Ce papier m’a bien fait rire...
L’auteur, visiblement, est en communication directe avec Madame Soleil. Il ne doute de rien, et surtout pas de son avis.
C’est grâce à des gens comme moi que l’on a pu penser au soir du 22 avril que le scrutin restait ouvert, que Hollande était « devant »
Il réécrit l’histoire à la sauce socialiste. ne donne aucune source, sauf ses avis péremptoires... Et en plus d’être un mauvais historien, il joue aussi à l’économiste de comptoir, justifiant le désormais célèbre tournant de la rigueur :
Il fallait prendre des décisions de « rigueur ». Ou alors, comme la Grande-Bretagne en 1975, comme la Grèce en 2009, subir le FMI. C’était aussi simple que cela.
Et alors, cette phrase, c’est le pompon :
Je ne peux pas voter pour une organisation dont je pense qu’elle trahirait ses engagements « radicaux », se divisant avant de démissionner pour laisser à la place à un gouvernement conservateur qui ne se priverait pas de faire avaler des « sacrifices » à une population sonnée par la perte de ses illusions.
Et c’est pour ça qu’il a voté Hollande. Et là, y’a vraiment de quoi rire. Parce qu’avec Valls à l’intérieur, et Moscovici à Bercy, nous sommes prévenus.