• À Dallas, les élèves devront porter des sacs à dos transparents Sarah Rahmouni

    Le district scolaire de Dallas, comme d’autres au Texas, a adopté lundi de nouvelles mesures de sécurité à la suite du massacre d’Uvalde en mai dernier : à compter de l’année scolaire 2022-2023, une grande partie de ses élèves devront utiliser des sacs à dos transparents ou en filet à l’école.

    Ces nouvelles règles s’appliqueront aux élèves de la 6e à la 12e année — de la dernière année du primaire à la dernière année du secondaire, donc. Les autres types de sacs ne seront plus autorisés.


    Les élèves pourront toutefois avoir dans leur sac à dos une pochette non transparente d’une taille maximale de 14 cm par 21 cm (5,5 po par 8,5 po) — l’équivalent d’une feuille de papier pliée en deux — pour y transporter des objets personnels, comme un téléphone portable, de l’argent ou des produits d’hygiène. . . . . . . .

    https://www.ledevoir.com/monde/etats-unis/735516/les-eleves-de-dallas-devront-porter-des-sacs-a-dos-transparents

    #armes #massacre #etats-unis #violence #tuerie #racisme #usa #massacre #états-unis #tueries

  • Vaccination des 5-11 ans : visite d’un secrétaire d’État à Compiègne dans un centre... déserté Un râteau Romain Bénard
    https://actu.fr/hauts-de-france/compiegne_60159/vaccination-des-5-11-ans-visite-d-un-secretaire-d-etat-a-compiegne-dans-un-cent

    Le secrétaire d’État en charge de l’enfance et des familles a visité le centre de vaccination de Compiègne pour promouvoir la vaccination des 5-11 ans contre le Covid-19.

    https_ ://static.actu.fr/uploads/2022/02/whatsapp-image-2022-02-02-at-173018-960x640.jpeg
    Seules quelques personnes, dont des enfants, sont venus se faire vacciner mercredi matin. (©Romain Bénard)

    Le secrétaire d’État Adrien Taquet, en charge de l’enfance et des familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, s’est rendu mercredi matin au centre de vaccination de Compiègne pour promouvoir la vaccination contre le Covid-19 de tous les enfants âgés de 5 à 11 ans. L’ouverture à cette tranche d’âge a débuté le 22 décembre 2021 en France.

    Alors que 67,8 % des habitants majeurs des #Hauts-de-France ont bénéficié une dose de rappel (souvent une troisième dose), seules quelques personnes attendaient de recevoir la leur ce mercredi matin, dont quelques enfants. Pourtant, depuis le 25 janvier dernier, l’accord d’un seul parent est suffisant pour vacciner les enfants de 5 à 11 ans, « les grands-parents peuvent aussi aller faire vacciner un enfant, avec l’accord de l’un des parents », insiste Adrien Taquet.


    Le secrétaire d’État a rencontré des militaires travaillant dans le centre de Compiègne. (©Romain Bénard)

    Des « risques de Covid longs »
    Le secrétaire d’État explique qu’au niveau national, la vaccination des enfants « s’accélère », ajoutant qu’il y a une montée en puissance : « on est à près de 700 centres qui permettent de vacciner les enfants, il y en aura de plus en plus ». Pour justifier cette accélération des vaccinations vers un public jeune, Adrien Taquet alerte sur des symptômes persistants : « on ne connait pas les effets du covid long sur les enfants, il y a un bénéfice pour les enfants de se faire vacciner ».

    Nombre de cas graves jeunes en réanimation : 0
    Depuis le 1er janvier 2022, le nombre d’enfants entre 0 et 14 ans ayant un cas grave de Covid-19 hospitalisés dans les services de réanimation de la région Hauts-de-France est de… 0. Interrogé sur l’utilité de la vaccination des 5-11 ans au vu des chiffres, Adrien Taquet répète qu’il « faut éviter les Covid longs ».
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    #Enfants #vaccination #Covid-19 #guignolade #vaccination #vaccins #vaccin #Pfizer #EnMarche #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #néo-libéralisme #ordo-libéralisme #Pasteur #cobayes

  • Port du masque dès la 5e primaire à Bruxelles, dans la même école, obligatoire pour les Flamands, pas pour les francophones
    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2021/09/01/port-du-masque-a-partir-de-la-5e-primaire-a-bruxelles-obligato

    À Bruxelles, tous les élèves doivent obligatoirement porter un masque à partir de la cinquième primaire. Du moins dans les écoles néerlandophones, car les établissements francophones ont quelque peu assoupli leurs mesures. Cette différence peut parfois mener à des situations absurdes. C’est le cas dans l’école Sint-Juliaan De Vlindertuin à Auderghem, où une école francophone et une école néerlandophone se partagent la même entrée.


    Dans notre école, les élèves de 5ème et 6ème primaire doivent porter un masque. Mais les élèves de l’école francophone ne sont pas obligés de le porter", affirme Stéphanie Vermeire, directrice de l’école Sint-Juliaan De Vlindertuin.
    « Il n’est pas facile d’expliquer cette situation aux enfants. Mais j’espère qu’à la fin du mois de septembre, il y aura de nouveaux assouplissements pour nos élèves du troisième degré », ajoute-t-elle.

    Une même porte, deux règles différentes
    Dans cet établissement d’Auderghem, les élèves des écoles francophone et néerlandophone entrent par la même porte. Mais une fois à l’intérieur, des règles différentes s’appliquent. « C’est pourquoi de bons accords entre les deux écoles étaient importants. Nous nous rendons donc dans le gymnase, où les enseignants doivent eux aussi porter le masque. Les francophones accueillent pour leur part les enfants dans la cour de récréation par petits groupes. Mais heureusement, nous nous entendons bien. »

    A l’extérieur, les élèves néerlandophones doivent également porter le masque s’ils ne peuvent pas garder leurs distances. Les choses seront légèrement différentes pour les élèves francophones. « Il est dommage que de telles mesures accentuent la diversité. Nous devons voir comment nous pouvons résoudre ce problème ensemble à Bruxelles. Car si on crée une diversité en ayant des mesures aussi différentes dans une même école, nous devons essayer de prendre des décisions ensemble. »

    Tapis rouge
    Ce mercredi 1er septembre, les enfants de l’école Sint-Juliaan De Vlindertuin ont été chaleureusement accueillis. « Nous avons installé un tapis rouge pour offrir un bel accueil aux élèves, ainsi qu’un tremplin pour bien démarrer la nouvelle année scolaire. Avec ou sans masque, nous allons en tirer tout le meilleur », conclut la directrice.

    On notera qu’en Flandre, le port du masque n’est plus obligatoire dans les écoles, mis à part pour les élèves de secondaire uniquement lors de leurs déplacements. 

    #masques #coronavirus #en_vedette #covid-19 #santé #santé_publique #covid19 #confinement #pandémie #guignolade #Bruxelles #Fédéralisme

  • Pour un « non » écologiste à une vaccination systématique Grégoire Gonin, citoyen solidaire
    https://www.letemps.ch/opinions/un-non-ecologiste-une-vaccination-systematique

    Dans une société obnubilée par les solutions à court terme, la réflexion sur les causes de la pandémie demeure marginale depuis sa survenue. Les politiques publiques tireront-elles les leçons environnementales et sanitaires qui s’imposent ? Le pessimisme reste hélas de mise, et l’altruisme de façade. Miroir d’un été annonciateur du désastre planétaire en cours et à venir, les injonctions à la piqûre pleuvent tous azimuts. Dans son éditorial du 6 juillet, Le Temps invite la population à agir par « civisme ». Huit jours plus tard, le quotidien se demande « pourquoi reporter ou refuser une telle aide », écartant à juste titre l’argumentaire des réfractaires, mais en omettant – ô stupeur – l’objection écologiste.

    Pour tester leur bonne foi
    Il est permis de se montrer agacé par les personnes jurant la main sur le cœur se faire inoculer par souci du collectif. Pour tester leur bonne foi, il faut et il suffit de leur demander si elles agiraient de même si l’administration du précieux liquide était conditionnée au renoncement à prendre l’avion et à manger de viande. Au royaume du Moi-Je (l’iPhone, l’i-tout) néolibéral, ces personnes ont-elles le même soudain intérêt du bien commun au point de renoncer à la voiture et à ses gaz ultra-nocifs, à manger trop gras, trop sucré ou à boire de l’alcool et à fumer, et ne plus ainsi peser si lourd sur les coûts de la santé publique, à ne plus consommer via Amazon ou Uber et leurs armées de néo-misérables et prolétaires ? Les masques de nombreux tartuffes tomberaient aussi rapidement que leur empressement à sauter à bord du premier avion venu.

    La suite payante.
    #écologie #vaccination #test_pcr #covid-19 #isolement #cas_contact #coronavirus #santé #surveillance #confinement #covid #sars-cov-2 #pandémie #contacttracing

    • Un virus pas si dangereux que ça, puisqu’on ne commence que maintenant à vacciner les marins, et encore, dans un seul pays

      Les marins internationaux peuvent désormais se faire vacciner dans les ports belges, une première
      https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_les-marins-internationaux-peuvent-desormais-se-faire-vacciner-dans-les-p

      À partir de ce lundi, les marins venus des quatre coins du monde peuvent se faire vacciner dans les ports belges. La Belgique est le premier pays où, en plus de ses propres marins, les équipages des navires internationaux seront également vaccinés. Ils recevront le vaccin Johnson & Johnson, une seule injection étant nécessaire. 

      Depuis plusieurs mois, les marins belges qui accostent dans nos ports reçoivent leur vaccin. Mais à partir de ce matin, les membres d’équipage des navires du monde entier qui accostent à Anvers, Gand ou Zeebrugge seront également vaccinés. Le capitaine du navire doit signaler 24 heures avant l’arrivée dans le port combien de membres d’équipage doivent être vaccinés.

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      #guignolade

    • Mais puisqu’on vous dit que tout est de votre faute !
      Coronavirus à Lille : Un comité ministériel retarde des essais cliniques sur un médicament anti-Covid prometteur
      Un comité ministériel refuse à l’Institut Pasteur de Lille le droit d’accélérer les recherches sur un traitement anti-Covid qui a fait ses preuves in vitro.

      • L’Institut Pasteur de Lille avait annoncé, en octobre, avoir peut-être trouvé un médicament anti-Covid.
      • Restait à effectuer les essais cliniques pour lever les incertitudes car ce médicament avait déjà une autorisation de mise sur le marché dans une autre indication.
      • Un comité du ministère de la Santé a décidé, mardi, de refuser la demande d’accélération des essais cliniques pour cette molécule prometteuse.

      Mise à jour : Cinq jours après notre demande, la direction générale de la santé a répondu à 20 Minutes : « Les discussions collégiales qui s’exercent au sein du Capnet, et qui aboutissent à des décisions n’ont pas vocation à être rendues publiques. (...) Si les raisons aboutissant à ne pas attribuer le label de priorité nationale sont naturellement communiquées aux promoteurs, elles n’ont pas vocation à être communiquées au-delà ».

      Un blocage incompréhensible. En octobre, l’Institut Pasteur de Lille (IPL) annonçait avoir peut-être trouvé un médicament anti-Covid. Restait à effectuer les essais cliniques pour lever les dernières incertitudes. Or, un comité du ministère de la Santé a décidé, mardi, de ralentir considérablement le processus d’homologation de ce médicament contre le Covid, comme le révèle La Voix du Nord. Pourquoi ?

      « Visiblement, ce comité ne comprend pas ce qu’est un repositionnement », regrette, dans le quotidien régional, Terence Beghyn, président d’Apteeus, une start-up qui collabore avec Pasteur sur ce projet. Ce comité, c’est le Capnet, comité de pilotage national des essais thérapeutiques, une instance chargée de prioriser la recherche clinique autour du Covid-19.

      Molécule prometteuse
      Et le Capnet vient de refuser d’accélérer les essais cliniques mis en place par Pasteur dès le mois d’octobre. A l’époque, l’Institut estimait qu’une molécule était prometteuse dans la lutte contre le coronavirus. Il s’agissait d’un vieil anti-infectieux qui avait montré son efficacité lors des différents tests in vitro « pour inhiber la réplication du virus », mentionne Pasteur dans un communiqué.

      « Il s’agit d’un médicament commercialisé en Europe et ayant déjà eu une autorisation de mise sur le marché en France dans une autre indication. Il pourrait donc être repositionné comme traitement du Covid-19 », ajoute l’Institut.

      La suite : https://www.20minutes.fr/lille/2974879-20210211-coronavirus-lille-ministere-retarde-essais-cliniques-medi
      #Institut_Pasteur #médicaments #molécules #laboratoires_pharmaceutiques #capnet #ministère_de_la_Santé #EnMarche

  • A la COP24, le manque d’accord sur le négoce du droit de polluer impacte la Suisse 16 Décembre 2018 - RTS
    https://www.rts.ch/info/economie/10073208-a-la-cop24-le-manque-d-accord-sur-le-negoce-du-droit-de-polluer-impacte

    Pour remplir ses objectifs de réduction d’émission de CO2, la Suisse compte sur les achats de certificats à l’étranger.

    Un chapitre important des règles adoptées samedi par la 24e Conférence climat de l’ONU reste en suspens : celui des achats de certificats d’émissions à l’étranger, indispensables à la Suisse pour tenir ses engagements. Il sera discuté dans un an.

    Acheter des certificats d’émission à l’étranger permet actuellement de réduire au niveau national ses émissions de gaz à effet de serre. Réguler ce marché carbone était au programme de la COP24, mais la décision a été reportée à la prochaine COP25 au Chili, prévue fin 2019.

    C’est toute la question du négoce du droit de polluer qui est en jeu, et la Suisse est directement concernée. Aujourd’hui 40% des réductions d’émissions de CO2 annoncées par le Conseil fédéral sont basées sur l’achat de certificats d’émissions à l’étranger.

    Le conseiller national PLR genevois Benoît Genecand ne s’alarme pas de ce report de régulation à l’année prochaine : « Cela signifie que le processus est sérieux. Je préfère ça à un accord bâclé, où tout le monde fait semblant d’avoir atteint son objectif. Et où les pays qui vont vendre ces certificats vont en réalité aussi les déduire eux-même », affirme-t-il dimanche au 19h30.

    Le double comptage divise
    La dernière version du texte autorisait effectivement un double comptage des mêmes réductions de CO2, chez l’acheteur et chez le vendeur. Une position défendue notamment par le Brésil.

    La Suisse a défendu une position opposée. Interrogé dans l’émission Forum, Franz Perrez, négociateur pour la Suisse à la COP24, avoue sa déception face au manque d’accord sur ces règles de compensation sur le marché international : « C’est un travail qui nous attend l’année prochaine. »

    Le chef de la délégation suisse dit avoir tout fait pour éviter l’adoption de règles « très mauvaises, qui auraient permis à certaines réductions d’émissions d’être comptabilisées par deux pays à la fois. Comme Doris Leuthard l’a dit, c’est mieux de ne pas encore avoir de règles, d’attendre et de continuer le travail plutôt que d’adopter des règles problématiques. »

    Balayer devant sa porte
    Ce manque de règles pourrait donc avoir des effets sur la politique climatique de la Suisse. Pour Manuel Graf, responsable politique au WWF Suisse, il faut agir au plus vite, et autrement. « Aujourd’hui, il y a de fortes chances que ce marché des certificats soit au final mal régulé, ou pas régulé du tout. Et les politiques suisses doivent en tirer les conséquences. C’est-à-dire investir davantage dans les entreprises, la technologie et les emplois locaux, plutôt que de compter sur l’achat de certificats à l’étranger », estime-t-il au 19h30.
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    #Fric #cop24 #guignolade #pollution

  • Vers un Erasmus ouvert aux plus défavorisés L’essentiel - 17 Novembre 2017 - L’essentiel/AFP

    Le programme qui a déjà permis à 9 millions de jeunes d’étudier à l’étranger doit maintenant s’ouvrir aux publics plus défavorisés, ont plaidé jeudi, quelques-uns de ses défenseurs.


    Créé le 15 juin 1987, le programme Erasmus permettait à l’origine aux seuls étudiants de partir suivre une année de cursus à l’étranger. Il n’a cessé de s’étendre, passant de 11 pays inscrits au départ à 33 pays participants. Désormais nommé Erasmus+, il a aussi gagné #élèves_du_primaire et du secondaire, des #lycées_professionnels, #demandeurs_d_emplois, etc. « La question qui se pose est : "Quel avenir pour Erasmus" ? », a lancé vendredi le commissaire européen aux Affaires économiques, Pierre Moscovici, lors d’une conférence de presse au conseil régional d’Île-de-France.

    L’objectif affiché est de rendre le programme « plus efficace », « mieux ciblé », et de le rendre « plus accessible » à certains publics. Le commissaire a notamment souhaité l’ouvrir à davantage d’élèves de l’enseignement scolaire, aux apprentis, mais aussi « aux #migrants ou aux #personnes_handicapées ». « Il faut casser cette image de l’"auberge espagnole" (NDLR : en référence au film de Cédric Klapisch sur le sujet), avec des #élites qui font la fête », a-t-il dit. « Nous voulons aller vers un Erasmus pour tous ».

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    La suite : http://www.lessentiel.lu/fr/news/europe/story/Vers-un-Erasmus-ouvert-aux-plus-defavorises--10372958

    #Erasmus #pierre_moscovici #guignolade #pervenche_berès #laure_coudret-Laut

    • Y a pas à dire, la haute bourgeoisie française est dans son monde , mais remercions la de nous suggérer de partager ses #privilèges. Pour Pierre Moscovici rien n’empêche un couple au #RSA de s’acheter une jaguar, ou une Lamborghini . Ils sont dans leur #télé-réalité 24h sur 24.

      Mia, étudiante, vit avec 5 euros par jour pour manger Le Parisien - Elsa Mari - 31 mai 2017
      http://www.leparisien.fr/societe/misere-etudiante-mia-24-ans-vit-avec-5-eur-par-jour-pour-manger-31-05-201

      Un rapport de la Croix-Rouge, révélé ce mercredi matin, s’alarme d’une misère invisible : celle qui touche les étudiants et qui les empêche de se nourrir correctement. Mia, 24 ans, se confie.

      Mia a enfin fini par se l’avouer. Elle est épuisée. Cette étudiante en école d’architecture de 24 ans, rencontrée mardi à la terrasse d’un café parisien, triture nerveusement sa boucle d’oreille, le regard fuyant. Depuis quatre ans, la jeune femme vit grâce à ce qui lui donne son papa, cadre informaticien. Une fois le loyer payé, il ne lui reste toutefois que 320 euros par mois : « 10 euros pour Internet, 30 pour l’électricité... il y a aussi les fournitures scolaires », égrène-t- elle, de façon machinale. Avec un budget nourriture de 20 à 35 euros par semaine, chaque jour est un calcul permanent.

      Sur les conseils d’une assistante sociale, elle s’est décidée, la semaine dernière, à faire ses courses à l’épicerie sociale de la Croix-Rouge, dans le XVe arrondissement de Paris.
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  • La réforme des compétences territoriales revient au Sénat et l’imbroglio continue
    http://www.latribune.fr/economie/france/la-reforme-des-competences-territoriales-revient-au-senat-et-l-imbroglio-c

    C’est reparti. L’interminable cheminement du projet de loi portant « Nouvelle organisation territoriale de la République » (NOTRe) se poursuit avec son arrivée devant le Sénat en deuxième lecture où il sera examiné en séance publique du 26 au 29 mai. Ce texte tend à définir précisément les compétences des collectivités territoriales : région, département, bloc communal. L’idée étant de savoir exactement "qui fait quoi". Au départ, Le gouvernement avait un souhait très bien résumé par le secrétaire d’Etat à la réforme territoriale André Vallini : "Aux régions, l’économie ; aux départements, la solidarité ; au bloc communal, les services publics de proximité".

    Hélas, ce beau principe a été battu en brèche. Le texte « NOTRe » n’a cessé d’évoluer. Il a été quasi totalement détricoté par le Sénat en première lecture.
    […]
    Il est vrai qu’au départ, tout devait s’organiser dans l’optique de la suppression des départements à l’horizon 2020. Depuis cet engagement du président de la République début 2014, de l’eau a coulé sous les ponts. Il est maintenant quasi certain que les départements, en tant que collectivités territoriales subsisteront.

    Ça c’est une vraie belle #réforme comme on les aime !
    #simplification_du_mille_feuille
    imbroglio ? #guignolade !