#tscg

  • Lire l’annexe 4 et éclater de rire : la farce #Politique française
    https://reflets.info/lire-lannexe-4-et-eclater-de-rire-la-farce-politique-francaise

    C’est l’un de nos lecteurs éclairés qui a motivé l’écriture de ce modeste article. Remercions-le. Que nous a t-il pointé, ce lecteur, pour que le clavier nous démangeât à ce point ? Un document émis […]

    #Tribunes #Annexe_4 #Austérité #Commission_de_Bruxelles #libéralisme #rigueur_budgétaire #souveraineté_budgétaire #TSCG #Union_Européenne

  • Primaires… Par Jacques Sapir ·

    Un certain nombre de personnalités de la gauche viennent de publier dans un quotidien une tribune appelant à une primaire pour désigner le candidat de la « gauche » à l’élection présidentielle de 2017[1]. Cet appel contient certaines choses avec lesquelles ont peut être en accord. Mais, le sens de cette initiative tend plus à obscurcir qu’à éclairer le débat. Fondée sur une illusion, cette initiative ne peut avoir que des résultats contraires à ceux qu’affichent certains de ses promoteurs.
     
    Un appel « anti-Hollande »

    Cet appel se présente comme une « réaction » aux succès électoraux du Front National aux dernières élections régionales de décembre 2015. Il affirme que le système politique est bloqué ce qui induit que : « Faute de propositions satisfaisantes, de perspectives claires et de résultats tangibles, nos concitoyens sont nombreux à s’abstenir aux élections, quand ils ne s’abandonnent pas aux promesses insensées et au discours de haine du Front national » . Mais, on remarquera qu’il ne produit nulle analyse des raisons fondamentales de cette situation. Et pour cause : les participants à cet appel viennent d’horizons et de positions trop diverses pour qu’un accord sur ce point soit possible.

    Dans les faits, cette tribune constitue un appel contre une nouvelle candidature de François Hollande. Ceci est parfaitement compréhensible. Le bilan du mandat de François Hollande est en effet tout à plein désastreux. Qu’il s’agisse de son bilan politique, avec l’échec patent sur le chômage, l’absence de politique économique remplacée par un simple saupoudrage de subventions aux patrons (à l’efficacité dérisoire), le reniement éhonté des promesses de campagne, la perpétuation de la tendance à l’affaiblissement de la République ou une politique étrangère calamiteuse, ou que l’on regarde dans le domaine symbolique où sous les oripeaux d’une présidence prétendument « normale » se cache un président jouisseur et la perpétuation des habitudes de clientélisme et de corruption, ce bilan est l’un des pires depuis les début de la IIIème République. La méfiance exprimée par les signataires de ce texte envers une nouvelle candidature de François Hollande se comprend donc parfaitement, et on la partage.

    Mais, fallait-il pour dire cela en passer par un « appel pour une primaire » ? Il y a là un singulier manque de courage de la part des signataires. Comme si, paralysé parce qu’il leur apparaît par l’énormité de leur constat, ils cherchaient une forme d’euphémisation de leur propos. Cette euphémisation fait perdre une grande partie de sa force potentielle à cet appel. Car, des primaires à gauche, il y en eut, en 2007 et en 2012. On sait ce qu’il en est advenu. La campagne de ces primaires a été l’occasion d’un formidable déferlement d’hypocrisie. Et, aujourd’hui, nous avons comme Premier-ministre un homme qui a fait à peine 5% des voix lors de la primaire de 2012.
     
    Primaire et démocratie

    En fait le mécanisme de la primaire soulève énormément de problèmes du point de vue démocratique. Il ne faut pas oublier qu’initialement ce mécanisme a été conçu comme un contournement des partis, une manière de faire disparaître la voix des militants en la noyant dans un ensemble indistinct. Ce contournement peut se justifier si l’on fait le constat que les partis politiques, et le P « S » en particulier, ne sont plus des appareils démocratiques mais sont devenus le champ clôt de clientèles particulières, de mécanismes de corruption qu’ils soient directs ou indirects. Mais, si tel est bien le cas – et l’on se souvient du conflit qui opposa Arnaud Montebourg aux dirigeants de la Fédération des Bouches du Rhône du P « S », conflit qui alla jusqu’à des menaces physiques – alors c’est le parti qu’il convient de changer et de défaire. La primaire apparaît alors comme une rustine, certes nécessaire à un moment, face à un navire qui prend l’eau. Mais, les rustines ne sont pas des solutions pérennes.

    Le mécanisme de la primaire implique aussi qu’il n’y aurait pas de divergences importances de ligne politique au sein du camp qui se définit comme « la gauche ». Comme si la ligne fédéraliste de Daniel Conh-Bendit était la même que celle de Thomas Piketty, ou que ces positions étaient compatibles avec celles des militants du Parti de Gauche ou d’autres. L’irréalisme de cette proposition saute aux yeux. Au-delà, se pose la question du débat nécessaire qu’il faudra avoir, car certaines des positions ne sont tout simplement pas conciliables. L’un des plus grands reproches que l’on peut faire à cet appel est qu’il présente comme une réalité homogène un espace politique qui est profondément et durablement divisé. Que cette réalité ne fasse pas plaisir aux signataires est une évidence et, encore une fois, on peut le comprendre. Mais il faut avoir le courage de faire face à cette réalité. C’est Jean-Luc Mélenchon qui, encore une fois, a mis les choses au point[2]. En refusant de participer à la cette « primaire » il fait éclater l’illusion consensuelle qui se cache, aussi, derrière ce projet.
     
    La primaire ou le débat ?

    Cette illusion consensuelle, l’idée que l’on pourrait par la discussion et le débat, arriver à faire émerger un candidat commun à ceux qui ont voté pour le traité budgétaire européen (le TSCG) comme à ceux qui ont voté contre, à ceux qui préparent la liquidation des services publiques et de l’école républicaine et à ceux qui refusent et d’opposent de toutes leurs forces à ces néfastes projets pour ne citer que ces points de clivages, cette illusion est le principal problème que soulève cet appel.

    Ce qui se cache derrière cette idée de « primaire », et ce en dépit de la bonne volonté évidente de plusieurs des auteurs du texte, c’est donc aussi la volonté d’esquiver le débat fondamental sur le programme qu’un (ou une) Président(e) devrait mettre en œuvre. Et, ce débat ne pourra aboutir à un accord. Entre les tenants de différentes formes de soumission à l’UE et à l’Allemagne et ceux qui perçoivent que la constitution d’une autre politique pour la France, qu’il s’agisse de la politique économique bien entendu mais aussi de la politique étrangère et du problème lancinant de mettre fin à la décrépitudes de la République, implique une rupture avec l’UE telle qu’elle existe et avec l’Euro, il ne pourra y avoir de compromis. Cela impliquera très certainement une pluralité des candidatures.
    [1] http://www.liberation.fr/france/2016/01/10/notre-systeme-politique-est-bloque_1425550
    [2] http://www.lejdd.fr/Politique/Une-primaire-des-gauches-pour-2017-EELV-et-le-PCF-partants-le-Parti-de-gauche-

    Jacques Sapir - 12 janvier 2016
    Source : http://russeurope.hypotheses.org/4630
    #Jacques_Sapir #primaires #Elections #Débat #élections_présidentielles #2017 #TSCG #services_publiques #Ecole_Républicaine #union_européenne #République #UE #PS #Désastre #Chômage #Partis_politiques

    • Intéressant, cet article, mais, sur ce site,
      Je suis assez étonne de ne pas trouver grand chose sur monsieur hollande, et surtout sur son père Georges Gustave Hollande, catholique, candidat d’extreme droite à des élections pour un parti dont l’attaché de presse était monsieur le pen

      Pour un site spécialisé sur le confusionnisme, je trouve cela étonnant.

      Je dois faire une erreur en recherchant.
      Pour ce qui est d’ être confusioniste, no’t président et son parti méritent pourtant la médaille d’or.

      Etonnant !

    • Rien d’étonnant.
      Il y a un concours.
      angella merkel, fille de pasteur . . . . par exemple.

      Relire par exemple :
      Le Mouvement du libre-esprit, Généralités et témoignages sur les affleurements de la vie à la surface du Moyen Âge, de la Renaissance et, incidemment, de notre époque , Ramsay, 1986 réédition L’Or des fous, 2005.
      La Résistance au christianisme. Les hérésies des origines au XVIIIe siècle , Fayard, Paris 1993
      Les Hérésies 1994
      du copain de Noel Godin, l’entartreur.

      Ca permet de comprendre pas mal de choses.

    • Bon... à ce point, je précise que Hollande aurait pu être orphelin ou fils d’un stalinen, qu’on en aurait pas grand chose à faire. C’est surtout un satané fils d’HEC-ENA.

      Quant à Sapir, quoi qu’en pensent son père et sa mère, c’est un chauvin, souverainiste, productiviste, sexiste, imbuvable qui fricote avec les fafs.

    • hollande Orphelin ?
      Comme gérard depardieu ?
      Au moins il nous aurait fait rire, le hollande.

      Au lieu de cela, il réalise le programme de droite extréme révé par son père.

      Ah ! le fameux point Godwin !

      Les fafs, , , il est curieux de constater à quel point ce sont des références pour les confusionistes. Lire les articles du site.

  • Pourquoi la règle d’or budgétaire n’est-elle pas appliquée ?
    http://www.contrelacour.fr/pourquoi-regle-dor-non-appliquee

    Rappelez-vous : à la rentrée 2012, tout le débat public français se concentrait autour de la ratification du Pacte budgétaire (TSCG) et de sa fameuse « règle d’or ».
    Cette dernière, accusée par certains de plonger la France dans une terrible cure d’austérité, est au contraire vantée par les autres comme une garantie de sérieux budgétaire.
    Deux ans plus tard, on constate qu’aucune des deux parties n’avait raison.
    La règle d’or budgétaire

    Pour mieux comprendre le mécanisme de la règle d’or, il faut avoir trois textes en tête :
    1°) ledit Pacte budgétaire, ratifié à ce jour par 25 États européens, et enjoignant ces derniers à intégrer dans leur droit national une règle de contrôle du solde « structurel » public,
    2°) la loi organique du 17 décembre 2012 relative à « la programmation et à la gouvernance des finances publiques » qui intègre dans le droit français les dispositions du Pacte budgétaire,
    3°) la loi de programmation des finances publiques : votée tous les trois ans, elle construit en quelque sorte un « tunnel » dans lequel doivent évoluer les lois de finances votées chaque année.
    La dernière a été adoptée en décembre 2012 par la majorité socialiste.
    La France y a inscrit des objectifs budgétaires qui surpassent les niveaux d’exigences posées par le droit européen (Six-Pack et Pacte budgétaire) en s’engageant sur un objectif d’équilibre structurel de ses comptes publics d’ici 2016 (on parle d’ « objectif à moyen terme »).

    Le solde structurel correspond au solde public corrigé des effets directs du cycle économique ainsi que des évènements exceptionnels. Autrement dit, il s’agit du solde public tel qu’il serait constaté si le produit intérieur brut était égal à son potentiel.

    En plus de prévoir des objectifs budgétaires précis, la règle d’or comprend également un « mécanisme de correction automatique ». Celui-ci se déclenche si les résultats budgétaires constatés s’éloignent du « tunnel » prévu (écart de plus de 0,5 point).

    Alors que la loi de programmation prévoyait un solde structurel de -1,1 % pour 2014, la loi de finances rectificatives table de son coté sur un solde de -2,3 %.
    Le Haut Conseil des Finances Publiques estime de son coté que « le déficit structurel pour 2014 risque néanmoins d’être supérieur à la prévision » du gouvernement.

    Ainsi, la nouvelle trajectoire ne permettra pas de respecter l’objectif d’équilibre structurel voté par le Parlement français en 2012.

    C’est ce que relève Philippe Marini (UMP), Président de la Commission des finances du Sénat, lors du débat : « Quant à la cible de l’équilibre structurel, qui constitue depuis le traité européen de 2011 et notre loi organique de décembre 2012 l’objectif de moyen terme de notre politique de finances publiques, elle a été décalée à 2017, faute de pouvoir être atteinte dans les temps. Là encore, l’ambition de maîtrise de nos finances publiques est réduite.« ......

    >>>

    La règle d’or budgétaire française, en prévoyant le respect d’une trajectoire structurelle établie en fonction d’une croissance potentielle figée, n’est tout simplement pas applicable.

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    #règle_d'or
    #tscg

  • Une écologie libérale et obscurantiste. Analyse de 2 dérives menaçant l’écologie politique.
    http://blogs.mediapart.fr/blog/philippe-lege/220514/une-ecologie-liberale-et-obscurantiste

    Pour beaucoup, José Bové est ce syndicaliste paysan qui démontait des restaurants McDonald avant de devenir député européen et de se convertir au libéralisme économique. Or, la tête de liste EELV aux élections européennes symbolise aujourd’hui non pas une, mais deux graves dérives de l’écologie. Les récentes déclarations de José Bové et de Noël Mamère témoignent de la résurgence d’une forme de pensée religieuse dans laquelle la Nature ou la Vie ont remplacé Dieu.

    #Bové #EELV #PMA #Europe #TSCG #libéralisme

    • Merci pour ces remarques :
      – Entièrement d’accord avec l’idée que les 2 dérives sont distinctes. Par exemple, Cohn-Bendit ne souscrit certainement pas aux âneries de Bové sur la PMA.

      – Ton 2e paragraphe évoque « la critique de sa position sur le PMA » qui ne serait pas « rigoureuse » mais sa position n’est pas le sujet :

      ce n’est pas tant sa « position », c’est-à-dire son opposition à la PMA (Procréation Médicalement Assistée), que son argumentation qui est inquiétante.

      Il se trouve que je n’ai pas la même position que lui mais ce que je mets en cause me semble plus grave.

      – Certes Bové et Mamère manient « d’autres [arguments] qui ont a voir avec les effets de seuil, l’autonomie de la technique ». Mais justement, je dis qu’ils devraient rester sur ce terrain là. L’extrait de Mill dénonce justement les argumentations confuses de ce type :

      Aujourd’hui l’accusation d’avoir l’arrogance de chercher à contrarier les desseins de la Providence conserve encore assez de sa force originelle pour être avancée en complément d’autres objections quand on veut trouver à redire à tout nouvel exercice de la prévoyance et de l’invention humaines.

      – Oui, le texte est partisan. Mais je le trouve fiable... Merci pour les liens, je vais lire ça avec attention.

    • Je viens de lire plusieurs discussions auxquelles tu as participé sur la PMAt. Je suis d’accord avec ta critique de Testard qui

      ne semble pas accepter qu’un couple de femmes puisse vouloir d’un homme biologiquement présent mais socialement absent dans leur parcours de mères, avec anonymat du don

      Par ailleurs, je pense que cet extrait de ton texte avec Lavignotte est intéressant (mais je n’ai pas trouvé le texte entier) :

      Des couples ont renoncé au projet d’enfant, puis pensent à la PMA et y croient à nouveau à fond (le facteur psychologique de réussite : il faut y croire !). Puis sont déçus dans 8 cas sur 10. Comment un couple résiste-t-il à un tel yoyo ? Quel pourcentage de séparations à l’issu d’un tel lessivage ? Faut-il plus de moyens pour plus de réussite, comme le demande le docteur Frydman ? Ou contester (avec les féministes et l’éthique protestante de la famille quand elle n’a pas rendu les armes face aux évangéliques) l’idée qu’un couple ne serait légitime que parent ?

      Débattre des conséquences (et notamment des conséquences psychiques) du recours à la PMA est très important. Mais pour prévenir le risque de désillusion, ne faut-il pas conjuguer davantage de moyens ET davantage d’information ? Cela a le grand avantage de laisser le couple décider. Par ailleurs, un couple peut vouloir un enfant sans pour autant penser « qu’un couple ne serait légitime que parent »...

    • Bonjour,
      Vous dites :

      A part l’argument selon lequel la manif pour tous ne serait pas homophobe (nooon...)

      Moi je lis dans le texte en question :

      Même si tous les marcheurs ne sont pas homophobes, nombre de ceux qui protestent contre le mariage, l’adoption homosexuelle, la PMA ou la GPA défilent en fait contre l’homosexualité.

      Ce qui n’est pas la même chose... Et non, tous les gens qui ont défilé contre le mariage homo ne sont pas homophobes. Certains homos ont participé au mouvement, pris la parole lors des meetings etc...

    • J’avais pris connaissance de ce texte de Pièces et Main d’Oeuvre grâce à un commentaire sur mon blog invitant « chacun à lire ce petit bijou ». Il comporte selon moi de nombreuses informations intéressantes mais aussi des conclusions très contestables. Deux exemples :

      nous n’avons rien à gagner, et tout à perdre à nous laisser embarquer sur la voie de la reproduction artificielle de l’humain

      Ou encore :

      On peut réclamer la PMA et militer en faveur de la reproduction artificielle de l’humain ou se battre contre l’industrie qui stérilise la population. Je choisis chaque fois la seconde option

      Le 1er extrait fait usage de la première personne du pluriel alors même que certains ont quelque chose à gagner : le droit de recourir à la reproduction artificielle parce qu’ils n’ont pas d’autre possibilité ! Sans même parler des nombreux enfants dont la naissance a été rendue possible par les techniques de reproduction artificielle. Ils sont nécessairement exclus de ce « nous ». Que l’auteur se permette de dire que la possibilité de recourir à ces techniques n’est « pas un droit à conquérir » ne le légitime pas à dire « Nous ».

      Dans le 2eme extrait, l’auteur dit « je ». Ok. Il exprime toutefois un curieux raisonnement. L’industrialisation a certes réduit la fertilité, mais les problèmes de fertilité préexistaient à la société industrielle... Ce type d’oubli est pour moi très préoccupant. C’est ce que je reproche au courant que tu nommes anti-industrialiste.

    • J’ajoute qu’en écrivant que « la gauche cyber-libérale travestit le combat pour la liberté individuelle en apologie de la liberté marchande », le texte de PMO confond tout. Outre le fait que je ne sais pas bien ce qu’est la « gauche cyber-libérale », je me pose une question : autoriser le DON de sperme c’est faire l’apologie de la liberté « marchande » ?! En ce cas, il faut aussi interdire le don d’organe et le don de sang !
      Pour une raison similaire, je ne suis pas tout à fait d’accord Aude avec l’idée que « ces couples, ce sont des consommateur/ices, c’est ce qu’on appelle le marché ». Mais je n’ai pas le temps de développer...

    • Par ailleurs, au-delà du fait qu’on peut parler métaphoriquement de « marché » et de « consommation » même lorsqu’il ne s’agit pas d’échange d’argent, il se trouve que le second texte de PMO du même auteur, montre indubitablement, chiffres à l’appui dans le monde entier, en quoi les différents types de PMA (dont la GPA) n’ont strictement rien à voir avec du Don et du Non-Marchand :
      http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/Chapitre_2_RAH.pdf

      Il s’agit d’un marché parfaitement organisé, industriel, et à échelle mondiale.

  • La non #stratégie-économique de François Hollande
    http://www.marianne.net/La-non-strategie-economique-de-Francois-Hollande_a223529.html

    Mais, dans le cas de François Hollande, on peine à l’affubler d’une quelconque étiquette. Epaulé par un ministre des Finances inconsistant, Pierre Moscovici, dont la parole ne porte pas, on ne sait pas bien où il va. Lui-même le sait-il, d’ailleurs ? Sans doute la politique économique actuelle est-elle d’inspiration sociale-libérale, plus à l’écoute des doléances patronales que des souffrances sociales. Mais cela n’est pas même assumé comme tel. D’où un sentiment de désordre et de cafouillage. Pour tout dire, un grand sentiment de #gâchis.

  • Ayrault et le #TSCG : WTF ? | Yovan Menkevick
    http://reflets.info/ayrault-et-le-tscg-wtf

    Ils sont forts ces #socialistes, très forts. Leur premier ministre le formidable JMA vient de vendre le TSCG à l’assemblée nationale avec une belle conviction. C’était beau et émouvant à la fois. Mais que disaient-ils tous ces socialistes il y a moins d’un an, à propos de la règle d’or qu’ils jurent ne pas voter aujourd’hui avec le TSCG ? Remember… Ah ils en voulaient pas du TSCG, ça c’est certain. Mais parce que le TSCG d’aujourd’hui, ce n’est donc plus du tout une règle d’or, non, non, non. Il suffit de le lire pour s’en rendre compte. Petit passage savoureux : a) la situation budgétaire des administrations publiques d’une partie contractante est en équilibre ou en excédent ; b) la règle énoncée au point a) est considérée comme respectée si le solde structurel annuel des administrations publiques correspond à l’objectif à moyen terme spécifique à chaque pays, tel que défini dans le pacte de stabilité et de croissance révisé, avec une limite inférieure de déficit structurel de 0,5 % du produit intérieur brut aux prix du marché. Les parties contractantes veillent à assurer une convergence rapide vers leur objectif à moyen terme respectif. Le calendrier de cette convergence sera proposé par la Commission (...)

    #A_la_Une #Economie #Politique #Cour_de_justice_européenne #déficit_public #Dette #dettes_publiques #Europe #Henri_Sterdyniak #Jean-Marc_Ayrault #OFCE #règle_d'or

  • La position politique des verts est en fait relativement simple et repose sur une fine connaissance des mécanismes européens : le traité budgétaire ne porte aucune avancée européenne mais représente une régression de la méthode fédérale au profit d’une approche intergouvernementale.

    Pourquoi est-il acceptable de ne pas soutenir l’adoption du traité budgétaire européen ? http://www.taurillon.org/Pourquoi-est-il-acceptable-de-ne-pas-soutenir-l-adoption-du-traite,05195

    #TSCG #Europe #EELV

  • Un traité de circonstance, inutile et dangereux - Presse fédéraliste
    http://www.pressefederaliste.eu/TSCG-traite-circonstance-inutile-dangereux?var_mode=calcul

    A monnaie unique, dette unique, financée par un budget de l’eurozone alimenté par des ressources propres et bien entendu complété par une centralisation du pouvoir d’émettre de la dette publique. La plus grande contribution que l’UE pourrait faire aujourd’hui à la croissance mondiale est de transformer l’eurozone en une euro-Communauté au sein de laquelle la Banque centrale européenne retrouverait enfin toutes les marges de manoeuvre dont elle a besoin pour contribuer à réduire le coût de la dette et à garantir le bon fonctionnement du marché du crédit. En fait, si l’eurozone n’a pas besoin d’un traité budgétaire, elle a besoin d’une Constitution.

    #TSCG #Europe