Je cherche des personnes qui utilisent #wallabag (ou un autre outil dans le genre) au boulot et qui sont journalistes, documentalistes, chercheurs, enseignants, tout-autre-métier-qui-archive-plein-de-trucs.
Je cherche des personnes qui utilisent #wallabag (ou un autre outil dans le genre) au boulot et qui sont journalistes, documentalistes, chercheurs, enseignants, tout-autre-métier-qui-archive-plein-de-trucs.
Moi j’archive plein de trucs, mais pas via #wallabag...
C’est plutôt archivage sur #seenthis pour les rapports et articles de presse, #zotero pour articles scientifiques.
Stockage des pdf sur mon disque dur avec clé dans le titre. Dans mon cas la clé étant NomauteurAnnéepublication (ex. Rekacewicz2015, pour ne pas le nommer).
Et franchement, ça marche... c’est vraiment rare que je ne retrouve pas des documents, mais il faut bien tagguer, c’est essentiel !
Je pense de tester #wallabag dans le prochaines jours.
Gérer sa #veille avec #Zotero 5.0
Lancé dans une refonte du tutoriel que j’utilise dans le cadre de mes enseignements à Lille (et que vous retrouverez sans aucun doute dans la boîte à outils d’ici la rentrée…), il me semble utile de partager ici sans attendre les éléments relatifs à l’une des principales nouveautés de la version 5 de Zotero : la gestion des #flux_RSS
J’utilise depuis des années Zotero (et je suis archi-contente), pas encore utilisé par contre l’outil de veille... qui semble intéressant... mais ceci signifierait... encore plus de matériel de veille !
cc @fil
Je suppose qu’en LTS, il va falloir que j’attende un an pour avoir la version 5…
Cinq ans d’usage de Zotero, un bilan
Une conversation a eu lieu hier sur Twitter au sujet de Zotero, l’outil de bibliographie désormais bien connu développé par le Roy Rosenzweig Center for History and New Media. Les différents arguments – pour, contre, pour mais-sous-conditions– m’ont donné envie de faire le point sur ma propre pratique du logiciel, les atouts que j’y vois mais aussi les difficultés passées.
Ce que l’outil fait à la recherche, ou comment j’ai (re)pensé ma thèse avec Zotero
C’était un dimanche soir, un coup de téléphone avec un ami en fin de thèse, en plein dans les dernières étapes de la rédaction.
Je lui demandai combien de chapitres il lui restait encore à rédiger, et il me répondit, le plus naturellement du monde : « Oh, j’ai presque fini en fait, il ne me reste plus que la bibliographie, qui me prendra quelques jours ». J’ai sursauté : « Comment ça, quelques jours ? Je ne comprends pas, ça prend 5 minutes… Tu n’utilises pas de logiciel de gestion bibliographique ? ».
Ben non… ça ne m’est pas vraiment utile en fait, je préfère perdre quelques jours en fin de thèse à mettre la bibliographie en forme plutôt que de m’approprier un nouvel outil qui va marcher une fois sur deux.
C’est alors que je me suis rendue compte que pour beaucoup, Zotero (et ses homologues EndNote et Citavi, mais je ne parlerai que de Zotero ici) n’est justement QUE cela : un outil, certes potentiellement utile, mais surtout compliqué, rébarbatif, bref appartenant à cet univers riche de promesses de gain de temps mais surtout de bugs : le numérique. Ayant découvert par hasard, au moment de la rédaction de cet article, un autre billet très intéressant sur les avantages liés à Zotero, je choisis à dessein de ne présenter que quelques unes des fonctionnalités souvent méconnues de Zotero au-delà de sa capacité première à créer des bibliographies dans tous les styles et toutes les langues en quelques secondes.
Zotero m’a permis de réorganiser mes lectures
J’utilise Zotero depuis le début de ma thèse, mais j’ai longtemps restreint Zotero à n’être qu’un logiciel de gestion bibliographique. Ainsi, j’archivais auparavant mes références en deux sources distinctes : d’un côté Zotero, avec, parfois, le PDF attaché quand l’article était en accès libre au moment de la récupération des métadonnées, de l’autre, les dossiers (folders) sur mon ordinateur, où étaient archivés tous les articles et mes fiches correspondantes.
Mais avec ce système ce sont posées très tôt des questions liées aux noms à donner aux documents : certes, le format « auteur·e – date – titre » semble assez logique, mais que faire des recensions d’ouvrage, par exemple ? Faut-il les renommer en fonction de la personne qui fait la recension, quitte à ne jamais remettre la main dessus lorsque l’on recherche la référence, ou en fonction de la personne dont l’ouvrage est recensé ? Zotero répond par exemple très facilement à cette interrogation en permettant de combiner les variables auteur·e et auteur·e recensé·e dans les métadonnées (voir capture d’écran 1) ou encore en permettant de lier deux références connexes (voir capture d’écran 2).
Parallèlement, je me suis très vite rendue compte que mes besoins de classement évoluaient au fil de la thèse : alors que j’avais classé certains articles dans tel dossier A ou B au début de mes recherches, je n’étais plus en accord avec cette grille de lecture quelques mois plus tard. Réorganiser mes dossiers sur mon ordinateur à chaque fois, ou chercher en vain un article dans la mauvaise catégorie sont des problèmes que là aussi, Zotero résout aisément, à la fois grâce à un système de tags, qui permet d’affecter des mots clefs à chaque référence, mais aussi parce qu’une même référence peut se trouver dans plusieurs dossiers à la fois [1].
Ainsi, les références liées à un enseignement peuvent être regroupées dans un dossier spécial, lié à ce cours (en jaune sur la capture d’écran 3), mais être situées en même temps dans d’autres dossiers thématiques (en rouge).
Cela est beaucoup plus utile qu’il n’y paraît : lorsqu’il s’agit de dresser un rapide état de l’art d’un concept, aller directement dans tel ou tel dossier fait gagner un temps fou. Cela permet également de se remémorer des références oubliées, qui auront été archivées à plusieurs endroits stratégiques. Il est alors enfantin (un simple clic) de rajouter une référence à un dossier ou au contraire de la retirer d’un dossier s’il se trouve, après (re)lecture, que l’article en question ne traite en fait pas du domaine dans lequel il avait classé initialement (voir capture d’écran 4).
Zotero m’a permis d’annoter mes lectures
La véritable découverte a toutefois été Zotfile, un outil de gestion des PDF. Alors que, durant mes deux premières années de thèse, j’annotais mes lectures à la main et me suis ainsi retrouvée avec des classeurs entiers de notes, j’ai pris la décision, en janvier 2016, de passer au numérique. Cela faisait certes partie de mes bonnes résolutions, mais s’était surtout révélé une nécessité quand, lors de mon séjour de recherche à Oxford à l’hiver 2015, j’avais cruellement manqué de mes articles minutieusement annotés laissés à Berlin. J’ai alors commencé à lire les PDF de mes articles sur ma tablette, et bien que fervente du papier au début, j’ai vite été conquise : les annotations étaient plus propres, plus rapides, et je pouvais facilement retrouver un mot-clef ou un passage en parcourant plusieurs textes à la fois. Comme le dit très justement Caroline Muller dans le billet que je citais en introduction :
En sus de ce côté pratique, j’ai pris conscience en écrivant ma thèse que Zotero m’aidait à mieux explorer mon corpus : le moteur de recherche fouille à la fois les titres des références mais aussi toutes les notes et PDF intégrés. Cela fait « ressortir » des références auxquelles je ne pensais plus, ou encore crée des associations d’idées inattendues.
J’ai donc très vite été convaincue que le passage au numérique, loin de simplement alléger mes valises et mes craintes de ne pas avoir avec moi les références dont j’avais besoin à un moment précis, allait modifier mon rapport à la lecture. Mais les usages de Zotero vont au-delà de l’association de la prise de notes avec le fichier source.
Au lieu des fiches que je constituais jusqu’alors, souvent en copiant-collant les citations essentielles d’un article, je me suis rendue compte qu’une simple annotation au cours de la lecture (donc surligner directement dans le texte) permettait d’extraire les citations, directement suivies de la référence. Oui oui, vous avez bien lu : Zotfile vous crée automatiquement vos fiches de lecture personnalisées. Cela ressemble à ça :
A partir des passages surlignés, Zotfile compose une note associée à la référence. Quels avantages ? Ils sont multiples :
Zotfile archive deux versions de votre fichier – une version non annotée, que vous pourrez ensuite diffuser (par exemple pour vos cours), et une version annotée (voir capture d’écran 6).
– Zotfile indique la date à laquelle ont été prises les notes, ce qui permet de se souvenir ensuite de la période dans ses recherches à laquelle on a découvert une référence et donc, si nécessaire, de réévaluer a posteriori si la référence doit être relue, réinterprétée au regard de nouvelles données ou lectures, etc.
– Zotfile indique déjà la page de la référence et met en forme auteur·e, date et page. En cliquant sur les liens en bleus (voir capture d’écran 5), on arrive ainsi directement au passage du texte correspondant [2].
– Zotfile distingue les annotations issues des passages surlignés lors de la lecture et les notes ajoutées sous forme de bulles dans le logiciel d’annotation PDF (je suis pour ma part très satisfaite de Xodo). Ainsi les annotations issues du surlignage dans le texte seront comme sur la capture d’écran 5 tandis que mes propres notes seront en italique, à l’endroit du texte où la bulle de texte a été insérée.
– Zotfile permet de renommer automatiquement les documents à partir d’une règle que l’on a soi-même créée (voir capture d’écran 7). Ainsi, si on se rend compte en cours de route que l’on veut souhaite modifier son système d’archivage, on peut modifier tous les titres des documents associés aux références d’un simple clic (voir capture d’écran 8). Cela permet également, lorsque l’on « ressort » une référence de Zotero (par exemple, pour la partager pour un cours), que tous les titres des fichiers suivent strictement la même logique.
Zotfile permet de retrouver automatiquement les données associées à un PDF (à condition qu’il ne s’agisse pas d’un scan non océrisé). Il suffit ainsi de « jeter » (drag and drop) un PDF dans Zotero, puis, par un simple clic-droit, la fiche correspondante à la référence est créée (voir capture d’écran 9). Bien utile quand on a téléchargé d’un coup une dizaine d’articles, par exemple.
Zotfile extrait automatiquement la table des matières des articles ou ouvrages ajoutés en PDF ; ainsi, il est possible d’avoir un aperçu rapide d’un ouvrage puis d’accéder directement à la bonne page en cliquant sur le lien (en bleu sur la capture d’écran 10).
Il ne s’agit pour le moment que d’un simple panorama. Mais les fonctionnalités que permettent d’expérimenter Zotero (en libre accès, faut-il le rappeler) sont vertigineuses. Loin de n’être qu’un support technique, Zotero a véritablement modifié en profondeur mon rapport à la bibliographie. Il m’a permis de m’approprier mes lectures différemment et m’aide considérablement lors de la rédaction ou de la préparation d’un nouveau cours. Ainsi, bien plus qu’un simple « outil », Zotero (et le plug-in associé Zotfile) s’est révélé au fur et à mesure de ma thèse un système d’archivage, de classement, de repérage de mots-clefs, et d’annotation de mes documents.
J’espère vous avoir convaincu·e que la demi-journée passée à rentrer toutes vos références dans Zotero est une demi-journée bien utilisée. Je me réjouis de lire vos commentaires, suggestions et questions, et peut-être de découvrir de nouvelles fonctionnalités de Zotero insoupçonnées !
[1] Cela permet également de gagner de la place sur son disque dur. Avant de stocker mes références et mes fichiers dans Zotero, j’avais pris la mauvaise habitude copier-coller les articles en PDF dans plusieurs dossiers pour pouvoir les retrouver quel que soit mon point d’entrée. J’avais donc plusieurs versions du même fichier.
[2] Attention, il peut arriver (mais c’est rare) que les pages indiquées soient celles du PDF (par exemple pages 1 à 22) et non celles de l’article en question (par exemple page 210 à 232). Cela se produit normalement seulement si l’on a extrait un chapitre d’un ouvrage en PDF, par exemple.
Références :
– Cinq ans d’usage de Zotero, un bilan, par Caroline Muller : ►https://consciences.hypotheses.org/1184
– 12 must know Zotero tips and techniques, par Mark Dingemanse : ▻http://ideophone.org/12-zotero-tips-and-techniques
C’est pratiquement le standard de fait dans le monde de la recherche académique
Mon problème c’est que ce n’est pas sur de la recherche académique, mais plus pour un état de l’art, textes officiels, article de magazines, etc. Du coup je m’interroge sur les limitations de ces logiciels orientés bibliographie
Gérer la documentation II – une approche possible utilisant Zotero
▻http://www.boiteaoutils.info/2012/11/gerer-la-documentation-ii-une-approcha
J’ai un usage proche de ce qui est décrit dans cet article, notamment le fait de gérer avec un seul outil les sources primaires (dans mon cas, souvent des vidéos en ligne sur des plateformes diverses et variées) et la littérature secondaire.
J’utilise, et j’en suis bien contente, #zotero, mais voici un outil qui pourrait être intéressant :
Mouais, le gros problème c’est que les bibliographie, on a beau dire, il n’y a jamais deux choses standards... en tout cas dans mon domaine.
J’ai une œuvre de Théodoret le Lecteur, une histoire ecclesiastique, édité par un allemand.
– Soit je met le titre allemande Kirchegeschichte mais cela fait particulièrement ridicule parce que dans le corps de mon texte je vais en parle comme son Histoire ecclesiastique
– Soit je met le titre Français, mais dans ce cas on a le risque que le lecteur ne retrouve pas l’ouvrage
– Soit je met le titre standardisé Historia ecclesiastica, mais c’est le pire des deux.
En fait moi j’aimerai bien avoir un outils qui me permette de gérer 3 titres (voir quatre, si en plus je met le titre grec)...
bon, ok je sais le faire en #biblatex mais un outils standard qui fasse cela, et on choisit ensuite le titre au dernier moment, dans les styles...
Je ne parle même pas des questions plus complexe comme le œuvres anciennes éditées dans des contributions de colloque, eux même édités en plusieurs volumes ...
Encore un message de ma part sur seenthis pour voir si je peux éviter de prendre du temps, car d’autres se sont déjà posés les mêmes questions techniques/technologiques... Car, aussi, ce n’est pas les choses qui m’enthousiasment le plus dans la vie !
J’avoue être très réticente aux #smartphones, car j’espérais ne pas devoir toujours être connectée au monde... mais petit à petit je me dis que peut-être un jour... Mais entre temps, j’ai reçu une #tablette (#android).
Moi même j’ai un ordinateur portable #mac (#apple).
Or, j’utilise pour mes deux adresses #emails (professionnel et privé) le logiciel #Mail de apple (▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Mail_%28Apple%29).
Je ne compte pas vraiment travailler sur la tablette, mais surtout consulter mais mails, que généralement je catalogue avec des étiquettes de couleur (rouge pour les importants à faire, violet pour les articles que je dois encore publier sur le site de Vivre Ensemble, vert pour les livres que je dois chercher en bibliothèque, etc.).
J’ai aussi des dossiers, que je continue à utiliser depuis le temps dans lequel les étiquette n’étaient pas encore si utilisées, mais les dossiers, même si je ne peux pas les utiliser, je m’en fiche un peu ! Les étiquettes, par contre...
Questions :
– est-ce qu’il existe la possibilité d’installer Mail sur la tablette android ? Si oui, quelqu’un a déjà essayé ?
– est-ce qu’on arrive à bien synchroniser ?
– où faut-il que je change de messagerie (et revenir à Thunderbird par exemple) ?
Autre chose que je compte faire avec ma tablette, c’est lire des articles en pdf (et annoter).
Puis au même temps, travailler avec #Zotero, MON logiciel pour la recherche/archivage bibliographique ! En effet, j’ajoute les mots-clés de mes articles, en lisant l’article, sur zotero de façon simultanée. Je lis, j’ai envie de prendre une note, j’ouvre zotero, et je prends la note sur zotero !
Question :
– J’ai vu qu’il y a apparemment un app zotero pour android, quelqu’un a déjà essayé ? Cela marche ?
Voilà quelques questions... les réponses, peut-être, peuvent m’aider à prendre en main la tablette, que j’ai depuis 6 mois et pratiquement jamais utilisée...
Et puis, peut-être, des conseils pour les nuls comme moi :
– Qu’est-ce qu’il faut que je sache absolument pour un fonctionnement intelligent de ma tablette ?
– quels sont les apps qu’il faut absolument télécharger pour que la tablette soit un instrument utile et non pas un truc en plus pour se casser la tête avec ?
– des astuces pour la synchronisation ?
(je ne parle pas de Candy Crush… j’ai réussi à arrêter)
Mail est un logiciel privateur d’Apple et a donc peu de chance de tourner sur Android. C’est une des raisons pour lesquelles il faut utiliser du logiciel libre.
Pour ce qui est d’annoter du PDF, je n’ai jamais rien trouvé de satisfaisant et je continue à couper des arbres, à imprimer et à griffonner.
@stephane : Je suis arrivée à Mail après avoir utilisé pendant des années et avec beaucoup de satisfaction Thunderbird, puis la politique de l’uni où je travaillais a un peu changé... et j’ai commencé à utiliser Mail... peut-être c’est le moment de retourner à Thunderbird.
Pour ce qui est des Pdf, par contre.... cela fait des années que je ne coupe plus d’arbres et que je travaille uniquement avec des documents pdf (avec Adobe PRO). Si vous êtes intéressé, je peux vous dire comment je procède.
Les opinions de la Cour suprême ne mènent nulle part - NYTimes.com
▻http://www.nytimes.com/2013/09/24/us/politics/in-supreme-court-opinions-clicks-that-lead-nowhere.html?hp&_r=2&
Une récente étude montre que 49% des hyperliens qui justifient les opinions de la Cour Suprême américaine disponible sur son site mènent à des erreurs. L’hyperlien, sensé rendre les choses accessibles, ne joue plus son rôle, estiment Jonathan Zittrain et Kendra Albert, les auteurs de l’étude. Comment faire ? Dater les arguments ? Faire une copie des études et argumentaires pointés ? Le professeur Zittrain et ses collègues travaillent à une solution ambitieuse : perma.cc, une plateforme créé par des (...)
J’ai remarqué l’accélération du phénomène d’#obsolescence de l’#information sur #Internet. Internet, malgré le cache de Google, n’a, en fait, pratiquement aucune mémoire. Du coup, pour mes références vraiment importante, j’#archive et #sauvegarde sur #Zotero
Est-ce que ça accélère ou pas ? L’étude sur le site de la Cour Suprême peut-elle être généralisée ? Faudrait-il distinguer durée de vie d’un hyperlien et durée de vie des contenus (qui, étant souvent dupliqués arrivent finalement à être accessibles longtemps en ligne, même si c’est ailleurs que sur le site d’origine) ? Il y a assurément un effet temps qui joue...
Faudrait retrouver la « bonne étude » sur le sujet ;-)
Internet, c’est un peu comme un iceberg, le gros du bousin est à peu près invisible.
Disons que plus le temps passe et plus les liens que j’ai ajouté dans mes papiers deviennent obsolètes.
Sublime Text
►http://www.sublimetext.com/2
un très joli éditeur de texte pour Mac, Linux, Windows
un aperçu des fonctionnalités ici
►http://www.blogoergosum.com/29872-sublime-text-2-zen-coding-w00t
et une astuce pour la config
►http://andrew.hedges.name/blog/2012/01/19/sublime-text-2-more-sublime-with-a-drop-of-dropbox
Dispo depuis un ppa pour ubuntu ici : ►http://www.webupd8.org/2011/03/sublime-text-2-ubuntu-ppa.html
Il existe aussi un plugin GIT pour afficher des logs, des diffs et commiter rapidement comme ave le plugin VC de #geany.
►http://www.webupd8.org/2011/09/sublime-text-2-git-plugin.html
Et il y a même un truc pour installer des plugins depuis l’appli :
►http://www.webupd8.org/2012/01/easily-discover-and-install-plugins-in.html
►http://wbond.net/sublime_packages/package_control
D’ailleurs la liste des plugins dispos est assez impressionnante :
Je tourne avec Gedit depuis des années...
Sublime Text 2 may be downloaded and evaluated for free, however a license must be purchased for continued use. There is currently no enforced time limit for the evaluation.
59$ quand même ...
Grmblbl, Mac OS X 10.5, ca marche pas pour moi, étrange sensation de sous-développé.
Je reste avec mon FocusWriter alors.
►http://gottcode.org/focuswriter
Ca donnait envie pourtant.
Vous en avez d’autres des traitements de texte minimaliste et joli ? Ca serait juste pour de la prose.
Disons un poil moins minimaliste : à celui-ci manque un indicateur, tel un discret ascenseur, de notre position dans un texte dépassant la taille de l’écran.
TextMate a l’air bien aussi,
►http://macromates.com
et il tourne sous
Mac OS 10.4.2 PPC/Intel
mais payant aussi ...
J’ai mis des années à me mettre à Eclipse mais maintenant... j’ai du mal avec les éditeurs poids-plume...
@rastapopoulos Et bien Gedit est joli mais j’ai un bug pour le passage en plein écran : la fenêtre disparaît...
Et il manque des marges sur les bords.
Et bien j’ai du me procurer Word 14 (2010) pour corriger un texte écrit par un tiers sans avoir à galérer en compatibilité. Et bien lui, j’avoue, il en a un bien foutu de mode plein écran ! Quelle horreur l’honnêteté me pousse à dire...
Bon et donc depuis je suis passé à Sublime Text qu’utilisent plein de gens autour de moi. Faut bien dire que ça dépote.
Bon, c’est installé. On va bien voir.
Sinon, une idée pour un logiciel qui permet de rassembler et structurer de la prise de note à la volée ? Pour l’instant, j’écris des trucs quand ils viennent dans gedit et je sauvegarde en .txt la note dans un dossier, mais c’est un peu bordélique.
Pour un projet où je devais compiler beaucoup d’infos éparses et remettre en ordre, j’avais utilisé #CherryTree... Pas mal, mais si quelqu’un a un truc peut-être plus dédié et moins hiérarchique (ouais, j’ai de vrais problèmes avec l’idée de hiérarchie, en fait).
J’ai pensé à réactiver mon compte #Evernote (ouvert le temps de me dire que c’était pas un truc qui garantissait le caractère privé de mes données), mais bon, s’il y avait du libre à la place...
Sinon, dans la catégorie des logiciels pour écrire au kilomètre sans être sans arrêt tenté de faire autre chose en même temps, j’utilise #FocusWriter... sauf qu’il ne bloque pas très bien le second écran... hin, hin, hin.
@monolecte Tomboy pour les notes ? C’est un peu comme un wiki local, avec quelques styles simples pour structurer et des liens rapides entre les notes (que tu peux aussi ranger en collections). Et ya un système de synchronisation/envoi en ligne avec plusieurs méthodes possibles (webdav, copie dans un autre dossier du même ordi comme un d’ubuntu one par ex). Et ya un client Android aussi.
J’avais pas trop adhéré et je l’avais désinstallé. J’ai peut-être eu tord.
J’ai réessayé #Tomboy, puis son fork #gnote, mais j’ai été nettement plus convaincue par les possibilités de #Zim comme éditeur de notes en wiki. Surtout qu’il y a plein de possibilités de modules additionnels pour étoffer le bousin.
Comme @parpaing, je garde aussi #FocusWriter, même si #Zim a un mode plein écran sans distraction tout à fait correct.
Zim aussi peut se synchroniser en ligne, mais, là, je ne sais pas trop faire pour l’instant et je préfère écrire que patauger dans le cambouis.
Après, j’ai installé et testé #SublimText2, mais je dois passer à côté de ses possibilités réelles, parce que, pour l’instant, je ne vois pas trop ce qu’il m’apporte de plus que Gedit... je vais aller voir les liens de @fil.
En gros, y a match entre Zim et CherryTree
Voilà, voilà.
Ok, je retire ce que j’ai dit : #ZenCoding a l’air d’être une vraie tuerie comme plugin additionnel de Sublim Text
Oui, même un €, ça fait des sous.
Ah tiens, je savais pas que Tomboy avait été refait en C++ dans Gnote, merci du tuyau @monolecte.
Et arf, pas d’Emmet dans Gedit pour l’instant... :(
Sinon @monolecte, pas pour le code mais pour le texte, j’ai découvert UberWriter avant-hier : super sobre, on peut l’utiliser uniquement pour du texte brut mais ça gère aussi Markdown pour structurer (titres, gras, etc), et ya un mode pleine écran bien fait ET un mode encore plus « focus » où la phrase en cours est centrée et foncée, tandis que le reste est grisé.
On peut ensuite exporter dans moult formats (utilise #Pandoc).
►http://uberwriter.wolfvollprecht.de
Attention pour l’installer gratos, il faut passer directement par le PPA (c’est bien en GPL, c’est juste qu’il demande une participation si on installe depuis la logithèque) :
sudo add-apt-repository ppa:w-vollprecht/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get install uberwriter
@rastapopoulos J’ai découvert ça en grattant dans la logithèque et Framasoft, comme toujours.
Oui, #Emmet fait vachement envie. Il s’intègre dans #Eclipse, mais c’est typicos le genre d’usine à gaz que j’ai installé une fois avant de me rendre compte que rien que la prise en main excéderait largement le temps disponible pour le projet en cours.
Je vais charger #uberwriter, pour voir.
Et je te conseille Zim par rapport à Gnote, même si ce dernier a probablement l’avantage de la légèreté.
Il s’est amélioré, le moteur de recherche de Sublime Text ? Pas vraiment essayé depuis l’an dernier, mais il me semblait assez limité par rapport à BBEdit (bien évidemment, ça n’est pas le même prix).
zencoding s’appelle désormais emmet
Oui parce que quand tu codes et que ça marche pas, tu n’es pas zen, tu cries « EMMET ! ».
@erwan_deverre je ne connais pas BBEdit mais Sublime Text génère un fichier temporaire dans un buffer pour une recherche sur un dossier, et un double-clic sur un numéro de ligne t’envoie dans le bon fichier au bon endroit, et ça marche bien.
J’aime beaucoup la vanne de @notabene : ça sent le vécu.
Après #BBEdit est un logiciel pour petits bourgeois sous #Mac, parce que les #petits_bourgeois_sous_Mac ont l’habitude de payer plus cher pour des trucs qu’ils pourraient trouver ailleurs dans un #monde_libre :-P
Oui par exemple text-wrangler — ▻http://www.barebones.com/products/textwrangler— qui fait 95 % des fonctions de BBedit : )
@monolecte, #Scrivener devrait t’intéresser
▻http://www.francoismagnan.info/?p=255
Et le site de Scrivener :
►http://www.literatureandlatte.com/scrivener.php
@notabene : merci, je vais rejeter un coup d’œil
@monolecte : ton servage idéologique t’aveugle. Je te suggère d’aller en Corée du Nord, et tu verras ce que nous réserve le #monde_libre.
Hagards, dans les rues et les campagnes, nourris de cailloux, ils sont des millions à tenter d’installer le driver moniteur à l’aveugle sur un clavier EN CORÉEN.
J’assume ma petite bourgeoisie sur mac. (Et il y avait moins de choix quand j’ai acheté ma première licence.)
Le site de #scrivener marche de nouveau. Banzaï!
Ah, putain, ça ne fait que trois jours que je l’ai installé : j’ai tellement bossé dessus que j’ai l’impression que ça fait une semaine. Déjà, je me suis bouffé le tuto interactif en intégral (et en langlish non sous-titré), ensuite j’ai commencé à voir comment faire tourner #Scrivener avec mes autres logiciels qui vont bien, comme #Zotero pour les références et citations. En gros, ce serait mieux si je n’étais pas bridée par la version Linux qui est un peu limitée par rapport à la version Mac native ou même la Windows, mais ça envoie le bois quand même. Donc, merci la communauté de #seenthis en général et @touti en particulier.
On me signale #Celtx, dans le même genre : à suivre ►https://www.celtx.com
Et #docear, pour les productions académique, également valable pour tous les OS ! ►http://www.docear.org
Signalé : #yWriter ▻http://www.spacejock.com/yWriter5.html et #Storybook ▻http://www.novelist.ch/joomla/index.php/en/about-storybook, sachant que ce dernier est multi-OS.
Zotero - Gestion documentaire - Logiciels Libres - Framasoft
►http://www.framasoft.net/article4711.html
Zotero est un module complémentaire du navigateur Firefox qui permet de collecter, annoter, gérer et citer vos différentes sources, documents électroniques ou papier. il offre dans un navigateur des fonctionnalités qui appartiennent en général à différentes applications
Literature and Latte - Scrivener
►http://www.literatureandlatte.com/scrivener.php
Scrivener is a powerful content-generation tool for writers that allows you to concentrate on composing and structuring long and difficult documents. While it gives you complete control of the formatting, its focus is on helping you get to the end of that awkward first draft.
C’est avec ça que tu bosses ?
Je viens de passer 3 jours à me faire le tuto de A à Z : faut que je sois bien motivée. Là, je rame un peu pour l’intégration des ref. biblio depuis #Zotero, parce que sous Linux, ça ne marche pas des masses, alors que c’est prévu grâce à une extension sous Windows et Mac. Sinon, pour les truc plus académiques, j’ai été orientée sur #Docear, je ne sais pas si tu connais ►http://www.docear.org.
Et pour les trucs plus cinéma-doc, on me conseille #celtx ►https://www.celtx.com. Le tout étant entièrement compatible Linux :-).
Après, je patine pour des questions de mise en forme et de correction gramaticale. Tu fais comment ? Tu exportes ton travail quand il est fini et tu corriges | met en forme avec d’autres logiciels ? Tu finalises directement avec #Scrivener ? Tu as déjà tester l’export en Epub ?
Les forums de #Scrivener sont fort actifs. Pour #Zotero, le mieux est de voir avec eux ?
#Celtx fait la même chose que Scrivener mais en beaucoup moins poussé (à mes yeux). Pour tout ce qui est scénario linéaire, ça fait très bien l’affaire. Mais si tu pars sur des projets plus déconstruits ou plus complexe, Scrivener est imbattable.
Le gros avantage de Celtx est d’être collaboratif.
Test de Zotero Everywhere
►http://www.zotero.org/support/standalone
Pourquoi les logiciels de bibliographies sont-ils tous en anglais ? Pourquoi aucune bibliothèque française n’est-elle compatible avec ce genre de logiciels ? Et puis d’abord, comment ça marche ces logiciels ?
(BookEnds, Sente, EndNote…) Y-a bien Zotero mais quand on a beaucoup de références, il rame…
Et puis comment on gère les extraits que l’on veut archiver avant de les réintroduire dans son document ?
En fait, y-a rien de mieux que de souligner le livre dans tous les sens avec des postit’ qui dépassent de partout…
#indexation #zotero