#yelp

  • Hécatombe dans la Tech : plus de 130.000 licenciements en 2022 Sylvain Rolland - La Tribune
    https://www.latribune.fr/technos-medias/internet/hecatombe-dans-la-tech-plus-de-130-000-licenciements-en-2022-940762.html

    Après des licenciements chez Meta (Facebook), Snap, Twitter, Stripe, Uber ou encore #Salesforce, Amazon pourrait lui aussi renvoyer plus de 10.000 salariés dans le monde, d’après la presse américaine. Si le plan social du géant du e-commerce était confirmé, plus de 130.000 emplois auront été supprimés dans le secteur de la tech en 2022.

    A eux seuls, les cinq Gafam - Google, Apple, Facebook devenu Meta, Amazon et Microsoft - ont perdu 1.500 milliards de dollars de valorisation cette année. (Crédits : DADO RUVIC)
    A chaque semaine son plan social massif dans la tech. Au début du mois, le nouveau Twitter dirigé par Elon Musk annonçait 3.700 licenciements dans le monde, soit plus de 50% des effectifs de l’entreprise. La semaine suivante, Meta ( #Facebook, #Instagram, #WhatsApp) lui a emboîté le pas avec 11.000 suppressions d’emplois (13% des effectifs). Cette semaine, c’est au tour d’Amazon de se joindre au cortège macabre : d’après le New York Times , le numéro un mondial du commerce et ligne et du cloud s’apprête à se séparer de 10.000 employés. A qui le tour la semaine prochaine ?

    Plus de 131.000 licenciements dans la tech en 2022
    Si les plans sociaux des géants de la tech font les gros titres, le phénomène touche tout le monde, jusqu’à la petite startup. Au 15 novembre, plus de 121.400 emplois ont été supprimés dans 789 entreprises tech, d’après le décompte du site Layoffs.fyi https://layoffs.fyi . Dès qu’Amazon confirmera son plan social, ce total dépassera les 131.400 suppressions d’emplois, pour 790 entreprises. Ce chiffre est même certainement sous-évalué, puisqu’il se base uniquement sur des chiffres annoncés par les entreprises, certaines n’ayant certainement pas communiqué sur leurs réductions d’effectifs.

    A titre de comparaison, le record de suppressions d’emplois lors de l’éclatement de la bulle internet de 2000-2001 est largement dépassé : cette première grosse crise du secteur technologique avait engendré le licenciement de 107.000 personnes. Toutefois, la taille du secteur en 2022 n’a rien de comparable. Comme les chiffres sur la situation de l’emploi mondial dans la tech en 2001 manquent, il faut prendre la comparaison avec des pincettes , et ne pas oublier que 131.400 emplois en 2022 représentent une part beaucoup plus faible du total des emplois tech que les 107.000 poste supprimés de 2001.

    Cette année, les entreprises qui ont le plus licencié sont Meta (11.000 emplois) puis Amazon (10.000), #Uber (7.300 en mai), #Gettir (4480 en mai), #Booking.com (3.775 en juillet) et Twitter (3.700 en novembre). D’après le décompte, 34 entreprises ont effectué des plans sociaux d’au moins 1.000 salariés, dont #Shopify (1.000), #Stripe (1.000), #Yelp (1.000), #Lyft (1.682), #Airbnb (1.900) ou encore #Salesforce (2.000). Près de 400 grosses startups ont supprimé entre 100 et 1.000 postes.

    Proportionnellement au nombre d’employés, plus de 300 entreprises ont perdu au moins 30% de leur force de travail cette année. Parmi les géants de la tech, #Twitter (50%), #Groupon (44%) ou encore #Magic_Leap (1.000 suppressions soit 50%) sont les plus touchés. Au niveau des secteurs, tous sont touchés mais ceux de la crypto et de la finance ont particulièrement dégusté : 30% des emplois supprimés pour #Crypto.com, 27% pour #Bitpanda, 25% pour #Blockchain.com et 20% pour #Coinbase, entre autres, du côté des crypto ; 90% pour #ScaleFactor, 50% pour #Renmoney, 42% pour #Fundbox, 27% pour #Bolt, 23% pour #Robinhood, 10% pour #Klarna, entre autres, du côté des #fintech. Les startups dans la #foodtech, l’éducation, la santé, les transports ou le marketing ont aussi été très impactées.

    La tech avait aussi du gras à couper *
    Cet hiver de la tech -cune référence à la série Game of thrones et son fameux "winter is coming"c-, est la preuve que le secteur n’est pas insensible à la conjoncture de l’économie mondiale. Si les startups ont été les grandes gagnantes de la crise du Covid-19, qui a accéléré la transformation numérique de tous les secteurs d’activité, comme le reste de l’économie, les voilà rattrapées par le retour de l’inflation, l’explosion des taux d’intérêts, la crise de l’énergie et de ravitaillement en matières premières, ou encore les conséquences de la guerre en Ukraine.

    Alors que les valorisations des entreprises tech avaient explosé depuis 2020, les géants du secteur subissent depuis quelques mois une forte correction en Bourse. A eux seuls, les cinq #Gafam - #Google, #Apple, #Facebook devenu #Meta, #Amazon et #Microsoft - ont perdu 1.500 milliards de dollars de valorisation cette année. Par effet ricochet, la valorisation des #startups, qui avait atteint des niveaux délirants, chute lors des levées de fonds, entraînant des difficultés nouvelles pour les entrepreneurs. De leur côté, les fonds d’investissement réalisent moins de deals, prennent davantage de temps pour clôturer ceux qu’ils mènent à bien, et se montrent plus frileux, d’autant plus que leurs propres investisseurs tendent à privilégier des investissements moins risqués que la tech avec le relèvement des taux d’intérêts.

    Pour certaines entreprises, notamment les très grosses startups et les géants comme Amazon, Meta ou Snap (1.200 employés licenciés soit 20%), la correction paraît particulièrement violente. Mais c’est aussi parce qu’il y avait du gras à couper. Chez #Snap comme chez #Meta, les dirigeants ont taillé dans les divisions annexes pour se concentrer sur le cœur du business.

    De son côté, Amazon, par exemple, avait embauché à tour de bras pendant la pandémie pour répondre à l’explosion de la demande : son personnel mondial a doublé entre début 2020 et début 2022. D’après le New York Times, les postes visés par les réductions d’effectifs seront situés dans le département Amazon Devices (les appareils électroniques équipés de l’assistant vocal #Alexa ou encore les liseuses #Kindle ), dans la division de vente au détail, ainsi que dans les ressources humaines.

    • Amazon : 18 000 licenciements annoncés
      https://journal.lutte-ouvriere.org/2023/01/11/amazon-18-000-licenciements-annonces_467573.html

      Après le milliardaire de Tesla, Elon Musk, #Jeff_Bezos a lui aussi subi une dégringolade du cours de ses actions et perd 100 milliards de dollars depuis le 1er janvier. Résultat : il vient lui aussi d’annoncer un plan de 18 000 #licenciements dans le monde.

      Il a suffi de l’annonce d’une légère baisse de ses activités, et donc ensuite d’une possible légère baisse des #dividendes, pour assister à cette dégringolade de plus de moitié du cours des actions d’Amazon en un an, soit 1000 milliards de dollars de capitalisation. Dans ces circonstances, Bezos recourt à l’annonce de licenciements massifs, qui devrait faire revenir vers lui l’argent des « investisseurs ».

      Les problèmes des salariés jetés à la rue ne sont pas un paramètre qui compte dans les calculs financiers des milliardaires. C’est le travail des centaines de milliers de salariés du groupe, mal payés, avec de conditions de travail exténuantes, qui fait monter jusqu’au ciel la fortune de Bezos, devenu l’homme le plus riche du monde. Aujourd’hui ceux qu’il menace de licenciement ont toutes les raisons de faire payer ce capitaliste qui possède encore en propre près de 100 milliards de dollars.

  • Aux Etats-Unis, Google fait l’objet d’une troisième plainte en deux mois
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2020/12/17/aux-etats-unis-google-fait-l-objet-d-une-troisieme-plainte-en-deux-mois_6063

    Une coalition de 38 Etats a lancé des poursuites contre le géant de l’Internet pour pratiques anticoncurrentielles. Cet assaut simultané des autorités est « historique », estime le procureur général du Nebraska. La pression des autorités américaines sur Google augmente. Une coalition d’Etats a engagé, jeudi 17 décembre, des poursuites pour pratiques anticoncurrentielles à l’encontre du géant de l’Internet. Elle s’ajoute à deux autres plaintes déjà déposées pour des motifs similaires. Le groupe californien (...)

    #Google #Amazon #GoogleSearch #TripAdvisor #Yelp #procès #domination #publicité

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  • « Ce Goliath de l’Internet manipule le marché » : plusieurs Etats américains engagent des poursuites contre Google
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2020/12/16/ce-goliath-de-l-internet-manipule-le-marche-plusieurs-etats-americains-engag

    Ces poursuites menées par le procureur général du Texas portent sur le « comportement anticompétitif » et les « pratiques d’exclusion » de la société. C’est un nouveau bras de fer contre le géant de l’Internet. Le procureur général du Texas a annoncé, mercredi 16 décembre, avoir engagé avec neuf autres Etats américains des poursuites pour pratiques anticoncurrentielles contre Google dans la gestion des publicités, évoquant même un accord avec Facebook Les poursuites portent sur le « comportement (...)

    #Google #Amazon #Facebook #TripAdvisor #Yelp #manipulation #domination #BigData #publicité

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  • Vie en ligne : « Il n’est pas normal que tout site Web avec une nouvelle idée se trouve à la merci de Google Search »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/11/07/vie-en-ligne-il-n-est-pas-normal-que-tout-site-web-avec-une-nouvelle-idee-se

    Le professeur de communication Charles Cuvelliez et le cryptographe Jean-Jacques Quisquater expliquent, dans une tribune au « Monde », comment Google est parvenu à protéger de toute concurrence son moteur de recherche.

    Tribune. Dans son combat contre les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon), le ministère américain de la justice a décidé de cibler Google Search, le moteur de recherche de la firme de Mountain View. Le rapport de la commission antitrust du Congrès américain lui en donne les clés, à savoir pourquoi aucun concurrent à Google ne verra jamais le jour sans un coup de pouce réglementaire ?

    La commission distingue deux types de moteurs de recherche : horizontaux et verticaux.

    Les premiers ont une vocation généraliste.

    Les seconds sont spécialisés : ils ne cherchent que dans une catégorie donnée de contenu, comme des images (Dreamstime), le transport aérien et les voyages (Expedia). Les moteurs de recherche monétisent leur service par le placement de publicité. Ils ne facturent pas l’utilisateur. Google est leader sur les moteurs horizontaux, avec 81 % de parts de marché sur les ordinateurs et 91 % sur les mobiles. Bing, le moteur de Microsoft, n’a que 6 % de parts de marché, Yahoo 3 % et Duckduckgo 1 % aux Etats-Unis.

    Le fonctionnement d’un moteur de recherche comprend trois activités distinctes.

    Il y a d’abord le crawl : parcourir Internet avec un robot pour collecter une copie de toutes les pages Web qu’il peut trouver. Puis ce matériel est indexé et organisé en une carte géante consultable en temps réel. Enfin vient l’indexation qui consiste à organiser l’information dans un format adéquat et dans des bases de données pour la dernière étape : la réponse aux requêtes des utilisateurs, de manière pertinente. Ces dernières ne sont que la pointe visible de l’iceberg.
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi Concurrence : « Ni Apple ni Google n’avaient besoin de ces comportements prédateurs »

    L’indexation a un coût plus élevé et exige une infrastructure importante. C’est tout Internet ou quasiment qui s’y retrouve. Google a été le premier à l’indexer en entier. Son algorithme, PageRank, le lui impose : plus il cherche, plus les résultats sont adaptés. PageRank part du principe que les liens dans une page Web vers un autre site Web sont le meilleur critère pour détecter le contenu le plus pertinent.

    Retour de la pertinence

    Qui mieux que celui qui a conçu le site A et y a placé des liens vers le site B peut identifier que le site B a le contenu en adéquation par rapport à ce qu’il annonce sur son propre site ? C’est bien plus efficace que de répertorier indépendamment le site A et le site B et de les indexer. Google Search a donc intérêt à naviguer toujours plus dans tout Internet en suivant les renvois de site en site.

    Jusqu’ici, rien de grave : c’est l’avantage du premier arrivé sur le marché avec une innovation. Mais les grands sites Web ne se laissent plus indexer par n’importe qui. Se faire palper par trop de robots, c’est du trafic inutile, sauf si c’est celui de Google que tout le monde consulte. Bonne chance alors à un nouveau venu avec son moteur de recherche et ses robots, qui seront bloqués !

    C’est à un point tel que Yahoo et Duckduckgo sont obligés d’acheter un accès à l’index de Google. Seuls Bing, le moteur de recherche de Microsoft, a aussi l’index de tout Internet (mais sa taille est trois à cinq fois moins grande).

    Un second avantage concurrentiel irrattrapable par la concurrence, c’est la manière dont les usagers réagissent à la présentation des résultats de Google Search, sur quels liens ils ont cliqué. C’est un précieux retour de la pertinence des résultats présentés par Google. Il l’utilise ensuite dans son algorithme. C’est encore plus vrai pour les requêtes les plus rares. Savoir que ce lien-là est pertinent pour cette recherche si particulière et y laisser s’engouffrer PageRank pour collecter de là encore plus de contenu spécialisé, voilà un autre secret de la performance de Google.
    Google paie Apple

    Un troisième avantage concurrentiel est le placement par défaut du moteur de recherche de Google, tant dans Android que chez Apple !

    Pour le premier, c’est une condition pour placer les autres outils de Google si prisés (Gmail, Youtube).

    Quant à Apple, Google lui paie 12 milliards de dollars (environ 10,15 milliards d’euros) pour qu’il soit le moteur de recherche par défaut, une preuve s’il en est de l’avantage stratégique d’être pré-installé. Apple a accéléré le développement de son propre moteur de recherche pour n’être pas emporté dans la tourmente des poursuites du ministère américain de la justice.

    Google Chrome, le navigateur, propose bien évidemment Google Search par défaut. Ce dernier incite en plus l’utilisateur à installer Google Chrome. Il a 51 % de parts de marché. Safari, le navigateur d’Apple, aussi avec Google Search par défaut, occupe 31 % de parts de marché. Il ne reste plus grand-chose.

    Le quatrième défi qui se poserait aux audacieux concurrents de Google Search concerne les petits plus que ce dernier offre désormais à la présentation des résultats. Ce sont les cartes qui sont proposées quand on tape une adresse, la présentation de la fréquentation du magasin qu’on cherchait, les images, un cadre explicatif sur la droite de l’écran à propos d’une ville, de l’organisme qu’on recherche, les réponses rapides à des questions pratiques sans devoir cliquer sur rien (une perte de trafic pour le site dont le contenu a été emprunté à cet effet) : un nouvel entrant aurait du pain sur la planche pour répéter tout cela.

    Pénalité

    Comme l’a montré la commission antitrust du Congrès américain, le salut ne viendra pas des moteurs de recherche verticaux. Ils ont besoin d’un accès à des données et à des ressources spécialisées, comme les données de vols pour les sites de réservation de voyages ou de billets d’avion. Les moteurs de recherche basés sur des recommandations ont, eux, besoin des interactions des usagers. En revanche, ils ne doivent pas indexer le Web. Mais ces moteurs doivent attirer des utilisateurs qui les trouvent par… Google Search.

    Ces moteurs de recherche verticaux ont avoué à la commission dépendre de Google pour 80 % à 95 % de leur trafic. Yelp, spécialisé dans la recherche locale, avait vu son contenu aspiré par Google pour son nouveau service vertical « Google Local ». Yelp a demandé à Google de retirer son contenu, mais Google lui a répondu que le seul moyen était de délister Yelp.

    Des documents ont prouvé que Google ajustait son algorithme de recherche de façon à privilégier ses propres services verticaux qu’il a commencé à développer dès 2005. Il avait identifié que la relation à long terme que ces sites pouvaient créer avec les utilisateurs allait le priver de trafic sur le long terme, même si sur le court terme, c’était l’inverse.

    L’algorithme de Google impose même une pénalité aux sites dits « de mauvaise qualité », comme, par hasard, le site de Kelkoo. Comme le disait un témoin, il n’est pas normal que tout nouveau site Web avec une nouvelle idée qui aurait réussi aux premiers temps d’Internet se trouve à la merci de Google Search qui peut le délister sous un quelconque prétexte et le copier sans même chercher à atteindre la même qualité. La moitié des clicks dans Google Search atterrirait sur des sites de… Google.

    Charles Cuvelliez (Professeur à l’Ecole polytechnique de l’université libre de Bruxelles) et Jean-Jacques Quisquater (Professeur à l’Ecole polytechnique de Louvain, université de Louvain et au Massachusetts Institute of Technology)

    #Apple #Google #Microsoft #Altaba/Yahoo ! #DoJ #DuckDuckGo #Bing #Expedia #Gmail #GoogleSearch #Kelkoo #Yelp #YouTube #Android #Chrome #PageRank #Safari #domination #algorithme (...)

    ##Altaba/Yahoo_ ! ##bot

  • Uber, Lyft and Airbnb cut thousands of jobs as pandemic batters Silicon Valley
    https://www.theguardian.com/technology/2020/may/08/tech-layoffs-coronavirus-uber-airbnb

    The economic fallout from the coronavirus has come to Silicon Valley, with major tech firms announcing layoffs in recent weeks. On Wednesday, Uber became the latest company to announce cuts, revealing in a filing to the Securities and Exchange Commission that it will lay off 3,700 workers – roughly 14% of its global workforce. Uber cited the pandemic in its filing, saying Covid-19 had affected its entire business, including financial performance, investments in new products, ability to (...)

    #Airbnb #Amazon #Lyft #Uber #Yelp #Zoom #bénéfices #COVID-19 #licenciement #santé (...)

    ##santé ##travail
    https://i.guim.co.uk/img/media/0a21d7417ebec1633c0a3487e9cd8bbf9d3328c6/0_0_2432_1459/master/2432.jpg

  • Leaked Documents Expose the Secretive Market for Your Web Browsing Data - VICE
    https://www.vice.com/en_us/article/qjdkq7/avast-antivirus-sells-user-browsing-data-investigation

    An Avast antivirus subsidiary sells ’Every search. Every click. Every buy. On every site.’ Its clients have included Home Depot, Google, Microsoft, Pepsi, and McKinsey. An antivirus program used by hundreds of millions of people around the world is selling highly sensitive web browsing data to many of the world’s biggest companies, a joint investigation by Motherboard and PCMag has found. Our report relies on leaked user data, contracts, and other company documents that show the sale of this (...)

    #Google #Home_Depot #Intuit #Microsoft #PepsiCo_Inc. #Yelp #algorithme #data #surveillance (...)

    ##PepsiCo_Inc. ##écoutes

  • Le nouveau visage de la surveillance de masse technologique
    https://www.ladn.eu/tech-a-suivre/nouveau-visage-surveillance-masse-technologique

    « À l’heure où la reconnaissance faciale investit nos visages, où les assistants vocaux intelligents s’invitent dans nos salons, et où Instagram recompose nos rapports sociaux, est-il encore possible de se tenir à l’abri des regards ? » C’est la question qu’Olivier Tesquet nous invite à poser dans À la trace. Interview. Journaliste chez Télérama, Olivier Tesquet décrypte depuis dix ans (Comprendre WikiLeaks, Dans la tête de Julian Assange) la façon dont l’omniprésence de la surveillance recompose à sa (...)

    #DGSI #Google #CambridgeAnalytica #Palantir #Ring #Facebook #Instagram #TripAdvisor #Uber #Yelp #algorithme #CCTV #domotique #biométrie #consentement #facial #reconnaissance #data #DataBrokers #datamining #enseignement #BigData #InternetOfThings (...)

    ##SocialCreditSystem ##SocialNetwork ##travailleurs ##_

  • Huge Facebook breach leaves thousands of other apps vulnerable
    https://www.theguardian.com/technology/2018/oct/02/facebook-hack-compromised-accounts-tokens

    The breach affecting 50m accounts took advantage of ‘tokens’, a system used by third-party platforms such as Spotify Remember the Facebook hack last week that compromised at least 50m accounts ? It’s worse than you think. Last Friday, the social media company revealed a vulnerability that allowed attackers to steal automated log-in credentials (or “tokens”). The tokens make it easier for people to log into popular apps and services like Spotify, Pinterest or Yelp. The flaw, which has been (...)

    #Facebook #Pinterest #Spotify #Yelp #domination #hacking

    https://i.guim.co.uk/img/media/b56023c0b616b481ad30aae7fe0717641c6319b3/0_185_5545_3327/master/5545.jpg

  • What I Learned From #internships at Goldman Sachs and #yelp
    https://hackernoon.com/what-i-learned-from-internships-at-goldman-sachs-and-yelp-b37b9ee53d43?s

    Yelp Headquarters at 140 New Montgomery Street: you made it here, now what?This piece is for all of you SWE interns. First off: congratulations! You probably worked very hard to get where you are. However, like getting into college, your offer letter is just the beginning. Now you need to execute a successful internship. Below, I have compiled some thoughts on how to succeed based on my previous internships at Goldman Sachs and Yelp.Here’s some low-hanging fruit for you. Don’t miss stand-ups or meetings, don’t ask questions that are easily looked up, and put in an honest effort in delivering on your estimates!Set expectations and follow through.You show up to your internship. Over time, you might unconsciously form bad habits. Maybe you start missing a few standups. Maybe you take a long (...)

    #san-francisco-internships #goldman-sachs #tech-internship

  • Avec Services, Facebook veut mettre Yelp et TripAdvisor à la retraite
    http://www.numerama.com/pop-culture/135245-avec-services-facebook-veut-mettre-yelp-a-la-retraite.html

    Facebook Services est disponible depuis peu : cette nouvelle fonctionnalité disponible sur le réseau social tentaculaire fait déjà de l’ombre aux services de recommandation bien installés. Cela s’est fait très discrètement : l’air de rien, Facebook a déployé un nouveau service qui entre parfaitement dans sa stratégie pour devenir le point d’accès central à… à peu près tout, oui. Devenir un web dans le web, en somme. Et après vos relations, vos communications, votre information, vos petites annonces ou vos (...) #Facebook #TripAdviser #Yelp #gafa

  • Facebook quietly tested a Yelp competitor and Yelp’s stock plunged 9%
    http://uk.businessinsider.com/facebook-tests-new-way-to-let-people-find-the-best-local-busines

    Facebook has quietly started testing a new recommendation service that lets users find the top-rated and reviewed local businesses in their area. The service looks similar to Yelp, which saw its stock plunge nearly 8% this morning. It finished the day down more than 9%. #Facebook #Yelp