• Les 400 culs : C’est une fille ou un garçon ?
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2011/10/il-y-a-des-filles-qui-d%C3%A8s-le-plus-tendre-%C3%A2ge-ressem

    Depuis qu’il ressemble à un homme, avec sa barbe, ses tatouages, ses muscles, sa poitrine et ses hanches viriles, il se fond dans la masse de ceux qu’il considère comme les “dominants” avec l’impression curieuse d’avoir retourné sa veste. “Transitionner, devenir homme et commencer à apprécier les privilèges du masculin a été très perturbant, avoue-t-il. C’était comme explorer un monde auquel je n’avais jamais eu accès et dont je n’avais jamais fait partie. Je pense que la plupart des hommes qui n’ont pas eu d’expérience transgenre ne réfléchissent même pas à ce qu’est le privilège du masculin… Je pense que le simple fait de marcher dans la rue et de se sentir en sécurité est un privilège masculin.” Rocco a beau dire ouvertement qu’il est trans, lorsqu’il sort dans la rue, pour les passants, il est un mec plutôt très viril et dans les commerces c’est à lui que les vendeurs s’adressent sur un ton nettement déferent. Rocco a beau s’en défendre, même sa petite copine est plus respectée quand elle sort avec lui. Avant, elle n’était qu’une lesbienne. On l’insultait. Maintenant, c’est une “fille bien” : elle s’est trouvée un “vrai mec”. Beaucoup de trans-boys se retrouvent malgré eux dans ce genre de situation. Du moment qu’ils se plient aux règles de ce monde qui veulent qu’un homme, un vrai, s’assoit en écartant les cuisses et marche dans la rue comme si elle lui appartenait, les voilà qui deviennent le gendre idéal.

    #trans #genre

  • Il ne faut pas mélanger les garçons et les fillettes (Les 400 culs)
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2011/10/il-ne-faut-pas-melanger-les-gar%C3%A7ons-et-les-fillettes.htm

    La soi-disante “tradition” du rose pour les filles et du bleu pour les garçons n’apparaît que très récemment dans la culture occidentale. En ce qui concerne les enfants, il n’y a d’ailleurs, pendant des siècles, aucune différence de couleur : les bébés sont, sans distinction, emmaillotés dans des linges délavés, la tête couverte d’un bonnet et le corps engoncé dans un fourreau de petite momie… Au 18e siècle, comme pour confirmer la valeur "neutre" des enfants, leur couleur devient le blanc, comme celle des vieillards, parce qu’ils appartiennent, aux deux extrêmités de la vie, à ce monde liminal qui est celui de l’innocence. (...) Source : Les 400 culs

  • Les 400 culs : Il faut coucher pour réussir, ma fille
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2011/10/il-faut-coucher-pour-reussir-ma-fille.html

    Rappelons que Catherine Hakim travaille à la London school of Economics, qui forme les battants et les super-winner : on se doute que la sociologie ici pratiquée relève surtout du coaching. Tous les moyens sont bons dans cette école de l’ultra-libéralisme. Y compris gérer sa sexualité dans le cadre d’un plan-carrière… Le féminisme de Catherine Hakim est donc profondément marqué par cette idéologie du rendement à tout prix : pour elle, les femmes ne devraient prendre conscience de leurs pouvoirs que pour obtenir des avantages matériels, dans le cadre de rapports de force économiques et politiques. Ce point de vue est vulgaire, mais il est indéniable que dans les faits, ça marche : les gens beaux réussissent effectivement mieux dans la vie. Les gens qui semblent avoir une vie sexuelle bien remplie dégagent également plus de charisme et se distinguent du lot : on leur prête plus d’attention. Il est certain que cela joue en leur faveur sur le plan professionnel. “On peut d’ailleurs chiffrer le prix de la beauté, raconte Sonia Arnal, dans un article consacré au livre de Catherine Hakim : à compétences et formations égales, un bel homme gagne en moyenne 17% de plus que ses collègues moins attrayants”. De nombreuses études ont confirmé ces faits : les personnes de grande taille, aux formes athlétiques, aux traits harmonieux, gagnent mieux leur vie. Et pour cause. Mais de ce simple constat -qui relève presque de l’évidence et qui concerne les deux sexes– Catherine Hakim a tiré des conclusions plus que douteuses : puisque ça marche, profitons-en à fond, suggère-t-elle.

  • Les 400 culs : Il faut coucher pour réussir, ma fille | Agnès Giard (Libération)
    http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/2011/10/il-faut-coucher-pour-reussir-ma-fille.html

    Catherine Hakim, soi-disant “sociologue”, vient de publier un livre qui fait controverse : Honey Money, the power of erotic capital. Traduction : “Tu me donnes la trique, je te donne du fric. Le pouvoir du capital érotique”. J’avais déjà parlé de cette notion plus que douteuse de “capital érotique” dans un article de 2010. Les idées pernicieuses de Catherine Hakim soulèvent une nouvelle vague d’indignation. Non contente d’affirmer qu’il est normal de réussir en jouant de ses charmes, la britannique enfonce le clou en prétendant qu’elle est féministe. Féministe ?? “Les femmes n’ont pas encore appris à exploiter la mine d’or qu’elles sont”, explique-t-elle, encourageant toutes les femmes à s’habiller sexy, à mettre en avant leurs seins et à onduler des hanches au bureau afin de faire avancer leur carrière. Source : Libération

    • http://www.goetzwidmann.de/joint-venture/index1.html

      Fettes, weißes Fleisch, aufgequolln vom vielen Sitzen,
      der Geruch von Magenbitter, Wurstfinger, die schwitzen,
      grabschen nach dem Telefon, bitte, bitte, schnell!
      Zwischen zwei Terminen kommt die Dame ins Hotel.

      http://www.youtube.com/watch?v=nCvtIULm0Kk

      Götz Widmann - Politiker beim Ficken

      Ich hab in meinem Leben schon ne Menge mitgemacht,
      und auch in manchen Phasen mehr gelitten als gelacht.
      Naja, der Mensch wird älter, erfahrener dabei.
      Mit der Zeit macht man sich dann von manchem Fehler frei,
      entwickelt seine Wege, man baut sich seine Brücken,
      mich zum Beispiel plagte, daß in miesen Augenblicken
      ich mich viel zu leicht verlier, konnt ich nie was gegen machen,
      ich bin einfach zu weich, mir vergeht zu schnell das Lachen.

      All die Jahre hab ich meine Depressionen mitgeschleppt.
      Heute gehts mir besser, denn jetzt kenn ich ein Rezept.
      Immer, wenn´s mich umhaut und mir schwindet der Humor,
      stell ich mir Politiker beim Ficken vor.
      stell ich mir Politiker beim Ficken vor.

      Fettes, weißes Fleisch, aufgequolln vom vielen Sitzen,
      der Geruch von Magenbitter, Wurstfinger, die schwitzen,
      grabschen nach dem Telefon, bitte, bitte, schnell!
      Zwischen zwei Terminen kommt die Dame ins Hotel.
      Sie macht es sehr professionell, muß aber doch ein bißchen reiben.
      Wie sie es dann treiben könnte ich hier zwar beschreiben,
      doch ich lass es lieber bleiben, das wär a überzogen
      und du b um den Spaß, dirs selber auszumaln, betrogen.

      All die Jahre hab ich meine Depressionen mitgeschleppt.
      Heute gehts mir besser, denn jetzt kenn ich ein Rezept.
      Immer, wenn´s mich umhaut und mir schwindet der Humor,
      stell ich mir Politiker beim Ficken vor.
      stell ich mir Politiker beim Ficken vor.

      Manche können da nicht lachen, drum zum Ende von dem Ganzen,
      die Strophe für Emanzen und die andern zarten Pflanzen.

      Ficken, zugegeben ist kein elegantes Wort.
      Wenn ich nicht sexistisch wäre, ließe ich es fort.
      Ein Mensch mit Stil und Sitten würd es sicherlich ersetzen,
      um vielleicht nur halb so viel Gefühle zu verletzen.
      Aber denk dir Angie Merkel, hör sie stöhnen, hör sie schrein.
      Also mir fällt jedenfalls kein bessres Wort als Ficken ein.

      All die Jahre hab ich meine Depressionen mitgeschleppt.
      Heute gehts mir besser, denn jetzt kenn ich ein Rezept.
      Immer, wenn´s mich umhaut und mir schwindet der Humor,
      stell ich mir Politiker beim Ficken vor.
      stell ich mir Politiker beim Ficken vor.
      Stell ich mir Politiker beim Ficken vor!!!