• à propos des dangers de la macronie

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Paul_von_Hindenburg


    Il y a trop de similitudes pour ne pas rappeller le sort de l"Allemagne en 1933 .

    Nachdem Hindenburg Adolf Hitler mehrmals als Regierungschef abgelehnt hatte, ernannte er ihn am 30. Januar 1933 zum Reichskanzler. In der Folge ermöglichte er der NSDAP, eine Diktatur zu errichten. Am 1. Februar 1933 löste er den Reichstag auf und unterzeichnete die Notverordnungen, mit denen die Presse- und Meinungsfreiheit (4. Februar) eingeschränkt und die Grundrechte (28. Februar) aufgehoben wurden.

  • GAME ONLY on LinkedIn : #jeuvideo #france #competitivité #fiscalité
    https://fr.linkedin.com/posts/game-only_jeuvideo-france-competitivit%C3%A9-activity-72388132985513451

    Dans un récent rapport intitulé « Revue de dépenses : les aides aux entreprises », l’Inspection Générale des Finances recommande la suppression du Crédit d’Impôt Jeu Vidéo (CIJV). Game Only s’associe au SNJV pour exprimer sa ferme opposition à une telle proposition.

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #cijv #snjv #inspection_générale_des_finances #subvention

  • « L’heure du Nord a sonné » : Gantz juge qu’Israël a déjà trop tardé à faire face au Hezbollah - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1426477/benny-gantz-juge-quisrael-a-deja-trop-tarde-a-agir-a-sa-frontiere-nor

    Nouvelles menaces d’attaquer le Liban

    L’ancien membre du cabinet de guerre israélien Benny Gantz a estimé dimanche à Washington qu’il était temps pour Israël de s’occuper de la situation dans le nord du pays face au Hezbollah et appelé à faire face à l’Iran.

    « L’heure du Nord a sonné et, en fait, je pense que nous sommes en retard sur ce point », a déclaré Benny Gantz, qui participait à un forum de discussion sur le Moyen-Orient (MEAD) dans la capitale américaine, jugeant qu’Israël avait « fait une erreur » en évacuant autant de personnes du nord du pays après l’attaque du Hamas le 7 octobre. Des milliers d’Israéliens ont dû fuir le nord, alors que depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, le Hezbollah et l’armée israélienne échangent presque quotidiennement des tirs à la frontière libano-israélienne. Le parti pro-iranien affirme soutenir ainsi son allié du Hamas et les Palestiniens de Gaza.

    M. Gantz, un ancien chef de l’armée et chef du parti de l’Union nationale (centre), a quitté la coalition gouvernementale en juin, après avoir participé au cabinet de guerre du Premier ministre Benjamin Netanyahu, mis en place après l’attaque du Hamas et depuis dissout.

    Le Hamas ? « une vieille histoire »
    « Je pense depuis de nombreux mois que nous disposons de suffisamment de forces pour nous occuper de Gaza et que nous devrions nous concentrer sur ce qui se passe dans le nord du pays », a-t-il affirmé. « À Gaza, nous avons franchi un point décisif de la campagne. Nous pouvons faire tout ce que nous voulons à Gaza », a-t-il assuré, alors que les opérations de l’armée israélienne s’y poursuivent dans l’attente d’un cessez-le-feu avec le Hamas. « Je pense que nous devrions chercher à conclure un accord pour libérer nos otages, mais si nous n’y parvenons pas dans les jours ou les semaines à venir, nous devrions nous rendre dans le nord ». « Je ne pense pas qu’il faille attendre davantage(...) nous avons la capacité de le faire », a-t-il dit, y compris « en frappant le Liban, si cela s’avère nécessaire ».

    #Gaza #Liban-Sud #hezbollah #impunité #Israël

    • Sur le même sujet voir le thread spéculatif de Nicholas Noe
      https://twitter.com/NoeNicholas/status/1833058740183969903

      Several deeply rooted analysts who’ve long believed another open war between Hezbollah & Israel was unlikely have (privately) come around to the stance that war is indeed likely,tho there’s disagreement about when: roughly short term (coming months) or long term (coming years).1/
      This emerging consensus seems based at a minimum on a shared belief that: 1) doctrinally, ideologically & historically, no Israeli leadership can “allow” a bordering enemy force to persist that durably & significantly restricts its ability to wage wide & decisive war...2/
      ...as it sees fit. 2)Nor can it long stand a massive buffer zone to persist on Israeli territory.3)After Oct. 7, returning to the status quo ante along the N. Border is-additionally-politically & militarily unavailable. Hezbollah has reached all three milestones after decades..3/
      ...of steadily degrading, with its allies & esp. senior partner Iran, Israel’s Qualitative Military Edge. It is also very unlikely under any realistic arrangement to verifiably withdraw from the border areas (emphasis on the impossibility of verifying such a withdrawal - 4/
      ...which would very likely be demanded-in the unlikely event such a concession was even proffered). Adding fuel to the fire is another dynamic that seemed likely by the end of Oct. or so of last year: some Israeli leaders are trying to get Netanyahu et al. on board with a Gaza 5/
      ....ceasefire by publicly messaging that it’s the best way to control the timeline & prep for the necessary & inevitable open war against Hezbollah. It is worth quoting the story in full: "A senior Israeli security official told Israel’s Channel 12 on Sunday that “the campaign 6/
      in Lebanon is getting closer, although the exact timing has not yet been determined.” According to the security source, Israel faces two scenarios: “reaching a deal (with Hamas over a Gaza ceasefire and prisoner exchange) or collapsing the negotiations and quickly entering a 7/
      direct war against Hezbollah. According to the senior official, the first scenario is “reaching a deal, a situation in which Israel will be able to choose its preferred timing for future action against Hezbollah targets.” “Within this scenario, there is hope that Hezbollah 8/
      will refrain from firing during this period, which will allow the IDF to complete its preparations in an optimal way and plan the next moves carefully. “The clear advantage of this scenario is the possibility of operating under more favorable conditions for Israel.” 9/
      “The 2nd scenario is the collapse of the negotiations. In such a situation, it’s expected that Hezbollah will continue firing at the northern settlements,which may force Israel to enter into action more quickly, under less favorable conditions for it." 10/

      Senior Israeli official: Campaign in Lebanon is approaching
      A senior Israeli security official told Israel’s Channel 12 on Sunday that “the campaign in Lebanon is getting closer, although the exact timing has not yet been determined.” According to the securi…
      https://www.naharnet.com/stories/en/307881-senior-israeli-official-campaign-in-lebanon-is-approaching
      By this logic-evident in the months after Oct 7-the definitive collapse of a Gaza ceasefire leads to open war w/Hezb just not in an “optimal” fashion for Israel;if a ceasefire is achieved tho,this merely allows for better prep/timing for IDF to launch the same war in short term.

      https://threadreaderapp.com/thread/1833058740183969903.html

  • manque de s’étouffer : « Un personnage très humain parce qu’étrange », dit la critique littéraire à propos de l’héroïne du dernier roman de Lighieri, « Le Club des enfants perdus ».

    Ha ha ! Que pourrait-il bien y avoir d’étrange dans l’humanité ? Un·e Sapiens Sapiens c’est juste un gros sac de bactéries agglomérées à grand renfort de vanité — on imagine difficilement quelle autre espèce animale pourrait avoir un fonctionnement plus clair et plus basique.

    Allez zou, bouquin suivant.

  • Akim Omiri #LeCheGuevarab !
    « Être de Gauche » ma Première chronique sur La RadioNova dans l’émission
    « La Dernière » avec G. Meurice, Aymeric Lompret, Sale Con, Juliette Arnaud !

    https://video.twimg.com/amplify_video/1833061455421145088/vid/avc1/1080x1920/t7ywiH2CcNhoveuP.mp4?tag=16

    Faisons simple, ce nouveau spectacle a été rodé dans les meilleurs comedy club de Paris. Il n’est pas seulement engagé mais il est surtout très drôle ! Venez vérifier par vous même ;)

    Il a fait du rire une arme puissante pour informer et conscientiser son public. Dans son deuxième spectacle « Contexte », le comique scrute avec sarcasme les débats et les faits de notre société, des réseaux sociaux à la « Cancel Culture » en passant par le complotisme.

    Hilarant et salvateur. https://www.billetreduc.com/343599/evt.htm

    https://x.com/AkimOmiri/status/1833061732337557516

  • Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis) : saisir l’occasion…- Sans nom
    https://sansnom.noblogs.org/archives/23306

    Livry-Gargan : en pleine messe, des voleurs cambriolent une église et repartent avec les dons 20Minutes/Le Parisien, 2 septembre 2024 Très mauvaise surprise pour le père Zhao qui officie à l’église de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis). Dimanche, après la messe, alors qu’il regagnait son presbytère, il (...) @Mediarezo Actualité / #Mediarezo

  • Les entreprises françaises liées à l’économie israélienne entre retrait et effacement
    Emmanuel Riondé | 8 septembre 2024

    Alors qu’AXA a récemment mis fin à tous ses investissements dans les banques israéliennes, Carrefour tente de dissimuler sa présence dans les colonies. Le groupe BNP Paribas est, lui aussi, dans le viseur du mouvement de boycott.

    https://www.mediapart.fr/journal/international/080924/les-entreprises-francaises-liees-l-economie-israelienne-entre-retrait-et-e

    Une vraie victoire, un autre plus « cosmétique » et une offensive qui s’affine. Ces dernières semaines, le mouvement de solidarité avec la Palestine et les campagnes de boycott et de désinvestissement portées par le mouvement BDS et d’autres organisations ont gagné du terrain. Et au moins deux groupes français faisant affaire avec Israël, malgré les crimes commis par son armée dans la bande de Gaza, ont opéré de discrètes prises de distance.

    Le 21 août, l’ONG Eko révélait dans un rapport (en intégralité et en anglais ici, synthèse en français là : https://actions.eko.org/pages/axa-investissements-dans-des-banques-israeliennes-financant-des-crimes- ) que le groupe AXA s’était « désinvesti de toutes les banques israéliennes finançant les crimes de guerre à l’encontre des Palestiniens ». Eko, qui travaille à « limiter le pouvoir » des multinationales, s’appuie sur des données et analyses de l’organisme Profundo et le rapport a été réalisé en coordination avec la coalition « Stop AXA Assistance to Israeli Apartheid ».

    Le document vient ponctuer une campagne démarrée en 2016. Il révèle que le grand groupe français d’assurance et banque a procédé ces derniers mois à un « désinvestissement clair, rapide et délibéré » de trois banques israéliennes, Bank Hapoalim, Bank Leumi et Israel Discount Bank. AXA y détenait jusqu’au 30 septembre 2023 « plus de 2,5 millions d’actions, d’une valeur de 20,4 millions de dollars ».

    Ces trois banques figurent sur la liste des Nations unies recensant les entreprises et compagnies impliquées d’une façon ou d’une autre dans la colonisation des terres palestiniennes en Cisjordanie et à Jerusalem-Est. En 2022, AXA s’était déjà retirée du capital de Mizrahi-Tefahot Bank et de First International Bank of Israel, deux autres établissements figurant sur la même liste. Sous pression de la campagne, la compagnie d’assurance française s’était aussi retirée en 2019 d’Elbit Systems, entreprise d’armement israélienne.

    « Le désinvestissement d’AXA est un succès important pour le mouvement BDS et les activistes qui luttent pour plus de responsabilité des entreprises, se félicite Fiona Ben Chekroun, coordinatrice pour l’Europe du mouvement palestinien BDS, qui a lancé la campagne. Les banques israéliennes font partie du squelette de l’entreprise coloniale israélienne. Et la participation de ces cinq banques va au-delà du simple apport financier : elles financent la construction des colonies, de leurs bâtiments et de leurs rues, mais participent aussi à la réflexion sur leur agencement et leur mise en place dans les territoires palestiniens. »

    Contactée par Mediapart pour confirmer son retrait, AXA répond que le groupe n’a « pas d’investissements dans les banques israéliennes citées dans les appels au boycott ». Relancé pour savoir s’il y en a eu, dans un passé récent, le directeur des relations presse et de la réputation n’a pas répondu. En avril dernier, lors de l’assemblée générale, un actionnaire avait accusé le groupe d’être « complice de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité ». Le directeur général Thomas Buberl avait alors répondu qu’AXA détenait « zéro action » dans les banques israéliennes, ajoutant que le groupe ne prenait « pas position concernant cette crise géopolitique grave ».

    « Même s’ils ont rempli nos demandes initiales, le désinvestissement d’Elbit system et celui des banques, nous allons continuer à investiguer sur AXA, promet Fiona Ben Chekroun. Normalement, quand les objectifs d’une campagne sont atteints, on s’en tient là, mais dans le cadre très spécifique actuel du génocide commis à Gaza, on veut s’assurer qu’AXA n’est pas impliquée dans d’autres entreprises qui y participent. »

    Carrefour retire ses produits des colonies

    Un autre mastodonte français fait l’objet d’une campagne du mouvement de solidarité pour ses liens avérés avec l’économie d’occupation israélienne : le groupe Carrefour, qui en 2022 a signé un accord de franchise avec Electra Consumer Products et sa filiale Yenot Bitan. Electra Consumer Products appartient au groupe israélien Elco Ltd, dont la filiale Electra Ltd participe activement à la colonisation de la Palestine : construction et entretien d’infrastructures dans les colonies et fourniture de services et de matériels à l’armée. Electra Ltd figure, elle aussi, sur la base de données de l’ONU.

    La filiale Yenot Bitan qui commercialise des produits de consommation courante possède, elle, des magasins en Israël et dans les colonies, dont une partie est donc franchisée par Carrefour, qui assume de plus en plus difficilement, semble-t-il. Avant l’été, les organisations mobilisées dans la campagne ont appris que le groupe avait discrètement retiré les produits de sa marque de l’ensemble des magasins Yenot Bitan installés dans les colonies de Cisjordanie.

    Quelques jours après le 7 octobre 2023, alors que les bombardements meurtriers sur la bande de Gaza avaient commencé, la branche israélienne de Carrefour avait assuré sur les réseaux sociaux qu’elle allait faire des « milliers d’envois personnels » aux soldats israéliens. Une communication qui lui avait valu une avalanche de condamnations et d’appels au boycott.

    Depuis, « Carrefour s’est visiblement rendu compte qu’être présent sous son nom dans les colonies israéliennes provoquait des dégâts réputationnels... », ironise Pierre Motin, responsable plaidoyer de la plateforme des ONG pour la Palestine, actrice de la campagne. Prenant acte de ce « petit retrait sur la visibilité et l’affichage de la marque dans les colonies », il lui concède une portée « cosmétique » et rappelle que « les accords de franchise demeurent ».

    Sollicité, le géant de la grande distribution fait savoir à Mediapart que « Carrefour n’est en aucune manière impliqué dans le conflit israélo-palestinien. La marque Carrefour est présente en Israël via un contrat de franchise exercé par une entreprise indépendante. Ce contrat exclut la présence de magasins et de produits Carrefour dans les territoires occupés ».

    Faux, selon Pierre Motin : « En réalité, Carrefour a un accord de franchise avec l’ensemble des magasins Yenot Bitan, qu’ils soient en Israël ou dans les colonies. » En témoigne notamment « une offre d’emploi publiée en janvier 2024 pour recruter du personnel dans une “succursale Carrefour” de la colonie de Maale Adumim », soulignent les ONG dans leur communiqué. S’il a bien disparu des devantures, le groupe dirigé par Alexandre Bompard reste donc présent dans de nombreux rayons des boutiques installées dans les colonies.

    Un soutien à 2 milliards pour BNP Paribas
    Tout autre schéma pour BNP Paribas. Le grand groupe banquier français est, lui, dans le viseur de six organisations (Association France Palestine solidarité, CGT, Fédération internationale des droits de l’homme, Ligue des droits de l’homme, Plateforme des ONG pour la Palestine et Solidaires) qui lui reprochent de « financer l’État israélien en pleine guerre contre la population civile de Gaza ». Selon des révélations faites le 23 juin dernier par le quotidien L’Humanité, BNP Paribas s’est engagé à garantir 2 milliards de dollars d’obligations émises par l’État d’Israël sur un total de 8 milliards, soit un quart de la somme.

    « Vous contribuez, par votre financement de la dette souveraine de l’État d’Israël, à la poursuite d’une guerre dont la plus haute juridiction internationale souligne qu’elle est porteuse d’un risque génocidaire », alertent les six organisations dans un courrier adressé au directeur général du groupe, Jean-Laurent Bonnafé, le 2 août dernier.

    La « responsable du dialogue avec les ONG de plaidoyer » de BNP Paribas, sollicitée par Mediapart, n’a pas donné suite à notre demande d’entretien. Selon nos informations, elle doit rencontrer les organisations qui ont rédigé le courrier dans les dix jours à venir.

    « Nous allons rappeler à la BNP qu’elle a un devoir de vigilance et qu’elle doit être cohérente avec sa ligne de conduite », prévient Pierre Motin. La question du financement d’Elbit system devrait aussi être mise sur la table. Selon un rapport de la coalition Don’t buy occupation, BNP Paribas est en effet également la principale institution financière du fabricant d’armes israélien, auquel elle a accordé 174 millions de dollars de prêt en 2022 (voir en page 74 de ce rapport, en anglais).

    Israël ne communique jamais sur les conséquences des campagnes de boycott et de désinvestissement sur son économie. Mais le petit État, épinglé à deux reprises en six mois par la Cour internationale de justice (le 26 janvier pour des risques de génocide à Gaza et le 19 juillet pour l’illégalité de sa politique d’occupation), semble bien être entré dans une zone de fortes turbulences économiques. Près de 60 % des investisseurs étrangers se sont détournés du pays ces derniers mois. Et en février dernier, l’agence de notation Moody’s a dégradé sa note.

    Quel poids les campagnes du mouvement de solidarité ont-elles dans ce schéma d’affaiblissement ? « Il est difficile d’évaluer l’impact réel de tels désinvestissements sur l’économie israélienne, reconnaît Fiona Ben Chekroun. Mais nous allons continuer sur ce terrain, car il y a une certitude : le système d’oppression israélien continue d’exister essentiellement grâce à la complicité internationale, notamment celle des institutions financières. Il est certain que si beaucoup de ces partenariats s’arrêtent, ça pèse. »

    D’autres sociétés françaises sont dans le viseur. Et la militante l’assure : « On ne communique pas pour le moment, mais certaines peuvent se faire du souci parce que le mouvement de solidarité enquête, investigue et sait très bien de quoi ces institutions sont complices... »

    Emmanuel Riondé

    #BDS

  • Michel Barnier ou « la faute à la gauche » : l’éditocratie jubile - Acrimed | Action Critique Médias
    https://www.acrimed.org/Michel-Barnier-ou-la-faute-a-la-gauche-l

    Accabler la gauche : tel fut l’un des projets de l’éditocratie au soir puis au lendemain de la nomination de Michel Barnier au poste de Premier ministre. Quand ils ne chantent les louanges de l’« homme de consensus » (Le Monde, 5/09), du « négociateur éprouvé » et « grand européen » (La Croix, 6/09), de l’« écologiste » (France Culture, 6/09), du « gaulliste social » (France Inter, 6/09) ou du « gaulliste modéré » (Le Parisien, 6/09), les médias dominants sollicitent des responsables du Nouveau Front populaire pour mieux les clouer au pilori : un doux parfum de pluralisme souffle sur l’audiovisuel français. Florilège.

  • Le journaliste, escroc des vanités ?
    https://laviedesidees.fr/Le-journaliste-escroc-des-vanites

    Un journaliste fait semblant de croire à l’innocence d’un assassin pour gagner sa #confiance et publier son #enquête. S’estimant trahi, l’assassin poursuit le journaliste en justice. Qu’est-ce que cela nous dit de l’enquête en sciences sociales ?

    #Société #journalisme
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20240909_journalistes.pdf

  • Pourquoi de nombreux pigeons n’ont-ils qu’une seule patte ? - Ça m’intéresse
    https://www.caminteresse.fr/animaux/pourquoi-de-nombreux-pigeons-nont-ils-quune-seule-patte-11196991

    Dans l’inconscient collectif, les pigeons estropiés sont dans cet état à cause d’accidents, de combats avec des congénères… Pourtant, la disparition des pattes et des doigts chez ces oiseaux est due à nos cheveux.

    En ville, notamment aux abords des gares, il est fréquent de croiser plusieurs pigeons guettant des traces de nourriture. À la différence de leurs cousins des campagnes, les oiseaux des villes ont souvent un moignon, une patte ou des doigts manquants. Ce détail physique, combiné à la mauvaise réputation de cet oiseau souvent surnommé « rat volant », fait que de nombreuses personnes ne souhaitent pas approcher les pigeons par peur des maladies qu’ils peuvent transmettre. Pourtant, la raison derrière la disparition des pattes des pigeons n’a aucun lien avec une maladie ou la pollution. Ce sont nos cheveux qui provoquent la perte des pattes d’oiseaux, et ce d’une manière douloureuse pour l’animal.
    Pourquoi certains pigeons parisiens perdent-ils leurs pattes ou n’ont plus de doigts ?

    À la naissance, les pigeons ont des pattes normales. D’ailleurs, s’ils vivent à la campagne ou dans une petite ville, ils ont peu de risques de perdre leurs doigts ou une patte. Pour comprendre pourquoi le phénomène est répandu sur les oiseaux des villes, des chercheurs français du Muséum d’histoire naturelle et de l’université de Lyon ont mené une étude en 2019. Ils ont étudié 46 sites à Paris où les oiseaux avaient leurs habitudes. Leurs conclusions suggèrent que la pollution et la densité de population d’un quartier peuvent expliquer les mutilations dont les pigeons sont victimes. Cependant, les chercheurs ont observé une augmentation du nombre d’oiseaux sales, porteurs de moignons ou avec des doigts manquants dans les quartiers ou les rues abritant des coiffeurs.
    Comment les cheveux peuvent-ils couper les pattes des pigeons ?

    Après une coupe, les coiffeurs jettent les cheveux coupés à la poubelle. Ces déchets capillaires sont mélangés aux déchets alimentaires dans les poubelles de rue. Cependant, les conteneurs sont perçus par les pigeons comme des garde-mangers. Ils ont ainsi l’habitude de grignoter les déchets tombés au sol. C’est en marchant ou en picorant que des cheveux coupés s’emmêlent dans les pattes des pigeons. L’accumulation peut former un garrot sur le doigt ou la patte de l’oiseau. S’il n’est pas enlevé, le garrot provoque une nécrose sur la zone concernée, conduisant à terme à la chute des membres malades. C’est pourquoi les « amputations » involontaires des pigeons seraient plus nombreuses dans les quartiers abritant des salons de coiffure.
    Pourquoi y a-t-il autant de pigeons à Paris et dans les grandes villes ?

    Les pigeons peuvent vivre dans plusieurs environnements différents. Ils ont simplement besoin de nourriture ainsi que de falaises ou de parois rocheuses où nicher. L’environnement urbain offre une sécurité supplémentaire aux oiseaux : l’absence de prédateurs. Il est aussi plus facile pour les pigeons de trouver de la nourriture en ville. Enfin, il faut savoir qu’une femelle pigeon peut avoir jusqu’à six couvées par an comprenant jusqu’à douze œufs. Cette rapidité de reproduction fait que les pigeons ont davantage tendance à proliférer dans les grandes villes, même si les cheveux peuvent être dangereux pour leurs pattes.

  • Leon Windscheid über Berlin: „Ich komme in keinen Club, würde aber gerne mal“
    https://www.berliner-zeitung.de/panorama/leon-windscheid-ueber-berlin-ich-komme-in-keinen-club-wuerde-aber-g

    Der Millionär spricht.

    9.9.2024 von Anne Vorbringer - Leon Windscheid ist Psychologe, Millionengewinner und Teilzeit-Berliner. Als solcher würde er gern Berghain, Sisyphos und Co. besuchen. Warum hat’s nicht geklappt?

    Viele werden sich noch daran erinnern; schließlich kommt es nicht sehr oft vor, dass jemand bei Günther Jauchs Show-Dauerbrenner „Wer wird Millionär?“ den Hauptgewinn abräumt. Seit 25 Jahren wird die Sendung ausgestrahlt – aber nur 13-mal lösten Kandidaten die Millionenfrage, die Prominenten-Specials nicht mitgerechnet.

    Am 7. Dezember 2015 war es für Leon Windscheid so weit: Als elfter Kandidat regnete es für ihn das Millionen-Konfetti; von seinem Gewinn kaufte er ein Schiff, das er einem Versprechen an den Moderator folgend nach Günther Jauch benannte. Heute betreibt Windscheid die „MS Günther“ als Event- und Kulturlocation in Münster.

    Doch der Psychologe hat noch viele andere Tätigkeitsfelder. Er schreibt Bücher, macht Podcasts und moderiert verschiedene TV-Formate. So erkundet er aktuell für die ZDF-Reihe „Terra X“ die Geschichte großer Metropolen und ist dafür unter anderem in New York, Istanbul und Paris unterwegs.

    Mit Metropolen kennt sich der 35-Jährige auch privat ganz gut aus, wie er in unserem Berlin-Fragebogen verrät. Seinen Lebensmittelpunkt hat Windscheid zwar in Münster, doch er wohnt auch in Berlin; in Neukölln, um genau zu sein. Wir haben ihn gefragt, welche Vorzüge – und Nachteile – beide Städte mit sich bringen.

    1. Herr Windscheid, Sie kommen aus Bergisch Gladbach, sind in Solingen aufgewachsen und haben in Münster studiert. Warum hat Ihr Weg Sie nach Berlin geführt? Ich habe vorher auch noch in Frankreich, in Spanien und dann in Istanbul gelebt. Danach wollte ich den Trubel der großen Stadt. Zuerst bin ich nach Prenzlauer Berg gezogen, dann nach Neukölln an die Sonnenallee, was Istanbul natürlich deutlich näherkommt.

    Robert Stadlober über Berlin: „Die Stadt wird ohne Rücksicht verkauft und glattgebügelt“

    Ingo Naujoks über Berlin: „Ich bin kein Fan vom Prenzlauer Berg“

    2. Inzwischen leben Sie in Münster und Berlin. Wie kommt es denn zu dieser Mischung?

    Was mir in Münster an Metropole fehlt, finde ich in Berlin – und wenn ich mich in Berlin nach Ruhe sehen, dann geht es zurück nach Münster.

    3. Münster gilt allseits als beliebte und lebenswerte Stadt, auf Berlin hingegen wird immer gern draufgehauen. Betreiben Sie auch manchmal Hauptstadt-Bashing?

    Nein! Wobei ich manchmal kurz davor bin, wenn ich in Neukölln am selben Tag zweimal in einen Haufen trete.

    4. Wie viel von Ihrem „Wer wird Millionär“-Gewinn haben Sie eigentlich in der Hauptstadt investiert?

    Die Million fährt als „MS Günther“ in Münster auf dem Kanal.

    Infobox image

    Florian Breier/ZDF

    Zur Person

    Leon Windscheid hat Psychologie studiert und im Bereich Wirtschaftswissenschaften promoviert. Bereits zu Schulzeiten machte er sich als Eventmanager selbstständig. Große mediale Aufmerksamkeit erreichte der Sohn eines Lehrerehepaars, als er 2015 bei „Wer wird Millionär?“ eine Million Euro gewann.

    Seit 2023 moderiert er einzelne Ausgaben des ZDF-Reportageformats „Terra Xplore“. Dort beschäftigt er sich im September mit dem Thema toxische Männlichkeit. Seine drei „Terra X: Weltstädte“-Folgen über New York, Istanbul und Paris sind in der Mediathek abrufbar, im ZDF werden sie ab dem 8. September jeweils sonntags um 19.30 Uhr ausgestrahlt. Ab Herbst geht Windscheid dann mit seinem neuen Live-Programm „Alles Perfekt“ auf Tour, damit gastiert er am 6. April 2025 im Berliner Tempodrom.

    5. Welcher ist Ihr Lieblingsort in Berlin?

    Ich mag die Parks, aber vor allem das Tempelhofer Feld mit seiner Weite. Da gibt es einen ganz wilden Garten mit Möbeln aus Sperrmüll und Paletten. Genau so mag ich’s!

    6. Ihre persönliche No-go-Area?

    In Mitte ist es mir oft zu voll. Aber No-go-Areas habe ich nicht.

    7. Wo in Berlin wollten Sie immer schon mal hin, haben es aber noch nie geschafft?

    Ich komme in keinen Club, würde aber gerne mal. Im Sisyphos wurde ich abgewiesen, nach drei Stunden Anstehen. Weil ich nicht wusste, wie die Floors heißen. KitKat: abgewiesen, weil Outfit zu spießig. Im Berghain habe ich es nach alldem nicht mal versucht. Im Matrix hat’s geklappt, das spricht für sich.

    Katja Eichinger über Berlin: „Bei der U8 muss ich mich jedes Mal überwinden“

    8. Ein Abend mit Freunden – in welchem Restaurant wird reserviert?

    Ammazza che Pizza am Maybachufer. Das ist ein Hipster-Hotspot, aber die Pizza ist wirklich gut. Plus direkt am Kanal. Ich mag das wuselige Drumherum.

    9. Einkaufen in der Stadt – in diesem Store kennt Ihre Kreditkarte kein Limit:

    Dear, ein kleiner Secondhandshop in der Stargarder Straße in Prenzlauer Berg. Der ist echt wunderschön. Ich kaufe aber nicht wirklich viel Klamotten.

    10. Der beste Stadtteil Berlins – von diesem Kiez kriege ich nie genug:

    Der Körnerkiez in Neukölln! Bei mir um die Ecke, ehrlich, bodenständig.

    11. Das nervt mich am meisten an der Stadt:

    Wenn die Hitze im Sommer zwischen den Häusern steht. Dann wünsche ich mir die Felder von Münster.

    12. Kommen vs. Gehen: Nach Berlin ziehen oder es lieber bleiben lassen?

    19,50 Euro Miete pro Quadratmeter im Median und damit Platz zwei hinter München – ich mache mir eher Sorgen, dass die, die da sind, es sich bald nicht mehr leisten können.

  • Khrys’presso du lundi 9 septembre 2024
    https://framablog.org/2024/09/09/khryspresso-du-lundi-9-septembre-2024

    Comme chaque lundi, un coup d’œil dans le rétroviseur pour découvrir les informations que vous avez peut-être ratées la semaine dernière. Tous les liens listés ci-dessous sont a priori accessibles librement. Si ce n’est pas le cas, pensez à activer … Lire la suite­­

    #Veille #Claviers_invités #GAFAM #Internet #Revue_de_web #Revue_hebdo #Surveillance #veille #webrevue

  • Arrêtons de considérer les Géorgiens comme des valets de l’Occident
    https://www.les-crises.fr/arretons-de-considerer-les-georgiens-comme-des-valets-de-l-occident

    Le narratif de la « russification » risque de provoquer une véritable crise électorale en octobre, et Washington et Bruxelles semblent l’encourager, aux risques et périls de tous. Source : Responsible Statecraft, Anatol LievenTraduit par les lecteurs du site Les-Crises La présentation occidentale classique de la politique géorgienne actuelle décrit le gouvernement issu du parti […]

  • #Chronovélo #cours_Berriat : de la #contrainte naîtront les nouveaux #usages

    Depuis plusieurs mois, trois unions de quartier font part dans la presse locale (https://www.placegrenet.fr/2023/10/20/chronovelo-grenoble-fontaine-trois-unions-de-quartier-refusent-le-futur-sens-unique-cours-berriat-sans-faire-lunanimite/616121) de leur désaccord concernant le tracé de la piste cyclable Chronovélo n°1 sur la portion du cours Berriat entre J. Jaurès et l’Estacade (https://www.ledauphine.com/transport/2023/11/22/isere-grenoble-mise-en-sens-unique-du-cours-berriat-les-unions-de-quarti). Afin de maintenir un double-sens automobile, leurs membres souhaitent que la Chronovélo soit réduite en largeur, alors que l’aménagement prévu est déjà en-deçà des recommandations du CEREMA (https://www.cerema.fr/fr/actualites/rendre-sa-voirie-cyclable-cles-reussite-guide-pratique-du).

    Parlons-Y Vélo vous explique pourquoi il s’agit d’une (très) mauvaise idée.
    Le transit, un faux débat

    Ces unions de quartier expriment des craintes quant à l’augmentation du trafic dû au report de circulation sur la rue Nicolas Chorier. Cependant, nous refusons de nous appuyer sur des craintes non étayées pour justifier une dégradation de l’aménagement cyclable prévu. Focaliser le débat sur le trafic de transit n’est qu’une expression de la peur du changement.

    Comme les unions de quartiers, nous constatons, que l’automobile dans les espaces urbains est source de bruits, de pollutions, de dangers en particulier pour les plus vulnérables. Il convient de rappeler que 99,8 % des piétons tués en France l’ont été par un conducteur de véhicule motorisé (Libération, 2023).

    Le trafic de transit, par définition, ne s’arrête pas dans le quartier, il le pollue uniquement. Nous proposons donc de revoir totalement le plan de circulation du quartier afin qu’il n’accueille plus de trafic de transit sur aucune de ses rues traversantes. Il s’agit du principe de « #plan_en_marguerite ». Ce type de plan de #circulation existe dans d’autres villes européennes dont personne ne viendrait questionner l’attractivité ou la vitalité commerciale : Gand en Belgique, Barcelone en Espagne, par exemple.

    Ce type de #plan_de_circulation est un des leviers pour imposer une contrainte sur le #trafic_automobile, sans empêcher l’utilisation de la #voiture pour les besoins des résident-e-s. Cependant, celle-ci perd en #attractivité par rapport aux autres modes de transport. Le quartier Chorier-Berriat est longé par deux lignes de tramway, dispose de nombreux arrêts de bus métropolitains, et jouxte la gare de Grenoble et ses nombreuses destinations routières et ferroviaires. En 2020, les données INSEE montrent que voiture, marche et vélo sont déjà proches en part d’utilisation pour les trajets domicile-travail, il ne suffit que d’un coup de pouce pour renverser la balance.

    La contrainte sur le trafic, un levier majeur pour son évaporation

    Il est aujourd’hui inutile de rappeler les bienfaits des modes actifs sur la santé, et le besoin de décarboner les transports de courte ou longue distance. un espace public libéré des voitures permet d’autres usages : végétalisation, jeux d’enfants, extension commerçante , bancs, etc. Contraindre les #accès_automobiles amène un effet qui ne revient presque jamais dans le débat public : il s’agit de l’#évaporation_du_trafic, qui a été récemment confirmée par une thèse (https://transitec.net/fr/actualites/item/11224-levaporation-du-trafic-un-concept-confirme-par-une-these.html). Il est donc faux de considérer le trafic automobile comme une donnée constante : celui-ci évolue selon les choix qui sont faits sur l’espace public.

    Le projet Cœur de Ville – Cœur de Métropole de Grenoble, qui a consisté entre autres à la suppression du transit sur l’axe Rey-Sembat-Lyautey en hyper-centre, a été un très bel exemple d’évaporation du trafic. après 1 an de mise en place, 4% du trafic en entrée du centre-ville avait disparu (https://www.eco-compteur.com/ressources/grenoble-alpes-metropole-france). La #fréquentation_piétonne, elle, a bondi.

    Mais pour le #secteur_Berriat, malgré de nombreux compteurs de trafic automobile présents sur les routes de la Métropole, il est impossible de pouvoir juger de l’évolution… faute de la diffusion des données. À l’instar des unions de quartier, nous attendons avec impatience la publication de chiffres à ce sujet. Le silence actuel profite aux marchands de peur, et contribue à des débats passionnés, sans étaiement objectif possible. Nous le regrettons.

    La qualité de ville, la vraie question

    Si la #part_modale du vélo à Grenoble a fortement augmenté depuis 2015 (https://www.ledauphine.com/transport/2023/11/27/isere-velo-grenoble-fait-la-course-en-tete), c’est grâce à l’arrivée d’un nouveau public sur les bicyclettes, qui n’osait pas utiliser ce transport jusqu’alors : femmes, enfants, personnes âgées, etc. ainsi que le développement de nouvelles pratiques : vélos adaptés aux PMR, vélos couchés, cyclologistique. Rappelons qu’un enfant doit rouler hors du trottoir dès ses 8 ans, ce qui implique qu’il puisse le faire sur la chaussée. Ces nouvelles utilisations du vélo sont permises par la largeur importante du réseau Chronovélo. En effet, une piste cyclable large ne permet pas seulement d’absorber un trafic plus important ; elle offre un cadre sécurisé et agréable aux personnes plus lentes ou disposant de vélos-cargos ou tricycles, sans être gênées par les cyclistes plus aguerris ou plus rapides. Ainsi, une largeur de 4 mètres est indispensable pour garantir une pratique du vélo accessible à toutes et à tous.

    Dans ce contexte, quel intérêt de questionner la population sur 250 mètres de voirie qui passeraient à sens unique, sur un cours qui mérite aujourd’hui une rénovation totale de ses espaces et de ses usages ? Pourquoi s’attarder sur ce qui est finalement un petit sujet, au regard de la question existentielle qui s’est toujours posée aux urbanistes : quelle ville voulons-nous ? Souhaitons-nous des rues où la voiture n’a pas ou peu de contraintes, au détriment d’alignements d’arbres (même à l’ombre en été), de terrasses (qui seront à l’ombre en été, ce qui n’est pas si mal, non ?) et de pavés perméables pour laisser entrer l’eau de pluie dans le sol ? Bref, nous sommes déçus de voir que le débat ne s’intéresse qu’à la circulation de quelques voitures, et qu’il est amené toujours de la même façon : des oppositions de principe au moindre changement d’habitude.
    Avec le temps, les avis changent

    En 2016, les unions de quartier Centre-Ville et Championnet rejoignaient Grenoble à Cœur , pour s’opposer à CVCM Grenoble et de facto au passage de la Chronovélo sur Rey-Sembat-Lyautey. En 2018, une partie des membres des unions de quartier Berriat, Centre-Ville et Championnet s’opposaient au passage de la Chronovélo sur l’axe Lafontaine-Berriat (https://www.placegrenet.fr/2018/12/10/plan-chronovelo-le-velo-qui-marche/530046). Puis, ces mêmes membres se sont opposées à la bordure (https://www.placegrenet.fr/2019/04/07/chronovelo-bordure-le-velo-qui-marche/530545) de séparation entre la Chronovélo et la voie routière . Aujourd’hui, peu ou prou les mêmes personnes se déclarent « favorables » à la Chronovélo. Il y a donc bon espoir de les voir défendre des Chronovélo suffisament larges dans les années qui viennent, sur les futurs projets… peut-être les quais rive gauche ?

    https://parlons-y-velo.fr/chronovelo-cours-berriat-de-la-contrainte-naitront-les-nouveaux-usage
    #vélo #aménagement_du_territoire #urbanisme #Grenoble

    • Rendre sa #voirie cyclable : les clés de la réussite - Un #guide pratique du #Cerema

      Comment transformer progressivement la voirie pour encourager la pratique du vélo en ville ? Le Cerema publie un guide pratique pour aider les collectivités et acteurs de la mobilité à développer des aménagements attractifs et performants, à travers 8 #leviers_d'action.

      Améliorer la qualité des #aménagements_cyclables

      Il a été conçu pour répondre à un besoin des collectivités, qui cherchent de plus en plus à généraliser les aménagements cyclables en ville. Pour cela, il faut transformer en profondeur la voirie et amener à une modification des pratiques.

      Largement illustré, ce document disponible sur la boutique en ligne du Cerema présente des exemples de bonnes pratiques, des schémas explicatifs, les éléments réglementaires et signale des points d’attention. Il fournit aussi des références et ressources pour approfondir les différents sujets.

      "La France ambitionne une forte croissance de la part modale vélo, qui ne peut se réaliser que si les aménagements cyclables proposés s’adaptent pour accueillir les nouveaux cyclistes, qu’il s’agisse d’enfants à vélo, de familles avec des remorques, ou d’utilisateurs de vélo cargo.

      Cette ambition suppose de réinterroger l’offre quantitative mais également qualitative des aménagements cyclables. C’est pour aider les aménageurs à relever ce défi que le Cerema publie aujourd’hui ce guide « #voirie_cyclable »" (Thomas Jouannot - Cerema)

      Il a été réalisé collectivement au Cerema, à la suite de nombreux échanges avec les collectivités notamment au cours de webinaires organisés pour accompagner la mise en place d’aménagements cyclables temporaires et leur pérennisation.

      https://www.cerema.fr/fr/actualites/rendre-sa-voirie-cyclable-cles-reussite-guide-pratique-du

    • L’évaporation du trafic, un concept confirmé par une thèse !

      Les retombées d’une thèse de doctorat engagée par Transitec sur l’évaporation du trafic nous permettront de conforter des démarches encore plus ambitieuses pour les projets de #mobilité à venir ! Une belle mise en lumière de la « part des anges » du trafic automobile.

      Notre collègue #Pauline_Hosotte a soutenu publiquement sa thèse de doctorat ès sciences, intitulée L’évaporation du trafic, opportunités et défis pour la mobilité d’aujourd’hui et demain. Cette recherche de quatre ans, sur une thématique orpheline tant dans la littérature que dans la pratique de l’ingénierie, a été réalisée grâce à une collaboration entre notre bureau et le Laboratoire de sociologie urbaine (LaSUR) de l’EPFL, sous la direction du Prof. Vincent Kaufmann.

      Défendue à huis clos quelques mois auparavant, devant un jury de scientifiques et praticiens, la thèse a été acceptée sans réserves et proposée à l’unanimité par ce jury pour le prix 2022 de distinction pour une thèse remarquable.

      Pourquoi l’évaporation du trafic ?

      Quotidiennement, nous observons le phénomène dit d’évaporation du trafic, qui conduit à constater qu’en cas de restriction de circulation volontaire ou non, une certaine part de trafic « disparaît » spontanément, et parfois durablement. Dans un contexte et une époque où la saturation des réseaux et la volonté de réorienter les politiques de mobilité vers une meilleure maîtrise de la voiture revêtent une grande importance, ce sujet est porteur de défis et d’opportunités. Quasiment absent de la littérature scientifique et largement méconnu, la thématique de l’évaporation du trafic méritait une plus grande attention. Ce travail de thèse comble ainsi une lacune et les enseignements qu’il apporte sont riches pour gérer non seulement la mobilité d’aujourd’hui, mais également pour façonner celle de demain.

      L’évaporation du trafic est parfois un sujet de fantasmes : les plus ambitieux considèrent qu’elle devrait tout permettre, les plus réticents que c’est un concept "fumeux". Certaines collectivités pourraient être tentées d’intégrer une part d’évaporation dans chaque projet de requalification de l’espace public, ce qui permettrait de faciliter l’action publique. Il n’existe en effet aucun consensus sur la valeur à lui faire prendre, ce qui permet, en gros, de mettre un voile bien peu pudique sur tous les effets néfastes des politiques publiques sur le mode voiture.

      Pourquoi une thèse ?

      Puisque nous croyons en ce phénomène sans pour autant penser qu’il suffit à justifier tout et n’importe quoi, nous avons voulu étayer scientifiquement ce qui se cachait derrière l’évaporation, en nous appuyant sur cette thèse. Le sujet n’est évidemment pas apparu aussi récemment chez nous, mais nous espérons pouvoir consolider certaines situations en nous appuyant sur ce travail, que nous jugeons important et fondateur pour de nouvelles approches de la mobilité plus ambitieuse en cette période de crise climatique.

      Et la suite ?

      Outre la maitrise de ce sujet que nous transmettons à chaque membre de notre équipe et la méthode que nous développons en ce sens au niveau technique, nous travaillons à la rédaction d’un document vulgarisateur et appliqué à nos métiers. Il prendra la forme d’une « pause technique », notre série de publications de partage de connaissance dont le premier numéro sur la mobilité des femmes en Afrique est sorti en 2021 et dont le second, consacré à l’essor du vélo à Paris et les enseignements à en tirer, vient de paraître.

      Vous voulez en savoir plus ?

      Pour échanger de manière plus spécifique à vos propres enjeux autour de cette thématique d’actualité, nous organisons volontiers des séances de présentation et de discussion particulières en présentiel ou visioconférence.

      https://transitec.net/fr/actualites/item/11224-levaporation-du-trafic-un-concept-confirme-par-une-these.html

  • #Fastfetch is the Perfect Replacement for #neofetch
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/09/fastfetch-is-the-best-neofetch-alternative

    When development on system info tool Neofetch was discontinued1 earlier this year a slew of forks, alternatives, and upstart projects sprung up to fill the void. Yet the Neofetch alternative that’s gained the most traction —anecdotally, at least; I’ve not be creeping around Linux conferences to verify first-hand—is Fastfetch. Fastfetch is similar to Neofetch in that it ‘pretty prints’ information about your OS, desktop environment, pertinent underlying technologies, and selected system hardware specs in a terminal window. But Fastfetch is far more capable than Neofetch: it’s faster, more featured2, supports Wayland (Neofetch technically didn’t), and is actively maintained. Indeed, the […] You’re reading Fastfetch is the Perfect Replacement for Neofetch, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not (...)

    #News #CLI_Tools #System_Tools