• « Ils meurent, tout simplement » : un village palestinien asphyxié par les déchets d’une colonie israélienne - Association France Palestine Solidarité
    http://www.france-palestine.org/Ils-meurent-tout-simplement-un-village-palestinien-asphyxie-par-le

    Un ruisseau d’eaux usées près de Bruqin, en Cisjordanie occupée, a des effets dévastateurs sur la santé et les moyens de subsistance des Palestiniens

    À l’extérieur de la maison d’Ahmed Abdulrahman, dans la vallée d’al-Matwa, l’humidité estivale rend l’odeur des excréments humains presque insupportable. Alors que les colonies et les usines israéliennes dominent la vallée, un ruisseau d’eaux usées s’écoule sans discontinuer en contrebas.

    « Les moustiques ne nous laissent pas dormir. Nous avons peur des maladies, en particulier chez les enfants », déclare à Middle East Eye cet homme de 62 ans au visage fatigué. Au cours des trois dernières années, son épouse a été l’une des nombreux habitants de la région à avoir développé un cancer.

  • Une IA capable de détecter le cancer du sein
    https://usbeketrica.com/article/ia-capable-detecter-cancer-sein

    Une équipe de chercheurs du MIT a mis au point une intelligence artificielle capable de détecter un cancer du sein jusqu’à cinq ans avant sa formation, quelle que soit la couleur de peau de la patiente.

    Chaque année, on compte 54 000 nouvelles personnes touchées par le cancer du sein en France, ce qui en fait le cancer le plus répandu chez les femmes. Malgré des campagnes de dépistage importantes, de nombreux cas sont repérés trop tard pour être soignés efficacement. Face à cet enjeu, des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) essaient d’intégrer l’intelligence artificielle à leurs recherches afin de dépister le cancer plus tôt. Les résultats de leurs travaux ont été publiés, mardi 7 mai, dans la revue Radiology.

    L’intelligence artificielle sur laquelle travaille le MIT permettrait de prédire un cancer du sein jusqu’à cinq ans avant son apparition, à travers l’analyse d’une simple mammographie. Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont analysé les données de plus de 60 000 patientes issues de l’Hôpital général du Massachusetts, précise le site du MIT. Comme les images utilisées avaient été prises plusieurs années auparavant, les chercheurs ont été en mesure d’apprendre à la machine quelles mammographies correspondaient à des femmes ayant développé le cancer du sein et lesquelles ne présentaient aucun signe de cancer.
    Une IA (un peu) plus inclusive

    Pour rendre leur intelligence artificielle plus équitable, les scientifiques lui ont montré des données représentatives de différentes couleurs de peau (l’enjeu étant de permettre à l’IA de repérer les signes avant-coureurs d’un cancer aussi bien sur des personnes blanches que non blanches). Verdict des chercheurs : « Cela fonctionne aussi bien sur des patientes noires que sur des personnes blanches ».

    Données issues d’une étude publiée en 2014 sur le site Wiley Online Library

    La diversité des données reste toutefois très faible, puisque seulement 5 % d’entre elles concernent des femmes noires et 4 % des femmes asiatiques, alors que 81 % proviennent de patientes à la peau blanche. Les chercheurs du MIT cherchent à inclure encore davantage les minorités dans leurs recherches, comme ils l’expliquent au site Engadget : « Nous continuons activement les collaborations avec d’autres hôpitaux pour faire en sorte que notre modèle soit équitable et qu’il fonctionne sur des populations diverses. »
    Un enjeu d’avenir

    Ces enjeux deviennent de plus en plus importants à mesure que l’intelligence artificielle fait son entrée dans le domaine de la santé et de la médecine prédictive. Aujourd’hui, aux États-Unis, les femmes noires ont 42% plus de risques de mourir d’un cancer du sein que les femmes blanches, précise le MIT. Parallèlement, les femmes noires, hispaniques et asiatiques développent le cancer du sein plus tôt en moyenne que les femmes blanches. Et avec le recours à l’intelligence artificielle, ces inégalités risquent encore s’amplifier si les données fournies aux IA ne sont pas plus représentatives.

    Pour gommer ces biais, il s’agit donc de renouveler et diversifier les données médicales. Et il y a fort à faire en la matière puisque, depuis vingt ans, les inégalités liées à la couleur de peau face au cancer n’ont pas diminué, comme le montre une étude publiée en 2014. Elles auraient même augmenté dans le cas du cancer du sein.

    #inégalités #cancer_du_sein #MIT #IA #prédictions_médicales

    • L’intelligence artificielle sur laquelle travaille le MIT permettrait de prédire un cancer du sein jusqu’à cinq ans avant son apparition, à travers l’analyse d’une simple mammographie. Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont analysé les données de plus de 60 000 patientes issues de l’Hôpital général du Massachusetts, précise le site du MIT. Comme les images utilisées avaient été prises plusieurs années auparavant, les chercheurs ont été en mesure d’apprendre à la machine quelles mammographies correspondaient à des femmes ayant développé le cancer du sein et lesquelles ne présentaient aucun signe de cancer.

      A noter : utilisation du conditionnel et sauf erreur de ma part on est bien sur des bases de travail statistiques et on détecte donc des corrélations et des probabilités, pas des causalités...

    • oui @suske tout cela est au conditionnel, on est d’accord que ce n’est pas très scientifique. Mais ça signifie aussi qu’un cancer du sein peut débuter 5 ans avant et non pas seulement 2 ans comme les médecins le disent souvent.
      Quand j’ai présenté une mammographie de plus de 20 ans avec des annotations au même endroit de cellules bizarres à Curie on m’a répondu que « la médecine n’est pas une science exacte ». Et il y a 10 ans, consultant en urgence, je me suis fait insulter par une gynéco parce que « madame ce sont vos glandes mammaires, c’est normal vous avez des seins, vous êtes une femme ».
      J’estime que les études techniques ça fait surtout plaisir aux techniciens de la santé et à ceux qui espèrent un retour sur investissement à force de #fichage.
      Et que tant que le corps médical refusera d’écouter les patient·es, les médecin·es continueront d’accumuler les erreurs médicales et les diagnostics d’ignares dangereux.
      Donc, chères sœurs, faites vous confiance, changez de médecin si il ou elle refuse de vous entendre.
      #santé #médecine #ecouter_les_femmes

    • L’étude originale :
      A Deep Learning Mammography-based Model for Improved Breast Cancer Risk Prediction | Radiology
      https://pubs.rsna.org/doi/abs/10.1148/radiol.2019182716

      Abstract
      Background
      Mammographic density improves the accuracy of breast cancer risk models. However, the use of breast density is limited by subjective assessment, variation across radiologists, and restricted data. A mammography-based deep learning (DL) model may provide more accurate risk prediction.

      Purpose
      To develop a mammography-based DL breast cancer risk model that is more accurate than established clinical breast cancer risk models.
      […]
      Conclusion
      Deep learning models that use full-field mammograms yield substantially improved risk discrimination compared with the Tyrer-Cuzick (version 8) model.

      Et, en effet, il s’agit de comparer des méthodes de détection. Le résultat principal se lit sur ce graphique (dit #courbe_ROC)


      Figure 2 : Receiver operating characteristic curve of all models on the test set. All P values are comparisons with Tyrer-Cuzick version 8 (TCv8). DL = deep learning, hybrid DL = DL model that uses both imaging and the traditional risk factors in risk factor logistic regression, RF-LR = risk factor logistic regression.

      Il montre que la courbe (en rouge) correspondant à l’utilisation de l’IA sur l’image et les facteurs de risque classiques produit toujours un plus faible nombre de faux positifs que les méthodes sans IA.

      La courbe verte (IA sur l’image seule) n’est pas aussi performante que la rouge ; elle est moins bonne que la méthode traditionnelle dans le bas de la courbe.

      La « détection parfaite » correspondrait à deux segments de droite longeant les bords gauche et supérieur du carré.

    • Comme tu le soulignes, @vraiment, l’étude ne porte que sur les éléments médicaux. Aucune trace des déclarations des patientes, en effet.

      Mais ça signifie aussi qu’un cancer du sein peut débuter 5 ans avant

      Je reformulerais en précisant que l’étude montre que le cancer était détectable (par ces méthodes) dans les 5 ans qui précèdent sa détection effective. L’étude a porté sur 40000 mammographies effectuées dans un intervalle de 4 ans (2009 à 2012) dans un grand centre médical et en recoupant d’une part avec le registre des tumeurs déclarées dans les 5 ans suivant de 5 hôpitaux, mais aussi avec des mammographies post-traitement.

      Le délai de détection ainsi gagné par l’utilisation de ces techniques n’est pas indiqué. Ni, à mon avis, aisément déterminable.

    • 100% d’accord sur l’écoute.

      Une des difficultés est aussi de s’exprimer face au médecin... Ici on est clairement dans une idée du type : une mammo, une AI et le tour est joué. L’écoute de l’expression des patientes est limite inutile dans ce paradigme. Pour cela je n’ai pas apprécié cet article dont la structure me semble conforter ce défaut :
      1. titre factuel favorable à l’AI
      2. rappel de « l’importance de la détection précoce »
      3. conditionnel : possibilité de prédire jusqu’à 5 ans
      4. le tout sur base de dossiers d’imagerie...

      Il ressort une impression de « on va pouvoir détecter tout à temps » alors que ce que je comprends c’est que l’AI réduit (logiquement) un peu la subjectivité de l’interprétation. C’est déjà bien, pas besoin d’en rajouter en parlant de capacité de l’AI et de prédictibilité...

    • Moi je me questionne du coup sur ce qui change sur une mammographie en fonction de la couleur de peau ; le contraste de l’image résultante n’est pas le même ? (a priori c’est pas ça) Ou c’est que les cancers du sein ne se développent pas forcément de la même façon suivant le milieu social, la couleur ?

      The majority of existing risk models were developed on predominantly white populations (1,3,4) and have known limitations in predicting risk for other racial groups (17–20)

    • Relativement à la mammographie, le facteur #densité_mammaire (#breast_density) est régulièrement mis en avant.

      cf. les explications de la Clinique Mayo où l’on voit clairement l’impact sur la lecture de l’image.

      Après, le lien entre l’ethnicité, la densité mammaire et le niveau de risque relatif est discuté. Deux exemples, après recherche rapide,…

      • ici une étude de 2007, Mammographic breast density and race qui conclut que le lien densité/race existe mais qu’il disparait lorsqu’on prend en compte les facteur âge et IMC (Indice de Masse Corporel) … sauf pour les Asiatiques
      https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17377060

      • là, en Nouvelle-Zélande en 2013, c’est le contraire…
      Age and Ethnic Differences in Volumetric Breast Density in New Zealand Women : A Cross-Sectional Study
      https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3729838

      As well as expected age differences, we found differential patterns of breast density by ethnicity consistent with ethnic differences seen in breast cancer risk. Breast density may be a contributing factor to NZ’s well-known, but poorly explained, inequalities in breast cancer incidence.

      Comme l’indique la conclusion de cette dernière étude, on ne sait pas pourquoi…

      Les quatre références citées en note (17 à 20) par l’étude sur l’IA se contentent de constater les différences, comparent la sous-estimation des risques obtenus par différentes méthodes et, éventuellement, proposent des étalonnages (anglais : calibration) différents pour les différentes races.

  • En France, le scandale de l’amiante soldé par un non-lieu pour Eternit agences/jvia - 16 Juillet 2019 - RTS
    https://www.rts.ch/info/monde/10575820-en-france-le-scandale-de-l-amiante-solde-par-un-non-lieu-pour-eternit.h

    Au terme de plus de 20 ans d’enquête, des juges d’instruction parisiens ont rendu une ordonnance de non-lieu pour les responsables d’Eternit, groupe suisse spécialisé dans l’amiante et un des premiers à avoir été visé par une plainte contre ce matériau cancérigène.
    Comme dans d’autres non-lieux ordonnés ces dernières années, les trois magistrats chargés des investigations fondent leur décision sur l’"impossibilité de dater l’intoxication des plaignants".

    Dès lors, « il apparaît impossible de déterminer qui était aux responsabilités au sein de l’entreprise (...) et quelles réglementations s’imposaient à cette date inconnue », estiment-ils dans leur ordonnance datée du 10 juillet, consultée par l’AFP et relayée par l’Association des victimes de l’amiante et autres polluants (AVA).

    L’AVA dénonce dans un communiqué une volonté selon elle délibérée des magistrats instructeurs du pôle de santé publique de Paris de « mettre un terme par des non-lieux à toutes les affaires engagées par les victimes de l’amiante depuis 23 ans ». L’Association nationale de défense des victimes de l’amiante (Andeva), lui, parle d’un « véritable déni de justice ».

    Les associations vont faire appel
    L’AVA et l’Andeva ont annoncé qu’elles allaient faire appel de ce non-lieu, qui concerne tous les sites d’Eternit.

    Mais l’AVA compte surtout sur une citation directe à laquelle plus de mille victimes se sont jointes à ce jour et qui sera déposée officiellement en septembre prochain. Cette citation directe, qui vise les « responsables nationaux » de la catastrophe sanitaire de l’amiante, doit permettre de contourner l’instruction et la décision du 11 juillet, explique l’association.

    #amiante #Stephan_Schmidheiny #Schmidheiny #santé #cancer #pollution #toxiques #environnement #eternit #chimie #déchets #poison #esthétique #pierre_serpentinite #enquéte #non-lieu non #justice #impunité #Andeva #AVA

    • 2000 à 3000 décès par an en France
      L’amiante a fait des dizaines de milliers de victimes en France, qui meurent encore au rythme de 2000 à 3000 chaque année, 20 ans après l’interdiction de ce produit, selon les estimations.

      En 2012, les autorités sanitaires estimaient que l’amiante pourrait provoquer, d’ici à 2025, 3000 décès chaque année causés par des cancers de la plèvre ou des cancers broncho-pulmonaires.

  • The real impact of checkpoint inhibitors is not as hoped - Cancerworld
    https://cancerworld.net/news/the-real-impact-of-checkpoint-inhibitors-is-not-as-hoped

    Cette famille de médicaments n’est efficace que dans 13% des cas chez qui elle est indiquée.

    It seems that the big revolution linked to the introduction of checkpoint inhibitor drugs is still far to come. According to estimates recently published in JAMA Network Open, only a small percentage of patients eligible for these treatments respond to them, at odds with great – and probably unrealistic – expectations generated about this way of treating cancer. “If FDA-approved checkpoint inhibitor drugs are universally available, we estimated that the proportion of US patients with cancer who could be eligible for such drugs is approximately 44%, while approximately 13% have a response to these drugs” Alyson Haslam and Vinay Prasad, Oregon Health & Science University, wrote.

    #Cancer

  • Carte aux trésors d’Elnorpadcado dimanche 9 juin 2019

    Jamais avares de bons conseils, nous apportons ici notre aide aux nouveaux aventuriers. Mais où donc se cache Elnorpadcado, cette «  Terre de design et d’opportunités immobilières  » selon Damien Castelain, ces «  Portes d’entrée vers un monde meilleur, comme de multiples hubs sur une carte aux trésors  », pour le président de Lille3000 Ivan Renar, ces «  mondes enfouis porteurs de quelque chose  », d’après Didier Fusillier, un brin plus obscur ? Au regard de ces quelques cartes, nul doute que vous trouverez le chemin qui vous guidera vers la mythique Cité d’or.

    Une première indication nous a été donnée en Une du Monde cette semaine, qui croit devoir suivre la voie du tabac et de l’alcool :

    Deux jours plus tôt, c’était La Voix du Nord https://www.lavoixdunord.fr/594098/article/2019-06-05/decouvrez-la-photo-satellite-du-nord-pas-de-calais-baignant-dans-un-nua qui nous lançait sur la piste du dioxyde dans l’air quand par ailleurs il était déjà possible de suivre celle des microparticules :

    Avant eux, nous avions laissé quelques indications célestes https://www.elnorpadcado.fr/Photos-Que-sont-les-etoiles-devenues?var_mode=calcul sur la pollution lumineuse :

    Mais nous aurions pu tout aussi bien pointer du doigt les sols pollués...

    Les eaux souterraines saturées en pesticides...

    La suite : https://www.elnorpadcado.fr/Carte-aux-tresors-d-Elnorpadcado

    #Eldorado #Lille #Nord #Pas_de_calais #pollution #dioxyde #Etoiles #Eau #malbouffe #obésité #cancer #économie #social #Elnorpadcado

  • Plainte pour fichage de 35000 patientes atteintes d’un cancer

    Une grande solitude, la CNIL met cinq mois à répondre !
    https://souriez.info/Plainte-pour-fichage-de-35000

    RGPD une illusion de protection ?

    L’association Souriez vous êtes filmé·es s’insurge de tout fichage qui stocke des éléments confidentiels de santé dans une base de données de surcroit non déclarée et accessible à n’importe qui ainsi que du traitement réservé à sa plainte par la CNIL.

    Suite à la découverte de la page internet* sur laquelle le professeur Aubard du CHU de Limoges se vante avec moults détails d’avoir fiché 35000 patientes atteintes d’un cancer l’association Souriez vous êtes filmés a porté plainte auprès de la CNIL en décembre dernier.

    Plainte déposée le 11 décembre 2018

     : L’Association « Souriez vous êtes filmé.es » dépose plainte auprès de la CNIL concernant le fichier constitué par le Pr Aubard, fichier non déclaré à vos services. Nous vous demandons de nous tenir au courant de l’avancée de cette plainte. En effet, le Pr Aubard déclare sur le site de FileMaker (qui en profite pour faire sa publicité) avoir créé le fichage de plus de 35000 patientes avec un accès à 372 utilisateurs et pour chaque patiente ses coordonnées, ses informations d’état civil et familiales, ainsi que ses antécédents médicaux et chirurgicaux https://www.filemaker.com/fr/soluti... voir PDF de la page en Pièce jointe Extrait « Chaque intervenant doit pouvoir entrer dans la base ce qu’il a fait. Ca commence par le médecin en passant par la secrétaire, la sage-femme, l’infirmière, l’aide soignante, bref tout le service. Pour vous donner une idée, j’ai à ce jour donné 372 codes d’accès, il y a donc 372 utilisateurs de ma base de données », explique le Pr Aubard. Il ajoute : « Au fil des années, j’ai tout développé, ce qui m’a pris beaucoup de temps. Actuellement, il n’y a pas d’équivalent ! Si une nouveauté apparaît dans la spécialité, je l’intègre immédiatement dans mon fichier. »
    Réponse de la CNIL

    La CNIL, après avoir été relancée pour instruire la plainte enregistrée, nous répond par courrier le 7 mai 2019, soit près de 5 mois plus tard :

    « Dans le cadre de l’instruction de votre plainte, nous vous informons que nous adressons ce jour un courrier aux services du CHU de Limoges pour les interroger sur les différents points soulevés par celle-ci au regard du réglement Général sur la protection des Données (RGPD) applicable depuis le 25 mai 2018 »
    Qui est le Pr Aubard

    Le Pr Aubard qui se vante dans l’entretien d’avoir constitué de son propre chef le fichier des 35000 patientes non pas grippée mais atteinte d’un cancer est chef du service gynécologie-obstétrique au sein de l’hôpital de la mère et de l’enfant - CHU de Limoges. Le professeur Aubard apparait également comme signataire du texte qui comparait les femmes à des juments lors du congrès national des gynécologues obstétriciens https://www.francetvinfo.fr/societe/droits-des-femmes/au-congres-des-gynecologues-une-diapositive-compare-les-femmes-a-des-ju

    La peur des informaticiens du CHU

    En toute ignorance du droit informatique des patientes, le Pr Aubard ajoute dans l’interview où il expose ses méthodes de fichage des données confidentielles de 35000 femmes « Cette flexibilité et cette réactivité font peur aux informaticiens du CHU, qui ont beaucoup de mal à admettre que les médecins aient besoin de cela pour utiliser à plein un dossier informatique médicale. »

    L’association Souriez vous êtes filmés considère tout commentaire comme superflu.

    *Entretien disponible à l’adresse suivante https://www.filemaker.com/fr/solutions/customers/stories/aubard.html

    #plainte_CNIL #RGPD #fichage #médecine #cancer #sexisme_medical #femmes #CNIL #delirium_informatique #épée_dans_l'eau #solitude_du_militant #lanceur_d'alerte

  • Resisting recommended treatment for #prostate #cancer: a qualitative analysis of the lived experience of possible overdiagnosis | BMJ Open
    https://bmjopen.bmj.com/content/9/5/e026960
    https://bmjopen.bmj.com

    Men’s accounts revealed profound consequences of both prostate cancer diagnosis and resisting medical advice for treatment, with effects on their psychological well-being, family, employment circumstances, identity and life choices. Some of these men were tested for prostate-specific antigen without their knowledge or informed consent. The men felt uninformed about their management options and unsupported through treatment decision making. This often led them to develop a sense of disillusionment and distrust towards the medical profession and conventional medicine. The findings show how some men who were told they would soon die without treatment (a prognosis which ultimately did not eventuate) reconciled issues of overdiagnosis and potential overtreatment with their own diagnosis and situation over the ensuing 1 to 20+ years.

  • La première partie du rapport de l’étude de Santé publique France sur le #bassin-de-lacq est sortie depuis peu.
    https://www.santepubliquefrance.fr/Actualites/Analyse-des-attentes-et-du-contexte-local-autour-du-bassin-indus

    Rien vu encore sur seenthis, pas beaucoup plus sur la toile (surtout des contrefeux de promotion du bassin industriel) concernant ce scandale sanitaire et la #surmortalité causée par les industries du gaz.

    On a tout de même trois points de perception tout à fait impressionnants. (L’#IFOP est prestataire de l’étude)

    Les professionnels de santé perçoivent un excès de pathologiesrespiratoires, digestives, hématologiques, thyroïdiennes touchant plus particulièrement les enfants et les travailleurs. Ils souhaiteraient être mieux informés par les autorités sanitaires et les industriels sur la question des polluants et de leur impact sur la santé et collaborer davantage avec les représentants de la médecine du travail ;

    Les syndicats et les médecins du travail perçoivent un excès de tumeurs solides et de leucémies chez les salariés du bassin industriel de Lacq. Ils rapportent une sous-déclaration des salariés eux-mêmes, craignant de perdre leur emploi ;

    Les industriels évoquent une amélioration globale de la situation par rapport aux premières années d’exploitation du site, avec l’arrêt des rejets (effluents liquides) dans les sols, l’amorçage d’opérations de dépollution et une diminution des rejets dans l’atmosphère. Pour eux, les résultats des mesures de qualité de l’air ne présentent aucun signe inquiétant.

    Mais faudra encore attendre pour savoir et éventuellement agir …

    Les deux études épidémiologiques (étude de mortalité et étude exploratoire de morbidité) sont en cours et feront l’objet d’une prochaine publication.

    Article de 2016 sur Reporterre

    À Lacq, le scandale sanitaire que couvrent élus et autorités
    https://reporterre.net/A-Lacq-le-scandale-sanitaire-que-couvrent-elus-et-autorites

    Pendant plus d’un demi-siècle, les habitants de Lacq, dans le Béarn, ont été intoxiqués par l’exploitation des champs gaziers voisins. Une étude sanitaire a prouvé la surmortalité ainsi provoquée, explique l’auteur de cette tribune, mais les autorités refusent de poursuivre les recherches épidémiologiques.

    • PDF du rapport
      http://invs.santepubliquefrance.fr/content/download/155672/571448/version/5/file/rapport-analyse-attentes-contexte-local-bassin-industriel-l

      1. CONTEXTE La zone industrielle (ZI) de Lacq (Pyrénées-Atlantiques) se caractérise par des activités d’extraction de gaz naturel, de désulfurisation, de thiochimie, de chimie fine avec un total de 43 installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE) dont 15 sont classées « Seveso seuil haut » et 6 « Seveso seuil bas ». Dans le cadre du Plan régional de la qualité de l’air, cette zone industrielle a fait l’objet d’une étude épidémiologique en 2002 menée par l’Isped [1].

      L’étude mit en évidence une mortalité dans la zone inférieure à la mortalité régionale ainsi qu’une surmortalité dans la zone à proximité du bassin industriel de Lacq comparée aux zones témoins plus distantes, chez les personnes âgées de moins de 65 ans, pour toutes causes de décès confondues et par #cancer. Compte tenu du type d’étude conduite (descriptive), ces résultats « ne permettaient toutefois pas de conclure en terme de causalité par rapport aux émissions de polluants » selon l’#Isped.

      Isped : Institut de Santé Publique d’Epidémiologie et de Développement

      Ce cirque morbide dure donc depuis près de 20 ans à quelques kilomètres de Pau et 2h de Bordeaux ou Toulouse.

    • Oui @cy_altern, c’est effectivement la même situation mais au niveau des associations et du traitement médiatique, je ne vois aucun relais journalistique. En tout cas, je n’en ai pas trouvé.

      Si par exemple je cherche depuis 1994 dans les archives de libé le terme « Bassin de Lacq + pollution » il y a 5 résultats contre 43 pour « étang de Berre + pollution ». Le premier pour Lacq est un article sur la Dépakine datant de juillet 2018, rien sur l’étude ni sur la surmortalité des habitants de cette région.

      Après une crise sanitaire majeure, le géant pharmaceutique français doit maintenant faire face à une véritable alerte rouge environnementale provoquée par les rejets toxiques provenant de la fabrication de cette même Dépakine dans son usine de Mourenx, en plein bassin pétrochimique du Lacq, dans les Pyrénées-Atlantiques.

      Que s’est-il passé à l’usine Sanofi de Mourenx ?

      C’est l’association France Nature Environnement (FNE), qui a tiré la sonnette d’alarme lundi en faisant état de rejet de « matières dangereuses à des taux astronomiques » sur le site Sanofi de Mourenx. Et ce dans le sillage d’un article de Mediapart, qui révélait que cette pollution atmosphérique avec des solvants chimiques potentiellement cancérogènes était connue depuis des mois. Tout comme les « écarts hallucinants » entre les concentrations autorisées et celles constatées à la sortie des cheminées de l’usine : 7 000 fois la norme pour les principaux composés organiques volatils recensés dans le processus de fabrication et jusqu’à…190 000 fois le maximum autorisé pour le #bromopropane, l’un des composants chimiques entrant dans la composition de la #Dépakine.

      #pétrochimie

  • Une institutrice américaine, atteinte d’un cancer, contrainte de payer son remplaçant AFP - 10 Mai 2019 - RTBF
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_une-institutrice-americaine-atteinte-d-un-cancer-contrainte-de-payer-son

    Des parents d’élèves d’une école de San Francisco ont organisé une collecte de fonds destinée à financer une institutrice malade du cancer, tenue par la loi de rembourser le salaire de son remplaçant : près de 200 dollars par jour (environ 180 euros) .


    Illustration - Une institutrice américaine, atteinte d’un cancer, contrainte de payer son remplaçant - © PHILIPPE DESMAZES - AFP

    Cette situation « n’est pas propre au district ou à San Francisco » , a assuré à l’AFP une porte-parole du district scolaire, Laura Dudnick, expliquant que l’obligation de remboursement s’applique dans toutes les écoles de Californie, conformément au code de l’éducation en vigueur dans cet Etat depuis 1976.

    En vertu de l’accord conclu entre le district et les organisations syndicales à San Francisco, chaque enseignant a droit à dix jours de congés-maladie payés par an. Les jours non pris peuvent se cumuler d’année en année.

    Une fois épuisés ces jours, les enseignants malades peuvent encore bénéficier de 100 jours de congés prolongés, durant lesquels ils reçoivent « l’intégralité de leur salaire moins le coût de leur remplaçant », explique la porte-parole.

    Enseignante en deuxième année de maternelle, l’institutrice, qui exerce dans l’école depuis 17 ans, souffre d’un cancer du sein et a demandé aux nombreux médias s’intéressant à son cas de protéger son anonymat.

    La collecte de fonds organisée sur internet par les parents de l’école élémentaire Glen Park a permis de lever près de 14.000 dollars et est désormais close.

    #californie #école #maladie #pauvreté #assurance_maladie #paradis californien

  • Un test de toxicité désormais obligatoire avant une chimiothérapie au #5-FU
    http://sante.lefigaro.fr/article/un-test-de-toxicite-desormais-obligatoire-avant-une-chimiotherapie-au

    Administrées à environ 80.000 personnes chaque année, ces chimiothérapies peuvent être très toxiques si le patient n’a pas la capacité de les éliminer. Un test préalable est désormais obligatoire.

    Les #chimiothérapies à base de 5-FU, qui peuvent entraîner des effets toxiques très rares mais parfois mortels chez certaines personnes, ne pourront désormais être administrées qu’après la réalisation d’un test de toxicité, a annoncé l’Agence du médicament (ANSM) le 29 avril. Une décision attendue de longue date par l’Association francophone de défense des victimes du 5-FU et analogues présentant un déficit en DPD, qui déplorait que ce test ne soit pas réalisé de façon systématique. Chaque année, environ 80.000 personnes atteintes d’un cancer sont traitées par ce médicament mais toutes ne bénéficiaient pas de ce test jusqu’à maintenant.

    Utilisé depuis plus de soixante ans, le 5-Fluoro-Uracile (5-FU) et ses dérivés comptent parmi les médicaments les plus prescrits dans le traitement des tumeurs cancéreuses (sein, ORL, système digestif). Ces médicaments puissants - ils empêchent la synthèse d’ADN dans les cellules cancéreuses - peuvent être très toxiques pour certains patients. La cause ? Un déficit ou l’absence totale d’une enzyme du foie (la DPD), chargée d’éliminer le 5-FU. Sans DPD, une dose de 5-FU peut être fatale. Administrer du 5-FU à un patient sans savoir s’il possède ou non l’enzyme revient donc à jouer à la roulette russe.

    L’anticancéreux 5-FU a provoqué 133 décès et 1500 intoxications graves en 10 ans
    http://sante.lefigaro.fr/article/un-anticancereux-mortel-pour-certains-malades

    #cancer

  • One in six people dying of lung #cancer in UK are non-smokers, experts say | Society | The Guardian
    https://www.theguardian.com/society/2019/apr/26/one-in-six-people-dying-of-lung-cancer-in-uk-are-non-smokers-experts-sa

    Growing numbers of non-smokers are being diagnosed with lung cancer, many at a stage when it is incurable, experts in the disease have revealed.

    They blame the rise on car fumes, secondhand smoke and indoor air #pollution, and have urged people to stop using wood-burning stoves because the soot they generate increases risk.

    About 6,000 non-smoking Britons a year now die of the disease, more than lose their lives to ovarian or cervical cancer or leukaemia, according to research published on Friday in the Journal of the Royal Society of Medicine.

    That is about a sixth of the 36,000 deaths a year from lung cancer.

  • Dans le sud-ouest de Nantes, un nombre inhabituel de cancers et une enquête citoyenne
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/04/25/pres-de-nantes-un-collectif-citoyen-travaille-avec-les-autorites-sur-des-cas

    Depuis 2015, des #cancers_du_sang ou des #tumeurs malignes ont été diagnostiqués chez treize #enfants de #Loire-Atlantique habitant les communes rurales de Sainte-Pazanne, Saint-Hilaire-de-Chaléons, Saint-Mars-de-Coutais, et Rouans. C’est un chiffre anormal dans un secteur aussi restreint, s’alarme le collectif Stop aux #cancers de nos enfants (SCE), dans un communiqué, mercredi 24 avril.

    Créé en mars, cette association de trente adhérents, vivant dans une même zone agricole située à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Nantes, presse les autorités sanitaires de mettre au jour les causes de ce phénomène. Et elle réitère son engagement à les y aider.

    Après que le SCE lui a signalé « au moins neuf cas » de cancers – dont six à Sainte-Pazanne (6 500 habitants) – chez des mineurs, depuis décembre 2015, l’Agence régionale de santé (ARS) des Pays de la Loire a saisi, le 28 mars, l’agence Santé publique France (SpF, ex-InVS) afin qu’elle diligente une enquête épidémiologique.

    #paywall

    L’analyse des facteurs de risque environnementaux n’a pas montré de cause prédominante, selon l’agence, qui poursuit : « Bien que 90 % des leucémies infantiles aiguës soient aujourd’hui sans cause connue et que les facteurs de risque liés aux cancers puissent être multiples, l’ARS a décidé de poursuivre les investigations. » Elle a saisi Santé publique France pour mener l’enquête épidémiologique, dont les premières conclusions seront rendues à l’automne 2019.

    https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/sainte-pazanne-44680/cancers-sainte-pazanne-l-agence-regionale-de-sante-annonce-une-reunion-

  • #Perturbateurs_endocriniens : les #rivières françaises regorgent de #pesticides
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/04/16/les-rivieres-francaises-regorgent-de-pesticides-suspectes-d-etre-des-perturb

    Les rivières et les #lacs français débordent de pesticides suspectés d’être des perturbateurs endocriniens. Glyphosate, atrazine, chlordécone… des résidus d’#herbicides et d’#insecticides particulièrement néfastes pour la #santé sont omniprésents dans les #eaux de surface en #France, révèle une étude inédite publiée mardi 16 avril à laquelle Le Monde a eu accès.

    Réalisé par Générations futures, association en pointe dans le combat contre les pesticides, le rapport montre qu’en moyenne plus de 41 substances actives de pesticides ou de métabolites supposés perturbateurs endocriniens (PE) sont présents dans les cours d’eau.

    Ce cocktail de molécules menace directement la #faune aquatique et les #écosystèmes, contribue à l’érosion de la biodiversité et n’est pas sans conséquence sur notre santé, alerte le rapport. Les PE sont en effet des substances capables d’interférer avec le système hormonal et impliquées dans une variété de troubles et de pathologies : de l’#obésité à la baisse du quotient intellectuel en passant par des #cancers des systèmes reproducteurs masculin et féminin.

    Depuis une note de 2015 du Commissariat général au développement durable, on savait que la grande majorité (92 %) des cours d’eau français étaient contaminés par les pesticides utilisés massivement par les agriculteurs. Générations futures a cherché à quantifier la part de ces pesticides aux effets de perturbation endocrinienne.

    L’association a d’abord identifié, à partir de deux bases de données (EU Pesticides database et TEDX qui porte spécifiquement sur les perturbateurs endocriniens), les pesticides (autorisés ou non) potentiellement PE. Elle a ensuite vérifié lesquels avaient été analysés par les agences de l’eau et répertoriés (département par département) dans la base de données nationale Naïades sur la qualité des eaux de surface.

    Générations futures a dû remonter jusqu’à l’année 2015 pour obtenir la couverture territoriale la plus complète. Elle s’est également heurtée à des difficultés liées à l’absence d’harmonisation des méthodes et des listes de substances recherchées : les agences de l’eau n’utilisent pas les mêmes seuils de quantification et de détection et certaines substances ne sont pas testées dans tous les départements.

    Sur la base des données 2015, le rapport établit qu’un total de 232 substances actives de pesticides ou de métabolites supposés PE ont été recherchés, soit une moyenne de 183 par département. En moyenne, plus de 41 (soit environ 23 %) ont été quantifiés. Avec des différences notables selon les départements.

    • le sang des bébés est pollué : les dangers de l’effet cocktail
      https://www.franceculture.fr/sciences/le-sang-des-bebes-est-pollue-les-dangers-de-leffet-cocktail

      Qu’appelle-t-on « effet cocktail » ?

      Barbara Demeneix : L’effet cocktail est un mélange complexe de produits chimiques qui ne devraient pas être dans notre sang. La question qui se pose aujourd’hui : étant donné les centaines de milliers de substances auxquelles on pourrait être exposé, quelles sont les interactions entre ces différentes substances au niveau de notre physiologie ? Chez des femmes enceintes ou chez des enfants qui naissent, on a mesuré des taux de produits chimiques dans le sang du cordon ombilical, et on a trouvé des centaines de produits chimique. Nous savons que ces produits passent la barrière placentaire et se retrouvent dans le liquide amniotique. Les enfants sont donc contaminés pendant tout le début de leur vie intra-utérine. La période de développement dans le ventre de la mère est très importante parce que c’est là où le cerveau se forme, c’est là où tous les organes se forment et se mettent en place. Beaucoup de maladies que l’on va avoir, que l’on soit adolescent, adulte ou vieux, ont pour origine cette vie fœtale qui détermine toute notre santé d’adulte.

      https://www.youtube.com/watch?v=UAi7-CyTFDg&list=RDUAi7-CyTFDg&start_radio=1&t=596


      Alertez les bébés - Jacques Higelin

  • Cause of #cancer is written into DNA of tumours, scientists find, creating a ’black box’ for origin of disease
    https://www.telegraph.co.uk/science/2019/04/15/cause-cancer-written-dna-tumours-scientists-find-creating-black

    Even with lung cancer, it is not known just how much can be attributed to smoking and how much could be linked to other factors, such as living by a busy road, or inhaling pollutants at work.

    But now scientists at Cambridge University and King’s College London have shown that tumours hold information like a ’black box’ pointing to the cause of disease.

    They exposed stem cells to dozens of known carcinogens and recorded how each alters its DNA code as cancer forms. It provides a ‘fingerprint’ or ‘mutational signature’ of the underlying cause and could even show which was the biggest culprit.

  • Injonction à Doctolib - pratiques
    https://pratiques.fr/Injonction-a-Doctolib

    Aujourd’hui, mon numéro de portable a servi à effectuer des transactions sécurisées sur Internet. Il m’identifie auprès de différents services et peut être facilement recroisé avec ma navigation et mon adresse IP, c’est loin d’être une donnée neutre, c’est devenu un identifiant personnel unique, pivot informatique nécessaire au croisement de fichiers.

    Dans la salle d’attente, le magazine ROSE étale en double page le parcours de combattante pour le droit à l’oubli des personnes ayant eu un cancer.

    Les ex-malades doivent attendre dix ans avant de déposer une demande de crédit. Le cancer du sein touche surtout les femmes autour de 50 ans, ce n’est donc qu’à l’âge de la retraite qu’elles pourront tenter ces démarches auprès de leur banque. Si entre-temps elles souhaitent acquérir un studio, elles seront dans l’obligation de déclarer leur maladie passée à leur banquier, autant dire adieu à son logement.

    #cancer #crédit #fichage #doctolib

  • Les collectivités locales s’attaquent aux perturbateurs endocriniens dès la petite enfance
    https://www.actu-environnement.com/ae/news/andre-cicolella-reseau-environnement-sante-charte-villes-territo

    Depuis 50 ans, les problèmes de fertilité chez la femme et l’homme n’ont cessé de croître. Un homme de 30 ans, résidant à Paris, a perdu deux spermatozoïdes sur trois sur les 50 dernières années. Et le phénomène n’est pas en train de diminuer. Le Sud-Ouest est également la première région concernée par ces problèmes de fertilité, selon l’étude de Santé publique France. Si l’évolution actuelle se poursuit, il pourrait ne plus y avoir de petits Occitans en 2040.

    (!)
    #perturbateurs_endocriniens

    • #it_has_begun
      #cancérogène
      #environnement
      #enfance
      #pvc

      AC : L’#alimentation est la première source d’exposition aux phtalates (notamment le plus toxique le DEHP, classé cancérogène, reprotoxique et PE) qui migrent de l’emballage au contenu. Selon un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) publié en 2017, 70 % des petits pots pour bébé contiennent ce DEHP, les petits pots en emballage plastique étant trois plus contaminés que ceux en verre. Cette alerte de l’Anses est pourtant passée inaperçue alors que c’est une source d’exposition de l’enfant qui est préjudiciable à son développement. Il faut impérativement changer les processus de transformation de ces produits, car c’est pendant cette phase que ce plastifiant contamine l’alimentation infantile. Il faut des mesures comme celles mises en place pour le bisphénol A, banni dans les biberons depuis 2010 en Europe et les contenants alimentaires depuis 2011 en France.

      La ville de Limoges, signataire de la charte, a ciblé ses actions sur la petite enfance et a banni les PE de ses crèches. Les assiettes sont maintenant en porcelaine, les verres et les biberons en verre, les couverts en inox. Beaucoup de villes ont déjà mis fin aux assiettes en plastique dans les cantines. Limoges a aussi changé de fournisseurs de couches jetables. L’Agence régionale de santé (ARS) Nouvelle-Aquitaine s’est également engagée dans une stratégie régionale de prévention et promotion de la santé environnementale autour de la petite enfance.

      Nous alertons également sur les sols en PVC qui contiennent de 20 à 40 % de DEHP. C’est aussi une source de contamination de l’enfant. Une grande étude suédoise, qui suit 3.000 enfants depuis 10 ans, a montré un lien entre le sol en PVC et l’asthme de l’enfant. En France, 60 % des sols de crèches et des écoles publiques sont faits en PVC et 16 % de l’habitat individuel. Il y a là matière à agir et un substitut plus sain (DINCH) existe selon l’évaluation de l’Anses.

  • The silent victims of the US #embargo against #Iran - The Lancet Oncology
    https://www.thelancet.com/journals/lanonc/article/PIIS1470-2045(18)30751-4/abstract

    Re-establishment of sanctions, scarcity of drugs due to the reluctance of pharmaceutical companies to deal with Iran, and a tremendous increase in oncology drug prices (due to the plummeting value of the Iranian rial by 50–70%), will inevitably lead to a decrease in survival of children with #cancer.

    #civils #victimes_civiles #etats-unis

  • #Glyphosate. #Roundup : le désherbant à nouveau jugé cancérigène par un jury californien

    Les jurés du tribunal fédéral de San Francisco ont déclaré mardi que l’#herbicide le plus vendu au monde était un “facteur significatif” dans le déclenchement du cancer d’un retraité, qui l’utilisait dans son jardin. La deuxième phase du procès, mercredi, devra évaluer la #responsabilité de #Monsanto.

    https://www.courrierinternational.com/article/glyphosate-roundup-le-desherbant-nouveau-juge-cancerigene-par
    #industrie_agro-alimentaire #cancer #santé #justice #Californie #USA #Etats-Unis #agriculture #Edwin_Hardeman

  • Air Pollution Crisis in Willowbrook, Ill., Exposes Toxic Racial Divide
    https://theintercept.com/2019/02/24/epa-response-air-pollution-crisis-toxic-racial-divide

    why DuPont first located the factory in St. John. “They looked at this community and did like they normally do,” said Taylor. “If we find a place where it’s just going to be Negroes, we can set up business there, we can set up shop there, because nobody cares about them.”

    #racisme_environnemental #États-Unis #cancer via @isskein

  • Le radon, responsable d’environ 15% des cancers du poumon - Journal de l’environnement
    http://www.journaldelenvironnement.net/article/le-radon-responsable-d-environ-15-des-cancers-du-poumon,961

    Un cas de cancer du poumon sur 7 à travers le monde est lié au radon, révèle une étude publiée dans les Environmental Health Perspectives (EHP). L’Arménie et la Pologne figurent parmi les pays les plus touchés.


    #paywall
    #radon #radioactivité #cancer

  • Les marges spectaculaires des pharmas sur le cancer en Suisse Tybalt Félix et Valentin Tombez. Collaboration François Ruchti - 17 Février 2019 - RTS
    https://www.rts.ch/info/economie/10221246-les-marges-spectaculaires-des-pharmas-sur-le-cancer-en-suisse.html

    Les médicaments contre le cancer ont coûté en 2018 près d’un milliard de francs aux assurés suisses. Des traitements sont facturés plus de 80 fois leurs coûts de fabrication, révèle dimanche la RTS dans Mise au Point.

    Le cancer, c’est le marché de l’avenir pour la pharma. Chaque année en Suisse, 40’000 personnes apprennent qu’elles ont un cancer. Conséquence, les pharmas se battent pour lancer de nouveaux traitements. Les sommes en jeu sont considérables.

    En cinq ans, les remboursements LAMal pour les anti-cancéreux ont bondi de 54%, passant de 603 à 931 millions de francs par an, selon des chiffres inédits obtenus par la RTS auprès de l’association faîtière des assureurs maladie Curafutura. L’oncologie est le domaine qui pèse le plus au niveau des remboursements de médicaments, dont le total atteint 6,8 milliards de francs.

    Remboursements des médicaments contre le cancer (en francs)
    GRAPHIQUE SUR LE SITE DE LA RTS

    Les remboursements pour un seul anti-cancéreux ont dépassé 74 millions de francs. Parmi les 15 traitements qui pèsent le plus sur l’assurance de base, quatre anti-cancéreux sont commercialisés par le groupe bâlois Roche, l’un des leaders mondiaux du marché.

    Anti-cancéreux les plus remboursés entre 2014 et 2018
    GRAPHIQUE SUR LE SITE DE LA RTS

    Prix déconnectés des coûts
    Si la facture finale est si élevée, c’est parce que le coût annuel des traitements par patient dépasse en général plusieurs milliers de francs. Il excède même fréquemment la centaine de milliers de francs. Or, ces prix sont totalement déconnectés des coûts de production, comme le montre notre enquête.

    Examinons l’Herceptin, le traitement phare de Roche contre le cancer du sein. Disponible depuis 20 ans, ce blockbuster a rapporté au géant suisse 82,8 milliards de francs à l’échelle mondiale. En Suisse, les remboursements LAMal pour ce médicament, parmi les plus élevés, ont totalisé 257 millions de francs entre 2014 et 2018, d’après les données de Curafutura.

    Quelle partie de cette somme sert à fabriquer et développer le médicament ? Quelle partie constitue les profits de l’entreprise ?

    85% de marges
    Très secrètes, les pharmas ne dévoilent pas ces chiffres. Sur la base d’études scientifiques, de rapports d’analystes financiers et d’experts, la RTS a estimé les marges réalisées sur cet anti-cancéreux (voir la méthodologie en encadré).

    Selon des spécialistes en biotechnologies, un flacon d’Herceptin sous sa forme la plus répandue coûterait environ 50 francs à produire. En 2018, il était vendu 2095 francs en Suisse, soit 42 fois son coût de fabrication.

    Même en prenant en compte les coûts de recherche et de distribution, la marge sur un flacon d’Herceptin atteint au moins 85% du prix public, en dépit d’une baisse du prix en 2018. Autrement dit, sur les 257 millions payés entre 2014 et 2018 par les assurés suisses, au moins 221 millions ont atterri dans les caisses de Roche.

    L’Herceptin n’est pas une exception. Pour le Mabthera, l’un des autres anti-cancéreux à succès de Roche, les gains en 2018 se sont élevés à au moins 81% du prix public.

    Estimation des marges de deux anti-cancéreux de Roche
    GRAPHIQUE SUR LE SITE DE LA RTS

    Prix basés sur « les bénéfices à la société »
    Interrogé sur ces marges, Roche refuse de les commenter. Une porte-parole répond toutefois que « les prix des traitements ne sont pas basés sur les investissements pour un traitement en particulier ». Elle précise que les prix des médicaments « sont basés sur les bénéfices qu’ils procurent aux patients et à la société dans son ensemble ».

    Comment ces « bénéfices aux patients et à la société » sont-ils mesurés ? Soulignant que l’Herceptin a permis de traiter en vingt ans plus de deux millions de personnes à travers le monde, Roche met en avant des études qui mesurent le prix d’un médicament en fonction des années de vie supplémentaires et de la qualité de vie qu’il procure. En d’autres termes, plus un traitement est efficace, plus son tarif est élevé, même s’il coûte peu à produire.

    « Les pharmas doivent gagner quelque chose mais c’est ridicule d’avoir des gains pareils, il n’y aurait jamais cela dans un marché concurrentiel », dénonce le professeur Thomas Cerny, président de la recherche suisse contre le cancer. Pour lui, ces prix basés sur la monétisation des années de vie posent problème et amènent à des comparaisons aberrantes : « Est-ce qu’un anti-cancéreux a plus de valeur qu’un téléphone qui profite à l’ensemble de la population et qui peut aussi sauver des vies ? »

    Le Glivec, vendu 86 fois son coût de fabrication
    Autre cas édifiant, le Glivec de Novartis. Vendue il y a 10 ans 3940 francs, la boîte de 30 pilules au dosage le plus utilisé coûte aujourd’hui environ 2600 francs. Pourtant, selon le pharmacologue du CHUV, Thierry Buclin, le Glivec n’est pas plus cher à produire qu’un anti-inflammatoire standard, rarement vendu plus de 50 francs.

    Selon une étude de l’université de Liverpool, une boîte de Glivec coûterait au maximum 30 francs à fabriquer. C’est 86 fois moins que les 2592 francs facturés par Novartis. En prenant en compte les coûts de recherche et la part de la distribution, le gain de Novartis sur une boîte vendue 2592 s’établit entre 2181 et 2251 francs. Soit une marge de près de 85%.

    Estimation des marges sur le Glivec (Novartis)
    GRAPHIQUE SUR LE SITE DE LA RTS

    « Financer la prochaine génération de traitements »
    Novartis refuse également de commenter ces chiffres. L’autre géant bâlois indique que « ses investissements dans la recherche sur Glivec ont été maintenus au cours des 15 dernières années » et que « les ventes ont également permis de financer la prochaine génération de traitements innovants, notamment des essais cliniques portant sur de nouvelles molécules expérimentales ». La firme ne communique pas dans le détail les montants réinvestis dans la recherche sur le Glivec, mais rappelle ses dépenses annuelles de 9 milliards de dollars en recherche et développement.

    Cet argumentaire de la pharma est contesté par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Selon elle, « les prix élevés des médicaments contre le cancer ont généré des gains largement supérieurs aux possibles coûts de recherche ». Dans un rapport publié en janvier, l’organisation constate que pour chaque dollar investi dans la recherche contre le cancer, les entreprises pharmaceutique ont obtenu en moyenne des revenus de 14,5 dollars. L’organisation conclut qu’"une diminution des prix est indispensable pour l’accès aux médicaments, la pérennité financière des systèmes de santé et l’innovation future".

    Des prix fixés à l’aveugle
    En Suisse, les tarifs des médicaments sont négociés et validés à l’Office fédéral de la santé publique (OFSP). Comment le gendarme du système justifie-t-il ces prix ? « Si on se base sur le coût de recherche et développement, le prix de l’Herceptin n’est pas justifié », reconnaît un porte-parole de l’OFSP. « En revanche, si on s’appuie sur notre base légale, ce prix correspond à nos critères d’économicité », assure-t-il.

    L’OFSP se base sur deux critères : les prix pratiqués dans 9 pays européens et la comparaison thérapeutique, c’est-à-dire les prix d’autres médicaments utilisés dans le traitement de la maladie.

    Pour l’Herceptin, le Mabthera et le Glivec, comme il n’existe pas de substance équivalente, seule la comparaison internationale est prise en compte. Pourtant, l’OFSP admet ne pas connaître les prix réels à l’étranger. « La plupart des Etats ne paient pas le prix qu’ils affichent. C’est comme l’achat d’un produit de grande consommation. Tout le monde bénéficie d’un rabais, tout le monde rentre à la maison avec le sentiment d’avoir obtenu le meilleur prix, mais au final personne n’est vraiment sûr », image son porte-parole.

    On ne va pas pouvoir continuer comme ça. On n’y arrivera pas au niveau financier, même en Suisse
    Derrière ces réponses alambiquées se cache l’impuissance de l’OFSP. D’une part, les pharmas utilisent ces prix élevés pour fixer leurs tarifs à l’étranger. « La Suisse a avantage à ce que les médicaments sur le marché intérieur soient relativement chers pour justifier des prix élevés à l’étranger qui vont rapporter à l’industrie suisse », explique le pharmacologue du CHUV, Thierry Buclin.

    D’autre part, l’industrie tient le couteau par le manche à l’heure de déterminer les tarifs. L’émission Rundschau de SRF a récemment révélé comment Roche a fait valider le prix d’un autre anti-cancéreux, le Perjeta, à 3450 francs, alors que l’OFSP voulait le fixer à 1850 francs. La clé de cette négociation : la menace de voir un médicament vital demeurer inaccessible en Suisse.

    Solange Peters, la cheffe du service d’oncologie médicale au CHUV, demande plus de transparence afin d’obtenir des prix plus raisonnables. « On ne va pas pouvoir continuer comme ça. On n’y arrivera pas au niveau financier, même en Suisse », explique-t-elle. A terme, le risque est de ne plus pouvoir payer certains médicaments. Si le système ne change pas, « on va soit vers une médecine à deux vitesses, soit on va exclure du panel de traitements certains médicaments pour tous. »

    #big_pharma #industrie_pharmaceutique #profits #laboratoires_pharmaceutiques #assurances_maladies #cancer #ruissellement #prix #Roche #Perjeta #Herceptin #Femmes #prix-vitrine

    • Méthodologie
      Pour calculer les marges des entreprises pharmaceutiques, nous avons soustrait des remboursements les coûts de fabrication, de distribution et les coûts de recherche ventilés sur les ventes des médicaments. Les quantités de vente en Suisse ont été déduites des remboursements divisés par les prix unitaires. Les dépenses marketing n’ont pas été prises en compte.
      Cette méthodologie et les estimations qui en découlent ont été soumises à plusieurs experts du domaine.
      Les données utilisées sont les suivantes :

      HERCEPTIN
      Coûts de recherche : 802 millions de francs, selon le rapport de Roche « Développement de nouveaux médicaments anticancéreux & Pipeline Roche Oncologie »
      Ventes mondiales totales : 82.8 milliards de francs, selon les rapports annuels de Roche
      Coûts de fabrication : 50.56 francs, selon le rapport « Biosimilars : Commercial Perspective » du cabinet spécialisé Alliance Bernstein, cité par la Commission fédérale du commerce des Etats-Unis
      Remboursement LAMal 2014-2018 : 257.7 millions de francs, selon Curafutura
      Prix fabricant (flacon de 20 ml) : 1854.24 francs, selon l’ OFSP
      Coûts de distribution : 240.91 francs, selon l’OFSP
      Coûts de production maximaux estimés (fabrication et recherche) : 68.50 francs

      MABTHERA
      Coûts de recherche : 802 millions de francs, selon le rapport de Roche « Développement de nouveaux médicaments anticancéreux & Pipeline Roche Oncologie »
      Ventes mondiales totales : 91 milliards de francs, selon les rapports annuels de Roche
      Coûts de fabrication : 91.08 francs, selon le rapport « Biosimilars : Commercial Perspective » du cabinet spécialisé Alliance Bernstein, cité par la Commission fédérale du commerce des Etats-Unis
      Remboursement LAMal 2014-2018 : 224.5 millions de francs, selon Curafutura
      Prix fabricant (flacon de 50 ml) : 1415.32 francs, selon l’ OFSP
      Coûts de distribution : 198.43 francs, selon l’OFSP
      Coûts de productions maximaux estimés (fabrication et recherche) : 103.55 francs

      GLIVEC
      Coûts de recherche : fourchette entre 623 millions (selon Research and Development Spending to Bring a Single Cancer Drug to Market and Revenues After Approval) et 2.3 milliards de francs (selon Innovation in the pharmaceutical industry : New estimates of R&D costs)
      Ventes mondiales totales : 55.4 milliards de francs, selon les rapports annuels de Novartis
      Coûts de fabrication : 30.35 francs, selon l’étude Estimated costs of production and potential prices for the WHO Essential Medicines List
      Remboursement LAMal 2014-2018 : 114.8 millions de francs, selon Curafutura
      Prix fabricant (400 mg sécables, 30 tablettes) : 2308.04 francs, selon l’ OFSP
      Coûts de distribution : 284.81 francs selon l’OFSP
      Coûts de production maximaux estimés (fabrication et recherche) : entre 56.28 francs et 126.10 francs

  • « Il ne faut pas dire que c’est cancérigène. Il est établi que ce produit n’est pas bon, il y a des prévalences qui ont été reconnues scientifiquement, mais il ne faut pas aller jusqu’à dire que c’est cancérigène parce qu’on dit quelque chose qui n’est pas vrai et qu’on alimente les peurs. »

    Ce mec se fout de la gueule de tout le monde... purement et simplement...

    #Macron #chlordecone #Elysée #pesticide @Guadeloupe #Martinique

    https://www.lemonde.fr/politique/article/2019/02/04/chlordecone-l-elysee-plaide-le-malentendu-apres-la-declaration-polemique-de-