• « Le testament amoureux » de Serge Rezvani, podcast France Culture
    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/serie-le-testament-amoureux-de-serge-rezvani

    au moins pour l’épisode 4

    .... l’#écriture venant profondément nourrir la vie [et lycée de Versailles] dans un tourbillon déjà célébré dans une célèbre chanson écrite par l’auteur (’Le tourbillon de la vie’ chanté par Jeanne Moreau). En arrière-fond, le bruit du temps se fait entendre – la Révolution Russe, la Seconde Guerre mondiale, mai-68 (...) Envers et contre tout, [#Rezvani] célèbre ici les multiples métamorphoses qu’un être humain opère dans son existence et l’engagement amoureux qui n’est jamais très loin de l’engagement politique. Loin d’être un testament, ce texte est une invitation à vivre, à mettre en œuvre un certain art de la joie."

    #podcast

  • Déclin démographique en Europe plus probable sur le long terme.
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article4512

    La faiblesse des naissances, dans les pays qui ont fait la révolution industrielle d’où l’humanité a pris ses moult consommations, s’accentue. Les moyens de productions qui se sont sécularisés avec le salariat ont eu recours aux travailleurs migrants. La tendance de la perte de la fécondité s’est manifestée depuis plusieurs décennies et elle s’amplifie au fur et à mesure que les autochtones ne produisent pas de descendances. écologie, planète, mer, sauvegarde, générations futures, avenir, verts, intérêts collectifs, humanité,

    / #Data_-_Données, économie , #UE_-_Union_Européenne, Sciences & Savoir

    #écologie,_planète,_mer,_sauvegarde,_générations_futures,_avenir,_verts,_intérêts_collectifs,_humanité, #économie_ #Sciences_&_Savoir

  • Alle Blockaden aufgelöst – 22 Orte gemeldet
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/liveblog/letzte-generation-in-berlin-blockaden-aufgelost--aktivisten-blockieren-

    Zum späten Morgen sind laut einem Sprecher der Polizei alle Blockaden aufgelöst worden. An 22 Stellen sollen die Mitglieder der „Letzten Generation“ am Donnerstag den Verkehr durch Laufblockaden verlangsamt haben:

    Hasenheide/Hermannplatz
    Koloniestr./Osloer Str.
    Danziger Str./Schliemannstr.
    Großer Stern/Str. des 17. Juni
    Danziger Str./Prenzlauer Allee
    Torstr./Schönhauser Allee
    Südstern/Körtestr.
    Tempelhofer Ufer Richtung Möckernstraße
    Brandenburgische Str.
    Bornholmer Str./Wisbyer Str.
    Danziger Str./Landsberger Allee
    Bundesallee/Hildegardstr.
    Tempelhofer Damm Höhe S-Bahnhof
    Karl-Marx-Str./Hobrechtstr.
    Petersburger Str./Kochhannstr.
    Trostr./Christinenstr.
    Landsberger Allee/Weißenseer Weg
    Wisbyer Str./Prenzlauer Allee
    Altonaer Str./Bachstr.
    Bornholmer Straße/Schönhauser Allee
    Gneisenaustr./Baerwaldstr.
    Osler Str./Schwedenstr.

    Bei den genannten Blockaden handelt es sich zum Teil um Meldungen aus der Bevölkerung, die von den Einsatzkräften noch nicht bestätigt worden konnten.

  • Existe-t-il des #terrains_hostiles aux #chercheuses ?

    Les chercheuses font face à de véritables problématiques de terrain dans le cadre de leurs recherches. Du monde militaire en passant par le monde politique, quelles stratégies doivent-elles adopter pour mener au mieux leurs études en dépit des #risques encourus sur le terrain ?

    Avec

    – Marielle Debos Chercheuse à l’Institut des Sciences sociales du Politique et maître de conférences en sciences politiques à Paris-Nanterre
    – Ioulia Shukan Spécialiste de l’Ukraine, maîtresse de conférences en études slaves à l’Université Paris Nanterre et chercheuse à l’Institut des Sciences sociales du Politique et associée au Centre d’études des mondes russe, caucasien et centre-européen
    - Camille Abescat Doctorante en sciences-politique au sein du Centre de recherches internationale de Sciences Po

    C’est un post sur un réseau social qui nous a alerté la semaine dernière sur la publication dans la revue « Critique internationale » d’un vade-mecum intitulé « Genre, sécurité et éthique. Vade-mecum pour l’enquête de terrain. » (https://www.cairn.info/revue-critique-internationale-2023-3-page-59.htm) Son autrice, #Marielle_Debos, spécialiste de politique en Afrique, l’avait tout d’abord destiné à ses étudiantes. Elle s’interroge sur les risques que prennent les chercheuses sur le terrain et la #responsabilité que ces dernières ont vis-à-vis de leurs interviewées.

    Notre deuxième invitée, Camille Abescat, rend sa thèse sur les députés jordaniens cette semaine. Enfin, Ioulia Shukan, spécialiste de l’Ukraine et la Biélorussie, évoquera le changement de nature de son terrain devenu lieu de guerre, qui, comme toutes les chercheuses spécialisées de cette région, a été énormément sollicitée par les médias tout en ayant de plus en plus de difficultés à enquêter pour renouveler ses approches.

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-temps-du-debat/existe-t-il-des-terrains-hostiles-aux-chercheuses-6589647

    #podcast #audio #terrain_de_recherche #recherche_de_terrain #terrain #recherche #femmes

    ping @_kg_

    • #Genre, #sécurité et #éthique. Vade-mecum pour l’enquête de terrain

      Les questions concrètes et matérielles que l’on se pose sur le terrain ne sont pas détachées des questions théoriques, méthodologiques et éthiques. L’article est composé de deux parties : la première est une introduction sur le genre, la sécurité et l’éthique dans les relations d’enquête, la seconde est un vade-mecum qui donne des conseils pour se protéger et protéger les enquêté·es, en mettant l’accent sur les #violences_sexistes et sexuelles. Je défends l’idée que les chercheuses peuvent réinventer une manière de penser et de faire du terrain, entre injonctions paternalistes à la #prudence et déni des difficultés rencontrées. La sécurité, en particulier celle des femmes et des #minorités, sur le terrain et à l’université suppose aussi une réflexion sur les effets de la #précarité et la persistance de #normes (sexisme, #fétichisation des terrains à risques, idéalisation de l’#immersion_ethnographique) qui peuvent les mettre en danger.

      https://www.cairn.info/revue-critique-internationale-2023-3-page-59.htm
      #vademecum #vade-mecum #violences_sexuelles #VSS #paternalisme

    • #BADASSES : Blog d’Auto-Défense contre les Agressions Sexistes et Sexuelles dans l’Enquête en Sciences sociales

      Manifeste

      « Les anthropologues ne se font pas violer ou harceler, les femmes si » (1)
      Moreno, 1995

      C’est ce qu’écrivait Eva Moreno dans un article témoignant du viol qu’elle a subi lors d’une enquête de terrain vingt ans auparavant. Ne nous méprenons pas : la date n’explique rien. Aujourd’hui encore, les violences sexistes et sexuelles s’immiscent dans la relation d’enquête. Sans grande surprise, la fonction de chercheureuse ne nous protège pas. C’est parce que femme, ou minorité de genre, qu’on est harcelé·e, agressé·e, violé·e ; et en tant que chercheureuse et sur notre espace de travail que cela arrive.

      Loin d’être anecdotiques, les violences sexistes et sexuelles dans l’enquête, tout comme dans l’ESR, sont pourtant invisibilisées : à l’Université, c’est le silence qui règne. Alors que les théories féministes et les études de genre ont largement travaillé sur les violences sexistes et sexuelles, que la sociologie regorge d’outils pour analyser les relations de domination, que la réflexivité dans l’enquête s’est imposée dans les sciences sociales, on ne peut que constater l’absence de la prise en compte de ces violences au sein de nos formations. À l’exception de quelques initiatives personnelles, souvent sous forme de séminaires ou de conseils informels aux jeunes chercheureuses, rares sont les TD de méthodologie où l’on discute de ces problématiques, des ressources dont les étudiant·e·s pourraient se saisir pour mieux penser les méthodes d’enquête, se protéger sur le terrain, et acquérir les outils permettant d’analyser et d’objectiver ces violences.

      Ce constat est le résultat d’un manque de considération certain quant au genre de l’enquête. L’enseignement méthodologique se fait le plus souvent à partir de la condition masculine, le devoir de réflexivité s’imposant alors aux seules femmes et minorités de genre – ce qu’illustre d’ailleurs l’importance qui lui est accordée dans les études de genre et de la sexualité. Telle qu’enseignée aujourd’hui, la démarche de l’enquête tend à valoriser les prises de risques. Au nom d’un imaginaire ancré du·de la chercheureuse aventurier·e, du dépassement de soi et de l’injonction à un terrain spectaculaire, les enquêteurices peuvent être poussé·e·s à se mettre en danger, davantage que dans leur vie quotidienne. Les chercheureuses sont encouragé·e·s à privilégier une forme d’intimité avec leurs enquêté·e·s, ainsi qu’à multiplier les relations et les espaces d’observation informel·le·s. En somme, à “tout prendre” pour collecter de “meilleures” données et ce, sans nécessairement avoir la formation indispensable aux pratiques ethnographiques. Fréquemment, la peur de “gâcher son terrain” ou de “se fermer des portes” redouble les risques encourus. Peut-être devrions-nous rappeler que l’abnégation de soi ne fait pas un bon terrain. Il est impératif de déconstruire ces mythes, qui comme toujours exposent davantage les femmes et minorités de genre. Qui plus est, la précarité systémique dans l’ESR – dont les jeunes chercheureuses sont les premières victimes – accentue voire favorise les prises de risques (conditions d’hébergement, de transport…).

      En tant qu’institution, l’Université se doit de visibiliser ces sujets et d’en faire de véritables enjeux. Il est pour cela nécessaire de (re)donner des moyens aux universités, la baisse drastique des financements et des recrutements empêchant la mise en place de véritables formations méthodologiques – qui nous semblent pourtant être un instrument de lutte contre les violences sexistes et sexuelles, mais aussi plus généralement contre toute forme de violence dans l’enquête. Au-delà des moyens financiers, les universitaires se doivent aussi de prendre à cœur et à corps ces enjeux pour mettre fin au tabou qui entoure le sujet des violences sexistes et sexistes dans l’enquête. Mais leur seule prise en charge par les institutions en retirerait la charge politique et épistémologique. Il ne s’agit pas non plus d’être dépossédé·e·s d’espaces autonomes, d’auto-défense, pour se former, échanger, construire ensemble nos savoirs et créer des solidarités dans un champ académique qui, toujours plus compétitif et précarisé, freinent la mise en place d’initiatives collectives. En complément aux espaces déjà existants dans certaines universités ou collectifs de recherche, ce blog se veut donc être un espace dématérialisé, pour créer du lien, mutualiser les ressources, faire circuler discussions et outils, les rendre accessibles au plus grand nombre et en conserver les traces. Si l’approche par le genre est au cœur de ce blog, celui-ci a aussi vocation à visibiliser les violences racistes, validistes, classistes et, dans une perspective intersectionnelle, voir comment elles s’articulent avec les violences sexistes et sexuelles.

      (1) Si la citation de l’autrice se limite aux femmes, notons que notre réflexion et notre travail incluent de fait les minorités de genre.

      https://badasses.hypotheses.org

  • Notules de hall de gare | Stéphane Deschamps
    https://nota-bene.org/Notules-de-hall-de-gare

    Une enfant de 12 ans profite comme si elle n’en avait pas le droit du piano mis à disposition pour égayer la gare. Elle enchaîne quelques notes timides un peu au hasard sur le clavier. Renonce au bout de quelques minutes. Puis un virtuose de gare vient enchaîner des accords façon Keith Jarrett qui aurait pris de la coke. Elle est assise à côté, sagement. Elle regarde. Source : nota-bene

  • [SEFerSol] Visite de clôture !
    https://www.latelierpaysan.org/SEFerSol-Visite-de-cloture

    Depuis 2015, l’Atelier Paysan participe au projet d’expérimentation longue durée SEFerSol Maraîchage Biologique aux Jardins du Pflixbourg, l’exploitation maraîchère du lycée du même nom, en Alsace. Afin de tester, améliorer et valider des itinéraires techniques maximisant les engrais verts en planches permanentes d’une part et adaptant les principes de l’agriculture de conservation des sols d’autre part, l’Atelier Paysan a accompagné les partenaires du projet dans la mobilisation d’outils autoconstruits (...) Actualités

    https://www.latelierpaysan.org/IMG/pdf/sefersol_com_simplifiee_2023.11_02.pdf

  • Retour de la question @seenthis : est-ce qu’on vire les comptes qui puent (trop) la fafitude ?

    – On a LieuxCommuns qui continue à creuser son sillon, on a un Hérétiques Podcast qui ne sent pas la rose non plus, et donc on me repose la question de virer les fachos.

    – Je relance la question ici, parce que comme vous le savez, depuis le début je suis extrêmement réticent à virer des comptes pour des motifs politiques, du moment qu’ils ne perturbent pas le fonctionnement du réseau lui-même.

    – Mais ma position évolue, et je suis moins réticent, parce que maintenant moi aussi j’ai le sentiment d’être submergé par les fachos et leurs discours, partout et tout le temps, sur le Web et hors du Web.

    – Donc je relance la question, en annonçant que si on a un relatif consensus, je ne m’opposerai pas aussi fortement qu’avant à des fermetures de comptes fafs.

    – Par contre j’ai toujours la crainte qu’on ouvre ainsi une boîte de Pandore, avec chacun qui se met à réclamer la fermeture de sa petite liste de détestations : Untel voudra fermer les comptes qu’il croit antisémites, Machine ceux des TERFs, Trucmuche ceux qu’il soupçonne d’être complotistes… J’aimerais donc qu’on sucre des comptes si on a un consensus sur le principe, mais aussi sur les comptes en question, et qu’on fasse bien gaffe à ne pas partir en mode Comité de Salut public.

    • Je n’ai jamais encore eu à lire de post des deux comptes que tu signales, je dois avoir de la chance.

      Par contre j’ai toujours la crainte qu’on ouvre ainsi une boîte de Pandore, avec chacun qui se met à réclamer la fermeture de sa petite liste de détestations

      Oui, je le crains aussi...

    • Pareil, les deux comptes que tu mentionnes n’ont pas atteint mes abonnements, et si c’était le cas je les bloquerais.
      La boîte de pandore, c’est un vrai problème, donc je dirais tant que seenthis n’est pas engagé juridiquement et qu’il suffit de bloquer les comptes en questions, je dirais laisse la bave du crapaud tomber dans le néant.

    • Si ça ne touche pas plusieurs personnes, c’est à priori que le système de blocage + recommandations + niveau de trolling fonctionne un peu. Donc possiblement qu’on peut ne rien toucher pour l’instant (et peut-être que si ya un truc à toucher ça serait d’abord les algos de filtrage trolling etc, avant d’en arriver aux suppressions manuels)

    • on peut préférer le pantouflage, la proprieté privée partout, mais le salut public ne se résume pas au comité du même nom, dont l’histoire n’a rien d’univoque.
      quant au fait de virer les fafs, surtout si ils viennent à perturber les échanges, j’y suis favorable (on les voit partout ailleurs, comme c’est dit)
      pour ce qui est de lieux communs, si ils ont des positions très limites sur divers enjeux, il ne me semble pas que l’on puisse (pour l’instant ?) les considérer comme de simples « alliés objectifs » des fafs.
      hérétiques podcasts, je vois pas ce que c’est, même en cherchant :-)

      par ailleurs, cela reste un problème lorsque des informations faussées ou fausses ne sont pas signalées comme telles par des commentaires, que ce soit en cas de blocage (expérience perso récente) ou d’inattention (coté antisémitisme et complotisme, ça va vite).

      la connerie, on ne peut peut-être pas la vaincre, mais on doit la limiter.

      edit et si il est question de seenthis, c’est plutôt les départs et le peu d’arrivées (de nouvelles sensibilités parmi les abonnés actifs) qui pose question.

      #hygiène #seenthis

    • J’ai déjà croisé ces deux comptes et eu quelques mots avec l’un d’eux. Étant donné mes positions critiques du genre mes opposantes m’ont traité de fasciste ca me rend réticente vis à vis du bannissement. A mon avis l’outil de bloquage fonctionne plutot bien.
      Pour le fait que des propos antisémites pourraient etre tenus, est ce-que seenthis en serait tenu responsable ? Dans ce cas je comprend qu’un bannissement peut etre nécessaire.

    • Merci pour ce débat. Je continue à ne pas être d’accord avec vous. Je pense qu’on n’a aucune obligation morale ou politique à fournir NOS ressources à des vecteurs qu’on devrait combattre, c’est une question indépendante de la liberté d’expression, ils peuvent aller ouvrir leurs comptes ailleurs.

      Les gens qui participent définissent ce qu’est ce réseau. J’ai arrêté de m’impliquer, et de promouvoir seenthis auprès de mes ami·es pour ne pas risquer qu’iels se sentent associé·es avec cette frange pénible, même si heureusement elle est minoritaire. En ce sens, même si les blocages vous protègent individuellement, ça n’a pas « pas d’impact » de laisser la moisissure se répandre. L’odeur se sent de l’extérieur.

    • Moi je suis d’accord pour ne pas héberger les fafs, le hic c’est le processus pour décider qui reste (ou pas) à table. Par exemple @colporteur n’a pas du lire les mêmes trucs infects que j’ai lu sur … et j’ai pas envie d’étaler cette merde. Même chose avec aktivulo et son cheval de troie Offensive Sonore, get out.
      wala
      Merci de nettoyer @arno

    • de nouveau, en raison de la loi, l’antisémitisme se doit, le plus souvent, d’avancer masqué (les chambres à gaz ont-elles existées ? les juifs sont eux aussi des génocidaires eux aussi ? etc.), voire doublement masqué (Médine est un chic type, et en plus, il lutte contre l’antisémitisme...). sinon, plutôt ok avec @fil, si ce n’est @touti que des réacs issus de l’extrême ou de l’ultra gauche mettent parfois... du temps à rejoindre l’extrême droite, bref, qu’il n’est pas toujours aisé de tracer des lignes de démarcation.

  • La conférence de presse de notre membre @AriaLavrilleux va commencer dans 10 minutes au siège de @RSF_inter à Paris
    https://threadreaderapp.com/thread/1704843339256791377.html


    Ils ont utilisé (une fois de plus) la loi d’exception #antiterroriste pour bien flinguer la #démocratie. Et faire peur aux journalistes qui auraient encore la folle prétention de faire leur métier correctement.

    Ça démarre avec une première prise de parole de @RSF_inter qui se dit « soulagé de la libération d’@AriaLavrilleux »
    @RSF_inter @AriaLavrilleux @MathiasDestal, confondateur de @Disclose_ngo, prend la parole. Il rappelle les 40 heures de procédure. Et évoque « une procédure d’exception qui a fait passer Ariane pour une délinquante aux yeux de la loi ».
    Il évoque une « procédure qui porte gravement atteinte à la liberté de la presse, au secret des sources » et le « franchissement d’un cap inquiétant »
    @AriaLavrilleux prend la parole. Elle remercie ses soutiens et tout particulièrement les « soutiens égyptiens »
    Elle a aussi un mot pour @Prenonsla1.
    « À 6h20 du matin, des magistrats 9 agents et des magistrats chargés de la lutte antiterroriste sont venus avec des valises, et des logiciels pour aspirer les données de mes outils de travail »
    "J’ai appris pendant cette perquisition que j’étais placée sous surveillance depuis un moment."
    « Quand je suis arrivée j’étais malade. J’étais assez déshydratée » je vous dis ça pour le contexte, parce qu’après ça s’est pas très bien passée."
    « En cellule les policiers ont refusé de me donner accès aux médicaments contre la diarrhée. Il a fallu attendre l’arrivée d’un médecin à 3 heures du matin. »
    "Le lendemain j’ai été interrogée à plusieurs reprises. À chaque fois j’ai évoqué mon droit à garder le silence.",
    "Les agents de la DGSI ont essayé de créer un climat de confiance, pour essayer ensuite de me faire passer à table ’
    « Je suis sortie le lendemain à 21 heures, par l’arrière du commissariat »
    "J’ai été une témoin privilégiée du détournement de la lutte antiterroriste en France"
    « Des agents qui sont là pour traquer des terroristes ont été mobilisés pendant des jours, peut-être des mois pour traquer une journaliste »
    "Je me demande, comment on en est arrivé là ? C’est une question pour les états généraux de l’information"
    « J’en appelle à vous journalistes. Par votre mobilisation vous avez montrer notre force. Pour la suite je vous appelle à tous les niveaux pour questionner les parlementaires, les politiques. Parce que précisément on n’est pas en Egypte, on n’est pas dans une dictature »
    Début des questions des journalistes à @AriaLavrilleux après une prise de parole de @RSF_inter sur les mesures à mettre en place pour améliorer le secret des sources
    @MathiasDestal parle « d’une violation du droit de la presse d’aller cibler @AriaLavrilleux plutôt que le directeur de publication de @Disclose_ngo »
    @AriaLavrilleux « Je précise que je suis journaliste indépendante. Il y a potentiellement une volonté de taper sur la journaliste la plus faible. Qui est seule, à Marseille. Loin de Paris er des grands médias. Et ben c’est raté ! »
    @AriaLavrilleux « Il y avait au moins trois informaticiens spécialisés de la DGSI. Une multitude de clés usb, de logiciels. Certains logiciels servaient à analyser les donnes. D’autres à les copier. Ils m’ont assurer qu’ils ne gardaient rien. Mais je n’ai que leur parole. »
    "J’ai demandé un engagement écrit comme quoi les données sont bien supprimées. La juge d’instruction a répondu, « ma présence seule suffit ».
    @AriaLavrilleux « Il y a eu une petite mobilisation des politiques mais c’est très insuffisant. Ce qui m’est arrivé peut arriver à nous tous. La fin de la protection des sources c’est la fin du journalisme. »
    @AriaLavrilleux termine en appelant les politiques à prendre leur responsabilité pour « éviter que la démocratie ne meurt dans la pénombre ».
    Fin de la conférence de presse. Merci de nous avoir suivi !

  • OpenAI releases third version of DALL-E - The Verge
    https://www.theverge.com/2023/9/20/23881241/openai-dalle-third-version-generative-ai

    OpenAI announced the third version of its generative AI visual art platform DALL-E, which now lets users use ChatGPT to create prompts and includes more safety options.

    DALL-E converts text prompts to images. But even DALL-E 2 got things wrong, often ignoring specific wording. The latest version, OpenAI researchers said, understands context much better.

    A new feature of DALL-E 3 is integration with ChatGPT. By using ChatGPT, someone doesn’t have to come up with their own detailed prompt to guide DALL-E 3; they can just ask ChatGPT to come up with a prompt, and the chatbot will write out a paragraph (DALL-E works better with longer sentences) for DALL-E 3 to follow. Other users can still use their own prompts if they have specific ideas for DALL-E.

    This connection with the chatbot, OpenAI said, allows more people to create AI art because they don’t have to be very good at coming up with a prompt.

    OpenAI, possibly to avoid lawsuits, will also allow artists to opt their art out of future versions of text-to-image AI models. Creators can submit an image that they own the rights to and request its removal in a form on its website. A future version of DALL-E can then block results that look similar to the artist’s image and style. Artists sued DALL-E competitors Stability AI and Midjourney, along with art website DeviantArt, for allegedly using their copyrighted work to train their text-to-image models.

    #Dall-E #OpenAI #Intelligence_artificielle

  • Pour Israël, les accords d’Oslo ont été une réussite remarquable
    Posted on septembre 16, 2023 | Amira Hass | Haaretz | Traduction SM pour l’AURDIP

    https://aurdip.org/pour-israel-les-accords-doslo-ont-ete-une-reussite-remarquable

    Dans les accords d’Oslo, signés il y a 30 ans, Israël a convenu de réduire progressivement l’occupation, tandis que les Palestiniens étaient contraints de cesser instantanément toute résistance. Chaque côté interprétait la réduction à sa convenance.

    Les représentants palestiniens comprenaient ou espéraient qu’en échange du don avant la fin de 1999 d’une partie de la Palestine historique atteignant 78 pour cent (sans renoncer aux liens personnels-familiaux, culturels, affectifs ou historiques avec cette zone), le contrôle militaire israélien sur les territoires occupés en 1967 prendrait fin, et les Palestiniens établiraient un État dans ce lieu.

    Les Israéliens ont conclu qu’ils avaient gagné un sous-traitant chargé d’effectuer des arrestations et de traquer les opposants (en évitant la Cour suprême d’Israël et le groupe de défense des droits humains B’Tselem, comme le déclara Yitzhak Rabin, Premier ministre de l’époque). Les négociateurs israéliens veillèrent à ce que le texte écrit détaille les étapes du processus sans mentionner le moindre objectif concret (un État, un territoire et des frontières fixes).

    Israël étant la partie la plus forte, son interprétation l’emporta et détermina la nature et la morphologie éternelles de la “réduction” : l’israélisation d’une portion de territoire aussi vaste que possible et, à l’intérieur de ce territoire, des poches d’autonomie palestinienne – séparées, affaiblies et télécommandées, Israël ayant la possibilité de les isoler les unes des autres. On peut faire remonter à 1993 les racines des accords d’Abraham (2020). (...)

    #Oslo

  • Starlink aurait perdu cet été plus de 200 satellites d’une valeur totale estimée à 250 millions de dollars, le nombre de satellites perdus correspond à au moins neuf lancements de la fusée Falcon 9
    https://reseau.developpez.com/actu/348587/Starlink-aurait-perdu-cet-ete-plus-de-200-satellites-d-une-valeur

    De récentes données de suivi des satellites suggèrent que SpaceX d’Elon Musk a perdu plus de 200 satellites Starlink en seulement deux mois cet été. Cette perte est estimée à 250 millions de dollars. Il est difficile d’estimer le coût d’un lancement de la fusée Falcon 9, mais un lancement permet désormais de placer en orbite en moyenne 22 satellites Starlink de nouvelle génération. Par conséquent, au moins neuf lancements ont été anéantis. L’on ignore ce qui a occasionné ces pertes et SpaceX est restée silencieuse sur le sujet, mais certains experts suggèrent que cela pourrait être dû à une tempête solaire et d’autres pensent que les satellites sont peut-être arrivés à la fin de leur vie.

    Les données de suivi des satellites ont été compilées par le site "satellitemap.space". SpaceX aurait perdu au total 212 satellites entre le 18 juillet et le 18 septembre 2023. C’est la première fois que Starlink perd un nombre aussi important de satellites sur une courte période. Les satellites précédemment perdus étaient généralement influencés par des éruptions solaires qui provoquent des changements d’orbite et endommagent les engins spatiaux. Les données montrent que le nombre de satellites Starlink détruits a augmenté régulièrement au cours des trois dernières années, mais un pic significatif peut être observé à partir du mois de juillet de cette année.

    On ne sait pas encore exactement de quel type de satellite il s’agit, en matière de modèle. S’il s’agit des nouveaux satellites Starlink régulièrement lancés par SpaceX, les experts indiquent que la société devra effectuer au moins 9 lancements de Falcon 9 pour compenser les satellites perdus. Les nouveaux satellites Starlink, connus sous le nom de "Starlink V2 Mini", sont plus grands et offriraient une capacité à large bande quatre fois supérieure à celle des anciens satellites. Les nouveaux Starlink V2 Mini sont équipés d’antennes à réseau de phase améliorées et d’un système de propulsion électrique à l’argon plus efficace et plus puissant qu’auparavant.

    Starlink, un projet ambitieux lancé en 2018 par SpaceX, la société de fusée du milliardaire Elon Musk, a rapidement construit la plus grande constellation de satellites Internet en orbite terrestre basse et la plus grande constellation de satellites au monde en les lançant à l’aide de la fusée Falcon 9. Mais les améliorations apportées au vaisseau spatial et les contraintes liées à la fusée Falcon 9 ont réduit le nombre de satellites que l’entreprise peut lancer. Lors des derniers lancements, 22 satellites environ ont été lancés. Cela représente une réduction de près d’un tiers par rapport aux 60 satellites lancés par SpaceX au début de la mise en place de la constellation.

    Les satellites les plus récents sont des engins spatiaux de deuxième génération pour lesquels SpaceX a reçu l’autorisation de lancement il y a moins d’un an. Ils sont plus puissants et donc plus grands et plus lourds que les premiers satellites, ce qui limite la capacité du Falcon 9 à en contenir un grand nombre dans un seul carénage de charge utile. Le dernier lancement remonte au 16 septembre 2023 depuis Cap Canaveral, en Floride, et SpaceX a annoncé que la fusée Falcon 9 a placé 22 satellites en orbite terrestre basse avec succès. Cependant, l’entreprise n’a pas communiqué sur les pertes évoquées par les sites Web de suivi des satellites.

    L’on ignore exactement ce qui est à l’origine de la destruction des satellites. Mais certains experts évoquent la piste des éruptions solaires. Pour rappel, les satellites en orbite terrestre basse ou sur des orbites beaucoup plus éloignés doivent faire face à divers dangers qui peuvent les endommager ou les mettre hors service. SpaceX a dû faire face à un tel événement en février 2022, lorsqu’une éruption solaire a endommagé au moins 40 des satellites Starlink qu’elle venait de lancer. L’entreprise de fusée a confirmé que la chaleur de l’éruption solaire avait augmenté la densité de l’atmosphère et empêché les satellites Starlink de maintenir leur trajectoire.

    Pour atténuer ces risques, SpaceX a déployé des mesures telles que des panneaux solaires rétractables, qui permettent aux satellites de se replier en cas de collision. L’orbite basse des satellites réduit les risques de pollution par les débris spatiaux, car ceux-ci brûlent dans l’atmosphère terrestre au lieu de rester en orbite pendant une longue période avant de perdre de l’altitude en raison de la gravité. D’un autre côté, certains experts suggèrent que les satellites Starlink qui ont brûlé ont peut-être été retirés de leur orbite par SpaceX elle-même après qu’ils ont atteint leur fin de vie. Les satellites Starlink auraient une durée de vie moyenne de cinq ans.

    Cela signifie que les premiers satellites Starlink lancés en 2019 arrivent à leur fin de vie. « Les satellites Starlink sont conçus pour durer 5 ans et les premiers lots ont été lancés il y a maintenant 4 ans. Au fur et à mesure que la constellation arrivera à maturité, les satellites Starlink seront désorbités à peu près aussi vite qu’ils sont lancés. Il me semble que la viabilité à long terme de Starlink (si elle n’est pas déjà rentable) sera assurée si la fusée Starship d’Elon Musk atteint ses objectifs. Ainsi, SpaceX sera en mesure de lancer beaucoup plus de satellites à la fois. Les lancements deviendraient moins chers et les délais plus courts », a écrit un critique.

    Plus de 5 000 satellites Starlink ont été envoyés en orbite terrestre basse depuis lors. Parmi eux, environ 4 500 seraient actifs. Par ailleurs, certains experts ont mis en doute l’exactitude des chiffres liée aux récentes pertes, affirmant qu’ils semblaient anormalement élevés. Selon le site de suivi "satellitemap.space", ses données sont basées sur les informations publiques de suivi des satellites publiées sur "space-track.org" et ailleurs. Les données montrent qu’au 15 juillet 2023, 353 satellites Starlink s’étaient consumés dans l’atmosphère, et que ce chiffre a augmenté de plus de 200 engins spatiaux pour atteindre 568 satellites lors des derniers relevés.

    À titre de comparaison, seuls 248 satellites auraient brûlé au début de l’année. Le nombre de satellites détruits au cours des deux derniers mois est donc supérieur à celui des sept premiers mois de l’année. Bien que SpaceX informe régulièrement la Federal Communications Commission (FCC) des États-Unis de l’état de santé de la constellation Starlink, les rapports sont déposés sur une base semestrielle. Il est donc peu probable que les informations sur les satellites récemment brûlés soient disponibles rapidement. Les entreprises de Musk sont également connues pour leur silence assourdissant face aux demandes de commentaires des médias.

    Alors que son futur rival, Kuiper, filiale d’Amazon, s’apprête à lancer ses propres satellites expérimentaux, SpaceX s’est engagée à respecter les délais de la FCC pour lancer une partie de ses satellites de deuxième génération afin d’éviter les amendes.

  • passe par « Tor® » et « DuckDuckGo® » comme une vulgaire criminelle, maintenant ? N’importe nawak ! Elle a des choses à cacher ?
    — Oui : elle a la réputation d’être une dangereuse dictateuse cruelle et sanguinaire, alors ne voudrait pas que ses opposant(e)s politiques découvrent trop facilement qu’en fait elle passe son temps à jouer à Candy Crush Saga® en regardant des téléréalités.

  • [Psylence Radio] #burn_out
    https://www.radiopanik.org/emissions/psylence-radio/burn-out-1

    Burn out, Bore out, Brown out ... Kezako ?

    Quelles initiatives existent aujourd’hui pour prévenir et destigmatiser ce trouble psychique et social ?

    Pour en savoir plus, nos reporters, chroniqueuses et animateur.ices vous ont préparé une émission spéciale avec un focus sur la question du « travail », car le burn out ne s’applique pas qu’à ce domaine.

    Et nous aurons l’honneur de recevoir deux personnes concernées : le professeur et psychiatre Philippe Corten, fondateur de la clinique du stress du CHU-Brugmann et Camille Mahieux superviseuse de l’équipe bruxelloise IPS, projet pilote de réinsertion adapté aux travailleurs en incapacité de #travail pour raisons de trouble psychique.

    Bonne écoute

    Musiques : « Le travail c’est la santé » (c) Henri Salvador - « Sympathique » (c) Pink (...)

    #travail,burn_out
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/psylence-radio/burn-out-1_16482__1.mp3