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  • Et Claude Guillon créa l’excommunication… et oublia le négationnisme-Non Fides
    http://www.non-fides.fr/?Et-Claude-Guillon-crea-l-excommunication-et-oublia-le-negationnisme

    @Ad Nauseam - Remarque préliminaire : ce texte apparemment nécessaire — vu le niveau de publicité et les imprécisions majeures diffusées — a été écrit suite au premier texte de Claude Guillon publié le 29 juillet. Depuis il persiste, signe et aggrave les menaces et les attaques personnelles, s’enfonçant tout seul dans (...)

    #Non_Fides / #Mediarezo

  • relogement vs « évacuation », les bidonvilles en France, d’hier à aujourd’hui, Lola Schulmann via @vacarme
    http://www.vacarme.org/article2716.html

    En 1966 environ 75 000 personnes vivent dans des bidonvilles en France. Pour l’essentiel des travailleurs et leurs familles, plus pauvres que les pauvres, aux 4⁄5e immigrés. La question est prise dans celle d’une crise du logement persistante, et posée comme telle par les groupes et partis mobilisés. Aujourd’hui 15 à 20 000 y vivent encore. Mais on parle à peine de crise du logement. Plutôt de « #campements_illicites ». Parce que la plupart de leurs habitants sont roms ? Sans droits, pas de toit ; sans toit, pas de droits, semble dire l’adage français.


    Les bidonvilles en Ile-de-France en 1966.


    Évacuations des bidonvilles en Île-de-France en 2013.

    #Bidonvilles #prolétariat #migrants #logement #politiques_publiques

  • Lundi 1er juillet à 19h, #rencontre des #archives_Getaway , à la Maison Ouverte, 17 rue Hoche, M° Mairie de Montreuil ou Croix de chavaux.

    Une série de rendez-vous réguliers pour partager les initiatives et chantiers en cours, envisager de nouvelles pistes de travail.

    Programme :

    • Radios libres, pirates, de lutte, de mouvement... Ouvrir à un travail autour de ces pratiques, cerner comment ce médium a été investi, ce qu’il a de particulier. On se demandera quelles tentatives ont eu lieu ? pour porter quelles paroles, quelles propositions ? dans ou hors d’un mouvement, d’une lutte ? est-il intéressant de se donner les moyens de retrouver des enregistrements ? qu’en faire ? Grâce aux documents disponibles, on essayera de comprendre comment était composé et par quoi était traversé le mouvement des radios libres, et d’envisager ce qu’on pourrait en faire aujourd’hui.

    • Projection de Radio Alice à Paris , film tourné fin 1977 en vidéo, à la paluche, par François Pain. #Bifo parle à Laborde. Des membres de #Radio_Alice sont à Paris et enregistrent une émission de radio. Des images de Bologne. Ce film est resté, à notre connaissance, invisible depuis une trentaine d’années. Nous avons pu le faire nettoyer et numériser pour le diffuser à nouveau.

    • Des nouvelles du fond. Depuis l’inauguration des archives, un fond conséquent nous a été confié. Nous en ouvrirons ensemble un élément : la petite valise verte.

    http://getaway.eu.org/accueil

    http://getaway.eu.org/presents

    #luttes_sociales #groupes_révolutionnaires

    • Je pense qu’il est assez complexe de commettre un blog comme « Rouge mécanique » (http://rougemecanique.noblogs.org) et de monter un projet d’archive qui, pour fonctionner, aurait bien besoin d’une logique de confiance.
      Pour être plus précis, l’appel des « archives getaway » faisait une remarque en passant sur l’éventuelle découverte d’un vieil ordinateur d’un antitech’ comme une bonne prise. Bonne blague, on se tape les cuisses bien fort, mais le petit malin qui connaît l’initiative sait aussi que c’est le mépris qui transpire...
      Or, si je me rappelle bien, l’appel des archives getaway insistait beaucoup sur le fait qu’il fallait accéder à plusieurs aux archives, qu’il fallait contrôler leur accès. En ce qui me concerne, je m’imagine mal m’y ballader avec un garde-chiourme me soupçonnant en permanence d’essayer de grimer ma profonde aversion pour mes contemporains et leur technophilie intrinsèque sous un discours habile —auquel il n’est pas dupe— insistant sur la nécessité d’une lutte sociale contre l’emprise de plus en plus grande, au travail comme dans la vie quotidienne, d’une gestion numérique, à la fois contrôlante et dépossédante, qui contribue à élargir et approfondir notre exploitation...

      Je leur proposerai néanmoins, pour leurs archives, ce texte qui venait répondre à une embrouille (en 2003) entre eux et les « antitechnophiles » qui vient les points sur les « i » :
      http://fr.scribd.com/doc/120776769/A-propos-de-quelques-grognements-et-aboiements%E2%80%A6

      Et j’invite à lire ce texte à hurler de rire, issu de la revue Hic Salta 98, qui tente de définir le communisme. J’invite à lire ce texte car Hic Salta 98 est une référence citée sur Rouge mécanique... En pratiquant comme eux l’amalgame, je me demande si ce genre de texte http://www.hicsalta-communisation.com/hic-salta-98/le-communisme-tentative-de-definition est leur manière de ne pas affronter la question technologique. Chacun en jugera.

      Voilà pour un peu plus de développement.

    • Le Jargon Libre organise justement, pour s’auto-financer, une Bourse aux livres samedi.

      http://www.demosphere.eu/rv/26898

      Pour que vive le Jargon Libre
      Samedi 15 juin de 15h à 21h deuxième Bourse aux livres

      Et à 19 h, toujours au Jargon Libre, c’est l’occasion de boire un apéro ensemble et d’écouter Houligani Dangereux dans une opéra minimal, violon et voix...

      Au Jargon Libre
      32, rue Henri-Chevreau- 75020 Paris

      Métro Menilmontant, Gambetta ou Jourdain

      Le Jargon Libre, bibliothèque de consultation,
      livres sur le mouvement libertaire et révolutionnaire,
      est ouverte tous les jours du Lundi au Samedi de 15h à 20h.

    • j’ai reçu ça à vous transmettre :

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      Mise au point des archives Getaway

      – Les mots clés proposés par kamo ne laissent aucun doute sur le fait qu’il s’agit d’une provocation calomnieuse. A moins qu’il ne pense au « sectarisme ouvrier » revendiqué par le texte de présentation du premier numéro de la revue Camarades, ? Les amalgames et approximations qui suivent l’excluent sans ressembler pour autant à un développement critique. Sans rentrer dans aucun débat stérile, une courte mise au point semble nécessaire

      – Le projet auquel nous travaillons est une affaire sérieuse et nous ne voyons pas en quoi le bien nommé « grognements et aboiements » le concerne, ni la question des radios libres, sauf à vouloir ouvrir une sous-catégorie symptomatologie, auquel cas il ne faut pas hésiter à venir le proposer en personne.

      – Les participants aux archives peuvent intervenir sur des champs politiques variés (on ne peut pas tous prétendre à la neutralité des sociologues) et il semble assez mal placé que quiconque veuille l’interdire, même s’il se trouve en désaccord avec ces positions.

      – L’annonce d’une initiative publique sur internet n’est pas le lieu où déverser frustrations projectives et ressentiments.

      Nous souhaiterions que les mots clés calomnieux et injustifiés qui placent Getaway aux côté des opposants au « mariage pour tous » soient retirés et que cette personne qui a déjà franchi quelques limites comprenne qu’il est plus que temps de cesser ses provocations.

    • Je ne comprends pas bien l’articulation entre le deuxième et le troisième paragraphe.
      « Rouge mécanique » correspond-t-il à une « intervention dans le champ politique » ? Dans ce cas, pourquoi ne pas reconnaître cette qualité à la brochure « à propos de quelques grognements et aboiements », et ne pas la réduire à de la symptomatologie ? Qu’est-ce qui vient tracer la limite entre « symptomatologie » et ce qui relève du sérieux de la politique (ou de l’archive) ? Les conflits qui concernent des petits groupes d’individus sont-ils insignifiants ? À partir de combien de personnes cessent-ils de l’être ? Comment mesure-t-on ce qui n’est que « frustration projective et ressentiment » ? Qui décide ? Quand s’arrête le psychologique ? Quand commence le politique ?
      S’il n’y a pas d’articulation entre les deux paragraphes, dans ce cas, il s’agit d’un faux procès de ma part, et je m’en excuse. Il est effectivement souhaitable de faire qu’un large spectre de positions politiques, qui se voient de gré ou de force liées à une « aire radicale », puisse trouver des lieux d’archive et de recherche communes, et que soit mis en débat ce qui peut trouver sa place ou non. Dans ce cas, je retire évidemment mes indexations.
      Quand à la phrase – « L’annonce d’une initiative publique sur internet n’est pas le lieu où déverser frustrations projectives et ressentiments », je suis tout à fait d’accord. Il vaut mieux se rendre à l’évènement en question, bien discuter, comprendre comment les positions ont évolué (si c’est le cas), et avancer. Je me rappelle que la mise en ligne du blog « Rouge mécanique », au moment de l’ouverture de l’appel des 451 m’avait déplu, pour cette raison notamment.
      Pour cette histoire d’association entre « getaway » et les opposants au « mariage pour tous »... Je suis sincèrement désolé, mais je ne sais absolument pas comment ce genre d’opération se réalise et comment elle peut se défaire.

    • Pour cette histoire d’association entre « getaway » et les opposants au « mariage pour tous »... Je suis sincèrement désolé, mais je ne sais absolument pas comment ce genre d’opération se réalise et comment elle peut se défaire.

      Eh bien si tu veux maintenir tes « appréciations », il suffirait d’enlever les # devant les termes que tu employais en modifiant tes deux post précédents pour que l’article ne soit plus référencé avec les fafs... (sauf si le logiciel de référencement automatique faisait des siennes).

      Sinon, j’ai pas pu aller aux rencontres évoquées (dont ceci est sorti publiquement au préalable http://getaway.eu.org/IMG/pdf/liasse3_radio_versionweb.pdf), c’était sectaire et intéressant ou inintéressant et pas sectaire, ou encore autrement ?

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    Nous collectons des tracts, brochures, affiches, livres, objets, sons, images, films liés aux luttes sociales et groupes révolutionnaires. Notre intérêt se porte sur la période allant des années 60 à aujourd’hui, sur ce qui s’est produit au plus près des luttes, qui émane principalement de collectifs éphémères et de mouvements tendant à dépasser le cadre des partis et syndicats, et qui donc, bien plus que les livres édités, est amené à disparaître si on n’en organise pas la conservation.

    Ce pourrait être : le plan de tournage d’un ciné tract, un tract d’un collectif de mal logés de votre quartier, un carton de brochures de votre oncle qui a été maoïste dans les années 70, le compte rendu de réunion d’un comité de quartier post 68, un album photo d’un squat des années 80, la bibliothèque d’un syndicaliste révolutionnaire, l’ordinateur d’un anti-technologie en lutte, si vous en trouvez un, la banderole d’une occupation d’Anpe dans les années 90 par des jeunes précaires, le film super 8 d’une manifestation quelconque, un des djembés du collectif de sans papiers de la Maison des Ensembles, l’affiche d’appel à mobilisation pour Klaus Croissant, un enregistrement sur bande magnétique d’une assemblée générale d’occupation à Billancourt, la transcription d’une discussion entre Guattari, Foucault, Fritz Lang, Tronti, Walter Benjamin et la femme de ménage en lutte du collège de France, un exemplaire du guide juridique « s’évader sans peine », la maquette d’un cortège de l’autonomie organisée, le 33 tours d’un chant de lutte en français pas trop insupportable à écouter, des croquis d’un foyer Sonacotra en grève, la vraie recette de la composition de classe, le plan de tissage de votre grand-mère bigouden traditionnellement en lutte contre le folklore, le plateau repas d’un gréviste de la faim des QHS, un des chapeaux des bombeuses à chapeau, le cahier de slogans d’un comité de lycéens, le clic-clac d’un psychiatre de l’anti-psychiatrie, la mob d’un jeune prolétaire rebelle métropolitain, la gamelle d’un sidérurgiste en grève, un slogan intéressant avec son fragment de mur ou à défaut une photo, une carte postale opéraïste... On irait jusqu’à prendre une tasse dessinée par Rodchenko. Par contre nous ne prendrons ni le bol à cheveux de Bernard Thibault, ni la cravate de Georges Marchais, ni l’exemplaire rare du discours dactylographié d’André Malraux accueillant les cendres de Jean Moulin au Panthéon – sauf pour financer les archives.

    Remuer le passé, lui demander des réponses et des explications n’est pas une opération anodine, recueillir des documents, s’en faire les dépositaires c’est aussi contracter une dette, c’est s’engager à essayer d’être à la hauteur des événements, victoires et défaites, joies, espoirs et désillusions qu’ils peuvent contenir. Ce n’est pas une responsabilité que l’on peut endosser seul. C’est aussi pour éviter les écueils d’un regard inapproprié sur cette histoire que la forme collective nous semble le mieux répondre à ce rôle, c’est comme une sorte de garantie contre les analyses vaines, pour trouver de la bienveillance, de l’intelligence et de la perspicacité.
    Mais le passé est muet. Face à lui, pour éviter le soliloque, nouer le dialogue au présent, dégeler ces paroles qui nous parviennent comme prises dans la glace, il faut être plusieurs. D’autres part, pour lui redonner vie, nous avons besoin de formes collectives capables de recevoir ses traces, aussi parce que pour la plupart elles sont le reste d’une élaboration collective. En somme nous souhaitons inventer des formes de travail. Ça pourrait être : appeler largement à venir lire et réfléchir ensemble sur une partie des archives qui serait à cette occasion déplacée dans un lieu public, élaborer une réédition avec des vrais morceaux de présent dedans, à partir de matériaux issus du fond préparer une discussion, la transcrire puis la diffuser, enquêter en partant de documents pour mieux comprendre une situation de lutte, bref, créer l’occasion d’articuler du travail collectif et du travail public, à ciel ouvert.

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    Nous collectons des tracts, brochures, affiches, livres, objets, sons, images, films liés aux luttes sociales et groupes révolutionnaires. Notre intérêt se porte sur la période allant des années 60 à aujourd’hui, sur ce qui s’est produit au plus près des luttes, qui émane principalement de collectifs éphémères et de mouvements tendant à dépasser le cadre des partis et syndicats, et qui donc, bien plus que les livres édités, est amené à disparaître si on n’en organise pas la conservation. À partir de ces matériaux nous proposons d’organiser du travail collectif, public quand cela s’y prête, que cela soit pour enquêter à partir de documents, vérifier ou invalider une hypothèse, élaborer l’édition ou la réédition d’un texte, écrire un fragment de l’histoire des luttes. Source : Relevé sur le Net...