• #netanyahu verso la #soluzione_finale
    https://radioblackout.org/2025/05/netanyahu-verso-la-soluzione-finale

    Il piano annunciato dal governo di Netanyahu, che pare attenda soltanto il passaggio di Donald Trump nel Golfo, per essere messo in atto ha i contorni ben precisi: spingere la popolazione palestinese verso l’unico valico esistente con l’obiettivo di gestire delle zone in cui controllare la popolazione, alla quale inviare sotto serrata gestione israeliana beni […]

    #L'informazione_di_Blackout #Gaza #witkoff #yemen
    https://cdn.radioblackout.org/wp-content/uploads/2025/05/Eliana-riva-soluione-final-2025_05_08_2025.05.08-09.00.00-escopos

  • Les forces armées yéménites ont confirmé une attaque contre le #porte-avions USS « Harry S. #Truman » hier à l’aide de missiles et de drones, le forçant à se replier vers l’extrême nord de la #mer_Rouge - Le Père Peinard
    https://www.leperepeinard.com/breves/les-forces-armees-yemenites-ont-confirme-une-attaque-contre-le-porte-

    Il est probable que cette même attaque ait causé la perte d’un #F/A-18 » #Super_Hornet » de l’#US_Navy, survenue après que le porte-avions eut effectué un virage serré pour » éviter les tirs « . Un tracteur de remorquage a également été perdu et un marin a été blessé.

    • pas de mention de manœuvre d’évitement dans ma source maritime – reprenant le communiqué officiel de NAVCENT

      F/A-18 Super Hornet Lost Overboard in Red Sea
      https://gcaptain.com/f-a-18-super-hornet-lost-overboard-in-red-sea

      The USS Harry S. Truman (CVN 75) Carrier Strike Group reported the loss of an F/A-18E Super Hornet and tow tractor during a routine operation in the Red Sea on April 28, 2025.

      According to naval officials in Manama, Bahrain, the incident occurred during a hangar bay operation when the move crew lost control of the aircraft. Quick action by sailors involved in the towing operation allowed them to clear the area before both the aircraft and tow tractor went overboard.

      One sailor sustained minor injuries in the incident. Naval authorities have launched an investigation into the cause of the accident.

      The Harry S. Truman Carrier Strike Group, which includes nine squadrons of Carrier Air Wing 1, three guided-missile destroyers from Destroyer Squadron 28, and the Ticonderoga-class cruiser USS Gettysburg (CG 64), remains fully mission capable despite the loss.

      The incident comes during an extended deployment for the carrier. Defense Secretary Pete Hegseth extended the Truman’s Middle East deployment in March 2025. The carrier has been operating continuously since departing Naval Station Norfolk in September 2024.

      This is not the first incident involving the Truman during its current deployment. In February, the carrier sustained damage to its starboard quarter following a collision with the Panama-flagged bulk carrier MV Besiktas-M near Port Said, Egypt. That incident resulted in damage to storage rooms, maintenance space, line handling space, and the fantail, though aircraft elevator three remained operational.

      The Truman is currently engaged in Operation Rough Rider, a U.S. Central Command campaign targeting Houthi forces in Yemen. The operation, which began on March 15, 2025, aims to restore freedom of navigation and American deterrence in the region. Working alongside the Carl Vinson Carrier Strike Group, the Truman has been part of operations that have struck over 800 targets.

      Naval officials have not released details about potential recovery operations for the lost aircraft and equipment, citing operational security concerns.

      The USS Harry S. Truman is commanded by Captain Christopher Hill, having assumed command after Captain Dave Snowden’s removal following the collision. 

      The F/A-18E Super Hornet is manufactured by Boeing and costs approximately $60 million per aircraft.

      pour l’incident devant Port-Saïd, cf. https://seenthis.net/messages/1098410

    • Harry S. Truman Carrier Strike Group F/A-18 Super Hornet Lost at Sea > United States Navy > display-pressreleases
      https%3A%2F%2Fwww.navy.mil%2FPress-Office%2FPress-Releases%2Fdisplay-pressreleases%2FArticle%2F4167948%2Fharry-s-truman-carrier-strike-group-fa-18-super-hornet-lost-at-sea%2F

      MANAMA, Bahrain – USS Harry S. Truman (CVN 75) lost an F/A-18E Super Hornet assigned to Strike Fighter Squadron (VFA) 136 and a tow tractor as the aircraft carrier operated in the Red Sea, April 28. All personnel are accounted for, with one Sailor sustaining a minor injury.

      The F/A-18E was actively under tow in the hangar bay when the move crew lost control of the aircraft. The aircraft and tow tractor were lost overboard.

      Sailors towing the aircraft took immediate action to move clear of the aircraft before it fell overboard. An investigation is underway.

      The Harry S. Truman Carrier Strike Group and embarked air wing remain fully mission capable.

      The strike group consists of flagship Harry S. Truman, the nine squadrons of Carrier Air Wing 1, three guided-missile destroyers of Destroyer Squadron 28, and the Ticonderoga-class cruiser USS Gettysburg (CG 64).

    • Houthis Get « Soft Kill » on U.S. Navy Jet - YouTube
      https://www.youtube.com/watch?v=siL417q1BgM

      An F/A-18E from VFA-136 being towed on the hangar bay fell over the side of the USS Harry S Truman as the ship was maneuvering to avoid getting hit by a Houthi weapon. One sailor was injured while jumping from the jet before it went into the water, but there was no loss of life.

      il s’agit bien d’une manœuvre d’évitement… (3:14 de la vidéo, dont le début ne contient que de la pub du sponsor)
      je la mets car il y a, à suivre, d’intéressants détails sur le fonctionnement du porte-avions notamment le déplacement des avions sur les ponts et, à 3:54, la vue du poste de travail du superviseur des mouvements de pont…

    • L’US Navy a perdu un autre F/A-18 Super Hornet cette semaine, après sa chute dans la mer Rouge lors d’une tentative d’atterrissage sur le porte-avions USS Harry S. Truman - Le Père Peinard
      https://www.leperepeinard.com/breves/lus-navy-a-perdu-un-autre-f-a-18-super-hornet-cette-semaine-apres-sa-

      07 mai 2025 8h44

      Les pertes d’avions américains lors des opérations » #Prosperity_Guardian » et » #Rough_Rider » contre le #Yémen s’élèvent à au moins 930 millions de dollars, dont 22 drones #MQ-9 » #Reaper » et trois jets F/A-18 » Super Hornet « .

  • #Bombardements au #Yémen : républicains et démocrates main dans la main
    https://lvsl.fr/bombardements-au-yemen-republicains-et-democrates-main-dans-la-main

    Bavure monumentale ou routine de la machine de guerre américaine ? En préparant une frappe au Yémen, de hauts responsables de l’administration #Trump ont accidentellement ajouté un journaliste à leur conversation Signal. Stupeur et tremblements. L’information la plus scandaleuse, à lire la presse ? Non pas la destruction d’un immeuble résidentiel pour tuer un seul combattant Houthi, […]

    #International #Les_États-Unis,une_puissance_menacée ? #Houthis #J._D._Vance #Mike_Walz #Tulsi_Gabbard

  • Le Yémen au bord du gouffre

    Notre réaction naturelle à toute attaque étatsunienne contre un pays du Sud mondial est de la condamner, et c’est tout à fait correct. Les attaques étatsuniennes contre le Yémen ne font pas exception, d’autant plus qu’elles s’accompagnent de l’arrêt de l’aide humanitaire à une grande partie de ce pays pauvre et affligé. Cela est tout à fait cohérent avec le cours impérialiste poursuivi par les États-Unis dans l’Orient arabe en particulier, qui s’est fortement intensifié depuis l’agonie de l’Union soviétique, suivie de son effondrement. Depuis lors, nous avons assisté à une première guerre contre l’Irak, suivie d’une guerre de basse intensité accompagnée de l’étranglement du pays par le biais d’un embargo criminel, affectant principalement la population civile, et enfin de l’occupation et de ses conséquences désastreuses dont l’Irak continue de pâtir. Cela s’ajoute aux opérations de bombardement qui ont suivi et qui ont transformé l’Irak, le Yémen et la Syrie en un champ de tir pour les forces armées étatsuniennes, qui bombardent qui elles veulent, quand elles veulent et comme elles veulent avec leurs avions, leurs missiles et leurs drones.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2025/03/25/oradour-coloniaux-une-accusation-frequente-apr

    #international #yemen

  • Yémen : L’attaque menée par les Houthis contre des civils pourrait constituer un crime de guerre

    Les forces houthies devraient mettre fin aux attaques contre les civils et aux détentions arbitraires

    (Beyrouth, 13 février 2025) – Les forces houthies ont attaqué plusieurs habitations civiles et d’autres infrastructures civiles au Yémen entre le 5 et le 12 janvier 2025, alors qu’elles recherchaient des hommes armés, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2018/10/31/yemen-briser-le-silence-et-faire-cesser-les-livraisons-darmes/#comment-64935

    #international #yemen

  • Yémen : le patron de l’OMS « sain et sauf » après le bombardement israélien de l’aéroport de Sanaa
    https://www.liberation.fr/international/moyen-orient/yemen-le-patron-de-loms-sain-et-sauf-apres-le-bombardement-de-laeroport-d

    Tedros Ghebreyesus, qui se trouvait à l’aéroport de Sanaa lors du bombardement israélien jeudi 26 décembre, a fait état sur le réseau social X de deux morts et de dégâts sur les infrastructures mais indiqué qu’il était lui-même en sécurité.

    Pourquoi se gêner…

  • L’Égypte se dote d’une toute première loi sur l’asile, très critiquée par les défenseurs des droits - InfoMigrants
    https://www.infomigrants.net/fr/post/61799/legypte-se-dote-dune-toute-premiere-loi-sur-lasile-tres-critiquee-par-

    L’Égypte se dote d’une toute première loi sur l’asile, très critiquée par les défenseurs des droits
    Par La rédaction Publié le : 18/12/2024
    L’Égypte a adopté mardi une loi sur l’asile, une première dans le pays – les dossiers des demandeurs d’asile étaient jusque-là traités par l’agence de l’ONU pour les réfugiés. Ce nouveau texte qui régit les conditions d’octroi et de renouvellement de la protection internationale inquiète les ONG qui craignent des « violations des droits des réfugiés et des demandeurs d’asile ».
    Le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi a ratifié mardi 17 décembre la loi n°164/24 portant sur l’asile. Le projet de loi, proposé par le gouvernement, avait été adopté mi-novembre par le Parlement afin de réglementer le statut de réfugié en Égypte.
    C’est la première fois que Le Caire se dote d’une loi sur l’asile. Depuis 1954, le traitement des demandes d’asile était assuré par le Haut-commissariat des Nations unies aux réfugiés (HCR). Désormais, la loi instaure un Comité permanent pour les affaires des réfugiés chargé de statuer sur les demandes d’asile. Cet organisme comprend des représentants des ministères des Affaires étrangères, de la Justice, de l’Intérieur et des Finances.
    Que contient la nouvelle loi ?
    La loi, qui n’a pas été officiellement rendue publique, stipule que les exilés arrivés de manière irrégulière en Égypte ont 45 jours pour déposer leur dossier d’asile après leur entrée sur le territoire national. Si ce délai n’est pas respecté, la demande peut être refusée et les migrants « risquent une peine d’emprisonnement d’au moins six mois ou des amendes, ainsi qu’un renvoi forcé », rapporte Amnesty international dans un communiqué.
    Toujours selon l’ONG, la loi ne prévoit pas d’assistance juridique pour les demandeurs d’asile, d’accès à un interprète ou le droit de faire appel lorsque le dossier est refusé.
    Par ailleurs, la nouvelle réglementation introduit plusieurs critères qui permettront de refuser un dossier d’asile ou de retirer le statut de réfugié. Ainsi, les personnes qui ne respectent pas « les valeurs et les traditions de l’Égypte » verront leur demande déboutée. Les exilés se voient aussi désormais interdit de mener des activités portant « atteinte à la sécurité nationale ou à l’ordre public » et des « actes hostiles » contre d’autres pays. Enfin, les réfugiés ne peuvent pas s’engager dans une activité politique ou partisane et travailler ou adhérer à un syndicat.
    Ceux qui ne respectent pas ces règles ou qui se voient refuser le statut de réfugié doivent quitter l’Égypte, quelle que soit la situation sécuritaire dans leur pays d’origine. La nouvelle légalisation criminalise aussi l’aide aux exilés. L’article 37 pénalise quiconque qui « emploie ou héberge un demandeur d’asile » sans en avertir la police, punissant les contrevenants d’une amende et d’au moins six mois de prison. À noter que cette loi « s’applique à toute personne ayant acquis le statut de réfugié avant son entrée en vigueur », signale le décret.
    Ce nouveau texte inquiète particulièrement les ONG. « Si le projet de loi sur l’asile est adopté tel quel, il augmenterait le risque de nouvelles violations des droits des réfugiés et des demandeurs d’asile », avait déclaré en novembre Lauren Seibert, chercheuse sur les droits des réfugiés et des migrants à Human Rights Watch (HRW).
    Les organisations estiment notamment que les critères mis en place pour refuser un dossier d’asile ou révoquer le statut de réfugié sont "à la fois vagues et généraux. Ils ne « respectent pas le principe de légalité et ouvrent la voie aux abus », écrit Amnesty international dans un communiqué publié le 3 décembre.
    Ces critères « sont trop larges et ne sont pas conformes à ceux des conventions des Nations Unies ou des conventions africaines sur les réfugiés. En conséquence, les personnes pourraient se voir refuser arbitrairement l’accès à la protection ou en être privées », dénonce de son côté HRW.Celle loi « contient des dispositions discriminatoires, qui restreignent le droit [des exilés] de circuler librement et ne respectent pas leurs droits à l’éducation, au logement et à la sécurité sociale », déplore encore Amnesty international.
    Le président égyptien a promulgué cette loi sur l’asile alors que le pays a vu arriver, depuis avril 2023, plus d’un million de personnes fuyant le conflit au Soudan, selon les chiffres du Caire.
    Au total, l’Égypte accueille sur son sol neuf millions de migrants, originaires du Soudan, de Syrie, du Yémen, d’Érythrée et de Gaza, toujours d’après le gouvernement. Mais jusqu’à fin novembre, seulement 845 000 personnes étaient enregistrées auprès du HCR et avaient donc droit à une aide, des soins de santé et l’accès à l’éducation. La grande majorité vit en Égypte sans statut officiel de réfugié et dépend de ses propres économies, de l’aide communautaire, de parents, de bénévoles ou de dons.
    En outre, les ONG rappellent que les violations des droits humains contre les demandeurs d’asile et les réfugiés en Égypte ont été largement documentées ces dernières années, « notamment des arrestations arbitraires et des mauvais traitements, un accès restreint à l’éducation, des exigences de visa bloquant l’accès à la sécurité et des expulsions illégales vers le Soudan et l’Érythrée », précise HRW.

    #Covid-19#migrant#migration#egype#asile#soudan#erythree#gaza#yemen#syrie#droit#sante#refugie#legislation

  • Au large de Djibouti, au moins quarante-cinq morts dans le naufrage de deux bateaux de migrants
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/10/02/au-large-de-djibouti-au-moins-quarante-cinq-morts-dans-le-naufrage-de-deux-b

    Au large de Djibouti, au moins quarante-cinq morts dans le naufrage de deux bateaux de migrants
    Le Monde avec AFP
    Au moins quarante-cinq personnes sont mortes dans le naufrage, au large de Djibouti, de deux bateaux transportant des migrants, a annoncé mardi l’agence de l’ONU pour les migrations. « Les bateaux ont quitté le Yémen avec trois cent-dix personnes à bord », a rapporté l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), ajoutant que de nombreux passagers étaient toujours portés disparus. Quelque trente-deux personnes ont été secourues, a ajouté l’OIM sur le réseau social X, précisant que l’organisation participait aux secours.
    Chaque année, des dizaines de milliers de migrants de la Corne de l’Afrique empruntent la « route de l’Est », qui traverse la mer Rouge, pour tenter d’atteindre les pays du Golfe riches en pétrole, fuyant les conflits, les catastrophes naturelles et les perspectives économiques médiocres dans leur pays. En août, un bateau convoyant des migrants avait coulé au large du Yémen, faisant treize morts.
    Les migrants qui parviennent à atteindre le Yémen sont souvent confrontés à d’autres menaces pour leur sécurité dans ce pays le plus pauvre de la péninsule Arabique, en proie à une guerre civile depuis près de dix ans. La plupart tentent de rejoindre l’Arabie saoudite et d’autres pays arabes du Golfe où ils pourront travailler comme ouvriers ou employés de maison.

    #Covid-19#migrant#migration#djibouti#yemen#corneafrique#routemigratoire#merrouge#traversee#mortalite#sante#migrationirreguliere

  • Yemeni Missile Hits Train Station & Mall in Tel Aviv, Injuring 6
    Sep 15, 2024 | - IMEMC News
    https://imemc.org/article/yemeni-missile-hits-train-station-mall-in-tel-aviv-injuring-6

    According to Israeli news sources, Israeli fighter jets dropped fliers in southern Lebanon ordering residents to flee north, following the Yemeni missile that hit a target in Tel Aviv on Saturday, injuring six Israeli workers.

    Yemeni sources told Al Mayadeen News that Yemen had earlier delivered a precise strike using the Yafa drone which reached its target, this same #Yemen will now use new weapons against a bank of strategic targets.

    Video Player : https://imemc.org/wp-content/uploads/2024/09/20240914.mp4?_=1


    .
    .

    Middle East Observer
    @ME_Observer_
    ⚡️⭕️ #YEMEN STRIKES CENTRAL ISRAEL :
    9:55 AM · 15 sept. 2024
    https://twitter.com/ME_Observer_/status/1835225834233192693

    Yemen fires a single ballistic missile, evades 22 Israeli air defense points.

    The #Yemeni missile caused fires in forested areas and material damage to a main train station near Modi’in - 6km from the Ben Gurion Airport

    2,365,000 settlers fled to shelters in central occupied Palestine, 9 of whom got injured while running to the shelters.

    #Israeli security expert Yossi Melman: The #Yemeni missile penetrated the entire multi-layered set of #Israeli air defense systems “Arrow”, “David’s Sling”, Iron Dome, aircraft and jamming systems.

    .
    .

    According to Al-Mayadeen, Yemen announced that they have devised new methods, some of which were used to target US vessels which failed to intercept Yemeni missiles.

    The source also noted that the Yemeni Army has studied Israel’s defense systems well, just as it had studied defense systems in US vessels in the Red Sea.

    #IsraelYemen

  • Au large du Yémen, le naufrage d’un navire transportant des migrants fait 13 morts et 14 disparus
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/08/25/au-large-du-yemen-le-naufrage-d-un-navire-transportant-des-migrants-fait-13-

    Au large du Yémen, le naufrage d’un navire transportant des migrants fait 13 morts et 14 disparus
    Le Monde avec AFP
    Il s’agit de la dernière catastrophe en date sur la périlleuse route migratoire en provenance d’Afrique. Un bateau à bord duquel se trouvaient des migrants a coulé au large du Yémen en début de semaine, faisant treize morts et quatorze disparus, a annoncé l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), une agence des Nations unies, dimanche 25 août.
    « Treize personnes ont tragiquement perdu la vie et quatorze autres sont portées disparues après le chavirement d’un bateau au large des côtes du gouvernorat de Taëz, au Yémen, mardi », a-t-elle fait savoir, précisant que le bateau, parti de Djibouti, transportait vingt-cinq migrants éthiopiens et deux ressortissants yéménites.
    Onze hommes et deux femmes sont morts, alors que les opérations de recherche se poursuivent pour retrouver les disparus, dont le capitaine yéménite et son assistant, a par ailleurs fait savoir l’OIM, notant que la cause du naufrage n’était toujours pas établie.
    « Cette nouvelle tragédie nous rappelle brutalement les dangers auxquels sont confrontés les migrants sur cette route », a déclaré Matt Huber, chef de mission par intérim de l’OIM au Yémen. Chaque année, des dizaines de milliers de migrants de la Corne de l’Afrique traversent la mer Rouge pour tenter d’atteindre les riches Etats pétroliers du Golfe, fuyant les conflits, les catastrophes naturelles ou les mauvaises perspectives économiques.L’OIM a enregistré plus de 97 200 arrivées de migrants au Yémen en 2023, dépassant ainsi les chiffres de l’année précédente. D’autres naufrages étaient survenus au large du Yémen en juin et en juillet. Les migrants qui parviennent à gagner le Yémen sont souvent confrontés à d’autres menaces pour leur sécurité dans ce pays le plus pauvre de la péninsule Arabique, en proie à une guerre civile depuis près de dix ans. La plupart tentent de rejoindre l’Arabie saoudite et d’autres pays arabes du Golfe où ils pourront travailler comme ouvriers ou employés de maison.

    #Covid-19#migrant#migration#yemen#merrouge#routemigratoire#arabiesaoudite#djibouti#ethiopie#migrationirreguliere#sante#mortalite

  • Possibile conflitto regionale in #medio_oriente
    https://radioblackout.org/2024/08/possibile-conflitto-regionale-in-medio-oriente

    Gli omicidi da parte di #Israele di Fuad Shukr, il massimo leader militare di Hezbollah, a Beirut, e del leader politico di #hamas Ismail Haniyeh, a Teheran, hanno sollevato nuovamente lo spettro di una guerra regionale che coinvolga avversari regionali – una guerra che potrebbe potenzialmente trascinare gli Stati Uniti nella mischia. Prendendo di mira […]

    #L'informazione_di_Blackout #Iran #libano #netanyahu #palestina #USA #yemen
    https://cdn.radioblackout.org/wp-content/uploads/2024/08/magnano.mp3

  • Au large du Yémen, au moins 49 migrants sont morts après le naufrage d’un bateau
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/06/11/au-large-du-yemen-au-moins-49-migrants-sont-morts-apres-le-naufrage-d-un-bat

    Au large du Yémen, au moins 49 migrants sont morts après le naufrage d’un bateau
    Le Monde avec AFP
    Une nouvelle catastrophe est survenue au large des côtes du Yémen, lundi 10 mai, après le naufrage d’un bateau transportant plus de 200 migrants. « Un bateau transportant 260 migrants a coulé hier. 39 morts, 150 disparus, 71 survivants », a déploré mardi l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), sur son compte X, qui n’a pas précisé la nationalité des victimes. Ce bilan a ensuite été réévalué à 49 victimes.
    Chaque année, des dizaines de milliers de migrants de la Corne de l’Afrique empruntent la « route de l’Est », qui traverse la mer Rouge, pour tenter d’atteindre les pays du Golfe riches en pétrole, fuyant les conflits, les catastrophes naturelles et les perspectives économiques médiocres dans leur pays. Selon l’OIM, au moins 1 350 migrants sont morts sur la « route de l’Est » depuis 2014 et sans compter cette année.
    Les migrants qui parviennent à atteindre le Yémen sont souvent confrontés à d’autres menaces pour leur sécurité, étant donné que le pays le plus pauvre de la péninsule arabique est en proie à une guerre civile depuis près de dix ans. La plupart de ces exilés tentent de rejoindre l’Arabie saoudite et d’autres pays du Golfe où ils peuvent trouver des emplois d’ouvrier ou d’employé de maison.
    En août, l’ONG Human Rights Watch (HRW) a accusé les gardes-frontières saoudiens d’avoir tué « des centaines » d’Ethiopiens qui tentaient de pénétrer dans le royaume du Golfe depuis le Yémen de mars 2022 à juin 2023. Ryad s’était défendu, en qualifiant d’« infondées » ces accusations. En avril, deux bateaux ont fait naufrage au large des côtes de Djibouti à deux semaines d’intervalle, faisant des dizaines de morts.

    #Covid-19#migrant#migration#djibouti#yemen#ethiopie#arabiesaoudite#routemigratoire#OIM#corneafrique#mortalite#sante

  • Proche-Orient : Washington et Londres procèdent à des frappes aériennes au Yémen
    31 mai 2024 | Tribune de Genève
    https://www.tdg.ch/frappes-aeriennes-dans-differents-secteurs-du-yemen-740527914938

    Les forces américaines et britanniques ont mené dans la nuit de jeudi à vendredi des frappes aériennes dans différents secteurs du Yémen afin de « miner » les capacités militaires des rebelles Houthis impliqués dans des attaques contre le trafic maritime en mer Rouge en soutien à Gaza.

    Des frappes aériennes ont visé dans la nuit de jeudi à vendredi différents secteurs du Yémen, y compris la capitale Sanaa et la ville portuaire de Hodeida, selon des témoins et des médias locaux. Des journalistes de l’AFP ont entendu de fortes explosions dans ces deux villes. Selon la chaîne al-Masira, contrôlée par les rebelles Houthis, des frappes ont aussi visé des infrastructures de télécommunications dans la ville de Taëz.

    Al-Masira a fait état de « plusieurs » morts et blessés dans ces frappes, des informations qu’il n’a pas été possible de vérifier de manière indépendante à ce stade. La chaîne des Houthis a rapidement attribué l’ensemble de ces frappes aériennes aux forces américaines et britanniques déployées dans la région.

    #Yemen

  • Au large de Djibouti, au moins vingt et un migrants morts et vingt-trois disparus lors d’un naufrage selon l’ONU
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/04/23/au-large-de-djibouti-au-moins-16-migrants-morts-et-28-disparus-lors-d-un-nau

    Au large de Djibouti, au moins vingt et un migrants morts et vingt-trois disparus lors d’un naufrage selon l’ONU
    Le Monde avec AFP
    Au moins vingt et un migrants, dont des enfants, sont morts, et vingt-trois autres sont portés disparus après le naufrage de leur embarcation au large de Djibouti, dans la Corne de l’Afrique (à l’est du continent), a annoncé, mardi 23 avril, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), lors d’un bilan actualisé en soirée.Le bateau était en route vers la côte djiboutienne après avoir quitté le Yémen, lundi vers 19 h 30, a fait savoir la cheffe de mission de l’OIM à Djibouti, Tanja Pacifico. « Les opérations de recherche et de sauvetage par les autorités locales et l’OIM sont en cours », a affirmé l’organisation onusienne sur X. Sur les 77 migrants à bord de l’embarcation, vingt et un corps ont été retrouvés, dont ceux d’enfants, selon Mme Pacifico.
    L’ambassadeur éthiopien à Djibouti, qui a confirmé que trente-trois personnes, dont une femme, avaient survécu, a exprimé sa « peine profonde (…) devant la succession d’horribles désastres », et réclamé l’adoption de « mesures légales » contre « les trafiquants d’êtres humains qui mettent les vies de nos citoyens en danger ».
    Il s’agit du deuxième naufrage rapporté par l’OIM au large de Djibouti en quelques semaines, après un autre le 8 avril, dans lequel au moins trente-huit personnes, dont des enfants, ont péri. La « route de l’est », empruntée par les migrants venant de la Corne de l’Afrique pour rejoindre l’Arabie saoudite via le Yémen en guerre, est considérée par l’agence comme « l’une des routes migratoires les plus dangereuses et les plus complexes d’Afrique et du monde ».
    Le 8 avril, l’OIM a estimé qu’au moins 698 personnes, y compris des femmes et des enfants, ont péri le long de la « route de l’est » en 2023, mais « ce chiffre pourrait être plus élevé car certaines tragédies passent souvent inaperçues ». En novembre 2023, soixante-quatre migrants avaient disparu, présumés morts en mer, lors d’un naufrage au large des côtes du Yémen, rappelle l’OIM.
    Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Transférer les demandeurs d’asile au Rwanda : l’obstination du gouvernement de Rishi Sunak
    Outre les naufrages, les migrants sont confrontés le long du chemin à « la famine, aux risques sanitaires, aux trafiquants et autres criminels », et manquent « de soins médicaux, de nourriture, d’eaux, d’un abri », souligne l’organisation.
    Selon l’OIM, les Ethiopiens représentent 79 % des quelque 100 000 migrants arrivés en 2023 au Yémen depuis les côtes de Djibouti ou de Somalie, le reste étant des Somaliens. La plupart d’entre eux évoquent des motifs économiques à leur départ, mais une partie met aussi en avant les violences ou les catastrophes climatiques en Ethiopie. Deuxième pays le plus peuplé d’Afrique, l’Ethiopie est déchirée par de nombreux conflits et plusieurs régions ont souffert ces dernières années d’une importante sécheresse. L’inflation est galopante et plus de 15 % des 120 millions d’habitants dépendent de l’aide alimentaire.

    #Covid-19#migrant#migration#ethiopie#yemen#djibouti#routemigratoire#traversee#mortalite#naufrage#sante#migrationireeguliere

  • Au large de Djibouti, au moins vingt et un migrants morts et vingt-trois disparus lors d’un naufrage selon l’ONU
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/04/23/au-large-de-djibouti-au-moins-16-migrants-morts-et-28-disparus-lors-d-un-nau

    Au large de Djibouti, au moins vingt et un migrants morts et vingt-trois disparus lors d’un naufrage selon l’ONU
    Le Monde avec AFP
    Publié hier à 16h06, modifié à 03h46
    Au moins vingt et un migrants, dont des enfants, sont morts, et vingt-trois autres sont portés disparus après le naufrage de leur embarcation au large de Djibouti, dans la Corne de l’Afrique (à l’est du continent), a annoncé, mardi 23 avril, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), lors d’un bilan actualisé en soirée.
    Le bateau était en route vers la côte djiboutienne après avoir quitté le Yémen, lundi vers 19 h 30, a fait savoir la cheffe de mission de l’OIM à Djibouti, Tanja Pacifico. « Les opérations de recherche et de sauvetage par les autorités locales et l’OIM sont en cours », a affirmé l’organisation onusienne sur X. Sur les 77 migrants à bord de l’embarcation, vingt et un corps ont été retrouvés, dont ceux d’enfants, selon Mme Pacifico. L’ambassadeur éthiopien à Djibouti, qui a confirmé que trente-trois personnes, dont une femme, avaient survécu, a exprimé sa « peine profonde (…) devant la succession d’horribles désastres », et réclamé l’adoption de « mesures légales » contre « les trafiquants d’êtres humains qui mettent les vies de nos citoyens en danger ».
    Il s’agit du deuxième naufrage rapporté par l’OIM au large de Djibouti en quelques semaines, après un autre le 8 avril, dans lequel au moins trente-huit personnes, dont des enfants, ont péri. La « route de l’est », empruntée par les migrants venant de la Corne de l’Afrique pour rejoindre l’Arabie saoudite via le Yémen en guerre, est considérée par l’agence comme « l’une des routes migratoires les plus dangereuses et les plus complexes d’Afrique et du monde ».
    Le 8 avril, l’OIM a estimé qu’au moins 698 personnes, y compris des femmes et des enfants, ont péri le long de la « route de l’est » en 2023, mais « ce chiffre pourrait être plus élevé car certaines tragédies passent souvent inaperçues ». En novembre 2023, soixante-quatre migrants avaient disparu, présumés morts en mer, lors d’un naufrage au large des côtes du Yémen, rappelle l’OIM.
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    Outre les naufrages, les migrants sont confrontés le long du chemin à « la famine, aux risques sanitaires, aux trafiquants et autres criminels », et manquent « de soins médicaux, de nourriture, d’eaux, d’un abri », souligne l’organisation.Selon l’OIM, les Ethiopiens représentent 79 % des quelque 100 000 migrants arrivés en 2023 au Yémen depuis les côtes de Djibouti ou de Somalie, le reste étant des Somaliens. La plupart d’entre eux évoquent des motifs économiques à leur départ, mais une partie met aussi en avant les violences ou les catastrophes climatiques en Ethiopie.
    Deuxième pays le plus peuplé d’Afrique, l’Ethiopie est déchirée par de nombreux conflits et plusieurs régions ont souffert ces dernières années d’une importante sécheresse. L’inflation est galopante et plus de 15 % des 120 millions d’habitants dépendent de l’aide alimentaire.

    #Covid-19#migrant#migration#ethiopie#djibouti#yemen#routemigratoire#traversee#naufrage#mortalite#sante#migrationirreguliere

  • Au large de Djibouti, au moins vingt et un migrants morts et vingt-trois disparus lors d’un naufrage selon l’ONU
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/04/23/au-large-de-djibouti-au-moins-16-migrants-morts-et-28-disparus-lors-d-un-nau

    Au large de Djibouti, au moins vingt et un migrants morts et vingt-trois disparus lors d’un naufrage selon l’ONU
    Le Monde avec AFP
    Publié hier à 16h06, modifié à 03h46
    Au moins vingt et un migrants, dont des enfants, sont morts, et vingt-trois autres sont portés disparus après le naufrage de leur embarcation au large de Djibouti, dans la Corne de l’Afrique (à l’est du continent), a annoncé, mardi 23 avril, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), lors d’un bilan actualisé en soirée.
    Le bateau était en route vers la côte djiboutienne après avoir quitté le Yémen, lundi vers 19 h 30, a fait savoir la cheffe de mission de l’OIM à Djibouti, Tanja Pacifico. « Les opérations de recherche et de sauvetage par les autorités locales et l’OIM sont en cours », a affirmé l’organisation onusienne sur X. Sur les 77 migrants à bord de l’embarcation, vingt et un corps ont été retrouvés, dont ceux d’enfants, selon Mme Pacifico. L’ambassadeur éthiopien à Djibouti, qui a confirmé que trente-trois personnes, dont une femme, avaient survécu, a exprimé sa « peine profonde (…) devant la succession d’horribles désastres », et réclamé l’adoption de « mesures légales » contre « les trafiquants d’êtres humains qui mettent les vies de nos citoyens en danger ».
    Il s’agit du deuxième naufrage rapporté par l’OIM au large de Djibouti en quelques semaines, après un autre le 8 avril, dans lequel au moins trente-huit personnes, dont des enfants, ont péri. La « route de l’est », empruntée par les migrants venant de la Corne de l’Afrique pour rejoindre l’Arabie saoudite via le Yémen en guerre, est considérée par l’agence comme « l’une des routes migratoires les plus dangereuses et les plus complexes d’Afrique et du monde ».
    Le 8 avril, l’OIM a estimé qu’au moins 698 personnes, y compris des femmes et des enfants, ont péri le long de la « route de l’est » en 2023, mais « ce chiffre pourrait être plus élevé car certaines tragédies passent souvent inaperçues ». En novembre 2023, soixante-quatre migrants avaient disparu, présumés morts en mer, lors d’un naufrage au large des côtes du Yémen, rappelle l’OIM.
    Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Transférer les demandeurs d’asile au Rwanda : l’obstination du gouvernement de Rishi Sunak
    Outre les naufrages, les migrants sont confrontés le long du chemin à « la famine, aux risques sanitaires, aux trafiquants et autres criminels », et manquent « de soins médicaux, de nourriture, d’eaux, d’un abri », souligne l’organisation.Selon l’OIM, les Ethiopiens représentent 79 % des quelque 100 000 migrants arrivés en 2023 au Yémen depuis les côtes de Djibouti ou de Somalie, le reste étant des Somaliens. La plupart d’entre eux évoquent des motifs économiques à leur départ, mais une partie met aussi en avant les violences ou les catastrophes climatiques en Ethiopie.
    Deuxième pays le plus peuplé d’Afrique, l’Ethiopie est déchirée par de nombreux conflits et plusieurs régions ont souffert ces dernières années d’une importante sécheresse. L’inflation est galopante et plus de 15 % des 120 millions d’habitants dépendent de l’aide alimentaire.

    #Covid-19#migrant#migration#ethiopie#djibouti#yemen#routemigratoire#traversee#naufrage#mortalite#sante#migrationirreguliere

  • L’Egypte, une voie sans issue pour les exilés soudanais
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/04/15/l-egypte-une-voie-sans-issue-pour-les-exiles-soudanais_6228011_3212.html

    L’Egypte, une voie sans issue pour les exilés soudanais
    Par Eliott Brachet (Le Caire, correspondance)
    Des milliers d’étrangers s’engouffrent dans l’imposant bâtiment du département général des passeports, de l’immigration et de la nationalité du quartier d’El-Abbassiya, au Caire. Chaque jour, dès 8 heures du matin, les entrailles de l’immigration égyptienne, véritable labyrinthe administratif sous la tutelle du ministère de l’intérieur, s’ouvrent : à l’entrée, de longues rangées de chaises sont alignées sous un préau, dans la section réservée aux Soudanais.
    Devant les Syriens, les Yéménites et les Libyens, ils forment désormais la plus grande communauté d’exilés en Egypte. Depuis le déclenchement de la guerre au Soudan, le 15 avril 2023, selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), plus de 460 000 personnes ont trouvé refuge dans le pays voisin où étaient déjà installés de longue date 4 millions de leurs compatriotes.
    Dans le centre d’El-Abbassiya, officiers de police et agents de renseignement les orientent sans ménagement vers les guichets. « Depuis des semaines, je reviens tous les deux jours pour obtenir mon permis de résidence. Chaque fois ça bloque, il faut sans cesse fournir des papiers supplémentaires. C’est une humiliation », s’indigne Hamza (tous les prénoms ont été changés pour des raisons de sécurité), un banquier de 40 ans, qui a quitté Khartoum, la capitale du Soudan, en août, après avoir été passé à tabac pendant cinq jours dans une geôle tenue par des miliciens des Forces de soutien rapide (FSR).
    Dans le dédale de l’administration égyptienne, les délais d’obtention d’une autorisation de séjour sont extrêmement longs et, la plupart du temps, les précieux sésames sont délivrés pour de courtes périodes. « Ils sont valides six mois. Mais les gens les reçoivent souvent au bout de quatre mois, ce qui ne leur laisse plus que deux mois pour être là de façon légale avant de déposer une nouvelle demande. C’est un parcours du combattant », déplore Sheima Taj El-Sir, une avocate soudanaise.
    Dans le sillage de la guerre au Soudan mitoyen, avec ses 1 300 kilomètres de frontière commune, l’Egypte a durci les conditions d’entrée sur son territoire. En juin 2023, les autorités ont mis fin à l’exemption de visa dont bénéficiaient auparavant les femmes, les enfants de moins de 16 ans et les hommes de plus de 50 ans, suspendant de facto les accords bilatéraux, The Four Freedoms Agreement, signés en 2004 et censés faciliter la circulation des personnes.Puis, au mois d’août, Le Caire a instauré des règles plus sévères pour l’obtention d’un permis de résidence, exigeant un dépôt en dollars à la banque et imposant aux migrants arrivés illégalement une taxe de 1 000 dollars (940 euros) pour se régulariser. « Des mesures qui ne font qu’accroître l’illégalité », poursuit Sheima Taj El-Sir.
    De plus en plus de Soudanais optent pour les routes clandestines pour entrer en Egypte. (...) Moyennant 300 dollars par personne, ils ont franchi illégalement la frontière entre le Soudan et son voisin du Nord. Un trajet périlleux de deux jours à travers le désert de Nubie, avec pour seuls vivres une bouteille d’eau et quelques dattes. Le périple ne s’est pas arrêté là. Ceux qui pénètrent illégalement sur le sol égyptien doivent parcourir près de 1 000 kilomètres depuis la frontière pour s’enregistrer dans les deux seuls bureaux dont dispose le HCR en Egypte, le premier dans la banlieue du Caire, et le second à Alexandrie.
    Sans carte de demandeur d’asile délivrée par l’agence onusienne, les exilés se trouvent sous la menace permanente d’une arrestation. « Sur la route entre Assouan et Le Caire, il y a de nombreux contrôles, la police fouille les véhicules », poursuit Ahmed.Les coups de filet se sont multipliés depuis le mois de décembre, notamment après l’afflux de Soudanais fuyant la prise de la ville de Wad Madani (centre est du pays) par les FSR. Selon l’ONG Refugees Platform in Egypt, de nombreux migrants soudanais arrêtés par les gardes-frontières sont emprisonnés arbitrairement dans des centres de détention informels. Coupés du monde extérieur, ils se voient refuser toute assistance juridique et sont empêchés de déposer une demande d’asile via le HCR.
    Si ces abus sont difficiles à quantifier, le nombre de détentions arbitraires et d’expulsions forcées atteindrait plusieurs milliers depuis le mois de janvier, selon les informations du Monde. Pour sortir de détention, certains sont forcés de signer des déclarations de « retour volontaire » et doivent payer eux-mêmes les frais de rapatriement. « Ces arrestations, détentions et expulsions sont illégales au regard du droit international et constituent une violation de la convention de Genève et des traités internationaux dont le pays hôte est signataire. Il existe une clause de non-refoulement vers un pays en guerre », détaille Amira Ahmed, professeure à l’université américaine du Caire.
    Selon cette chercheuse sur les questions migratoires, l’accord signé en mars avec la Commission européenne, qui a versé aux autorités égyptiennes plus de 7 milliards d’euros en échange d’une plus grande surveillance des frontières, risque de donner lieu à une politique migratoire encore plus répressive, aggravant le sort des migrants et des réfugiés en Egypte.Aux barrières juridiques et administratives s’ajoute une rhétorique xénophobe de plus en plus virulente. Sur les plateaux télé et les réseaux sociaux, les campagnes de dénigrement se multiplient envers les Soudanais, devenus les boucs émissaires de la grave crise économique que traverse leur pays d’accueil. A travers la capitale égyptienne, les contrôles au faciès et les descentes de police sont de plus en plus fréquents.
    Dans immense ville du Six-Octobre sortie du désert à l’ouest du Caire, trente-trois familles soudanaises ont été expulsées manu militari de leur appartement, fin mars, au prétexte qu’elles ne pouvaient pas présenter de contrat de location en bonne et due forme. « Ils étaient déjà venus deux mois plus tôt. En pleine nuit, ils avaient défoncé la porte à coups de pied. On paie pourtant bien le loyer ! C’est de l’intimidation », s’indigne Nour, qui étudiait le droit à Khartoum avant que sa maison soit bombardée par un drone.
    Depuis, des familles entières sont contraintes de vivre dans la rue. Des femmes allaitent leurs enfants assises sur un canapé à même le trottoir. Des sacs de vêtements sont entassés ici et là sur un bout de tapis. « Il y a une seule latrine pour plus de soixante-dix personnes. Nous n’avons même pas une tente pour nous abriter. Nous sommes fauchés », poursuit la jeune femme de 27 ans, déplorant que les enfants ne puissent pas aller à l’école à cause du coût exorbitant de l’éducation pour les non-Egyptiens. « Ils font tout pour nous rendre la vie insupportable ici, tout pour qu’on rebrousse chemin », déplore Mohammed, un avocat soudanais de 28 ans, qui vit désormais sur le trottoir. Arrivé clandestinement le 9 janvier, il a tenté de s’enregistrer au HCR. « On a attendu deux jours sans résultat. Puis, au téléphone, ils nous ont donné un rendez-vous dans huit mois », se désole-t-il. En attendant, il vit dans cette impasse, courant le risque d’être arrêté, voire déporté à tout moment. « Nous n’avons pas d’avenir ici. Nous voulons tous rentrer chez nous. Mais au-delà des combats au Soudan, ce qui nous attend de l’autre côté de la frontière c’est la faim », conclut-il.

    #Covid-19#migrant#migration#egypte#soudan#libye#syrie#refugie#hcr#yemen#exil#frontiere#politiquemigratoire#sante

    • You’re welcome, @kassem. J’avais vu la publication. Que tu la signale m’a donné l’occasion de trouver et lire l’article. Ce qui n’a pas été sans désagrément.

      à l’est de Detroit, une autre enclave de la communauté arabe et une tout autre ambiance : Hamtramck, vingt-deux mille habitants et 40 % de la population née à l’étranger. Les courants migratoires viennent désormais essentiellement du #Yémen, où se déroule depuis des années une guerre civile dans laquelle les Etats-Unis ont longtemps apporté leur soutien à la coalition sunnite menée par l’Arabie saoudite. Et, comme à chaque fois, une guerre lointaine dépose un flot de #réfugiés pauvres sur les porches des petites maisons ouvrières américaines construites pour d’autres migrants, au début du XXe siècle.

      Le visage et le corps des femmes disparaissent sous le voile et la robe islamique, celui des hommes reste fermé, tandis que leurs enfants affichent un sourire inversement ­proportionnel à la discrétion de leurs parents. Ils ont défilé en famille dans les rues de Hamtramck pour un cessez-le-feu à #Gaza et pour la #Palestine. La petite ville, naguère majoritairement polonaise, a longtemps connu au sein de son conseil municipal la mixité des origines et des religions, sous la houlette d’une femme, Karen Majewski. La maire avait autorisé, il y a vingt ans déjà, les appels à la prière musulmane, puisque sonnent ici les cloches de l’église catholique.

      Mais, depuis les dernières élections locales, le conseil municipal est désormais exclusivement arabe, musulman et masculin. Et l’ambiance a radicalement changé. « Est-ce que l’Holocauste n’était pas une punition préventive de Dieu contre “le peuple élu” et sa sauvagerie actuelle contre les enfants et les civils palestiniens ? », a écrit Nasr Hussain, un proche du maire sur l’une des pages Facebook d’un groupe dédié à la ville. L’édile, Amer Ghalib, d’origine yéménite et sans étiquette politique, a refusé de se désolidariser de ces propos ouvertement antisémites.

      Une immense brèche s’était déjà ouverte, il y a six mois, quand le conseil municipal avait fait retirer du fronton des édifices publics et sur l’avenue centrale tous les drapeaux autres que celui des Etats-Unis. C’était en réalité pour éradiquer l’arc-en-ciel LGBTQ qui flottait dans la ville, parmi les bannières des pays d’origine de ses habitants. Des membres des minorités sexuelles sont venus s’embrasser sous les yeux horrifiés des élus, lors du temps de parole accordé au public par le conseil municipal.

      Des haines à géométrie variable

      Des plaintes pour discrimination ont été déposées contre la ville. Ce qui n’a pas empêché le maire, comme un immense bras d’honneur, de poser, en août et en septembre, avec l’ancien conseiller à la sécurité de Donald Trump Michael Flynn. Ce républicain congédié par l’ancien président (qui l’a depuis publiquement regretté) pour ses liens avec la Russie en 2017, connu également pour sa proximité avec le groupe conspirationniste d’extrême droite QAnon, est aujourd’hui en tournée aux Etats-Unis pour lancer un mouvement chrétien et nationaliste. En d’autres temps, il dénonçait l’islam comme un « cancer vicieux », mais la politique a des frontières et des haines à géométrie variable. Et les religieux, des ennemis en commun.

      Mais c’est sur l’autre versant que pleuvent les accusations d’antisémitisme. (...)

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Arabes_américains

  • Larry Johnson
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Larry_C._Johnson

    The U.S. Navy is Unprepared for a Prolonged war With #Yemen
    https://sonar21.com/the-u-s-navy-is-unprepared-for-a-prolonged-war-with-yemen

    Each U.S. destroyer carries an estimated 90 missiles (perhaps a few more). Their primary mission is to protect the U.S. aircraft carrier they are shielding. What happens when Yemen fires 100 drones/rockets/missiles at a U.S. carrier? The U.S. destroyer, or multiple destroyers will fire their missiles to defeat the threat. Great. Mission accomplished! Only one little problem, as described in the preceding quote — the U.S. Navy got rid of the ship tenders, i.e. those vessels capable of resupplying destroyers with new missiles to replace the expended rounds. In order to reload, that destroyer must sail to the nearest friendly port where the U.S. has stockpiled missiles for resupply.

    Got the picture? If the destroyer must sail away then the U.S. carrier must follow. It cannot just sit out in the ocean without its defensive screen of ships. The staying power of a U.S. fleet in a combat zone, like Yemen, is a function of how many missiles the Yemenis fire at the U.S. ships.

    But the problems do not stop there. Each of the Aegis missiles, as I noted in my previous post, cost at least $500,000 dollars. A retired U.S. DOD official told me today that the actual cost is $2 million dollars. If Yemen opts to use drone swarms to saturate the battle space around a carrier, then the United States will firing very expensive missiles to destroy relatively inexpensive drones. This brings up another critical vulnerability — the U.S. only has a limited supply of these air defense missiles and does not have the industrial capability in place and operating to produce new ones rapidly to make up the deficit.

    Getting the picture now? The U.S. Navy may find itself having to sail away without finishing the job of eliminating the drone/missile threat from Yemen. How do you think that will play in the rest of the world? The mighty Super Power having to retreat to rearm because it could not sustain intense combat operations. This is not classified information. It is published all over the internet. If I can figure this out then I am certain that U.S. adversaries, not just Yemen, realize they have a way to give the U.S. a very bloody nose in terms of damaged prestige.

    What happens if Yemen is able to sink one or two U.S. Navy ships? Then the shit really hits the fan. The United States does not have a magical supply of missiles squirreled away to deal with this contingency. The U.S. ships would have to sail away to rearm after picking up the survivors from a sundered ship.

    Then there is the problem of finding the mobile missile platforms in Yemen. Remember the problems the United States had in Iraq in 1991 trying to find and destroy SCUD missile launch systems? While ISR systems are better today, there is still no guarantee of being able to locate and destroy in a timely manner. The Yemenis have more than 8 years experience dealing with U.S. ISR and U.S. drone attacks. On November 9th the Yemenis shot down a MQ-9 Reaper drone. That baby costs a little more than $30 million dollars.

    Via Helena Cobban sur X :
    https://twitter.com/helenacobban/status/1737511338178420752

    Meantime, US veteran Larry Johnson has written: “On paper it would appear that Yemen is outnumbered and seriously outgunned. A sure loser? Not so fast. The U.S. Navy, which constitutes the majority of the fleet sailing against Yemen, has some real vulnerabilities that will limit its actions...”

  • غزة.. شكرهم الموساد.. من هي الدول “العربيّة” التي اعترضت صواريخ الحوثيين على إسرائيل؟ وقبّة الكيان تعترض صاروخاً لحماية الأقصى !.. موكب “الفلافل” الرئاسي.. قبرص التركيّة تخشى الهجرة اليهوديّة ولواء أردني مُستغرب من هزيمة جيوش عرب 67 لماذا؟ | رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/%d8%ba%d8%b2%d8%a9-%d8%b4%d9%83%d8%b1%d9%87%d9%85-%d8%a7%d9%84%d9%85%d9%8

    Le Mossad (!) publie la liste des pays qui ont contribué à stopper les attaques des Yéménites...

    صفحة “الموساد” الرسميّة على منصّة إكس تنشر قائمة الدول التي اعترضت طائرات مُسيّرة وصواريخ أطلقتها حركة أنصار الله اليمنيّة الحوثيين على إسرائيل، وجاء بينها 3 دول عربيّة، وجاءت كالتالي: أمريكا، فرنسا، السعوديّة، مصر، بريطانيا، الأردن، وشكرت صفحة الموساد تلك الدول.

    Pas ceux de la future (?) coalition, donc, ceux qui ont déjà désingué du drone ou du missile, dans l’ordre (israélien) : USA,France (yeah !), A. saoudite, Egypte, GB, Jordanie.

    (On n’est pas obligé de les croire sur parole...)