The couple from the Woodstock album cover are still together 46 years later. : pics
▻https://www.reddit.com/r/pics/comments/4mbqg7/the_couple_from_the_woodstock_album_cover_are
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Song to Woody : Demande à la poussière
Le Cri du Gonze
Par Émilien Bernard
Au fond, ce qu’il y a de plus sympathique dans la figure de Woody Guthrie, c’est sans doute sa modestie. Ce côté rustique mis en avant, assumé, revendiqué comme un gage d’honnêteté. « On va montrer à ces fascistes ce qu’une bande de péquenauds peuvent faire », lâche-t-il, rigolard, en introduction de « All You Fascists Bound to Loose ». Comme si la solution n’allait pas venir d’une posture théorique élitiste, mais plutôt d’un bon sens populaire qui finirait forcément par triompher. Goguenard, béret de travers, clope au bec, le petit barde se frayait son propre chemin, loin des mondanités et des tentations de reconnaissance, convaincu que ses semblables, un jour, feraient ravaler leurs méfaits à tous les patrons de ce monde.
Ecoutez Woody Guthrie en relisant Demande à la poussière de John Fante.
– Dans les années trente, Arturo Bandini, fils d’ immigrés italiens, quitte le Colorado pour l’Eldorado, Los Angeles, avec son unique roman en poche et un rêve : devenir un écrivain reconnu. Vénérant les femmes et la littérature, il débarque dans une chambre d’hôtel miteuse, prêt à saisir la vie à bras-le-corps. Une errance sublime parmi les laissés-pour-compte du rêve américain.-
« Dans la lignée de Faulkner, et avant Charles Bukowski ou Jim Harrison, Fante ouvre une piste balayée par les poussières chères à l’Ouest sauvage. Elle se termine sur l’océan Pacifique, après moult détours, cuites et amours sans lendemain. »
Sophie Cachon, Télérama
Préface de Charles Bukowski écrite le 5 juin 1979. L’ivrogne céleste dit qu’il a découvert - demande à la poussière - en 1940 et que trente neuf ans plus tard ce récit tient toujours le coup, comme tous les autres Fante. Celui-ci était son préféré car il fut sa première découverte de la magie.
Fante c’est sublime.
Marrant, hier, je tentais de suivre les traces internet de Joe Hill.
#Hobo
ça t’as plu, tu en redemandes encore ! Je te charrie @touti J’ai découvert John Fante, dans les années 90, sur les conseils d’un copain. Pleins de vie, Mon chien stupide, Bandini, Les compagnons de la grappe. La route de Los Angeles , son premier roman écrit en 1933 est refusé car jugé trop cru et trop provocant. Il ne sera publié qu’après sa mort en 1986. John Fante, avant les beatniks, a raconté l’aventure des laissés-pour-compte, des ivrognes, des hobos.
Un jour j’achète La tête hors de l’eau , celui-ci n’est pas de John Fante mais de son fils, #Dan_Fante. C’est son premier roman publié à 45 ans par l’éditeur C.Bourgois grâce à la chanteuse April March. Son travail est essentiellement autobiographique et reste fortement marqué par la confrontation au succès de son père. Il a connu 20 ans d’alcoolisme au cours desquels ses mésaventures, assorties de malentendus juridiques, lui valurent de fréquentes arrestations. Son frère Nick, de 2 ans son aîné, alcoolique aussi, est écrasé dans la rue le 21/02/97.
Auteur de romans, de poèmes, de nouvelles et de pièces de théâtre. L’oeuvre de Dan Fante est traduite intégralement chez 13è Note. Cette maison d’édition a malheureusement mis la clef sous la porte. Tout comme Dan Fante décédé le 23/11/2015. En laissant comme forme d’épitaphe que ses cendres soient larguées au-dessus de L.A , mêlées à des excréments de chien.
Le salut par l’écriture
John Fante, scénariste prolifique d’Hollywood, fut aussi un joueur et un buveur invétéré, un père cruel, un mari infidèle et surtout un écrivain talentueux. Son fils Dan revisite son propre passé à la lumière de l’héritage paternel : un alcoolisme morbide et la plume d’un écrivain.
On retire de cette chronique familiale acide, l’envie de lire ou relire en miroir les œuvres de ces deux écrivains.
Ill., © 13e Note Editions
▻http://bukowski.net/photos
Des photos du tonton de la famille.
#Woodrow_Wilson Was Awful—So Let’s Keep His Name at Princeton. - POLITICO Magazine
▻http://www.politico.com/magazine/story/2015/12/woodrow-wilson-center-princeton-foreign-policy-213419
From the genteel halls of Princeton University, students are trying to pull another American hero from his pedestal. It turns out that Woodrow Wilson, who was president of Princeton before becoming president of the United States in 1913, was an outspoken racist. Therefore, the reasoning goes, Princeton should change the name of its Woodrow Wilson School for International and Public Affairs.
This would be a lamentable mistake. Wilson is the ideal person for whom to name such a school. He perfectly represents the duplicity that lies at the heart of much American foreign policy. Removing his name from the school at Princeton would be a way of hiding or downplaying his legacy. Instead, we should study and learn from it.
Pas eu le temps d’écouter, mais si ça vous dit :
Woody ALLEN :
▻http://www.franceculture.fr/emission-grande-traversee-woody-allen-stories-woody-allen-l-enfance-ou
▻http://www.franceculture.fr/emission-grande-traversee-woody-allen-stories-woody-allen-manhattan-ou
▻http://www.franceculture.fr/emission-grande-traversee-woody-allen-stories-woody-allen-les-femmes-s
▻http://www.franceculture.fr/emission-grande-traversee-woody-allen-stories-woody-allen-tourner-sans
▻http://www.franceculture.fr/emission-grande-traversee-woody-allen-stories-woody-allen-les-reves-d-
Google, Woody Allen et vous
▻http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2015/04/08/catherine-mathys-50
La semaine dernière, l’entreprise a déposé un nouveau brevet qui a pour but d’attribuer une personnalité à un robot ou à un ordinateur. Oui, vous avez bien lu. Google veut aider les machines qui vous entourent à mieux s’entendre avec vous en téléchargeant une personnalité comme on télécharge une application.
[...]
Là où ça commence à faire un peu peur, c’est ici : le brevet mentionne que la personnalité en question pourrait reproduire celle du propriétaire de l’appareil, ou encore celle d’un proche mort ou d’une vedette. Le robot pourrait donc devenir névrotique comme Woody Allen, si on le souhaite. Ce n’est pas mon exemple, c’est le document de Google qui le dit !
#Google #Humanoïde #Intelligence_artificielle #Personnalité #Robot #Woody_Allen
Mia’s Story | Vanity Fair
▻http://www.vanityfair.com/magazine/archive/1992/11/farrow199211
Whatever you already know about this tangled and painful situation, you’ve only heard half: the case against Mia Farrow. This is the other half and it isn’t any prettier. It concerns Woody Allen’s behavior and what it has done to Mia Farrow and the 11 children involved. The author breaks new ground on one of the year’s most shocking stories.
by Maureen Orth (1992)
There was an unwritten rule in Mia Farrow’s house that Woody Allen was never supposed to be left alone with their seven-year-old adopted daughter, Dylan. Over the last two years, sources close to Farrow say, he has been discussing alleged “inappropriate” fatherly behavior toward Dylan in sessions with Dr. Susan Coates, a child psychologist. In more than two dozen interviews conducted for this article, most of them with individuals who are on intimate terms with the Mia Farrow household, Allen was described over and over as being completely obsessed with the bright little blonde girl. He could not seem to keep his hands off her. He would monopolize her totally, to the exclusion of her brothers and sisters, and spend hours whispering to her. She was fond of her daddy, but if she tried to go off and play, he would follow her from room to room, or he would sit and stare at her. During the school year, Allen would arrive early at Mia Farrow’s West Side Manhattan apartment, sit on Dylan’s bed and watch her wake up, and take her to school. At her birthday party last July, at Farrow’s country house in Bridgewater, Connecticut, he promised that he would keep away from the children’s table so that Dylan could enjoy her birthday party with her friends, but he seemed unable to do that. Allen, who was a fearful figure to many in the household, was so needy where Dylan was concerned that he hovered over her through the whole party, and when the cake arrived, he was right behind her, helping to blow out the candles.
Calling attention to someone’s birthday-party behavior may seem trivial at best. However, Dr. Coates, who just happened to be in Mia’s apartment to work with one of her other children, had only to witness a brief greeting between Woody and Dylan before she began a discussion with Mia that resulted in Woody’s agreeing to address the issue through counseling. At that point Coates didn’t know that, according to several sources, Woody, wearing just underwear, would take Dylan to bed with him and entwine his body around hers; or that he would have her suck his thumb; or that often when Dylan went over to his apartment he would head straight for the bedroom with her so that they could get into bed and play. He called Mia a “spoilsport” when she objected to what she referred to as “wooing.” Mia has told people that he said that her concerns were her own sickness, and that he was just being warm. For a long time, Mia backed down. Her love for Woody had always been mixed with fear. He could reduce her to a pulp when he gave vent to his temper, but she was also in awe of him, because he always presented himself as “a morally superior person.”
Now, what’s your favorite Woody Allen movie?
▻http://kristof.blogs.nytimes.com/2014/02/01/an-open-letter-from-dylan-farrow
Homo Numericus
▻http://terrainsdeluttes.ouvaton.org/?p=2297
L’un des thèmes les plus à la mode de la vulgate idéologique actuelle, c’est celui de la mutation psychique que l’irruption massive des techniques informatiques et numériques dans la vie quotidienne aurait d’ores et déjà entraînée sur le plan des structures de l’entendement et de la sensibilité. La « culture de …
#Blogs #La_chronique_d'Alain_Accardo #internet #numérique #technologie
Enfoncé, Finkielkraut : plus réac, plus prétentieux, plus jargonnant.
J’avoue ne pas trop voir la raison de traiter tout rétif à Internet du nom de cet infâme personnage qu’est « Finkielkraut », ou de réactionnaire. C’est un nouveau point Godwin ?
En l’occurrence, la critique d’Accardo (un coup de gueule, effectivement) fait toujours du bien dans le ron-ron que les thuriféraires de la technique se confectionnent sur le net en claironnant que c’est l’espace de discussion le plus ouvert qu’il ait jamais existé.
Cette question sur le sujet est tout à fait entendable d’un point de vue émancipateur (je suis pas d’accord d’ailleurs), et même centrale pour celles et ceux dont l’horizon révolutionnaire – qui rêvent d’un monde un peu meilleur – ne s’arrête pas à leur(s) écran(s), au dernier gadget numérique ou robotique.
Pourquoi serais-je un, quand je peux être innombrable, pourquoi resterais-je coincé en un lieu, en une classe, en un camp, en un serment, puisque grâce au virtuel je peux être partout, vivre et penser une chose et puis son contraire, ici et ailleurs, sans me soucier de logique, sans me préoccuper de synthèse, de constance ni de fidélité ?
Questions qui recoupent par exemple celles publiées, il y a quelques années, dans un excellent journal (papier) autonome lyonnais, reproduites ici :
▻http://rebellyon.info/Le-web-2-0-ou-l-ere-du-vide.html
Une question plane au dessus de n’importe quel post sur twitter : « what are you doing now ? », « mais putain, qu’est ce que je suis en train de faire là ? ». C’est quoi JE, quelle FACE à JE, ça serait quoi MON ESPACE. On sent monter une pointe d’angoisse. Ce que racontent bien les faux débats où on peut à peu près tout raconter, les embrouilles bizarres sur les forums, les rencontres ambiguës depuis Meetic, c’est qu’Internet a produit cette curieuse possibilité d’une communication sans la présence. Le web : Utopie démocratique, mais également Utopie du Capital. Comme si cette grosse machine à briser les liens (…) avait finit par secréter un monde à son tour, mais un monde virtuel : où les liens n’engagent pas vraiment, où les corps sont absents, où les désirs tournent tristement à vide sur l’écran.
Peut-il y avoir une critique du net sur le net ? Peut-être que non, de la même manière qu’il n’y a jamais pu y avoir de critique de la télévision à la télévision.
@Ari Ah non, le point Godwin s’appelle point Godwin, pas point Hitler. Il faut donc créer le point Ari, du nom du découvreur de la loi.
@Ari Sur la référence à Finkielkraut. Il y a pourtant bien des points communs. Pas uniquement le fait de critiquer l’Internet. La frime, tout d’abord, avec les citations répétées de vieux mâles blancs européens. Le refus du pluralisme (non, dit l’auteur, il n’y a pas plusieurs points de vue valables, juste le Vrai). La référence au monde occidental comme seul capable de pensée rationnelle. L’absence de perspective, enfin. Il y a des différences avec Finkielkraut ? Oui, la mention du capitalisme comme étant méchant. C’est mince.
Sur le « Peut-on critiquer l’Internet sur l’Internet ? » Je pense qu’on peut puisque c’est souvent fait. Mais je différencie la critique, qui essaie d’analyser, de comprendre et, éventuellement, de réformer, voire de combattre, de la récrimination qui confond tout (l’Internet avec le Web, le Web avec Facebook, les GAFA avec Wikipédia et SeenThis), et ne se soucie pas d’analyser et encore moins de convaincre, juste d’aligner des grands mots prétentieux. On voit bien ce que l’auteur attaque, pas ce qu’il défend. Comparons avec l’agriculture : il est évidemment souhaitable de critiquer la façon dont elle se fait, productionniste et dangereuse pour la planète. Des tas de gens font ça. Mais ils proposent tous quelque chose (typiquement, une agriculture bio, plus respectueuse de la nature). Si quelqu’un partait des défauts (bien réels) de l’agriculture pour prôner le retour à la chasse et à la cueillette, je crois que cela ne serait pas exagéré de le qualifier de réactionnaire !
@bortzmeyer : mince les discussions se croisent. cf. ▻http://seenthis.net/messages/211209 En ce qui concerne les camarades qui critiquent le net comme outil d’émancipation, ils proposent réellement d’autres modes de relation, d’expression et d’organisation. Je ne crois pas qu’on puisse reprocher à ces personnes de faire une critique généralisante, c’est plus à celles et ceux qu’Internet intéresse de produire une pensée plus précise et mesurée qui prenne en compte ces critiques. Merci de l’échange en tout cas.
A propos de l’idéologie #anti-tech et de son voisinage avec le #moralisme de Finkelkraut, on pourra lire :
Les mauvais rêves des antitech. Lecture critique du livre Le Cauchemar de Don Quichotte, sur l’impuissance de la jeunesse d’aujourd’hui de Matthieu #Amiech et Julien Mattern, Editions Climats.
►http://rougemecanique.noblogs.org/post/2013/01/12/les-mauvais-reves-des-antitech
C’est leur appartenance sociale à la classe des travailleurs pauvres qui leur interdit quelque chose – ou du moins, mais c’est manifestement une litote, elle ne les aide pas : elle les empêche de sortir d’un rapport de dominés avec leurs professeurs et avec le savoir. Leur apathie s’explique par cette domination. Pourquoi être contraint au travail salarié fait-il de son rapport avec le savoir un « rapport de dominé à dominant » ? Pourquoi être dans un rapport de dominé avec le savoir entraîne-t-il l’apathie ? Est-ce parce que tout rapport de dominé à dominant entraîne nécessairement l’apathie ? Amiech et Mattern s’attendent curieusement à ce que nous comprenions sans avoir besoin d’explications supplémentaires, puisqu’ils n’en donnent pas. L’explication s’arrête là. Nous sommes censés admettre comme allant de soi que si nous maîtrisons le savoir universitaire, nous avons de trop bonnes raisons de nous complaire dans l’#apathie pour, sauf héroïsme moral rare, ne pas y céder ; et que si nous ne le maîtrisons pas, nous sommes ipso facto plongés dans une apathie dont, encore une fois, seule une grâce exceptionnelle pourrait nous faire sortir. Il faut remarquer que les deux branches de la tenaille dans laquelle nous coince ce raisonnement n’exercent pas une contrainte de même nature : pour s’en dégager, dans le premier cas il suffirait de décider de ne pas céder à des raison s ; mais dans le second nous n’avons aucune raison d’être apathiques : nous le sommes au moins autant, mais nous le sommes pour des causes . Bref : aux bourgeois le libre arbitre, aux prolétaires le déterminisme social. Amiech et Mattern se proclament dans leur avant-propos « plus ‘‘sociologues’’ » que le « sociologue [sans guillemets, cette fois] bourdieusien engagé » Alain Accardo (pp. 9 et 8), mais ils ne nous offrent qu’un superbe exemple de ce que Bourdieu – excusez la référence – appelait une sociologie qui néglige la sociologie de sa sociologie. Ils s’annoncent aussi (dans la même phrase) « plus ‘‘matérialistes’’ » ; on aimerait leur demander dans quel passage. Ils affirment que « pour ceux-là [les étudiants travailleurs précaires] – et plus généralement pour la majorité des étudiants, préoccupés avant tout par les échéances scolaires et l’obtention des diplômes –, la focalisation sur les considérations matérielles rejette [NB : ce ne sont pas les étudiants, c’est la focalisation qui rejette] le plus souvent les questions politiques du côté des préoccupations ‘‘intellectuelles’’ et du ‘‘militantisme’’, qui sont dénigrés » (p. 78 toujours : cette phrase suit immédiatement celle sur les étudiants travailleurs dominés par les profs et le savoir). Leur matérialisme consiste-t-il à poser en axiome qu’un sujet qui a de préoccupantes « considérations matérielles » va nécessairement « dénigrer » tout ce qui est intellectuel ? Et que s’il dénigre l’intellectuel il est nécessairement soumis ? Aux bourgeois l’idéalisme tempéré par la carrière, aux prolos le matérialisme vulgaire intempérant : est-ce là le slogan de leur matérialisme subtil ? On les asticotait gentiment sur leur mépris d’une classe d’âge, dont nous nous contrefoutons ; mais sur le mépris de classe social, nous sommes tentés de passer à l’insulte. La suite (p.79) ne pouvant nous apaiser – « On atteint sans doute le comble de l’absurdité avec ces individus si désireux de paraître ‘‘dans le coup’’ qu’ils en viennent à se restreindre considérablement dans certains domaines vitaux (nourriture, logement, santé) pour pouvoir suivre le rythme insensé de la surenchère consommatrice, et que l’on retrouve régulièrement habillés à la dernière mode, équipés des toutes dernières trouvailles technologiques » –, donnons la parole à quelqu’un qui sait garder son calme, Jacques Rancière : « Il n’y a pas à s’étonner que les représentants de la passion consommatrice qui excitent la plus grande fureur de nos #idéologues soient en général ceux dont la capacité de consommer est la plus limitée » (8) : il n’y a pas à s’en étonner, car les idéologues dont il parle (Finkielkraut et autres) sont des conservateurs de droite. Mais on peut s’étonner que des conservateurs révolutionnaires de gauche ne s’en distinguent pas sur ce point.
@aude_v
sur des colonnes trop larges pour faire des lectures agréables, soit dit en passant
►https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/column-reader
#firefox
Huhu @aude_v, je pense que je dois beaucoup à Amiech en références à lire, aussi bien par sa lecture, que par sa rencontre à Bayonne il y a quelques années, invité par #Txetx (ouais, j’ai inauguré ce lien l’autre jour, pour les locaux :D). Il m’avait gentillement envoyé un numéro traduit de Los amigos de Ludd.
Je pense que j’aurais du mal à le critiquer (enfin en tout cas à le critiquer méchamment, comme le fond les méchants rouge mécanique — qui question jargonneux font largement mieux qu’Accardo !). :)
À propos de polémique et de jargon, dans le train l’autre jour, j’ai lu « Critique gastronomique » de #Woody-Allen (Destins tordus, 1975 en anglais, 1981 en français). Et ça m’a fait beaucoup rire.
#Cinéma : les villes européennes passent le casting
▻http://fr.myeurop.info/2013/10/31/cin-ma-les-villes-europ-ennes-passent-le-casting-12506
Marco Bertolini Hélène Bienvenu Christelle Granja Camille Guillot Delphine Nerbollier
Devenir actrice : l’idée fait rêver jusqu’aux villes européennes. (...)
#Allemagne #Belgique #Europe #France #Hongrie #Turquie #attractif #blockbuster #eurofocus #film #hollywood #Skyfall #tournage #Woody_Allen
Tournages de #Cinéma : les villes européennes passent le casting
▻http://fr.myeurop.info/2013/10/31/tournages-de-cin-ma-les-villes-europ-ennes-passent-le-casting-12506
Marco Bertolini Hélène Bienvenu Christelle Granja Camille Guillot Delphine Nerbollier
Devenir actrice : l’idée fait rêver jusqu’aux villes européennes. (...)
#Allemagne #Belgique #Europe #France #Hongrie #Turquie #attractif #blockbuster #eurofocus #film #hollywood #Skyfall #tournage #Woody_Allen
Woodie Guthrie : le héraut à la guitare
▻http://www.monde-diplomatique.fr/2013/05/LAURENT/49085
En 1919, une Amérique en proie à la peur du « rouge » célèbre le centenaire de la naissance de son grand poète Walt Whitman, convaincu dans ses dernières années que son pays serait perdu si le socialisme ne le sauvait pas. La même année, un gosse de 7 ans nommé Woodie Guthrie est témoin de la folie qui s’empare de son Oklahoma natal lors de la découverte du pétrole. - #2013/05
#Art #Culture #Histoire #Littérature #Mouvement_de_contestation #Musique #États-Unis
Polemix et La Voix Off | archives » Emission – Une Histoire du logiciel libre
►http://www.polemixetlavoixoff.com/emission-une-histoire-du-logiciel-libre
Quelle rapport entre #Woodie_Guthrie et Internet ?
Une Histoire du logiciel libre.
Une heure avec Philippe Rivière,
spécialiste d’internet et journaliste au Monde Diplomatique.
►http://www.polemixetlavoixoff.com/podpress_trac/feed/1529/0/lavoixofflogiciellibre.mp3
Comptines – Il était une bergère – momes.net
►http://www.momes.net/comptines/animaux-de-la-ferme/il-etait-une-bergere.html
La bergère en colère
Et ron et ron petit patapon
La bergère en colère
Tua le p’tit chaton ron, ron
Tua le p’tit chaton.
Et à la fin, elle embrasse un curé libidineux.
Charmant.
Tu vois pas que je suis obligé de censurer les comptines qu’on chante à la petite, maintenant... (De ton côté, tu fais comme tu veux, mais si la petite elle pleure à cause du petit chaton qu’est mort, hé ben tu te démerdes.)
Mais le must du must ça reste quand même Steve #Waring et plus particulièrement son album « 20 chansons » de 1987, ré-enregistré et ré-édité sous la forme de deux albums (trouvables en coffret ensemble).
« Les grenouilles » :
Et « La baleine bleue » :
Toujours au #Chant_du_monde, label avec tant de Jazz et de Swing Manouche.
Des textes drôles devenus des classiques, parfois même des adaptations de #Lewis #Caroll, et au niveau musique des compositions en #guitare #picking ou des standards de blues et de folk genre #Woodie #Guthrie. Ça m’a marqué à la fois textuellement et musicalement.
Et tout ceci est particulièrement bien adapté à ton Seen initial car dans le célèbre « Le matou revient » : c’est le chat qui gagne tout le temps !
Mais alors qu’en est il de Barbe bleue ou le gars tue ses femmes, des enfants abandonnés dans le petit poucet etc. ? La cruauté des vieux contes c’est bien.
Et Le roi a fait battre tambour, qui promeut l’assassinat politique ?