’AFL-CIO (regroupement syndical) de San Diego, a balayé l’argument de liberté et de flexibilité des horaires mis en avant par les entreprises – et souvent les contractuels eux-mêmes – pour défendre leur modèle. « Ce n’est pas de la flexibilité, a accusé l’élue, fille d’un ouvrier agricole et diplômée de Stanford. C’est du féodalisme. » Les élus ont chiffré à 30 % du coût du travail les économies réalisées par les plates-formes en recrutant des contractuels indépendants plutôt que de les salarier.
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi Le modèle économique d’Uber et de Lyft menacé par la législation californienne.

    Pendant la discussion, souvent passionnée, il est apparu que la loi ratissait bien au-delà d’Uber et Lyft, et que nombre de professions indépendantes risquaient d’être affectées. Début septembre, le Sénat de Californie est devenu le lieu d’un lobbying intense, chaque groupement professionnel cherchant à faire adopter un amendement l’exemptant du projet de loi. Des douzaines de dérogations ont été consenties, considérant que ces professions fixent elles-mêmes les tarifs appliqués aux consommateurs : thérapeutes, avocats, courtiers en assurances, musiciens, rédacteurs free-lance, pêcheurs, agents immobiliers…

    Quid des livreurs de journaux ? La presse s’est aperçue avec horreur que l’un des petits métiers de la profession, le portage des quotidiens à domicile, était également menacé de changement statutaire. Les médias ont mis en avant le fait qu’ils risquaient de mettre la clé sous la porte si le législateur les forçait à payer assurance maladie et cotisations sociales. Et de mobiliser les lecteurs, comme le Sacramento Bee, au nom du « rôle joué par les journaux dans la défense de la démocratie »… Lorena Gonzalez a rappelé que plus de 500 plaintes déposées par des livreurs de journaux payés moins que le salaire minimum étaient actuellement en cours d’examen aux Etats-Unis. Il est temps de « demander des comptes » aux entreprises de presse tout autant qu’à Uber, a-t-elle souligné. A regret, l’élue a cependant dû accepter un compromis de dernière minute : les journaux auront un an pour traiter correctement leurs livreurs sous-payés.

    « Uber touché au cœur de son modèle économique », Philippe Escande, 12 septembre 2019.


    Des chauffeurs d’Uber manifestent devant le le siège social de la plate-forme à San Francisco, en Californie, le 27 août 2019. JUSTIN SULLIVAN / AFP

    La Californie devrait obliger la plate-forme à requalifier en salariés ses chauffeurs. L’enjeu de la protection du travail flexible permettra le développement de l’économie numérique, explique Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».

    Pertes & profits. Elles sont toutes deux nées dans les rues de San Francisco avant de partir à la conquête du monde. Uber, créée en 2009, est aujourd’hui présente dans presque 800 villes dans le monde, avec près de 3 millions de chauffeurs. Lyft, lancée en 2012, opère dans des centaines de villes aux Etats-Unis. Pour imposer leur modèle de taxis alternatifs accessibles par smartphone, elles ont bataillé partout contre les acteurs en place et les autorités de tous bords. Mais c’est finalement de chez elles qu’est venu le coup le plus sévère. L’Assemblée puis le Sénat de l’Etat de Californie ont adopté la législation la plus sévère au monde les concernant. Elle devrait les obliger à requalifier en salariés la majorité de leurs chauffeurs, afin de leur donner droit à un salaire minimum, au chômage et à une couverture santé. Le texte, voté à une large majorité, mardi 10 septembre, est supposé s’appliquer au 1er janvier 2020.

    Uber, Lyft et quelques autres n’ont pas encore rendu totalement les armes. Elles tentent de négocier une exemption à cette loi qui concerne le million de travailleurs indépendants qui œuvrent en Californie, coursiers, travailleurs domestiques, dans la construction et autres services. Elles envisagent même l’appel à un référendum pour rejeter cette loi.

    « Il n’y a rien d’innovant à sous-payer quelqu’un »

    Elles déploient une énergie considérable car ce texte, ainsi que tous ceux en préparation dans de nombreux Etats américains, menace le cœur de leur modèle économique. Alors que ces entreprises perdent encore des sommes considérables, plus de 5 milliards de dollars (4,54 milliards d’euros) pour Uber au deuxième trimestre 2019, la requalification généralisée de ses chauffeurs pourrait augmenter ses coûts de 20 % à 30 %, selon les estimations qui circulent.
    C’est la raison pour laquelle elles ont négocié, sans succès, pendant un an avec les autorités et les syndicats, proposant un statut intermédiaire entre celui de salarié et d’indépendant, permettant d’accéder au chômage et à un salaire minimum, au travers de négociations de branche.

    L’histoire n’est pas finie. L’économie numérique tout entière a cru pouvoir prospérer sur le concept de la flexibilité du travail librement choisie par les employés qui utiliseraient ces jobs comme des compléments à une activité principale. La réalité est tout autre. En Californie et dans tous les pays développés s’est établie une forme de sous-prolétariat survivant exclusivement de ces expédients. « Il n’y a rien d’innovant à sous-payer quelqu’un », a rappelé la sénatrice démocrate Maria Elena Durazo. Mais l’innovation doit aussi faire son chemin dans le droit du travail, largement conçu à l’ère des grandes organisations industrielles. L’enjeu de la protection efficace du travail flexible sera la clé du développement futur de l’économie numérique.

    #travail #travail_à_la_tâche #capitalisme_de_plate-forme #west_is_the_best #luttes_sociales #droits_sociaux

  • Die Autobahn muss bleiben: Ärger über Beschluss aus dem Nachbarbezirk zum Rückbau der A 103 - Steglitz
    https://www.berliner-woche.de/steglitz/c-verkehr/aerger-ueber-beschluss-aus-dem-nachbarbezirk-zum-rueckbau-der-a-103_a

    Vor Kurzem sorgte ein Beschluss aus Tempelhof-Schöneberg für Aufsehen: Die BVV des Nachbarbezirks hat den Abriss der A 103 beschlossen. Anstelle der sechsspurigen Trasse zwischen Steglitzer Kreisel und Sachsendamm sollen Wohnungen und Gewerbe entstehen.

    Begründet wird der Beschluss mit der geringen Auslastung der sechsspurigen A 103. Deshalb soll die Trasse der A 103 zurückgestuft und zu einer ebenerdig verlaufenden vierspurigen Stadtstraße mit Fahrradstreifen umgebaut werden. Die Parteien in Steglitz-Zehlendorf halten von dem Vorhaben nichts. Im Gegenteil: Nach Ansicht der FDP-Fraktion sei ein Abriss unvertretbar.

    Andreas Thimm, verkehrspolitischer Sprecher der FDP, mahnt: „Ein Rückbau hätte für den Bezirk unabsehbare Folgen. Nicht zuletzt auch durch die Verlagerung von weiträumigem Abkürzungsverkehr in die umliegenden Kieze. Daher lehnt die FDP-Fraktion eine Zerstörung dieser funktionierenden Verkehrsinfrastruktur ab.“ Fraktionsvorsitzender Kay Ehrhardt empfindet es als „starkes Stück“, dass die Tempelhof-Schöneberger Bezirksverordneten den Rückbau der A 103 zu einer Stadtstraße mit Radverkehrsanlagen beschließen, obwohl die Autobahn auf dem Gebiet von Steglitz-Zehlendorf liegt.

    Das findet auch Bürgermeisterin Cerstin Richter-Kotowski „ungewöhnlich“, wie sie dem RBB sagt. Normalerweise sei es üblich, dass Nachbarn über ihre Idee vorher sprechen. Das sei nicht geschehen. Sie hätte vom Beschluss des Nachbarn aus der Presse erfahren.

    Selbst die SPD-Fraktion Steglitz-Zehlendorf sieht den Beschluss, der in einem Antrag der SPD und Grünen Tempelhof-Schöneberg seinen Ursprung hat, kritisch. „Wir halten nicht viel davon“, erklärt Norbert Buchta von der Steglitz-Zehlendorfer SPD-Fraktion. Viel wichtiger sei es, den Verkehr aus der Schloßstraße herauszuholen. Das gehe nur über die Autobahn, sagt er. Seine Partei setze sich dafür ein, dass die Anbindungen an die A 103 Saarstraße und Innsbrucker Platz besser ausgebaut werden, um die Autobahn als Umfahrung zur Schloßstraße attraktiver zu machen.

    Nach der parlamentarischen Sommerpause wird der Rückbau der Autobahn für Diskussionsstoff in der BVV sorgen. Die FDP-Fraktion hat das Bezirksamt in einem Antrag aufgefordert, sich für einen vollen Erhalt der Westtangente auszusprechen.

    #Berlin #Steglitz #Schöneberg #Verkehr #Westtangente

  • Die Arbeitsgruppe XVII (Besucherbüro West-Berlin)
    http://www.runde-ecke-leipzig.de/sammlung/pop_zusatz.php?w=w00017

    Der ständig anwachsende Strom von Flüchtlingen aus der Deutschen Demokratischen Republik (DDR) über die noch offene Grenze in Berlin veranlasste die Staatsführung der DDR zur Ergreifung drastischer Maßnahmen. In der Nacht vom 12. zum 13. August 1961 wurden die Grenzen in und um Berlin vollständig abgeriegelt. Der Bau des so genannten „antifaschistischen Schutzwalls“ unterband jegliche Form von Kommunikation zwischen dem Ostteil der Stadt und den Westsektoren.

    Für West-Berliner bestand zudem seit 1962 praktisch keine Möglichkeit mehr, in die DDR zu reisen. Nun waren sie auch nicht einmal mehr in der Lage, in den Ostteil von Berlin zu gelangen. Die ersten Kontaktaufnahmen zwischen dem Ost- und Westteil der Stadt nach dem Bau der Mauer wurden durch die so genannten „Passierscheinabkommen“ wieder möglich. Sie erlaubten ab Ende 1963 befristet den „Einwohnern von Berlin-West den Besuch bei ihren Verwandten in Berlin (Ost), in der Hauptstadt der Deutschen Demokratischen Republik“, mit Passierscheinen. Zur Ausgabe der Passierscheine wurden eigens in den West-Berliner Bezirken 12 Büros eingerichtet, in denen Angestellte der Ost-Berliner Post Anträge entgegennahmen und Passierscheine ausgaben. Die Bearbeitung der Anträge erfolgte aber in Berlin-Ost. Die Passierscheinregelung konnte in den folgenden drei Jahren erneuert werden, scheiterte aber 1966 an den erhöhten Ansprüchen der DDR. Nur die Passierscheinstelle für dringende Familienangelegenheiten (Härtestelle) konnte ihre Arbeit bis zum Ende der DDR fortsetzen.

    Den Aufgabenbereich der Annahme von Anträgen bzw. der Ausgabe von Passierscheinen zur Einreise nach Ost-Berlin, übernahm später die Arbeitsgruppe XVII (AG XVII Besucherbüro West-Berlin) des Ministeriums für Staatssicherheit (MfS), die von 1972 bis 1989 dem Stellvertreterbereich von Generaloberst Rudi Mittig unterstellt und seit Sommer 1989 dem Stellvertreter des Ministers für Staatssicherheit Generalleutnant Gerhard Neiber zugeordnet war. Sie hatte ihren Dienstsitz in Berlin-Hohenschönhausen und war für die inhaltliche, materiell-technische, finanzielle sowie personelle Sicherung der Arbeit jener Besucherbüros der DDR in West-Berlin („Passierscheinbüros“) zuständig. In ihren fünf Büros bzw. Genehmigungsstellen konnten Westberliner Bürger laut den geltenden Verordnungen Berechtigungsscheine für die ein- oder mehrmalige Einreise in die DDR beantragen und abholen. Weiterhin leistete die Diensteinheit Abwehrarbeit zur Sicherung der Tätigkeit der Mitarbeiter in den Büros für Besuchs- und Reiseangelegenheiten. Für die einzelnen Aufgaben und Bereiche waren innerhalb der AG XVII fünf Abteilungen zuständig, die u.a. eng mit der Hauptabteilung VI (Passkontrolle, Tourismus, Interhotel) des MfS und dem Ministerium für Auswärtige Angelegenheiten (MfAA) / Abteilung West-Berlin zusammenarbeiteten, Vorkommnisse in den Büros und Fahrstrecken klärten, die Dienstobjekte sicherten und den Transport- und Kurierdienst von und zu den Büros realisierten sowie die Versorgung bzw. das Kraftfahrzeugwesen organisierten.

    Zum Aufgabenbereich der AG XVII gehörte aber auch die Führung von Inoffiziellen Mitarbeitern (IM) und die Arbeit mit Offizieren im besonderen Einsatz (OibE).

    Die AG XVII in Berlin hatte 308 Mitarbeiter (Stand: 1989).

    #DDR #Westberlin #Passierscheinstelle #Geschichte

  • Eigenes Liniennetz in Berlin: Hier fuhren die Busse der Stasi-Mitarbeiter
    https://www.berliner-zeitung.de/berlin/eigenes-liniennetz--hier-fuhren-die-busse-der-stasi-mitarbeiter--32

    20.7.2019 Von Andreas Förster - Während die Ost-Berliner an den BVB-Haltestellen auf volle Fahrzeuge warteten, leistete sich die Stasi einen eigenen Berufslinienverkehr. 50 Busse brachten die Mitarbeiter des Staatssicherheitsdienstes zur Arbeit und wieder zurück. Sogar in West-Berlin gab es Haltestellen.

    Im Herbst 1989 wurden in Ost-Berlins Mitte mal wieder Gleise der Straßenbahn repariert. Ein Schienenersatzverkehr mit Bussen war eingerichtet worden. Mit den üblichen Folgen: überfüllte und verspätete Busse, schimpfende Berliner an den Haltestellen. An der Kreuzung Moll-/Hans-Beimler-Straße (heute Otto-Braun-Straße) kochte dabei die Volksseele besonders hoch, spielte sich dort doch allmorgendlich zur gleichen Zeit dasselbe Schauspiel ab.

    Nur wenige Meter neben der überfüllten SEV-Haltestelle hielt ein fast leerer Ikarus-Bus mit verhängten Scheiben. Die wenigen dort zusteigenden Männer und Frauen hatten sich zuvor schon auf dem Gehweg auffallend separiert von der ungeduldigen Menge, die auf den Ersatzbus der Berliner Verkehrsbetriebe (BVB) wartete. Dass die in den geheimnisvollen Bus einsteigenden Fahrgäste dem Fahrer keine Fahrkarte zeigten, sondern ihm einen Klappausweis hinhielten, steigerte noch die Wut der Wartenden. Denn mit solchen Klappausweisen, das wusste jeder in der DDR, waren die Mitarbeiter des Staatssicherheitsdienstes ausgerüstet.

    Im Stasiunterlagenarchiv kann man jetzt die mehr als zweitausend Seiten umfassenden Akten über ein weitgehend unbekanntes Kapitel des MfS einsehen – den sogenannten Berufslinienverkehr des Geheimdienstes. Als Berufslinienverkehr (BLV) definierte die Stasi „alle Beförderungen von Mitarbeitern (einschließlich Angehörige mit Kleinkindern)…, die mit KOM (Kraftomnibussen – d.Red.) des MfS planmäßig zu festgelegten Zeiten auf festgelegten Strecken von und zum Dienst zu bestimmten Dienstobjekten und zurück durchgeführt werden“.

    Stasi-Mitarbeiter wurden bereits in den 60er-Jahren mit Bussen transportiert

    Auf zuletzt 50 Linien mit einer Streckennetzlänge von insgesamt mehr als 1500 Kilometern verkehrten die in Ungarn produzierten Ikarus-Busse der Stasi jeden Werktag im Ostberliner Stadtgebiet und darüber hinaus. Erkennen konnte man Mielkes Busflotte an einem postkartengroßen Pappschild, das hinter der Windschutzscheibe angebracht war und die Aufschrift trug: „Berechtigungsschein KOM-Linie G“.

    Die ausschließlich im Berufs- und Feierabendverkehr fahrenden G-Busse, die es auch in anderen Bezirksstädten der DDR gab, waren ebenso bekannt wie verhasst. Hatte man ihre Existenz allerdings lange Zeit noch zähneknirschend und mit der Faust in der Tasche hingenommen, änderte sich das im Laufe des Jahres 1989 mit der zunehmenden Verbitterung über die Zustände in der DDR spürbar.

    Darüber beklagte sich Anfang November 1989 auch ein hochrangiger Offizier der Stasi-Hauptabteilung Personenschutz, deren Mitarbeiter damals täglich an der oben erwähnten Haltestelle in Mitte angefeindet wurden. „Die Leute sehen, dass unsere Busse nur mit teilweise wenigen Genossen besetzt sind, zum anderen bekommt man mit, dass beim Einsteigen der Dienstausweis gezeigt und somit erkannt wird, um welche Busse es sich dabei handelt“, schrieb Oberstleutnant Laufer in einem Vermerk und klagte: „Es fallen dabei abwegige Bemerkungen.“ Sein Vorschlag: Entweder die SEV-Haltestelle verlegen oder den Haltepunkt der Stasi-Busse.

    Bereits in den 60er-Jahren hatten einzelne Stasi-Abteilungen damit begonnen, ihre Mitarbeiter mit eigenen Bussen zu ausgewählten Dienstobjekten zu transportieren. Die Fahrtziele lagen dabei meist außerhalb der Stadt. Aber statt einen Shuttleservice von der letzten S-Bahn-Station einzurichten, wollte das MfS den eigenen Genossen offenbar eine zu große Volksnähe in den stets überfüllten Bussen und Bahnen der BVB im Berufsverkehr ersparen.

    Stasi-Busse absolvierten jeden Werktag insgesamt 150 Fahrten

    Deshalb wurden die Tschekisten bereits an ausgewählten Haltepunkten in der Stadt eingesammelt. Diese Haltestellen befanden sich meist in der Nähe zentraler Wohnobjekte des Dienstes – etwa in Johannisthal, am Leninplatz (heute Platz der Vereinten Nationen), im Lichtenberger Hans-Loch-Viertel und am Tierpark sowie in den Neubaugebieten in Hohenschönhausen, Marzahn und Hellersdorf.

    Die 1970 einsetzenden Bestrebungen im MfS, den BLV zu zentralisieren und eine Art diensteigenen Busbetrieb einzurichten, scheiterte bis zum Ende der Stasi am Widerstand der beteiligten Hauptabteilungen, die den Berufsverkehr ihrer Mitarbeiter lieber in eigener Regie fortführen wollten. Selbst der Vorschlag, die Busse könnten doch Angehörige mehrerer Diensteinheiten befördern, wenn deren Fahrtziel – wie etwa der Ort Gosen bei Berlin, wo es Dienst- und Ausbildungsobjekte mehrerer Abteilungen gab – das gleiche ist, stieß auf taube Ohren. Jede Abteilung wollte ihre eigene Linie für sich behalten.

    Einer Aufstellung aus dem Februar 1986 zufolge betrieben zu dieser Zeit ein Dutzend Stasi-Abteilungen insgesamt 50 Buslinien in Berlin und Umgebung. Eingesetzt waren überwiegend Ikarus-Busse der Typ-reihen 256 (Reisebus) und 280 (dreiachsiger Zuggelenkbus). In Einzelfällen verkehrten auch Kleinbusse vom Typ Barkas. Jeden Werktag absolvierten die Stasi-Busse insgesamt 150 Fahrten. Wie viele Mitarbeiter sie dabei transportierten, darüber gibt es keine Angaben. Schätzungsweise dürfte es sich um mehr als 10.000 Fahrgäste pro Tag gehandelt haben, da in den Unterlagen von einem Auslastungsgrad der Linien zwischen 80 und 100 Prozent gesprochen wird.

    Die meisten Busse auf jeweils acht Linien verkehrten für die Hauptabteilung Personenschutz (HA PS) und das Wachregiment. Die Personenschützer gelangten so aus Berlin zur Wohnsiedlung der SED-Spitze in Wandlitz und zum zentralen Ausbildungscamp in Kallinchen; die Offiziere des Wachregiments fuhren in die Kasernen in Adlershof, Erkner und Teupitz. Auf insgesamt sieben Buslinien gelangten Mitarbeiter der bei Stasi-Minister Mielke angesiedelten Spezialbauabteilung täglich zum Regierungsbunker in Prenden und zu unterirdischen Anlagen in Bernau.

    Fünfmal am Tag verkehrten die Stasi-Busse auf verschiedenen Linien

    Eine Buslinie weniger betrieb die Auslandsspionageabteilung HVA, die ihre Kader erst an mehreren Haltepunkten in Ostberlin einsammelte und dann zu den Ausbildungseinrichtungen in Gosen und Belzig sowie nach Zeesen und Wernsdorf fuhr. Auch die Lauschabteilung III schaffte Mitarbeiter in eigenen Bussen von Berlin in die Dienstobjekte Gosen und Biesenthal. Weitere Buslinien betrieben die Hauptabteilungen Kader und Schulung, VI (Grenzverkehr und Tourismus), XI (Chiffrierdienst) und II (Terrorabwehr) sowie VRD und Operativ-Technischer Sektor. Hinzu kam noch eine weitere Linie, die werktäglich jeweils um 6.20 und 7.20 Uhr am Alexanderplatz begann und Mitarbeiter in die MfS-Zentrale an der Lichtenberger Normannenstraße schaffte. Die Busse hielten am Leninplatz, im Weidenweg auf Höhe des U-Bahnhofs Marchlewskistraße (heute Weberwiese), vor dem Blumenladen am S-Bahnhof Frankfurter Allee sowie an der Ecke Fanninger-/Siegfriedstraße. Zurück ging es in entgegengesetzter Richtung jeweils um 17.15 und 19 Uhr.

    Was bis heute kaum bekannt ist – auch nach West-Berlin verkehrten regelmäßig Stasi-Busse. Fünf Linien gab es, auf denen die Mitarbeiter der jenseits der Mauer eingerichteten Büros für Besuchs- und Reiseangelegenheiten (BfBR) zu ihren Arbeitsstellen gelangten. In diesen auch „Passierscheinbüros“ genannten Einrichtungen, in denen Westberliner Einwohner einen Tagesbesuch im Ostteil der Stadt oder in der DDR beantragen konnten, arbeiteten Senatsmitarbeiter Seite an Seite mit Beamten aus Ostberlin. Letztere galten offiziell als Mitarbeiter des DDR-Ministerrats, waren aber in Wahrheit Stasi-Offiziere der Arbeitsgruppe XVII.


    Passierscheinbüro Waterlooufer

    Fünfmal am Tag verkehrten die Stasi-Busse auf verschiedenen Linien, um die insgesamt 75 in West-Berlin eingesetzten MfS-Mitarbeiter der AG XVII an den Grenzübergängen Invaliden-, Chaussee- und Heinrich-Heine-Straße einzusammeln, um sie in den Westteil der Stadt und vor allem wieder zurückzubringen. Fahrtziele der einzelnen Linien waren die fünf Passierscheinbüros am Spandauer Reformationsplatz, am Waterlooufer in Kreuzberg, in der Jebensstraße in Charlottenburg, in der Steglitzer Schloßstraße und an der Kreuzung Schul-/Maxstraße im Wedding. Auch an den Wochenenden und feiertags verkehrten Stasi-Busse nach West-Berlin, allerdings nur zweimal am Tag und lediglich zu den dann geöffneten Einrichtungen in Steglitz und Charlottenburg.

    Stasi-Mitarbeiter wurden unfreundlich, wenn keine Sitzplätze verfügbar waren

    Es gab immer wieder auch Zwischenfälle in den Stasi-Bussen. Davon künden die in den Akten überlieferten Beschwerdeschreiben.

    So beklagten sich Busfahrer über unfreundliche Stasi-Offiziere, über betrunkene Genossen, die auch schon mal in den Bus kotzten, und über Versuche, Kraftfahrer für private Erledigungen einzuspannen – etwa um Familien in Naherholungsgebiete zu kutschieren oder ein Kuchenpaket am Palast der Republik abzuholen.

    Ein Busfahrer der Stasi ärgerte sich darüber, dass seine Fahrgäste, wenn nicht genügend Sitzplätze zur Verfügung stehen, unfreundlich würden. Dabei seien das in der Regel nur vier bis sechs Personen, die eine Teilstrecke der Linie stehen müssten.

    „Die Genossen kommen dann mit solchen Argumenten wie ,Wir sind Schichtarbeiter und dürfen im Berufsverkehr nicht stehen‘, schrieb der Busfahrer in einem Beschwerdebrief an seine Vorgesetzten. Dabei sei dieses Argument doch schlecht, fügte der Mann hinzu, „denn wieviel Kollegen in Berlin arbeiten im Schichtdienst und bekommen in den Bussen der BVB auch keinen Sitzplatz“.

    Die Gefahr, die sich aus dem Betrieb des Stasi-Busverkehrs ergab, war dem Geheimdienst durchaus bewusst. So gab es die Sorge, dass ein Bus mit MfS-Mitarbeitern gekapert und die Insassen als Geiseln genommen werden, um einen Grenzdurchbruch zu erreichen.

    Im Jahre 1988 wurden daher zwei Stasi-Fachschulabsolventen der Antiterror-Abteilung II mit einer Abschlussarbeit zum Thema „Taktische Grundvariante zur Bekämpfung/Erstürmung eines Kraftomnibusses (KOM)“ beauftragt. Die im März 1989 vorgelegte Arbeit sollte die auszubildenden Antiterrorkämpfer des MfS in die Lage versetzen, „taktisch richtig zu handeln und die Überwältigung bzw. Liquidierung von Terrortätern erfolgreich durchführen zu können“. Die in der Arbeit beschriebenen Objekte einer Befreiungsaktion waren Ikarus-Busse Arbeit Typ 256 und 280 – also genau solche Fahrzeuge, die auch im BLV eingesetzt wurden.


    Im Jahr 2019 ist die Bushaltestelle am U-Bahnhof Wutzkyallee verschwunden. Die Säule mit dem U-Bahn-Schild wurde erneuert, steht aber immer noch am geichen Patz.

    #Berlin #DDR #Westberlin #Stasi #Verkehr #Passierscheinbüro #Passierscheinstelle #Geschichte

  • Ewige Flamme auf dem Theo defekt - Westend
    https://www.berliner-woche.de/westend/c-bauen/ewige-flamme-auf-dem-theo-defekt_a223495

    Bei der Ewigen Flamme des Mahnmals auf dem Theodor-Heuss-Platz wurden durch den Energieversorger Gasag Mängel festgestellt. Daher wurde die Flamme zunächst „gelöscht“, um Reparaturarbeiten durchführen zu können. Bis zur Kranzniederlegung des traditionellen Tags der Heimat am 31. August werden die Arbeiten abgeschlossen sein. Das Mahnmal mit der Ewigen Flamme wurde 1955 von den „Landsmannschaften der deutschen Heimatvertriebenen“ auf dem damaligen Reichskanzlerplatz – seit 1963 Theodor-Heuss-Platz – aufgestellt und von Theodor Heuss eingeweiht. Diese, in einen Kunststeinquader mit einer eisernen Opferschale brennende Flamme sollte bis zur Wiedervereinigung brennen. Danach wurde sie nicht entfernt, sondern als Denkmal für die Opfer von Flucht und Vertreibung erhalten.

    http://www.bilderbuch-berlin.net/bilder/berlin_reichskanzlerplatz_historisch_67c1390199_978x1304xin.jpeg

    #Berlin #Westend #Theodor-Heuss-Platz #Adolf-Hitler-Platz #Reichskanzlerplatz

  • Un député souhaite que les développeurs codent mieux au nom de l’environnement
    https://www.numerama.com/tech/518848-un-depute-souhaite-que-les-developpeurs-codent-mieux-au-nom-de-lenv

    Le gouvernement est interpellé par un député qui souhaite que l’on oblige les éditeurs de logiciels à consacrer un budget pour une programmation plus compatible avec les enjeux environnementaux. Greenpeace a fait sa communication dessus : les plateformes de streaming vidéo ne sont pas toujours très écolo-compatibles. Dans un rapport daté de 2017, l’ONG avait épinglé plusieurs services très populaires, comme Netflix, HBO ou encore Amazon Video pour leurs faibles performances en matière environnementale. (...)

    #Cisco #Google #Huawei #Intel #Lenovo #Microsoft #Nokia_Siemens #Samsung #Seagate #Tencent #Western_Digital #Amazon #Netflix #IBM #HP #écologie #cloud #Greenpeace (...)

    ##HBO
    //c1.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2016/02/femmes-programmation.jpg

  • Spies with that ? Police can snoop on McDonald’s and Westfield wifi customers
    https://www.theguardian.com/business/2019/may/28/spies-with-that-police-can-snoop-on-mcdonalds-and-westfield-wifi-custom

    Documents reveal rushed encryption legislation allows police to compel wifi providers to turn over information about users People accessing the internet at McDonald’s and Westfield in Australia could be targeted for surveillance by police under new encryption legislation, according to the home affairs department. A briefing by the department, obtained under freedom of information, reveals that police can use new powers to compel a broad range of companies including social media giants, (...)

    #McDonald's #Facebook #GoogleSearch #cryptage #WiFi #surveillance #web #Westfield

    https://i.guim.co.uk/img/media/aec376894417749d113f606bff707feb1e6325ae/0_12_2000_1200/master/2000.jpg

  • Hindenburgdamm
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Hindenburgdamm-12203-Berlin


    Rede Adolf Hitlers anläßlich der Beisetzung Paul von Hindenburgs im Tannenberg-Nationaldenkmal von Hohenstein (Olsztynek), Ostpreußen

    Im schwärzesten aller Berliner Bezirke häufen sich die Reminiszenzen an Preußens Gloria. Am Ostpreußendamm (ab 1961) , der an die verlorenen Ostgebiete erinnert, liegt das ehemalige Tannenberg Gymnasium (1933-1990) und einen Hindenburgdamm (ab 16.11.1914), der nicht auf die Insel Sylt führt, gibt es auch. Der Dreiklang steht für die Kontinuität vom preußischen Militarismus über die Naziherrrschaft zum Rechtsaußen-Revanchismus der lokalen CDU. Namen der Helden aus der Weimarer Republik oder dem ersten sozialistischen deutschen Staat finden sich in Steglitz-Zehlendorf so gut wie keine, zumindest fällt dem Autor ad hoc nichts dazu ein.

    Ortsteil: Nr. 1-62, 68-138 Lichterfelde, Nr. 64-65E Steglitz
    Straßenverlauf: von Königsberger Straße, Drakestraße und Goerzallee bis Schloßstraße und Braillestraße Nr 1-65E, zurück 68-138
    Ehemaliger Bezirk: Steglitz
    Alte Namen: hausseestraße (vor 1878-1914)
    Name seit: 16.11.1914

    Der Vollständigkeit halber sei auch der Berliner Hindenburgplatz erwähnt.
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Hindenburgplatz-14053-Berlin

    Straßenverlauf: an Friedrich-Friesen-Allee

    Der ist ein Sportfeld auf dem Gelände des Sportforums im Westend, westlich des Gutsmuthsweg und nördlich der kreuzenden Friedrich-Friesen-Allee
    https://www.openstreetmap.org/way/54065472#map=15/52.5180/13.2408

    Schlacht bei Tannenberg (1914)
    https://de.wikipedia.org/wiki/Schlacht_bei_Tannenberg_(1914)

    Die Schlacht bei Tannenberg war eine Schlacht des Ersten Weltkrieges und fand in der Gegend südlich von Allenstein in Ostpreußen vom 26. August bis 30. August 1914 zwischen deutschen und russischen Armeen statt. Die deutsche Seite stellte hierbei 153.000 Mann, die russische Seite 191.000 Soldaten ins Feld. Sie endete mit einem Sieg der deutschen Truppen und der Zerschlagung der ins südliche Ostpreußen eingedrungenen russischen Kräfte.

    Anfänglich in den deutschen Medien als „Schlacht bei Allenstein“ bezeichnet, wurde sie auf Wunsch Paul von Hindenburgs kurze Zeit danach zu Propagandazwecken in Schlacht bei Tannenberg umbenannt. Tatsächlich liegt nicht die Ortschaft Tannenberg (heute Stębark) unmittelbar im Hauptkampfgebiet, sondern Hohenstein. Mit der Namensgebung sollte die in der deutschen Geschichtsschreibung als Schlacht bei Tannenberg bezeichnete Niederlage der Ritter des Deutschen Ordens gegen die Polnisch-Litauische Union im Jahre 1410 überstrahlt werden.

    Ostpreußendamm
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Ostpreussendamm-12207-Berlin

    Straßenverlauf: von Siemensstraße und Gärtnerstraße über Schwelmer Straße bis Stadtgrenze Nr 1-100, zurück 101-184
    Ehemaliger Bezirk: Steglitz
    Alte Namen: Berliner Straße (vor 1878-1961)
    Name seit: 1.10.1961

    75 JAHRE TANNENBERG Gymnasium 1905-1980 Berlin Ostpreußendamm Chronik Geschichte - EUR 22,90 | PicClick DE
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    Im Jahr 1980 war der Name „Tannenberg“ noch derart selbstverständlich für Schulleitung und Verfasser Dr. H. Schwarz, dass im Titel der Festschrift einfach unterstellt wurde, die Schule wäre schon immer nach der Schlacht im ersten Weltkrieg benannt gewesen. Tannenberg war ein fester Bestandteil der deutschen Mythologie, die fest in die Köpfen der Lichterfelder Honoratioren hineingeprügelt worden war. Präzise hätte der Titel lauten müssen 47 Jahre Tannenberg Gymnasium . Der Bezug zur Naziherrschaft wäre dann wohl doch zu auffällig gewesen. So entschied man sich fürs ewig Deutsche und vergaß mal eben, welche Bedeutung Name und Datum der Benennung haben.

    75 Jahre Tannenberg Gymnasium 1905-1980 Berlin Ostpreußendamm Chronik Geschichte
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    Vom Tannenberg zum Willi-Graf-Gymnasium
    https://willi-graf-gymnasium.de/WirUeberUns/Historie/Namensgebung

    18. Januar 1933

    Das REALGYMNASIUM BERLIN LANKWITZ bittet den Bezirksschulausschuß, der Schule den Namen „Tannenberg“ zu verleihen:

    Im Auftrage von Lehrerkollegium und Elternbeirat bitte ich, dem Realgymnasium Lankwitz den Namen „Tannenberg-Realgymnasium zu Berlin Lankwitz“ zu verleihen. Lehrerkollegium und Elternbeirat haben sich bei der Wahl dieses Namens von der Hoffnung leiten lassen, daß von ihm Entwicklungen besonderer Art auf die Schüler ausgehen können und werden. Der Name Tannenberg erinnert nicht nur an die Tage höchster Leistung und höchsten Ruhmes und ist so geeignet, vaterländischen Stolz zu erwecken; er erinnert ebenso an Zeiten tiefsten Falles, verursacht durch den Nationalfehler der Zwietracht und soll dadurch zu einer Mahnung werden. Er soll die Schüler, die durch den Lehrplan vor allem auf den westeuropäischen Kulturkreis hingeführt werden, auf die Bedeutung des Ostens für Volk und Vaterland hinweisen und zugleich eine Huldigung sein für unseren Führer in Krieg und Frieden, den Reichspräsidenten Hindenburg, dessen Name so unlösbar mit dem Namen Tannenberg verbunden ist.

    gez. Dr. von Hymmen
    Studiendirektor

     

    18. November 1933

    Das REALGYMNASIUM BERLIN LANKWITZ teilt dem Reichspräsidenten Hindenburg die Benennung der Schule nach der Schlacht von Tannenberg mit:

    Hochzuverehrender Herr Reichspräsident, Herr Generalfeldmarschall!

    Durch Erlaß des Preußischen Herrn Ministers für Wissenschaft, Kunst und Volksbildung vom 1. November 1933 ist dem Städtischen Realgymnasium zu Berlin Lankwitz die Bezeichnung „Tannenberg-Schule“ verliehen worden. Ihnen als dem Manne, dessen Name mehr als der irgend eines anderen mit dem Namen Tannenberg verbunden ist, gibt die Schule von dieser Auszeichnung Kunde. Gleichzeitig legt sie das Gelöbnis ab, in dieser Auszeichnung eine neue Verpflichtung zu sehen, den Geist der Augusttage von 1914 für immer in der deutschen Jugend lebendig zu erhalten. In tiefster und dankbarster Verehrung das Lehrerkollegium der Tannenberg-Schule zu Berlin Lankwitz.

    gez. Dr. von Hymmen

     

    21. November 1933

    Der Herr Reichspräsident dankt der Schule für die Benennung:

    Sehr geehrter Herr Studiendirektor!

    Für Ihre freundliche Meldung vom 18. d. Mts., in der Sie mir die Neubenennung des Realgymnasiums zu Lankwitz als „Tannenberg-Schule“ mitteilen, danke ich Ihnen herzlich. Dem Lehrerkollegium und den Schülern der Anstalt sende ich aus dem denkwürdigen Anlaß meine herzlichen Glückwünsche in der Hoffnung, daß der Geist vaterländischer Einigkeit und Opferbereitschaft stets in den Räumen der Anstalt eine Heimstätte haben möge.

    Mit freundlichen Grüßen

    gez. von Hindenburg

     

    07. November 1985

    41 von ca. 60 Lehrern der Tannenberg-Oberschule sprechen sich im Rahmen einer Lehrergesamtkonferenz für eine Namensänderung aus

    25. Februar 1986

    Beschluß der Schulkonferenz (10:2 Stimmen), eine Namensänderung beim Bezirksamt zu beantragen

    12. Mai 1986

    Ablehnung des Antrags durch das Bezirksamt (5:2 Stimmen)

    16. Mai 1986

    Anfrage der SPD-Fraktion über die Namensänderung der Tannenberg-Oberschule

    20. Mai 1986

    Antrag der SPD-Fraktion auf Namensänderung der Tannenberg-Oberschule

    02. Juni 1986

    Sitzung der Bezirksverordneten-Versammlung: Namensänderung wird in Schulausschuß verwiesen

    26. Juni 1986

    Sitzung des Schulausschusses - Ablehnung des Antrags der Schulkonferenz auf Namensänderung

    10. September 1986

    Brief von 41 Lehrern der Tannenberg-Oberschule an die Bezirksverordneten Berlin-Steglitz

    06. Oktober 1986

    Podiumsdiskussion in der Tannenberg-Schule zum Thema „Ist Tannenberg ein verdorbener Name?“

    15. Oktober 1986

    Sitzung der Bezirksverordneten-Versammlung; Tannenberg -Namensänderung wird mit 25:18 Stimmen abgelehnt

    29. Januar 1989

    Wahlen zum Berliner Abgeordnetenhaus und zu den Bezirksverordnetenversammlungen. Die CDU verliert die absolute Mehrheit in Berlin-Steglitz

    03. April 1989

    Antrag der FDP - Fraktion in Steglitz auf Namensänderung der Tannenberg-Oberschule

    24. Mai 1989

    Der Schulausschuß empfiehlt der BVV, dem Antrag der FDP zuzustimmen

    20. September 1989

    Sitzung der BVV Steglitz: Der Antrag der FDP und SPD wird mit 23 zu 21 Stimmen angenommen

    25. September 1989

    Der Stadtrat für Volksbildung fordert die Tannenberg-Oberschule auf, Vorschläge für einen neuen Namen zu sammeln

    15. Februar 1990

    Projekttag der Schule zur Namensfindung. Es liegen 15 Vorschläge vor

    02. März 1990

    Abstimmung der Schüler über Beibehaltung des Namens Tannenberg

    03. März 1990

    Abstimmung der Schüler über neuen Namen

    04. März 1990

    Meinungsbild bei den gewählten Elternvertretern

    05. März 1990

    Abstimmung auf der Gesamtkonferenz der Lehrer

    22. März 1990

    Die paritätisch besetzte Schulkonferenz macht dem Bezirksamt 4 Namensvorschläge.

    21. Mai 1990

    Das Bezirksamt beschließt mit den Stimmen von SPD und AL gegen die der CDU die Umbenennung der Tannenberg-Oberschule in Willi-Graf-Oberschule.

    Die Entscheidung des Bezirksamts:

    Auszüge aus der Begründung des Volksbildungsstadtrats:

    (...) Der neue Name der Schule soll die jahrelange Diskussion über den Schulnamen beenden und den Schülern eine positive Vorbildfunktion geben. Das Bezirksamt hat am 21.5. 90 beschlossen, daß die Schule künftig den Namen „Willi-Graf-Oberschule“ tragen soll. (...) Der künftige Name der Schule bietet den Schülerinnen und Schülern Gelegenheit, sich mit Willi Graf und der Gruppe der „Weißen Rose“ zu befassen, sich mit ihrer Denkweise auseinanderzusetzen und diese zu hinterfragen. Willi Graf und seine Freunde waren mutige junge Menschen, die bereit waren, Verantwortung zu übernehmen; die nicht nur genau hinsahen, sondern auch handelten, um etwas zu verändern. Der künftige Name ist auch Auftrag an die Schülerinnen und Schüler, sich mit den geschichtlichen Entwicklungen auseinanderzusetzen, die zur Schreckensherrschaft der Nationalsozialisten und zum 2. Weltkrieg geführt haben. Er bietet daher auch die Möglickeit, sich rückblickend mit dem alten Namen der Schule und dem historischen Hintergrund der Namensgebung „Tannenberg-Oberschule“ im Jahre 1933 auseinanderzusetzen. Aus diesem Grunde hat sich das Bezirksamt trotz der von Teilen der Lehrer, Schüler- und Elternschaft favorisierten anderen Namen endgültig für „Willi-Graf-Oberschule“ entschieden. Alle Mitglieder der Schulkonferenz haben nach ausführlicher Diskussion über die Stellungnahme der Abt. Volksbildung zu den eingereichten Vorschlägen im Rahmen einer abschließenden Anhörung am 14. Mai die Entscheidung der Abt. Volksbildung akzeptiert.

    Härtel

    Bezirksstadtrat

     

    Es wurde zitiert nach:

    Resag, Christina mit Unterstützung des Bezirksamts (Herausgeber) :
    Vom Umgang mit unserer Geschichte: Der Streit um den Namen Tannenberg

    Geboren vor fast 100 Jahren › Stadtteilzentrum Steglitz e.V.
    https://www.stadtteilzentrum-steglitz.de/2014/11/geboren-vor-fast-100-jahren


    Die Erzählung dieses Ehemaligen des Lankwitzer Realgymnasiums verkörpert die typische Sichtweise auf die letzten einhundert Jahre Bezirksgeschichte.

    Der Versailler Friedensvertrag tritt am 10. Januar in Kraft. Deutschland leidet unter dem schwierigen Wiederaufbau nach dem Krieg und durch die immensen Reparationsleistungen, die aufgrund des Vertrags erbracht werden müssen. Es herrscht Mangel unter dem die Menschen leiden. Die NSDAP wird gegründet. Der Kapp-Putsch treib Parteien und Gewerkschaften auf die Straße. Es ist das Jahr 1920, das Geburtsjahr von Heinz Rothe, in dem seine Kindheit begann. In diesem Jahr wird er am 27. November 94 Jahre alt und trotzdem erinnert er sich an die Kindheit, als wäre sie gestern erst gewesen. Eine Kindheit, die mit den heutigen Kindertagen so wenig Gemeinsamkeit hat.

    Heinz Rothe wird in der Kaserne des Gardeschützenbataillons im Gardeschützenweg, der früheren Steglitzer Straße in Lichterfelde geboren. Der Vater war Berufssoldat, arbeitete dort in der Bataillonsschmiede, die er als Feldwebel leitete und so konnte die Familie eine kleine Dienstwohnung beziehen. Das Kasernenleben wurde eine der prägendsten Erinnerungen für Heinz Rothe. Für den Jungen gehörte das Militär zum gewohnten Bild, lebte er mit den Eltern ja mitten im Kasernenalltag. Exerzierende oder Sport treibende Soldaten, Militärmusik, Paraden, gehörten genauso dazu wie Uniformen und ein korrekter Gruß unter den Männern. Wollten die Eltern ins Theater gehen, wurde der Junge im Kinderbett in die Stube des Feldwebels geschoben, wo er schlief bis die Eltern heimkehrten. Und später als er auf Entdeckungsreise ging, wurde die ganze Kaserne ein riesengroßes Abenteuerland für ihn. Es gefiel ihm natürlich, bot die Kaserne doch alles, was kleine Jungen sich in der Zeit für heldenhafte Abenteuer ausdachten. Er wurde immer fündig in der Schmiede, der Tischlerei und selbst die Kleiderkammer bot mit Schulterklappen und Knöpfen viele Möglichkeiten, sich Geschichten auszudenken. Heinz Rothe erinnert sich an ein Schaukelpferd, das mit echten Fellen und einem richtigen Sattel ausgestattet war. Eine Eisenbahn mit Dampfmaschine und ein Bahnhof aus Blech gehörte zu seinem Spielzeug. Für zehn Pfennig konnte er sich fünf Zinnsoldaten kaufen und sich mit ihnen in sein Spiel vertiefen. Brauchte er einen Groschen, ging er zu den Soldaten bei denen er für ein ordentliches Lied das Gewünschte bekam und beim Bäcker gegenüber der Kaserne in einen Lutscher, Gebäck oder ein paar Bonbons tauschen konnte. Seine Freunde kamen gerne zu ihm in die Kaserne, in der es immer etwas Spannendes zu erleben gab.

    annaschmidt-berlin_heinz_rothe_3Mit den Eltern hat er kaum gespielt, wenn eher mit der Mutter. Den Vater sah er eher wie einen großen Bruder an, war er doch sehr beschäftigt. Die Mutter war auch die strengere von beiden, die durchaus mal den Kochlöffel gebrauchte. Hatte er sich bei den Aufgaben verschrieben, kannte sie kein Pardon und riss ihm die Seite aus dem Heft. An die Weihnachtsfeste kann er sich gut erinnern, aber sie wurden doch ganz anders als heute gefeiert. An Wachskerzen und viel Lametta erinnert er sich. Das besondere am Fest war jedoch mal eine Dose Sprotten oder eine Kiste Mandarinen, das war eben so in der kargen Zeit. Dabei ging es der Familie noch gut, denn hin und wieder kam es vor, dass einer der Soldaten, der die Bügelhilfe der Mutter zu schätzen wusste, mit einem Fasan oder einem Huhn vorbeikam.

    1927 konnte die Familie in ein Zweifamilienhaus der Genossenschaft Lankwitz umziehen. Der Vater war in der Zwischenzeit Beamter geworden und hatte Anspruch auf diese Wohnung. Für Heinz Rothe begann in diesem Jahr zusätzlich die Schulzeit. Die Paul-Schneider-Schule sollte für die nächsten Jahre sein Leben prägen. Dies besonders in der Person des Lehrers Paul Hiller. Eine Klasse mit 42 Schülern leitete er nach seiner Lehrerauffassung. Paul Hiller habe ihn den Grundstock für’s Leben gegeben, sagt Heinz Rothe, ein Lehrer, der auf Disziplin setzte, durch aus den Rohrstock gebrauchte, dennoch gerecht und korrekt war. Die Zeichnungen aus der Schulzeit hat Heinz Rothe noch alle zuhause. Sieht man sie durch, erkennt man auf den ersten Blick, wie korrekt die Aufgaben von den Schülern durchgeführt werden mussten. Später ging er auf das Tannenberg-Gymnasium, derzeit eine reine Jungenschule, auf der er 1939 das Abitur machen konnte. Da er vom Elternhaus her zur minderbegüterten Klasse gehörte, konnten sich die Familie das Schulgeld von 15 Reichsmark leisten, was nicht vielen Schülern möglich war. Von 1934 gehörte Heinz Rothe der Hitlerjugend an. Das erzählt er ohne besondere Scheu, denn dort wurde den jungen Leuten das geboten, was sie suchten. Jeden Mittwoch gab es einen Heimatabend, bei dem von 16.00 – 18.00 Uhr Lieder gesungen wurden, sie konnten an Zeltlagern und vielen Dingen, die Jugendliche in dem Alter gerne machten, teilnehmen. Politische Richtungen waren kaum Inhalt der Aktivitäten, galt es zunächst nur Bindungen zu schaffen und die Jugendlichen für gemeinsame Ziele zu begeistern.

    annaschmidt-berlin_heinz_rothe_2Nach dem Abitur begann für Heinz Rothe der Arbeitsdienst und später wurde er Offizier. Die Kindheit und das Elternhaus hatten sein Leben militärisch geprägt, in einer Zeit, in der dem Militär ein hohes gesellschaftliches Ansehen entgegen kam. Mit dem Jahr 1939 hörte die Kindheit für ihn auf, die später in Kriegs- und Gefangenschaftserlebnisse münden sollte. „Ich habe überlebt!“ heißt sein Buch in dem er diese Lebensphase schildert und verarbeitet. Er hat den Weltkrieg überlebt, konnte nach sechs jähriger Kriegsgefangenschaft in der Sowjetunion am 4. Mai 1950 in ein zerstörtes Deutschland zurückkehren. Der Vater war erschossen worden und um die Mutter nicht alleine zu lassen blieb er bei ihr. Er wurde Beamter und später Zollrat – Leiter der Zentralstelle für alle Meldungen, die von den Zollbeamten an der Grenze als „ Auge und Ohr“ fernmündlich ihm zugeleitet wurden. Heinz Rothe kann sein ganzes Leben belegen – in Bildern, Berichten, Ausweisen, Briefen, Urkunden und vielem mehr. Er ist Zeitzeuge für den BND, bei dem er jüngst einen Vortag in seinem Geburtszimmer halten durfte. Zeitzeuge für die Olympiade 1936 in Berlin, für die 700 Jahr Feier der Stadt Berlin, für die Paul-Schneider-Schule, die frühere Tannenberg-Schule (dem heutigen Willi-Graf-Gymnasium) und vieles mehr. Was besonders beeindruckt, ist sein waches Erzählen und der Wunsch auch noch eine 100 als Geburtszahl zu erreichen. Das was er aktiv erlebt hat, können die meisten von uns nur noch aus den Geschichtsbüchern erfahren. Ein großartiger Mann und beeindruckender Zeitzeuge!

    Das Buch “Ich habe überlebt“ ist persönlich bei Heinz Rothe für 16 Euro, Telefon 030 7 72 24 51, erhältlich.

    #Berlin #Steglitz #Lichterfelde #Hindenburgdamm #Ostpreußendamm #Ostpreußenplatz #Westend

  • SPANDAUER VOLKSBLATT : Was ganz Neues - DER SPIEGEL 17/1964
    https://www.spiegel.de/spiegel/print/d-46174512.html

    22.04.1964

    In den Redaktionsräumen der Vorortgazette „Spandauer Volksblatt“ an der Neuendorfer Straße 101 im Westberliner Verwaltungsbezirk Spandau planen sechs Männer im Alter von 32 bis 40 Jahren die Sonntagsausgabe vom 26. April. Mit ihr wollen sie zum erstenmal seit Bestehen des Blattes in das 13 Kilometer entfernte Berliner Zentrum um Zoo und Gedächtniskirche vorstoßen.

    Den attraktivsten Beitrag steuert Bestseller-Autor Günter Graß ("Hundejahre") bei: 27 Schreibmaschinenseiten über „Vor- und Nachgeschichte der Tragödie des Coriolanus von Livius und Plutarch über Shakespeare bis zu Brecht und mir“. Der Schriftsteller hat dieses Manuskript für eine Shakespeare-Gedächtnisrede am Mittwochabend dieser Woche in der Westberliner Akademie der Künste ausgearbeitet; der Exklusiv-Abdruck erscheint im „Spandauer Volksblatt“ (Auflage rund 27 000).
    Schriftsteller Günter Graß, 36, ist einer der sechs Männer, die mit dem „Spandauer Volksblatt“ den Kurfürstendamm erobern wollen. Die anderen fünf:

    – Otto Peter Schasiepen, 34, Diplom -Volkswirt und Verlagsleiter des „Spandauer Volksblattes“, früher Mitarbeiter der Unternehmensberatung George S. May;
    – Hans Höppner, 34, Chefredakteur des „Spandauer Volksblattes“, früher im selben Verlag erst Lokalredakteur, später Leiter des politischen Ressorts;
    – Dr. Volker Klotz, 33, Germanist, Assistent des Literatur-Professors Walter Höllerer und Verfasser theaterwissenschaftlicher Abhandlungen;
    – Gerhard Schoenberner, 32, Herausgeber des Bildbandes „Der gelbe Stern“ und des Augenzeugenberichtes über die Judenverfolgung „Wir haben es gesehen“;
    – Wolfgang Neuss, 40, Kabarettist ("Der Mann mit der Pauke").

    Außerdem heuerten die sechs eine Reihe von Mitarbeitern an (Graß: „Keine Berufsjournalisten, aber Leute, die schreiben können“), die ebenso wie Graß und Neuss gegen normales Zeilen-Honorar (30 Pfennig) Berlins Ehre als Zeitungsstadt retten sollen.

    Denn die Spandauer teilen nicht die Ansicht des Westberliner „Abend“, der noch zu Beginn dieses Monats meinte. „Berlin gilt noch immer als bedeutendste Zeitungsstadt“. Höppner und Schasiepen, deren „Volksblatt“ bislang außerhalb Spandaus nicht zu kaufen war. sind „schon seit Jahren unzufrieden mit dem Berliner Zeitungsmarkt“.

    Zwar ist Westberlin noch immer die an Zeitungen reichste Großstadt Deutschlands. Allein die Springer -Gruppe bringt in Berlin vier Blätter heraus: Die Berliner Ausgaben der „Welt“ und der „Bild“-Zeitung, ferner „Morgenpost“ und „BZ“ mit einer täglichen Gesamtauflage von 703 962 Exemplaren. Hinzu kommen - neben dem „Spandauer Volksblatt“ - „Tagesspiegel“, „Der Abend“, „Der Kurier“, „Telegraf“ und „nacht-depesche“ (Gesamtauflage 348 154).

    Gleichwohl glauben die Spandauer, daß „etwas fehlt“. Neuss: „Die Berliner Presse-Tragödie besteht aus Absprachen“, Geschäftsgrundlage sei allein der Antikommunismus.

    Der gemeinsame Ärger über die Westberliner Tagespresse inspirierte die sechs Neuerer schließlich zu ihrem Plan. Graß: „Eines Tages sagt man eben: Nicht mehr quatschen - machen.“

    Weshalb die Zeitungsamateure ausgerechnet auf das Vorort-Journal verfielen, erläuterte Gerhard Schoenberner so:
    „In kritischen Situationen informieren mich nur drei Zeitungen objektiv: die ’Frankfurter Rundschau’, die ’Süddeutsche Zeitung’ und das ’Spandauer Volksblatt’.“ Auf der Suche nach einer Tageszeitung, „die mich informiert und nicht immer nur meine Meinung bilden will“, geriet auch Graß an das „Spandauer Volksblatt“.

    Nach dem Krieg hatte die Lokalzeitung, die heute, mit Anzeigen wohlversorgt, auf gesunder wirtschaftlicher Basis ruht, das Erbe der von den Nationalsozialisten verbotenen Spandauer SPD-Zeitung „Volksblatt“ angetreten. Alt-Sozialdemokrat und Volksblatt-Redakteur Erich Lezinsky, während der Nazi-Zeit mit Berufsverbot bedacht, gab das „Spandauer Volksblatt“ mit der Lizenznummer 1 der britischen Militärregierung zum erstenmal am 5. März 1946 heraus.

    Nach seinem Tode im Jahre 1952 bemühte sich die Berliner SPD um die Lizenz. Die Briten beließen sie jedoch der Familie Lezinsky, und der Lizenz-Neid der Sozialdemokraten führte dazu, daß sich die Lezinskys mit der SPD überwarfen und aus der Partei austraten. Das „Spandauer Volksblatt“ nahm künftig jede Gelegenheit wahr, die Berliner SPD zu attackieren.
    Das änderte sich wieder 1962, als Höppner zum Chefredakteur aufstieg und Schasiepen die Verlagsleitung übernahm. Schasiepen: „Zunächst wurde das Verhältnis zur SPD bereinigt. Dann wurden junge Leute eingestellt und der Spandauer Zopf abgeschnitten.“

    Höppner: „Wir fragten uns: Wie kommen wir über unsere Spandauer Festung hinaus?“

    Im Herbst vergangenen Jahres kamen Höppner und Graß, die sich bis dahin nicht gekannt hatten, bei der Eröffnung des neuen Hauses der Philharmonie miteinander ins Gespräch. Graß zu Höppner: „Setzen wir uns doch mal zusammen.“

    Der ersten Zusammenkunft folgten Gespräche mit anderen jungen Autoren, bis die sechs ("Komitee des 26. März") Ende März ihre publizistische Berlin-Hilfe fest beschlossen.

    Für die Zukunft wollen die Spandauer ihren Vormarsch auf den Kudamm jedoch nicht nur im Windschatten prominenter Autoren bewältigen. Schasiepen möchte dem Zeitungsmarkt „was ganz Neues“ bescheren. Und Klotz erläutert: „Wir möchten die traditionellen Sparten der Zeitung sprengen.“

    #Berlin #Spandau #Neuendorfer_Straße #Zeitung #Medien #Geschichte #Westberlin #SPD

  • Au #Niger, l’UE mise sur la #police_locale pour traquer les migrants

    Au Niger, l’Union européenne finance le contrôle biométrique des frontières. Avec pour objectif la lutte contre l’immigration, et dans une opacité parfois très grande sur les méthodes utilisées.

    Niger, envoyé spécial.– Deux semaines après une attaque meurtrière attribuée aux groupes armés djihadistes, un silence épais règne autour du poste de la gendarmerie de Makalondi, à la frontière entre le Niger et le Burkina Faso. Ce jour de novembre 2018, un militaire nettoie son fusil avec un torchon, des cartouches scintillantes éparpillées à ses pieds. Des traces de balles sur le mur blanc du petit bâtiment signalent la direction de l’attaque. Sur le pas de la porte, un jeune gendarme montre son bras bandé, pendant que ses collègues creusent une tranchée et empilent des sacs de sable.
    L’assaut, à 100 kilomètres au sud de la capitale Niamey, a convaincu le gouvernement du Niger d’étendre les mesures d’état d’urgence, déjà adoptées dans sept départements frontaliers avec le Mali, à toute la frontière avec le Burkina Faso. La sécurité a également été renforcée sur le poste de police, à moins d’un kilomètre de distance de celui de la gendarmerie, où les agents s’affairent à une autre mission : gérer les flux migratoires.
    « On est les pionniers, au Niger », explique le commissaire Ismaël Soumana, montrant les équipements installés dans un bâtiment en préfabriqué. Des capteurs d’empreintes sont alignés sur un comptoir, accompagnés d’un scanneur de documents, d’une microcaméra et d’un ordinateur. « Ici, on enregistre les données biométriques de tous les passagers qui entrent et sortent du pays, on ajoute des informations personnelles et puis on envoie tout à Niamey, où les données sont centralisées. »
    Makalondi est le premier poste au Niger à avoir installé le Midas, système d’information et d’analyse de données sur la migration, en septembre 2018. C’est la première étape d’un projet de biométrisation des frontières terrestres du pays, financé par l’UE et le #Japon, et réalisé conjointement par l’#OIM, l’Organisation internationale pour les migrations – créatrice et propriétaire du système #Midas –, et #Eucap_Sahel_Niger, la mission de sécurité civile de Bruxelles.


    Au cœur de ce projet, il y a la Direction pour la surveillance du territoire (DST), la police aux frontières nigérienne, dont le rôle s’est accru au même rythme que l’intérêt européen à réduire la migration via le Niger. Dans un quartier central de Niamey, le bureau du directeur Abdourahamane Alpha est un oasis de tranquillité au milieu de la tempête. Tout autour, les agents tourbillonnent, en se mêlant aux travailleurs chinois qui renouvellent leur visa et aux migrants ouest-africains sans papiers, en attente d’expulsion.
    Dessinant une carte sur un morceau de papier, le commissaire Alpha trace la stratégie du Niger « pour contrôler 5 000 kilomètres de frontière avec sept pays ». Il évoque ainsi les opérations antiterrorisme de la force G5 Sahel et le soutien de l’UE à une nouvelle compagnie mobile de gardes-frontières, à lancer au printemps 2019.
    Concernant le Midas, adopté depuis 2009 par 23 pays du monde, « le premier défi est d’équiper tous les postes de frontière terrestre », souligne Alpha. Selon l’OIM, six nouveaux postes devraient être équipés d’ici à mi-2020.

    Un rapport interne réalisé à l’été 2018 et financé par l’UE, obtenu par Mediapart, estime que seulement un poste sur les douze visités, celui de Sabon Birni sur la frontière avec le Nigeria, est apte à une installation rapide du système Midas. Des raisons de sécurité, un flux trop bas et composé surtout de travailleurs frontaliers, ou encore la nécessité de rénover les structures (pour la plupart bâties par la GIZ, la coopération allemande, entre 2015 et 2016), expliquent l’évaluation prudente sur l’adoption du Midas.
    Bien que l’installation de ce système soit balbutiante, Abdourahamane Alpha entrevoit déjà le jour où leurs « bases de données seront connectées avec celles de l’UE ». Pour l’instant, du siège de Niamey, les agents de police peuvent consulter en temps quasi réel les empreintes d’un Ghanéen entrant par le Burkina Faso, sur un bus de ligne.
    À partir de mars 2019, ils pourront aussi les confronter avec les fichiers du Pisces, le système biométrique du département d’État des États-Unis, installé à l’aéroport international de Niamey. Puis aux bases de données d’Interpol et du Wapis, le système d’information pour la police de l’Afrique de l’Ouest, un fichier biométrique financé par le Fonds européen de développement dans seize pays de la région.
    Mais si le raccordement avec des bases de données de Bruxelles, envisagé par le commissaire Alpha, semble une hypothèse encore lointaine, l’UE exerce déjà un droit de regard indirect sur les écrans de la police nigérienne, à travers Frontex, l’agence pour le contrôle des frontières externes.

    Frontex a en effet choisi le Niger comme partenaire privilégié pour le contrôle migratoire sur la route dite de la Méditerranée centrale. En août 2017, l’agence y a déployé son unique officier de liaison en Afrique et a lancé, en novembre 2018, la première cellule d’analyse de risques dans le continent. Un projet financé par la coopération au développement de l’UE : 4 millions d’euros destinés à ouvrir des cellules similaires dans huit pays subsahariens.
    L’agence n’a dévoilé à Mediapart que six documents sur onze relatifs à ses liens avec le Niger, en rappelant la nécessité de « protéger l’intérêt public concernant les relations internationales ». Un des documents envoyés concerne les cellules d’analyse de risques, présentées comme des bureaux équipés et financés par Frontex à l’intérieur des autorités de contrôle des frontières du pays, où des analystes formés par l’agence – mais dépendants de l’administration nationale – auront accès aux bases de données.
    Dans la version intégrale du document, que Mediapart a finalement pu se procurer, et qui avait été expurgée par Frontex, on apprend que « les bases de données du MIDAS, PISCES et Securiport [compagnie privée de Washington qui opère dans le Mali voisin, mais pas au Niger – ndlr] seront prises en considération comme sources dans le plan de collecte de données ».
    En dépit de l’indépendance officielle des cellules par rapport à Frontex, revendiquée par l’agence, on peut y lire aussi que chaque cellule aura une adresse mail sur le serveur de Frontex et que les informations seront échangées sur une plateforme digitale de l’UE. Un graphique, également invisible dans la version expurgée, montre que les données collectées sont destinées à Frontex et aux autres cellules, plutôt qu’aux autorités nationales.
    Selon un fonctionnaire local, la France aurait par ailleurs fait pression pour obtenir les fichiers biométriques des demandeurs d’asile en attente d’être réinstallés à Paris, dans le cadre d’un programme de réinstallation géré par le UNHCR.
    La nouvelle Haute Autorité pour la protection des données personnelles, opérationnelle depuis octobre 2018, ne devrait pas manquer de travail. Outre le Midas, le Pisces et le Wapis, le Haut Commissariat pour les réfugiés a enregistré dans son système Bims les données de presque 250 000 réfugiés et déplacés internes, tandis que la plus grande base biométrique du pays – le fichier électoral – sera bientôt réalisée.
    Pendant ce temps, au poste de frontière de Makalondi, un dimanche de décembre 2018, les préoccupations communes de Niamey et Bruxelles se matérialisent quand les minibus Toyota laissent la place aux bus longue distance, reliant les capitales d’Afrique occidentale à Agadez, au centre du pays, avec escale à Niamey. Des agents fouillent les bagages, tandis que les passagers attendent de se faire enregistrer.
    « Depuis l’intensification des contrôles, en 2016, le passage a chuté brusquement, explique le commissaire Ismaël Soumana. En parallèle, les voies de contournement se sont multipliées : si on ferme ici, les passeurs changent de route, et cela peut continuer à l’infini. »
    Les contrôles terminés, les policiers se préparent à monter la garde. « Car les terroristes, eux, frappent à la nuit, et nous ne sommes pas encore bien équipés », conclut le commissaire, inquiet.

    https://www.mediapart.fr/journal/international/280219/au-niger-l-ue-mise-sur-la-police-locale-pour-traquer-les-migrants
    #migrations #réfugiés #asile #traque #externalisation #contrôles_frontaliers #EU #UE #Eucap #biométrie #organisation_internationale_contre_les_migrations #IOM

    J’ajoute à la métaliste :
    https://seenthis.net/messages/731749

    • Biometrics: The new frontier of EU migration policy in Niger

      The EU’s strategy for controlling irregular West African migration is not just about asking partner countries to help stop the flow of people crossing the Mediterranean – it also includes sharing data on who is trying to make the trip and identifying to which countries they can be returned.

      Take Niger, a key transit country for migrants arriving in Europe via Libya.

      European money and technical assistance have flowed into Niger for several years, funding beefed-up border security and supporting controversial legislation that criminalises “migrant trafficking” and has led to a sharp fall in the registered number of people travelling through the country to reach Libya – down from 298,000 in 2016 to 50,000 in 2018.

      Such cooperation is justified by the “moral duty to tackle the loss of lives in the desert and in the Mediterranean”, according to the EU’s head of foreign policy, Federica Mogherini. It was also a response to the surge in arrivals of asylum seekers and migrants to European shores in 2015-16, encouraging the outsourcing of control to African governments in return for development aid.

      In April, as a further deterrent to fresh arrivals, the European Parliament passed a tougher “Regulation” for #Frontex – the EU border guard agency – authorising stepped-up returns of migrants without proper documentation to their countries of origin.

      The regulation is expected to come into force by early December after its formal adoption by the European Council.

      The proposed tougher mandate will rely in part on biometric information stored on linked databases in Africa and Europe. It is a step rights campaigners say not only jeopardises the civil liberties of asylum seekers and others in need of protection, but one that may also fall foul of EU data privacy legislation.

      In reply to a request for comment, Frontex told The New Humanitarian it was “not in the position to discuss details of the draft regulation as it is an ongoing process.”

      Niger on the frontline

      Niger is a key country for Europe’s twin strategic goals of migration control and counter-terrorism – with better data increasingly playing a part in both objectives.

      The #Makalondi police station-cum-immigration post on Niger’s southern border with Burkina Faso is on the front line of this approach – one link in the ever-expanding chain that is the EU’s information-driven response to border management and security.

      When TNH visited in December 2018, the hot Sunday afternoon torpor evaporated when three international buses pulled up and disgorged dozens of travellers into the parking area.

      “In Niger, we are the pioneers.”

      They were mostly Burkinabès and Nigeriens who travelled abroad for work and, as thousands of their fellow citizens do every week, took the 12-hour drive from the Burkina Faso capital, Ouagadougou, to the Niger capital, Niamey.

      As policemen searched their bags, the passengers waited to be registered with the new biometric #Migration_Information_and_Data_Analysis_System, or #MIDAS, which captures fingerprints and facial images for transmission to a central #database in Niamey.

      MIDAS has been developed by the International Organisation for Migration (#IOM) as a rugged, low-cost solution to monitor migration flows.

      “In Niger, we are the pioneers,” said Ismael Soumana, the police commissioner of Makalondi. A thin, smiling man, Soumana proudly showed off the eight new machines installed since September at the entry and exit desks of a one-storey prefabricated building. Each workstation was equipped with fingerprint and documents scanners, a small camera, and a PC.
      Data sharing

      The data from Makalondi is stored on the servers of the Directorate for Territorial Surveillance (DTS), Niger’s border police. After Makalondi and #Gaya, on the Benin-Niger border, IOM has ambitious plans to instal MIDAS in at least eight more border posts by mid-2020 – although deteriorating security conditions due to jihadist-linked attacks could interrupt the rollout.

      IOM provides MIDAS free of charge to at least 20 countries, most of them in sub-Saharan Africa. Its introduction in Niger was funded by Japan, while the EU paid for an initial assessment study and the electrical units that support the system. In addition to the border posts, two mobile MIDAS-equipped trucks, financed by #Canada, will be deployed along the desert trails to Libya or Algeria in the remote north.

      MIDAS is owned by the Nigerien government, which will be “the only one able to access the data,” IOM told TNH. But it is up to Niamey with whom they share that information.

      MIDAS is already linked to #PISCES (#Personal_Identification_Secure_Comparison_and_Evaluation_System), a biometric registration arm of the US Department of State installed at Niamey international airport and connected to #INTERPOL’s alert lists.

      Niger hosts the first of eight planned “#Risk_Analysis_Cells” in Africa set up by Frontex and based inside its border police directorate. The unit collects data on cross-border crime and security threats and, as such, will rely on systems such as #PISCES and MIDAS – although Frontex insists no “personal data” is collected and used in generating its crime statistics.

      A new office is being built for the Niger border police directorate by the United States to house both systems.

      The #West_African_Police_Information_System, a huge criminal database covering 16 West African countries, funded by the EU and implemented by INTERPOL, could be another digital library of fingerprints linking to MIDAS.

      Frontex programmes intersect with other data initiatives, such as the #Free_Movement_of_Persons_and_Migration_in_West_Africa, an EU-funded project run by the IOM in all 15-member Economic Community of West African States. One of the aims of the scheme is to introduce biometric identity cards for West African citizens.

      Frontex’s potential interest is clear. “If a European country has a migrant suspected to be Ivorian, they can ask the local government to match in their system the biometric data they have. In this way, they should be able to identify people,” IOM programme coordinator Frantz Celestine told TNH.

      The push for returns

      Only 37 percent of non-EU citizens ordered to leave the bloc in 2017 actually did so. In his 2018 State of the Union address, European Commission President Jean-Claude Juncker urged a “stronger and more effective European return policy” – although some migration analysts argue what is needed are more channels for legal migration.

      Part of the problem has been that implementing a returns policy is notoriously hard – due in part to the costs of deportation and the lack of cooperation by countries of origin to identify their citizens. Europe has had difficulty in finalising formal accords with so-called third countries unwilling to lose remittances from those abroad.

      The Commission is shifting to “informal arrangements [that] keep readmission deals largely out of sight” – serving to ease the domestic pressure on governments who cooperate on returns, according to European law researcher, Jonathan Slagter.

      The new Frontex regulation provides a much broader mandate for border surveillance, returns, and cooperation with third countries.

      It contains provisions to “significantly step up the effective and sustainable return of irregular migrants”. Among the mechanisms is the “operation and maintenance of a platform for the exchange of data”, as a tool to reinforce the return system “in cooperation with the authorities of the relevant third countries”. That includes access to MIDAS and PISCES.

      Under the new Frontex policy, in order to better identify those to be deported, the agency will be able “to restrict certain rights of data subjects”, specifically related to the protection and access to personal data granted by EU legislation.

      That, for example, will allow the “transfer of personal data of returnees to third countries” - even in cases where readmission agreements for deportees do not exist.

      Not enough data protection

      The concern is that the expanded mandate on returns is not accompanied by appropriate safeguards on data protection. The #European_Data_Protection_Supervisor – the EU’s independent data protection authority – has faulted the new regulation for not conducting an initial impact study, and has called for its provisions to be reassessed “to ensure consistency with the currently applicable EU legislation”.

      “Given the extent of data sharing, the regulation does not put in place the necessary human rights safeguards."

      Mariana Gkliati, a researcher at the University of Leiden working on Frontex human rights accountability, argues that data on the proposed centralised return management platform – shared with third countries – could prove detrimental for the safety of people seeking protection.

      “Given the extent of data sharing, the regulation does not put in place the necessary human rights safeguards and could be perceived as giving a green light for a blanket sharing with the third country of all information that may be considered relevant for returns,” she told TNH.

      “Frontex is turning into an #information_hub,” Gkliati added. “Its new powers on data processing and sharing can have a major impact on the rights of persons, beyond the protection of personal data.”

      For prospective migrants at the Makalondi border post, their data is likely to travel a lot more freely than they can.

      https://www.thenewhumanitarian.org/news-feature/2019/06/06/biometrics-new-frontier-eu-migration-policy-niger
      #empreintes_digitales #OIM #identification #renvois #expulsions #échange_de_données

      ping @albertocampiphoto @karine4 @daphne @marty @isskein

    • La #criminalisation_de_la_mobilité et la rhétorique de la défense des migrants : l’expérience du Niger

      Le Niger joue un rôle central dans les stratégies européennes de gouvernance des migrations. Depuis 2015, avec l’approbation de la loi n° 36, les dynamiques de lutte contre la liberté de circulation se sont multipliées : derrière la rhétorique de la lutte contre le trafic et la traite, se cachent les intérêts pressants de l’UE pour limiter la mobilité.

      Depuis 2015, on assiste à une redéfinition des objectifs de la coopération européenne avec les pays tiers dans une perspective sécuritaire et de gestion des frontières plutôt que de coopération au développement. Ce changement de cap est particulièrement évident au Niger, un pays qui occupe une position centrale dans les stratégies européennes de gestion des migrations.

      Les stratégies adoptées par l’Union européenne et les organisations internationales au Niger ces dernières années visent à imposer une réorganisation bureaucratique et judiciaire de l’État afin de réduire à court terme le nombre de migrants et de demandeurs d’asile en transit dans la région d’Agadez, considérant le pays comme la frontière sud de l’Europe.

      https://sciabacaoruka.asgi.it/fr/focus-niger/?_se=ZGlsZXR0YS5hZ3Jlc3RhQGdtYWlsLmNvbQ%3D%3D

  • Neue Studie zur #Nachwendegeneration
    https://diasp.eu/p/8607736

    Neue Studie zur #Nachwendegeneration

    „Im vereinten Deutschland geboren – in den Einstellungen gespalten?“

    Das Arbeitsheft 96 der #OttoBrennerStiftung betrachtet Gemeinsamkeiten und Unterschiede zwischen den Einstellungen von jungen Menschen in #Ost und #West.

    Das Forscherteam von pollytix strategic research hält fest: 30 Jahre nach dem Mauerfall steht die Mauer auch in den Köpfen derjenigen noch, die sie selbst gar nicht mehr erlebt haben. Aber: Sie bröckelt, die Gemeinsamkeiten überwiegen!

    #Lebensbedingungen entscheidend!

    Zudem sind die meisten Unterschiede, z.B. mit Blick auf die Demokratiezufriedenheit, auf die ungleichen Lebenssituationen und -perspektiven der jungen Menschen in Ost und West zurückzuführen. Die Ergebnisse der Studie unterstreichen somit noch einmal, wie wichtig der (...)

  • Wie Wolfgang Scheffler das Projekt Wannseevilla in Berlin sabotierte | Berliner Zeitung
    https://www.berliner-zeitung.de/berlin/machtkampf-mit-joseph-wulf-wie-wolfgang-scheffler-das-projekt-wanns


    Die Eingangshalle der Villa am Wannsee mit Marmorkamin gehörte 1956 zum Schullandheim Neukölln. Schülerinnen und Schüler sitzen dort, wo am 20. Januar 1942 fünfzehn hochrangige NS-Vertreter eintrafen, um die Judenvernichtung zu koordinieren.

    A partir de 1950 les alliés de l’Ouest rendent les biens immobiliers à la ville de Berlin ou les mettent à disposition de la nouvelle université Freie Universität qui doit concurrencer la prestigieuse Humboldt Universität à l’Est. Deux poignées de ces villas sur les lacs servent comme centres aérés pour les enfants berlinois issus de familles qui n’ont pas les moyens de partir en vacances.

    C’est toujours vrai quand un conflit bizarre oppose deux responsables au sujet du villa qui a acceuilli la conférence sur les détails de l’organisation de l’extermination des juifs de’Europe connu sous le nom Wannsee-Konferenz .

    Wie selbstverständlich führe ich heutzutage ausländische Gäste in das Haus der Wannseekonferenz. Gelegen Am Großen Wannsee Nr. 56 wurden dort am Mittag des 20. Januar 1942 die Beschlüsse zur „Endlösung der Judenfrage“ gefasst. Reinhard Heydrich, Chef des Reichssicherheitshauptamts, leitete die Besprechung zum Zweck des Völkermords. Die wichtigsten Ministerien wurden von ihren Staatssekretären vertreten. Adolf Eichmann führte das Protokoll. Acht der 15 versammelten Herren trugen einen Doktortitel; im Durchschnitt waren sie 41 Jahre alt.

    Nach dem Besuch des Schreckensorts und der gut gemachten und informativen Ausstellung zeige ich meinen Gästen gern das 1940 „arisierte“, nur wenige hundert Meter entfernte Sommerhaus des Malers Max Liebermann. Dort nehmen wir dann Kaffee und Kuchen zu uns, am liebsten bei Sonnenschein im historisch rekonstruierten Garten. So lässt sich vom Schock „Wannseekonferenz“ leichter in das sanftere Terrain deutsche Juden, Kultur und Kaiserreich hinüberleiten. Zusammengenommen lautet die heutige Botschaft beider Institutionen: Hier präsentieren sich die Deutschen bürgerlich und selbstkritisch aufgeklärt.

    Abgrund Auschwitz

    Bis es soweit war, musste viele Jahre und Jahrzehnte lang gestritten werden. Nachdem der Senat die Villa Liebermanns 1972 an einen Tauchverein verpachtet hatte, setzte erst in den 90er-Jahren ein langsames, von privater Seite initiiertes Umdenken ein. 2002 zog der Tauchverein aus, zuvor hatte er dem Berliner Senat eine passende Liegenschaft als Ersatz abgetrotzt.

    Wesentlich dramatischer verlief die Geschichte des Hauses der Wannseekonferenz. Die Gedenkstätte dort wurde 1992 eröffnet, nachdem das Haus von 1952 bis 1988 dem Bezirk Neukölln als Schullandheim gedient hatte. Der erste, 1966 gestartete Versuch, dort an die nationalsozialistischen Verbrechen zu erinnern, scheiterte an allgemeiner Gleichgültigkeit, an der West-Berliner Stadtregierung, an intriganten Mitinitiatoren und schließlich auch an der von den 68ern popularisierten „Faschismustheorie“.

    Letztere verstehe ich als Fluchtbewegung der ersten Nachkriegsgeneration vor dem Abgrund Auschwitz: Für etwa zehn Jahre machten die 68er aus dem urdeutschen Nationalsozialismus einen angeblich internationalen Faschismus, der in Washington, Saigon und Teheran gemeinsam mit den „Freiheitsbewegungen in der Dritten Welt“ bekämpft werden musste. Der große Vorteil bestand darin, dass für diesen „Faschismus“ keine deutschen Namen standen, sondern fremdländische wie Lyndon B. Johnson, Richard M. Nixon, Ngo Dinh Diem oder Reza Pahlavi, Schah von Persien.
    „Abreißen, diese Schreckensstätte“

    Zurück zur Wannseevilla. Im August 1966 kündigte der Präsident des Jüdischen Weltkongresses Nahum Goldmann seinen Besuch in West-Berlin an. Bei dieser Gelegenheit wollte er den Vorschlag des Schriftstellers und Historikers Joseph Wulf unterstützen, in der Villa am Großen Wannsee ein „Internationales Dokumentationszentrum zur Erforschung des Nationalsozialismus und seiner Folgeerscheinungen“ einzurichten.

    Wulf war 1912 in Chemnitz zur Welt gekommen und wurde 1938 als Jude polnischer Staatsangehörigkeit nach Polen abgeschoben. 1939 geriet er abermals in deutsche Klauen, überlebte das Krakauer Ghetto, das KZ Auschwitz (Häftlingsnummer 114866) und die Todesmärsche. 1945 blieb er zunächst in Polen, später verschlug es ihn nach Paris und 1952 nach West-Berlin. Seit er 1945 in Warschau die Zentrale Jüdische Historische Kommission mitbegründet hatte, lautete Wulfs Lebensziel: Dokumentation der Naziverbrechen, der deutschen Herrschaft in Polen und des Judenmords.

    Auf den von Goldmann prominent unterstützten Vorschlag Wulfs reagierte im Oktober 1966 der Präsident des Deutschen Bundestages, Eugen Gerstenmaier (CDU), mit heute kaum noch vorstellbarem deutschen Nachkriegsbrutalismus. Er forderte: „Da kommt nur eines in Frage, nämlich das Haus abzureißen, so dass keine Spur von der Schreckensstätte übrigbleibt.“

    Dieser Ansicht widersprach der Berliner Senat umgehend, allerdings aus materiellen Gründen. Im Auftrag des Regierenden Bürgermeisters Willy Brandt teilte Bürgermeister Heinrich Albertz (SPD) mit: „Der Senat ist der Ansicht, dass durch den Abriss eines Hauses im Werte von mehr als einer Million Mark, in dem sich jetzt ein Landschulheim befindet, die Vergangenheit nicht bewältigt wird.“ Statt um Häuser solle man sich „mehr um die Menschen kümmern, die das Schreckliche in diesen Häusern taten“.

    Der Sender Freies Berlin (SFB) konfrontierte Goldmann mit folgender Frage zur Wannseevilla: „Glauben Sie nicht, dass Sie der Neuköllner Jugend, die sich seit 1952 im Schullandheim aufhält, einen schlechten Dienst erweisen, wenn Sie sie aus diesem Haus heraushaben wollen?“ Goldmann reagierte gelassen, während der SPD-Bürgermeister von Neukölln und der SPD-Landesvorsitzende Kurt Mattick den Vorschlag, in der Wannseevilla eine Dokumentationsstätte einzurichten, „für völlig unsinnig“ erklärten.

    Willy Brandt hielt sich in seinen öffentlichen Stellungnahmen zurück. Denn er wusste genau, dass er mit solchen Themen in der damaligen Bundesrepublik jede Wahl gegen die CDU/CSU verlieren müsste. Außerdem verhandelte er bereits um die Große Koalition mit Kurt Georg Kiesinger und wurde im Dezember 1966 Außenminister.
    Männer und Frauen bei einer Ausstellung.

    Weder für die SPD noch für bürgerliche Zeitungen, jedoch für viele damalige Deutsche typisch titelte die NPD-eigene Deutsche Wochen-Zeitung im November 1966 „Rachedenkmal statt Kinderheim. Ein neues Haus des Hasses in Berlin“ und bemerkte zu Joseph Wulf: „Herr Wulf ist einer der von den USA inthronisierten, von der gesamten West-Berliner Prominenz gefürchteten politischen Bußapostel. Wulfs besessene Angriffe richten sich von jeher ausschließlich gegen die ‚Nazi-Vergangenheit‘, die nach seinem Willen ,niemals zur Ruhe kommen‘ darf.“

    Derweil blieb Wulf nicht untätig. Er suchte nach prominenten deutschen und internationalen Unterstützern. So gewann er Karl Jaspers, Gideon Hausner, den Ankläger im Eichmannprozess, Robert M. W. Kempner, Rechtsanwalt und Nürnberger Ankläger, Golo Mann, den niederländischen Historiker Luis de Jong, Rabbiner Joachim Prinz, Eduard Goldstücker, Bischof Kurt Scharf, Eugen Kogon, Max Horkheimer, Fritz Bauer, Heinz Galinski, Alfred Grosser und viele andere.

    Einer aus diesem illustren Kreis soll speziell hervorgehoben werden: Rechtsanwalt Horst Mahler. Nach zwischenzeitlichen linksradikalen und linksterroristischen Umwegen sitzt der mittlerweile 82-Jährige heute wegen hartnäckiger öffentlicher Leugnung des Holocaust in Strafhaft.

    Die prominenten Namen nützten nichts. Ende 1967 erklärte der Regierende Bürgermeister Klaus Schütz: „Es ist ein Schullandheim geworden, liegt darin nicht auch eine Bedeutung?!“ Zwar könne er sich mit einer Dokumentationsstelle anfreunden, nicht jedoch mit „einer makabren Kultstätte“ am Wannsee. Ende 1967 offerierte der Senat Wulf und seinen Mitstreitern zwei Grundstücke in der Nähe der Freien Universität. Doch blieb die Haltung der Berliner Behörden weiterhin auf Verzögerung bedacht. So scheiterte das Projekt.

    Jüdischer Initiator verleumdet

    Aber warum stieß Joseph Wulf zunehmend auf taube Ohren? Wie ich im vergangenen Jahr zufällig herausfand, intrigierte besonders ein Mitglied des Trägervereins „Internationales Dokumentationszentrum“, das Wulf 1966 selbst angeworben hatte, gegen ihn: der Historiker und als Gerichtsgutachter in NS-Prozessen tätige Dr. Wolfgang Scheffler. „Persönlich! Streng vertraulich!“ schrieb er am 16. Oktober 1969 an den Regierenden Bürgermeister Schütz, zu Händen Senatssprecher Peter Herz: „Ich bitte zu berücksichtigen, dass Herr Wulf bis zum heutigen Zeitpunkt (…) mit voller Absicht nicht über den Stand der Verhandlungen unterrichtet wurde. (…) Darüber hinaus muss ich feststellen, dass ein von Herrn W. geleitetes Institut, wie ich aus vielen Gesprächen mit in- und ausländischen Kollegen weiß, mit Sicherheit auf unüberwindliche Schwierigkeiten stoßen wird.“

    Scheffler ging noch weiter und behauptete, „dass ein Institut unter der alleinigen Leitung von Herrn Wulf die zukünftige wissenschaftliche Arbeit nur diskreditieren könnte“ und „binnen kurzem zum Scheitern verurteilt wäre“. Diesem Brief folgten weitere Verleumdungen Wulfs, dem Scheffler seine eigenen, nämlich „selbstsüchtige Motive“ unterstellte. (Quelle: Nachlass Scheffler, Bd. 4,Bundesarchiv Koblenz)
    Ein deutscher Neid-Professor

    Wolfgang Scheffler wollte selbst Direktor des zu gründenden Instituts werden und Wulf unmöglich machen. Dieser erkannte erst langsam, was hinter seinem Rücken gespielt wurde. Scheffler gelang weder eine Institutsgründung, noch brachte er ein größeres wissenschaftliches Werk zuwege, erlangte aber 1986 eine Professur am Zentrum für Antisemitismusforschung in Berlin.

    Zu diesem Zeitpunkt war Joseph Wulf bereits zwölf Jahre tot. Wie Scheffler in einer ansonsten zutiefst verlogenen Würdigung 1989 „Über den Publizisten Joseph Wulf“ – Publizist! Angeblich kein Historiker! – zutreffend schrieb, nahm sich dieser „angesichts des Todes seiner Frau und der Aussichtslosigkeit seiner beruflichen Existenz“ das Leben. Am 10. Oktober 1974 war Joseph Wulf isoliert und verzweifelt aus einem Fenster seiner im 4. Stock gelegenen Wohnung in der Berliner Giesebrechtstraße gesprungen.

    Und Scheffler, der Wulfs berufliche Möglichkeiten jahrelang hinterhältig sabotiert hatte, schämte sich nicht, diesen Schlusssatz über einen deutlich begabteren und produktiveren jüdischen Kollegen, einen Überlebenden des Holocaust, zu schreiben: „Die Umstände seines Todes erinnern an den verzweifelten Todessprung seiner Leidensgenossen aus den Fenstern der brennenden Häuser des Warschauer Ghettos.“

    30 Jahre Forschung und Dokumentation

    Die Bibliotkek der Gedenk- und Bildungsstätte Haus der Wannsee-Konferenz, 1992 in der Villa eröffnet, trägt den Namen von Joseph Wulf, der 1966 einen Verein zur Erforschung des Nationalsozialismus gegründet hatte.

    Die ständige Ausstellung „Die Wannsee-Konferenz und der Völkermord an den europäischen Juden“ informiert über die Ausgrenzung, Verfolgung, Vertreibung, Ghettoisierung und Vernichtung der Juden 1933–1945.

    Die aktuelle Sonderausstellung mit dem Titel „Großbürgerliche Lebenswelten“ und NS-Dienststellen“ erinnert an Villen und ihre Bewohner am Wannsee, darunter Angehörige des jüdischen Großbürgertums.

    #Allemagne #Berlin #Wannsee #Am_Großen_Wannsee #shoa #Westberlin #éducation #enfants

  • #Cinéma : «Marlina, la tueuse en quatre actes», un western féministe en Indonésie - Asialyst

    https://asialyst.com/fr/2018/11/15/cinema-marlina-la-tueuse-en-quatre-actes-western-feministe-indonesie

    Réalisé par la cinéaste indonésienne Mouly Surya, Marlina, la tueuse en quatre actes a surpris les spectateurs de la Quinzaine des Réalisateurs 2017 à Cannes. Ce western ultra-violent, qui emprunte à Quentin Tarantino et à Sergio Leone, met en scène la vengeance d’une femme sur l’île de Sumba.
    Attention, cet article dévoile des moments-clefs de l’intrigue, notamment la fin du film.

    Une femme seule, à cheval sur une route déserte, portant une tête humaine attachée à la selle. On pense à l’Ouest américain de Sergio Leone, mais c’est en Indonésie que se déroule Marlina, la tueuse en quatre actes, le dernier bijou de Mouly Surya. Sur l’île de Sumba, plus précisément. « Dans cette île à majorité animiste marapu, raconte la réalisatrice dans les médias, les habitants se baladent avec des sabres à la ceinture et la place de la femme est à la cuisine. »

    #cinéma_féministe #indonésie

  • Seit Jahren funktioniert die deutsch-britische Militärkooperation g...
    https://diasp.eu/p/7812336

    Seit Jahren funktioniert die deutsch-britische Militärkooperation gut. Dennoch haben die Verteidigungsminister beider Länder einen neuen Vertrag namens „Joint Vision Statement“ geschlossen. Grund ist der drohende Brexit. Ein Brückenschlag in Zeiten des Brexit | DW | 05.10.2018 #Leyen #Williamson #Deutschland #Großbritannien #Brexit #NATO #PESCO #Militär #Wester

  • Das Berliner Landhaus am Rupenhorn zeigt wieder Charakter | Monumente Online
    https://www.monumente-online.de/de/ausgaben/2014/4/ungeschminkt.php

    ls Richard Kluge 1928 drei Baugrundstücke Am Rupenhorn von der Preußischen Domäne erwarb, wünschte er sicherlich, dass dieser Besitz lange in seiner Familie bleiben würde. Doch alles kam anders. Schon 1932, kurz nachdem das Haus Am Rupenhorn 25 von der Architektengemeinschaft Hans und Wassili Luckardt und Alfons Anker fertiggestellt worden war, musste es wegen Geldmangels zwangsversteigert werden. Kaum fünf Jahre alt, wurde das als Gesamtkunstwerk konzipierte Stahlskelett-Gebäude im Stil des Neuen Bauens zum Mehrfamilienhaus umgestaltet. Während der Zeit des Nationalsozialismus entkam es nur knapp dem Abriss, wurde dann im Zweiten Weltkrieg beschädigt und fiel nach notdürftigen Reparaturen an das Bundesvermögensamt.


     
    Berlin-Charlottenburg, Landhaus am Rupenhorn © Christian Gahl, Berlin
    Der Schreibtisch im Berliner Landhaus am Rupenhorn mit Blick ins Grüne
    Ab 1950 wohnten vierzig Jahre lang unterschiedliche Mieter Am Rupenhorn. Die Ehefrau des Architekten Wassili Luckardt, der das desolate Äußere des Hauses aufgefallen war, erreichte schließlich, dass das Land Berlin 1973 Geld für das Nötigste zur Verfügung stellte. 1975 wurde das Landhaus in die Denkmalliste aufgenommen. Seine Lage besserte sich jedoch erst, als der Architekt Professor Robert Wischer und seine Frau, die Stadtplanerin Dr. Christa Kliemke, das leerstehende Landhaus mieteten und 1997 erwarben. Das Paar wollte die Ikone der Moderne für die Zukunft bewahren. Nach ersten dringenden Arbeiten zur Rettung der Substanz entwickelte es die Vision, dem Landhaus seine ursprüngliche Form - und in diesem Fall seinen Charakter - wiederzugeben. Im Laufe der Jahrzehnte war das kompromisslos kubische, streng und einfach gestaltete Haus immer wieder verändert worden.

     

    Berlin-Charlottenburg, Landhaus am Rupenhorn © Christian Gahl, Berlin
    Der Flur des Hauses am Rupenhorn ist mit rotem Linoleum ausgelegt.
    Die Entwurfsideen der Architekten, dem Bürger ein naturnahes Leben durch eine neue Raumaufteilung zu ermöglichen, ihm eine stufenlose Verbindung mit dem Garten zu schaffen - also das Haus und damit die Menschen zum Licht, zur Luft und zur Sonne hin zu öffnen - war kaum noch zu erahnen. Eine Spurensuche begann, an deren Ende nun wieder das rote Linoleum im Treppenhaus und graues in den Schlafräumen zu sehen ist, dazu vernickelte Geländer, Stützen, Türzargen und die Ölfarbflächen der Wände und Türen.

    Bereits 2004 war der Zustand von 1930 wiederhergestellt worden, darunter die weiße, enkaustisch behandelte Putzfassade. Bis 2011 wurden die Terrassen, Balkone und die Pergola restauriert. Ganz wichtig war es, die Bibliothek nach historischem Vorbild im zentralen Raum des Hauptgeschosses einzurichten. Inzwischen ist das Landhaus am Rupenhorn Museum, Veranstaltungsort und Tagungsstätte. Die Besucher können dort die Reformgedanken ablesen, die die Architekten damals bewegten. Sie spüren den Geist des liberalen Bauherrn, der es einst in Auftrag gab. Statt Zeitschichten zu zeigen, haben sich in diesem Fall die Eigentümer, die amtliche Denkmalpflege und die Deutsche Stiftung Denkmalschutz gemeinsam dafür entschieden, die Uridee aus dem Landhaus herauszuschälen.

    Christiane Schillig

    #Berlin #Charlottenburg #Westend #Am_Rupenhorn #Heerstraße #Architektur #Sehenswürdigkeiten

  • Was der Kaupert nicht weiß - Wohlrabedamm
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Wohlrabedamm-13629-Berlin


    Der Kaupertsche Eintrag zum Übelkrähenpfad , auch bekannt als Wohlrabedamm, ist verdammt dünn.

    Über die Lage der Hausnummern gibt es keine Auskunft. Mit dem Kaupert als Taxifahrers Liebling ist es vorbei.

    Allgemeines zu Wohlrabedamm
    Postleitzahl: 13629
    Ortsteil: Siemensstadt
    ÖPNV: Zone B Bus 123, 139 — U‑Bahn 7 Rohrdamm, Siemensdamm
    Straßenverlauf: im Siemens-Technopark, von Rohrdamm und Motardstraße bis Siemensdamm
    Falk‑Stadtplan: Planquadrat J 9-10

    Für den Kaupertverlag hat der Wohlrabedamm keine Geschichte. Schade eigentlich, denn die Berliner Familie Wohlrabe muß man nicht mögen, ganz unwichtig für das Berliner Gesellschafts- und Kulturleben war und ist sie jedoch nicht.

    Geschichte von Wohlrabedamm
    ???
    Ehemaliger Bezirk Spandau
    Name seit ???

    Immerhin kommt der Verlag seiner traditionellen Bestimmung nach und liefert alle Amtsstubeninfos zu Straße.

    Örtliche Zuständigkeiten für Wohlrabedamm
    Arbeitsagentur: Spandau
    Jobcenter: Spandau
    Amtsgericht: Spandau
    Grundbuchamt Spandau
    Familiengericht: Tempelhof-Kreuzberg
    Finanzamt: Spandau
    Polizeiabschnitt: A 21
    Verwaltungsbezirk: Spandau

    Wer mehr erfahren will, muß heute reichlich Zeit aufwenden. Der Kaupert als Standardquelle zum schnellen Nachschlagen ist aus dem Spiel und wir müssen demnächst uns unsere eigene Wikipedia-Schnittstelle basteln. Heute noch gehen wir zu Fuß und zitieren aus dem Eintrag zu Siemensstädter Straßen.

    Liste der Straßen und Plätze in Berlin-Siemensstadt – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Liste_der_Stra%C3%9Fen_und_Pl%C3%A4tze_in_Berlin-Siemensstadt

    Wohlrabedamm

    930 Jürgen Wohlrabe (1936–1995), Berliner CDU-Politiker und Filmproduzent 24. Apr. 2012 Der Wohlrabedamm verläuft L-förmig zwischen Rohr- und Siemensdamm mit den Grundstücken 4–34 (fortlaufend) in Hufeisennummerierung. Die Straße wurde zwischen 2010 und 2012 neu erbaut und erschließt den Thelen Technopark, der auf ehemaligem Siemens-Werksgelände liegt. Die Straße führt durch den Thelen Technopark und wurde 2012 für den Verkehr freigegeben, wodurch es möglich wurde, dass sich auf dem vorher verschlossenen Gelände der Siemens-Werke Unternehmen der Kommunikationstechnik niedergelassen haben. Am Siemens Stichkanal entlang führt ein Fußweg bis zur Spree und es gibt zwei Fußgängerdurchgänge zum Wernerwerkdamm.

    Jürgen Wohlrabe
    https://de.wikipedia.org/wiki/J%C3%BCrgen_Wohlrabe

    Von 1963 bis 1967 gehörte er der Bezirksverordnetenversammlung von Berlin-Charlottenburg an und wurde anschließend ins Abgeordnetenhaus von Berlin gewählt, bevor er ab 1969 für zehn Jahre die Berliner CDU im Deutschen Bundestag vertrat. In dieser Zeit galt Wohlrabe, der auch Vorsitzender der Jungen Union in Berlin war, als einer der profiliertesten Gegenspieler der Studentenbewegung um Rudi Dutschke. Einer breiteren Öffentlichkeit wurde er jedoch vor allem durch seine Auseinandersetzung mit Herbert Wehner bekannt, der ihn 1970 in einer Bundestagsdebatte als Übelkrähe und vier Jahre später sogar als Schwein titulierte.
    ...
    Neben seiner politischen Karriere war Jürgen Wohlrabe auch als Filmkaufmann und -produzent erfolgreich. 1978 übernahm er den von seinem Onkel Karl Friedrich Wohlrabe fortgeführten und von seinem Großvater Willy Wohlrabe gegründeten familiären Jugendfilm-Verleih und entwickelte diesen zu einem kommerziell erfolgreichen Unternehmen,
    ...

    Jugendfilm-Verleih GmbH - Lexikon der Filmbegriffe
    http://filmlexikon.uni-kiel.de/index.php?action=lexikon&tag=det&id=8144

    Der Jugendfilm-Verleih wurde 1934 als Verleihfirma für Märchen‑ und Kinderfilme in Berlin gegründet. Die Firma konnte die Nazizeit überstehen und erhielt 1952 einen Preis der Filmfestspiele Venedig für die beste nationale Auswahl an Filmen für Jugendliche. 1961 übernahm Karl Friedrich Wohlrabe die Firmenleitung; das Programm wurde auf internationale Produktionen ausgeweitet. 1969 begann die ökonomische Erfolgsphase der Firma, als sie die Rechte an der belgischen Comic-Reihe Les Schtroumpfs (Die Schlümpfe) des Zeichners Peyo (d.i. Pierre Culliford; verfilmt 1975: La flûte à six schtroumpfs) sowie der Lucky-Luke Figur (verfilmt ab 1971) und den ersten Asterix-Filmen erwarb. Allein die ersten drei Asterix-Filme (1967: Asterix der Gallier; 1968: Asterix und Kleopatra; 1976: Asterix erobert Rom) erreichten in der BRD mehr als 20 Millionen Zuschauer. Zur Überraschung wurde auch Luis Buñuels Cet obscur objet du désir im Jahr 1978 zum Erfolgsfilm. 1979 übernahm Jürgen Wohlrabe die Firmenleitung. Filme wie Dressed to Kill (1981), Once upon a Time in America (1984) oder True Lies (1994) machten Jugendfilm zu einer der wichtigsten Verleihfirmen der BRD. Nach dem Tod Jürgen Wohlrabes (1996) übernahm vorübergehend dessen Sohn Marc zusammen mit seiner Mutter die Geschäfte des Verleihs, der mit dem Verkauf der Gesellschafteranteile (sowie der Jugendfilm‑Tochter Extrafilm Produktion GmbH) an die Kinowelt Medien AG am 1.10.1999 die Firma mit den Rechten an über 600 Spielfilmen einschließlich diverser Zeichentrickfilme die Firmengeschichte ausklingen ließ. Die Marke „Jugendfilm“ wurde von Kinowelt seit Oktober 2000 als Verleihlabel sämtlicher Repertoirefilme der Kinowelt-Bibliothek weiter geführt.

    Literatur: Wohlrabe, Jürgen (Hrsg.): 60 Jahre Jugendfilm, 1934‑1994. Berlin: Nicolai 1994.

    Soweit so freundlich. In der Tat ist der Wohlrabens Wohlstand viel Schund und Anpassungsfähigkeit geschuldet. Der Name Jugendfilm klingt edel und gut, wie auch der Preis vom Mussolini-Filmfest im postfaschistischen Venedig nur Gutes suggeriert. Typisch für pädagogische Werk der Jugendfilmer ist dabei der billige Spaghetti-Western. Waren es alte Verbindungen oder schon das viele Wohlrabengeld für Italoquatsch, die 1952 Venedig zur Auszeichnung die beste nationale Auswahl an Filmen für Jugendliche bewegten? Vielleicht finden wir einen alten Verleihkatalog, der Auskunft dazu gibt, was damals die beste Wahl für Jugendliche war.

    Fasthand
    https://en.wikipedia.org/wiki/Fasthand

    Fasthand (Italian: Mi chiamavano “Requiescat”... ma avevano sbagliato, Spanish: Mano rápida, also known as Fasthand is Still My Name and Fast Gun Is Still My Name) is a 1973 Italian-Spanish Spaghetti Western film directed by Frank Bronston and starring Alan Steel, William Berger and Frank Braña.
    Distributed by France-Inter Cinéma (1975, France)
    Jugendfilm-Verleih (1974, West Germany)

    Viel Spaß beim Ansehen - heute gibt es ihn noch auf Youtube. EIne Zeitreise 45 Jahre in die Vergangenheit.

    https://www.youtube.com/watch?v=WvLNFI4_GOY

    Kommentar zum Film

    Gotta love those 30 shot 6 shooters.

    Blut muß fließen, und zwar knüppeldick. Italo-Western erzählen mehr von Faschismus, Widerstand, Gewalt und Sex in Italien, Deutschland und Spanien als vom Wilden Westen . Komisch, dass keiner der Produzenten aus den Kreigsverbrecher-Ländern davon etwas gemerkt hat. Und so floß das Geld aus Wohlrabes zuerst im gut Nazireich gefüllten Taschen ins Spanien des Massenmörders Franco, wo italienische Künstler mit Hilfe von billigen B-Promis und Komparsen von Mafia, Krieg und Freiheitskampf erzählten.

    Synopsis
    Shortly after the end of United States civil war, Captain Jeff Madison, an Union Official, leads a group of soldiers in the search for a group of Confederate soldiers who have gone rogue and are conducting a guerrilla war in the South. The rebel group, lead by the infamous Machedo, splits in two, and while one faction ambushes Madison and his party the other one captures one of the Union’s forts and decimate the soldiers and commanding officer. Shortly after the rebels capture Madison, the only survivor of the previous ambush, when he gets to the fort. Machedo and his men torture and shoot Madison in his right hand, rendering it useless for holding a gun, and leave him to die. Madison survives by pure chance when a group of Indians appear by the location.

    During the next two years the group of rebels and former soldiers carry a series of raids undisturbed, while at the same time Madison has been preparing to exact justice on them. When Machedo and his men steal the freshly arrived gold of a town, Madison sees the perfect opportunity to manipulate the situation in his favour, bringing Machedo and his group to a trap. The former Captain risks everything carrying out his plan but, contrary to the expectations of Machedo, Madison still has a secret card on his sleeve, one that makes him a true “fasthand”.

    Die Zeit der Spaghettis ist lange vorbei, aber mit Immaterialgütern wird heute mehr Geschäft gemacht als je zuvor.

    Marc Wohlrabe
    https://de.wikipedia.org/wiki/Marc_Wohlrabe

    Von 1992 bis 1995 absolvierte er beim Axel-Springer-Verlag eine Ausbildung zum Verlagskaufmann. 1994 gründete er mit drei Partnern in Berlin den Zeitbank Verlag, mit dem er bis 2003 das auf die Techno- und Clubszene ausgerichtete, monatliche Stadtmagazin FLYER herausgab.
    ...
    Parallel arbeitete er beim Familienunternehmen Jugendfilm-Filmverleih, das 1934 von dem Lehrer und Pädagogen Willy Wohlrabe gegründet worden war. Nach dem Tod seines Vaters Jürgen Wohlrabe übernahm er 1995 das Familienunternehmen in der vierten Generation. 1999 zog er sich aus dem Filmverleihgeschäft zurück.

    Im Jahr 1995 gründete er sein Beratungsunternehmen Steinland Consult.

    Marc Wohlrabe ist Mit-Initiator ... der Clubcommission, ... im erweiterten Vorstand mit den Schwerpunkten Politik und Stadtentwicklung.

    2016 war er Mitinitiator der Konferenz Stadt nach Acht.

    Berliner Söhne (IV): „Wir Wohlrabes sind wie eine Glühbirne“ - SPIEGEL ONLINE
    http://www.spiegel.de/kultur/gesellschaft/berliner-soehne-iv-wir-wohlrabes-sind-wie-eine-gluehbirne-a-99609.html

    Berührungsängste mit den konservativen Parteifreunden seines Vaters hat Marc Wohlrabe nicht. Er gehörte zu dem Team, das die Idee hatte, Diepgen in dem Werbespot „Diepgen rennt“ wie Lola durch die Hauptstadt flitzen zu lassen.

    Probleme gab es mit dem Familienunternehmen „Jugendfilmverleih“. Zwar hatte sich die Verleihfirma Kassenknüller wie „Harry und Sally“ und „9 1/2 Wochen“ gesichert und besaß seit 1988 sogar die Weltrechte an den gallischen Comic-Helden Asterix und Obelix - dennoch war das Erbe schwierig. Nach dem Tod seines Vaters hat der Filius mit seiner Mutter Irmgard den Berliner Filmverleih zunächst weitergeführt, doch der Rückzug ließ nicht lange auf sich warten. „Die Filmbranche ist ein hart umkämpfter Markt. ’Jugendfilm’ war noch ein mittelständisches Familienunternehmen. Da hätten wir nur aus dritter Reihe mitschießen können. Ich war damals 23 Jahre alt - mit Bernd Eichinger konkurrieren zu wollen, wäre vermessen gewesen“, erzählt Marc Wohlrabe.

    #Berlin #Spandau #Siemensstadt #Wohlrabedamm #Kaupert #Film #Geschichte #Western #Faschismus #CDU #Spaghetti-Western

  • Alle dreieinhalb Stunden eine Gewalttat – So gefährlich ist Ihr U-Bahnhof – B.Z. Berlin
    https://www.bz-berlin.de/berlin/mitte/alle-dreieinhalb-stunden-eine-gewalttat-so-gefaehrlich-ist-ihr-u-bahnhof

    #Thielplatz, #Podbielskiallee, #Rüdesheimer_Platz, #Neu-Westend und #Rathaus_Schöneberg sind die fünf sichersten U-Bahnhöfe der Stadt mit 0 angezeigten Straftaten im ganzen Jahr 2017. Wenn Sie woanders hin wollen, nehmen Sie ein Taxi. Sie können sich das nicht leisten? Dann ist Berlin einfach nicht für Sie. Das Bürgertum hat die Stadt fest im Griff, und Sie gehören nicht dazu.

    Das dicke Problem der Berliner U-Bahn ist die Gewalt im Untergrund! 2454 Gewalttaten gab es 2017. Wie die Situation bei Ihnen ist – wir zeigen die Zahlen zu allen Stationen.

    Allein 1863 angezeigte Körperverletzungen gab es 2017. Im Schnitt also fünf pro Tag – und 202 mehr als im Jahr davor.

    U-Bf. Rathaus Schöneberg / Schöneberg
    https://www.openstreetmap.org/node/5134482957

    U-Bf. Neu-Westend / Westend
    https://www.openstreetmap.org/node/29123761

    U-Bf. Rüdesheimer Platz
    https://www.openstreetmap.org/node/5149137347

    U-Bf. Podbielskiallee
    https://www.openstreetmap.org/node/5160531362#map=19/52.46410/13.29575

    U-Bf. Thielplatz / Dahlem
    https://www.openstreetmap.org/node/3955368095

    #Berlin #Dahlem #Schöneberg #Westend #Wilmersdorf #Kriminalität #Verkehr #U-Bahn #Taxi