• Voici Octlantis, une ville sous-marine construite par des poulpes

    http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/voici-octlantis-une-ville-sous-marine-construite-par-des-poulpes_1944982.ht

    Elle a été baptisée Octlantis. Une équipe internationale de chercheurs a découvert une citée sous-marine construite par des pieuvres [octopus en anglais], alors qu’ils exploraient la baie de Jervis, au large des côtes est de l’Australie. 

    Une découverte qu’ils n’ont pas encore réussi à expliquer, mais qu’ils détaillent dans une étude publiée dans Marine and Freshwater Behaviour and Physiology.


    Schéma d’Octlantis. Rock = Pierre. Shell Bed = lit de coquillage. Occupied Den = tanière habitée. Unoccupied Den = tanière inhabitée.Marine and Freshwater Behaviour and Physiology

    Octlantis, que les biologistes marins américains, australiens et canadiens ont filmé une dizaine d’heures, a abrité jusqu’à 15 céphalopodes. Située entre 10 et 15 mètres sous la mer, mesurant 18 mètres de long sur 4 de large, elle possède des murs et même des tanières sous-marines érigés avec du sable et des coquillages.

    Autre surprise, les pieuvres d’Octlantis vivent réellement ensemble. Elles se regroupent, communiquent, et se battent pour chasser d’autres pieuvres tentant de s’emparer de leur habitat ou pour expulser celles qui ne sont plus les bienvenues.

    Cette découverte vient confirmer ce que les scientifiques suspectaient déjà : les pieuvres ne sont pas forcément si solitaires et pourraient même avoir développé une culture propre. Des suspicions nées en 2009, lors de la découverte d’une autre ville baptisée Octopolis. Située non loin d’Octlantis, elle était le théâtre de violents combats entre mâles, certains utilisant des coquillages comme armes.

  • Comment l’alcool détruit la jeunesse
    https://www.franceinter.fr/emissions/l-interview/l-interview-16-septembre-2017

    Le professeur Amine Benyamina et la journaliste Marie-Pierre Samitier lance un cri d’alarme dans l’ouvrage « Comment l’alcool détruit la jeunesse » (Albin Michel).

    Le professeur revient sur les failles de la loi Evin, le rôle des lobbies de l’alcool, ce que change la « loi Macron », comment les jeunes sont ciblés par les publicités d’alcools, les seuils à ne pas franchir selon l’OMS, et son mode de communication. Amine Benyamina met en évidence un paradoxe. Le budget de l’alcoolodépendance est dix fois supérieur aux rentrées de l’alcool : 130 milliards de dollars, contre des taxes qui rapportent 3,5 milliards.

    #alcool #drogue #lobby #santé #jeunes

  • Entre la Silicon Valley et les Américains, le climat a changé

    http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/09/18/haro-sur-la-silicon-valley_5186999_4408996.html

    La puissance des géants des technologies commence à inquiéter sérieusement l’opinion américaine et la classe politique. Les appels à la réglementation se multiplient.

    Le lancement en fanfare de l’iPhone X, le 12 septembre, n’a pas pu masquer l’évidence : les nuages s’accumulent sur la Silicon Valley. Même le dernier-né des smartphones d’Apple n’a pas été accueilli avec l’enthousiasme habituel, en dépit de son bestiaire de nouveaux emojis à tête de panda, de singe ou de robot. Le prix, déjà, est de plus en plus inabordable (1 159 euros pour la version de base). Surtout, la nouvelle fonction de reconnaissance faciale se révèle être un facteur anxiogène. Apple a beau l’appeler iPhone 10, la lettre X donne à son nouveau jouet une aura de mystère et, pour employer le mot à la mode, de dystopie. « Pour la première fois, une compagnie va disposer d’un outil de reconnaissance faciale avec des millions de portraits et l’équipement pour scanner et identifier les visages partout dans le monde », s’émeut le juriste Jake Laperruque, dans le magazine Wired.

    Entre les Américains et la Silicon Valley, le climat a changé. Chaque jour apporte un cortège d’informations embarrassantes pour la « Tech ». Facebook va d’aveux en promesses de corriger les erreurs. Devant la commission d’enquête parlementaire sur les ingérences russes dans l’élection présidentielle de 2016, le réseau social a dû exposer les failles de son modèle de vente de publicités personnalisées. En pleine campagne électorale, plus de quatre cents faux comptes liés à la Russie ont pu acheter pour 100 000 dollars (83 581 euros) de publicités et diffuser quelque trois mille messages sur des sujets aussi polémiques que l’immigration, les droits des homosexuels, le racisme, le contrôle des armes à feu, influençant potentiellement le scrutin.

    La firme de Mark Zuckerberg est maintenant visée par un mandat de perquisition du procureur spécial Robert Mueller. Si l’on en croit le professeur Benjamin Edelman, d’Harvard, cité par le New York Times, ses ingénieurs s’y perdent eux-mêmes dans la complexité de leur système de collecte de publicités, à la fois automatisé et manuel. Et « la machine a son propre cerveau », ajoute-t-il.

    « Le pouvoir de Google »

    Google fait l’objet d’une nouvelle plainte pour sexisme, cette fois en nom collectif, déposée le 14 septembre par trois anciennes ingénieures s’estimant sous-payées et surtout sous-promues. Le moteur de recherche continue aussi d’être sous le feu des accusations d’avoir évincé du think tank New America, qu’il finance, un chercheur qui s’était félicité de l’amende qui lui a été imposée en juin par la Commission européenne pour abus de position dominante. « Le pouvoir de Google sur le marché est aujourd’hui l’un des défis les plus importants pour les responsables des politiques de concurrence dans le monde », écrivait le chercheur Barry Lynn, parti créer une structure indépendante avec son équipe.

    Il y a longtemps que des insiders, comme Jaron Lanier, de Microsoft Research, ont montré que les géants de la Vallée, en s’appropriant gratuitement les données des utilisateurs, contribuaient à l’appauvrissement des classes moyennes. Des années, aussi, que la Commission européenne tente d’imposer des limites à l’hégémonie des GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon). Mais les critiques restaient largement confidentielles. L’Europe était jugée incorrigiblement étatique, réticente aux innovations. Les sceptiques étaient relégués au rang de passéistes, d’Amish du numérique, ou mépris suprême, de luddites hostiles au progrès.

    La critique est tendance

    Aujourd’hui, les Cassandre ont pignon sur rue dans les médias. Les tribunes se succèdent sur le thème : l’âge d’or est fini pour la Silicon Valley. La Tech est rebaptisée « Big Tech », comme on disait hier « Big Oil », pour la tentaculaire industrie pétrolière. « Faut-il casser Google » ? Le moteur de recherche n’est-il pas « trop puissant ? », s’interroge Fox News, qui le soupçonne, il est vrai, de sympathies démocrates. Selon Politico, Margrethe Vestager, la commissaire européenne à la concurrence, qui arrive lundi 18 septembre à Washington, va trouver une atmosphère nettement plus accueillante. Le « fan-club » américain de cette dernière est en « pleine expansion », constate le magazine. « L’Antitrust est de retour », exulte Luther Lowe, l’un des responsables de Yelp, la plate-forme de recommandations qui croise le fer depuis des années avec Google, accusé d’abus de position dominante.

    Longtemps, les jeunes innovateurs ont été accueillis avec bienveillance dans la capitale fédérale. Avec Barack Obama, c’était fusionnel. Quelque 250 cadres sont passés de Google à la Maison Blanche, et inversement. En fin de mandat, le président démocrate a alerté ses compatriotes sur les « méfaits » qui risquaient d’accompagner les « bienfaits » apportés par les technologies. Mais le débat a été escamoté pendant la campagne électorale. Aujourd’hui il revient comme un boomerang. De l’engorgement des villes par les chauffeurs Uber aux « fake news » et à l’agressivité grandissante de la société, la Silicon Valley – « le sombre centre d’un pouvoir sans contrôle », selon l’expression de Ben Smith, le rédacteur en chef de Buzzfeed – est rendue responsable de tous les maux de l’époque.

    Ses géants se présentent comme les champions de l’individualité et de la diversité, « alors que leurs algorithmes nous poussent à la conformité et écornent notre vie privée », tempête le journaliste de The Atlantic, Franklin Foer, dans un livre (World Without Mind, The Existential Threat of Big Tech, Penguin Press) publié le 12 septembre et déjà dans les meilleures ventes aux Etats-Unis.

    Menace pour la démocratie ?

    Washington ne peut plus rester inactif. Quarante-cinq pour cent des Américains reçoivent leurs informations par l’intermédiaire de Facebook. Si on inclut Instagram, WhatsApp et Messenger, la plate-forme de Mark Zuckerberg contrôle 80 % du trafic des réseaux sociaux sur mobile. La part de marché de Google dans les recherches en ligne dépasse 85 % aux Etats-Unis. Amazon assure 43 % des ventes en ligne… Et depuis l’élection, surtout, la menace sur la démocratie est prise au sérieux. « Sans Facebook, Trump serait-il président aujourd’hui ?, s’est interrogée Margaret Sullivan dans le Washington Post. Il y a de plus en plus de raisons de penser que la réponse est non. »

    Analyse similaire pour Evan Williams, l’un des fondateurs de Twitter, la plate-forme dont le président fait un usage immodéré. Donald Trump n’est que le « symptôme » d’un problème plus large, a-t-il déclaré à la BBC, celui de la dictature de la publicité ciblée instantanée, un système qui « abêtit le monde entier ».

    A peine le show Apple terminé, à Cupertino, le sénateur démocrate Al Franken a publié une lettre au PDG Tim Cook réclamant des éclaircissements sur la manière dont la firme entend gérer les questions d’atteinte potentielle à la vie privée. Que fera Apple si le gouvernement, comme l’a fait la NSA pour les communications électroniques, réclame les clés de son système de reconnaissance Face ID ? Quelles sont les mesures de protection de l’utilisateur si la police parvient à débloquer son smartphone en le brandissant devant son visage ? D’autres parlementaires réfléchissent à la manière de soumettre Facebook et Google, qui assurent 80 % des publicités en ligne, aux mêmes règles que les médias traditionnels sur les messages politiques.

    Pour une fois, conservateurs et progressistes font cause commune. L’ancien conseiller de M. Trump, Steve Bannon, l’a répété le 12 septembre à Hongkong : c’est lui qui avait « pris la tête », à la Maison Blanche, du camp qui voulait imposer aux entreprises technologiques les mêmes réglementations que les compagnies de téléphone ou d’électricité ; un scénario de cauchemar pour Google et Facebook, qui résistent depuis des années à l’idée d’être considérés comme autre chose que des plates-formes.

    A gauche, Bernie Sanders a fait la même proposition. Réglementation, scission, réforme de la loi antitrust ? Washington soupèse les formules. Quel que soit le résultat, le « backlash » (contrecoup) est réel. Comme Wall Street après des années de « greed » (cupidité), les titans de la Tech sont rattrapés par leurs excès.

  • Install and Use GNU Command Line Tools on macOS/OS X - Top Bug Net
    https://www.topbug.net/blog/2013/04/14/install-and-use-gnu-command-line-tools-in-mac-os-x

    If you are moving onto macOS/OS X from GNU/Linux, you would probably find out that the command line tools shipped with OS X are not as powerful and easy to use as the tools in Linux. The reason is that macOS/Mac OS X uses the BSD version command line tools, which are different from the Linux version, while they are both compliant with POSIX standards. But we can easily install the GNU command line tools by using Homebrew in Mac OS X and set them as default.

    Je serais juste un peu prudent avec l’option --default-names qu’ils utilisent : avec ça les outils GNU remplacent ceux de BSD au lieu de les installer avec un ’g’ devant.
    Ça pourrait casser des scripts OSX existant.

    #Linux #GNU #BSD #homebrew #osx #macOS #darwin

  • Des consultations à 46 et 60 euros vont faire leur apparition chez les médecins généralistes
    https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/des-consultations-a-46-et-60-euros-vont-faire-leur-apparition-chez-les-me

    Dès le premier novembre, de nouveaux tarifs, plus élevés, feront leur apparition lors de certaines consultations chez les médecins généralistes. Ils seront appliqués à des consultations « complexes », et concerneront par exemple les enfants obèses ou les jeunes filles qui souhaitent une contraception.

    Le premier novembre prochain, les consultations complexes ou très complexes, facturées 46 et 60 euros, feront leur apparition chez les médecins généralistes.

    #vie_privée #secret_médical #santé

    via https://mamot.fr/@epyfro https://mstdn.fr/web/statuses/1175153

    Des consultations à 46 et 60 euros vont faire leur apparition chez les médecins généralistes
    Une grippe ? 25€
    Une MST, ou un renseignement sur la contraception ? 46€
    Un cancer ? 60€
    Non seulement c’est un scandale, mais le simple montant de la consultation permettra de deviner son motif, permettant une violation facile du secret médicale.


    • Au fait, non seulement vous allez crever, mais en plus, ça va vous coûter un bras ! Et une mineure à la recherche d’infos pour la contraception qui consulte sans les parents… paf, ça va être compliqué !

      Les consultations très complexes seront facturées 60 euros. Ces consultations rares concernent par exemple « la préparation à des greffes rénales, les consultations d’annonce de cancer, qui restent très délicates, ou encore les consultations des gynécologues concernant des malformations fœtales, qui sont également compliquées à annoncer », explique le Docteur Jean-Paul Hamon, généraliste et président de la Fédération des Médecins de France à franceinfo.

    • Non, pas du tout, il te fera revenir le lendemain pour t’annoncer la mauvaise nouvelle. Du coup 25 + 60 = 85 € dans la fouille. Quid du remboursement par l’assurance maladie ?
      parce que j’ai rien vu passer dans les différents articles que j’ai lu.

    • Quand le mot cancer est prononcé ...

      Ne l’oublions pas, ce sont souvent nous, les médecins généralistes, qui prononçons pour la première fois le mot « cancer » face aux patients.
      Nous le faisons même parfois avant un diagnostic de certitude, en évoquant une possibilité parmi d’autres, ne serait-ce que pour inciter les patients à faire les examens complémentaires.

      Nous savons tous qu’au moment où nous prononçons ce mot, les patients basculent dans leur imaginaire (les visages de proches touchés, les images des médias, les pensées de mort, les conséquences de la chimiothérapie ... et tout ce que nous n’imaginons pas). Le mot prononcé, nous percevons ce mouvement vacillant du corps ou du regard et nous nous préparons à écouter avec empathie et à tenter de répondre aux questions.

      Nous prenons donc le temps et les précautions auprès de ces patients que nous connaissons peut-être de longue date. Nous nous adaptons au mieux à ce que nous savons d’eux et nous nous projetons avec eux dans le parcours qui va suivre le diagnostic. Durant cette consultation, nous leur témoignons de notre présence et nous leur assurons de notre disponibilité future.

      Cette consultation porte un peu pompeusement le nom de « consultation d’annonce » à l’hôpital. Preuve en est de l’importance de cette consultation, quand elle n’est pas un peu trop directe et courte. Pour nous, elle aura lieu entre des soins de pathologies infectieuses, des renouvellements de traitement, le suivi d’un nourrisson …
      MG France a obtenu que cette consultation d’annonce puisse être faite par le médecin traitant et rémunérée à hauteur de l’intensité et de la difficulté de ce type de consultation (article 28.4).

      Pour les patients, viennent ensuite les bilans complexes, les gestes invasifs, les allers-retours à l’hôpital ... Parfois, nous les voyons peu durant cette période, parfois pas du tout ... Cependant, il n’est pas rare qu’ils se tournent vers nous pour évoquer leurs soins, pour poser des questions qu’ils n’ont pas pu formuler à l’hôpital, pour exprimer leurs inquiétudes. Le temps d’une consultation, ils retrouvent la médecine de proximité qui probablement les rassure et ce lieu du cabinet où ils ont eu d’autres moments médicaux moins difficiles.

      Lorsque des réunions de concertation pluri-disciplinaires sont organisées à l’hôpital afin de décider des soins pour les patients, ces derniers ne sont malheureusement pas toujours informés. Les médecins généralistes ne sont que rarement conviés ou souvent trop tardivement et il nous est difficile de nous organiser pour y être présents. A l’heure moderne des conférences téléphoniques, cette solution d’appel téléphonique du médecin traitant permettrait enfin une prise en compte globale des patients et éviterait peut-être des décisions inappropriées. Une reconnaissance et une indemnisation de ce temps seraient bienvenues pour les médecins généralistes.

      MG France œuvre pour faire reconnaitre la présence des médecins généralistes auprès des patients atteints de cancer comme idéalement défini dans le plan cancer 2014, qui est peu respecté (information en temps réel des médecins traitants qui sont identifiés comme les interlocuteurs privilégiés des patients dans le parcours de soins ; travail de liaison et de coordination entre les différents professionnels impliqués autour des patients).

      (Article 28.4) : consultation initiale d’information du patient et de mise en place d’une stratégie thérapeutique pour les patients atteints de cancer ou de pathologie neurologique grave ou neurodégénérative, réalisée par le médecin, qui serait valorisée par l’application d’une majoration de 30 euros, dénommée MIS (Majoration pour information Initiale et mise en place de la stratégie thérapeutique), dont la cotation serait réservée aux médecins de secteur à honoraires opposables et de secteur à honoraires différents adhérant aux dispositifs de pratique tarifaire maîtrisée tels que définis aux articles 40 et suivants.

      Sandrine Delemare

      https://www.mgfrance.org/index.php/component/content/category/177-lettre-aux-generalistes

    • C’est du donnant-donnant à la Marcon. On te donne un cancer au carbone, glyphosphate, fiponil ou au nitrites avec ta bouffe de pauvre au lasagne de cheval et toi tu donne ton argent de pauvre que t’a pas en échange.

      Pour le problème que ca pose aux jeunes femmes : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/consultation-contraception-a-46-euros-la-majoration-qui-fait-mal-aux-mineur

      et le communiqué de Gyn&co sur #fessebouc

      Communiqué du collectif Gyn&co suite à l’augmentation du tarif des consultations

      Une très mauvaise nouvelle pour la santé sexuelle et reproductive en France : l’Union nationale des caisses d’assurance maladie, en concertation avec les syndicats médicaux, met en place une très forte augmentation des tarifs de consultation pour la prise en charge des infections sexuelles et transmissibles et pour les consultations de contraception pour les jeunes filles mineures (Journal Officiel du 12 septembre).

      Ces consultations considérées comme « complexes » par les syndicats mentionnés seront désormais facturées 46 euros, avec un remboursement identique de la sécurité sociale. En clair, le reste à charge pour les usager.e.s passe de 7.5 euros à 13.80 euros !
      Le collectif Gyn&co est atterré par cette décision qui va à l’encontre des droits des personnes à disposer de leurs corps et qui s’inscrit en totale contradiction avec les maigres efforts des autorités de santé pour lutter contre les infections sexuellement transmissibles et les grossesses non prévues.
      Ces consultations devraient être entièrement gratuites pour faciliter leur accès. Et elles n’ont rien de complexes : il s’agit simplement de délivrer une information claire aux personnes, et de faciliter l’exercice de leur libre arbitre. Une contraception est choisie par un.e usager.e, pas par un médecin !
      Cette mesure est aussi absurde que dangereuse : les personnes mineures, qui ne peuvent pas toujours bénéficier du soutien familial, n’ont pas besoin de difficultés financières supplémentaires. Ces nouvelles « consultations complexes » surtaxées ont de plus de grandes chances de se traduire par une prescription systématique de pilule, sans même évoquer les autres méthodes, comme c’est le cas très fréquemment aujourd’hui.
      Les conséquences probables seront le renoncement à ces soins, la baisse du recours contraceptif chez les personnes mineures, et la baisse des dépistages et prises en charge des IST, devenus trop chers pour les usager.e.s qui réfléchiront à deux fois avant de vérifier leur statut sérologique.

      Nous condamnons unanimement cette décision corporatiste, et rappelons à toutes les personnes touchées durement par cette mesure qu’elles peuvent consulter gratuitement au planning familial, dans les CeGIDD (Centre Gratuit d’Information, de Dépistage et de Diagnostic : http://www.sida-info-service.org/?-DEPISTAGE-VIH-sida-). Les consultations contraceptives restent facturées 23 euros chez les sages-femmes, qui au demeurant sont bien mieux formées que les médecins généralistes en contraception (minimum de dix heures d’enseignement dans leur cursus contre 4 pour les médecins généralistes).

      https://www.facebook.com/gynandco/posts/1922612494679135

      Je me demande aussi ce qu’il y a de si complexe dans une premiere consultation au sujet de la contraception. Toutes les consultation sur la contrception demandent des explications claires et détaillées de la part du médecin alors cette histoire veux dire que pour le prix de base tu aura un traitement sans information, sans explications, sans prendre le temps ni rien.

    • C’est un peu ce que j’ai dit quand j’ai appris ce truc… tain mais déjà actuellement il y a de graves manques pour les jeunes, et déjà maintenant yen a plein qui vont pas voir de médecin pour parler de leur début de vie sexuel, et déjà maintenant ya plein de filles qui peuvent avoir un DIU sans avoir d’enfant et on ne le fait pas du tout en France (alors qu’en Angleterre et d’autres pays c’est super courant), et déjà maintenant yen a plein qui font leur contraception à base de pilule du lendemain, parce qu’elles ne parlent pas de ça avec leurs parents et/ou parce qu’elles n’ont pas les 25 euros à avancer et/ou parce que même en en parlant leurs parents n’ont pas 25 euros à avancer… Alors avec ce nouveau truc… ça va être une catastrophe sanitaire dans les années à venir, c’est vraiment dégueulasse rageant :(

    • D’autant que la pilule est classée cancérigène depuis 2005, (mais les gynécos ne veulent surtout pas affoler les femmes, si jamais l’hystérie gagnait la france se mettrait à bruler, l’assemblée nationale en tête) ben oui, 80% des cancers du sein répondent à la progestérone et aux œstrogènes …
      Donc la gamine quand elle a une semaine de retard de règles se bouffe des pilules du lendemain à 19€ le shoot d’hormones durs (ben oui, la pilule du lendemain à 7€ tu ne la trouves que quand tu te tapes 5 pharmacies d’affilée, le pharmacien lui assure que la plus chere est plus sure, de peur de risquer une IVG pour 13 euros de plus, elle nourrit son pharmacien et les labos. Après, à 50 ans, elle est bonne pour la filière cancer, avec le chirurgien pour la mutilation des seins, et des bras, mais ça c’est quand elle sera vieille, donc on en parle pas.
      Et pour l’annonce du cancer, ça se fera par sms, aujourd’hui c’est déjà par téléphone, nettement plus économique que de recevoir la patiente.
      Tout ça parce que des saloperies de médecins gynécos français refusent de poser des DIU au cuivre.
      #sexisme_medical

  • Contrast-Finder, c’est un outil en ligne pour trouver les bonnes combinaisons de couleurs (entre le texte et l’arrière plan) afin d’avoir un contraste suffisant pour respecter les critères d’accessibilité (#RGAA, #WCAG).

    la nouvelle version (par les concepteurs de Contrast Finder),
    avec une nouvelle URL :
    https://app.contrast-finder.org/?lang=fr

    pour contribuer c’est par ici :
    https://github.com/Asqatasun/Contrast-Finder

    pour l’histoire du projet #ContrastFinder, c’est par là :
    https://contrast-finder.org/#contrast-finder-history

    #a11y #couleur #contraste #accessibilité

  • L’outil en ligne #Asqatasun est un logiciel libre pour commencer rapidement un audit d’accessibilité (#wcag, #rgaa) d’un site web ou d’une webapp.

    La démo pour auditer vos pages web
    https://app.asqatasun.org

    Présentation de l’instance de démo
    https://forum.asqatasun.org/t/la-demo-asqatasun-accessibilite-tester-facilement-vos-sites-web/311

    pour contribuer c’est par ici :
    https://github.com/Asqatasun/Asqatasun

    pour l’histoire du projet #Asqatasun, c’est par là :
    http://asqatasun.org/#asqatasun-history

    #a11y #accessibilité

    • Questions :
      – Est-ce que c’est un outil de « checklists » où on peut cocher à la main en vérifiant humainement ?
      – Est-ce qu’il y a des tests automatisés, à ce que je comprends oui ? (comme vérifier « alt » sur les images ou plus complexe)
      – Est-ce qu’on peut ajouter des checklists personnalisées ?
      – Est-ce qu’on peut ajouter des nouveaux tests automatisés ?

      Du coup, vu que les ckecklists Opquast (qui ne sont pas que pour l’accessibilité) sont en licence libre, si la communauté peut ajouter des nouvelles checklists dans cet outil logiciel libre, alors on peut se passer d’Opquast, en ajouter ici la checklist des bonnes pratiques, celle de webperf, etc, etc ?

      #audit

    • @rastapopoulos, «  cocher à la main en vérifiant humainement  », c’est bien sûr disponible : en gros tu lances un audit de la page, Asqatasun réalise les nombreux tests automatisés et ensuite tu lance un audit manuel déjà pré-remplie. L’interface pourrait être améliorée, mais cela fait le job.
      https://doc.asqatasun.org/en/20_User_doc/userdoc-06-assisted-audit.html

      La 2ᵉ solution, est d’exporter l’audit automatique (.csv ou .ods) et finir l’audit manuellement directement dans un tableur.
      https://doc.asqatasun.org/en/20_User_doc/userdoc-09-export.html

    • @rastapopoulos, pour «  ajouter des checklists personnalisées […] des nouveaux tests automatisés ?  », c’est possible mais pas pour l’utilisateur via un simple formulaire. Il faut sortir les outils de compilation et ajouter une nouvelle classe java (et les tests unitaires qui vont bien) pour chaque test de la checklist. C’est plutôt bien fait, et les briques utilisables sont nombreuses, mais cela reste du code java.

      Une proposition, pour avoir des checklists personnalisés pour l’utilisateur à partir d’une checklist déjà existant dans Asqatasun, a été évoquée mais pour le moment aucun développement n’est en cours sur ce point.

      Pour les check-lists Opquast, c’est bien sûr possible de l’intégrer. Il faut vérifier si les licences sont compatibles et surtout si coller pour implémenter chaque item. Donc en résumé, il y a un peu de travail…

    • Super, merci pour ces infos @asqatasun :)

      Toutes les licences des checklists Opquast sont affichées là : CC BY SA (et on peut les récup en PDF et surtout en tableur donc utilisable programmatiquement) :
      https://checklists.opquast.com/fr

      Le principe d’Opquast c’est que les checklists sont un travail communautaire publié en libre, et qu’ensuite la boite gère un logiciel pour faire des audits avec.

      Tu parles d’ajouter en classe Java et d’implémenter chaque entrée, mais peut-être est-il possible de faire par étape. Par exemple, peut-on imaginer ajouter toutes les checklists Opquast, déjà en insérant tous les critères de toutes les listes (en masse puisqu’on a les listes en tableur déjà). Ce qui permet déjà de les utiliser manuellement mais par l’interface d’@asqatasun. Et ensuite dans un deuxième temps, petit à petit, implémenter les tests qui sont faisables par la machine (et parfois réutiliser des tests déjà existants, puisque dans certains critères ce sont des tests que vous avez déjà, qui sont déjà codés).

    • La licence CC BY SA impose un partage en utilisant la même licence (CC BY SA). Du coup, l’intégrer dans un logiciel qui n’a pas la même licence, ne doit pas être possible. C’est à vérifier…

      Il existe certainement des solutions en distribuant séparément le logiciel et le référentiel implémenté pour le logiciel. Mais ce n’est pas simple, car aucun mécanisme de plugin / module n’est actuellement implémenté.

      un exemple d’ajout d’un référentiel est décrit ici :
      https://forum.asqatasun.org/t/sommaire-coulisse-processus-dajout-dun-nouveau-referentiel-a-asqatasun/189

    • Il y a une FAQ et même ensuite une page entière dédiée à la compatibilité (dans un seul sens, mais justement celui dont on parle) entre la BY SA et la GPL (en espérant que vous êtes en GPL) :
      https://creativecommons.org/faq/fr/#puis-je-appliquer-une-licence-creative-commons-%C3%A0-un-logiciel

      La version 4.0 de la licence Attribution-ShareAlike (BY-SA) est compatible d’une seule manière avec la version GNU General Public License 3.0 (GPLv3). Ce mécanisme de compatibilité est conçu pour les situations dans lesquelles le contenu est intégré dans le code de logiciel d’une manière qui rend difficile ou impossible de distinguer les deux. Il ya des considérations spéciales nécessaires avant d’utiliser ce mécanisme de compatibilité. En savoir plus à ce sujet ici.

      Et donc là page dédiée :
      https://wiki.creativecommons.org/wiki/ShareAlike_compatibility:_GPLv3

      Ça a été fait explicitement pour le cas exact dont on parle ici :

      It was designed to help solve a specific problem for those working in niche areas where content is adapted and melded with code. Please take advantage of it only when you are adapting BY-SA 4.0 works and incorporating the adaptation into GPLv3 software in ways that make it difficult or impossible for downstream users to distinguish the content from code.

      Donc c’est bien prévu par les deux communautés CC et FSF !
      Et donc même si ce n’est pas en plugin distribué séparément, c’est tout bon. :)

  • Que reste-t-il des palais de Mobutu vingt ans après sa mort ?
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_que-reste-t-il-des-palais-de-mobutu-vingt-ans-apres-sa-mort?id=9700757

    Le 7 septembre 1997, le maréchal Mobutu Sese Seko, ancien président du Congo rebaptisé Zaïre, décédait à Rabat au Maroc. Renversé quelques mois plus tôt par l’avancée de la rébellion de AFDL de Laurent-Désiré Kabila, Mobutu était emporté par un cancer à l’âge de 66 ans. Il vivait en exil au Maroc depuis son départ de son fief de Gbadolite le 18 mai 1997, deux jours après avoir fui Kinshasa en compagnie de sa proche famille et de quelques fidèles.

    #rdc #mobutu #fin_d_empire #ghost_things #fantôme_du_passé #fantômes #trucs_fantôme ...

    • L’histoire de Mobutu écrite par un auteur canadien-congolais a lire :" l était une fois le Maréchal Mobutu (14 octobre 1930- 7 septembre 1997)
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      << Peu de temps après son ascension au pouvoir, Mobutu ne tarda pas à affronter le fameux litige connu sous le nom du « contentieux belgo-congolais », qui véhiculait toutes les tares de l’indépendance nominale que la Belgique avait concédée, malgré elle, au Congo sous la pression des États-Unis et des institutions internationales. Deux ans seulement après sa prise de pouvoir, soit en décembre 1966, le Président Mobutu décida la nationalisation des actifs congolais de l’Union Minière ─ ce qui contraria profondément la société mère, la Générale de Belgique, qui contrôlait environ 70 % de l’économie du Congo-belge ─ et procéda à la création d’une société d’État appelée la Gécomin (Générale congolaise des mines) qui allait être rebaptisée peu de temps après Gécamines (Générale des carrières et des mines), pour l’exploitation des minerais du cuivre. La guerre du Vietnam avait provoqué une flambée spectaculaire des cours mondiaux du cuivre, ce qui avait permis à l’État congolais de remplir ses caisses. [...] Pour consolider son nouveau régime économique, Mobutu remplaça aussi la monnaie. Il lança une nouvelle unité monétaire qu’il baptisa le Zaïre, en référence à la nouvelle dénomination du pays depuis le 27 octobre 1971. Un Zaïre-monnaie équivalait à 100 Francs belges et à deux dollars américains. Ce furent pour beaucoup des années fastes, la période des vaches grasses.

      Dès 1973, le président Mobutu porte une estocade aux intérêts étrangers en « zaïrianisant » les entreprises diverses et les sociétés commerciales détenues par des étrangers, pour ensuite les confier à ses proches, les membres de sa famille ou des fidèles soutiens politiques, dont essentiellement les barons du MPR Parti/État. Mais, l’ignorance et l’incurie de nouveaux propriétaires appelés « acquéreurs » entraînèrent la faillite voire la déliquescence rapide de la plupart de ces entreprises [...]

      Toutes ces mesures économiques « nationalistes » du président Mobutu, qui avaient beaucoup plus visé les intérêts belges, avaient fini par inquiéter plusieurs autres grandes compagnies occidentales présentes au Zaïre, et celles qui prévoyaient de s’y installer. Même si les intérêts américains au Zaïre étaient au beau fixe, les entreprises américaines pouvaient émettre quelques doutes sur la bonne foi zaïroise en matière de protection des intérêts étrangers. L’extrait d’une note de la Gulf Oil Company illustre bien cette inquiétude des compagnies américaines : « Le département d’État a stimulé les investissements (américains) au Zaïre en tablant sur l’hypothèse que ce pays n’expropriera pas ces investissements et ne causera pas de tensions entre les deux pays » peut-on lire.

      S’il est vrai que les États-Unis et la Belgique avaient hissé le lieutenant-général Mobutu à la tête du Congo pour servir leurs intérêts, il est aussi vrai que avec l’évolution du temps, la conjoncture géopolitique et surtout l’expérience acquise au sommet de l’État, Mobutu était parvenu à maîtriser le mécanisme de fonctionnement interne du système politique et financier de ses alliés occidentaux, au point d’en déceler les faiblesses et les contradictions internes qu’il était parvenu à les manier avec maestro pour échapper à leur pression. Il était ainsi parvenu à renverser de temps en temps les rôles ; le léopardeau devenu grand avait dompté ses dompteurs. Comme l’a souligné le cinéaste Thierry Michel, réalisateur de plusieurs films-documentaire sur la vie du président zaïrois, « Mobutu a été l’otage des Américains et des Belges, c’est évident. Mais il s’est affranchi de cette tutelle. Il a joué les Américains contre les Belges, les Français contre les Américains, etc. Il a même joué les différents clans du pouvoir américains les uns contre les autres. » Le président-maréchal ira jusqu’à expulser, plus d’une fois, l’ambassadeur américain Deane Hinton, du pays sans perturber sérieusement les relations entre le Zaïre et les États-Unis. C’est dire...

      Mobutu savait comment et quand provoquer des crises politiques au sein du gouvernement belge. Il a aidé des chefs d’États et des ministres européens à se faire élire « démocratiquement » chez eux. Et ces derniers savaient comment lui renvoyer l’ascenseur quand il en avait besoin. Plus proches des républicains américains, Mobutu savait jouer avec les puissants lobbies juifs américains et israéliens pour tirer son épingle du jeu. Mais son erreur est qu’il n’a pas su anticiper les conséquences de l’effondrement du mur de Berlin. Il n’a pas su, ou n’a pas voulu situer dans le temps et dans l’espace le degré exact de cette « amitié » avec l’Occident. En avait-il identifié l’objet et le mobile profond ? En avait-il évalué la durée dans le temps, et la résistance face aux changements des circonstances et des intérêts à travers les péripéties de l’Histoire ? Avait-il compris que, après ce bouleversement à l’échelle mondiale, les intérêts et les alliances de ses « amis occidentaux » allaient être complètement révisés de fond en comble ? Et que, dans ce domaine de la jungle moderne des rapports entre États, seuls les intérêts comptent et que les sentiments n’ont aucune place ?
      Le moins que l’on puisse dire, c’est que le Maréchal Mobutu a eu tort de mêler sentiment aux raisons d’État et de croire jusqu’au bout que ses « amis occidentaux » avaient une dette de reconnaissance envers lui pour des « services rendus ». Lui qui était un animal politique a oublié, ou n’a pas voulu comprendre que les « raisons d’État » sont aveugles, sans cœur ni mémoire. Mobutu n’a pas compris qu’il n’avait pas le profil des « nouveaux leaders africains » de l’après-guerre froide. Ces dirigeants qui n’opposeraient plus de résistance aux pillages sauvages des richesses de l’Afrique en général et du Zaïre en particulier. Il n’avait pas vraiment réalisé que ces dirigeants-là, qui devaient provenir de petits pays voisins, lorgnaient eux aussi les immenses richesses du sol et du sous-sol zaïrois et rêvaient, comme toutes ces grandes firmes occidentales qui se sont mis en retrait durant la période de la guerre froide, de bâtir leur prospérité sur les ressources puisées chez leur grand voisin. En gros, Mobutu n’a pas su anticiper les bouleversements géopolitiques majeurs à venir qui se précisaient dès la seconde moitié des années 1980...>> (Extrait Stratégie du livre "chaos et du mensonge", pp. 581-584) Patrick Mbeko est l’auteur de plusieurs livres dont sur le Rwanda et du drame du Congo et le quasi génocide de 9 millions de congolais par des armées proxies venus des pays voisins et dont Paul Kagamé est le maitre des basses oeuvres.

    • The series, titled “Portraits of Imaginary People” explores the latent space of human faces by training a #neural_network to imagine and then depict portraits of people who don’t exist. To do so, many thousands of photographs of faces taken from Flickr are fed to a type of #machine-learning program called a Generative Adversarial Network (GAN). GANs work by using two neural networks that play an adversarial game: one (the “Generator”) tries to generate increasingly convincing output, while a second (the “Discriminator”) tries to learn to distinguish real photos from the artificially generated ones. At first, both networks are poor at their respective tasks. But as the Discriminator network starts to learn to predict fake from real, it keeps the Generator on its toes, pushing it to generate harder and more convincing examples. In order to keep up, the Generator gets better and better, and the Discriminator correspondingly has to improve its response. With time, the images generated become increasingly realistic, as both adversaries try to outwit each other. The images you see here are thus a result of the rules and internal correlations the neural networks learned from the training images.

      http://www.miketyka.com/?p=00098000

  • Après Irma, « le pire est devant nous », affirme Nicolas Hulot
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/09/08/apres-irma-le-pire-est-devant-nous-affirme-nicolas-hulot_5183114_3244.html

    « Le pire est devant nous. Il y a un moment où on touche les limites, où l’événement nous dépasse », a regretté le ministre, précisant que « tous les moyens de l’Etat sont là » et que « c’est pour longtemps qu’il va falloir mettre tous les moyens pour aider les habitants de ces îles ». « Ne nous divisons pas sur ces sujets-là, réunissons toutes nos intelligences, tous nos moyens, parce que le pire est devant nous », a averti Nicolas Hulot.

    Étonnant, cette parole, venant d’un ministre.

    #le_pire_est_devant_nous #ça_chauffe

  • À quoi sert la balise <pre> ? - romy.tetue.net
    http://romy.tetue.net/a-quoi-sert-la-balise-pre

    Mais à quoi sert la balise <pre> ? Au texte pré-formaté dit la spec HTML du W3C. Son nom, <pre>, signifie littéralement « PRÉ-formaté ». Et ça fait des années que je me demande ce que ça signifie… Cette balise sert tellement peu souvent que je n’avais jamais pris la peine de creuser. Mais qu’est-ce donc que le texte pré-formaté ?

    Exemples de textes pré-formatés :
    – ASCII Art
    – Poésie
    – Texte brut
    – Balisage léger
    – Arborescence
    – Code informatique

    #HTML #sémantique #pre #ASCIIart #TexteBrut #syntaxes_légères #code

  • Révision 100844 pour core/plugins/urls_etendues – SPIP-ZONE
    https://zone.spip.org/trac/spip-zone/changeset/100844/_core_/plugins/urls_etendues

    Le fonctionnement des URLs arborescentes multi-langues de SPIP et le define() à passer dans mes_options.php pour les activer.

    Voir aussi « Ajout d’un champ langue a la table spip_urls » (https://zone.spip.org/trac/spip-zone/changeset/100835 ) :

    on peut y definir des URLs avec langue en prefixant la saisie : « en:my-smart-url » fixera la langue a ’en’ pour l’URL (sous reserve des conditions ci-dessus : si c’est la premiere URL de l’objet elle sera en langue=)

    #spip #multilinguisme #url #mes_options

  • Actualité des médias n°7 (juillet/août 2017) - Acrimed | Action Critique Médias
    http://www.acrimed.org/Actualite-des-medias-no7-juillet-aout-2017

    - Suite à l’éviction du rédacteur en chef d’« #Envoyé_spécial » (France 2), le magazine sera plus « conso et société » - Jean-Pierre Canet, rédacteur en chef de l’émission de France 2 « Envoyé spécial » jusqu’ici, n’est pas renouvelé pour la saison 2017/2018. Raison officiellement avancée : la mort de trois journalistes en reportage pour l’émission en Irak. Néanmoins, d’après Le Monde et Europe 1, il y aurait une autre raison : « Son départ pourrait résulter d’un désaccord beaucoup plus profond avec sa direction autour de la ligne éditoriale d’ "Envoyé spécial". Jean-Pierre Canet était arrivé aux manettes du magazine d’info de France 2 il y a un peu plus d’un an, mais depuis, ses méthodes dérangent. En interne, certains lui reprochent une trop grande autonomie dans les choix rédactionnels. On se souvient par exemple du bras de fer engagé avec la direction de l’info de la chaîne à la rentrée dernière autour de la diffusion d’un reportage sur l’affaire Bygmalion. » Enfin, d’après les informations d’Arrêt sur images, la nouvelle direction d’ « Envoyé spécial » aurait reçu l’instruction de faire moins d’investigation politique : « “L’enquête n’a pas disparu, mais on nous a fait comprendre que l’#investigation pure et dure ce n’était plus la priorité, la priorité c’était de relever les #audiences et de faire davantage de sujets conso et société", glisse un journaliste du magazine. » Une évolution déjà souhaitée par Michel Field, directeur de l’information de France 2, avant son départ (en mai 2017 suite à l’éviction de David Pujadas) : « Un virage a été discuté avec l’équipe à partir du premier trimestre, pour introduire davantage de reportages, de sujets de société, voire des histoires “positives”, comme celle de l’astronaute Thomas Pesquet. »

  • « Vas y Tonton, nous arrivons. Etat RPR = danger »

    Un vieux graffiti historique, dans le village où j’habitais, qui n’a jamais été effacé.
    Il est pourtant juste à l’entrée du bled, on ne peut pas le rater, et sur le mur d’une propriété assez cossue.
    Je le voyais tous les jours mais il m’a toujours amusé.
    J’ai pensé à le prendre en photo l’autre jour.

    Ça doit date de 88, partiellement recouvert par Jospin (2002 ?).

    Précisément, c’est à La Bastide de Besplas, en Ariège.

    On le voit même avec Street View, juste en face de l’épicerie :
    https://www.google.fr/maps/@43.1638186,1.2742357,3a,75y,296.82h,61.21t/data=!3m7!1e1!3m5!1slkNsu0JxDrgXz9pZjBCQ5w!2e0!6s%2F%2Fgeo2.ggpht.com%2Fcbk%3

    #tonton

  • About - graphql-php
    http://webonyx.github.io/graphql-php

    Une implémentation en PHP d’un serveur GraphQL, et qui permet de l’utiliser avec nos logiques métiers déjà existantes (on implémente suivant notre backend quoi).

    graphql-php is a feature-complete implementation of GraphQL specification in PHP (5.5+, 7.0+). It was originally inspired by reference JavaScript implementation published by Facebook.

    This library is a thin wrapper around your existing data layer and business logic. It doesn’t dictate how these layers are implemented or which storage engines are used. Instead, it provides tools for creating rich API for your existing app.

    #graphql #php #api #développement #web #idée_pour_SPIP

  • Accueil - Festival Trois P’tits Points
    http://trois-ptits-points.fr

    Le Festival Trois P’tits Points est né d’un regroupement d’associations œuvrant dans le secteur culturel en Ariège :
    Label Bouze / La Boîte à Matos / Pâtatrak / Les Gonzesses / La Caravan’Olla.
    Ces structures se sont regroupées en une association : Antidot’

    Un chouette #festival en Ariège le week end prochain.
    Théatre, cabaret, concerts, déambulations, c’est la 3ème édition, mais je ne le connaissais pas encore...

    En plus, le lieu (le village de Montardit et les environs) est très beau.

    Y’a plein de trucs qui se passent en #Ariège :)

  • Installer Tiny Typo dans SPIP

    Tiny Typo est une base CSS pour le contenu éditorial web qui rend les pages plus lisibles. Elle tient en deux fichiers : l’un, en CSS, apporte les styles, l’autre, en HTML, permet de les visualiser. Selon les besoins, vous utiliserez l’un ou l’autre. C’est très simple à installer dans SPIP : il suffit de déposer ces fichiers dans votre dossier squelettes. Pas besoin d’un plugin pour ça ! Mais comme vous êtes plusieur·e·s à demander, voici quelques explications

    https://contrib.spip.net/Installer-Tiny-Typo-dans-SPIP

    #spip_blog