person:friedrich nietzsche

  • Zarathoustra rencontre “le dernier homme”
    http://www.dedefensa.org/article/zarathoustra-rencontre-le-dernier-homme

    Note d’introduction

    Ce texte est extrait de Ainsi parlait Zarathoustra – Un livre pour tous et pour personne. (Also sprach Zarathustra. Ein Buch für Alle und Keinen, poème philosophique de Friedrich Nietzsche publié entre 1883 et 1885.) L’extrait est de la traduction française de Henri Albert, Société du Mercure de France, 1903 [sixième édition] (Œuvres complètes de Frédéric Nietzsche, vol. 9, pp. 7-29). L’extrait figure dans “Le prologue de Zarathoustra”, Première Partie de l’œuvre. Pour avoir une appréciation de la publication de cet extrait, voir le texte de ce jour, 28 février 2018, dans le Journal-dde.crisis de Philippe Grasset.

    dde.org

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    Zarathoustra rencontre “le dernier homme”

    Quand Zarathoustra eut dit ces mots, il considéra de nouveau le peuple et se tut, puis il dit à (...)

  • Nietzsche Is Not the Proto-postmodern Relativist Some Have Mistaken Him For - Facts So Romantic
    http://54.197.248.184/blog/nietzsche-is-not-the-proto_postmodern-relativist-some-have-mistaken-him-for

    When writing Ecce Homo in the late 1880s, Nietzsche sought to resurrect the Voltairean spirit in Europe, which he felt by his times had been washed away by pessimistic Romanticism. “Voltaire still comprehended umanità in the Renaissance,” Nietzsche wrote, “the cause of taste, of science, of the arts, of progress itself and civilisation.”Photograph by Gustav Schultze / WikicommonsSince his death in 1900, the philosopher Friedrich Nietzsche has had the unfortunate distinction of being blamed for three catastrophes to have befallen Western civilization. He was blamed for the First World War, when his inflammatory and bellicose writing became cult reading not only for Europe’s restless youth, yearning for blood sacrifice at the beginning of the 20th century, but also for a German military class (...)

  • Nietzsche Is Not the Proto-postmodern Relativist Some Have Mistaken Him For - Facts So Romantic
    http://nautil.us/blog/nietzsche-is-not-the-proto_postmodern-relativist-some-have-mistaken-him-for

    When writing Ecce Homo in the late 1880s, Nietzsche sought to resurrect the Voltairean spirit in Europe, which he felt by his times had been washed away by pessimistic Romanticism. “Voltaire still comprehended umanità in the Renaissance,” Nietzsche wrote, “the cause of taste, of science, of the arts, of progress itself and civilisation.”Photograph by Gustav Schultze / WikicommonsSince his death in 1900, the philosopher Friedrich Nietzsche has had the unfortunate distinction of being blamed for three catastrophes to have befallen Western civilisation. He was blamed for the First World War, when his inflammatory and bellicose writing became cult reading not only for Europe’s restless youth, yearning for blood sacrifice at the beginning of the 20th century, but also for a German military class (...)

  • Ridley Scott et la saga Alien : quand l’auteur devient son propre monstre… | Calimaq
    https://scinfolex.com/2017/05/14/ridley-scott-et-la-saga-alien-quand-lauteur-devient-son-propre-monstre

    Cette semaine est sorti sur les écrans le film Alien : Covenant qui ajoute un nouvel épisode de la saga initiée par Ridley Scott en 1979. Après le déjà très controversé Prometheus en 2012, Ridley Scott revient aux commandes d’un film qui est en train de déclencher parmi les fans un véritable torrent de critiques négatives, accusant le… Source : : : S.I.Lex : :

    • Viol de l’oeuvre par son propre auteur ?

      Ce qui était déjà en germe dans Prometheus devient cette fois encore plus problématique avec Alien : Covenant . Ridley Scott – peut-être comme le dit Durendal parce qu’il atteint l’âge canonique de 80 ans – paraît s’enfoncer dans un délire mystique à tendance créationniste et il plaque artificiellement ces nouvelles thématiques sur l’univers d’Alien. Ce qui était à la base avant tout un film d’horreur, caractérisé par la figure iconique du xénomorphe, devient à présent une sorte de réflexion pseudo-philosophique ampoulée sur les origines de la vie et de l’être humain. Dans Covenant , Ridley Scott s’attache à faire des révélations sur la création jusqu’alors inexpliquée de l’Alien, à laquelle il apporte une réponse… plus que surprenante (je vous épargne les spoils). Le problème, c’est que ce faisant, il introduit un nombre invraisemblable d’incohérences qui rejaillissent sur les films suivants (l’action de Covenant se déroulant avant le premier épisode de la saga). Or ici, on peut dire d’une certaine manière que Ridley Scott se comporte comme le xénomorphe avec sa propre création : avec ces nouvelles thématiques religieuses, il insémine l’histoire avec des corps étrangers qui la font muter et la boursouflent jusqu’à la faire littéralement exploser. Et du coup, j’ai rarement vu quelque chose qui mérite autant le qualificatif de « dénaturation de l’oeuvre », au sens d’une violation du droit moral, alors qu’elle est commise par l’auteur lui-même.

      L’auteur est littéralement devenu son propre monstre et c’est l’univers d’Alien qui en est la première victime !

    • Souvent, le spectateur est plutôt bienveillant envers l’œuvre qu’il découvre et accepte les présupposés de l’univers qui lui sont proposés tant qu’ils ne vont pas à l’encontre de leur propre cohérence.

      On accepte donc beaucoup de petites faiblesses, jusqu’au moment où l’on trouve le propos tellement con qu’on éclate de rire pendant une scène qui n’est manifestement pas destinée à déclencher cette réaction. Généralement, c’est là que le réalisateur me perd.
      Ça a déjà été très chaud avec la scène d’intro, que j’ai trouvée prétentieuse au possible, mais bon, on passe l’éponge. Mais ça tourne directement au slasher avec des personnages et des situations totalement risibles parce mal écrits ou montés, je ne sais pas.
      Grosso merdo, t’as un vaisseau colonisateur de première vague avec, globalement, aucun système redondant et un équipage de gens qui se révèlent parfaitement inaptes au moindre stress, alors que la moindre hôtesse de l’air chez nous est formée pour ça : gérer le merdier. Et très rapidement, le #WTF se laisse bouffer par sa propre entropie, jusqu’au moment où tu te retrouves avec des monstrasses sortis du slip (parce que tu y repenses bien, si tu suis le scénario, en dehors de vouloir faire un plan par plan d’une scène du premier opus, ben, le bestiau, il ne peut pas être là. Pas possible !)
      Y a deux ou trois plans jolis, mais rien qui justifie de s’infliger deux heures de #bullshit autour.

    • Pas aimé du tout le texte de S.I. Lex sur Ridley Scott :
      https://scinfolex.com/2017/05/14/ridley-scott-et-la-saga-alien-quand-lauteur-devient-son-propre-monstre

      Après avoir expliqué, apparemment sagement, qu’il ne veut pas faire un procès à Scott :

      Certes, il ne s’agit pas de dire que Ridley Scott devrait être traîné en justice pour avoir commis quelque chose d’aussi mauvais qu’Alien : Covenant

      dans le paragraphe suivant (et final), il assène :

      On en vient presque à se dire qu’il vaudrait mieux que Ridley Scott ne vive pas assez longtemps pour poursuivre ce massacre méticuleux de sa propre création

      Pas de procès, mais il faudrait qu’il meure, parce qu’il saccage l’« univers » que ses fans aiment ? Ah ah ah… Non mais c’est quoi la cohérence ?

      Autre difficulté je pense : qu’on dénonce les excès du droit moral de l’« auteur », qui ici passe par le droit de producteur (Scott a racheté ses droits, si je comprends bien), pour qu’ensuite on dénie totalement le droit moral de l’auteur pour carrément l’attribuer aux « fans », au motif génial que :

      c’est le public qui se fait le gardien de l’esprit d’une oeuvre

      Sérieusement, la logique de SILex, maintenant, c’est d’arriver à réclamer un « gardien de l’esprit de l’œuvre » tellement intransigeant que le contrevenant devrait mourir ? (C’est pas du tout ce que j’avais compris du principe du remix, moi.)

      J’ai détesté Prometheus, je pense que Scott est, de longue date, un idéologue réactionnaire, mais là, franchement, la pente de SILex m’inquiète. Qu’on dénonce la « posture d’auteur », ou ses excès, ou le fait que l’auteur monopolise légalement la vie de l’univers créé, oui ; mais si c’est pour que le public devienne non plus un créateur, mais un gardien de l’orthodoxie de l’œuvre qui souhaite qu’Untel meure parce qu’il aurait trahi l’« esprit », on tombe dans le pire de ce qui serait justement une posture d’auteur 2.0.

      Parce que ça veut dire quoi, « plaquer artificiellement de nouvelles thématiques » ?

      il plaque artificiellement ces nouvelles thématiques sur l’univers d’Alien

      Je déteste les foutaises de Scott sur la foi qu’on en a tous besoin et les croyants qu’on persécuterait , mais qu’il tente d’ajouter des trucs à un idée somme toute particulièrement basique (monstre-voit, monstre-tue), je suis très pour. Si j’allais dans le sens de SILex, ce serait pour qu’on autorise « les gens » à enrichir eux-même cet univers, quitte à se foirer eux aussi, quitte à détourner le truc, mais pas à se poser en « gardiens » au motif qu’ajouter des thématiques, ce serait « artificiel » (je veux dire, c’est quand même des conneries de série B avec des monstres violeurs, par définition tout ça c’est « artificiel » !).

      (Et puis, franchement franchement, je pense qu’on est en plein délire du moment sur ces « univers », qui sont très exactement le gros fantasme économique à la mode de Hollywood, avec le Marvel-Truc-Universe (« MCU » in Ingliche), le X-Men-Reboot-de-mes-Fesses, le rachat de l’« univers » Star Wars, etc. On est tout de même largement dans le divertissement pas grandiose à base de produits dérivés, hein. Réclamer que la « fanbase » de l’« œuvre » décide d’un truc qui, dans tous les cas, n’est fait que pour engranger les milliards de profits sur la vente de figurines en plastoque, ça me semble pas intéressant du tout comme indignation…)

    • Il y a par ailleurs un autre contre-sens ici, qui est de parler de « délire mystique à tendance créationniste ». Or le film n’est clairement pas créationniste, puisque la première scène de Prometheus montre un alien se sacrifier pour que son ADN se répande sur Terre et ainsi donner naissance à la race humaine. Il n’y a donc pas de Dieu (puisque c’est fondamentalement ça, le créationnisme américain), mais des extraterrestres. (Et dans un film de SF, imaginer que des extra-terrestres sont à l’origine de la vie sur Terre, c’est tout de même assez banal.)

      En revanche, c’est un discours beaucoup plus malsain qui est mis en avant (surtout à mon avis dans Prometheus, où c’est le sujet d’un bon tier des dialogues), et qui fait que @nidal avait considéré que Scott relevait du néo-conservatisme. Et que les critiques passent à côté, comme ils le font avec d’autres mouvements néo-fascistes (une partie de la alt-right, ou la nouvelle droite plus ancienne).

      Le besoin de conserver une foi « traditionnelle »

      C’est très clair dans Prometheus : au début on montre la vie humaine « créée » par les extra-terrestres (donc pas du tout du créationnisme typique du fondamentalisme religieux américain), mais ensuite l’héroïne qui, tout en étant celle qui développe la thèse des « Ingénieurs », revendique sa foi chrétienne. Et à la fin du film, alors que tout lui a contredit le récit biblique de la création, elle récupère sa croix avant d’aller bouter l’alien à l’autre bout de l’univers. Dans Covenant, c’est moins omniprésent, mais on a bien ce personnage du nouveau capitaine, qui aurait été écarté du commandement à cause de sa foi, et à qui l’héroïne (qui semble-t-il ne croit pas elle-même en Dieu), affirme que son équipage en difficulté a plus que jamais « besoin de sa foi ».

      C’est-à-dire qu’on a pour thèse très explicite que : (a) la foi traditionnelle est explicitement contredite par les faits, (b) « on » a besoin cependant de s’accrocher à cette foi pourtant démontrée comme fausse.

      C’est vraiment une idée tordue et cynique. Mais… ça me semble tout un courant de pensée, qu’on croise régulièrement dans la culture populaire américaine, qui affirme qu’il est nécessaire d’avoir la foi, alors même qu’on affirme que cette croyance se base sur des faits faux (genre : même les zombies finissent par ressentir le « besoin » d’aller à l’église…). Ce qui, à mon avis, est une tendance fascisante : « je » ne crois pas en Dieu, mais je crois qu’il est nécessaire qu’« on » continue de croire en Dieu, au moins dans la forme culturelle du christianisme. Ainsi des « intellectuels » rigoureusement athées réclament que le peuple continue de maintenir son « identité chrétienne ».

      On ne peut pas vivre ensemble

      Ce cynisme néo-conservateur se double d’un pessimisme d’ordre plus ou moins raciste. Là on se fait souvent promener parce que, dans d’autres films, Scott rappelle que les Chrétiens ont commis des massacres pendant les Croisades. Ce qui nous ramène à une erreur dans la critique des racistes, ou de la théorie du Choc des civilisations par exemple, qui est de les accuser de croire à l’inégalité des races ou des cultures, ce à qui ils rétorquent qu’ils n’en pensent rien (bon, je pense que si on creuse…), et que tout ce qu’ils disent, c’est le pessimisme profond selon lequel les cultures sont incompatibles, et quel la guerre est inévitable.

      Et ça aussi, c’est un élément très présent (et pénible) dans la culture populaire américaine, avec notamment l’omniprésence des histoire des massacres, de génocides, et plus récemment de torture systématique.

      Ce qui ressort d’ailleurs dans Prometheus de manière grotesque : comprenant que les « Ingénieurs » se préparaient à revenir sur Terre, on affirme sans plus se poser de question que c’était dans le but d’y détruire la race humaine (à aucun moment on ne dit ce qui justifie cette conclusion). Dans Convenant, David arrive sur la planète des Ingénieurs et, sans attendre, ouvre le sas de son vaisseau et éradique totalement leur civilisation en déversant sur eux une « arme de destruction massive ». Parce que, comme dans les références aux Croisades de Scott, ces massacres et ces génocides, c’est inévitable. C’est pas parce que ce serait justifié, c’est juste qu’on considère de manière extrêmement cynique que c’est inévitable.

      Bref je trouve que tout ça relève d’un proto-fascisme néo-conservateur, avec un vieux fond de guerre culturelle à la fois sceptique et cynique, et un pessimisme fondamental sur l’impossibilité des cultures et des races condamnées à la guerre et au génocide.

    • Tout est vrai ou prèsque de ce que vous dites. Ce qui m’a frappé au milieu du film après avoir assisté bouche bée les agitations des boulets décrits par Agnès c’est qu’il est construit autour de la peinture d’Arnold Böcklin L’Île des Morts .

      Ce n’est certainement par hasard qu’un set designer s’est décidé de faire ressembler exactement le le paysage où se trouve l’entrée dans la grotte du monstre à la peinture enblématique. On le découvre donc au milieu du film à un tournant de l’histoire.

      Une rapide vérification de cette découverte dans l’encyclopédie qui ment (en allemand seulement) me fait alors découvrir d’autres élements plausibles et révélateurs.

      https://de.wikipedia.org/wiki/Die_Toteninsel

      1977 zeichnete der Schweizer Künstler H. R. Giger seine Hommage an Böcklin. In dem Bild wird die Toteninsel im giger-typischen, biomechanischen Stil gezeigt.

      O.K. ca va, on comprend que l’équipe du film est tombée sur l’image à cause de le vénération de l’auteur de l’alien initial H. R. Giger pour Böcklin.

      Pourquoi alors lui donner une place au centre du récit ?

      Das Gemälde wird neben „Das Gestade der Vergessenheit“ von Eugen Bracht als eines der wichtigsten Werke des Symbolismus betrachtet. Kaiser Wilhelm II. besaß eine Version von beiden Werken.

      Ah, déjà le Kaiser admirait le génie de Böcklin. Après c’est le symbolisme qui nous mène droit vers le Gesamtkunstwerk et de là on tombe sur - vous l’avez deviné dès le début de mes remarques - sur Richard Wagner dont les airs hautement symboliques marquent le début et la fin du film.

      Mais il y a encore mieux :

      Die dritte Version entstand 1883 für Böcklins Galeristen Fritz Gurlitt. 1936 wurde diese Version auf dem Kunstmarkt angeboten und von Adolf Hitler erworben, der das Werk bewunderte. Er hängte es zunächst auf dem Berghof auf, ab 1940 in der Berliner Neuen Reichskanzlei.

      Tadaa, entrée du Führer qui nous emmène vers les portes du royaume des morts comme font toujours le fachos.

      Chemises noires ou brunes, le résultat est systématiquement le même, il ne varie que dans son ampleur touchant quelques africains, des européens sélectionnés d’après des critères loufoques ou la population entiére d’un monde semblable au notre.

      N’est pas mentionnée explicitement Friedrich Nietzsche, le charmant créateur de la célèbre phrase

      Gott ist tot.

      Pourtant c’est lui et son Zeitgeist dont les phantômes nourrissent l’imagination des neo-neo-neo-libres-penseurs amerloques alors que nous pauvres victimes allemands d’une éducation scolaire ratée et surchargée d’idées du dix-neuvième siècle nous n’avons pas le choix et sommes obligés de nous laisser emporter par un flux de pensées aux références éclectiques pendant que nos voisins de rang se crispent aux accoudoirs de leurs fauteuils à chaque apparition du monstre CGI.

      Passons sur l’histoire du Übermensch dont il ne reste que l’UBERtaxi , c’est encore une histoire à dormir debout à cause de son incohérence et banalité.

      Nietzsche’s idea of “the overman” (Ubermensch) is one of the most significant concept in his thinking

      https://seenthis.net/messages/391223

      En fin de compte Alien - Covenant n’est qu’un film pour tous sans réflexion particulièrement profonde, c’est un amalgame idéologique et éclectique dont la prétention ressemble à la cathédrale protestante de Berlin de 1894 avec son mélange de styles commandé par l’empereur Guillaume II .

      On aime ou on n’aime pas, ici tout est spectacle, même Richard Wagner reste sans défense contre la machine de recyclage d’idées fin de siècle entre les mains de Ridley Scott.

      #cinéma #film #hollywood #science-fiction #idéologie #nihilisme #nouvelle_droite

    • Le #Luberon, ses riches, ses célébrités. Au village d’Oppède, on peut croiser une actrice, des pédégés, une présentatrice TV, un chansonnier… Croiser ? Pas vraiment, car ces gens-là se vautrent rarement avec le commun des pézouilles. Et surtout personne ne doit résister à la puissance de leur #pognon.

      Mis à jour le :15 décembre 2009. Auteur : Anatole Istria.
      http://www.cequilfautdetruire.org/spip.php?article2122&var_recherche=ridley%20scott#nh1

    • http://www.cequilfautdetruire.org/spip.php?article2122&var_recherche=ridley%20scott#nh1

      « À Oppède, c’est Scott qui a quasiment fixé le prix de la terre, rappelle Christophe. Nos anciens étaient peut être plus influençables face à la célébrité et à l’argent, mais moi je n’en ai rien à foutre. Je ne partirai pas de mon terrain à moins de cinq millions d’euros ! Une somme extravagante pour 8000 m2, mais c’est pour me mettre au même niveau que lui. » Au fait, le prochain long-métrage de Ridley Scott est consacré à Robin Hood. Vous savez, le hors-la-loi qui volait les riches…

  • Le néphélibate parle de son Coucouville les Nuées
    http://coucouville.blogspot.de/2012/05/fusain.html?m=1


    J’aurais aimé prendre des note sur Karl Kraus et Aristophane , mais je tombe sur des nuages.

    En l’an 414 avant notre ère, l’auteur comique grec Aristophane révéla au monde l’existence de la ville céleste de Néphélococcygia, bâtie par les oiseaux. En français, Coucouville les Nuées. J’y habite, en voici des nouvelles.

    ... le noir, gris et blanc sont les seuls à montrer et le volume et les finesses des vapeurs ...

    Allons-y quand même ...

    Die Fackel
    http://corpus1.aac.ac.at/fackel

    Literaturhaus Wien : 1_Abschnitt
    http://www.literaturhaus.at/index.php?id=8273

    1923 „Wolkenkuckucksheim“, Berthold Viertel gewidmete Komödie in Versen.
    Im Februar wird „Die Letzte Nacht“ in Wien und Brünn aufgeführt, die Vorstellung in Prag jedoch verhindert, indem die Benützung des Theatersaals verweigert wird.
    Am 7. März Austritt aus der katholischen Kirche.

    Wolkenkuckucksheim
    https://de.wikipedia.org/wiki/Wolkenkuckucksheim

    Karl Kraus verfasste 1923 eine modernere Version von Die Vögel mit dem Titel Wolkenkuckucksheim.

    Cloud cuckoo land
    https://en.wikipedia.org/wiki/Cloud_cuckoo_land

    Aristophanes, a Greek playwright, wrote and directed a drama The Birds, first performed in 414 BC, in which Pisthetaerus, a middle-aged Athenian persuades the world’s birds to create a new city in the sky to be named Nubicuculia or Cloud Cuckoo Land[2] (Νεφελοκοκκυγία, Nephelokokkygia), thereby gaining control over all communications between men and gods.

    The German philosopher Arthur Schopenhauer used the word (German Wolkenkuckucksheim) in his publication On the Fourfold Root of the Principle of Sufficient Reason in 1813, as well as later in his main work The World as Will and Representation[4] and in other places. Here, he gave it its figurative sense by reproaching other philosophers for only talking about Cloud-cuckoo-land.

    The German philosopher Friedrich Nietzsche refers to the term in his essay "On Truth and Lying in a Nonmoral Sense.

    Margaret Thatcher famously used this phrase in the 1980s: “The ANC is a typical terrorist organisation... Anyone who thinks it is going to run the government in South Africa is living in cloud-cuckoo land.”

    Author Edward Crankshaw used the term when discussing the Deak-Andrassy Plan of 1867 in his 1963 book The Fall of the House of Habsburg (Chapter 13, “The Iron Ring of Fate”).

    Les Oiseaux (Aristophane)
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Oiseaux_(Aristophane)

    Les Oiseaux est une comédie grecque antique écrite par Aristophane. Cet ouvrage, représenté aux Lénéennes en 414 av. J.-C.1, est une joyeuse utopie politico-religieuse ; elle parodie l’origine du monde selon la secte des orphiques. Ces derniers pensaient, en effet, que le monde était né d’un œuf originel.

    L’imaginaire utopique dans la Comédie ancienne, entre eutopie et dystopie (l’exemple des Oiseaux d’Aristophane)
    https://www.unicaen.fr/puc/images/k2603corbel-morana.pdf

    Aristophane ne propose pas un tableau naïf et simpliste de l’utopie réduite au matérialisme jouisseur d’un Pays de Cocagne. Il subvertit au contraire les codes de l’utopie et déjoue les attentes du public en mettant en scène une utopie politique foncièrement ambivalente qui balance constamment entre eutopie et dystopie, et en proposant un modèle alternatif qui n’en est pas un puisque Coucouville-les-Nuées n’est en définitive qu’un reflet de la réalité athénienne.

    Le concept même d’utopie est ainsi questionné et problématisé. L’utopie comique met en effet à l’épreuve non seulement les modèles utopiques imaginés par les penseurs contemporains (en l’occurrence, l’état / État de nature des sophistes), mais aussi le modèle corrompu de l’Athènes réelle. Sans être tout à fait renvoyés dos à dos (car si le poète polémique contre l’Athènes existante, il ne va pas jusqu’à remettre radicalement en cause le cadre théorique de la polis), ces deux repoussoirs sont jaugés à l’aune de l’idéal perdu de la Cité-kosmos et de ses valeurs qui se trouve ainsi réaffirmé par la Comédie.

    #théâtre #comédie #parodie #utopie #dystopie

  • « Pourquoi j’ai décidé de rejoindre #Acrimed », par Michel Onfray
    http://www.acrimed.org/Pourquoi-j-ai-decide-de-rejoindre-Acrimed-par-Michel-Onfray

    Je tiens d’ailleurs à rendre ici hommage aux rares médias audiovisuels alternatifs qui ont osé braver la censure et m’ont invité à m’exprimer dans leurs émissions dissidentes au cours de l’année écoulée :

    « Les Grandes gueules » (RMC), « Des paroles et des actes » (France 2), « On n’est pas couché » (France 2), « La matinale » (France Inter), « Salut les terriens » (Canal +), « Bourdin Direct » (RMC), « Le Petit journal » (Canal +), « Vivement dimanche prochain » (France 2), « Le club de la presse » (Europe 1), « Ce soir ou jamais » (France 2), « Le Grand journal » (Canal +), « C à vous » (France 5), « Zemmour et Naulleau » (Paris première), « 28 minutes » (Arte), Interview par Ruth Elkrief (BFMTV), « La bande originale » (France Inter), « Qu’est-ce qui vous fait courir ? » (Sud Radio), Interview par Audrey Crespo-Mara (LCI), « La voix est libre » (France 3), « Les grandes questions » (France 5), « Le 360 » (BFMTV), « L’invité du soir » (Radio classique), « La grande librairie » (France 5), « Europe 1 week-end » (Europe 1), « Passion classique » (Radio classique), « Les menus plaisirs » (France musique), « Une fois pour toutes » (France culture), « Autour de la question » (RFI), « Partons en live » (France inter) [1].
    Merci également à France Culture qui m’a accordé 50 heures d’antenne entre le 27 juillet et le 28 août, avec deux diffusions quotidiennes de mes cours de « Contre-histoire de la philosophie », et qui m’offre une chronique hebdomadaire (« Le monde selon Michel Onfray »).

    Chacun peut ainsi mesurer, preuves à l’appui, l’ampleur de la censure. Or, comme le disait fort justement le grand Friedrich Nietzsche, « une société qui veut faire taire Michel Onfray est une société qui va mal ».

    • Michel Onfray : « Rien, sinon lui-même... » | Michaël Fœssel, Revue ESPRIT, 25/09/2015
      http://esprit.presse.fr/news/frontpage/news.php?code=387

      Après s’être longtemps réclamé de l’hédonisme, Onfray ne prend même plus la peine de promettre à ses auditeurs le plaisir par la pensée. On ne peut plus dire de lui qu’il appartient à la tribu des philosophes populaires qui offre la joie avec Spinoza ou la sagesse avec Socrate. Tous ceux qui l’ont écouté sur France Culture cet été (ils sont nombreux) se rendent compte qu’Onfray n’offre en réalité que des détestations et des raisons de ne pas lire. Ses « cours » de « l’Université populaire » de Caen ne font droit à aucun enthousiasme, aucune passion positive. Au contraire, on assiste médusé à une suite ininterrompue de ricanements sur le verbiage des heideggeriens, l’abstraction des structuralistes, le délire verbal des lacaniens, etc. Selon Onfray, la pensée de Foucault serait la formalisation de ses goûts d’inverti sado-masochiste, celle des deleuziens tiendrait tout entière dans une apologie de la pédophilie, même Jankélévitch ne mériterait plus d’être lu maintenant que (heureusement selon Onfray) l’obsession de la Shoah s’éloigne de nous.

    • @reka ce « microcosme », comme tu dit, a quand même une portée métonymique et par là dit quelque chose de la totalité il me semble, c’est l’écume (ou les surfeurs, comme on voudra) d’une vague submergeante. Misère intellectuelle, gouvernement par la trouille, concurrence générale, défense « identitaire » ne sont pas l’apanage de ces sinistres bouffons.

    • Quand les polémistes supplantent les politiques
      http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/09/26/quand-les-polemistes-supplantent-les-politiques_4772819_823448.html

      « Zemmour président ! » C’est la couverture de l’hebdomadaire Valeurs actuelles... (...)

      « Cher Michel Onfray, assumez vos idées et présentez-vous à la présidentielle ! » C’est le titre de la tribune que Philippe Guibert a publiée sur Slate.fr deux jours après le passage du philosophe dans « On n’est pas couché », sur France 2, le 19 septembre. « Pour l’instant, vous prétendez attendre une éventuelle personne de la société civile. Mais c’est évidemment vous. Vos amis vous en ont peut-être déjà soufflé l’idée, vous hésitez, conscient des risques et des difficultés, ce qui prouverait deux fois votre sagacité : la lucidité sur les risques, l’envie qui vous taraude. »
      Guibert n’est pas n’importe qui. De 2012 à 2014, il dirigeait le service d’information du gouvernement (SIG). Aujourd’hui « simple consultant », il analyse la « présence de plus en plus politique » d’un Zemmour ou d’un Onfray comme un symptôme. « La défiance est devenue telle que beaucoup de Français estiment désormais que les professionnels de la politique ne sont plus les mieux à même de gouverner », explique M. Guibert. Face à la complexité du monde, aux échecs de l’euro ou des politiques publiques, comment s’étonner que « les intellectuels prennent la place des politiques » ? « Ce que révèle le rôle grandissant de ces intellectuels, c’est à la fois le caractère moribond des partis et l’appauvrissement général de la parole politique », juge le spin doctor. Une sorte d’antiparlementarisme à la mode postmoderne, qui consacrerait des « intellectuels médiatiques » aussi avides d’émissions populaires qu’ils se montrent sévères avec les chapelles journalistiques de « l’élite », comme ils disent.

    • La petite usine de Michel Onfray (un peu comme Soral en fait)
      https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/110615/la-petite-usine-de-michel-onfray?onglet=full

      Il est omniprésent ces jours-ci. Onfray, en héros de la liberté contre les bien-pensants, ferraille à tout-va en empruntant quelques chemins nauséabonds. Il mobilise un quarteron d’intellectuels médiatiques, un meeting est même annoncé ! Initialement publiée dans la Revue du Crieur, nous republions notre enquête sur Michel Onfray. L’homme qui « secoue la France », dixit Le Point, est surtout un habile entrepreneur de soi.

      Désolé @reka j’espère que tu vas pas me bloquer. La vie microcosmique, ça se documente aussi, pas de mépris pour les petits organismes : )

    • @colporteur et @thibnton je n’ai pas de problème particulier avec ces imposteurs et ce petit monde opportuniste, je trouve simplement gonflant de voir revenir en permanence ces « dénonciations » qui n’apportent rien, qui ne nous apprennent rien, et qui ne concernent qu’une infime fraction de la société, la part immense de la société est à ds millions d’années lumières de ces considérations. Contrairement à ce que vous avez l’air de dire, je pense (mais peut-être que je me trompe, je n’ai pas de stats) que ces faux débats contre les ces pseudos-intellectuels et les idées qu’ils véhiculent n’ont aucun impact, ni sur les gens, ni finalement sur les politiques sociale etc... qui sont concrètement décidées, mis en place, « implémentées » (ne ne connais pas l’équivalent français) et que le mieux serait des les ignorer. Par ailleurs, Ceux qui se scandalisent - à juste raison - des comportements de BHL (on se fout de sa gueule depuis 40 ans, alors franchement, rien de nouveau), Finkielkraut, E. Levy, etc... perdent leur temps à analyser, décrypter le moindre de leur propos débilissimes et sans intérêt alors que justement, il tiennent ces propos pour exister à 200 % dans la « société du spectacle », dans un truc complètement artificiel et sans intérêt. Et eux, en face, ils sont assez content, ils jubilent parce que plus ils sont obscènes, et plus ils sont visibles.

      Par ailleurs, c’est assez sélectif et pas très courageux comme processus puisque tous ceux qui sont à la pointe de la critique et qui prennent du plaisir à démolir ces pantins pathétiques oublient aussi de démolir, quand ils le mérite, leurs propres patrons dont les comportements et les idées ne valent pas tellement mieux. Donc pour moi, en plus, c’est pas trop crédible. Critiquer et démolir ce petit microcosme arrogant ne sert à rien, sauf peut-être se faire un petit auto-plaisir narcissique (aussi narcissique que ceux qu’ils dénoncent) entre copains (ah la la tu as vu comme je l’ai bien détruit, la, Finkie [ou Fourest] ha ha ha). C’est une approche étroite et qui finalement est même récupérée et intégrée - sans que vous vous en aperceviez - dans les plans médias de ces mecs !

      Mais bon, après tout chacun a ses petit traumatismes et je peux comprendre qu’on s’accroche désespérément à référencer et analyser systématiquement les conneries abyssales de cette tourte petite humanité minable (dont je crois qu’elle ne mérite même pas les minables critiques dont elle fait l’objet), mais moi ça m’emmerde et moins je les rencontre sur les réseaux, mieux je me porte.

      Je n’ai pas toujours pensé comme ça et je ne sais pas comment je penserai ce problème dans quelques semaines ou quelques mois, mais j’ai envie de dire qu’il y a vraiment d’autres urgences et qu’on aurait besoin, en priorité de travailler sur des questions un peu plus universelles et généreuses.

    • Puisque de stats et donc de quantification il est question, lorsque certains dvd de la université « populaire » du proto fasciste Onfray se vendent à plus de 500 000 exemplaires ( ce qui est quand même important au regard des 2 millions de clics gratos chez Dieudonné/Soral) on peut pas faire comme si cela ne témoignait pas d’une ambiance collective, d’une corruption de la sensiblité. La société « du spectacle » serait-elle sans intérêt, ce dont je doute, qu’il n’en resterait pas moins absurde d’ignorer ses manifestations et effets, aussi insupportables soient ils. Cela donne effectivement donne envie d’aller voir ailleurs (dans son jardin, chez ses potes, vers telle ou telle passion). Si je partage la sensation de dégout que suscite cette scène, ce n’est pas sans colère. De plus, la désertion du champ reviendrait à le laisser à l’ennemi. Comment inventer un autre espace public que celui que l’on nous impose ? Cet « espace public » totalement frelaté, par quoi est il remis en cause ? S’agit pas tant de « dénoncer » (il y’a des poukaves pour ça) que d’envisager des moyens de casser cette hégémonie.

    • J’aurai tendance à être plutôt d’accord avec ce point de vu (ne laissons pas le champs libre à l’ennemi). Je me rends compte que dans la « résistance » à ce mouvement « spectaculaire » soit s’attache à démolir sans rien proposer, soit propose des alternatives vraiment pas intéressantes. Autant le monde selon Onfray et assimilés ne fait vraiment pas envie, et je suis entièrement d’accord avec ce que tu dis, autant le monde proposé (et même déjà « appliqué ») par ceux qui les dénoncent ou les démolissent - et je frémis à cette idée pour en avoir fréquenté quelques uns de près - n’est pas franchement plus enviable. Et quand tu as d’un côté le monde effrayant des Onfrays et de l’autre celui qui ne vaut vraiment pas mieux de leurs opposants, y a de quoi être un peu désespéré.

      Sans compter l’effet de « tu soutiens un mouvement auquel tu crois et paf ! un jour tu découvres que ce sont aussi - dans leurs méthodes - des fachos manipulateurs ».

      Va donc inventer la vie qui va avec après ça ! :)

  • Friedrich Nietzsche et la cruauté de la relation créanciers débiteurs dans la généalogie de la morale
    http://www.lesauterhin.eu/friedrich-nietzsche-et-la-cruaute-de-la-relation-creanciers-debiteurs-da

    L’accord européen sur la Grèce est un tel défi au bon sens qu’il fait vaciller la raison. Vite un bouc émissaire ! Tiens un casque à pointe qui passe ! Il tombe bien celui-là… Brouillage de l’esprit. Source : Le SauteRhin

    • C’est vrai que l’explication religieuse a ses limites, mais... y a pas un livre qui s’appelle « l’éthique protestante et l’esprit du capitalisme » ? Et si Nietzsche prend les Juifs comme point de départ du renversement des valeurs ("les derniers seront les premiers"), la fameuse victoire des esclaves sur les seigneurs, j’ai toujours eu l’impression que cette vision « chronologique » (généalogique en fait) avait des limites. Que les Juifs, comme premiers monothéistes, soient responsables « généalogiquement » de la prise de pouvoir de cette saloperie de morale monothéiste, franchement, je sais pas trop (et à vrai dire, on s’en fout de qui a commencé)... L’impression que le père Nietzche visait plutôt à détruire son propre protestantisme de fils de pasteur en s’attaquant à ça... Sans oublier le contexte anti-sémite du moment...

      Et puis, franchement, à part le délire religieux, je ne vois comment on peut encore croire à un tel programme :

      Efficient governments that can pay their bills are an essential precondition for economic growth. Only then can thy (sic) provide a good regulatory framework for businesses and ensure that their citizens enjoy essentials like a good education.

      http://seenthis.net/messages/392338

      #religion #monothéisme #protestantisme #morale #valeurs

    • Hum ! Vous récusez l’explication par l’éthique du protestantisme, mais vous convoquez Nietzsche – dont l’analyse est certes éclairante – et les mânes des anciens germains pour expliquer la politique du capitalisme allemand aujourd’hui. Faut-il rappeler qu’en Grèce antique, comme à Rome, une dette non remboursée conduisait à l’esclavage ? La démocratie athénienne a été fondée sur l’annulation de cette règle et les succès politiques de César ne s’explique pas seulement par ses talents militaires, mais aussi parce que l’annulation des dettes figurait à son programme. Plus prés de nous, la compagnie des Indes anglaises, puis les banques françaises et hollandaises ont utilisé l’arme de la dette pour constituer leur empire colonial. Ex : la Tunisie, l’Egypte, Bali… Ce qui est plus difficile à admettre, mais qui n’aurait certainement pas étonné Nietzsche, c’est que l’impérialisme allemand soit en train de se construire aujourd’hui un empire colonial au sein de l’Europe, réalisant par la dette ce qu’il n’a pas réussi par les armes. Chocking, isn’t ?

      http://www.lesauterhin.eu/friedrich-nietzsche-et-la-cruaute-de-la-relation-creanciers-debiteurs-dans-la-genealogie-de-la-morale/#comment-660

    • En y repensant, pour moi, l’étymologie, c’est comme l’astrologie et en fait, c’est un article d’astrologue ce truc.

      La focalisation exclusive sur la dette ne fait que renforcer son pouvoir sur les esprits.

      hahaha... Nan mais oh ? Comme si on avait choisit d’apprendre ce que sont des swaps à la vanille ? Comme si on était jouasse de se taper Nietzsche et Lazarato pour comprendre cette merde de rapport de dette ? On focalise pas mon gars, simplement tes « oikos » et tes « nomos » bidons, qui voudraient nous rappeler à une saine économie bien familiale, ça nous fait une belle jambe...

      la focalisation sur l’Allemagne seule responsable de …à peu près tout, ne fait que renforcer son pouvoir sans même qu’elle ait à chercher l’hégémonie,

      mouahaha, c’est vrai ça tiens, en fait, c’est tout de notre faute #intériorisation...

      Moi je soupçonne ce saute-rhin de #protestantisme_radical, voilà c’est dit.

      #'nimportequoicetrucenfait

  • Autour d’une cosmologie de l’énergie
    http://www.larevuedesressources.org/autour-d-une-cosmologie-de-l-energie,2800.html

    Si la modernité a été portée par l’Histoire, par quoi la postmodernité l’est-elle — qui a pu être définie comme l’ère de la fin des grands récits : Histoire, religions, mythe du Progrès ? Il y a plus d’un siècle, Friedrich Nietzsche avançait au bord de l’abîme temporel de l’éternel retour et y sombrait. La dimension spatiale — ou topologique — de la pensée l’emporta tout de même sur la dimension temporelle chez Nietzsche et Rimbaud. La question est moins de se pencher sur les abîmes du temps que d’ouvrir des (...)

    #Kenneth_White

    / #Kenneth_White, #Entretien, #géopoétique, Institut international de géopoétique / International Institute of (...)

    #Institut_international_de_géopoétique_/_International_Institute_of_Geopoetics

  • Concerts : Flying Robot Rockstars ; le premier morceau - Also sprach Zarathustra, Friedrich Nietzsche, Richard Strauss -, repris dans le 2001 de Kubrick et qui servait d’entrée en scène à Elvis pour le concert à Hawaii en 1973 !
    https://www.youtube.com/watch?v=Qlqe1DXnJKQ


    https://www.youtube.com/watch?v=xqBiE0nUnMM

    https://www.youtube.com/watch?v=ct4bFKwZJRo

    #musique #robots #zarathustra #kubrick #elvis

  • Nietzsche’s Enlightenment: The Free-Spirit Trilogy of the Middle Period, Franco
    http://press.uchicago.edu/ucp/books/book/chicago/N/bo11674483.html

    http://press.uchicago.edu/dms/ucp/books/jacket/978/02/26/25/9780226259819.jpeg

    While much attention has been lavished on Friedrich Nietzsche’s earlier and later works, those of his so-called middle period have been generally neglected, perhaps because of their aphoristic style or perhaps because they are perceived to be inconsistent with the rest of his thought. With Nietzsche’s Enlightenment, Paul Franco gives this crucial section of Nietzsche’s oeuvre its due, offering a thoughtful analysis of the three works that make up the philosopher’s middle period: Human, All too Human; Daybreak; and The Gay Science.

    #livre #nietzsche #philosophie #aufklärung via @prac_6

  • Max Stirner — encore et toujours un dissident
    http://www.lsr-projekt.de/poly/frinnuce.html

    Friedrich Nietzsche, le second grand "vainqueur" de #Stirner, est né l’année (et le mois même) de la parution de »L’Unique« . Toutefois, le jeune-hégélianisme dans son ensemble était déjà considéré partout, du temps de sa jeunesse, comme une #philosophie manquant de sérieux, comme les élucubrations de quelques maîtres de conférences chassés de l’Université et de journalistes tapageurs d’avant les journées de mars 1848. Le jeune Nietzsche pourtant, dégoûté par la "sénilité" de ses condisciples, vanta dans une lettre ces mêmes années 40 comme une "époque de grande activité de l’esprit", à laquelle il aurait aimé participer lui-même. Le contact direct avec un vétéran jeune-hégélien orienta aussi le futur philosophe. Au mois d’octobre 1865, Nietzsche rencontra longuement et intensivement Eduard Mushacke, un ancien membre du cercle intime de Bruno Bauer, qui avait été lié d’amitié avec Stirner. Cette rencontre eut pour conséquence immédiate une profonde crise intellectuelle et la décision panique de "se tourner vers la philologie et Schopenhauer".