L’Encyclopédie à portée de clic | CNRS Le journal
►https://lejournal.cnrs.fr/articles/lencyclopedie-a-portee-de-clic
▻http://enccre.academie-sciences.fr
Les 28 volumes de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert sont désormais en ligne sur le site de l’Académie des sciences. Une interface numérique aboutie permet de découvrir dans toute sa richesse la plus incroyable entreprise éditoriale du XVIIIe siècle. Alexandre Guilbaud, qui a piloté le projet, nous en dévoile les grandes lignes.
]]>data.archives-ouvertes.fr : triplestore de HAL : exposition des données en RDF
#xyzaeiou
Roland Gori : « La démocratie dans la recherche n’est pas pour demain » | Sciences Critiques
▻https://sciences-critiques.fr/roland-gori-la-democratie-de-la-recherche-nest-pas-pour-demain
Interview de Roland Gori
Du coup, les publications scientifiques sont inévitablement soumises à l’obsolescence programmée. Les revues ne sont plus des lieux de communication et de partage des chercheurs, mais les indispensables vitrines qui font d’un laboratoire ou d’un enseignant une personnalité de marque. Du coup, les revues scientifiques ne sont plus faites pour être lues mais simplement permettent de publier des articles short and dirty, moyens comme un autre d’accroitre son facteur H ou M. Donc, on publie beaucoup, non pas parce qu’on a quelque chose à dire, mais parce qu’il faut rester connectés. C’est le Facebook des communautés scientifiques contrôlé par des censeurs dont la censure ne porte pas sur le contenu des messages mais sur les conditions de production et d’accès. Un jour viendra où les futures générations n’auront que mépris pour ces fabriques de servitude volontaire que sont devenues nos institutions.
Certains critères d’évaluation ont des affinités électives avec le langage des maîtres du monde, et leur utilité sociale et politique − au sens de Pierre Bourdieu − prévaut sur la pertinence épistémologique. Il est évident qu’une évaluation quantitative et formelle se révèle davantage adaptée aux disciplines scientifiques qu’aux humanités. Ce type d’évaluation sera favorisé par le néolibéralisme, puisqu’il invite à une civilisation des mœurs et une conception du monde où tout est numérisé, transformé en marchandise, soumis à la concurrence et à la vitesse. Encore que, nombreux sont les scientifiques qui se plaignent de cette manière de penser la valeur et de censurer leur production. 3
De la même manière, s’il convient de favoriser le partage et la confrontation internationale des travaux de recherche, il est absurde de le faire sur la base du globish qui est devenu l’esperanto du monde des affaires comme de celui de l’université. L’anglo-américain devient le « cheval de Troie » d’une manière de penser le monde qui se révèle hégémonique et partisane de l’utilitarisme anglo-américain. C’est à chaque communauté scientifique de décider des critères les mieux adaptés à ses objets et à ses méthodes. Face à la globalisation de la recherche, réalisée avec le même logiciel que la globalisation marchande, il faut réhabiliter le local. Local n’est pas un gros mot. C’est le mot du concret, du singulier, de l’histoire et du vivant.
et la conclusion :
Il faut abattre les classements type Shanghai comme on a pris la Bastille.
]]> » Le marché extraordinairement lucratif de la publication scientifique est-il mauvais pour la science ? Par Stephen Buranyi
▻http://www.les-crises.fr/le-marche-extraordinairement-lucratif-de-la-publication-scientifique-est-
Même les scientifiques qui luttent pour une réforme n’ont souvent pas conscience des origines du système : comment, durant les années prospères après la Seconde Guerre mondiale, des entrepreneurs construisirent leurs fortunes en soustrayant l’édition des mains des scientifiques, développant ainsi l’industrie à une échelle inimaginable auparavant. Et nul n’a été plus créatif et ingénieux que Robert Maxwell qui a fait des revues scientifiques une spectaculaire machine à faire de l’argent permettant ainsi son ascension dans la société britannique. Maxwell deviendra un membre du Parlement, un baron de la presse défiant Rupert Murdoch, et une des figures les plus célèbres de la société britannique. Mais sa véritable importance était bien plus grande que ce que la majorité d’entre nous ne réalise. Aussi improbable que cela puisse paraître, peu de personnes durant le siècle dernier ont contribué davantage à la façon dont la science est traitée aujourd’hui que Maxwell.
]]>La Bibliothèque du Congrès inaugure ses collections “webcomics” et “culture web”
▻https://www.actualitte.com/article/patrimoine-education/la-bibliotheque-du-congres-inaugure-ses-collections-webcomics-et-culture-web/83309
Quant à la deuxième collection acquise par la Bibliothèque, il s’agit d’un ensemble de sites internet traitant de l’histoire de la culture web, retraçant son évolution jusqu’à l’utilisation des GIFS, des mèmes ou des emojis aujourd’hui.
L’American Folklife Center, institution créée par la Bibliothèque en 1976 pour préserver et informer sur la culture populaire américaine, est à l’origine de ce dernier projet. L’Urban Dictionary, Emojipedia et l’Internet Meme Database font partie de la sélection, qui permettra aux jeunes du futur « d’avoir un aperçu complet de la vie et de la culture des gens d’aujourd’hui », selon Elizabeth Peterson, directrice du centre. « La prolifération des smartphones, des tablettes et de la connexion internet sans fil a fait de la communication en réseau un espace où les gens développent un nouveau folklore et échangent de plus en plus. »
]]>Sci-Hub
▻https://greenelab.github.io/scihub/#
Liste des revues présentes dans SciHub
Sci-Hub a récupéré la quasi-totalité des publications de grande revues scientifiques (dont 400 000 articles du Lancet sur 200 ans)
]]>affordance.info : Rien de personnel.
▻http://www.affordance.info/mon_weblog/2017/06/rien-de-personnel.html
►http://www.affordance.info/.a/6a00d8341c622e53ef01b8d288be82970c-600wi
Donc quand Google nous permet de chercher, depuis son moteur, dans nos données personnelles, il crée une incitation qui nous pousse presque mécaniquement à lui fournir encore davantage de données personnelles, et bénéficie en fin de cycle de cette manne personnelle et publique pour entraîner et développer ses propres technologies d’intelligence artificielle ou de compréhension linguistique fine du langage naturel. Son obsession soudaine pour nos photos participe naturellement de la même logique.
]]>Gérer un site WordPress : usages, fonctionnalités et sécurisation – Le blog d’Huma-Num et de ses consortiums
►http://humanum.hypotheses.org/3183
Ce bref article a pour unique but de partager une expérience d’administrateur de site ayant subi des attaques visant tant le détournement de contenu que l’utilisation malveillante des ressources du serveur. La multiplication de ces attaques a nécessité le déplacement du contenu du site sur un autre serveur, mobilisant ainsi de nombreuses heures d’intervention et, au passage, quelques ajustements sur la configuration du site piraté. Nous avons pensé avec Joël Marchand, responsable de l’infrastructure numérique de la TGIR Huma-Num, que ce retour d’expérience pourrait être utile à d’autres collègues. On trouvera donc ici une réflexion et quelques solutions visant à faciliter la mise en œuvre de WordPress dans le cadre d’une activité de recherche en sciences humaines et sociales.
Attention toutefois, WordPress évolue vite et les informations livrées ici sont évidemment à actualiser en fonction de la date d’usage.
]]>affordance.info : Hellsevier
▻http://www.affordance.info/mon_weblog/2015/11/hellsevier.html
▻http://www.affordance.info/.a/6a00d8341c622e53ef01b7c7e74f72970b-600wi
Je reproduis ici la lettre (publiée et traduite sur le site de Savoirscom1) d’ Alexandra Elbakyan , poursuivie en justice par Elsevier Hellsevier pour avoir mis à disposition des articles scientifiques.
Je voudrais clarifier les raisons derrière le site web sci-hub.org . Quand j’étais étudiante à l’université du Kazakhstan, je n’avais accès à aucun article de recherche. J’avais besoin de ces articles pour mon projet de recherche. Un paiement de 32 dollars est tout simplement délirant quand vous avez besoin de survoler ou lire des dizaines ou des centaines de ces articles pour votre recherche. J’ai obtenu ces articles en les piratant. Plus tard, j’ai découvert qu’il y avait de très nombreux chercheurs (non pas des étudiants, mais des chercheurs universitaires) exactement comme moi, spécialement dans les pays en développement. Ils ont créé des communautés en ligne (forums) pour résoudre ce problème. J’étais une participante active dans une de ces communautés en Russie. Là, toute personne qui a besoin d’un article de recherche, mais ne peut le payer, peut faire une demande et un autre membre qui peut l’obtenir l’enverra gratuitement par email. Je pouvais obtenir n’importe quel article en le piratant, et j’ai donc répondu à de nombreuses demandes et les gens ont toujours été très reconnaissants pour mon aide. À la suite de cela, j’ai créé le site web sci-hub.org qui rend simplement ce processus automatique et le site web est devenu immédiatement populaire.
Je voudrais aussi mentionner que je n’ai jamais reçu de plainte des auteurs ou des chercheurs, seul Elsevier se plaint de la distribution libre de la connaissance sur le site web sci-hub.org.
]]>Les bibliothécaires, acteurs de la recherche – Journée d’étude du 18 octobre au Congrès de l’ADBU | DLIS
▻http://dlis.hypotheses.org/1232
Lettre ouverte pour des métadonnées de qualité | Fil ABES
▻https://fil.abes.fr/2017/05/30/lettre-ouverte-pour-des-metadonnees-de-qualite
▻http://www.abes.fr/Media/Fichiers/Article-WEB/open-letter-BACON-JISC-ERDP
Afin que les institutions bénéficient du meilleur des deux mondes, à savoir des outils robustes et adaptés aux besoins et des données pertinentes et vérifiées, l’Abes s’est associée à JISC-Collections et BIBSAM, respectivement institution britannique et consortium suédois porteurs de KB+, ainsi qu’aux concepteurs d’ERDB-JP, base de connaissance libre japonaise pour publier une lettre ouverte à destination des vendeurs de bases de connaissances. Son message est simple :
– Dites-nous comment vous utilisez nos données
– Incluez tout ce que nous vous envoyons
– Adaptez-vous au rythme des mises à jour que nous nous employons à suivre pour refléter au mieux les évolutions des offres des éditeurs
– Identifiez clairement les métadonnées que nous vous faisons parvenir. Bien que cela ne soit pas obligatoire dans le cadre de la licence CC0 utilisée par les 4 signataires, cela facilitera grandement le travail de suivi des bibliothécaires
]]>ResearcherID, ORCID, IdHAL... Enjeux et perspectives des identifiants chercheurs | Urfist de Paris
▻http://urfist.enc.sorbonne.fr/ressources/edition-scientifique/researcherid-orcid-idhal-enjeux-et-perspectives-des-identifiants
▻http://urfist.enc.sorbonne.fr/sites/default/files/ab/Bouchard_Identifiants%20chercheurs_15052017_PDF.pdf
Question 1 : Pourquoi parle-t-on de plus en plus d’identifiants chercheurs et pourquoi, dans certains pays, cette question est-elle traitée au niveau national ?
Question 2 : Pourquoi de plus en plus d’acteurs de la communication scientifique, éditeurs comme bailleurs de fonds, demandent des numéros ORCID aux chercheurs et auteurs ?
Question 3 : Les institutions réfléchissent de plus en plus à des systèmes d’information recherche dépassant le simple CV minimal pour leurs chercheurs (gestion de la recherche, outil de pilotage et métriques) et rassemblant des sources distinctes. Comment faire ?
#orcid #chercheurs #identifiants_pérennes #idhal #researchid #viaf #idref
#xyzaeiou
L’appétit des géants - P2P Foundation France
▻http://blogfr.p2pfoundation.net/index.php/2017/06/07/lappetit-des-geants
Il fallait un amoureux du web et des médias sociaux pour décrypter les enjeux culturels, relationnels et démocratiques de nos usages numériques. Olivier Ertzscheid met en lumière les effets d’échelle, l’émergence de géants aux appétits insatiables. En concentrant toutes nos activités numériques sur quelques plateformes, nous avons fait naître des acteurs mondiaux qui s’épanouissent sans contrôle. Nos échanges, nos relations, notre sociabilité vont nourrir des algorithmes pour classer, organiser et finalement décider pour nous de ce qu’il nous faut voir.
#Olivier_Ertzscheid #C&Féditions #Algorithmes #Politique_numérique
]]>Quel modèle économique pour une numérisation patrimoniale respectueuse du domaine public ? – – S.I.Lex –
►https://scinfolex.com/2017/06/06/quel-modele-economique-pour-une-numerisation-patrimoniale-respectueuse-du
Par Lionel Maurel, extrait du livre « Communs du savoir et bibliothèques »
Lionel Dujol m’a demandé de traiter la question (épineuse) de la numérisation du domaine public en bibliothèque, et plus précisément des modèles économiques qui peuvent sous-tendre ce type d’activités. J’examine quatre types de modèles (la numérisation à la demande, le financement participatif, les partenariats public-privé de numérisation et le Freemium) en essayant de voir lesquels sont les mieux à même de garantir la soutenabilité de la numérisation patrimoniale, sans générer de nouvelles enclosures sur la diffusion de la Connaissance.
]]>Microdata : kesako ? Exemples pratiques > Growth Hacking France
▻http://growthhackingfrance.com/microdata-kesako-exemples-pratiques
Avec l’arrivée du HTML5, de nouveaux éléments sont venus renforcer le sens des composant des pages sémantiques des sites internet.
Par exemple on a vu apparaître de nouvelles balises ( <header> , <section> , <article> , <nav>…) Qui permettent de structurer la page en indiquant simplement « il s’agit du menu de navigation, il s’agit d’une section de la page… » sans avoir à ajouter des attributs comme c’était le cas avant.
Parmi ces nouveautés HTML5, ont été ajoutées les microdata, ou microdonnées.
Les microdata ont le même but et le même genre de fonctionnement que les microformats, mais permettent une maîtrise et une précision encore plus importante. Microdata et microformats sont donc différents, mais fonctionnent tous les deux et peuvent cohabiter sur une même page.
Les microdata n’ont pas encore de normes, mais des recommandations ont été définies par le W3C.
Les microdata sont des attributs supplémentaires permettant de préciser certains aspects sémantiques des éléments. Ils sont donc tout à fait dans la même ligne que les microformats puisqu’ils ajoutent des métadonnées dans le code HTML d’une page internet.
]]>L’Open access est-il négociable ? Leçons du contrat #Elsevier / Pays-Bas – L’Alambic numérique
▻https://alambic.hypotheses.org/6013
Avec tout le respect dû au courage des négociateurs, je me range dans le camp des sceptiques, on l’aura compris. Cette négociation illustre, je crois, ce que l’on peut obtenir de mieux des éditeurs : une transition vers le libre accès à inflation constante… En termes marchands : « mieux, mais pour plus cher. » Est-ce cela que nous voulons : le libre accès à tout prix ? Alors que nous sommes étranglés par nos dépenses actuelles auprès des éditeurs ? Ce que plaide le livre blanc de la bibliothèque Max Planck2 , c’est la négociation avec les éditeurs pour une transition rapide vers l’OA, avec l’idée de faire diminuer la dépense. L’exemple néerlandais montre que l’on peut remplir la première condition (une transition rapide vers l’OA), et ce, au prix d’une négociation très dure. Mais quelle négociation pourrait déboucher sur une diminution de la dépense, quand elle se fait avec des éditeurs en situation de monopole ? Quel moyen de pression avons-nous pour obtenir cela ? Et si la transition se fait à dépense constante, sur quel miracle peut-on compter pour la faire diminuer ensuite ? De ce point de vue, l’expérience néerlandaise sonne comme un démenti empirique des propositions du Max Planck : nous sommes dans la nasse.
]]>Sci-Hub, la science au juste prix – L’Alambic numérique
▻https://alambic.hypotheses.org/6020
Pour autant, on pourrait imaginer qu’en négociation, cet élément exerce une pression indirecte. La stratégie classique des grands éditeurs en négociation, c’est le tout ou rien : « Voilà le prix du bouquet, à prendre ou à laisser. Le titre à titre, c’est possible… mais c’est plus cher. » Or, il est bien plus facile à un établissement de refuser un contrat s’il sait que ses chercheurs n’en pâtiront pas trop et pourront se débrouiller pour accéder aux articles. Sci-Hub ne sera, bien sûr, jamais évoqué, mais comment douter que son ombre pèsera dans la discussion, puisqu’il est démontré que les chercheurs savent s’en servir en cas de besoin ? Songeons, par exemple, à cette université canadienne qui, après une difficile négociation avec Springer, a écarté le bouquet et choisi le titre à titre… Un tel choix aurait-il été concevable il y a un ou deux ans, alors même que la situation financière des universités était déjà dramatique ? On peut lire la décision annoncée de plusieurs façons : soit les budgets ont été si profondément drainés qu’il ne reste même plus de quoi payer tous les bigs deals (c’est donc la concurrence entre les big deals qui s’engage, avec un résultat déjà prévisible), soit c’est le consentement à payer des universités qui est atteint : désormais, ce qu’elles ne veulent pas, les universités ne peuvent plus être forcées à l’acheter. Parce qu’elles n’en ont plus les moyens (ceci n’est pas nouveau), mais aussi parce que les chercheurs peuvent désormais se procurer gratuitement ce dont ils ont besoin, si leur établissement ne peut le leur fournir.
.../…
Si j’avais une inquiétude, ce serait celle-ci : secoués par le succès de Sci-Hub, les éditeurs vont certainement redoubler d’efforts pour basculer du modèle de l’abonnement vers celui de l’auteur-payeur. C’est la seule parade réaliste pour eux à long terme, et on sait déjà qu’elle est rentable. Les chiffres que vient de publier l’Autriche, par exemple, montrent que la transition est engagée, à un rythme affolant, parce que très coûteux ! L’hybride s’envole, loin devant les autres modèles économiques. Grâce à lui, les éditeurs réassurent leur prise sur le circuit de publication, tout en s’assurant de nouveau, au passage, de considérables bénéfices.
]]>Quels sont les logiciels libres que l’État conseille en 2017 ? - Tech - Numerama
▻http://www.numerama.com/tech/244219-quels-sont-les-logiciels-libres-que-letat-conseille-en-2017.html
▻http://www.numerama.com/content/uploads/2017/03/SILL-2017-socle-interminist%C3%A9riel-logiciels-libres_0.pdf
Le socle interministériel de logiciels libres a été mis à jour. Cette liste, publiée depuis 2012, regroupe les logiciels libres que l’État recommande. Elle inclut des programmes généralistes mais aussi des solutions bien plus pointues.
]]>Etude I.G.B. : Les enjeux du numérique concernant les ressources documentaires en SHS | DLIS
▻http://dlis.hypotheses.org/1076
▻http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/file/2017/46/6/RAPPORT_enjeux_du_numerique_SHS_final_ct_743466.pdf
Ce rapport sur les enjeux du numérique concernant les ressources documentaires en SHS, remis en mars 2017 par l’Inspection Générale des Bibliothèques au MESR, est la mise en œuvre d’une mesure du Plan d’action en faveur des sciences humaines et sociales du MESR. Il étudie l’évolution des dépenses documentaires en sciences humaines et sociales dans les bibliothèques universitaires entre 2007 et 2015. Il préconise une meilleure visibilité de l’offre, qui serait favorisée par une politique nationale de numérisation et par une mutualisation des services autour de ces ressources documentaires. Il analyse les évolutions des métiers de chercheur en SHS et de bibliothécaire, qui rendent la transformation numérique des ressources documentaires inéluctable et incitent à une ouverture des équipes de recherche à des compétences diversifiées pour développer des projets en humanités numériques.
]]>Petite histoire des noms des bibliothèques numériques patrimoniales – Bib & Clic
▻https://bibandclic.wordpress.com/2017/05/22/petite-histoire-des-noms-des-bibliotheques-numeriques-patrimon
▻https://nubis.univ-paris1.fr
NuBIS
NuBIS est la bibliothèque numérique patrimoniale de la bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne. Ce nom est le fruit d’un appel à proposition interne et d’une consultation des personnels. Il s’agit d’une contraction des mots « numérique » et « BIS » (l’acronyme de la Bibliothèque Interuniversitaire de la Sorbonne). Ce nom fait aussi référence au latin nubes (les sciences de l’Antiquité sont un des points forts de la BIS), plus précisément à son génitif nubis, signifiant nuage et qui crée un lien avec l’idée très contemporaine du « cloud ». Une allusion très bien trouvée !
NuBIS a également été retenu car ce nom est bref et euphonique. Enfin, le principal moteur de recherche utilisé (Google) interrogé sur le mot NuBIS donnait des résultats satisfaisants et prometteurs d’un bon référencement.
(source : équipe de NuBIS)
]]>Ready for the future? A survey on open access with scientists from the French National Research Center (CNRS)
▻https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01399422/document
The French survey uncovers attitudes, needs and behaviours similar to other countries, except for OA publishing with APCs where French scientists appear more reluctant and hesitantthan their colleagues from other European countries. One explanation may be the fact that France globally spendsless for scientific information than other similar countries; also APCs may appear less affordable. However, these differences should not be over-interpreted. Since 2014, the situation has changed in France as well as in other European countries, and openaccess to scientific information is fast becoming the dominant model of academic communication.
Today, the debate is no longer on pros and cons of open access. In 2016 the French parliament will probably adopta new law (“Loi pour une République Numérique”) granting secondary exploitation rights to scientists, similar to German, Austrian andDutch legislation. Together with the other EU Member States, France is committed to Open Science and will continue to increase the availability of French research results. The challenge today is how to get there. For more than 15 years, France has developed an open access infrastructure with national operating agents, a large open repository (HAL) and public OA journal and book platforms especially in social sciences and humanities. This public infrastructure is now in competition with OA publishing and APCs mainly controlled by large corporate publishers.
One challenge is the control over dissemination, access and preservation of research results, and over innovation in the field of academic publishing. Another challenge is the exploitation of the growing volume of research results through content mining, and the control of these technologies and tools. Will the research community maintain (or regain) control overits data, overusage, impact, evaluation etc.? Who will add value to content, who will provide metrics forresearch output, fornetworks, experts, emerging topics etc.? Will the dysfunctional scientific information market survive, with its oligopolies, mergers and benefits? Should it?
]]>470,000 images from Europeana join the new Creative Commons Search database - Europeana Professional
▻http://pro.europeana.eu/blogpost/more-than-470-000-images-from-europeana-are-now-integrated-to-the-new-
A tool for discovery, collaboration and re-use, CC Search enables users to search a variety of open repositories through a single interface to find content in the commons. Developed by Creative Commons, the current CC Search tool is used by nearly 600,000 people every month. The new beta version of the project, which was released in early February, includes simple, one-click attribution making it easier to credit the source of any image. CC Search beta also provides social features, allowing users to create, share and save lists as well as adding tags and favorites to the objects in the commons.
The beta version of CC Search has recently integrated 470,00 images from Europeana into its database, which already incorporates artworks provided by cultural institutions and repositories from across the globe.
]]>« Vers de nouveaux catalogues : quelles questions, quelles réponses ? | « Bibliothèques [reloaded]
▻https://bibliotheques.wordpress.com/2017/05/02/vers-de-nouveaux-catalogues-quelles-questions-quelles-repon
les catalogues seront (de plus en plus) alimentés par des flux, les informations seront enrichies, les notices ne seront qu’une manière de visualiser l’information (article de Raphaëlle Lapôtre sur la datavisualisation, et de Gautier Poupeau sur l’éclatement des notices en données), leur gestion sera de plus en plus collaborative — la description stricte des documents ne sera finalement qu’un type de contenu parmi d’autres, de ce que les bibliothèques diffuseront à leurs internautes, après avoir agrégé et produit des informations sur leurs ressources. L’ouvrage est l’occasion d’avoir aussi une bonne synthèse sur l’état d’avancement de la transition bibliographique : c’est le bon moment, car de plus en plus de bibliothèques se demandent comment, concrètement, y participer1.
]]>Libre Accès : des outils pour vous aider - Libre accès à l’information scientifique et technique
►http://openaccess.inist.fr/?Libre-Acces-des-outils-pour-vous
Différents répertoires et moteurs sont à la disposition des internautes pour trouver des informations à propos du Libre Accès ou rechercher des documents librement accessibles. Ils sont classés selon quatre thématiques :
– politiques ou mandats des agences de financement ou des organismes de recherche / universités ;
– politiques des éditeurs ;
– revues en libre accès - voie dorée ;
– archives ouvertes - voie verte.
]]>Unpaywall et Open Knowledge Map - Libre accès à l’information scientifique et technique
▻http://openaccess.inist.fr/?Unpaywall-et-Open-Knowledge-Map
Unpaywall : ►http://unpaywall.org est un nouvel outil mis à disposition des internautes qui leur permet de trouver la version en libre accès des articles scientifiques. Il s’agit d’une extension disponible pour les navigateurs Chrome et Firefox qui utilise l’API oaDOI. Celle-ci indexe 90 millions d’articles et repère les versions des articles en libre accès grâce notamment aux DOAJ, CrossRef et DataCite, à des archives ouvertes et à BASE. Il suffit de copier-coller le DOI d’un document et oaDOI recherche une éventuelle version en libre accès.
]]>Licence : Version 2.0 de la Licence Ouverte suite à la consultation et présentation du décret | Le blog de la mission Etalab
▻https://www.etalab.gouv.fr/licence-version-2-0-de-la-licence-ouverte-suite-a-la-consultation-et-pre
Pour des états généraux de l’Internet indépendant - Libération
►http://www.liberation.fr/debats/2016/12/15/pour-des-etats-generaux-de-l-internet-independant_1535520
Voilà pourquoi il nous faut impérativement garder le contrôle de nos index et de nos algorithmes de pertinence.
« Quand nous consultons une page de résultats de #Google, ou de tout autre moteur utilisant un algorithme semblable, nous ne disposons pas simplement du résultat d’un croisement combinatoire binaire entre des pages répondant à la requête et d’autres n’y répondant pas ou moins (matching). Nous disposons d’une vue sur le monde (watching) dont la neutralité est clairement absente […] et s’appuyant sur des principes de classement non plus seulement implicites (comme les plans de classement ou les langages documentaires utilisés dans les bibliothèques) mais invisibles et surtout dynamiques. »
Voilà ce que j’écrivais avec un collègue dans un article scientifique publié en 2003. Treize ans plus tard, la tempête médiatique autour des « fake news » et de la « post-vérité » n’est rien d’autre que l’essor de ces trois phénomènes cumulés : la réduction numérique des espaces de consultation et d’expression, la capacité des plateformes à ne nous présenter que des pans altérés d’une réalité informationnelle et sociale, et les principes implicites, invisibles et dynamiques qui régissent les algorithmes de hiérarchisation, de visibilité et/ou d’obfuscation de l’information.
Toute tentative de régulation législative ne sera que partielle quand elle ne sera pas entièrement vaine. Parce que le code est devenu la loi. En appeler à la « responsabilité » de ces plateformes a à peu près autant de chances d’aboutir que de demander à Vincent Bolloré de respecter une quelconque déontologie journalistique. Taxer davantage leurs revenus ne fera que les inciter à les dissimuler davantage. En appeler à des algorithmes qui soient à la fois « transparents à l’inspection, prévisibles pour ceux qu’ils gouvernent, et robustes contre toute manipulation » - The Ethics of Artificial Intelligence (1) - est une règle qui ne pourra prévaloir qu’à l’échelle de secteurs régaliens si tant est que d’autres algorithmes que ceux des plateformes actuelles puissent les empêcher d’investir lesdits secteurs.
]]>L’Internet libre et gratuit, c’est bien fini | InaGlobal
►http://www.inaglobal.fr/numerique/article/l-internet-libre-et-gratuit-c-est-bien-fini-9725
Appareils, réseaux, services en ligne deviennent les adjuvants utiles mais aussi envahissants de notre vie personnelle et professionnelle ainsi que de notre expression publique. Or, ce processus a lieu dans une économie globalisée et dérégulée qui favorise la concentration extrême de ressources[+]. On est donc loin de l’idéal tant encensé par le passé d’un média par essence démocratique, participatif et décentralisé, un idéal présent notamment dans les discours autour de l’émergence supposée d’un « Web 2.0 »[+]. Au contraire : au cours des dernières années, l’internet est devenu un champ de compétition acharnée entre groupes sociaux, institutions politiques et entreprises multinationales pour la distribution du pouvoir sur les canaux de communication numériques. Par conséquent, la forme actuelle de l’internet ne doit rien à ces caractéristiques techniques supposément intrinsèques mais résulte des relations complexes entre acteurs dont les intérêts économiques et politiques sont à la fois puissants et antagoniques.
]]>Bases en ligne et éclatement des collections de périodiques numérisés : quelques exemples de complémentarités en droit, économie et géographie | Biblioweb
►http://biblioweb.hypotheses.org/23890
il s’agit de la dispersion des collections en ligne pour une même revue et de la complémentarité pouvant exister entre certaines bases pour la diffusion du texte intégral en ligne de ces collections.
Nous verrons successivement
– les complémentarités existant entre les bases Persée, Revue.org et Cairn
– d’autres complémentarités où apparaissent l’INSEE, Gallica, la Banque de France, Legifrance et Dalloz.fr
– une bases de données permettant de mieux repérer ces complémentarités : Mir@bel
#revues_en_ligne #persée #cairn.info #revues.org #gallica
#xyzaeiou
Lignes directrices pour le libre accès aux publications scientifiques et pour le libre accès aux données de la recherche dans Horizon 2020 - version 3.2
▻http://openaccess.inist.fr/IMG/pdf/lignes-directrices_libre-acces_horizon2020_version3.2_tr-fr.pdf
POURQUOI UN LIBRE ACCÈS AUX PUBLICATIONS ET DONNÉES DE LA RECHERCHE DANS HORIZON 2020 ?
La recherche moderne se construit sur un dialogue scientifique approfondi et progresse en s’appuyant sur les travaux antérieurs. La stratégie Europe 2020 pour une économie intelligente, durable et inclusive souligne le rôle central de la connaissance et de l’innovation pour générer de la croissance. Un accès plus large aux publications et données scientifiques aide donc à :
• s’appuyer sur les résultats de précédentes recherches (amélioration de la qualité des résultats) ;
• promouvoir les collaborations et éviter la duplication des efforts (plus grande efficacité) ;
• accélérer l’innovation (mise sur le marché plus rapide = croissance plus rapide) ;
• impliquer les citoyens et la société (amélioration de la transparence du processus scientifique).
Pour ces raisons, l’UE veut améliorer l’accès à l’information scientifique et dynamiser les bénéfices des investissements publics pour la recherche financée par Horizon 2020.
La Commission européenne estime qu’il ne devrait pas être nécessaire de payer pour des informations financées par des fonds publics à chaque fois que l’on utilise ou l’on accède à ces informations. En outre, celles-ci devraient profiter pleinement aux entreprises européennes et au public.
Cela implique que les informations scientifiques financées par des fonds publics soient mises en ligne, sans frais supplémentaires, pour les chercheurs européens, des entreprises innovantes et du public, tout en assurant une conservation à long terme de ces informations.
#open_access #communication_scientifique #données_recherche
#xyzaeiou
RDA-FR : publication de deux nouvelles sections | Fil ABES
▻https://fil.abes.fr/2017/05/24/rda-fr-publication-de-deux-nouvelles-sections
▻https://filabes.files.wordpress.com/2017/05/rda-fr-vignette.png?w=150
Aboutissement de quatre années de travail pour adapter le code RDA à l’analyse catalographique française, la publication des sections 2 et 5 constitue une étape importante pour l’implémentation du modèle FRBR dans les catalogues français.
La section 2 est consacrée à l’identification des Œuvres et des Expressions. Quand à la section 5, elle fournit les instructions nécessaires pour l’enregistrement des relations principales entre les entités Œuvre, Expression, Manifestation et Item.
#RDA_Resource_Description_and_Acess #transition_bibliographique #FRBR
#xyzaeiou
Propriété du copyright d’une publication | Question/Réponse en IST
▻http://ist.blogs.inra.fr/questionreponses/2017/04/21/propriete-du-copyright-dune-publication
En tant que chercheur de l’INRA, suis-je propriétaire du copyright avec mes co-auteurs ou est-ce l’INRA (réponse pour le contrat d’édition avec Taylor et Francis pour une publication dans un journal) ?
Selon le Code de la Propriété Intellectuelle (CPI) article L111-1, les personnels (agents publics) non soumis à un contrôle hiérarchique (sur leurs œuvres) sont propriétaires des dites œuvres. Cela concerne les chercheurs et enseignants-chercheurs et leurs œuvres sous forme de publications scientifiques.
Vous et vos co-auteurs êtes donc bien titulaires des droits d’auteur (droits moraux et droits patrimoniaux ou droits d’exploitation) et seuls habilités à céder ces derniers à un éditeur.
#propriété_intellectuelle #chercheurs #communication_scientifique
#xyzaeiou
oaDOI à la loupe : un service et un outil de mesure – Carnet’IST
▻https://carnetist.hypotheses.org/835
Cet outil, grâce à un simple copier-coller du DOI d’un document, va à la recherche d’une éventuelle version en accès libre . Un lien oaDOI.org est en quelque sorte une alternative au résolveur doi.org afin d’éviter à l’utilisateur de se retrouver devant une version payante du document qu’il cherche alors qu’il en existe une version en Open Access. Le fonctionnement d’oaDOI pour sa recherche repose principalement sur le DOAJ, BASE et les informations retournées par CrossRef (voir toutes les sources présentées ici).
]]>Comment Internet permet de réaliser la bibliothèque universelle, par Robert Darnton
▻https://www.actualitte.com/article/monde-edition/comment-internet-permet-de-realiser-la-bibliotheque-universelle-par-robert-darnton/82770
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L’accès aux connaissances en recul
Cet idéal d’accès à la culture par les bibliothèques, qui dérive de Condorcet et Thomas Jefferson — pour lesquels les Républiques de France et d’Amérique dépendent de la République des Lettres — est aujourd’hui menacé, explique Robert Darnton.
« L’accès aux connaissances se ferme de plus en plus souvent. Savez-vous le prix moyen d’un abonnement à un journal scientifique de chimie ? 4044 $ aujourd’hui, par an, contre 30 $ annuels en 1970. Cette hausse est quatre fois plus importante que l’inflation », précise l’historien, qui accuse les groupes éditoriaux Reed #Elsevier (RELX), #Wiley et #Springer de réaliser « des bénéfices énormes » sur les restrictions d’accès au savoir.
« Ces maisons sont des sociétés par actions, qui fonctionnent dans une logique de rentabilité, tandis que les bibliothèques de recherche, qui donnent accès à ces revues scientifiques, voient leurs budgets réduits. » Cette situation voit un affrontement féroce entre les partisans du bien public, qui expliquent que l’impôt finançant la recherche publique justifie l’accès libre aux résultats de celle-ci, et les lobbys de l’édition, qui luttent contre l’entrée dans la législation du « Fair Access to Science and Technology Act » , aux États-Unis, qui garantirait l’accès gratuit aux articles scientifiques financés par l’argent public, 6 mois après leur publication.
]]>Un chiffre d’affaires de plus de 8 milliards € pour RELX (Reed #Elsevier) en 2015
▻https://www.actualitte.com/article/monde-edition/un-chiffre-d-affaires-de-plus-de-8-milliards-pour-relx-reed-elsevier-en-2015/63724
Si vous avez quelques petites économies, achetez du Elsevier, ça vous rapportera gros !
« Nous avons réalisé une bonne croissance des revenus en 2015 [sic] , et nous avons su générer une croissance du chiffre d’affaires avant croissance des bénéfices grâce à une innovation continue dans notre fonctionnement. Notre profil financier et notre trésorerie restent forts » s’est félicité Erik Nils Engstrom, directeur exécutif de RELX. Les principaux développements se trouveront du côté des « analyses sophistiquées d’informations », un secteur que RELX a déjà développé en 2015 et qui explique le succès de cette année.
Le chiffre d’affaires du groupe, qui touche notamment à l’édition scientifique et à l’organisation d’événements (notamment Livre Paris ou la Comic Con en France), connaît une hausse depuis plusieurs années. Pour 2014, déjà, le CA était en augmentation de 1 % par rapport à l’année précédente, avec 7,2 milliards €.
Les bénéfices de l’année 2015 sont estimés à 2,514 milliards € , soit 5 % d’augmentation par rapport à l’année précédente. Tous les secteurs sur lesquels RELX est présent sont en croissance, annonce le groupe : l’édition au format numérique est particulièrement plébiscitée, et compense sans problème la baisse des revenus des publications papier.
RELX annonce par ailleurs un rachat d’actions à hauteur de 500 millions £ pour l’année 2015, une opération qui sera élevée jusqu’à 700 millions £ en 2016.
RELX fait face à un mouvement de résistance qui engage nombre de chercheurs à travers le monde, et particulièrement aux Pays-Bas, où l’on dénonce des tarifs trop élevés et un engagement moindre dans le mouvement de l’open access, qui faciliterait la diffusion des études et autres articles scientifiques.
]]>ABES : Journées ABES : 10-11 mai 2017 – Journées ABES – Publications / Evénements
▻http://www.abes.fr/Publications-Evenements/Journees-ABES/Journees-ABES-10-11-mai-2017
Les Journées Abes 2017 ont eu lieu les 10 et 11 mai 2017 au Corum - Palais des Congrès de Montpellier
Les interventions en session plénière ont été filmées par Canal C2, opérateur de l’Université de Strasbourg. Elles sont consultables en ligne à cette adresse : ▻http://www.canalc2.tv/video/14476
]]>RDA : à quoi sert l’élément Type de support ? | rda abes
▻https://rda.abes.fr/2017/05/05/rda-a-quoi-sert-lelement-type-de-support
L’Indication générale du type de document a disparu dans l’ISBD intégré, publié en 2011, au profit d’une « zone 0 » constituée de deux éléments distincts ( Forme du contenu et T ype de médiation ), plus rigoureux et plus précis. Cette zone est obligatoire (ce qui n’a jamais été le cas de l’indication générale du type de document). De surcroît les termes à employer sont désormais constitués en référentiels, alors que la liste des indications générales du type de document était indicative. Les deux éléments de la zone 0 sont donc beaucoup mieux adaptés à la mise en place de facettes ou de filtres dans une interface de recherche — et ils sont faits pour ça.
RDA, publié l’année précédente (2010), avait adopté un dispositif analogue en définissant les deux éléments Type de contenu et Type de médiation. Il les a complétés par un élément supplémentaire, le Type de support , sans correspondance dans l’ISBD, qui permet d’aller au bout de la logique de sélection des ressources documentaires par leurs modalités d’utilisation.
#RDA_Resource_Description_and_Access #transition_bibliographique
#xyzaeiou
Old Maps Online
►http://www.oldmapsonline.org
Old Maps Online : moteur de recherche d’anciennes cartes géographiques
OldMapsOnline.org indexes over 400.000 maps. This is only thanks to the archives and libraries that were open to the idea and provided their online content. All new participants are warmly welcomed.
]]>Le privé se révolte à force de se faire envahir par les méthodes du secteur public – Les Bib’ de l’UBU
▻https://actubibubu.wordpress.com/2017/05/15/le-prive-se-revolte-a-force-de-se-faire-envahir-par-les-method
Aujourd’hui les anciens guichets vitrés de la poste ou de la SNCF s’arrachent à prix d’or, et les portraits de fonctionnaires se multiplient dans les médias. « Si à 50 ans t’as pas de Collex, c’est que t’as raté ta vie » a déclaré M. Saba, notre président, dans une interview qui a fait polémique. La ministre de l’enseignement supérieur a elle brisé un tabou en déclarant : « Les jeunes français doivent avoir envie de devenir fonctionnaires ». Le secteur public n’en finit plus de voler et séduire les plus grands talents du privé, comme un certain Emmanuel M. qui a délaissé une prometteuse carrière de banquier pour entrer dans la fonction publique.
]]>Etudier à Paris, ou l’art de jongler avec les bibliothèques
▻http://mobile.lemonde.fr/campus/article/2017/05/19/etudier-a-paris-ou-l-art-de-jongler-avec-les-bibliotheques_5130595_44
Le rapport de l’inspection générale des bibliothèques recommandait de « doubler le rythme actuel de construction » de BU pour pallier la saturation de certaines des existantes. Sauf que « certaines bibliothèques ne sont jamais saturées, et les autres ne le sont que de manière périodique : le soir en milieu de semaine, les week-ends, pendant les vacances de Noël, etc. », commente Paul Bouzol. « Construire de nouveaux établissements qui ne seraient pas ouverts sur ces périodes ne serait pas judicieux », complète Grégoire Tabard.
Les étudiants rencontrés devant les bibliothèques évoquent presque tous la nécessité d’une extension des horaires d’ouverture. Celle-ci était au cœur du plan « Bibliothèques ouvertes », lancé en 2016 par le ministère de l’éducation nationale. Mais l’effort a surtout concerné les villes universitaires hors Ile-de-France, ce qu’illustre Grégoire Tabard : « Ce soir à 21 heures, par exemple, un étudiant lyonnais aura potentiellement accès à trois mille places de lecture en bibliothèque, contre deux mille s’il est parisien. » Et ce, alors que Paris compte quatre fois plus d’étudiants que Lyon.
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