person:bertrand belin

  • soundtrack du 18/02
    http://www.radiopanik.org/emissions/soundtrack-de-minuit/soundtrack-du-18-02

    Back to traditional preoccupations... my playlist for a change

    Lou Gala - Bang Bang (My Baby Shot Me Down) Fumio Miyashita - Love R Wagner - Leitmotif - Der Ring Des Nibelungen 1 Marc Melià - Fata Fou (Music for Prophet 08) K. Leimer - Very Tired R Wagner - Leitmotif - Der Ring Des Nibelungen 2 Hiroshi Yoshimura - Something Blue. The Liminanas - Dimanche (feat Bertrand Belin) F. Schubert - Fantasy in F minor for Piano Four Hands, D940 Chistodoulos Halaris - Hymn to the Sun (Ancient Greek manuscript) J. S. Bach - Partita for Violin Solo No. 1, B Minor, BWV 1002 - 4. Double (Presto) Phosphorescent - Song for Zula Marc Melià - Arpeggios#2 (Music for Prophet 08) G. Ligeti - Atmosphères Gazelle Twin - Never Let Me Go

    Contact us at soundtrackdeminuit@gmail.com

    http://www.radiopanik.org/media/sounds/soundtrack-de-minuit/soundtrack-du-18-02_06208__1.mp3

  • Le Grand Mix aura tous les jours vingt ans - Nord Eclair
    http://www.nordeclair.fr/93958/article/2017-09-21/le-grand-mix-aura-tous-les-jours-vingt-ans

    La salle de concert fête ce week-end ses vingt ans. Qui aurait dit en septembre 1997 que la salle porterait le nom de Tourcoing sur toutes les affiches de la Région et serait incontournable dans l’univers musical ? Retour sur une aventure.
    Par ANNE COURTEL


    1 L’idée.
    Peut-être un jour le Grand Mix attribuera le nom d’une de ses salles à Jean-Pierre Balduyck. C’est l’ancien maire socialiste qui a eu l’idée d’une structure pour répondre aux demandes des jeunes. « C’est vrai que l’on cherchait des locaux de répétition et on avait l’impression que la priorité était alors donnée aux sports », se remémore Patrick Dallongeville qui sera un des artisans du Grand Mix.

    Le projet est confié à Christian Odoux, alors adjoint à la culture. « Bon pour tout avouer, je ne connaissais pas grand-chose aux musiques nouvelles mais je me suis lancé. » Il voyage jusqu’à Agen pour visiter une structure de musiques actuelles. « Et là le maire m’a dit : « je vous souhaite bon courage ». J’ai compris après : c’est un dossier sur lequel j’ai eu le plus de réticences. »

    2 Le défrichage.
    Depuis déjà quelques années, le Groupe de recherche et d’animations du Nord organise des concerts notamment à la salle Georges-Daël. C’est ainsi que des spectateurs de toute la métropole ont déjà vu Loudblast, Miossec (première tournée), DeUs, Dominique A… mais aussi Jeff Buckley au théâtre municipal.

    « On savait qu’il y avait un public prêt à venir à Tourcoing », souligne Patrick Dallongeville. Christian Odoux charge le GRAN de trouver un lieu. « Je voulais un endroit sympa en ville, pas une friche industrielle excentrée qui deviendrait un ghetto. L’ancien cercle Notre-Dame était désaffecté et en plein centre-ville. L’idéal ! »

    3 Les résistances.
    1997, cela paraît hier, pourtant l’annonce de musiques actuelles en plein centre de Tourcoing provoque une levée de boucliers. « On a en eu des pétitions sur le dos. La musique actuelle avait mauvaise réputation, les gens imaginaient un lieu de perdition, de la drogue… J’avais les parents d’élèves sur le dos, sans parler du voisin qui tenait une solderie. Il était fou furieux », raconte Christian Odoux.

    L’adjoint et le maire seront ensuite convoqués par la justice. Le président du Gran contestait l’attribution de la gestion de la salle à Marc Tison. Même si les deux élus ont été blanchis, ils garderont un souvenir amer de cet épisode.

    4 La mise en place.
    Ce sont les lycéens de Tourcoing qui baptisent le futur lieu, le Grand Mix. Côté financements, les élus déposent des dossiers tous azimuts… « L’argent ne coulait pas à flots mais c’était quand même plus facile qu’aujourd’hui. On a réussi à décrocher 80 % de subventions », souligne Christian Odoux.

    5 L’ouverture.

    C’était le 23 septembre 1997 et Arno est le premier à fouler la scène. Patrick Dallongeville découvre ce lieu dessiné par Thierry Baron, architecte. « Il avait la modernité de l’Aéronef sans le côté froid, une salle à taille humaine (650 places) avec une acoustique soignée. Les conditions d’accueil étaient remarquables. » En route pour la joie !

    « On ne peut plus débrancher le Grand Mix »
    Vingt ans de vie, des milliers de concerts, des piliers de bar et de scène (Bertrand Belin, I’m From Barcelona, Fink ou Dominique A que l’on a aussi croisé comme spectateurs)… Dès ses premières années, le Grand Mix s’est imposé au niveau régional. « Quand naît une nouvelle structure, il faut donner du temps au temps et là, ça a démarré très vite. En plus le public a toujours été là et il n’y a jamais eu de gros dérapages, c’est sans doute dû à la qualité de l’équipement et de l’équipe », constate Christian Odoux. Peter Maenhout qui est aujourd’hui adjoint à la Culture et qui va mener l’extension prochaine du Grand Mix le dit aussi : « Le Grand Mix contribue au rayonnement de Tourcoing. Il a une dimension régionale incontestable. »

    L’extension du Grand Mix (qui devrait ouvrir en 2019) va également panser les regrets des pionniers comme Patrick. « Il manque au Grand Mix des lieux de répétition. C’est dommage, il y a tellement de talents à Tourcoing. Il nous faudrait une structure comme l’ARA de Roubaix. Mais vingt ans après sa création, l’équipement va être complété. »

    Vingt ans, c’est aussi l’âge de la maturité, comme le souligne Christian Odoux. « Il a fallu une vraie volonté politique il y a vingt ans. Il fallait trouver un équilibre subtil entre l’artistique et l’économique. Il y a eu beaucoup de rumeurs, beaucoup de choses mais aujourd’hui une chose est sûre : il est trop tard pour débrancher le Grand Mix. »

    Trois jours de festivités ce week-end
    Ce vendredi, après une cérémonie d’anniversaire officielle, place à la musique avec le concert de Isaac Delusion, L’Impératrice, Weval et Azelek. Le premier est un groupe de cinq personnes qui font de la musique instrumentale. Weval est la caution électro de ce mini-festival avec un duo de Néerlandais. Attention concert à 20 h 15 mais complet.

    Le samedi 23, l’ouverture des portes à 18 heures avec The KVB, Fugu Mango, Ulrika Spacek, Diet Cig et les Belges de BRNS (notre photo lors de leur passage au Main Square). Et là il reste des places !

    Dimanche, le Grand Mix s’ouvre au mini mix avec un programme spécial rockeurs de demain. Ciné-concerts GaBLé Comicolor, NuméROBé, Loup Blaster ; des ateliers, un tour à biclou, des food truck... de 11 heures à 18 heures. Il reste des places et c’est 2 € !

  • http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_blue_train.mp3

    J-148 : Je me demande si je n’ai pas fini par obtenir la preuve ultime de la malhonnêteté des maisons de disques qui pendant des années nous ont vendu leurs galettes au prix de l’or ou du platine, non pas d’ailleurs que j’avais besoin d’une telle preuve pour savoir cette profession unanimement voleuse.

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_good_bait.mp3

    Good bait avec Red Garland

    Le vendredi soir, en sortant du travail, c’est souvent que je vais à la librairie, je m’y achète un livre ou deux, de quoi étancher ma soif de lectures pour le week-end, et bien souvent également, je m’achète un vieux vinyle pour ce plaisir de le faire tourner tout le week-end, en général ce sont des rééditions, de très bonne qualité, de Blue note , des grands classiques de la fin des années 50, début des années 60, parfois ce sont des disques que j’ai enregistrés sur cassette au siècle dernier et que je retrouve avec plaisir, d’autres fois ce sont des disques que je ne connais pas encore, du Wayne Shorter d’avant la rencontre avec Miles et bien avant Weather Report , du Dexter Gordon, tel disque de Herbie Hancock avec un thème à tout casser - Watermelon man - en premier morceau de la première face, et naturellement c’est mon plaisir du samedi matin, je remets un peu d’ordre dans la maison, j’enchaîne les cafés, je bouquine pendant que la galette tourne et retourne.

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_countdown.mp3

    Countdown de John Coltrane avec un Cedar Walton un peu dépassé par son soliste

    Depuis quelques temps mon libraire se désespère de ne plus pouvoir me procurer ces galettes, apparemment le catalogue de Harmonia Mundi est indisponible pour des questions judiciaires auxquelles je n’ai pas compris grand-chose, cela fait plusieurs mois que le libraire me dit que cela va revenir, force est de constater que les galettes ne reviennent pas, le bac est vide, littéralement.

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_oleo.mp3

    Oleo , John Coltrane au ténor, Ray Draper au tuba qui dépote

    Du coup j’ai jeté un œil nonchalant, et pas très motivé, sur les CD, sauf que les CD, j’ai fait serment de n’en plus acheter qu’à la sortie des concerts notamment aux Instants Chavirés , parce que c’est un excellent moyen de découvrir de nouvelles choses, d’extrapoler dans des directions que l’on a appréciées en concert, sans compter que c’est presque comme de les acheter directement aux musiciens, d’ailleurs c’est que j’ai fait récemment en échangeant avec Axel Dörner et lui achetant deux de ces disques - et c’est littéralement dans les mains de ce trompettiste de génie que j’ai remis les vingt euros pour les deux disques, là on se dit qu’il n’y a pas tromperie, c’est direct du petit producteur au consommateur, si vous me passez l’expression -, un de ces deux disques d’Axel Dörner est une merveille, parmi les plus beaux de ma discothèque.

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_wabash.mp3

    Wabash , Julian Cannonball Adderley et John Coltrane, Wabash, du nom d’une rue de Chicago où se trouvait un magasin de produits photo ( Central camera ), où j’ai acheté des kilomètres carrés de papier photo le vendeur était un sosie de Cannonball et cela le faisait rire que moi, blanc, je le sache.

    Des CD j’en ai acheté beaucoup, il y a une vingtaine d’années. En mai 1995, à la suite d’un pari idiot, mais à l’enjeu diabolique, avec mon père — mon père s’appelle Guy — j’ai arrêté de fumer. A l’époque je fumais un peu plus d’un paquet par jour. Cela a été une libération. J’avais fini par accepter de jouer et de parier avec mon père un dimanche soir où j’avais perdu deux heures, peut-être même plus, en écumant les rues de Paris pour trouver des cigarettes, j’avais trouvé la chose humiliante, rabaissant, j’avais soif d’émancipation, même si je ne savais pas très bien ce que cela voulait dire, j’ai décidé de jouer, d’accepter de perdre et aussi d’arrêter de fumer. Les débuts ont été pénibles. De cela je me souviens très bien - un ami tromboniste pourrait témoigner d’un séjour cévenol au cours duquel j’étais particulièrement à cran. Ce dont je me souviens aussi, c’est de m’être rendu compte, à l’époque chaque franc comptait, que ne fumant plus, je faisais chaque mois de très substantielles économies, il semble me souvenir qu’alors je gagnais 6500 francs mensuels nets et qu’une moitié de cette somme était mangée par le loyer et qu’à ce compte-là j’avais bien du mal à acheter du papier et des produits photographiques, je fabriquais moi-même les produits, mais films — en rouleau de trente mlètres qu’il fallait emmbobiner soit même, là aussi pour faire des économies — et papier, surtout le baryté, coûtaient une blinde. À l’époque j’empruntais compulsivement livres et CD à la médiathèque, j’ai dû lire la moitié de ce que la médiathèque comptait de livres du nouveau roman et emprunter et enregistrer, sur cassettes, un bon quart de leurs CD de jazz, nettement moins de classique, le classique c’est venu plus tard. Telle était mon économie, on ne plus tendue, à l’époque.

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_billies_bounce.mp3

    Billie’s bounce , Red Garland avec John Coltrane.

    Par curiosité j’ai calculé que j’étais en train d’économiser 500 francs, presque, tous les mois, en ne fumant plus, ce qui équivalait, à l’époque - Chirac venait d’être élu après trente ans de gesticulations et simagrées pour être khalife à la place du khalife -, peu ou prou, au prix de cinq CD : j’ai décidé que désormais, puisque toutes ces années j’étais parvenu à trouver 500 francs par mois pour les brûler et m’intoxiquer de la fumée, chaque jour de paye, une fois par mois donc, j’irai chez le disquaire où je m’achèterais cinq disques, je sortais du magasin chaque fois en m’exclamant, pour moi-même, ils ne m’ont rien coûté. De cette manière j’ai constitué une bonne moitié de ma discothèque, l’autre moitié est venue à partir du moment, paradoxalement, où j’ai prêté serment de ne plus jamais acheter de disques puisque les majors avaient, semble-t-il, gagné leur patient et dégoûtant travail de lobbying et obtenu dans un premier temps la LEN, la loi sur l’économie numérique, et dans une deuxième temps la loi HADOPI, peigne-culs, cela n’a pas freiné mon appétence au téléchargement, au contraire, bien au contraire.

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_things_aint_what_they_used_to_be.mp3

    Things ain’t what they used to be , John Coltrane et Paul Quinichette aux ténors, Frank Wess à la flute, et quelle ! et Cadar Walton qui a repris son souffle depuis Giant Steps and Countdown

    Par curiosité je regarde les bacs de CDS et j’avise un petit coffret d’une quinzaine de disques, des débuts de John Coltrane quand il était encore, essentiellement, un sideman de musiciens désormais moins connus que lui, mais qui, à l’époque, fin des années, étaient, par rapport au jeune Coltrane, des étoiles, Paul Quinichette, Tadd Dameron, Red Garland, Cannonball Adderley, dans les quinze disques que renferme ce petit coffret, je dois en avoir quatre ou cinq de ces disques, notamment celui avec Adderley, une merveille, et là où je m’attendais que ce petit coffret soit vendu, au bas mot, à une centaine d’euros, ce que j’aurais trouvé naturellement dégoutant, pas du tout, dix-neuf euros. Soit un euro vingt-six cents le disque.

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_cattin.mp3

    Cattin’ , John Coltrane et Paul Quinichette aux ténors

    A ce prix-là, le jazz afficionado que je suis ne fait pas la fine bouche, et donc les quinze disques de Coltrane ont chaleureusement accompagné mon week-end, parmi lesquels j’ai eu le bonheur de retrouver Blue Train , une merveille, la chair de poule, dès le début, cette exposition du thème ampoulée mais magistrale, en pensée, j’ai revu mon appartement de l’avenue Daumesnil les soirées avec mon ami Pascal à se passer du Coltrane jusqu’au bout de la nuit en buvant du whisky - on commençait menu menu avec Blue Train , puis la période avec Miles, Kind of blue et ensuite Giant Steps , la période Atlantic et enfin la face nord avec la période Impulse ! de A Love Supreme à Ascension -, le disque avec Adderley donc, toujours émouvant - Adderley devait être un type bien, un type sympa, il devait exactement savoir que le jeune Coltrane allait bientôt tirer dans une toute autre catégorie que la sienne, du coup, c’est souvent qu’il laisse le premier solo au ténor, ce n’est évidemment pas Miles qui aurait fait cela -, mais aussi des trucs plus improbables, une collection de morceaux avec du tuba dedans et donc son association avec le ténor du jeune Coltrane, oui, je sais je suis en train de vous parler de mon train électrique dans le grenier, bref des morceaux que je connais et d’autres, l’essentiel de ces quinze disques, que je n’ai jamais entendus Dave !

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_mating_call.mp3

    Mating call , John Coltrane et Tadd Dameron

    N’empêche, à la fin de cet excellent week-end de musique et de cafés, sans compter un brin de lecture, notamment Littoral de Bertrand Belin, Je Paye d’Emmanuel Addely que j’ai enfin fini et le début de la Guerre du Cameroun (voir si, des fois, je en parviendrais pas à ressusciter la Petite fille qui sautait sur les genoux de Celine ), je me pose cette question : combien d’étagères aurais-je dû construire dans ma maison si les CDs avaient été à ce prix très raisonnable de 1,26 euros, lequel prix doit encore permettre à ces putains de maisons de disques de faire un peu de bénéfice, sinon, pensez s’il vous vendrez de tels petits coffrets ?

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_eclypso.mp3

    Eclypso , John Coltrane et toutes sortes de chats

    Ces gens-là nous ont volés, pendant des années, des lustres, des décennies. Ils ont continué de nous vendre des CD au prix des vinyles qui eux, apparemment, coûtaient nettement plus cher à fabriquer. Et ce sont les mêmes, vingt ans plus tard, qui ont ensuite œuvré dans les salons de l’Assemblée pour nous empêcher de partager ce que nous aimions tellement écouter ensemble jusqu’au bout de la nuit, en buvant un peu de whisky. Peigne-culs.

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_tenor_conclave.mp3

    Tenor Conclave , John Coltrane avec Hank Mobley et Zoot Sims aux ténors, ça envoie un pue du bois quand même

    Et loué soit Coltrane ! Pa pa pa pam, Pom pom pom, Pa pa pa pam, Pom pom pom.

    http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/coltrane_polka_dots_and_moonbeans.mp3

    Polka dots and Moonbeans , John Coltrane, Donald Byrd, Hank Mobley, Elmo Hope, Paul Chambers et Papa Jones derrière les fûts.

    Exercice #47 de Henry Carroll : Liste de livres sur la photographie que vous aimeriez lire.

    Sur le sujet j’ai lu pas mal de choses au point que je ne sais pas si j’ai encore de l’appétit pour de telles lectures. Cela fait des années que je me dis que je devrais lire le livre d’André Rouillé sur la photographie contemporaine, il est même, ce qui est surprenant, dans la bibliothèque du Comité d’Entreprise de la Très Grande Entreprise qui m’emploie, mais sinon la question serait plutôt de savoir quels seraient les livres que j’aimerais relire sur le sujet de la photographie et alors la réponse est simple

    La chambre claire de Roland Barthes
    De la photographie de Susan Sontag
    L’ombre et son instant de Jean-Christophe Bailly.

    #qui_ca

  • Dalton Telegramme
    http://www.daltontelegramme.com

    Depuis 2010, Dalton Telegramme sévit en bord de Meuse, du côté de Liège. Si le projet prend corps dans la petite Belgique, son esprit appartient aux mythes et légendes des grands espaces. En marge de son obsession pour les bons mots d’Alain Bashung et Nino Ferrer, d’une fascination pour les textes ficelés par quelques dandys étincelants (Albin De la Simone, Bertrand Belin), le quatuor affectionne les guet-apens country-folk, les coups de flingues de Johnny Cash et les montures sonores attelées aux films des frères Coen (Fargo, O’Brother).

    C’est chouette, c’est sympa. A découvrir ici :

    https://daltontelegramme.bandcamp.com/album/sous-la-fourrure

    https://www.youtube.com/watch?v=1Bb9OtnILcs
     (...)

    #musique #folk #chanson

  • La chorale rencontre Bertrand Belin
    http://www.legrandmix.com/actionculturelle/2015/11/27/la-grand-mix-academy-seniors-rencontre-bertrand-belin

    Juste avant de se consacrer aux balances pour le concert de ce soir, Bertrand Belin a accordé un instant à la chorale seniors du Grand Mix, qui reprend son magnifique titre ‘Hypernuit’ depuis plusieurs années. Le Breton a répondu à quelques questions, notamment sur l’énigmatique texte de la chanson que les choristes connaissent par coeur…

    Bertrand Belin s’est prêté au jeu avec malice et a achevé de convaincre les choristes qui l’entendront ce soir entouré de ses musiciens.

  • Bertrand Belin à Tourcoing : « L’impression de franchir un cap à chaque concert » - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/region/bertrand-belin-a-tourcoing-l-impression-de-franchir-ia19b0n3184576

    Auteur d’un cinquième album intitulé « Cap Waller », l’élégant et subtil Bertrand Belin retrouve ce vendredi soir la scène du Grand Mix, qu’il connaît bien, entouré de quatre musiciens. La promesse d’une belle rencontre.

    Pour votre précédent album, « Parcs », vous aviez travaillé en résidence au Grand Mix, en 2013. Que vous reste-t-il de cette expérience ?
    « On avait rarement eu, jusqu’alors, des conditions de travail aussi bonnes. En plus d’être une salle très bien équipée et confortable, le Grand Mix est très bien animé par l’équipe qui y travaille. Le souvenir qui s’est fixé dans ma mémoire est celui de Tourcoing sous la neige. Il avait beaucoup neigé cette semaine-là. Cela donne à l’ensemble de ce séjour un caractère féerique. »
    « Cap Waller », comme votre précédent album, a été enregistré à Sheffield, en Angleterre. Pourquoi être retourné là-bas ?
    « Pour le déplacement, l’aventure humaine, pour se retrouver dans un pays étranger où l’on parle une autre langue. Ça déplace d’autant nos habitudes et ça déjoue nos codes et nos méthodes, si on en a. Cet environnement nouveau reproduit sur moi une forme de curiosité, d’appétit et en même temps de concentration. Et puis on y est retourné pour le studio, parce que la musique y résonne bien, et surtout pour Mark Sheridan, qui a réalisé le disque, devenu un ami depuis l’expérience de Parcs. »
    Trouvez-vous des points communs à Sheffield, Lille, Roubaix, Tourcoing, les villes du Nord ?
    « Oui, indéniablement. Ce sont des villes qui ont vécu la même histoire récente, industrielle : le démantèlement de la sidérurgie, le déplacement de l’exploitation minière, la mise à la marge d’un nombre croissant d’infrastructures, d’usines et tout ce qui va avec. Dans la petite périphérie de Sheffield, tout a été carié pendant des dizaines d’années. Mais c’est aujourd’hui une ville qui s’est reconstruite en s’appuyant sur les universités et le monde étudiant. À ce titre-là, il y a des points communs avec des villes comme Lille et ses environs… »
    Cap Waller est un lieu qui n’existe pas. Que désigne-t-il ?
    « Ce disque, tout simplement. Après, il évoque ce qu’un cap évoque : le passage d’un état à un autre, d’un océan à un autre. C’est une façon de voir enjamber, de voir passer quelque chose. »
    Waller est aussi une référence à un musicien…
    « C’est le nom d’un musicien chanteur de Sheffield, Hugues Waller, qu’on a découvert là-bas, avec les musiciens. On était vraiment en admiration devant la profondeur de ses interprétations et de son chant. Il se trouve un peu hommagé dans ce titre. »
    Vous étiez-vous fixé un cap particulier pour ce nouvel album ?
    « Non, pas vraiment, à part aller de l’avant. »
    Et aujourd’hui, avez-vous l’impression d’avoir franchi un nouveau cap ?
    « Chaque jour, j’ai l’impression d’avoir franchi un nouveau cap. Bien sûr, c’est toujours un événement d’être face à un nouveau disque dont on ne savait rien un an avant. Mais j’ai surtout l’impression de franchir un cap à chaque fois que je fais un concert. »

    Vendredi 27 novembre, à 20 h, au Grand Mix, 5, place Notre-Dame à Tourcoing. 19/16 €.

  • Bertrand Belin : « Cap Waller », la chronique : Tant qu’il y aura du son
    http://musique.blogs.lavoixdunord.fr/archive/2015/10/23/bertrand-belin-cap-waller-la-chronique-14307.html

    Il faut accrocher à son phrasé. Mais la voix grave de Bertrand Belin, ses mélodies limpides, minimalistes, ses nuances à la Bashung nous transportent.
    Il faut être honnête, le sens nous échappe parfois. Les mots se répètent et l’instrumentation est à l’économie (guitares acérées, basse, batterie, quelques touches de synthé parfois).
    Mais le Breton arrive quand même à nous faire taper du pied et chaque morceau et ses motifs entêtants touchent au cœur. Les onze titres sont peuplés de fantômes solitaires. Un album mystérieux et élégant.
    E. G. 
    –> le 27 novembre, sieur Belin sera sur la scène du Grand Mix, à Tourcoing, avec H-Burns en 1re partie. (19€/16€ abonnés/5€ - de 18 ans)

  • Laurent Lamarca présente son Ep Borderlune à la Maroquinerie le 26/10 ! Laurent Lamarca poursuit une carrière en pleine ascension depuis plusieurs années. Son nouvel album Borderlune est un doux mélange de chansons folks, humaines et chaleureuses. Il aborde la chanson française avec modernité et aime se définir comme un trait d’union entre Bertrand Belin et Alain Souchon.
    https://www.youtube.com/watch?v=lIBlHUSOMWY

  • Grand Mix de Tourcoing : « Toutes les télés se sont intéressées à nos chorales » - Tourcoing - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/region/grand-mix-de-tourcoing-toutes-les-teles-se-sont-ia26b58810n2155912

    La particularité du goûter-concert de samedi ? Les artistes sur scène auront entre 8 et 90 ans. Le Grand Mix a reconduit ses projets de chorales senior (quatrième édition) et junior (deuxième édition). D’Arcade Fire à Bertrand Belin, en passant par Stromae ou La Femme... le répertoire est éclectique et fait aussi la part belle aux artistes ayant fréquenté la salle de concert.
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    Depuis un an, chaque lundi pour les seniors, les mercredis pour les enfants, ils préparent cette date, sous la baguette de la chanteuse de gospel et prof de chant, Nadège Romer pour les premiers. C’est Juliette Mathoret, intervenante musicale dans les écoles de Tourcoing, qui a encadré les 8 - 12 ans.

    Samedi, les deux chorales chanteront en commun Wake up d’Arcade Fire, Formidable de Stromae et Ghost de Skipe the Use. Puis chacun aura son propre répertoire. A l’issue du concert, le Grand Mix espère bien recruter pour l’an prochain « 25 kids ce serait bien », estime Juliette Calot, responsable de l’action culturelle au Grand Mix. Autant que les seniors. A cette édition-ci, ils n’étaient qu’un quinzaine. « Un noyau dur se réinscrit chaque année ». Et de belles histoires d’amitié ou familiales se tissent, comme celle d’Evelyne dont le petit-fils faisait partie de la chorale l’an dernier, « elle l’a acompagné et a eu envie de faire partie de la chorale seniors. Et son mari a pris un abonnement au Grand Mix », raconte Juliette Calot qui aimerait bien un meilleur équilibre hommes-femmes, « nous n’avons que deux hommes cette année. »

    L’association d’insertion par la culture Arcane est l’un des partenaires (tout comme le centre social Boilly). Les chanteurs sont accompagnés par Lena Deluxe pour les seniors, et différents musiciens habitués du Grand Mix pour les enfants. Et l’opération, à ses débuts, a suscité bien des convoitises télévisuelles, « M6, NRJ 12, La France a un incroyable talent etc, on n’arrêtait pas de nous appeler, on a tout refusé, le but ce n’est pas de les mettre en danger », estime Juliette Calot.

    Pour la cession 2014-2015, les inscriptions se font auprès du Grand Mix. Conditions : être âgé de 8 à 12 ans, ou avoir plus de 50 ans. Dès juillet, le Grand Mix leur remettra une pré-sélection de titres, pour un debriefing à la rentrée. La date de samedi sera suivie d’un autre concert le 8 juin à 16 h à Saint-Sauveur, sans oublier les interventions dans divers lieux : CH Dron, maisons de retraite, crèches...

    Ce samedi 24, à 15 h. 5 €, gratuit pour les adultes. legrandmix.com

  • Bertrand Belin, David Christoffel : échos de Tarkos
    http://www.franceculture.fr/emission-l-atelier-du-son-bertrand-belin-david-christoffel-echos-de-ta

    Bientôt 10 ans sans Christophe Tarkos, décédé le 30 novembre 2004. Le poète laisse une trace grandissante dans l’écriture aujourd’hui, entre autres à travers ses amis comme Charles Pennequin. Il a inventé la pâte-mot, cette manière de considérer la langue comme une matière mouvante qui prend forme dans la bouche, une matière qui se mâche et se remâche. Ecouter Tarkos, c’est entrer dans un rythme prenant, c’est voir les mots prendre corps. (...) Source : L’atelier du son, France Culture

  • Passe ta Chronique à Bertrand Belin ! | L’action culturelle au Grand Mix
    http://www.legrandmix.com/actionculturelle/?p=1428

    Passe Ta Chronique D’Abord est un projet conviant une dizaine d’élèves du Lycée Sévigné de Tourcoing à se glisser dans la peau de journalistes musicaux. Chaperonnés par le journaliste de Trax et À nous Lille, Olivier Pernot, ces lycéens ont l’opportunité de se frotter à ce métier en y découvrant ses diverses facettes et techniques ; passant de l’annonce de concert et de l’interview d’artiste au compte-rendu.

  • Bertrand Belin en résidence au Grand Mix pour répéter son nouvel album, « Parcs » - Journal Numérique - Articles locaux - www.lavoixdunord.fr
    http://www.lavoixdunord.fr/culture-loisirs/bertrand-belin-en-residence-au-grand-mix-pour-repeter-jna0b0n971180

    Le Grand Mix n’est pas qu’une salle de concerts. Cette semaine, Bertrand Belin y est venu en résidence de préproduction scénique avec ses quatre musiciens. Premiers essais à Tourcoing pour préparer la tournée après l’enregistrement de son quatrième album, « Parcs ». Sortie prévue en mai.