Réflexions sur la violence
▻https://lundi.am/Reflexions-sur-la-violence
"Petit à petit, la « question de la violence » apparaît pour ce qu’elle est : une diversion. "
Réflexions sur la violence
▻https://lundi.am/Reflexions-sur-la-violence
"Petit à petit, la « question de la violence » apparaît pour ce qu’elle est : une diversion. "
Dire que « des affrontements ont eu lieu en marge du cortège » a autant de sens que de dire « des buts ont été marqués en marge du terrain de foot ».
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Si l’Assemblée Générale de la Nuit Debout peut-être tour à tour divertissante, touchante ou ridicule, elle ne nous sera d’aucun secours pour nous organiser dans une perspective révolutionnaire. Cette affirmation est un constat pratique : on ne débat pas de ce genre de choses comme on prend un ticket à la boucherie. La succession infinie de prises de parole chronométrées et déconnectées abolit les conditions même d’une conversation construite. Personne ne dit rien d’intelligent en deux minutes.
A propos de la violence et des illusions conciliatrices.
Léon Trotsky Où va l’Angleterre ?- V. La question de la violence révolutionnaire
▻https://www.marxists.org/francais/trotsky/livres/ouvalang/ouvlan08.htm
« Ne pas croire à la violence c’est tout comme ne pas croire à la pesanteur. Toute la vie est bâtie sur des formes diverses de violence, sur l’opposition d’une violence à une autre, et répudier la violence libératrice, c’est encourager la violence des oppresseurs qui gouvernent actuellement le monde. »
#violence #politique #NuitDebout #GlobalDebout etc. dommage que le rss de @lundimatin ne prenne pas les images qui vont avec les textes
Sur la violence révolutionnaire | @Periode
►http://revueperiode.net/sur-la-violence-revolutionnaire
Aujourd’hui comme hier, les luttes d’émancipation sont sommées d’exorciser leur prétendue « violence ». Au cœur des années 2000, à l’heure de l’altermondialisme et des mouvements antiguerre, l’agenda dominant entendait imposer la non-violence comme mot d’ordre : contre les résistances palestinienne et irakienne, contre les black blocs. Dans ce texte de 2003, le philosophe Georges Labica se saisissait de cette conjoncture pour rappeler un fait massif : la période était déjà sous le signe de la guerre globale et d’une mondialisation conquérante. La violence est du côté du système ; pour les opprimés et les exploités, elle est une réponse stratégique. « Les endormissements, les résignations, et les soumissions n’auront qu’un temps. Les conditions sont d’ores et déjà réunies pour qu’éclatent, aux endroits les plus inattendus, soulèvements de masse, insurrections, révoltes sanglantes ou actes “terroristes” que les bonnes consciences vilipenderont de leurs cris d’orfraies. »
Georges Labica (Professeur émérite, spécialiste de philosophie politique, en particulier de l’histoire du marxisme) avait accordé un excellent entretien à Critique communiste, à propos de son livre Théorie de la violence , une de ses dernières publications.
►►http://www.contretemps.eu/interviews/limpossibilite-non-violence-entretien-georges-labica
Théorie de la violence, la Città del sole
Lire aussi : La fabrique de la violence
▻►https://blogs.mediapart.fr/pascal-maillard/blog/020516/la-fabrique-de-la-violence
Ce 1er mai nous a fait respirer plus de gaz que de muguet. La manifestation parisienne aura confirmé que l’Etat est le premier organisateur de la violence. Avec la collusion de quelques médias qui lui servent de ventriloques, il cherche à mettre en scène une décrédibilisation et une criminalisation du mouvement social. Cette double manipulation ne doit pas
passer. Source : Relevé sur le Net...