• Erdogan n’a pas aimé la visite de Brett Mc Gurk à Kobané. Ni non plus la jolie photo souvenir qui a émergé sur twitter : http://seenthis.net/messages/456795#message456837
    Certes Brett avait fait des efforts pour ne pas mentionner sur les réseaux sociaux le nom ni un insigne du YPG, lorsqu’il a évoqué son voyage à Kobané à la veille des pourparlers de Genève dont le YPG était exclu. Seulement une rencontre avec les SDF, ce qui est très différent comme chacun sait : http://seenthis.net/messages/456490
    Erdogan calls on US to choose between Turkey or Syrian Kurds
    http://news.yahoo.com/erdogan-calls-us-choose-between-turkey-syrian-kurds-145705967.html?soc_s

    Istanbul (AFP) - Turkish President Recep Tayyip Erdogan expressed anger over a US official’s visit to a Kurdish militia group controlling the Syrian town of Kobane, urging Washington to choose between Turkey and the “terrorists” there.
    A delegation including senior US diplomat Brett McGurk, special envoy to an international coalition fighting IS in Syria and Iraq, last week met members of the Kurdish People’s Protection Units (YPG), a powerful militia that is in control of Kobane.
    The meetings come after the YPG’s political wing, the Democratic Union Party (PYD), was excluded from new peace talks in Geneva being organised by the UN. Ankara had threatened to boycott the talks if PYD was invited.
    “He visits Kobane at the time of the Geneva talks and is awarded a plaque by a so-called YPG general?” Erdogan told reporters on his plane returning from a trip to Latin America and to Senegal.

    #YPG #SDF #Erdogan

  • Origins of the Syrian Democratic Forces: A Primer | Syria Deeply, Covering the Crisis
    http://www.syriadeeply.org/articles/2016/01/9346/origins-syrian-democratic-forces-primer

    The Syrian Democratic Forces, or SDF, is a coalition of Kurdish, Sunni Arab and Syriac Christian fighters, but is completely dominated by its Kurdish element, which is a powerful and well organized militia known as the Popular Defense Units, YPG, with an all-female branch called the Women’s Defense Units, or YPJ. These organizations, in turn, are Syrian front groups for the Kurdistan Workers’ Party or PKK. The other militias involved in the Syrian Democratic Forces are either long-standing PKK allies or proxies, such as the armed wing of the Syriac Union Party, or more recent allies drawn from the Sunni Arab tribal landscape in this part of Syria and from the remains of small Sunni Arab rebel groups crushed by the so-called Islamic State.

    The coalition as a whole receives American air support for operations against Islamic State, as did the YPG/J before it. That started in the Battle of Kobane that began in autumn 2014, which was enormously successful—really the first major battlefield defeat inflicted on Islamic State. It has provided the template for US-PKK cooperation. In addition, the Pentagon has picked out a number of these little Arab groups that work under the SDF umbrella as favored recipients of arms and support. It terms them, collectively, the Syrian Arab Coalition, though no one else seems to use that name.

    • The coalition is equally useful for the YPG/J and the PKK more generally, not only because they get arms and other kinds of support. It also helps rehabilitate them politically and provides a great platform to engage in public diplomacy. Since the creation of the Syrian Democratic Forces, they’ve set up a political branch called the Democratic Syrian Assembly, DSA. This is made up of two main components. [...]

      The other main element of the SDF is a loose network of Syrian leftists and other secular activists, most of them connected in one way or another to Haytham Manna, a Europe-based human rights activist from the Deraa Governorate in southern Syria. These groups—particularly Manna himself—are well versed in regional Syria diplomacy, with useful links to all sides, including the opposition, European states, U.N. diplomats, parts of the Arab League, Egypt, Russia and so on. On the other hand, they are not popular in the broader Sunni Arab and more Islamist-dominated Turkey- and Gulf-backed opposition that forms the mainstay of the rebellion against Bashar al-Assad.[...]

      Manna has now been elected one of two co-presidents of the DSA, operating in exile. llham Ahmed from TEV-DEM holds the other seat, although the longstanding PYD leader Saleh Muslim Mohammed is far more visible as a representative of this segment of Syrian Kurdish politics. The fact that Ahmed and Muslim are more or less interchangeable in diplomatic talks, despite belonging to two different organizations, is of course because both actually represent the “hidden” PKK structure that underpins the whole political order in northern Syria’s Kurdish areas. Though the interests of Manna’s people and the Kurdish bloc might not correspond perfectly, they are closely allied and have been so even before the creation of the SDF and the DSA. They have fundamentally shared interests in a secular and multisectarian Syria, with minimal Turkish and Gulf state influence, but with some role for Russia to balance out American or Saudi hegemony.

      #SDF #Syrian_Democratic_Forces #Syrie #YPG #PYD #al-Manna

  • Syrie. FDS/YPG ont libéré près de 60 villages en 4 jours, dans l’opération du barrage de Tishrin, sud de Kobané
    http://endehors.net/news/syrie-fds-ypg-ont-libere-pres-de-60-villages-en-4-jours-dans-l-operation-d

    #Rojava #Syrie FDS/#YPG ont libéré près de 60 villages en 4 jours,dns l’opération d barrage de Tishrin,sud d Kobané pic.twitter.com/CYXy0dEJro InfoRojava-Kurdistan (@info_Rojava) 26 Décembre 2015 — Actualité

  • Les FDS ont libéré 5 villages et 2 hameaux des mains de Daesh depuis hier.Des armes sont saisies
    http://endehors.net/news/les-fds-ont-libere-5-villages-et-2-hameaux-des-mains-de-daesh-depuis-hier-

    #Rojava #Syrie #YPG Les FDS ont libéré 5 villages et 2 hameaux des mains de Daesh depuis hier.Des armes sont saisis pic.twitter.com/rK6tcICBaA InfoRojava-Kurdistan (@info_Rojava) 24 Décembre 2015 — Actualité

  • La révolution démocratique et féministe du Rojava, source d’espoir parmi l’horreur
    article original : http://www.telesurtv.net/english/opinion/Rojavas-Democratic-Revolution-a-Source-of-Hope-among-Horror-20151119-0040

    Entre les bombes occidentales et les fondamentalistes sauvages prêts à mener leur guerre au cœur de l’Europe, la #Syrie peut sembler un trou noir de misère sans fin. Mais la région nord, en grande partie kurde, de #Rojava, est également le théâtre d’une révolution profondément démocratique et humaniste, qui place en son centre les droits des minorités ethniques et la libération des femmes.

    Ironiquement, étant donné l’horreur qui l’entoure, Rojava est, avec les projets révolutionnaires d’Amérique latine, le lieu des expériences les plus profondes menées sur la base de la #démocratie_participative. Comme au Venezuela, l’idéal de « la commune » est au cœur de la démocratie naissante du Rojava.

    La révolution Rojavane s’est faite connaître au monde en grande partie par la résistance héroïque des combattant·e·s des Unités de Protection Populaire (#YPG) et Unités de Protection des Femmes (#YPJ) en ayant mis fin à un siège de l’Etat islamique sur la ville Rojavane de #Kobane en Janvier. Mais beaucoup ont remarqué l’idéologie profondément révolutionnaire qui anime les combattants de la liberté du Rojava - et qu’ils cherchent à mettre en pratique au milieu de grandes menaces.

    Rojava est une "zone libérée" dans le nord de la Syrie, qui fait partie du territoire historique du #Kurdistan. Le parti politique majeur est le Parti de l’Union Démocratique (#PYD), qui est idéologiquement aligné avec l’aile gauche du Parti des travailleurs du Kurdistan (#PKK), basé en Turquie.

    En 2011, le PYD a soutenu le soulèvement qui a éclaté contre Assad. Cependant, il était préoccupé par l’excessive #militarisation du conflit par l’opposition. Au départ cette militarisation fut une réponse à la répression par Assad de protestations non armées, mais elle fut par la suite alimentée par les services de renseignement de l’Occident et ses alliés régionaux.

    Ajouté à cela, le chauvinisme ethnique et religieux croissant d’une opposition majoritairement Sunnite et Arabe se définissant de plus en plus comme Sunnite et Arabe a amené le mouvement kurde à rester à l’écart de l’opposition armée au régime.

    En Juillet 2012, la présence militaire du gouvernement Assad au Rojava a été affaiblie par l’aggravation de la guerre civile dans d’autres régions. Il y avait un danger croissant que le Rojava devienne un champ de bataille entre des forces opposées hostiles aux Kurdes et d’autres #minorités ethniques.

    En réponse, un soulèvement majoritairement non violent a été lancé, déclarant Rojava zone libérée. Cette insurrection populaire a permis aux idées de « confédéralisme démocratique » du PKK et des PYD, fondés sur la démocratie participative et l’autonomie locale, de commencer à être apliquées.

    Le PYD joue un rôle idéologique dans la transformation démocratique du Rojava, mais pas de nature institutionnelle. Il a aidé à établir le Mouvement pour une société démocratique (TEV-DEM), qui organise et mobilise la population mais qui est organisationnellement indépendant du PYD.

    Le pouvoir institutionnel est basé sur un système appelé "autonomie démocratique". Le blog Ecology or Catastrophe rapportait en Janvier que le représentant du TEV-DEM Çinar Salih a déclaré à une délégation universitaire en visite "Notre système repose sur les communes, composées de quartiers de 300 personnes. Les communes ont co-présidents, et il ya des co-présidents à tous les niveaux, de la commune à l’administration du canton."

    "Dans chaque commune, il y a cinq ou six comités différents. Les communes agissent de deux façons. D’abord, elles résolvent les problèmes rapidement et tôt - par exemple, un problème technique ou un problème social. Certains travaux peuvent être effectuées en cinq minutes, mais si vous l’envoyez à l’Etat, il est empêtré dans une bureaucratie. Donc, nous pouvons résoudre rapidement les problèmes. La deuxième façon est politique ", a déclaré Salih.

    "Si nous parlons de vraie démocratie, les décisions ne peuvent pas être fabriquées en haut [par les élites] et descendre vers le peuple, elles doivent être prises en bas et ensuite monter dans les différents niveaux. Les co-présidents sont un homme et une femme ... La représentation des femmes est garantie à tous les conseils populaires. On n’autorise pas un des deux genres à avoir plus de 60% de représentation. En outre, il existe en parallèle des structures non-mixtes pour femmes", a-t-il expliqué.

    "Les conseils de #femmes existent en parallèle à tous les niveaux, la commune, le district, la ville et le canton. Les conseils de femmes ne décident pas pour les questions générales - c’est le rôle des conseils populaires. Ils discutent de questions qui portent spécifiquement sur les femmes ... Ils ont un droit de veto sur les questions concernant les femmes".

    L’accent mis sur la libération des femmes se reflète dans la forte visibilité des femmes combattantes dans les groupes armés révolutionnaires du Rojava.

    Salih a fait valoir que la révolution du Rojava est une « révolution des femmes", expliquant qu’elles sont impliquées dans tous les domaines de la vie. « Nous croyons qu’une #révolution qui n’ouvre pas la voie à la libération des femmes n’est pas une vraie révolution. Il y a eu des révolutions en Libye et en Egypte et en Tunisie ... mais le même statut des femmes a persisté ".

    Du fait de la guerre, de la dévastation et de l’isolement auxquels le Rojava est soumis, son économie est largement orientée vers la survie. Toutefois, son orientation socialiste s’attache en priorité à fournir pour tous un logement, un approvisionnement alimentaire, un accès aux soins, la garde des enfants et l’éducation - aucun de ces éléments n’ayant été fourni par le gouvernement syrien en temps de paix.

    La révolution dans le Rojava est explicitement une révolution multi-ethnique. Dans son préambule, la constitution de cantons autonomes du Rojava décrit les cantons de Rojava comme "une confédération de Kurdes, d’Arabes, de Syriaques, d’Araméens, de Turkmènes, d’Arméniens et de Tchétchènes".

    Il poursuit : « Dans la construction d’une société libérée de l’autoritarisme, du militarisme, du centralisme et de l’intervention de l’autorité religieuse dans les affaires publiques, la Charte reconnaît l’intégrité territoriale de la Syrie et aspire à maintenir la #paix nationale et internationale."

    L’accent est mis au Rojava sur la construction de structures multi-ethniques plutôt que simplement kurdes. Tout, depuis les plaques de rue aux médias en passant par l’éducation est fourni dans la langue de la communauté concernée.

    Comme pour le genre, la participation des différentes ethnies aux conseils communaux et autres est facilitée par des quotas. Il y a aussi des organismes parallèles pour les minorités ethniques.

    Du fait de telles politiques, la révolution a rapidement gagné le soutien de minorités non-kurdes. Cela se reflète dans la participation non-kurde dans les structures et organisations, ainsi que des alliances faites avec des groupes politiques et armés non-kurdes.

    La révolution du Rojava est confrontée à des menaces constantes de nombreux côtés - et doit naviguer parmi des forces complexes et en compétition qui cherchent à imposer leurs intérêts dans la région. Mais pour tout ce qu’elle a réalisé contre vents et marées, la révolution du Rojava mérite notre solidarité - le monde a besoin du Rojava.

    #féminisme #municipalisme #auto-organisation #émancipation #langues_sans_frontières

  • Les Forces Démocratiques Syriennes ont libéré 196 villages en 20 jours de campagne contre Daech, au sud-est d’Hassaké
    http://endehors.net/news/les-forces-democratiques-syriennes-ont-libere-196-villages-en-20-jours-de-

    #Rojava #Syrie Les Forces Démocratiques Syriennes ont libéré 196 villages en 20 jours de campagne contre Daech, au sud-est Hassaké. #YPG InfoRojava-Kurdistan (@info_Rojava) 16 Novembre 2015 — Actualité

  • ANF | Ajansa Nûçeyan a Firatê
    http://www.anfenglish.com/news/baluken-ministry-admitted-handing-over-of-ypg-fighters-to-al-nusra

    HDP Group Deputy Chair İdris Baluken held a press conference in the parliament regarding the handing over of six injured YPG fighters treated in Turkey to the gangs of Al Nusra jihadist organization in Syria.

    Baluken stated that the six detained YPG fighters were acquitted by court but were taken into custody once again later and sent to Foreigners Department of Police. He said the six were handed over to gangs affiliated to Al Nusra through the Cilvegözü (Bab al Hawa) border crossing.

    #AKP #Syrie #islamisme #YPG #Kurdistan

  • Il guerriero buono

    Ci sono i mercenari che affiorano, e nemmeno sempre, solo se muoiono. Poi ci sono quelli che vanno a combattere con i “cattivi”, dei quali si viene a sapere soltanto se e quando vengono catturati. #Karim_Franceschi è invece il primo e unico italiano che si è arruolato tra coloro che, almeno per ora, sono giudicati “buoni” in Occidente, cioè i curdi che hanno bloccato le milizie dell’Isis a Kobane.

    Sebbene quelli come lui siano definiti “#foreign_fighters”, Karim preferisce chiamarsi “#partisan_fighter”, anche in ricordo del padre che combattè da partigiano i tedeschi sulle montagne toscane 70 anni fa e che, già anziano, sposò la madre marocchina. All’inizio di quest’anno, Karim decise di mettere a rischio la sua vita, arruolandosi nelle milizie curde del #Ypg, dopo avere portato a #Kobane, con una comitiva umanitaria, viveri e medicinali e capito che occorresse fare di più.

    A Laser il venticinquenne anconitano racconta la sua avventura di tre mesi col kalashnikov in mano pronto a sparare ogni giorno contro un nemico, talvolta lontano pochi metri. Karim parla di coraggio e di paura, descrivendo assalti e imboscate, le armi di ogni tipo, i martiri e i prigionieri, evitando di rispondere soltanto alla domanda su quanti nemici del Califfato abbia dovuto ammazzare, per sopravvivere oltre che per liberare Kobane: la guerra comunque rimane la più dolorosa attività umana.

    http://www.rsi.ch/rete-due/programmi/cultura/laser/Il-guerriero-buono-5350189.html
    #Kurdistan #combattant #témoignage

  • #Aleppo's #Kurds : Living Under Siege
    http://english.al-akhbar.com/content/aleppos-kurds-living-under-siege

    Syrian-Kurdish refugee carries water containers on a wheelbarrow at the Quru Gusik (Kawergosk) refugee camp, 20 kilometers east of Arbil, the capital of the autonomous #Kurdish region of northern Iraq, on December 29, 2013. (Photo: AFP - Safin Hamed). Syrian-Kurdish refugee carries water containers on a wheelbarrow at the Quru Gusik (Kawergosk) refugee camp, 20 kilometers east of Arbil, the capital of the autonomous Kurdish region of northern Iraq, on December 29, 2013. (Photo: AFP - Safin Hamed).

    The #Islamic_State_of_Iraq_and_Syria has retreated from the #Ifrin region of the Aleppo countryside. Though the crippling blockade on Ifrin has been lifted, the siege remains enforced by other factions, including the Islamic (...)

    #Mideast_&_North_Africa #Articles #ISIS #Kurdistan_Workers_Party #PYD #Recep_Tayyip_Erdogan #syria #turkey #YPG

  • #turkey Stands With #al-Qaeda Against the #Kurds
    http://english.al-akhbar.com/content/turkey-stands-al-qaeda-against-kurds

    Tear gas smoke rises during clashes between Turkish security forces and Kurdish protestors in Yuksekova in the province of Hakkari on 30 August 2013. (Photo: AFP - STR) Tear gas smoke rises during clashes between Turkish security forces and Kurdish protestors in Yuksekova in the province of Hakkari on 30 August 2013. (Photo: AFP - STR)

    Turkey continues to support armed Islamist groups in their campaign against Kurdish militias (...)

    #Mideast_&_North_Africa #Articles #Qamishli #syria #YPG