• « L’État renie sa parole »L’interview de Victor Cogny, président du Sénat coutumier de Nouvelle-Calédonie
    https://www.off-investigation.fr/__trashed-2

    Dans une interview exclusive, Victor Cogny, le président du Sénat Coutumier de Nouvelle-Calédonie, analyse la situation de “crise” en Nouvelle-Calédonie, et pointe la responsabilité compromettante des politiques français face à cet embrasement. Lire la suite : « L’État renie sa parole »L’interview de Victor Cogny, président du Sénat coutumier de Nouvelle-Calédonie

    #Interviews

  • #Argos Panoptès, l’interview
    https://framablog.org/2024/05/16/argos-panoptes-linterview

    Pour Framaspace, Framasoft a fait développer un outil de #Supervision de sites web nommé #Argos_Panoptès (ou juste Argos pour aller plus vite). Développé par Alexis Métaireau, développeur entre autres du générateur de site statique Pelican, et de l’outil de … Lire la suite­­

    #Dans_notre_archipel #Frama.space #Interviews #Le_coin_tech #Outils_émancipateurs #Adminsys #Code #Interview #PostgreSQL #Python

  • Acquitté, Mimmo Lucano rêve de propager le modèle d’accueil de son village à travers l’Europe

    Lourdement condamné en septembre 2021 pour « association de malfaiteurs aux fins d’immigration irrégulière », l’ancien maire calabrais Mimmo Lucano a été presque totalement blanchi par la justice le 12 avril. Il salue une « #victoire_morale » et se présente aux élections municipales et européennes qui se tiendront en juin.

    L’ancienL’ancien maire de Riace garde le sourire, malgré le véritable « périple judiciaire » qu’il a dû traverser ces dernières années. Domenico Lucano, que tout le monde surnomme « Mimmo », insiste : sa propre personne ne compte pas. Il regrette surtout que l’image de Riace, petite commune de Calabre où il vit, et dont il a été le maire entre 2004 et 2018, ait été entachée par les accusations dont il a fait l’objet.

    À travers son acquittement récent, et quasi total, il estime que l’accueil de l’autre est enfin reconnu « comme une solution et une renaissance », notamment pour les terres désertées par la population. « C’est avant tout une victoire morale », souligne-t-il. Ce modèle vertueux d’accueil et de solidarité, ce « Village global » qu’il a contribué à développer au fil des ans, Mimmo Lucano aimerait le voir élargi à toute l’Europe, à l’heure où celle-ci tend plutôt à se barricader.

    Pour tenter d’y parvenir, il a choisi de se présenter aux prochaines élections municipales, à Riace, qui se tiendront en même temps que les élections européennes, pour lesquelles il est également candidat sur une liste d’alliance entre les Verts et la gauche italienne. « Ce qu’on voudrait, c’est une nouvelle Europe qui deviendrait le salut du monde. Pas celle des barbelés, dont les politiques ont provoqué la mort de dizaines de milliers de personnes », dit-il. Entretien.

    Mediapart : Vous sortez d’un sacré feuilleton judiciaire…

    Domenico Lucano : Oui. Un périple judiciaire. C’est mon histoire, mais c’est surtout celle d’une petite communauté, celle de Riace. Un petit bout de la périphérie européenne, avec sa mer Méditerranée, une sorte d’autoroute des pays arabes vers l’Europe. Mais c’est aussi la mer de la tragédie du monde. La Méditerranée a malheureusement changé de couleur, passant du bleu, du vert, au rouge, la couleur du sang. Le sang de beaucoup d’hommes et de femmes qui ne sont pas arrivés au bout de leur chemin. La mer est devenue un piège à leur tentative de bonheur. Elle a pris la couleur de la mort. Au cœur de l’histoire de Riace, il y a surtout un combat, devenu très médiatique, pour l’accueil de l’autre et pour un idéal politique différent.

    Beaucoup de réfugiés afghans fuyant les talibans sont arrivés en Calabre. Je pense aussi à cette tragique nuit d’hiver, le 26 février 2023, durant laquelle les secours ne sont pas venus. Le ministère de l’intérieur a organisé l’arrivée de la douane plutôt que celle des gardes-côtes, qui avaient pourtant les moyens de les sauver. Quatre-vingt-quatorze personnes ont perdu la vie, après avoir passé cinq jours en mer, dont beaucoup d’enfants. En 2022, l’actuel ministre de l’intérieur a utilisé ces mots terribles s’agissant des migrants : il s’agit de « charges résiduelles ». Le gouvernement italien fêtait l’anniversaire de Salvini pendant que les familles pleuraient leurs morts. C’est sans doute le moment le plus déplorable. Il ne sert à rien d’être parmi les grandes puissances mondiales ou de surveiller sa croissance économique quand on est capables d’un tel cynisme face à la vie humaine. La droite a montré son vrai visage.

    La droite et l’extrême droite ?

    Je crois qu’il n’y a pas de différence en Italie. « Extrême » est un adjectif, mais la droite est le lieu commun de la déshumanisation. On a vu différentes tentatives du ministère de l’intérieur pour empêcher les migrants de débarquer en Italie. Le paradoxe, c’est de constater qu’un gouvernement indigne, qui s’illustre par son inhumanité, grimpe dans les sondages. Faire face à ce gouvernement en Italie, en usant d’une parole libre, ne provoque en retour que des coups de matraque. C’est du jamais-vu. Il y a une dérive de la droite en Italie.

    Ce contexte politique vous a aussi valu une lourde condamnation en 2021 – 13 ans de prison et 500 000 euros d’amende, pour « association de malfaiteurs aux fins d’immigration irrégulière ». Comment l’avez-vous vécue ?

    Le 4 octobre 2018, à l’aube, j’ai vu des voitures arriver chez moi pour m’arrêter. Cela a marqué le début d’une histoire hallucinante, qui a duré presque sept ans. Quand j’ai été condamné en première instance le 30 septembre 2021, le sentiment qu’il s’agissait d’un procès politique s’est vite propagé en Italie. On m’a contraint à m’éloigner de Riace durant onze mois, alors que j’avais donné ma vie pour cette terre. Il y a eu une manifestation d’ampleur à Rome, un ex-sénateur a lancé une collecte de fonds destinée à régler l’amende dont je faisais l’objet.

    La collecte a rencontré un succès fou. Mais je lui ai dit que je n’en voulais pas. Je voulais simplement continuer d’accueillir les réfugiés à Riace, et on a construit le « Village global », avec une crèche pour 12 enfants immigrés et plein d’activités. On a tout fait pour continuer de faire exister ce monde-là. J’ai donc vécu cette condamnation avec sérénité, parce que j’ai pu profiter de la solidarité de la population italienne et du reste du monde, qui se raccrochait à la seule perspective de la fraternité.

    Je suis conscient que le fait qu’un petit village de Calabre puisse devenir un exemple pour l’accueil des personnes exilées a beaucoup gêné. Le modèle « Riace » a fait peur au système néolibéral. Mais l’ennemi n’est pas l’étranger ou celui qui lui vient en aide : ce n’est autre que cette nouvelle vague de fascisme qu’il y a en Europe et dans le monde, qui ne cherche qu’à fermer les frontières et à créer des forteresses. Je regrette d’avoir vu après tant d’années de propagande une forme d’égoïsme s’installer dans l’esprit des gens, tel un consensus politique.

    Comment vous sentez-vous aujourd’hui, après cette réhabilitation par la justice ?

    Je vais bien. Deux de mes enfants sont à Rome, le troisième habite avec mon épouse, et je suis seul à Riace. La plupart de mes proches ont vécu l’acquittement comme une libération. Au niveau local, il y a eu une solidarité immédiate, y compris de la part de personnes qui ne partageaient pas ma vision politique. Mais le plus merveilleux dans cette fin de feuilleton, ce n’est pas l’acquittement en soi, ce sont les motivations des juges. Ces derniers ont attendu 90 jours pour les rendre publiques et signifier au reste de monde qu’on ne touchera pas au message politique pour lequel je me suis battu.

    Ils ont rétabli la vérité et confirmé que je n’avais pas pensé à profiter une seconde du système d’accueil que j’avais mis en place à Riace, ni que j’avais pu m’enrichir par ce biais. Ce n’est donc pas un acquittement technique ou juridique. C’est un acquittement moral. Et pour la première fois dans l’histoire des migrations, l’immigration en Italie peut enfin être regardée sous une lumière totalement opposée à celle proposée par certains politiciens. L’accueil de l’autre est enfin reconnu comme une solution et une renaissance. C’est avant tout une victoire morale, et cela vaut plus que tout.

    Vous avez fait le choix de revenir en politique, en vous présentant aux municipales à Riace mais aussi aux européennes, sur la liste des Verts et de l’Alliance de gauche (Alleanza Verdi e Sinistra) – élections qui se tiendront toutes deux les 8 et 9 juin prochains. Est-ce que votre acquittement a joué dans votre décision ?

    Non, car je n’ai jamais perdu ce désir d’engagement politique. La politique, pour moi, se résume à l’espoir, et je n’ai jamais été fatigué à l’idée de continuer d’espérer. Dès le départ, le Village global a été conçu comme un laboratoire politique au niveau local. Cela a d’ailleurs été l’opportunité de multiples réunions, prises de décision collectives et autres activités communes. C’est dans cette démarche que nous avons donc voulu réunir la gauche au-delà du Parti démocrate (Partito Democratico), dont Elly Schlein est la secrétaire.

    Ça n’a pas été facile. Les responsables du parti n’en ont pas tenu compte, alors on a trouvé une coalition a gauche du Parti démocrate. Les Verts et l’Alliance de gauche italienne m’ont demandé si je voulais participer aux européennes. Et avec tous les camarades de Riace, on a dit oui. C’était une envie partagée, parce que les positions qu’ils défendent contre la guerre, en faveur de l’accueil des exilés ou encore pour une loi pour le salaire minimum en Italie correspondaient à mes choix politiques. Un jour, j’aimerais qu’il y ait un panneau « Village de l’accueil » un peu partout dans les communes d’Europe !

    Mais force est de constater que l’on observe plutôt une politique de rejet en Europe…

    À Riace, on a réussi à l’échelle d’une toute petite réalité. Un village de quatre cents habitants est désormais connu pour sa politique d’accueil. À l’échelle européenne, nous ne serons peut-être plus là pour observer ce changement de paradigme. Mais je suis persuadé que d’une petite chose peut naître une grande chose. Je suis heureux que figure sur notre liste la candidate Ilaria Salis, arrêtée par Viktor Orbán en Hongrie pour son engagement contre le fascisme. Nous avons une histoire similaire, elle se bat pour le respect des droits humains. Lorsque j’ai vu les images d’elle à la télévision, la montrant menottée, j’ai été fier de la savoir à mes côtés dans cette aventure au niveau européen.

    Le pacte migratoire européen a été adopté dans la douleur il y a peu. Êtes-vous inquiet de voir cette politique de repli concrétisée à l’échelle européenne à travers ces textes ?

    Ce pacte est absurde. Je n’en partage pas les objectifs, évidemment. On voit partout des tentatives d’affaiblir le droit d’asile, y compris en Italie, ou de créer des sortes de voies de déportation vers des pays tiers comme l’Albanie, où le respect des droits humains n’est pas garanti. C’est triste quand on voit ce qu’on a été capables de faire à notre petite échelle. Je pense que la droite souffre d’un syndrome de la peur de l’être humain. C’est ce qu’on observe en Italie mais aussi en Europe. Ce qu’on voudrait, c’est une nouvelle Europe qui deviendrait le salut du monde. Pas celle des barbelés, dont les politiques ont provoqué la mort de dizaines de milliers de personnes.

    Pourquoi vous présenter à deux élections, à deux échelles différentes ?

    C’est une question redoutable (rires). Je ne veux pas devenir un bureaucrate. Je mettrai la même conviction à l’échelle européenne et je ne ferai de concession à personne : les profits de la politique ne m’intéressent pas. Et j’ajouterai que paradoxalement, je suis d’accord avec la manière dont Matteo Salvini m’a défini un jour, lorsqu’une personne lui a demandé ce qu’il pensait de moi. Il a répondu : « Il vaut zéro. » Ça me convient assez bien, je considère que je ne suis personne. Ce qui est sûr, c’est que j’ai à cœur de poursuivre mon engagement au niveau local et européen. En Italie, la loi permet d’être à la fois maire et député européen.

    Alors, bien sûr, les possibilités sont multiples : je peux être élu maire de Riace, être élu député européen ou les deux, ou pas élu du tout. Je continuerai dans tous les cas à développer le modèle Riace, et j’aimerais élargir ce modèle d’accueil à d’autres communes en Italie, et à d’autres États en Europe, un modèle en faveur de l’accueil qui permet aussi de contrer le déclin démographique. Et pour aller plus loin, j’aimerais également créer une collectivité de communes qui partagerait une monnaie unique, pour nous permettre de sortir de ce néolibéralisme, qui détruit notre économie et notre démocratie, tout en valorisant le travail fourni au sein de la communauté.

    https://www.mediapart.fr/journal/international/040524/acquitte-mimmo-lucano-reve-de-propager-le-modele-d-accueil-de-son-village-

    #Riace #Mimmo_Lucano #Domenico_Lucano #accueil #réfugiés #migrations #Italie #Calabre #justice #acquittement #entretien #interview #solidarité #criminalisation_de_la_solidarité #villes-refuge #périple_judiciaire #condamnation #réhabilitation #libération #acquittement_moral #engagement_politique

    –—

    Ce fil de discussion est la suite de celui-ci :
    11 octobre 2023, verdict en cour d’appel pour le #procès contre #Mimmo_Lucano, ancien maire de #Riace
    https://seenthis.net/messages/1020950

    signalé par @olaf ici :
    https://seenthis.net/messages/1052451

    ping @_kg_

  • Tinariwen, le message face à la montée de « la peur »
    https://pan-african-music.com/tinariwen-amatssou

    Une interview pas très optimiste de Tinariwen

    Pourquoi avoir baptisé ce disque Amatssou (la peur) ?

    La peur augmente chez nous, dans le désert, notamment au nord du Mali. C’est encore pire qu’il y a dix ans. La présence de Wagner, le nouveau pouvoir en place au Mali, les groupes terroristes, la situation générale des populations, tout s’aggrave.
    Tu n’es pas très optimiste pour le futur…

    Il faudrait pour cela que la population réagisse massivement. Les Touaregs sont très fragiles, de par le monde dans lequel on vit. Le désert n’est pas facile à vivre en pareille situation, avec une guerre qui s’éternise et qui a des conséquences tous les jours. Nous sommes en minorité, on ne peut pas résister longtemps à ce type de problèmes. C’est une menace sur notre culture qui risque de disparaître.

    Cela a brisé l’unité de la communauté ?

    En général, les problèmes provoquent une dispersion, d’autant que s’ajoute une dimension politique, et aussi des ambitions de business. La crise actuelle a aussi permis de souder certains, ceux qui pensent juste à leur dignité, à l’intégrité de leur territoire…

    C’est le rôle de Tinariwen, qui représente quelque chose de plus fort que juste la musique…

    On l’a déjà fait, mais on ne peut pas faire plus. Notre musique reste une mémoire, qui rappelle les souvenirs, un soutien moral qui préserve l’esprit de notre culture. Nous avons vieilli et nous ne sommes plus en mesure de faire plus. Nos chansons ont permis de souder la communauté de ceux qui aspirent à la dignité, et pour beaucoup les écouter rappelle la grandeur de la cause touareg. Des jeunes vont les reprendre et les améliorer, les faire vivre auprès d’autres. Qu’ils soient du Mali, du Niger ou d’Algérie, tous les jeunes Touaregs qui font de la musique jouent dans le même esprit : ils parlent de souffrance, d’exil, même s’ils n’ont pas connu les moments que l’on a traversés.

    Vous continuez malgré tout comme dans ce nouvel album… Vous y croyez encore ?

    Bien sûr. Mais je le répète : on ne peut pas faire plus ! 90% de nos problèmes, toujours pas réglés, sont liés à l’éducation. La plupart des jeunes de la génération 90 ne sont pas allés à l’école, et de fait ils évoquent tout ce que l’on stigmatisait déjà : la souffrance, la marginalisation… Même s’ils sont nés à Tamanrasset. Tant que l’on n’aura pas réglé cette question, on tournera en rond. Sachant qu’en plus, les problèmes se sont aggravés et multipliés avec la situation au Mali. J’ai l’impression qu’il est encore plus facile aujourd’hui de terroriser les populations que voici vingt ans.

    #musique #touareg #blues #Tinariwen #Sahara #Algérie #Mali #interview

  • « On a détruit en partie ma vie »L’interview de Serge Duteuil Graziani, survivant de Sainte-Soline
    https://www.off-investigation.fr/on-a-detruit-en-partie-ma-vielinterview-de-serge-duteuil-graziani

    Lors de la manifestation de Sainte-Soline, le 25 mars 2023, le militant anti bassine Serge Duteuil-Graziani est grièvement blessé à la tête par une grenade qui aurait été tirée en “tir tendu".Lire la suite : « On a détruit en partie ma vie »L’interview de Serge Duteuil Graziani, survivant de Sainte-Soline

    #Interviews

  • «Il Secolo Mobile», un volume di #Gabriele_Del_Grande

    Del Grande, nel suo libro Il secolo mobile (Mondadori, 2023), si è cimentato in un imponente progetto di (ri-)educazione riguardo il fenomeno dell’emigrazione su cui si è veramente poco informati: vuoi per preconcetti tramandati da generazioni; per innegabili pregiudizi legati a cultura, religione, colore della pelle, etc; o per la scarsa voglia di conoscere i veri e variegati motivi che spingono grandi quantità di persone a voler cambiare Paese – che unisce i più dietro alle solite e indignate uscite come: vengono nel nostro Paese per rubarci il lavoro!.

    E se l’ultima invisibile linea del colore fosse quella dell’apartheid in frontiera?

    L’autore con grande impegno delinea storicamente tale caso, focalizzandosi principalmente sul secolo breve e mostrando come i suoi tragici eventi, svoltisi in quest’arco temporale, abbiano spinto le persone, per diverse ragioni, all’emigrazione il più delle volte illegale. Questo è un libro difficile da leggere, non perché sia scritto male o in modo astruso, anzi, proprio il contrario.

    La scrittura di Del Grande è precisa e ferma quando si tratta di fornire dati e statistiche, chiara quando delinea determinati momenti storici, ed emotivamente coinvolgente quando parla delle ingiustizie, delle stragi e della freddezza di leggi e istituzioni. Forse troppo suggestiva, infatti, parla apertamente ai suoi lettori e non nasconde loro assolutamente nulla: dipinge il cimitero del Mediterraneo con la precisione di un pittore fiammingo senza trascurare i toni più cupi, e descrive minuziosamente tutte le conseguenze di quelle che sono sempre (o quasi) scelte politiche, riporta all’attenzione tutta la fatica, i sacrifici e soprattutto le barriere ideologiche e fisiche che si frappongono tra di noi.

    È una lettura che serve a interrogarsi sulla situazione europea odierna, e di come questa potrebbe evolversi in futuro e migliorare non soltanto da un punto di vista istituzionale ma anche sociale e ideologico; lo stesso autore ci invita a una seria riflessione nell’appendice del suo libro: Aprite quella porta!, proponendo una possibile soluzione al problema dell’immigrazione illegale e agli sbarchi che sono già costati fin troppe vite, vite che non verranno più restituite.

    Nel complesso è un’opera assolutamente necessaria, va letta senza dubbio per poter comprendere appieno la sofferenza e le ingiustizie subite, e per non rimanere più ciechi di fronte a un problema innegabile; Del Grande lancia un appello che incita a un cambiamento propositivo: «L’occasione per cambiare la storia è adesso. Se davvero crediamo che tutti gli esseri umani siano pari in diritti e dignità, apriamo quella porta».

    https://www.meltingpot.org/2024/03/il-secolo-mobile-un-volume-di-gabriele-del-grande
    #livre #migrations #histoire

    • Il #secolo_mobile

      Cent’anni fa non esistevano passaporti, si viaggiava senza permessi né lasciapassare. Oggi, al contrario, il regime dei visti di Schengen vieta di entrare in Europa alla maggior parte dell’umanità: ovvero ai ceti poveri e prevalentemente non bianchi dei paesi a medio e basso reddito di Africa, Asia e Caraibi. Ai loro emigranti, respinti dai consolati, non resta che imbarcarsi di contrabbando dai porti franchi del Nord Africa e della Turchia.

      È così che negli ultimi trent’anni hanno attraversato il Mediterraneo tre milioni e mezzo di viaggiatori senza visto, mentre i corpi di altri cinquantamila giacciono tuttora sul fondo del mare mangiati dai pesci. Come siamo arrivati fin qui? E soprattutto, come ne usciremo?

      Con il rigore dello storico e il piglio del narratore, Gabriele Del Grande scrive la prima storia dell’immigrazione illegale in Europa. Una storia che spazia dallo sbarco delle truppe africane a Marsiglia nel 1914 fino alla crisi delle ONG a Lampedusa, passando per la stagione della libera circolazione con le ex colonie, il divieto di espatrio dal blocco comunista, i riots razzisti nelle capitali europee, la messa al bando dell’immigrazione non bianca, il crollo del muro di Berlino, il doppio cortocircuito dell’asilo e dei ricongiungimenti familiari e la stretta sui visti che dal 1991 alimenta il mercato nero dei viaggi.

      Nella sua ricostruzione Del Grande non perde di vista il contesto globale della decolonizzazione, della segregazione razziale oltreoceano, della guerra fredda, dell’ascesa dei movimenti islamisti, del ritorno della Cina e dell’India sulla scena mondiale e del boom demografico – e in prospettiva economico – dell’Africa.

      Il risultato è una narrazione avvincente, che intreccia le vicende dell’immigrazione con quelle dell’emigrazione e, al contempo, contrappone ai fantasmi del passato suprematista euro-atlantico uno sguardo cautamente ottimista sul futuro. Porre fine agli sbarchi e ai naufragi, infatti, è possibile. Prima però è necessario rimuovere l’ultima invisibile linea del colore. Quella dell’apartheid alla frontiera.

      https://www.mondadori.it/libri/il-secolo-mobile-gabriele-del-grande

    • Il secolo mobile - la storia dell’immigrazione in Europa

      Cent’anni fa non esistevano passaporti, si viaggiava senza permessi e lasciapassare. Oggi il regime dei visti di Schengen vieta di entrare in Europa alla maggior parte dell’umanità ovvero ai ceti poveri e prevalentemente non bianchi dei Paesi a medio e basso reddito di Africa, Asia e Caraibi. Ai loro emigranti, respinti dai consolati, non resta che imbarcarsi di contrabbando dai porti franchi del Nord Africa e della Turchia. È così che negli ultimi trent’anni hanno attraversato il Mediterraneo tre milioni e mezzo di viaggiatori senza visto, mentre i corpi di altre cinquantamila persone giacciono sul fondo del mare. Come siamo arrivati fin qui? E come ne usciremo?

      https://www.youtube.com/watch?v=xtNI1oPiJ_A


      #interview

  • #podcast Projets Libres ! Des humain⋅es derrière les projets !
    https://framablog.org/2024/02/27/podcast-projets-libres-des-humain%e2%8b%85es-derriere-les-projets

    Le podcast est un média particulièrement consommé en France, comme le rappelait l’interview de Benjamin Bellamy de Castopod en mai 2022 sur ce même blog (aussi disponible en… podcast !). Il permet d’écouter une #Interview en faisant la vaisselle, des crêpes, … Lire la suite­­

    #Dans_notre_archipel #Interviews #Communaute

  • Ratures 10 : Entretien avec Alèssi del Umbria - La Grappe
    https://lagrappe.info/?Ratures-10-Entretien-avec-Alessi-del-Umbria-649

    https://lacledesondes.fr/audio/ratures-2024-02-185.mp3

    Dans cet entretien pour la Clé des Ondes autour de son livre « Du fric ou on vous tue ! », Alèssi Dell’Umbria revient sur son expérience dans le groupe Os Cangaceiros. Plus qu’un groupe de hors-la-loi radicalisés, cette association construite autour d’affinités dans la dissidence sociale n’aura de cesse de déstabiliser toutes les formes d’assignation et de domination.

    « Du fric ou on vous tue ! » : j’ignore qui avait pu écrire ça sur un mur, au début des années 1980, à Marseille, mais j’avais bien aimé cette menace de braqueur qui résonnait là comme une injonction plus générale à ceux qui tiennent les cordons de la Bourse. Une association de hors-la-loi révolutionnaires, ainsi pourrait-on qualifier le groupe Os Cangaceiros, qui prit ce nom en hommage aux bandits du Nordeste brésilien. Ce livre raconte l’histoire de cette bande de jeunes qui, refusant d’aller travailler, s’était organisée pour arnaquer les banques et prêter main-forte aux luttes qui secouaient alors les prisons, les usines et les banlieues. Ce récit de première main peut être lu comme une contre-histoire de la décennie 1980, durant laquelle se mit en place le régime de gouvernance que nous subissons depuis.

    #Alessi_Dell'Umbria #années_80 #Os_Cangaceiros #histoire #illégalisme #livre #interview #audio #radio #La_clé_des_ondes

    • Os Cangaceiros - Rapport sur Marseille (1985) - Marseille Infos Autonomes
      https://mars-infos.org/os-cangaceiros-rapport-sur-335

      Il y a trente ans, en janvier 1985, le groupe Os Cangaceiros publiait son premier numéro, dans lequel se trouvait cet article, sobrement intitulé Rapport sur Marseille. Aujourd’hui, en 2015, les stratégies urbanistiques et sécuritaires ont évolué. Mais le fond de la chose reste semblable.

      Marseille n’est pas une ville très civilisée. C’est une ville exclusivement vouée au trafic marchand, et il n’est rien qui n’y soit déterminé par les impératifs du trafic. La cité entière est consacrée à cette activité, et à rien d’autre. C’est la circulation des marchandises qui a édifié cette ville, à sa convenance et à son image. Nulle trace de passé historique, la marchandise ne laisse rien derrière elle, se contentant de passer.

      #Marseille

  • Ritratti - #Andrea_Zanzotto


    A partir de la minute 1’06 :

    «Abbiamo anche un’altra definizione della storia, che è quella di Cicerone. La storia, una volta passata, diventa solo mappe, tracce lasciate sulla terra, diventa quindi geografia, e fantasmi, leggende che trascorrono e che mutano e che possono anche essere cambiate. Quindi si può dire che ogni mutazione storica tende a descrivere tutta la storia precedente in funzione di se stessa, e di preparazione al grande evento della sua presenza. (...) Il paesaggio è fondamentale, perché si riempie di segni, di mappe. Noi, di fronte alla storia, siamo sempre inermi, perché solo il paesaggio può restituirci le tracce. (...) Adesso la tecnica serve moltissimo alla ricerca di queste tracce, anche le fotografie fatte dai satelliti mettono in evidenza le rovine di una città. Mentre la tradizione e la storia era stata orale e la descrizione degli eventi veniva alterata a seconda dei bisogni. (...) (E’ apparsa) la storia come historía , nel senso di indagine giornalistica quasi attraverso l’archeologia. Resta comunqua valida sempre l’idea di storia che se non ha mappe che diventano geografia, diventano scrittura sul terreno, quasi in termini alla Derrida, graphi sul terreno, e fantasmi su cui ancorare i nostri ricordi... sulla storia devo concludere in modo antitetico e spaccato: da una parte svalutazione senza le mappe, ma le mappe ci sono. I fantasmi restano e possono diventar leggende. Bisogna invece che cessi la riutilizzazione della storia come opus maxime oratorium di tipo ciceroniano, cioè: rifacciamola perché ci serve a giustificarci adesso. In fondo i fondamentalismi non sono che la cancerosa restituzione della storia di una sua presunta fondazione della realtà di oggi falsificando la storia delle origini. Ogni fondamentalismo cambia la storia delle origini per giustificare quello che sta facendo in questo momento, che in realtà non ha nulla a che fare. Questa sarebbe la funzione deteriore, ultima, da eliminare. Quella invece che deve resistere, è quella che deve resistere attraverso la poesia perché nulla più che la parola vibrante, purché si conosca la lingua» (réponse interrompue par la vidéo, trop courte hélas...)

    https://www.youtube.com/watch?v=uKnXcreM9mA

    Bonus de ce #film :
    Ritratti. Andrea Zanzotto

    L’incontro si sviluppa entro tre nuclei fondamentali di ricerca: la natura, la storia, la lingua. La natura, intesa in un primo momento dal poeta come pensiero al quale rivolgersi in un continuo scambio e risonanza, ed in seguito anche come improvvisa mutazione, cementificazione ed offesa. Andrea Zanzotto ripercorre, poi, i segni fondamentali di quello che è stato detto il secolo dell’ottimismo, secolo che ha visto crescere la fede nella scienza ma anche il collasso di qualsiasi forma di razionalità. La lingua è intesa come scoperta di un viaggio accidentato, segno di un lessico familiare, musica e canti di un paese, ma anche di un andare mendicando di altri linguaggi, ricercare le stratificazioni che li hanno intessuti, un balbettio; sino ad arrivare a quelli che sono i destinatari della poesia ed i luoghi della lettura per riscoprirne la sacralità. Il ritratto è a matita.

    https://www.jolefilm.com/film/andrea-zanzotto

    #traces #histoire #géographie #signes #paysage #fondamentalisme #film #documentaire #interview #film_documentaire

  • La version française intégrale de l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson

    https://www.youtube.com/watch?&v=Mis5nZ_ESj8

    Source : Librairie tropique https://www.librairie-tropiques.fr/2024/02/poutine-parle-au-monde-libre.html

    La version originale (en Anglais) sur le site de Tucker Carlson

    https://tuckercarlson.com/the-vladimir-putin-interview

    Timestamp Headline
    00:00:00 Introduction

    00:02:00 Putin gives a history of Russia & Ukraine

    00:25:04 NATO Expansion

    00:30:40 NATO & Bill Clinton

    00:41:10 Ukraine

    00:48:30 What triggered this conflict?

    01:02:37 A peaceful solution?

    01:11:33 Who blew up the Nord Stream pipelines?

    01:24:13 Re-establishing communication with the US

    01:36:33 How powerful is Zelensky?

    01:48:36 Elon Musk & AI

    01:51:07 Imprisoned American journalist Evan Gershkovich

    #Russie #otan #nato #Ukraine #Histoire #usa #ue #interview #journalisme #géopolitque

  • Geneviève Pruvost, Entretien avec Veronika Bennholdt-Thomsen, 2023
    https://sniadecki.wordpress.com/2024/01/25/pruvost-vbt

    Alors que l’écoféminisme connaît un regain en France depuis les années 2010-2020, il est resté centré sur un corpus principalement anglophone et n’est pas immédiatement rattaché aux études intersectionnelles et décoloniales. Or il existe un versant allemand du féminisme matérialiste des années 1970-1990 qui a pour singularité d’avoir placé le travail paysan, le travail domestique et l’appropriation du monde vivant au cœur des exploitations patriarcales.

    #interview #Veronika_Bennholdt-Thomsen #sociologie #anthropologie #féminisme #subsistance #perspective_de_subsistance #Geneviève_Pruvost

  • Interview de Myriam Congoste, autrice du Vol et la Morale - La Grappe
    https://lagrappe.info/?Interview-de-Myriam-Congoste-autrice-du-Vol-et-la-Morale-153

    Myriam Congoste, anthropologue, raconte dans son livre sa relation avec Youchka, voleur et receleur à Bacalan, jamais arrêté, toujours invisible. Nous lui avons posé quelques questions.

    Myriam Congoste a été infirmière en hôpital psychiatrique, puis anthropologue. Elle vit à Bordeaux. En 2012, elle fait paraître sa thèse aux éditions Anarchasis : Le Vol et la morale. L’ordinaire d’un voleur, préfacé par Éric Chauvier. Elle relate sa relation avec Youchka, un voleur, cambrioleur, receleur de voitures, qui ne s’est encore jamais fait prendre ni condamner. Ils partagent le même quartier qu’elle connaît bien pour en être originaire, Bacalan. Myriam Congoste l’accompagne dans son quotidien, même lorsque le pitbull de Youchka qui le protège la terrifie, même lorsqu’il s’agit de faire passer de l’or issu d’un casse jusqu’en Thaïlande pour le faire fondre et le transformer en chaîne à grains de café, en médaille, en bagues, etc. En évitant les habituels écueils et stéréotypes concernant la délinquance et la pègre, en apportant une dimension historique rarement transmise sur Bordeaux et ses quartiers périphériques, et en donnant la parole à une marge qui d’habitude n’existe que lorsqu’elle est défaite et repentie, Myriam Congoste nous a donné envie de lui poser quelques questions afin qu’elle nous présente son travail.

    #interview #Myriam_Congoste #anthropologie #vol #marge #Bordeaux

  • [The Locomotion] #milk_tv
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/milk-tv

    J’ai eu la chance d’interviewer Milk TV lors de la release party de leur dernier album Neo Geo au #botanique. Le disque, sorti chez EXAG’ Records, oscille entre post-punk jouissif et art punk soigné. Le trio jouaient en première partie de Peter Kernel.

    Une #interview en plein repas, dans la cantine du Bota, où on a parlé de leur tournée française et canadienne, du soutien de la fédération Wallonie-Bruxelles, de leur nouvel album, bien sûr, et sa production américaine, de leurs influences et de la scène bruxelloise.

    Prochainement, Milk TV jouera le 14 décembre au Café Central, le 15 décembre au George & The Bear, un disquaire de Genk et le 16 décembre pour la fête de Noël du Rokerill de Charleroi.

    The Locomotion est une émission musicale créée par Thomas Guillot, enregistrée sur Radio Panik et (...)

    #bruxelles #bruxelles,interview,botanique,milk_tv
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/milk-tv_16861__1.mp3

  • [The Locomotion] Agenda du 23 novembre - #milk_tv
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/milk-tv/#16858

    Agenda du 23 novembre

    J’ai eu la chance d’interviewer Milk TV lors de la release party de leur dernier album Neo Geo au #botanique. Le disque, sorti chez EXAG’ Records, oscille entre post-punk jouissif et art punk soigné. Le trio jouaient en première partie de Peter Kernel.

    Une #interview en plein repas, dans la cantine du Bota, où on a parlé de leur tournée française et canadienne, du soutien de la fédération Wallonie-Bruxelles, de leur nouvel album, bien sûr, et sa production américaine, de leurs influences et de la scène bruxelloise.

    Prochainement, Milk TV jouera le 14 décembre au Café Central, le 15 décembre au George & The Bear, un disquaire de Genk et le 16 décembre pour la fête de Noël du Rokerill de Charleroi.

    The Locomotion est une émission (...)

    #bruxelles #bruxelles,interview,botanique,milk_tv
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/milk-tv_16858__0.mp3

  • [The Locomotion] #cyril_bondi parle de ses collaborations - Cyril Bondi (La Tène, Cyril Cyril)
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/cyril-bondi-la-tene-cyril-cyril/#16844

    Cyril Bondi parle de ses collaborations

    Après Edi Pou en septembre, c’est le deuxième épisode de The Locomotion qui invite le batteur d’un duo emblématique de la ville où il réside. Ici, double bonus puisque Cyril Bondi est investi dans deux duos de #genève : avec Cyril Yeterian, il forme Cyril Cyril et maintenant Yalla Miku (deux formations dont on a parlé uniquement dans la version longue de l’épisode dispo chez Radio Campus Paris) mais avec d’incise il forme le collectif INSUB., Diatribes et maintenant #la_tène.

    La Tène jouera justement à La Source le lundi 13 novembre pour distiller ses drones lancinants d’avant folk à l’occasion d’une des soirées d’anniversaire de Goute Mes Disques. Avec Acte Bonté en première partie qui étaient déjà la première partie (...)

    #interview #interview,genève,la_tène,cyril_bondi
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/cyril-bondi-la-tene-cyril-cyril_16844__0.mp3

  • Hervé Le Crosnier : Pratiques culturelles numériques : les grandes tendances - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=KC7Tdzwwo8U

    3 déc. 2019
    Spécialiste de la culture numérique et éditeur chez C&F Éditions, Hervé Le Crosnier s’est prêté à une interview « Tendances et prospectives » autour des pratiques culturelles numériques.

    #Hervé_Le_Crosnier #Culture_numerique #Pratiques_culturelles #Vidéo #Interview

  • Parlez moi d’IA #10 Découvrir la pièce de théâtre Qui a hacké Garoutzia ? L Bretzner S Abiteboul - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=JJpJgZGME6M

    CONTEXTE

    « Parlez-moi d’IA » est un programme de vulgarisation de la data et de l’IA. Les échanges sont le moins technique possible. L’émission prend la forme d’un dialogue entre Jean-Philippe CLEMENT et son invité.e. où ils cherchent à comprendre et expliquer ce qui change dans nos vies, dans nos métiers, dans notre société avec cette évolution technologique de la data et de l’IA.

    EN PLATEAU

    Cette semaine nous recevons Lisa BRETZNER, comédienne et metteuse en scène au sein de la troupe Atropos et le directeur de recherche au CNRS et auteur Serge ABITEBOUL qui viennent nous faire découvrir la pièce Qui a hacké Garoutzia ?

    Cette pièce est une enquête au cœur de laquelle une IA domestique joue un rôle prépondérant. Ce spectacle drôle et intelligent nous propose de nous interroger sur la place des IA dans nos vies. Ce qu’elles apportent. Quel manque elles viennent combler ou quelle béquille émotionnelle dont on ne peut plus se passer, elles deviennent.
    Dans cette émission, on évacue rapidement les 2 ou 3 notions techniques ou culture geek (Lois de la robotique ou 42) ou qui pourraient effrayer le spectateur pour se consacrer sur la forme de la mise en scène et le fond des questions posées.

    #Garoutzia #Intelligence_artificielle #Interview

  • [The Locomotion] Agenda du 9 novembre - #cyril_bondi (La Tène, Cyril Cyril)
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/cyril-bondi-la-tene-cyril-cyril/#16777

    Agenda du 9 novembre

    Après Edi Pou en septembre, c’est le deuxième épisode de The Locomotion qui invite le batteur d’un duo emblématique de la ville où il réside. Ici, double bonus puisque Cyril Bondi est investi dans deux duos de #genève : avec Cyril Yeterian, il forme Cyril Cyril et maintenant Yalla Miku (deux formations dont on parlera dans un épisode prochain) mais avec d’incise il forme le collectif INSUB., Diatribes et maintenant #la_tène.

    La Tène jouera justement à La Source le lundi 13 novembre pour distiller ses drones lancinants d’avant folk à l’occasion d’une des soirées d’anniversaire de Goute Mes Disques. Avec Acte Bonté en première partie qui étaient déjà la première partie de nos invités précédents.

    J’ai #interviewé Cyril Bondi cet été quand (...)

    #interview,genève,la_tène,cyril_bondi
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/cyril-bondi-la-tene-cyril-cyril_16777__0.mp3

  • [The Locomotion] #mabe_fratti about playing for the #feeërieën festival - Mabe Fratti
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/mabe-fratti/#16779

    Mabe Fratti about playing for the Feeërieën festival

    Originaire du Guatemala, mais vivant à Mexico, la violoncelliste Mabe Fratti se produisait en août dernier sur la scène du festival Feeërieën organisé dans le Parc Royal par l’Ancienne Belgique. On a pu constater que son dernier album plutôt calme, Se ve desde aqui, contrastait avec la formule présentée sur scène, beaucoup plus électrique, en trio avec un batteur et un guitariste.

    Dans les coulisses du festival, on a pu parler du futur, de son mindset, ses nombreuses collaborations, de sa résidence au Café Oto à Londres et de la scène alternative et expérimentale de la capitale du Mexique. Pendant l’émission, Mabe Fratti était doublée par Assia Ruysschaert.

    The Locomotion épisode 18

    Mabe Fratti - Cada (...)

    #interview #interview,feeërieën,mabe_fratti
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/mabe-fratti_16779__0.mp3

  • [The Locomotion] #cyril_bondi (La Tène, Cyril Cyril)
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/cyril-bondi-la-tene-cyril-cyril

    Après Edi Pou en septembre, c’est le deuxième épisode de The Locomotion qui invite le batteur d’un duo emblématique de la ville où il réside. Ici, double bonus puisque Cyril Bondi est investi dans deux duos de #genève : avec Cyril Yeterian, il forme Cyril Cyril et maintenant Yalla Miku (deux formations dont on parlera dans un épisode prochain) mais avec d’incise il forme le collectif INSUB., Diatribes et maintenant #la_tène.

    La Tène jouera justement à La Source le lundi 13 novembre pour distiller ses drones lancinants d’avant folk à l’occasion d’une des soirées d’anniversaire de Goute Mes Disques. Avec Acte Bonté en première partie qui étaient déjà la première partie de nos invités précédents.

    J’ai #interviewé Cyril Bondi cet été quand j’étais en vacances à Genève où il m’a reçu dans son espace de travail au (...)

    #interview,genève,la_tène,cyril_bondi
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/cyril-bondi-la-tene-cyril-cyril_16778__1.mp3

  • How we reframed learning and development: learning-based complex work
    https://redasadki.me/2023/11/04/how-we-reframed-learning-and-development-learning-based-complex-work

    The following is excerpted from Watkins, K.E. and Marsick, V.J., 2023. Chapter 4. Learning informally at work: Reframing learning and development. In #Rethinking_Workplace_Learning_and_Development. Edward Elgar Publishing. This chapter’s final example illustrates the way in which organically arising IIL (informal and #incidental_learning) is paired with opportunities to build knowledge through a combination of structured education and #informal_learning by peers working in frequently complex circumstances. Reda Sadki, president of #The_Geneva_Learning_Foundation (TGLF), rethought L&D for #immunization workers in many roles in low- and middle-income countries (LMICs). Adapting to technology available to participants from the countries that joined this effort, Sadki designed a mix of (...)

    #About_me #Global_health #Interviews #Published_articles #complexity #Karen_E._Watkins #Performance_management #Victoria_J._Marsick #workforce_development