company:just

  • Hacker jailed for selling Asda and Uber customers’ data on dark web
    https://www.theguardian.com/technology/2018/may/25/hacker-jailed-for-selling-asda-and-uber-customers-data-on-dark-web

    ‘One-man cybercrime wave’ Grant West masqueraded as Just Eat to get people’s data A hacker who carried out attacks on a string of companies before selling customers’ data on the dark web has been jailed for more than 10 years. Grant West, 26, carried out cyber-attacks on high street brands including Sainsbury’s, Asda, Uber, Argos and bookmakers Ladbrokes and Coral. He obtained the email addresses of more than 160,000 people and sent them phishing scams masquerading as Just Eat to get their (...)

    #Uber #hacking

    • A l’Elysée, y savaient pas. Il n’ont pas de profil sur Seenthis.

      https://seenthis.net/messages/136243#message136451
      @souriyam

      https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/trafic-d-organes-au-kosovo-la-controverse-carla-del-ponte_472137.html

      A peine quatre mois après avoir quitté ses fonctions de procureur du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), Carla Ponte publie un livre-témoignage, La chasse, les criminels de guerre et moi, où elle évoque son expérience. Sur les huit années passées à ce poste, un élément surtout a suscité de vives réactions.
      Elle glisse en effet dans son ouvrage des informations sur un trafic d’organes prélevés sur des prisonniers serbes par des Albanais du Kosovo. Trafic présumé dans lequel auraient été impliqués, selon elle, des dirigeants de l’actuel Kosovo indépendant, à la fin des années 1990, dont l’actuel Premier ministre Hashim Thaçi.

      http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/04/29/kosovo-cinq-medecins-condamnes-pour-un-trafic-d-organes-international_316837
      Des peines historiques ont été prononcées à Pristina, lundi 29 avril, contre cinq médecins impliqués dans le plus vaste trafic d’organes jamais mis au jour sur le continent européen. La clinique Medicus, au cœur de ce trafic, était située dans la capitale kosovare. C’est donc là qu’a été initiée l’enquête, confiée à Jonathan Ratel, un magistrat international relevant de la mission civile européenne EULEX, qui contribue à l’établissement d’un État de droit au Kosovo.
      Avec implication de Turcs et d’Israéliens :
      Les enquêteurs ont remonté le réseau jusqu’aux pays sources. Notamment en Allemagne, d’où provenaient les fonds d’origine pour la création de la clinique. Un mandat d’arrêt international a été délivré à l’encontre du chirurgien Yusuf Sonmez, surnommé « Docteur Frankenstein » et déjà interpellé pour des faits similaires en 2005, et de Moshe Harel. Celui-ci a joué un rôle clé dans l’organisation du réseau. Arrêté après le raid contre la clinique, il avait été autorisé à rendre visite à sa mère, prétendument malade en Israël, mais n’est jamais revenu au Kosovo.
Les demandes d’extradition envoyées en Turquie et en Israël pour ces deux hommes n’ont pas été satisfaites, car ces pays ne livrent pas leurs ressortissants. Le médecin turc a cependant été entendu à Istanbul en mars 2011.

    • Dick Marty sur le trafic d’organes au Kosovo : « Qui sera assez fou pour témoigner ? »
      https://www.les-crises.fr/dick-marty-sur-le-trafic-dorganes-au-kosovo-qui-sera-assez-fou-pour-temoi

      Devant un public nombreux de l’université de Neuchâtel, où l’émotion des guerres de l’ex-Yougoslavie était bien palpable, Dick Marty, l’auteur du rapport explosif de décembre 2010 sur le trafic illicite d’organes au Kosovo, http://assembly.coe.int/nw/xml/News/FeaturesManager-View-FR.asp?ID=964 s’est exprimé mercredi dans le cadre du « Carrefour de Sarajevo ».

      C’était la première fois depuis des années que Dick Marty, (membre par ailleurs du Conseil de la Fondation Hirondelle, propriétaire de JusticeInfo.net) revenait sur son rapport qui met en cause l’actuel président du Kosovo, Hashim Thaçi. Il accusait celui-ci d’être « l’un des plus dangereux parrain de la pègre albanaise ». Le rapport affirmait que le président du Kosovo et ses proches « ont ordonné, et parfois personnellement veillé au bon déroulement d’un certain nombre d’assassinats, de détentions, d’agressions et d’interrogatoires dans diverses régions du Kosovo et notamment à l’occasion d’opérations menées par l’UÇK sur le territoire albanais, entre 1998 et 2000. »

      Mandaté à trois reprises par le Conseil de l’Europe pour enquêter respectivement sur les prisons secrètes de la CIA en Europe, sur les crimes dans le Caucase du Nord, et sur le trafic d’organes au Kosovo en 1999, Dick Marty a goûté de près au cynisme de la Realpolitik et de la raison d’Etat. Mercredi soir, il a avoué avoir été « ébranlé » par la rédaction de ces trois rapports qui, dit-il, « ont détruit bien des illusions, bien des espoirs que j’avais en la justice : J’ai découvert que les gouvernements mentent, que les gouvernements manipulent l’information, que des hommes ont un double langage, ils parlent le dimanche des droits de l’homme et le lundi matin, ils les bafouent ».

      Revenant sur le rapport lié aux assassinats et au trafic d’organes, dont se sont rendus responsables des responsables de l’UCK (l’armée de libération du Kosovo) et notamment de l’actuel président de la république du Kosovo, Dick Marty s’étonne que l’ex-procureure du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), Carla del Ponte, n’en a fait état que dans son livre paru en 2008, « La traque, les criminels de guerre et moi » ; soit quatre ans après l’échec des enquêtes de ses services pour faire la lumière sur les allégations contenues dans le rapport Marty. « Etonnement » redoublé, raconte Dick Marty, lorsque en 2010, il demande à voir les éléments de preuve que les enquêteurs du TPIY ont récolté sur le trafic d’organes, et qu’on lui dit que « ces preuves ont mystérieusement disparu du bureau du procureur »…

      Pour l’ex-procureur tessinois, la justice sur cette affaire est un leurre : « les Américains ont privilégié la stabilité à court terme. Avec les Européens, ils ont fermé les yeux même s’ils savaient tous parfaitement à quoi s’en tenir sur les têtes du crime organisé au Kosovo et sur les crimes qu’ils commettaient ».
      Dans quelques jours, les Chambres spéciales sur le Kosovo vont devenir opérationnelles et auront pour mandat de poursuivre les auteurs du trafic d’organes mis en lumière par Dick Marty. Mais celui-ci n’attend rien du premier Tribunal jamais créé par l’Union européenne : « Qui, dans ces conditions, serait assez fou pour témoigner vingt ans après les faits ? Beaucoup de témoins ont déjà été assassinés ».

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Dick_Marty
      Dick Marty, né le 7 janvier 1945 à Sorengo, est une personnalité politique suisse. Ancien procureur général du canton du Tessin, député au Conseil des États pendant seize ans 2, il a également été membre de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe pour laquelle il a mené différentes enquêtes qui l’ont fait connaître sur la scène internationale3.

    • http://assembly.coe.int/nw/xml/News/FeaturesManager-View-FR.asp?ID=964
      . . . .
      4. La clinique Medicus
       

      168. Au cours de nos recherches, nous sommes venus à connaissance d’informations qui vont plus loin, par étendue et détails, de ce que nous avons illustré dans ce rapport. Elles semblent indiquer l’existence d’un véritable trafic international criminel d’organes humains, impliquant des complicités dans au moins trois différents pays étrangers (en dehors du Kosovo), pendant plus d’une dizaine d’années. Nous avons notamment récolté des indications crédibles et convergentes qui induisent à conclure que le trafic d’organes qui a eu lieu après la fin du conflit, et que nous avons décrit dans ce rapport est, en fait, étroitement lié à l’affaire contemporaine autour de la clinique « Medicus », avec, du moins en partie, les mêmes acteurs, aussi bien kosovars qu’étrangers. Par respect pour l’enquête et la procédure judiciaire en cours conduite par EULEX et le Bureau du Procureur spécial du Kosovo, nous renonçons, pour le moment, de rendre public les résultats de nos recherches sur cet aspect spécifique. Nous ne pouvons,cependant, que vivement encourager toutes les autorités des pays concernés par l’enquête « Medicus » de collaborer pleinement pour établir la vérité et les responsabilités de ce trafic infâme.

      . . . . .

  • Un dessinateur d’animation palestinien reproduit l’occupation israélienne
    Carol Hills – 8 mai 2017 | News.wgbh | Traduction : JPP pour l’Agence Média Palestine
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2017/05/11/un-dessinateur-danimation-palestinien-reproduit-loccupation-isr

    Le nouveau livre de Sabaaneh s’intitule « Blanc et Noir : dessins animés politiques de la Palestine ». Le titre est en partie une référence à l’occupation par les Israéliens des terres des Palestiniens.

    « Ce qu’il se passe ici, c’est une occupation », dit Sabaaneh. « Quand vous faites face à une occupation, vous devez mettre fin à l’occupation. C’est noir et blanc. Il n’y a pas de zone intermédiaire entre noir et blanc ».

    Son nouveau livre est un appel aux peuples du monde pour comprendre comment l’occupation israélienne limite et diminue la vie quotidienne des Palestiniens.

    Prenez les check-points de sécurité et le mur israélien en Cisjordanie.

    « Vous ne pouvez pas imaginer que si vous voulez allez de chez vous à la maison de votre famille, vous pouvez mettre sept heures pour rejoindre votre maison familiale, alors qu’il ne faut qu’une heure » dit Sabaaneh. (...)

    Crédit : Mohammad Sabaaneh © 2017, avec la permission de Just World Pupblishing LLC.

  • « Ferme des mille veaux » : la SAS Alliance Millevaches fait appel
    https://www.mediapart.fr/journal/france/160816/ferme-des-mille-veaux-la-sas-alliance-millevaches-fait-appel

    Le bras de fer se poursuit entre les soutiens du centre d’engraissement de broutards de Saint-Martial-le-Vieux, dans la Creuse, et l’association L-PEA. Après une victoire symbolique de l’association devant la #Justice, la société porteuse du projet de la « ferme des mille veaux » a fait appel. Le ministère de l’environnement a décidé de garder le silence.

    #France #Conseil_d'état #ferme_des_1_000_vaches #fermes-usines

  • « Ferme des mille veaux » : la SAS Alliance Millevaches faire appel
    https://www.mediapart.fr/journal/france/160816/ferme-des-mille-veaux-la-sas-alliance-millevaches-faire-appel

    Le bras de fer se poursuit entre les soutiens du centre d’engraissement de broutards de Saint-Martial-le-Vieux, dans la Creuse, et l’association L-PEA. Après une victoire symbolique de l’association devant la #Justice, la société porteuse du projet de la « ferme des mille veaux » a fait appel. Le ministère de l’environnement a décidé de garder le silence.

    #France #Conseil_d'état #ferme_des_1_000_vaches #fermes-usines

  • Chasseurs de #dictateurs

    De 1982 à 1990, le peuple tchadien a connu des années de sang et de terreur sous la férule du président #Hissène_Habré. Renversé en 1990, il s’est réfugié au Sénégal. Milosevic, Pinochet… l’#impunité n’est plus de mise pour les dictateurs qui ont employé la torture et le crime pour asseoir leur pouvoir. Mais si la #justice_internationale est en marche, elle se heurte souvent aux réticences de tel ou tel gouvernement, ou au cynisme de la communauté internationale. Une poignée d’hommes, dont #Reed_Brody, l’un des dirigeants de Human Rights Watch, traquent ces dictateurs en rassemblant les témoignages des victimes, en coordonnant le travail des ONG et en menant le lobbying politique nécessaire. New York, Genève, Dakar, N’Djmena, Bruxelles… ce reportage suit Reed Brody dans sa longue traque d’Hissène Habré. Enfin récompensée, puisque le dictateur a été conduit le 15 novembre 2005 devant une cour de justice sénégalaise. Il fait l’objet d’un mandat d’arrêt international de la justice belge qui demande son #extradition.

    http://pierrehazan.com/2014/03/chasseurs-de-dictateurs
    #film #documentaire

  • Nouvelles informations concernant Diablo 3 :

    Diablo 3 intégrera un hôtel des ventes avec de l’argent réel
    http://www.numerama.com/magazine/19478-diablo-3-integrera-un-hotel-des-ventes-avec-de-l-argent-reel.html
    Blizzard a dévoilé de nouvelles informations sur Diablo 3. Le studio américain présente en particulier une toute nouvelle fonctionnalité, l’hôtel des ventes avec de l’argent réel.

    Je me demande comment l’entreprise envisage de gérer les abus, que cela soit du côté des joueurs compulsifs (il ne s’agit pas de les empêcher de jouer, mais de limiter des joueurs — dont des adolescents — de se ruiner) que du côté des excès externes :

    WOW – En Chine, des détenus obligés à jouer à World of Warcraft
    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/05/26/en-chine-des-detenus-obliges-a-jouer-a-world-of-warcraft
    Plus improbable, Liu Daliu, et ses camarades détenus, étaient également obligés à jouer quotidiennement pendant des heures au jeu en ligne World of Warcraft.

    #jeux_vidéo #world_of_warcraft #wow #diablo_3 #blizzard #commerce #ecommerce #hôtel_des_ventes

    • Oh purée, on en vient à imposer de rester connecté en ligne durant un jeu hors ligne ?! Et ça ne concerne pas que Blizzard :

      Ubisoft has to be the king of annoying paying customers. It has recently been announced that Driver: San Francisco will require the player to be online to play the game. [...]
      It’s also worth pointing out that Ubisoft’s servers have been hacked in the past, making certain games unplayable. Ubisoft may claim that piracy has been diminished, and we certainly can’t argue with that assertion given that the company doesn’t share usage data, but this is bad news for people who just want to play the games and don’t have their systems hooked up to an always-on Internet connection.

      Je vois aussi que... le jeu devient un logiciel espion, suivant les heures de jeu en temps réel de la part du joueur. Par ailleurs, qu’adviendra-t-il du jour où Ubisoft stoppera les serveurs de connexion ? Le jeu deviendra injouable ? Quant à la sécurité des données recueillies, ou le respect de la vie privée, on repassera :

      It’s also worth pointing out that Ubisoft’s servers have been hacked in the past, making certain games unplayable. Ubisoft may claim that piracy has been diminished, and we certainly can’t argue with that assertion given that the company doesn’t share usage data, but this is bad news for people who just want to play the games and don’t have their systems hooked up to an always-on Internet connection.
      [...]
      This is something that continually drives me crazy, and it’s only getting worse. You sit down at your computer, log into Steam, launch the game, and then you need to set up another account or log into another service before the game launches. You better set up a dedicated password for each service, as well, because it seems as if everyone in the world has either been hacked or is about be hacked. Everyone wants your personal information, and it seem as if no one has a good way to keep that data safe.

      Pour avoir longtemps bossé dans les jeux vidéo, je comprends malheureusement ce qui arrive, sans pour autant l’accepter.

      Le jeu vidéo est désormais régi par la finance, et habituellement des financiers qui n’ont aucune notion de ce qu’est un jeu vidéo, et que celui-ci est créatif, et que seule la créativité peut amener un succès. Or, la notion même de créativité implique de créer quelque chose de nouveau, encore jamais vu, et donc non testé, et donc représentant un risque. Un risque impossible à évaluer, ou du moins difficile à évaluer. Du coup, les financiers rachètent des boîtes ayant eu un jeu à succès et considèrent qu’ils ont trouvé la poule aux œufs d’or, montent les budgets de manière ingérable pour des équipes non prévues pour, et exigent des suites à gogo, s’étonnant qu’au bout de deux ou cinq ans, rien de très intéressant ne sort, et que la rentabilité est désastreuse, changeant la direction des studios tous les deux ans, voire tous les ans, virant les équipes en masse, plombant le moral des créatifs.

      Pour en revenir aux jeux PC abordés dans l’article d’Ars Technica, un problème majeur de pose. La quasi-totalité du marché PC est drainée vers un seul titre : World of Warcraft (WoW). Celui qui a un compte WoW n’a ni le temps, ni le budget d’acheter d’autres jeux vidéo. Tout au plus il peut acheter d’autres jeux Blizzard. Et, peut-être, une poignée d’autres titres, des franchises déjà bien établies. Difficile alors de débarquer avec un titre à succès.

      Pourtant, la quasi-totalité des jeux en Occident sont développés sur PC. J’entends par là que le jeu tourne sur PC avant de tourner sur consoles. On utilise comme tout développeur PC ou presque Visual Studio pour compiler un code C++ pour produire un exécutable Windows que l’on débogue sur sa machine dotée de deux ou trois moniteurs, l’un d’entre eux étant habituellement exclusivement réservé au rendu du jeu. Les versions consoles des jeux sont alors développées un peu plus tard, ou en parallèle.

      Le PC a l’avantage d’offrir une configuration musclée apte à supporter un exécutable plus gros, plus lent, dédié à la mise au point des éléments non spécifiques à la plateforme, comme l’IA ou la physique, par exemple. Les consoles de jeu réclament habituellement des kits de développement onéreux et tous les développeurs n’en disposent pas sur leur bureau, d’autant que... eh bien, on rencontre de vrais problèmes d’élimination de la chaleur dans les bureaux des équipes de développement ! Il convient alors d’éliminer les éléments non indispensables.

      Un PC, dans les 350 W, trois moniteurs, dans les 50 W chacun, plus le kit console, 200 W, on arrive à 500-1.000 W par poste de travail. L’été, le travail en devient insupportable, dans des bureaux à plus de 40°C là où la climatisation est tout simplement inadaptée pour éliminer de telles quantités de calories.

      Pourquoi alors ne pas proposer de versions PC ?

      Parce que le marché est effectivement très concurrentiel, car accaparé par quelques titres phares, d’une part, et une myriade de jeux casual grand public gratuits, d’autre part, que le piratage n’en reste pas moins un véritable problème que personne n’a réussi à enrayer, alors que les gens deviennent de plus en plus allergiques aux DRM, et enfin que les coûts de finition d’une version PC ne sont pas toujours évidents à justifier, compte tenu de tous ces facteurs, et il devient alors moins onéreux de laisser une version PC inachevée dans les disques durs que de lancer la production des boîtes, leur distribution, et enfin — surtout — leur marketing.

      #ubisoft #drm #vie_privée #blizzard #marché #développement