Damon Hill calls on FIA president Jean Todt to clarify Bahrain stance | Sport

Comme l’année passée, le GP est devenu le symbole du dialogue de sourds au Bahreïn : il attire l’attention internationale sur les manifestations dont la répression violente est dénoncée par l’opposition et, dans la version du gouvernement, permet de montrer que le régime tient la situation en main... le monde est pris à témoin, mais rien ne bouge sur le front des négociations intérieures.

Samira Rajab, également ministre d’Etat à l’Information, a ajouté que « l’état de la sécurité à Bahreïn est très rassurant » et souligné que l’organisation du GP avait « des incidences positives sur l’économie bahreïnie ». Parallèlement, l’opposition chiite a poursuivi ses manifestations pour la troisième journée consécutive en prévision du GP de F1, qui se déroulera du 19 au 21 sur le circuit de Sakhir, au sud de Manama. Des milliers de personnes ont ainsi défilé dans le calme à Dair, un village proche de l’aéroport international de Bahreïn, sur la deuxième grande île de l’archipel, Muharaq.

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