• Pour les 50 ans de l’aventure autogestionnaire des #LIP, un automne d’événements à #Besançon
    https://basta.media/pour-les-50-ans-de-l-aventure-autogestionnaire-des-lip-un-automne-d-eveneme

    « On fabrique, on vend, on se paie ». C’était le slogan emblématique des Lip en 1973. Il y a 50 ans à Besançon dans le Doubs, les travailleuses et travailleurs de l’entreprise horlogère occupent leur usine en danger de fermeture et mettent en place un véritable système d’autogestion.

  • Non mais proférer des slogans anti-fascistes le jour où on célèbre la victoire de 1945, quelle idée saugrenue… (via Emma Audrey) :
    https://twitter.com/emma_audrey_fr/status/1655533109792604160

    Lors du dépôt d’une gerbe de fleurs par le Préfet du Doubs, pour la commémoration du 8 Mai à #Besançon, un homme a scandé « à bas l’état policier ». Il a été très vite arrêté, menotté et emmené au commissariat de police. L’homme est un manifestant contre la réforme retraite

    https://video.twimg.com/ext_tw_video/1655531112733573120/pu/vid/1280x720/QGktTUugbf65jVrK.mp4

  • Pour leur rendre #justice, réécrivons les articles qui relatent les morts de #piétons ou de #cyclistes victimes d’automobilistes
    http://carfree.fr/index.php/2022/06/09/pour-leur-rendre-justice-reecrivons-les-articles-qui-relatent-les-morts-de-p

    La « voiture » qui a percuté un enfant de 4 ans dans le titre, devient un « automobiliste… en état de choc » dans le corps de l’article. Personne n’a tué personne. Seul Lire la suite...

    #Fin_de_l'automobile #Insécurité_routière #accident #besançon #enfants #mort #sécurité_routière

  • A Besançon, un boulanger se bat contre l’expulsion de son apprenti guinéen - Page 1 | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/france/050121/besancon-un-boulanger-se-bat-contre-l-expulsion-de-son-apprenti-guineen?us

    Dimanche 3 janvier, Stéphane Ravacley a décidé de ne plus s’alimenter. Le gérant de la Huche à pain, une boulangerie de Besançon (Doubs) employant huit personnes, se dit « prêt à tout » pour garder Laye Fodé Traoréiné, son apprenti, dans son équipe. Ce dernier, de nationalité guinéenne, est sous le coup d’une expulsion du territoire français.

    « Je veux que ce soit percutant. Je veux montrer qu’il y a quelqu’un derrière lui pour le soutenir. On ne fait pas n’importe quoi avec des gamins ! », s’exclame le responsable de la boulangerie, dans une colère à peine dissimulée. Une pétition en ligne, adressée entre autres à la préfecture de Haute-Saône et au ministre de l’intérieur Gérald Darmanin, a récolté, au 5 janvier, plus de 110 000 signatures de soutien.

    • Oui, un maire à son deuxième mandat et qui a des visées plus hautes désormais...
      C’était des bruits, ça devient petit à petit plus concret...
      Ici une rencontre récente de Piolle avec Mélenchon...

      Merci @JLMelenchon pour l’accueil. Notre pays doit relever d’immenses défis. Identifions nos convergences, travaillons. Notre objectif est commun : gagner et changer la vie, pour la justice sociale et climatique. Notre adversaire est commun : Macron et la droite.

      https://twitter.com/EricPiolle/status/1296845806478282755

      #Piolle #Eric_Piolle #France_insoumise #Mélenchon #EELV #Verts #Les_Verts

    • Éric Piolle, maire EELV de Grenoble, présenté par les médias comme l’adversaire de la ligne libérale de Yannick Jadot chez les Verts. Lui et Jean-Luc Mélenchon ont déambulé à travers les stands avant de monter ensemble sur scène. Le député de Marseille a réaffirmé le combat des insoumis contre la loi du marché. Le tribun a aussi rappelé que les insoumis n’étaient pas seulement « contre » un système. Mais bien également « pour » un programme. Le leader des insoumis a aussi rappelé que l’écologie populaire portait la défense des biens communs : l’air, l’eau, la science, etc., et que ces combats rassemblaient largement le peuple. Il a enfin redit l’attachement des insoumis aux concepts de République et de Nation.

      Éric Piolle a affirmé un même attachement à ces deux concepts et a rappelé qu’il avait été un soutien engagé de Jean-Luc Mélenchon lors de l’élection présidentielle de 2017. Le maire de Grenoble a expliqué vouloir rassembler un arc humaniste tout en affirmant très clairement : « Si nous voulons transformer le pays, nous le transformerons pas avec les 10% d’en haut (…) mais pas non plus juste avec ceux qui sont bien installés, qui viennent me voir et qui me disent : « Ok Éric, on comprend ton projet politique, tu es radical, ok, on est d’accord pour y aller, mais qu’est-ce que tu fais là avec l’extrême gauche, c’est quoi le problème ? ». Et moi je leur dis : « Les amis, c’est juste que je ne changerai pas le monde avec vous. Voilà. Nous changerons le monde ensemble, avec ceux qui sont insoumis, avec ceux qui s’indignent, avec ceux qui ont dans leurs tripes l’envie et le désir de changer le monde. » Le message a sans doutes été bien reçu chez les insoumis.

      https://linsoumission.fr/2020/08/21/piolle-eelv-aux-amfis-nous-changerons-le-pays-avec-ceux-qui-sont-insou

    • #Mélenchon et Piolle s’affichent ensemble pour plaider le dialogue entre LFI et EELV

      Le chef de file de LFI et le maire EELV de Grenoble ne veulent pas se voir comme des concurrents et évoquent un rapprochement

      Ne pas se voir comme des « concurrents ». Le chef de file de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, et le maire EELV de Grenoble, Eric Piolle, ont ensemble plaidé le dialogue, vendredi aux Amphis d’été des Insoumis à Châteauneuf-sur-Isère (Drôme).

      Les deux hommes se sont entretenus en privé à l’arrivée de l’écologiste avant de traverser ensemble les stands de l’événement et de prendre la parole sur scène, devant les militants Insoumis.
      « Savourer ce sur quoi on est d’accord »

      Jean-Luc Mélenchon a salué en Eric Piolle un « ami » et « l’un des porte-parole les plus notoires » d’EELV, déclarant que « sa présence ici a une signification » : « Il faut aller à l’essentiel, certes discuter sur les désaccords mais aussi savourer ce sur quoi on est d’accord ».

      EELV a remporté plusieurs grandes villes aux élections municipales en juin, tandis que le poids de LFI, très discrète dans la campagne, a été faible. Jean-Luc Mélenchon a cependant envoyé plusieurs signaux, ces dernières semaines, sur une probable candidature à la présidentielle de 2022.

      Eric Piolle, un contrepoids aux ambitions de l’eurodéputé Yannick Jadot

      Très applaudi à son arrivée, Eric Piolle, dont la majorité est composée d’Insoumis, a quant à lui rappelé : « si nous avons gagné à Grenoble en 2014, c’est que nous avions la conviction que l’envie de faire ensemble dépassait tout ». « Ce poids, je veux aujourd’hui le mettre au service d’une ambition collective qui aille encore plus loin que ce que tu as fait en 2017 » (lorsque le leader Insoumis avait récolté 19,58 % des voix), a lancé l’édile grenoblois.

      « Si nous voulons transformer le pays, nous le ferons » avec les « foules qui se sont alors levées », a plaidé Eric Piolle. Celui-ci multiplie les apparitions médiatiques depuis quelques mois, apportant un contrepoids au sein d’EELV aux ambitions de l’eurodéputé Yannick Jadot, jugé trop libéral par LFI.
      Une alliance dans au moins quatre régions pour les élections de 2021 ?

      Jean-Luc Mélenchon a affirmé que les Insoumis seraient importants dans les prochaines échéances : « On a besoin de leur capacité d’indignation ». « Certes, nous avons une dette à l’égard du courant historique de l’écologie politique, mais de votre côté, vous ne pouvez pas faire comme si tout vous était réservé », a-t-il insisté.

      Eric Piolle a proposé qu’EELV et LFI « fassent la démonstration qu’ensemble on peut gagner » en s’alliant dans quatre régions pour les élections de 2021. « Piolle est la seule personne (à EELV) qui dit que c’est possible », s’est réjoui Jean-Luc Mélenchon, qui veut cependant aller plus loin : « Il y a 13 régions, nous sommes pour que ce soit la même chose partout ».

      https://www.20minutes.fr/politique/2843939-20200821-melenchon-piolle-affichent-ensemble-plaider-dialogue-entr

    • Pendant ce temps là, à droite, Bruno Retailleau sera candidat à une primaire dans la course à la présidentielle.
      https://twitter.com/BrunoRetailleau/status/1297116992265244674
      Xavier Bertrand se prépare aussi à l’élection présidentielle de 2022 mais, lui, se refuse à l’idée de se plier à une quelconque primaire. selon le Canard il a dit dans « Corse-Matin » 10/08 : « Je ne veux plus de filtre entre le peuple et moi, et je ne me soumettrai pas à des règles fixées par les partis politiques. » Xavier et Jean-Luc, c’est un peu kif-kif bourricot.
      #dans_les_starting_bloks

    • Xavier et Jean-Luc, c’est un peu kif-kif bourricot

      J’essaie, mais j’y arrive pas.
      Je bute par exemple, c’est juste pour illustrer et pour dire qu’il y a des choses qui font que j’y arrive pas au « kif-kif », et donc par exemple, d’un côté, t’as un type qui a été au pouvoir, et qui a démontré sa capacité de nuisance, de l’autre, il a eu des postes de pouvoir et il n’a pas démontré de telle capacité. D’un côté, il y en a un qui explique qu’il veut un programme de droite, privatisation des profits, socialisation des pertes. De l’autre, un type qui parle collectif et progrès humain.

      Après, je comprends. Il y a un cadre institutionnel, et si tu souhaites prendre le pouvoir, t’es bien obligé de t’y soumettre... et de faire avec ses contraintes.

    • Et cet article du Figaro...

      Les folies des nouveaux maires écolos : leurs obsessions, leur idéologie, leurs dégâts

      Élus en juin avec des taux d’abstention records, ils se sont empressés d’imprimer leur marque sur la vie quotidienne de leurs administrés. #Transports, #urbanisme, #alimentation, #rapports_hommes-femmes : pas un domaine n’échappe à leur ardeur réformatrice. Florilège.

      Vite, vite, vite ! Les nouveaux maires estampillés #EELV (Europe Écologie Les Verts) de #Lyon, #Bordeaux, #Strasbourg ou #Besançon, mais aussi leurs collègues de gauche écolo-compatibles de #Marseille ou de #Rennes n’ont pas perdu une minute pour engager le « changement de modèle » dont ils rêvent. Malgré ou parfois grâce à la crise sanitaire, à l’instar d’Anne Hidalgo qui a chassé les voitures de plusieurs grands axes parisiens au nom de la lutte contre le coronavirus, ils ont profité de leurs premières semaines de mandat pour modifier la physionomie de leur ville. C’est que le temps presse : quand on caresse des projets aussi ambitieux que, par exemple, l’autosuffisance énergétique et alimentaire - l’objectif d’Anne Vignot pour Besançon - six ans risquent de ne pas suffire.

      La politique est d’abord affaire de messages. La maire de Paris y avait déclaré l’ « état d’urgence climatique » en 2019. Pierre Hurmic, à Bordeaux, et Jeanne Barseghian, à Strasbourg, l’ont imitée dès leur prise de fonction, et la plupart de leurs collègues écolos ont suivi. Le concept ne repose sur aucune base juridique. Il vise simplement à légitimer une restriction des libertés individuelles au nom d’un intérêt proclamé supérieur. « Défendre une limitation des libertés au nom du changement climatique n’est pas liberticide », a résumé, fin août, devant les Verts, Manon Aubry, ex-tête de liste aux européennes d’une France insoumise qui rivalise de zèle écologiste avec EELV. Le secrétaire national du parti écolo David Cormand a approuvé.

      “Assemblées citoyennes”

      Mais rien n’énerve plus les écologistes que d’être traités de « Khmers verts » . Ne sont-ils pas des apôtres de la « démocratie participative » ? Dans les municipalités qu’ils ont conquises, il n’est question que d’ « assises du pouvoir partagé » (Bordeaux), d’ « assemblées citoyennes » (Besançon) et de « codécision » (Poitiers), de référendums et de « droit de pétition » ou d’ « interpellation citoyenne » . En plus de cette panoplie, Anne Vignot va doter Besançon d’un conseil de scientifiques et d’experts, sur le modèle du Giec (Groupement intergouvernemental d’experts sur les évolutions du climat), appelé à se prononcer sur « tous les projets de la ville » . Elle compte notamment sur lui pour mener à bien le projet d’écoquartier qui doit remplacer les jardins des Vaîtes. Elle le portait déjà au sein de la majorité précédente en tant qu’adjointe à l’environnement, mais il est contesté par… plus écolo qu’elle ! L’avis des experts primera car, a prévenu la maire, « ça serait quand même aberrant que l’on prenne des décisions justes parce que l’on aime bien avoir des jardins autour de soi ! »

      À Tours, Emmanuel Denis n’a consulté personne quand il a interdit les voitures, mi-août, sur le pont Wilson, qui enjambe la Loire dans le centre-ville. Tollé de l’opposition, que le nouveau maire a traitée par le mépris : « C’est le vieux monde qui résiste ! » L’arrêté a été pris pour trois mois, à titre expérimental, mais Emmanuel Denis envisage déjà d’y installer les villages du marché de Noël cet hiver. Des mesures comparables ont été prises cet été dans toutes les villes écolos, sans concertation véritable.

      Quand les commerçants ont protesté, on leur a répondu « expérimentation » ! Et l’expérience n’en finit jamais, comme à Annecy, où le maire écolo sans étiquette François Astorg vient de prolonger la période-test pour des pistes cyclables, au grand dam des ambulanciers qui dénoncent des ralentissements préjudiciables à leurs patients. La méthode Piolle fait des émules. Seul maire écolo d’une ville de plus de 120.000 habitants élu dès 2014, Éric Piolle a déployé à Grenoble des « autoroutes à vélo » à un rythme à faire pâlir de jalousie Anne Hidalgo avec ses « corona pistes » .

      Les maires écologistes ont beau se revendiquer champions du « pluralisme » , ils répugnent à partager les vrais leviers de pouvoir, au niveau de la municipalité comme de la métropole quand ils y sont majoritaires. Pierre Hurmic à Bordeaux, Grégory Doucet à Lyon ou, encore, Jeanne Barseghian à Strasbourg n’ont attribué qu’à des proches les postes de décision stratégiques, notamment les délégations des intercommunalités. Ils ont aussi revisité les attributions de leurs adjoints et, surtout, leurs intitulés. Pour changer la réalité, changeons les mots ! Éric Piolle avait lancé le mouvement en se dotant notamment d’une « adjointe à la tranquillité publique et au temps de la ville » en lieu et place d’une adjointe à la sécurité. Ses émules l’ont parfois dépassé : « transition écologique » , « résilience » et « inclusion » sont partout à l’honneur.

      “Résilience alimentaire”

      À Marseille, où Michèle Rubirola a été élue grâce à un accord tardif avec EELV, l’organigramme municipal a des accents orwelliens : le premier adjoint est « en charge de l’action municipale pour une ville plus juste, plus verte et plus démocratique » et le portefeuille de la culture devient celui de « la culture pour tous et toutes » , entre autres exemples. À Strasbourg, la « ville résiliente » et la « ville inclusive » ont chacune leur adjointe. À Poitiers, Léonore Moncond’huy a une adjointe « à l’économie circulaire et à l’économie de proximité » . Bordeaux annonce la couleur avec une première adjointe « en charge des finances, du défi climatique et de l’égalité entre les femmes et les hommes » , une autre « chargée de la démocratie permanente, de la vie associative et de la gouvernance par l’intelligence collective » , un adjoint à « l’urbanisme résilient » , des conseillers municipaux délégués à la « sobriété du numérique » et la « résilience alimentaire » , à l’ « économie circulaire » , au « zéro déchet » et au développement d’une « monnaie locale ». À Annecy, François Astorg a lui aussi décidé de développer une monnaie locale « complémentaire et solidaire » .

      En attendant de donner de la consistance à leurs ambitions, les élus écolos se sont empressés de faire un grand ménage dans les projets de leurs prédécesseurs. Si ce n’est pas de la « décroissance » , concept difficile à vendre à une population qui voit venir l’explosion du chômage, ça y ressemble fort. À Lyon, le projet de bouclage du périphérique et le développement de l’aéroport de Saint-Exupéry sont officiellement abandonnés. Grégory Doucet l’a dit à la Tribune de Lyon avant même de s’installer dans son fauteuil de maire : « Ce que je souhaite, c’est qu’on puisse avoir en valeur absolue beaucoup moins de gens qui viennent à Lyon en avion. » Y compris la clientèle d’affaires internationale, qu’il assume de voir baisser. Plus question, donc, d’ouvrir les lignes prévues avec Montréal et Dubaï. Le nouveau maire aurait aussi voulu en finir avec le projet de LGV Lyon-Turin, qui doit permettre de supprimer des poids lourds au profit du rail, mais il n’en a pas le pouvoir. En revanche, il lui a suffi d’un trait de plume pour annuler le projet de construction de tours à la Part-Dieu de Gérard Collomb. Pierre Hurmic, lui, est allé jusqu’à décréter le gel de tous les programmes immobiliers. À Grenoble, la politique mise en œuvre par Éric Piolle s’est traduite par une dégringolade de près de 40 % des permis de construire des logements depuis 2014.

      À Tours, Emmanuel Denis a promis de ne pas renouveler le contrat qui lie la municipalité à la compagnie Ryanair et qui s’achève en 2021. Des militants de Greenpeace et d’Extinction Rebellion avaient bloqué l’accès à l’aéroport début juillet pour exiger l’arrêt des subventions « écocides » au transport aérien. À Besançon, Anne Vignot a pris position contre le projet de dédoublement de la RN57, qui contourne la ville. Elle entend « travailler avec le préfet » pour trouver des solutions alternatives, au premier rang desquelles « désynchroniser les heures de travail » . Y a qu’à… Toutes les villes « verdies » ont décrété un gel, plus ou moins rigoureux, de l’artificialisation des sols et un moratoire sur l’installation de grandes surfaces sur des terrains non bâtis.

      Haro contre la 5G

      L’objectif général est d’emmener les entreprises sur le chemin de la vertu environnementale, en alternant incitations et contrainte. À Strasbourg, Jeanne Barseghian va flécher sur la rénovation thermique et énergétique l’essentiel des 350 millions d’euros d’emprunt qu’elle a annoncés. À Lyon, Grégory Doucet réservera les aides de la ville aux entreprises qui réduiront leur empreinte carbone. Tous ces maires veulent choyer « l’économie sociale et solidaire » , que le programme de Pierre Hurmic, « Bordeaux respire ! » , promeut en tant qu’ « alternative à la privatisation des profits » .

      Tous, aussi, crient haro contre la 5G, cette technologie « qui sert à regarder du porno en HD dans les ascenseurs » selon Éric Piolle. Le plus virulent sur le sujet est aussi Pierre Hurmic. « Il y a des dangers de la 5G » , a-t-il affirmé à plusieurs reprises, sans s’appuyer sur la moindre donnée scientifique. Et pour cause : il n’en existe pas. Ce qui n’empêche pas le maire de Bordeaux de promettre un moratoire, le temps que la population ait « un vrai débat » sur le passage à la 5G dans sa ville, où l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) a autorisé des entreprises à l’expérimenter. Pierre Hurmic est un adepte du « low-tech » (par opposition au high-tech), autrement dit d’un progrès technique économe en énergie, peu coûteux et qui produit des outils que des non-spécialistes peuvent réparer, voire construire eux-mêmes. Il a même confié un poste de conseiller municipal délégué à l’un des fondateurs de l’association Low-tech Bordeaux.

      Réélue à Nantes grâce à un accord avec la liste verte, la socialiste Johanna Rolland a dû se rallier elle aussi à la demande d’un moratoire sur la 5G, également réclamé par Anne Vignot à Besançon. Cette campagne a bien peu de chances d’aboutir, puisque le Conseil d’État, saisi, a déjà précisé que les maires ne disposent pas du pouvoir de « réglementer l’installation des antennes relais sur le territoire de leur commune » , qui relève d’ « une compétence exclusive » des « autorités de l’État » . Emmanuel Denis, tout aussi remonté contre la 5G, mais plus pessimiste que ses collègues sur l’issue du bras de fer, a promis aux Tourangeaux de « créer des logements protégés pour les personnes électrosensibles » . Rappelons que si l’OMS a bien identifié une « hypersensibilité électromagnétique » , personne n’a encore réussi à établir un lien entre ces ondes et la liste de symptômes divers et variés que présentent les personnes qui s’en plaignent. Le maire de Tours, lui, est convaincu de la nocivité de la 5G. Il faut dire qu’il a longtemps milité au sein de l’association Robin des toits, qui lutte contre l’expansion du téléphone portable et les installations d’antennes relais…

      De tous les aspects de la vie quotidienne, il en est un qui passionne beaucoup moins les nouveaux élus : la sécurité. Éric Piolle n’a pas réagi la semaine dernière aux vidéos d’autopromotion diffusées par les dealers locaux, mais il a regretté l’opération de police qui s’est ensuivie en parlant de « coup de com’ » du gouvernement. Le maire de Grenoble, où le niveau de délinquance était déjà supérieur de 53 % à celui enregistré en moyenne dans les agglomérations de même taille en 2018 (notre enquête dans Le Figaro Magazine du 17 février 2020), ne s’est pas non plus ému outre mesure des sept fusillades, dont trois mortelles, qui se sont produites dans sa ville depuis fin juin. Son réflexe est toujours le même : pointer les défaillances de l’État. « Nous avons demandé des effectifs supplémentaires au début du confinement parce que nous savions que ça allait créer des tensions, a-t-il affirmé sur BFMTV. Nous n’avons pas eu de réponse. » Ausitôt, Gérald Darmanin a publié le courrier sanglant qu’il lui a envoyé pour lui rappeler que l’État s’est mobilisé mais que la ville, elle, se distingue par « un niveau particulièrement bas d’investissement dans la sécurité » .

      À Lyon, où un policier municipal s’est fait rouer de coups par une bande début juillet, Grégory Doucet envisage d’augmenter les effectifs d’une vingtaine d’agents seulement (ils sont actuellement 335) pendant son mandat. Pendant la campagne, il avait estimé que « la première sécurité des Lyonnaises et des Lyonnais, c’est d’être en bonne santé, d’avoir accès aux soins, mais aussi de ne pas tomber malade du fait des conditions environnementales » car « les incivilités ne forment pas le seul enjeu qui conditionne la paix dans la cité » . Pour améliorer la « tranquillité publique de tous » , il avait parlé de créer un « budget sensible au genre » .

      Conseillère voilée

      À Bordeaux en revanche, Amine Smihi, l’adjoint chargé de la sécurité, espère doubler les effectifs municipaux sur le terrain d’ici à la fin du mandat de Pierre Hurmic. Des « faits graves » dus essentiellement à des « conflits de territoire entre dealers » se sont produits « de façon quasi quotidienne entre le 28 juin et le 28 juillet » dans les quartiers bordelais les plus sensibles, rapporte-t-il. Très sévère pour le bilan du juppéiste Nicolas Florian sous la mandature précédente, où il affirme que « la police municipale était l’un des services les moins dotés » , il s’insurge contre la « caricature des écolos en beatniks » indifférents à la délinquance. « La sécurité est évidemment une préoccupation pour nous, mais pas un étendard » , corrige-t-il. Même s’il juge nécessaire dans certains cas une « réponse sociale » , il reconnaît volontiers que « ce ne sont pas des médiateurs qui vont régler les problèmes de trafic de drogue ! » Pour autant, il n’envisage pas d’armer les policiers municipaux, ni de multiplier les caméras dans les rues « comme Christian Estrosi à Nice » . « Je ne parle pas de vidéosurveillance mais de vidéoprotection, et la nuance sémantique est importante, précise Amine Smihi. Les caméras ont un outil au service d’une police de proximité et d’îlotage que nous souhaitons développer. S’il s’avère qu’il faut les augmenter dans ce but, aucun souci, d’autant que dans le cadre de notre plan “Bordeaux marchable”, la vidéoverbalisation aura toute sa place » . Problème : la Commission nationale informatique et liberté a déjà rappelé àl’ordre plusieurs communes qui abusaient de la vidéoverbalisation par reconnaissance des plaques d’immatriculation, autorisée seulement en cas d’infractions au stationnement payant.

      Selon l’adjoint à la sécurité, les problèmes de radicalisation islamiste, eux, sont « de loin le sujet le moins préoccupant à Bordeaux » . « Nous sommes relativement épargnés, mis à part quelques problèmes très localisés » , affirme-t-il. En matière de communautarisme, sujet connexe, les écolos sont en général très accommodants, surtout quand ils sont alliés à La France insoumise. Les Grenoblois avaient pu apprécier l’embarras et les contorsions d’Éric Piolle sur le port du burkini dans les piscines municipales. Ce défenseur autoproclamé de l’égalité des sexes n’a aucune opinion sur les symboles de la soumission de la femme dans l’islam. Jeanne Barseghian, elle, a été plus claire : les Strasbourgeois ont désormais une conseillère municipale voilée. On peut encore voir sur les réseaux sociaux une vidéo, tournée pendant la campagne, où un soutien de la candidate EELV vante au pied d’une cité « la seule liste avec une daronne voilée » . Comble de l’ironie : il se fait rembarrer par les habitants présents, choqués qu’il utilise le voile comme argument électoral.

      Dans ce domaine comme dans d’autres, les élus écolos ne peuvent encore donner leur pleine mesure, puisqu’ils sont obligés de faire avec les budgets votés par leurs prédécesseurs. Rendez-vous l’an prochain !

      Élucubrations vertes

      • « Dégenrer » les cours de récréation. C’est l’un des grands chantiers lancés cet été par Éric Piolle à Grenoble. Il estime que les cours d’écoles sont « trop réservées aux pratiques des garçons » . Mais au fait, dire que les jeux de ballon sont des jeux de garçon, ce ne serait pas un stéréotype sexiste ?

      • Interdire la voiture en ville. Ils en rêvent tous, mais Pierre Hurmic a commis la maladresse de le dire tout haut, en précisant que sa stratégie consisterait à « dégoûter progressivement l’automobiliste » de circuler à Bordeaux.

      • Réquisitionner les logements vides. Sur ce sujet-là aussi, Pierre Hurmic s’est montré le plus directif, en pointant du doigt les odieux spéculateurs : « Quand vous êtes investisseur, même un logement vide rapporte de l’argent » , a-t-il affirmé.

      • Le Tour de France indésirable. Officiellement, c’est pour des raisons financières que la maire PS de Rennes a refusé d’accueillir le départ du Tour, mais ses alliés écolos lui reprochent de polluer et de dégrader l’image de la femme. En revanche, la Cyclonudista naturiste et écologiste programmée le 13 septembre est la bienvenue.

      • Lyon zone interdite pour la Patrouille de France. Les Alpha Jet devaient survoler Lyon le 13 juillet avant de participer au défilé le lendemain à Paris, mais Grégory Doucet a décidé de priver les Lyonnais du spectacle, pour ne pas provoquer d’attroupement en période de crise sanitaire. Quand le coronavirus sert d’alibi à l’antimilitarisme.

      • Généraliser l’écriture inclusive. Pourtant dénoncée comme un « péril mortel » pour notre langue par l’Académie française, l’écriture inclusive s’est imposée à tous les étages dans les villes écolos. Les « électeur·rice·s » leur en seront sûrement reconnaissants.

      https://www.lefigaro.fr/politique/les-folies-des-nouveaux-maires-ecolos-leurs-obsessions-leurs-ideologies-leu

    • La vague verte a des reflets bleus
      http://cqfd-journal.org/La-vague-verte-a-des-reflets-bleus

      Les nouveaux maires Europe Écologie-Les Verts mettront-ils fin à la surenchère technosécuritaire à l’échelle locale ? L’analyse de leurs programmes, déclarations et premières décisions ne laisse augurer aucun changement majeur. En termes de vidéosurveillance, comme d’armement ou d’effectifs des polices municipales, la désescalade attendra.

      paru dans CQFD n°190 (septembre 2020), par Tom Vieillefond, illustré par Gautier Ducatez

  • Si le Guiness Book des records comportait une entrée » Mensonges éhontés d’Etat « , Christophe Castaner y figurerait en bonne place.

    David Dufresne
    allo @Place_Beauvau - c’est pour un signalement - 595 (précisions 4)

    Coups de matraques illégitimes à la tête

    Besançon, #ActeXX

    [Alerte Info] Nouvelle vidéo (nouvel angle) qui renforce le témoignage du jeune blessé à la tête par un policier à #Besançon lors de l’#acteXX des #GiletsJaunes et qui contredit la déclaration du ministre de l’intérieur concernant le ramassage de la grenade. Images : TNK/Média 25

    https://twitter.com/i/status/1113908346438979584

    • Séquence « BRUT » du matraquage d’un manifestant Gilets Jaunes à Besançon - Média 25 (31/03/2019)
      https://www.youtube.com/watch?v=IsuKQHs5tJY

      -Suite à la réaction du Préfet du Doubs qui déclarait dans la presse que « les images sont sorties de leur contexte », nous avons décidés de rendre public la séquence « brute » sans coupures, depuis notre arrivée sur les lieux.
      –Dans cette vidéo, on peut remarquer qu’il y avait un petit nombre de manifestants sur les trottoirs dans le calme, avant l’arrivée d’un fourgon de police (là ou la séquence publiée précédemment avait commencé).
      –Une deuxième vidéo qui dément l’affirmation comme quoi « L’homme sur le chemin, tentait de faire obstruction à l’interpellation et essayait de ramasser un spray de lacrymogène à ses pieds », toujours d’après la Préfecture, sera publiée sous peu.
      –Quant aux nouvelles du jeune homme blessé à la tête, il a subi une ouverture profonde à l’arcade et cela a nécessité 5 points de suture à l’intérieur et 5 à l’extérieur. Il va bien mais reste marqué psychologiquement. Il consulte un avocat et souhaite porter plainte.

    • L’ État du mensonge permanent

      Pour plaire au Président, pour se montrer digne de confiance, pour conserver leur place, pour se défendre, les ministres bien sûr, mais aussi les préfets, les procureurs de la République, les policiers mentent effrontément, devant les caméras, devant les citoyens, les yeux dans les yeux.

      Malgré les images, malgré l’évidence, Geneviève Legay n’avait eu “aucun contact” avec les forces de l’ordre, malgré les images, malgré l’évidence, le gilet jaune de Besançon, matraqué alors qu’il était totalement passif, faisait “obstruction à l’action des policiers” et avait seulement été “poussé”

      Pour plaire au Président, pour se montrer digne de confiance, pour conserver leur place, pour se défendre, les ministres bien sûr, mais aussi les préfets, les procureurs de la République, les policiers mentent effrontément, devant les caméras, devant les citoyens, les yeux dans les yeux. Les serviteurs de l’Etat se font serviles, inféodés à une cause qui ne correspond pas à la défense du service public, ils trahissent leurs fonctions.

      Les mensonges s’enchaînent se complètent, s’entretiennent, se renforcent et se supportent mutuellement. Il faut prétendre servir la République quand on est inféodé à une petite oligarchie, prétendre respecter l’état de droit quand les droits élémentaires sont bafoués quotidiennement, prétendre débattre en imposant des réformes contestées , etc. Le système macronien s’est construit sur une imposture et il lui faut désormais fabriquer l’opinion grâce à la propagande et à une communication destinées à servir l’image présidentielle et une politique néolibérale qui seule à droit de citer. Toute la république en marche et la haute administration sont pris dans une lessiveuse à cerveaux qui inhibe tout esprit critique, dans une nasse idéologique, qui entend piéger l’ensemble des acteurs et notamment les médias. La nouvelle porte parole du gouvernement Sibeth Ndiaye , une communicante, est une experte en la matière ; prête à tout, c’est une sorte de ministre du mensonge, n’ avouait-elle pas lorsqu’elle était chargée des relations avec la presse à l’Elysée : “ j’assume parfaitement de mentir pour protéger le Président” ?

      Le mensonge décomplexé est finalement revendiqué comme une marque de fidélité et de soumission inconditionnelle. La politique réduite à la conquête et la conservation du pouvoir s’affirme sans nuance. Notre histoire quotidienne doit être écrite sous la dictée de l’Elysée.

      Et, au pays des droits de l’homme, la violence physique vient désormais dissuader la contestation du discours et de la politique présidentiels.

      Les exactions et les mensonges de la police sont systématiquement couverts par les autorités et ce sont autant d’encouragements à la répression et à de nouveaux mensonges. C’est un cercle infernal et une formidable entrave à la liberté de manifester et aussi à la liberté d’expression car les journalistes sont eux-mêmes malmenés voire poursuivis lorsqu’ils rendent compte de certaines actions de désobéissance civile ( lire les articles de de Reporterre (ici) et (ici)).

      209 enquêtes ont été ouvertes à l’encontre de policiers et gendarmes pour des soupçons de violences policières : cela pourrait témoigner d’une belle réactivité des autorités face à des manquements. En réalité, c’est relativement peu par rapport au nombre de blessés et de traumatisés qui se comptent par milliers et il s’agit surtout de communiquer sur ce fameux “ “État de droit” et sur une prétendue exigence déontologique du ministère de l’Intérieur. Rappeler ces enquêtes permet de masquer la couverture systématique et la complaisance des autorités vis-à-vis de dérives condamnées par des institutions internationales comme l’ONU.

      Evidemment, pour l’instant, ces enquêtes n’ont débouché sur aucune sanction, sur aucune mise en examen. La difficulté psychologique d’ investigations où des policiers doivent interroger et compromettre d’autres policiers ne facilite certainement pas l’avancement rapide des procédures. . . Et sans doute également convient-il d’appliquer le principe de la présomption d’innocence pour des faits de flagrance où des policiers sont filmés en train de matraquer ou de tabasser des gilets jaunes sans agressivité et sans défense, on comprend que la comparution immédiate de policiers devant les tribunaux déclencherait certaines hostilités syndicales. . .

      Enfin, comment toutes ces procédures pourraient-elles réellement avoir des suites quand de la bouche même du ministre de l’Intérieur les fautes des policiers sont “marginales” ?

      Bientôt le Président tirera tous les enseignements du Grand débat. Sibeth Ndiaye pourra déployer tous ses talents de communicante.

      https://blogs.mediapart.fr/jean-luc-gasnier/blog/070419/l-etat-du-mensonge-permanent

  • #Besançon : défonce ta ville et ses promoteurs !
    https://fr.squat.net/2019/03/11/besancon-defonce-ta-ville-et-ses-promoteurs

    À Besançon comme partout ailleurs, les villes sont en transformation constante. Elles n’ont jamais été (et ne sont pas) des espaces neutres mais plutôt modelées à l’image de l’Etat et du capital. Elles ressemblent de plus en plus à de gigantesques zones commerciales et carcérales à ciel ouvert, où tout pas de côté est durement […]

    #actions_directes #gentrification

  • Défonce ta ville et ses promoteurs !
    https://nantes.indymedia.org/articles/44850

    A #besançon comme partout ailleurs, les villes sont en transformation constante. Elles n’ont jamais été (et ne sont pas) des espaces neutres mais plutôt modelées à l’image de l’Etat et du capital. Elles ressemblent de plus en plus à de gigantesques zones commerciales et carcérales à ciel ouvert, où tout pas de côté est durement sanctionné.

    #Ecologie #contrôle #social #/ #actions #directes #squat #logement #Ecologie,contrôle,social,/,actions,directes,squat,logement

  • [Besançon] Guerre aux affameurs !
    https://nantes.indymedia.org/articles/43460

    Solidarité avec la camarade inculpée pour avoir perturbé le conseil municipal de rentrée !

    #Répression #/ #précarité #squat #logement #immigration #sans-papieres #frontieres #exclusion #chômage #besançon #Répression,/,précarité,squat,logement,immigration,sans-papieres,frontieres,exclusion,chômage

  • #Besançon : fracas nocturnes
    https://fr.squat.net/2018/01/29/besancon-fracas-nocturnes

    Les impacts, nombreux, ne sont pas passés inaperçus pour qui sait reconnaître les responsables de la misère et de l’exploitation. Dans la soirée du dimanche [21] au lundi [22 janvier], entre l’avenue Cuisenier et la place Flore à Besançon, une série de coups a déchiré la nuit, sous un vent terrible et une pluie battante. […]

    #actions_directes

  • Solidarité révolutionnaire avec la compagnonne incarcérée à Cologne
    https://nantes.indymedia.org/articles/39735

    Dans la nuit #de jeudi à vendredi, dans les environs de la gare TGV, nous avons accroché une banderole en solidarité avec Lisa, compagnonne incarcérée à Cologne pour un braquage de banque à Aachen, en Allemagne.

    #Répression #/ #prisons #centres #rétention #besançon #Répression,/,prisons,centres,de,rétention

  • Petite balade pour bien commencer la semaine...
    https://nantes.indymedia.org/articles/38651

    Petite balade pour bien commencer la semaine...

    #Répression #/ #prisons #centres #de #rétention #squat #logement #loi #loitravail #travail #loi_travail #immigration #sans-papieres #frontieres #besançon #Répression,/,prisons,centres,de,rétention,squat,logement,loi,loitravail,travail,loi_travail,immigration,sans-papieres,frontieres

  • Un peu #de rage contre la machine à expulser et à enfermer
    https://nantes.indymedia.org/articles/37996

    Ces dernières nuits de forte chaleur, on tenait plus en place et la rage suscitée par la condamnation de la compagnonne à Aachen et le refus de libération conditionnelle de Damien, toujours incarcéré à Fleury, nous a incité à sillonner les rues à la recherche de cibles appropriées.

    #/ #prisons #centres #rétention #actions #directes #squat #logement #immigration #sans-papieres #frontieres #besançon #/,prisons,centres,de,rétention,actions,directes,squat,logement,immigration,sans-papieres,frontieres

  • [Besançon] Procès #de la solidarité avec les migrants
    https://nantes.indymedia.org/articles/37954

    Retour sur le procès du 7 juin contre l’auteur du blog « Le Libertaire Bisontin », poursuivi pour « diffamation et injure publique » à l’encontre du secrétaire général de la Préfecture de Doubs, Jean-Philippe Setbon. Quelques heures avant, des passant-e-s ont pu remarquer quelques pochoirs faisant écho à cette affaire.

    #Répression #/ #prisons #centres #rétention #actions #directes #immigration #sans-papieres #frontieres #besançon #Répression,/,prisons,centres,de,rétention,actions,directes,immigration,sans-papieres,frontieres