• « Le seul rappel de la peau doit être la litanie soupe-savonnette-linge. Je la fais tous les jours, ma toilette de mariée ; vous me charriez assez. Oui, je me lave méticuleusement, avec rage, pour que, passé l’heure du lavabo, il ne soit plus utile d’en parler. Alors, foutez-moi la paix. Et, s’il vous plaît, ne dites pas « Zizi » en parlant de Zizi.
    En descendant les marches de la mairie, mon homme m’a dit :
    « Oh là là ! C’est fini, je ne me marie plus ! »
    Mais si, nous nous remarierons, tu verras. T’en fais pas, Zi, mon corps est docile ; c’est ma guitare d’ennui, je joue mon corps, je le prive, je le gave, je l’offre au silence, j’y crée ta forme et le radieux contact de ta main.
    Je marche vers toi et je marche à ton côté, j’ai le soleil dans le dos.
    Marchons dans les reflets, ne soyons ni ombre ni flamme. Ou plutôt, que les flammes s’assagissent et s’étalent en une grande clarté attentive. »

    La Cavale, Partie II, Chapitre XI

    #corps #mariage #peau #amour #Zizi

  • Pas à pas, entre les vitrines de nos infinis souvenirs, nous avançons.
    Inlassablement, nous imaginons la fin du dédale, tout ensemble entrée et sortie :
    « J’ai la tête pleine de bijoux… »
    Oui, pavée et tapissée de joyaux, nulle balle ne la peut trouer.
    Je pense aussi à nos virées d’été, avec Zizi, quand il faisait trop chaud pour faire l’amour, et qu’on le faisait quand même ; je n’arrive pas à me rappeler vraiment, je suis incrédule ; dire qu’il suffisait d’être là, avec le seul pouvoir de nos carcasses, pour nous envoyer promener là là-haut, dans l’azur !
    À cet endroit, je prends un léger élan, et hop ! je franchis le temps, des décors surgissent et se referment autour de moi…

    La Cavale Partie I Chapitre IX

    #amour #Zizi #souvenirs #temps

  • Microsoft lays off 1,900 Activision Blizzard and Xbox employees - The Verge
    https://www.theverge.com/2024/1/25/24049050/microsoft-activision-blizzard-layoffs

    Microsoft is laying off 1,900 employees at Activision Blizzard and Xbox this week. While Microsoft is primarily laying off roles at Activision Blizzard, some Xbox and ZeniMax employees will also be impacted by the cuts.

    24 Days Into 2024 And 3,900+ Video Game Layoffs Have Been Announced
    https://kotaku.com/game-industry-layoffs-how-many-2024-unity-twitch-1851155818

    Within the last few years, video game industry layoffs have unfortunately become more commonplace. In 2023, we saw near-weekly layoffs across the entire industry. When the dust had settled, at least 6,000 jobs across publishers, developers, and other video game-related companies had been terminated. Sadly, it appears 2024 will outpace that, if the first few weeks of the year are any indication.

    Most folks didn’t expect 2024 to be much better, but I’m not sure anyone was ready for it to be possibly worse—yet this year has kicked off with a string of big and small layoffs signaling that the corporate bloodletting rituals aren’t ending anytime soon. So Kotaku is going to try and track all of 2024’s layoffs as they happen. Hopefully, we don’t have to update this post that much.

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #business #microsoft #activision_blizzard #zenimax #king #xbox #acquisition #rachat #ressources_humaines #licenciements

  • Entretien (audio et vidéo) avec Simukai Chigudu.

    Les fantômes de la colonisation - La Vie des idées
    https://laviedesidees.fr/Les-fantomes-de-la-colonisation

    La vie des des idées , janvier 2024

    Quelles traces les entreprises coloniales ont-elles laissées ? En confrontant l’histoire publique du colonialisme au Royaume-Uni et au Zimbabwe à celle de sa propre famille, Simukai Chigudu fait apparaître la part refoulée du legs colonial et comment elle continue d’alimenter le cycle de la violence.❞

    (suite à lire sur le site en libre-accès de La Vie des idées).

    #Zimbabwe #indépendances #décolonisations #RhodesMustFall

    • Mohammed El-Kurd sur X :
      https://twitter.com/m7mdkurd/status/1749088737533821215

      I was investigated by Britain’s counterterrorism police, which succumbed to political pressure from top Israeli propagandists, diplomats, lobby-affiliated British government officials, and countless right-wing media outlets, who demanded I be arrested and charged over a recent anti-zionist speech I gave in London.
      The interrogation, which I attended with counsel, proved to be a great waste of time and public funds, and the police promptly closed the case and pursued no further action. If anything, it was a mere inconvenience. This is but one of the many recent instances that reveal the political bankruptcy of Zionists, who have to rely on duplicitous and ridiculous measures to distract from the colonial violence they defend and perpetuate.
      It should also serve as a reminder that, in the ‘civilized world,’ those opposing war crimes are more likely to be scrutinized and persecuted than war crimes themselves. In the last 107 days, the Israeli occupation forces have murdered a daily average of 250 Palestinians; 1 in every 20 Palestinians in the besieged Gaza Strip has been killed, wounded, or dispossessed by the Israeli regime. Genocide is the crime and Zionism is the culprit. That is the only headline that matters.

  • Dans mon #plugin #SPIP Insertion avancée d’images :
    https://plugins.spip.net/medias_responsive_mod.html
    il y a une fonction que j’utilise beaucoup : include_svg.

    Elle permet d’inclure directement dans le HTML le code tiré d’un fichier SVG.

    C’est-à-dire que l’image SVG n’est plus chargée comme une image - à la manière d’une image JPEG, mais directement intégrée à l’intérieur du HTML. Il y a deux intérêts :
    – le chargement de l’image SVG se fait en même temps que la page HTML, donc sans attendre ; c’est intéressant pour les « petits » fichiers SVG, typiquement des éléments de l’interface, qui s’affichent ainsi instantanément dans la page ;
    – c’est indispensable si on veut modifier les couleurs des éléments SVG directement dans les CSS de la page. (Je le fais beaucoup, par exemple un bouton inverse ses couleurs au survol.)

    L’originalité par rapport à d’autres fonctions équivalentes que j’ai vu passer, c’est que l’insertion est ici responsive (elle occupe 100% de la largeur disponible), il faut donc soi-même indiquer les éventuelles dimensions d’affichage désirées. Pour que cela fonctionne, la fonction est capable d’extraire les valeurs de la viewBox du fichier SVG et de fabriquer un <span> englobant qui rend l’affichage responsive.

    Ça s’utilise ainsi :

    [(#CHEMIN{hamburger.svg}|include_svg)]

    Dans la version 1.34 que je viens d’installer, la fonction gère une variable $alt :

    [(#CHEMIN{hamburger.svg}|include_svg{Menu})]

    Si on ne renseigne pas ce texte, alors le <svg> est passé en role='presentation' et alt=''. Dans l’exemple ci-dessus, le bouton qui déclenche le hamburger contient déjà la mention « MENU » à côté du hamburger, il n’est donc pas intéressant d’afficher « MENU MENU ».

    Si on renseigne ce texte, alors le <svg> est passé avec role='img' et la valeur alt=… est renseignée. Dans l’exemple ci-dessus, la mention « MENU » est donc directement associée à l’image du hamburger.

    (Note : cette fonction était aussi présente de mon plugin Maquettes multiples. Je viens de l’en supprimer (parce que “Maquette multiples” fonctionne, idéalement, avec “Insertion avancée d’images”.)

  • Vingtième et dernière partie : le commun et la non-propriété « Enlace Zapatista
    https://enlacezapatista.ezln.org.mx/2024/01/08/vingtieme-et-derniere-partie-le-commun-et-la-non-propriete

    Et tout ça à cause d’un foutu papier. Même si le papier date de l’époque de la Nouvelle Espagne, le papier ne vaut rien pour celui qui a le pouvoir. C’est une tromperie. C’est pour que tu aies confiance, que tu restes tranquille, jusqu’à ce que le système découvre que, en-dessous de ta pauvreté, il y a du pétrole, de l’or, de l’uranium, de l’argent. Ou qu’il y a une source d’eau pure, car maintenant il se trouve que l’eau est devenue une marchandise qui s’achète et se vend.

    Une marchandise comme le furent tes parents, tes grands-parents, tes arrière-grands-parents. Une marchandise comme tu l’es toi, et comme le seront tes enfants, tes petits-enfants, tes arrière-petits-enfants et ainsi, pendant des générations.

    Alors ce papier, c’est comme les étiquettes des marchandises sur les marchés, c’est le prix de la terre, de ton travail, de tes descendants. Et tu ne te rends pas compte, mais tu fais déjà la queue à la caisse et tu es sur le point d’arriver. Et il se trouve que non seulement tu vas devoir payer, mais que tu vas sortir du magasin et que tu vas voir qu’ils t’ont pris la marchandise, que tu n’as même pas le papier pour lequel tu t’es tant battu, toi et tes ancêtres. Et que tu vas peut-être léguer à tes enfants un papier, mais peut-être même pas. Les papiers du gouvernement sont le prix de ta vie, et tu dois payer ce prix avec ta vie. C’est-à-dire que tu es une marchandise légale. C’est l’unique différence avec l’esclavage.

    Alors les plus vieux te racontent que le problème, la division, les discussions et les disputes sont arrivés quand sont arrivés les papiers de propriété. Ce n’est pas qu’avant il n’y avait pas de problèmes, c’est qu’ils se résolvaient en faisant un accord.

    […]

    Qu’en a-t-il été dans notre histoire de lutte de ce qu’on appelle « base matérielle » ?

    Et bien, d’abord il y a eu l’alimentation. Avec la récupération des terres qui étaient aux mains des grands propriétaires terriens, l’alimentation s’est améliorée. La faim a cessé d’être l’invitée dans nos maisons. Ensuite, avec l’autonomie et le soutien de gens qui sont des « bonnes personnes », comme nous disons d’elles, ce fut le tour de la santé. Là, ce fut et c’est très important le soutien des docteurs fraternels, comme nous les appelons, parce qu’ils sont comme nos frères qui nous aident, et pas seulement pour les maladies graves mais également et surtout dans la préparation, c’est-à-dire dans le savoir lié à la santé. Ensuite, l’éducation. Ensuite, le travail de la terre. Ensuite, ce qui concerne le gouvernement et l’administration des propres pueblos zapatistes. Ensuite, ce qui concerne le gouvernement et la coexistence pacifique avec ceux qui ne sont pas zapatistes.

    […]

    La base matérielle ou de production de cette étape va être une combinaison du travail individuel-familial, du collectif et de cette chose nouvelle que nous appelons « travail en commun » ou « non-propriété ».

    Le travail individuel-familial se base sur la petite propriété individuelle. Une personne et sa famille travaillent leur lopin de terre, leur petite boutique, leur moyen de locomotion, leur bétail. Le gain ou le bénéfice revient à cette famille.

    Le travail collectif repose sur l’accord entre compañeras et/ou compañeros pour effectuer des travaux sur des terres collectives (attribuées comme telles avant la guerre et élargies après la guerre). On répartit les travaux selon le temps, la capacité et la disposition. Le gain ou bénéfice est pour le collectif. On l’utilise généralement pour les fêtes, les mobilisations, l’acquisition de matériel de santé, la formation des promoteurs de santé et d’éducation et pour les déplacements et les frais de fonctionnement des autorités et des commissions autonomes.

    Le travail commun commence, maintenant, par la possession de la terre. Une partie des terres récupérées est déclarée pour « le travail commun ». C’est-à-dire qu’elle n’est pas morcelée et qu’elle n’est la propriété de personne, qu’elle n’est ni petite, ni moyenne, ni grande propriété. Cette terre n’est à personne, elle n’a pas de propriétaire. Et, en accord avec les communautés proches, on se « prête » mutuellement cette terre pour la travailler. On ne peut ni la vendre, ni l’acheter. On ne peut pas l’utiliser pour la production, le transfert ou la consommation de stupéfiants. Le travail se fait « à tour de rôle » en accord avec les GALs et les frères non zapatistes. Le bénéfice ou le gain revient à celles et ceux qui travaillent, mais la propriété n’en est pas une, c’est une non-propriété qu’on utilise en commun. Peu importe si tu es zapatiste, affilié à un parti, catholique, évangéliste, presbytérien, athée, juif, musulman, noir, blanc, brun, jaune, rouge, femme, homme, autre. Tu peux travailler la terre en commun, avec l’accord des GALs, CGAL et ACGal, selon le village, la région ou la zone, qui sont ceux qui veillent à ce que les règles d’usage commun soient respectées. Que tout serve au bien commun, que rien n’aille contre le bien commun.

    […]

    P.S. QUI DÉCLARE SOUS SERMENT À aucun moment ou étape de la délibération qui a conduit à la décision que prirent les pueblos zapatistes n’ont surgi des citations, des notes de bas de pages ou encore des références, même lointaines, de Marx, Engels, Lénine, Trotski, Staline, Mao, Bakounine, le Che, Fidel Castro, Kropotkine, Flores Magón, la Bible, le Coran, Milton Friedman, Milei, le progressisme (pour autant qu’il ait des références bibliographiques qui ne soient pas celles de ses gratte-papiers), la Théologie de la Libération, Lombardo, Revueltas, Freud, Lacan, Foucault, Deleuze, ce qui est à la mode – ou au mode – dans les gauches, ni n’importe quelle source des gauches, des droites ou des centres inexistants. Ce n’est pas tout, je sais aussi qu’ils n’ont lu aucun des ouvrages fondateurs des ismes qui alimentent rêves et défaites de la gauche. Pour ma part, je donne un conseil non sollicité à celles et ceux qui ont lu ces lignes : chacun est libre de faire le ridicule, mais je vous recommanderais qu’avant de commencer avec vos niaiseries du type « le laboratoire de la Lacandone », « l’expérience zapatiste », et de cataloguer cela dans un sens ou dans un autre, vous y pensiez à deux fois. Parce que, en parlant de ridicules, vous le faites en grand depuis presque 30 ans à vouloir « expliquer » le zapatisme. Peut-être que vous ne vous en souvenez plus maintenant, mais ici, ce qui ne manque pas, à part la dignité et la boue, c’est la mémoire. C’est comme ça.

    #EZLN #zapatistes #autonomie #communs #propriété

  • Le Chiapas, au sud du Mexique, saisi par la violence des trafics | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/studio/portfolios/le-chiapas-au-sud-du-mexique-saisi-par-la-violence-des-trafics

    La région du Chiapas est le théâtre d’affrontements entre les cartels. Pour toute réponse, l’État fédéral envoie l’armée, une mesure mal vécue par la population. La militarisation réveille les blessures du passé au sein des communautés indigènes qui ont subi les exactions des paramilitaires contre le mouvement zapatiste.

    https://justpaste.it/5nkry

    #Mexique #Chiapas #cartels #zapatistes #photo

    • « L’armée est liée aux cartels, tout le monde le sait, confie une habitante de Frontera Comalapa. Nous avons dit aux militaires qui sont les chefs et où ils se trouvent, c’est une petite ville et cela n’est pas un secret, mais leurs convois passent devant et ils ne font rien. » Au Chiapas, le rôle de l’#armée est fréquemment mis en cause par les habitant·es, et dans les communautés indigènes, beaucoup s’opposent à l’implantation des forces armées sur leur territoire.
      Mario Ortega, expert au Frayba, révèle que dans les zones où la Garde nationale occupe une base, l’association enregistre « une plus grande incidence de disparitions forcées, environ le double ». Selon le gouvernement, 15 000 militaires ont été déployés dans la région en 2023. Pas moins de 18 nouveaux quartiers de l’armée et de la Garde nationale ont été construits ou sont en travaux depuis 2020, mais la présence soutenue de l’armée au Chiapas n’est pas nouvelle. « Plus que de militarisation, nous parlons de remilitarisation », soutien Ortega. Depuis le soulèvement zapatiste en 1994, l’armée utilise les prétextes de la lutte contre le narcotrafic mais aussi des missions de service public, gestion de la pauvreté, réparation des désastres naturels, travaux publics ou contrôle migratoire, pour maintenir d’importants effectifs sur place.

  • propose de rebaptiser la classe moyenne « classe médiocre » ; ça leur apprendra, tiens, aux ceusses, à se ranger systématiquement dans le camp des oppresseuses(-eurs) tout en pleurnichant faire partie des opprimé(e)s.
    — Madame Garreau ! Allez allez, pas d’histoires ! Cessez de jouer les Carmen Cru sur Internet, ça va être l’heure de vos gouttes.

    #ZyvaMaisQuelEhpadDansMaTête.

  • ne se moque pas, mais quand même ! Les ceusses bouffent... des huîtres (!) et après iels s’étonnent de tomber malades et de mourir empoisonné(e)s... Non mais allô, quoi ! C’est comme se taper sur les doigts avec un marteau et être surpris(e) d’avoir mal ! Finalement ce que l’Histoire retiendra des Sapiens Sapiens, c’est leur incommensurable ingénuité.

    #ZAvezQuÀBoufferDesTrucsNormaux.

  • I grandi marchi della fast fashion non vogliono rinunciare al petrolio russo

    Nel 2023 le due principali società produttrici di poliestere, l’indiana #Reliance industries e la cinese #Hengli group, hanno continuato a utilizzare il greggio di Mosca. La maggior parte dei brand -da #Shein a #H&M, passando per #Benetton- chiude un occhio o promette impegni generici. Il dettagliato report di #Changing_markets.

    Quest’anno i principali produttori globali di poliestere, la fibra tessile di origine sintetica derivata dal petrolio, non solo non hanno interrotto i propri legami con la Russia ma al contrario hanno incrementato gli acquisti della materia prima fondamentale per il loro business. È quanto emerge da “#Crude_Couture”, l’inchiesta realizzata da Changing markets foundation pubblicata il 21 dicembre, a un anno di distanza dalla precedente “Dressed to kill” che aveva svelato i legami segreti tra i principali marchi della moda e il petrolio di Mosca.

    “Quest’indagine -si legge nell’introduzione- evidenzia il ruolo fondamentale svolto dall’industria della moda nel perpetuare la dipendenza dai combustibili fossili e segnala una preoccupante mancanza di azione per rompere i legami con il petrolio russo”. Un’inazione, sottolineano i ricercatori, che sta indirettamente finanziando la guerra in Ucraina. E non si tratta di un contributo di poco conto: le fibre sintetiche, infatti, pesano per il 69% sulla produzione di fibre e il poliestere è di gran lunga il più utilizzato, lo si può trovare infatti nel 55% dei prodotti tessili attualmente in circolazione. Se non ci sarà una netta inversione di tendenza, si stima che entro il 2030 quasi tre quarti di tutti i prodotti tessili verranno realizzati a partire da combustibili fossili.

    Il poliestere è fondamentale per l’esistenza dell’industria del fast fashion, e ancora di più per i marchi di moda ultraveloce come Shein: un’inchiesta pubblicata da Bloomberg ha mostrato che il 95% dei capi prodotti dal marchio di moda cinese conteneva materiali sintetici mentre per brand come #Pretty_Little_Thing, #Misguided e #Boohoo la percentuale era dell’83-89%.

    Al centro delle due inchieste realizzate da Changing markets ci sono due importanti produttori di questo materiale: l’indiana #Reliance_industries (con una capacità produttiva stimata in 2,5 milioni di tonnellate all’anno) e la cinese #Hengli_group. I filati e i tessuti che escono dai loro stabilimenti vengono venduti ai produttori di abbigliamento di tutto il mondo che, a loro volta, li utilizzano per confezionare magliette, pantaloni, cappotti, scarpe e altri accessori per importanti brand. Su 50 marchi presi in esame in “Dressed to kill” 39 erano direttamente o indirettamente collegati alle catene di fornitura di Hengli group or Reliance industries, tra questi figurano #H&M, #Inditex (multinazionale spagnola proprietaria, tra gli altri, di #Bershka e #Zara), #Adidas, #Uniqlo e #Benetton.

    Anche dopo la pubblicazione di “Dressed to kill”, Reliance e Hengli hanno continuato ad acquistare petrolio russo. A marzo 2023 l’India ha acquistato da Mosca la quantità record di 51,5 milioni di barili di greggio: “Insieme a Nayara Energya, la principale compagnia petrolifera indiana, Reliance industries ha rappresentato più della metà (52%) delle importazioni totali”, si legge nell’inchiesta. In crescita anche le importazioni cinesi (+11,7% rispetto all’anno precedente). “Nel maggio 2023, #Hengli_Petrochemical ha ricevuto 6,44 milioni di barili di greggio russo, come riportato dai dati di tracciamento delle navi dell’agenzia Reuters -scrivono gli autori del report-. Queste tendenze rivelano il persistente legame tra le aziende di moda che si riforniscono da questi produttori di poliestere e il petrolio russo”. Oltre alla violazione delle sanzioni imposte a Mosca da diversi governi, compresi quello degli Stati Uniti e dell’Unione europea.

    I ricercatori di Changing markets hanno quindi deciso di tracciare un bilancio e hanno inviato un questionario a 43 brand (compresi i 39 già presi in esame in “Dressed to kill”) per verificare se avessero interrotto i rapporti con Reliance ed Hengli. Appena 18 hanno risposto alle domande e solo due aziende (Esprit e G Star Raw) hanno dichiarato di aver tagliato i ponti con i due produttori. Una terza (Hugo Boss) si è impegnata a eliminare gradualmente il poliestere e il nylon: “Le altre rimangono in silenzio o minimizzano l’urgenza della crisi ucraina con vaghe promesse di cambiamento a diversi anni di distanza o con false soluzioni, come il passaggio al poliestere riciclato, per lo più da bottiglie di plastica”, si legge nel report.

    Tre società (H&M, C&A e Inditex) hanno risposto al questionario “distogliendo l’attenzione” dal legame con il petrolio russo per enfatizzare future strategie di transizione dal poliestere vergine a quello riciclato (da bottiglie di plastica) o verso materiali di nuova generazione. H&M ad esempio ha dichiarato la propria intenzione di non approvvigionarsi più di poliestere vergine entro il 2025 “tuttavia non ha chiarito le sue attuali pratiche per quanto riguarda i fornitori di poliestere legati al petrolio russo”. Analogamente, la catena olandese C&A afferma di volersi concentrare su materiali riciclati e di nuova generazione senza fornire informazioni sui legami con i fornitori oggetto dell’inchiesta. Nemmeno la spagnola Inditex ha risposto alle domande in merito a Reliance ed Hengli. Anche l’italiana Benetton avrebbe fornito risposte insufficienti o generiche: “Si è impegnata vagamente a una transizione verso materiali ‘preferiti’ -scrivono gli autori dell’inchiesta-, senza specificare però l’approccio ai materiali sintetici”.

    Tra quanti non hanno risposto al questionario c’è proprio Shein ma i suoi legami con il produttore indiano di poliestere sono evidenti: a maggio 2023 infatti le due società hanno sottoscritto un accordo in base al quale il colosso può utilizzare le capacità di approvvigionamento, l’infrastruttura logistica e l’ampia rete di negozi fisici e online di Reliance Retail, segnando così il ritorno di Shein in India dopo una pausa di tre anni. “Poiché il poliestere rappresenta il 64% del mix di materiali del brand e il 95,2% dell’abbigliamento di contiene plastica vergine, l’imminente collaborazione con Reliance suggerisce che una parte significativa delle circa 10mila novità giornaliere di Shein potrebbe in futuro essere derivata da prodotti di plastica vergine prodotti grazie a petrolio russo”, conclude il report.

    https://altreconomia.it/i-grandi-marchi-della-fast-fashion-non-vogliono-rinunciare-al-petrolio-

    #Russie #pétrole #fast-fashion #mode #polyester #rapport #textile #industrie_textile #industrie_de_la_mode

    • Fossil Fashion

      Today’s fashion industry has become synonymous with overconsumption, a snowballing waste crisis, widespread pollution and the exploitation of workers in global supply chains. What is less well known is that the insatiable fast fashion business model is enabled by cheap synthetic fibres, which are produced from fossil fuels, mostly oil and gas. Polyester, the darling of the fast fashion industry, is found in over half of all textiles and production is projected to skyrocket in the future. Our campaign exposes the clear correlation between the growth of synthetic fibres and the fast fashion industry – one cannot exist without the other. The campaign calls for prompt, radical legislative action to slow-down the fashion industry and decouple it from fossil fuels.

      Crude Couture: Fashion brands’ continued links to Russian oil

      December 2023

      Last year, our groundbreaking ‘Dressed to Kill’ investigation delved deep into polyester supply chains, unveiling hidden ties between major global fashion brands and Russian oil. We exposed Russia’s pivotal role as a primary oil supplier for key polyester producers India’s Reliance Industries and China’s Hengli Group, which were found to be supplying fibre for the apparel production of numerous fashion brands.

      Now, a year later, we returned to the fashion companies to evaluate if they have severed ties with these suppliers. Shockingly, our latest report reveals an alarming trend: the two leading polyester producers are increasingly reliant on war-tainted Russian oil in 2023. Despite prior warnings about these ties, major fashion brands continue to turn a blind eye, profiting from cheap synthetics, while Ukraine suffers. Only two companies – Esprit and G Star Raw – said they cut ties with the two polyester producers, while Hugo Boss committed to phase out polyester and nylon. The others remain silent or downplay the urgency of the Ukrainian crisis with vague promises of change several years ahead or with false solutions, such as switching to recycled polyester – mostly from plastic bottles. This investigation sheds light on the fashion industry’s persistent dependance on fossil fuel and their lack of action when it comes to climate change and fossil fuel phase out.

      https://changingmarkets.org/portfolio/fossil-fashion

  • L’#activisme_écologiste, nouveau terrain d’#expérimentation de la #Technopolice

    Drones, reconnaissance faciale, marqueurs codés… Outre l’arsenal administratif et répressif déployé par l’État pour les punir, le ministère de l’Intérieur expérimente et perfectionne sur les activistes écologiques ses nouveaux outils technopoliciers.

    Plusieurs affaires récentes ont mis en lumière la surveillance particulièrement intensive subie par les militantes écologistes. Outre l’arsenal administratif et répressif déployé par l’État pour les punir, c’est la nature des moyens utilisés qui interpelle : drones, reconnaissance faciale, marqueurs codés… Le ministère de l’Intérieur expérimente et perfectionne sur les activistes écologiques ses outils technopoliciers.

    Plusieurs articles ont révélé le caractère intensif des moyens de surveillance et de répression déployés par l’État pour punir certaines actions militantes écologistes. Si cela avait déjà été documenté pour le mouvement de résistance nucléaire à Bure, c’est dernièrement le cas de l’affaire Lafarge pour laquelle un article paru sur Rebellyon a détaillé les outils mis en œuvre par la police afin d’identifier les personnes ayant participé à une action ciblant une usine du cimentier.

    Vidéosurveillance, analyse des données téléphoniques, réquisitions aux réseaux sociaux, relevés ADN, virements bancaires, traceurs GPS… La liste paraît infinie. Elle donne une idée de la puissance que peut déployer l’État à des fins de surveillance, « dans un dossier visant avant tout des militants politiques » – comme le souligne Médiapart dans son article.

    Pour avoir une idée de l’étendue complète de ces moyens, il faut y ajouter la création des cellules spécialisées du ministère de l’Intérieur (la cellule Démeter, créée en 2019 pour lutter contre « la délinquance dans le monde agricole » et la cellule « anti-ZAD », mise en place en 2023 à la suite de Sainte-Soline) ainsi que l’alerte donnée par la CNCTR (l’autorité de contrôle des services de renseignement) qui en 2023 a souligné son malaise sur l’utilisation accrue des services de renseignement à des fins de surveillance des organisations écologistes.

    Les forces de sécurité semblent continuer de perfectionner et expérimenter sur les organisations écologistes leurs nouveaux outils de surveillance : drones, caméras nomades, reconnaissance faciale, produits de marquages codés… Parce que ces organisations leur opposent une résistance nouvelle, souvent massive, déployée sur un ensemble de terrains différents (manifestations en milieu urbain, ZAD, méga-bassines…), les forces de police semblent trouver nécessaire l’utilisation de ces outils de surveillance particulièrement invasifs.
    Capter le visage des manifestantes

    Outil phare de la Technopolice, le drone a été expérimenté dès ses débuts sur les écologistes. Difficile d’y voir un hasard quand (d’après la gendarmerie), la première utilisation d’un drone à des fins de surveillance par la gendarmerie a lieu dans le Tarn en 2015, pour évacuer la ZAD du barrage de Sivens. En 2017, c’est Bure (site prévu pour l’enfouissement de déchets nucléaires) qui sert d’expérimentation avant une utilisation officialisée pour la ZAD de Notre-Dame-des-Landes en 2018.

    La gendarmerie y décrit dans sa revue officielle un contexte idéal d’expérimentation avec une utilisation permettant un « grand nombre de premières » : utilisation simultanée de drones et d’hélicoptères de surveillance, retransmission en direct des divers flux vidéos, guidage des tirs de lacrymogènes… Des utilisations qui seront ensuite reprises et normalisées dans les futures utilisations des drones, en particulier pour la surveillance des manifestations. À noter dans la revue officielle de la gendarmerie l’utilisation répétée du terme d’ « adversaires » pour décrire les militantes : « marquage d’adversaire », « manœuvre de l’adversaire »….

    Ce n’est pas non plus un hasard si dans le Livre blanc de la sécurité intérieure, document publié fin 2020 par le ministère de l’Intérieur pour formuler un ensemble de propositions sur le maintien de l’ordre, l’exemple de Notre-Dame-des-Landes est cité pour justifier l’utilisation massive de drones, comme une « une étape importante dans la planification et l’exécution d’une opération complexe de maintien de l’ordre ».

    Résultat : après la généralisation des drones dès 2020 avec le Covid-19, on a ensuite assisté, une fois l’ensemble légalisé à posteriori (et non sans difficultés), à la normalisation de l’usage des drones pour la surveillance des manifestations. Les drones sont aujourd’hui encore bien utiles à la police pour suivre les actions militantes écologistes, que ce soit récemment pour le Convoi de l’eau ou la mobilisation contre les travaux de l’A69.

    À noter que l’imagination de la police et de la gendarmerie ne se limite pas aux drones en ce qui concerne les nouveaux moyens de surveillance vidéo. Plusieurs organisations ont documenté l’utilisation de caméras nomades ou dissimulées pour épier les allées et venues des activistes : caméras dans de fausses pierres ou troncs d’arbres pour la ZAD du Carnet, caméras avec vision nocturne en 2018 dans la Sarthe…
    Ficher le visage des manifestantes

    Autre outil phare de la Technopolice : la reconnaissance faciale. Rappelons-le : la reconnaissance faciale est (malheureusement) autorisée en France. La police ou la gendarmerie peuvent identifier des personnes grâce à leurs visages en les comparant à ceux enregistrés dans le fichier du traitement des antécédents judiciaires (TAJ). L’utilisation qui en est faite par les services de sécurité est aujourd’hui massive, estimée à plus de 600 000 fois en 2021 (donc plus de 1600 fois par jour).

    Il est néanmoins assez rare d’avoir des exemples concrets de son utilisation pour comprendre comment et sur qui la police utilise ce dispositif. À ce titre, comme souligné dans l’article de Rebellyon, la reconnaissance faciale a été utilisée pour incriminer des personnes censément impliquées dans l’affaire Lafarge, avec l’utilisation d’images tirées de la réquisition des vidéosurveillances des bus de la ville pour les comparer au fichier TAJ. Médiapart dénombre dans son enquête huit personnes identifiées via ce dispositif.

    Même chose pour la manifestation de Sainte-Soline : dans un article de juillet 2023, Médiapart relate que les quatre personnes qui ont comparu ont été retrouvées grâce à la reconnaissance faciale. Un premier procès plus tôt, déjà sur Sainte Soline, fait également mention de l’utilisation de la reconnaissance faciale.

    Notons bien qu’au vu des chiffres cités plus haut, l’utilisation de la reconnaissance faciale est massive et n’est pas concentrée sur les militant·es écologistes (voir ici une utilisation récente pour retrouver une personne soupçonnée de vol). On constate néanmoins une utilisation systématique et banalisée de la reconnaissance faciale du TAJ, normalisée au point de devenir un outil d’enquête comme les autres, et de plus en plus présentée comme élément de preuve dans les tribunaux.

    En 2021, nous avions attaqué devant le Conseil d’État cette reconnaissance faciale en soulevant que celle-ci devait légalement être limitée à la preuve d’une « nécessité absolue », un critère juridique qui implique qu’elle ne soit utilisée qu’en dernier recours, si aucune autre méthode d’identification n’est possible, ce qui n’était déjà pas le cas à l’époque. Cela l’est encore moins aujourd’hui à lire les comptes-rendus de Rebellyon ou de Médiapart.
    Marquer les manifestantes

    D’autres outils de surveillance, encore au stade de l’expérimentation, semblent testés dans les mobilisations écologistes. Parmi les plus préoccupants, les produits de marquage codés. Il s’agit de produits, tirés par un fusil type paintball, invisibles, indolores, permettant de marquer une personne à distance et persistant sur la peau et les vêtements. Ils peuvent être composés d’un produit chimique ou d’un fragment d’ADN de synthèse, se révélant à la lumière d’une lampe UV, porteurs d’un identifiant unique pour « prouver » la participation à une manifestation.

    Comme rappelé par le collectif Désarmons-les, c’est dès 2021 que Darmanin annonce l’expérimentation de ce dispositif. Il semble être ensuite utilisé pour la première fois en 2022 lors d’une première manifestation contre la bassine de Sainte-Soline (via l’utilisation par la police de fusils spéciaux, ressemblant à ceux utilisés par les lanceurs paintball). En 2022, Darmanin dénombrait déjà plus de 250 utilisations de ce dispositif.

    En 2023, son utilisation est de nouveau remarquée pour la manifestation contre la bassine de Sainte-Soline. Elle entraîne la garde à vue de deux journalistes qui ont détaillé à la presse la procédure suivie par la police et la gendarmerie pour récupérer et analyser la trace de peinture laissée par le fusil PMC.

    Cet usage ne semble être aujourd’hui qu’à ses débuts. Dans le cadre d’un recours contentieux contre les drones, la préfecture de police, dans une surenchère sécuritaire sans limite, avait notamment émis le souhait de pouvoir équiper ses drones d’un lanceur de PMC. Le ministre de la Justice a également vanté l’utilisation de ces outils dans une récente audition sur le sujet, « utiles pour retrouver la trace d’un individu cagoulé ». Un rapport parlementaire de novembre 2023 rappelle néanmoins que son utilisation se fait aujourd’hui sans aucun cadre légal, ce qui la rend purement et simplement illégale. Si certains parlementaires semblent également s’interroger sur son efficacité, d’autres, dans un rapport sur « l’activisme violent », appellent à sa pérennisation et sa généralisation. Côté gouvernement, après l’avoir expérimenté sur les militants sans aucun cadre légal, le ministère de l’intérieur semble pour l’instant avoir suspendu son utilisation.

    Les mouvements militants ne sont évidemment pas les seuls à connaître cette intensité dans le déploiement des moyens de surveillance : les exilées, les habitantes des quartiers populaires ont toujours été les premières à subir la militarisation forcenée des forces du ministère de l’Intérieur. Néanmoins, cette expérimentation des technologies sur les organisations écologistes est une nouvelle preuve de l’escalade sécuritaire et déshumanisée de la police et de la gendarmerie en lien avec la criminalisation des mouvements sociaux. La France est à l’avant-garde de la dérive autoritaire en Europe, puisqu’il semble être l’un des pays du continent ayant une pratique régulière et combinée de ces nouveaux outils

    https://blogs.mediapart.fr/la-quadrature-du-net/blog/191223/l-activisme-ecologiste-nouveau-terrain-d-experimentation-de-la-techn

    #répression #contrôle #surveillance #écologie #résistance #activisme #technologie #technologie_de_surveillance #cellule_Démeter #cellule_anti-ZAD #CNCTR #drone #ZAD #Sivens #Bure #Notre-Dame-des-Landes #reconnaissance_faciale

  • Et ta #mère, #Zuckerberg, elle est suspendue ?

     :-D :-D :-D

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  • Va te faire emmancher #Zuckerberg, je reviendrai sur FB pour te chier dans les bottes, et un service minimum... #communication #réseau #social #démagogue #spéculateur #politique #société #changement #vangauguin #seenthis

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  • מאות עזתים שנעצרו במלחמה כלואים בדרום עם כיסוי עיניים ואזוקים רוב היום - מדיני ביטחוני - הארץ
    https://www.haaretz.co.il/news/politics/2023-12-18/ty-article/.premium/0000018c-7932-d98c-abef-ffb7fcd70000

    במתקן המעצר בבסיס “שדה תימן” מתו כמה פלסטינים מתחילת המלחמה. צה"ל: מדובר במחבלים, נסיבות מותם בבדיקה. טווח הגילים של העצורים המוחזקים במתקן נע בין קטינים לזקנים והם נחקרים במקום

  • Israel should make Gaza look like Auschwitz - council head
    https://www.jpost.com/israel-hamas-war/article-778367

    Israel should be sending Palestinian Gazans fleeing the fighting to refugee camps in Lebanon, with the entire Gaza Strip being emptied and leveled and turned into a museum like the Auschwitz concentration camp in Poland, Metula Council head David Azoulai told 103FM.

    “After October 7, instead of urging people to go south, we should direct them to the beaches. The Navy can transport them to the shores of Lebanon, where there are already sufficient refugee camps. Then, a security strip should be established from the sea to the Gaza border fence, completely empty, as a reminder of what was once there. It should resemble the Auschwitz concentration camp,” he said in an interview with Ben Caspit and Yinon Magal.

    • Metula, 1500 habitants, un bled touristique à la frontière Nord d’Israël dont l’ignoble maire rêve que des milices chiites ou chrétiennes libanaises butent du réfugié palestinien, comme dans le temps.

      « Metula » settlement head : Hezbollah disabled our infrastructure
      https://english.almayadeen.net/news/politics/metula-settlement-head--hezbollah-disabled-our-infrastructur

      Azoulai questioned how the civilian infrastructure in Lebanon along the border, including a quarry located 70 meters north of “Metula”, could function when all Israeli infrastructure within 4 kilometers of the border remains inoperable due to Hezbollah.

      In turn, the Israeli newspaper “Maariv” pointed out that the Lebanese Hezbollah “drove out settlers from the north,” confirming that it is engaging in a battle against a force composed of three units affiliated with the Israeli army. The newspaper also noted that the Israeli army has strengthened its forces in northern occupied Palestine in recent weeks due to Hezbollah’s targeting of settlements and sites.

      Reports note that the Israeli occupation authorities evacuated new settlements in northern occupied Palestine on Friday, indicating that these settlements had not been evacuated since 1948.

      As reported earlier by the Israeli media, there is a growing concern among settlers in the north about returning to their homes. They have levied accusations against the occupation government, accusing it of abandoning them.

    • C’est pas tant le fait qu’il y a des tarés génocidaires dans ce pays (on en trouve partout) qui me semble parlant, c’est surtout le fait qu’on lui tend le crachoir sur 103FM puis qu’on le reproduise dans le JPost (même propriétaire).

    • Il gère un complexe touristique israélien, avec vue sur le Liban. Ce qui veut dire également qu’il est lui aussi une sorte de juif. Il n’a donc pas dit « faire un Auschwitz israélien » (la version moderne on l’a entendue, elle rêve d’un impossible Hiroschima contre les palestiniens), mais un musée, comme à Auschwitz, où régnait la mort nazie, laissant ainsi entendre, il me semble, non pas extermination par Israël, qui, encore une fois, y compris dans son propre scénario, expulse ou expulserait les palestiniens en bien plus grand nombre qu’il n’en tue. Un site touristique « mémoriel » consacré cette fois à la haine antisémite arabe que Gaza symboliserait. C’est tordu, tapé, sordide d’aveuglement, de bonne conscience et de vengeance. Mais ce n’est pas la même chose. D’autant, je l’ai dit, que cela revient imaginairement à déléguer à d’autres, ennemis (musulmans) compris, une partie des meurtres espérés, comme l’a montré l’histoire du Liban, dès avant Sabra et Chatila.
      L’entendre (ce qui n’est pas admettre ses vues !) suppose de saisir l’aspect matriciel pour toute l’existence juive contemporaine du génocide nazi (et de la longue histoire de persécutions qui précède). Ce que résumait Annette Wieviorka à propos de Klarsefled, à nouveau terrorisé (7 octobre), tétanisé dans le double fond d’un placard, pendant que son père se fait embarquer pour la mort.
      Un fait, des millénaires d’histoire, ça travaille les subjectivités.

      L’antisémitisme n’est pas seulement le prétexte ou l’arme du sionisme.

      Que des juifs répètent, avec des variations contraintes (d’où l’expulsion plutôt que l’extermination pure et simple, qui reste fantasmée et parfois dite par certains), ce qu’ils ont subi de violence (dont le discours suprémaciste et génocidaire), je peux pas m’empêcher d’y voir - faute de le comprendre sans doute- une analogie avec la surreprésentation des ex-enfants battus parmi les auteurs de violences physique, des ex enfants ayant subi des violences sexuelles parmi les auteurs de violence sexuelle. Le contraire d’une reprise (que l’utopie sioniste promettait), la répétition pure.
      D’autant qu’à lire le mépris des juifs du Shtetl exprimé par nombre de juifs « assimilés » d’Europe et théoriciens du sionisme, (un mépris parfois digne de Drumont), il est difficile de ne pas admettre que l’empreinte du racisme (animalisation) était déjà là.

    • Je crois qu’il n’y a plus aucun doute là, non ?

      Israeli Local Council Head Calls to ’Flatten Gaza Like Auschwitz Today’ in Radio Interview - Israel News - Haaretz.com
      https://www.haaretz.com/israel-news/2023-12-18/ty-article/israeli-local-council-head-calls-to-flatten-gaza-like-auschwitz-today-in-radio-interview/0000018c-7bf9-de44-a9be-7ffd05e90000

      Local council head in northern Israel calls for Gazans to be ’loaded up’ on Israeli navy ships and taken to Lebanese refugee camps, with Gaza turned into a museum ’so the whole world will learn what Israel can do

      #Zs

    • Je ne comprends pas ce que tu veux dire @kassem. Encore une fois, la comparaison n’aide pas. Les nazis ont déportés des juifs en masse pour les exterminer. Pas pour les fourguer à des voisins. L’hubris pathétique de ce type est indéniable. L’exploit qu’il vise c’est de rendre vrai a postériori le slogan la « terre sans peuple ». Puis, un musée viendrait inscrire cette vérité aux yeux du monde. Et pourquoi pas gagner au loto ?
      Il y a en Israël des mégalos plus importants que celui-ci qui ont plus nettement que lui tripatouillé la pulsion exterminationniste, sans pour autant disposer d’un plan praticable, quelque soient les scénarios envisagés (la faim, les épidémies, feront, avec retard, l’objet une prise en charge humanitaire) ou à l’étude. Faut sortir du chapeau le lapin Hiroschima, mais d’une part, l’emploi d’une arme nucléaire dans de telles circonstances mettrait en mauvaise posture Israël y compris en occident, et surtout, Ashdod, Beer Siva, Jérusalem et Tel-Aviv sont trop proches.

      Ce type compte pour rien. Le sketch est là pour assurer dans l’espace public israélien la pérennité des discours de haine génocidaire tenus par des responsables israéliens de 1er plan alors même que ces derniers ont du mettre leur trompette raciste quelque peu ’en sourdine, pour continuer une guerre dont l’Europe, par exemple, va finir par réclamer qu’elle fasse l’objet d’un cesser le feu.

  • Serge Klarsfeld, le chasseur de nazis qui n’a plus peur du RN
    https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2023/12/16/serge-klarsfeld-le-chasseur-de-nazis-qui-n-a-plus-peur-du-rn_6206121_4500055

    C’est moi qui suis à cran ou ça devient vraiment totalement ridicule ?

    L’avocat historien a voué son existence à la mémoire de la Shoah. En traquant les anciens dignitaires nazis ainsi qu’en dénonçant avec constance une extrême droite française alors ouvertement antisémite. Pourtant, à 88 ans, le fils de déporté ne considère plus le RN comme un danger, mais comme un allié face au sentiment antijuif et à la menace de l’islamisme.

    • « Le but de Serge, c’est la reconnaissance de la mémoire de la Shoah et surtout la pérennité et la sécurité de ce qu’il reste des juifs, décrypte l’historienne Annette Wieviorka, dont les grands-parents ont été déportés dans le même convoi que celui du père de Serge Klarsfeld. Après le 7 octobre, plus rien n’est pareil. On ne peut pas comprendre la violence du sentiment que cela pourrait recommencer. Il y a toujours chez lui l’enfant de 8 ans caché derrière une fausse porte d’armoire. » Un enfant transi de peur.

      Ça plus un fils qui a conseillé Alexandre Benalla et son rond de serviette chez C News et deux branchement juifs pied noirs sur Perpignan, dont le maire, Louis Aliot

      « C’est l’antisémitisme qui empêche les gens de voter pour nous. Il n’y a que cela… A partir du moment où vous faites sauter ce verrou idéologique, vous libérez le reste », résumait-il, en 2014, face à l’historienne Valérie Igounet (Le Front national, de 1972 à nos jours, Seuil, 2014).

      https://archive.is/zh0kW

      S. K., il y a deux ans : « À l’entendre, il faudrait se débarrasser des musulmans. Mais les nazis disaient pareil des juifs, sans préciser comment. Et nous avons eu les chambres à gaz... Comment Zemmour compte-t-il se débarrasser des musulmans ? »
      https://seenthis.net/messages/941407

      .

    • balancier du temps, inversion et trous noirs de mémoire autodafée qui se noie, l’intelligence est soumise aux mantras séniles qu’aboient les caniches de garde

  • (3) Publier | Fil d’actualité | LinkedIn
    https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7139870640949338113

    [hashtag#Lecture] 🎁 Plus qu’une idée de lecture, c’est une idée de cadeau. "Ada & Zangemann", paru chez C & F EDITIONS sous l’impulsion d’Alexis Kauffmann va éveiller vos enfants au hashtag#LogicielLibre. ⬇

    « Lorsqu’il eut terminé, il envoya tous les nouveaux programmes depuis son ordinateur en or vers les appareils des gens. Zangemann ordonna à ses enceintes de ne jouer que sa musique préférée lorsqu’il passait à proximité, et aux machines à glace de ne plus vendre de glaces dans l’après-midi… »

    Mais que faire quand l’irascible hashtag#Zangemann, l’inventeur de tous les appareils connectés du pays, décide que les skateboards ne doivent plus rouler sur les trottoirs, que les enceintes connectées ne doivent plus jouer qu’une seule musique, et les glaces n’avoir qu’un seul parfum ?

    C’est la petite hashtag#Ada qui a la solution : recycler, fabriquer, programmer... développer ses propres ordinateurs et logiciels en toute liberté, loin de la domination des grands empires commerciaux.

    "Ada & Zangemann", c’est un très beau conte signé Matthias Kirschner et illustré par Sandra Brandstätter, et adapté en français par Alexis Kauffmann et plusieurs classes de collège et de lycée. Il explique aux plus jeunes, mais aux adultes aussi, toute la problématique du logiciel libre et de notre indépendance matérielle et logicielle face aux GAFAM. 

    Et puis, la bonne nouvelle, c’est qu’en plus d’être un beau livre, ce conte est également disponible gratuitement (ou après un don d’un montant libre) sur le site de C & F EDITIONS, en format hashtag#PDF ou hashtag#ePub, sous licence hashtag#CreativeCommons : Attribution, Partage dans les mêmes conditions.

    Un grand bravo à Nicolas Taffin et Hervé Le Crosnier pour cette initiative.

    Le livre, à commander, lire ou télécharger est là ➡ https://lnkd.in/edQr6evi

    hashtag#LogicielLibre hashtag#Lecture hashtag#CadeaudeNoël hashtag#GAFAM hashtag#CFEditions hashtag#Inspiration hashtag#BonDébutdeSemaine

    #Ada_Zangemann

  • Permessi in mano straniera : il vero #business è rivenderli

    La crescita della domanda delle materie prime critiche ha rimesso le miniere al centro dell’agenda politica italiana. Ma sono compagnie extra-UE a fare da protagoniste in questa rinascita perché la chiusura delle miniere negli anni ’80 ha spento l’imprenditoria mineraria italiana.

    “Nelle #Valli_di_Lanzo l’attività mineraria risale al XVIII secolo, quando il cobalto era utilizzato per colorare di blu tessuti e ceramiche. Poi l’estrazione non era più conveniente e le miniere sono state chiuse negli anni ‘20” dice a IE Domenico Bertino, fondatore del museo minerario di Usseglio, Piemonte. Adesso, grazie a una società australiana, i minatori potrebbero tornare a ripopolare le vette alpine.

    Secondo Ispra quasi tutti i 3015 siti attivi in Italia dal 1870 sono dismessi o abbandonati. Ma la crescita della domanda di materie prime critiche (CRM) ha fatto tornare le miniere al centro dell’agenda politica.

    “Abbiamo 16 materie critiche in miniere che sono state chiuse oltre trent’anni fa. Era più facile far fare l’estrazione di cobalto in Congo, farlo lavorare in Cina e portarlo in Italia” ha detto a luglio il ministro delle imprese e del made in Italy Adolfo Urso, ribadendo la volontà del governo di riaprire le miniere. Oltre al cobalto in Piemonte, ci sono progetti per la ricerca di piombo e zinco in Lombardia, di litio nel Lazio e di antimonio in Toscana.

    I protagonisti di questa “rinascita mineraria”, che dovrebbe rendere l’Italia meno dipendente da paesi terzi, sono compagnie canadesi e australiane. Dei 20 permessi di esplorazione attivi, solo uno è intestato a una società italiana (Enel Green Power).

    La ragione è che “le scelte politiche fatte negli anni ‘80 hanno portato alla chiusura delle miniere. E così la nostra imprenditoria mineraria si è spenta e la nuova generazione ha perso il know how” spiega Andrea Dini, ricercatore del CNR.

    La maggior parte sono junior miner, società quotate in borsa il cui obiettivo è ottenere i permessi e vendere l’eventuale scoperta del giacimento a una compagnia mineraria più grande. “Spesso quando la società mineraria dichiara di aver scoperto il deposito più grande del mondo, il più ricco, il più puro, cerca solo di attrarre investitori e far decollare il valore del titolo” spiega Alberto Valz Gris, geografo ed esperto di CRM del Politecnico di Torino, promotore di una carta interattiva (http://frontieredellatransizione.it) che raccoglie i permessi di ricerca mineraria per CRM in Italia.

    Tra le junior miner presenti in Italia spicca Altamin, società mineraria australiana che nel 2018 ha ottenuto i primi permessi di esplorazione (https://va.mite.gov.it/it-IT/Oggetti/Info/1760) per riaprire le miniere di cobalto di Usseglio e Balme, in Piemonte. “Finora sono state effettuate solo analisi in laboratorio per capire la qualità e quantità del cobalto” spiega Claudio Balagna, appassionato di mineralogia che ha accompagnato in alta quota gli esperti di Altamin. “Ma da allora non abbiamo saputo più nulla", dice a IE Giuseppe Bona, assessore all’ambiente di Usseglio, favorevole a una riapertura delle miniere che potrebbe creare lavoro e attirare giovani in una comunità sempre più spopolata.

    A Balme, invece, si teme che l’estrazione possa inquinare le falde acquifere. “Non c’è stato alcun dialogo con Altamin, quindi è difficile valutare quali possano essere i risvolti eventualmente positivi" lamenta Giovanni Castagneri, sindaco di Balme, comune che nel 2020 ha ribadito l’opposizione “a qualsiasi ricerca mineraria che interessi il suolo e il sottosuolo”.

    “Le comunità locali sono prive delle risorse tecniche ed economiche per far sentire la propria voce” spiega Alberto Valz Gris.

    Per il governo Meloni la corsa alla riapertura delle miniere è una priorità, con la produzione industriale italiana che dipende per €564 miliardi di euro (un terzo del PIL nel 2021) dall’importazione di materie critiche extra-UE. Tuttavia, a oggi, non c’è una sola miniera di CRM operativa in Italia.

    Nel riciclo dei rifiuti le aziende italiane sono già molto forti. L’idea è proprio di puntare sull’urban mining, l’estrazione di materie critiche dai rifiuti, soprattutto elettronici, ricchi di cobalto, rame e terra rare. Ma, in molti casi, la raccolta e il riciclo di queste materie è oggi ben al di sotto dell’1%. “Un tasso di raccolta molto basso, volumi ridotti e mancanza di tecnologie appropriate non hanno permesso lo sviluppo di una filiera del riciclaggio delle materie critiche”, dice Claudia Brunori, vicedirettrice per l’economia circolare di ENEA, l’Agenzia nazionale per le nuove tecnologie, l’energia e lo sviluppo economico sostenibile. Oltre alla mancanza di fondi: nel PNRR non sono previsti investimenti per le materie prime critiche.

    Un’altra strategia è estrarre CRM dalle discariche minerarie. Il Dlgs 117/08 fornisce indicazioni sulla gestione dei rifiuti delle miniere attive, ma non fornisce riferimenti per gli scarti estrattivi abbandonati. Così “tali depositi sono ancora ritenuti rifiuti e non possono essere considerati nuovi giacimenti da cui riciclare le materie” denuncia l’ISPRA (Istituto superiore per la protezione e la ricerca ambientale), che chiede una modifica normativa che consenta il recupero delle risorse minerarie.

    https://www.investigate-europe.eu/it/posts/permessi-in-mano-straniera-il-vero-business-rivenderli
    #extractivisme #Alpes #permis #mines #minières #Italie #terres_rares #matières_premières_critiques #transition_énergétique #Alberto_Valz_Gris #permis_d'exploration #Usseglio #Piémont #Adolfo_Urso #plomb #zinc #Lombardie #Latium #Toscane #antimoine #Enel_Green_Power #junior_miner #Altamin #Australie #Balme #urban_mining #recyclage #économie_circulaire #déchets

    –—

    ajouté à la métaliste sur l’#extraction de #terres_rares dans les #Alpes :
    https://seenthis.net/messages/1013289