Révélation : Un Palestinien de 80 ans utilisé comme bouclier humain avec une charge explosive attachée à son cou. Après 8 heures, il est abattu
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Un officier supérieur de la brigade Nahal a attaché un cordon explosif au cou d’un vieil homme gazaoui, qui a été forcé de nettoyer des maisons dans le quartier de Zeitoun. Pendant des heures, il a servi de bouclier humain, jusqu’à ce que les soldats lui ordonnent, ainsi qu’à sa femme, de quitter le quartier. Quelques minutes plus tard, ils ont tous deux été abattus | Révélation de HaMakom Hachi Cham BeGuéhinom (L’endroit le plus chaud en enfer).
Par Ilay Perry | 15.02.25
Un officier supérieur de la brigade Nahal a attaché une sangle faite de cordon explosif au cou d’un vieil homme palestinien octogénaire et l’a forcé à servir de bouclier humain, en le menaçant de faire exploser sa tête. L’incident s’est produit lors d’une opération du bataillon dans le quartier de Zeitoun, à Gaza, en mai dernier, selon des informations obtenues par HaMakom Hachi Cham BeGuéhinom.
L’événement a eu lieu lors d’une opération de la division 99 dans la ville de Gaza, où des forces de la brigade Nahal, de la brigade Carmeli et de l’unité multidimensionnelle opéraient dans le quartier de Zeitoun. Des soldats présents sur place ont témoigné auprès de HaMakom Hachi Cham BeGuéhinom et ont raconté qu’un couple de Palestiniens âgés de plus de 80 ans se trouvait dans l’une des maisons fouillées par l’unité.
« Ils ont dit qu’ils n’avaient nulle part où fuir et qu’ils ne pouvaient pas se rendre à Khan Younès. L’homme marchait avec une canne et ils ont expliqué qu’ils n’arriveraient tout simplement pas à aller jusque-là. »
« On lui a expliqué que s’il faisait le moindre faux mouvement, l’homme derrière lui tirerait sur la corde et que sa tête serait arrachée de son corps. C’est ainsi qu’il a marché avec nous pendant huit heures, sachant qu’un soldat était derrière lui, prêt à tirer la corde à tout moment – et qu’il était fini. »
Selon des témoignages, le couple a discuté avec plusieurs soldats arabophones et a expliqué que leurs enfants étaient partis ou avaient fui, les obligeant à rester chez eux.
« À ce stade », raconte un autre soldat, « le commandement a décidé de les utiliser comme ‘moustiques’ ».
Le terme « moustiques », selon CNN, fait référence à la procédure appelée « protocole moustique », déjà révélée par Haaretz et HaMakom Hachi Cham BeGuéhinom. Dans ce cadre, des soldats de Tsahal forcent des civils palestiniens se trouvant en zone de combat à servir de boucliers humains sous la menace d’une arme.
(Note : c’est la première fois que je vois ce site. Je ne sais pas s’il est crédible.)
