• The New #Web #Typography
    http://ie.microsoft.com/testdrive/Graphics/opentype/opentype-fontbureau/index.html

    TYPE ON THE WEB IS ABOUT TO CHANGE FOREVER. AGAIN.
    As the #font-face rule emerged, it brought with it sweeping changes to the visual landscape of the web. The designer’s toolkit grew substantially, but this integration was only partial. Many typefaces were stripped of their most powerful features: things like swashes, alternates and small caps. These details help to make typefaces more useful and expressive. Now, as #OpenType features become accessible in more browsers, this expressive power can raise typography on the web to an even higher level.

    TABLE OF CONTENTS
    Small Caps
    Ligatures
    Numerals
    Kerning
    Fractions
    Alternates

    • Arg : le premier exemple est (évidemment ?) l’utilisation des small caps.

      / use small-caps /
      .smallcaps {
      -moz-font-feature-settings : « smcp=1 » ;
      -ms-font-feature-settings : « smcp » 1 ;
      }

      Sauf qu’en CSS, il y a déjà ça :

      font-variant: small-caps;

      Le second exemple indique comment « activer » les ligatures qui sont déjà activées par défaut (liga), et que tu peux déjà forcer par :

      text-rendering: optimizeLegibility;

      Un autre exemple explique comment « activer » le kerning (dont on peut tout de même espérer qu’il est toujours activé par défaut), que tu peux déjà forcer par :

      text-rendering: optimizeLegibility;

      Et comme le dit la recommandation :
      http://dev.w3.org/csswg/css3-fonts

      Authors should generally use ‘font-variant’ and its related subproperties whenever possible and only use this property for special cases where its use is the only way of accessing a particular infrequently used font feature.

      On a donc ici 3 exemples (sur 6) qui consistent à recommander d’appeler le nom informatique d’une feature OpenType dans un appel cryptique de bas niveau (les features OpenType correspondent, de manière standardisée, à des caractéristiques typographiques identifiées et nommées), plutôt que d’appeler des CSS « normales » et lisibles par un être humain.

  • Égypte : le pouvoir égyptien écoutait les conversations Skype des opposants | bluetouff
    http://reflets.info/egypte-le-pouvoir-egyptien-ecoutait-les-conversations-skype-des-opposants

    Le site OnlineWSJ révèle aujourd’hui comment les services intérieurs égyptiens écoutaient les conversations Skype des dissidents. Si vous avez suivi notre petite série d’articles sur le Deep Packet Inspection, vous comprenez aisément que nous, occidentaux, avons de quoi nous sentir assez mal à l’aise avec la vente de certains équipements à des pays dont on sait qu’ils les destinent à l’instauration de la terreur, souvent accompagné de sanglantes répressions. Pour faire simple nous les qualifierons ici d’armes numériques que les dictatures n’hésitent pas un instant à retourner contre leur peuple. La dernière affaire qui à été mise à jour ciblait donc Skype, le logiciel de communication sur IP récemment racheté par Microsoft. Première information, l’Égypte disposait bien d’une force de frappe électronique offensive et de pénétration. Le reversement du régime de Mubarak a permi d’exhumer des notes des service de renseignements intérieurs attestant de l’espionnage et de la mise

  • @seenthis : nouveau flux RSS, destiné à l’export vers #Twitter

    – L’adresse de ce nouveau flux est :
    http://seenthis.net/people/arno/feed_tw
    (remplacer « arno » par votre login).

    Ce flux est une version extrêmement simplifiée : le descriptif de chaque billet est une version raccourcie à 140 caractères, URL en « seen.li » déjà incluse. Il est donc conçu pour être synchronisé, automatiquement, avec Twitter.

    Pour effectuer la synchonisation avec Twitter, récupérez l’URL de ce flux, et ouvrez un compte (gratuit) sur Twitterfeed :
    http://twitterfeed.com
    Là, vous pouvez ajouter des flux RSS qui seront automatiquement expédiés sur votre compte Twitter. La seule subtilité, ici, c’est de bien configurer les « Advanced Settings » dans l’étape 1 (il faut cliquer sur le petit triangle de Advanced Settings ») :
    – dans l’entrée « Post Content », il faut définir précisément ce qu’on va poster, parce que le flux de Seenthis a déjà largement fait le travail ;
    – dans le menu « Include », il faut indiquer « description only » ;
    – à droite, il faut décocher « Post Link », parce que le lien est déjà dans la description.

    http://twitpic.com/59w5i6/full

    Pour rappel :
    – votre flux public « normal » est :
    http://seenthis.net/people/arno/feed
    – votre flux de tout ce que vous suivez est :
    http://seenthis.net/people/arno/follow/feed

  • Le Paris touristique, ses étrangers et ses logements | Seb Musset
    http://owni.fr/2011/06/12/paris-immobilier-touristique-etrangers-logements-pied-a-terre

    Les propriétaires d’appartements parisiens louent de plus en plus à la semaine. De beaux appartements pour un temps court ? Les touristes sont ravis et les proprios se remplissent les poches, le tout au détriment des « autochtones ».

    #Economie #Pouvoirs #paris #foncier #ghetto #immobilier #logement #tourisme

    • Vraiment pas intéressant, c’est de la considération de techos : ça part du principe que ce qui est posté sur les différents « réseaux sociaux » est indifférent, et que tout ce dont on a besoin, c’est d’un moyen technique pour les interconnecter, décentraliser, et recentraliser chez soi.

      Mais ce qui caractérise les réseaux sociaux, ça n’est pas le serveur central qui héberge chacun d’entre eux, ou le fait que ça se décentralise très bien. Les caractéristiques qui les rendent incompatibles, c’est :

      – les contenus sont fondamentalement différents, aussi bien dans le format que dans le fond de ce qu’on souhaite transmettre ; personne ne fait/dit/échange la même chose sur Facebook, Twitter, Linkedin, Seenthis, Flickr, SoundCloud, BlogSpot, Delicious etc. ;

      – personne n’a les mêmes réseaux de contacts sur les différents outils ; pas par difficulté technique, mais par finalité. Je n’ai pas le même rapport à mes « amis » de Facebook qu’à mes « contacts » de Twitter. Je ne parle pas politique sur l’un comme je parle sur l’autre... je ne parle pas de ma famille à des gens que ça n’intéresse pas...

      – on n’a pas le même rapport à la vie privée sur ces différents outils ; on ne communique pas la même chose aux mêmes personnes (points précédents), donc on n’a pas le même rapport à ce qui est secret et à ce qui est public selon chaque réseau.

      Du coup, se poser la question en terme d’un machin interopérable, décentralisé, libre, codé en Python ou hébergé sur Freebox, je ne trouve pas ça intéressant en soi, parce que c’est passer à côté de ce qui fait l’intérêt d’avoir différents réseaux :
      – dire des choses différentes dans des formats différents,
      – à des personnes différentes sélectionnées selon des critères différents,
      – avec des niveaux de confidentialité/publicité différents.

      Ces questions ne sont pertinentes que si elles permettent d’améliorer la réponse à un projet éditorial (ce qui fait le cœur d’un réseau social).

    • Seenthis.net est actuellement une petite communauté très sympathique, et j’y trouve largement mon compte en tant qu’utilisateur.

      De plus j’ai mes sauvegardes pour me barrer sur autre chose (ne serait-ce que revenir à delicious) dès que le site se mettra à ne plus fonctionner, ou si d’aventure la « haute main » de @seenthis commence à me déplaire.

      Cependant, on en a déjà parlé : perso, j’ai besoin pour mes différents moi-mêmes (militant, professionnel, geek, artiste, loir-et-chérien, etc) de différents réseaux sociaux — qui pourraient être autant d’instances de #seenthis. Ne serait-ce que de ce point de vue, le fait que l’outil #seenthis n’est à l’heure actuelle pas décentralisable/réinstanciable n’est pas un argument négligeable.

      Je pense, et je l’ai déjà dit, que @seenthis aurait tout bénéfice à distinguer le code informatique et le site. Ca n’est pas incompatible avec une logique d’entreprise ; si l’on regarde status.net, c’est essentiellement du fait que le logiciel est libre qu’il a autant de succès, car sur la base de ses qualités propres, il n’aurait à mon avis jamais percé.

      S’il n’est pas envisagé à terme de vendre des instances et de libérer le code, je finirai — par nécessité — par tourner mes autres moi-mêmes vers d’autres solutions, qui me plairont moins (on a ici la meilleure interface qui soit actuellement sur le marché, et en plus c’est sous #SPIP !) et qui ne bénéficieront pas forcément à « seenthis » — au code comme au site.

      Maintenant il faut voir que le site est actuellement en bêta et que le code demande peut-être encore un peu de polissage avant d’envisager des grands plans de diversification avec tout ce que ça implique.

      Pour ce qui est de la décentralisation/réplication des données, les méthodes sont légion (nntp, git, ostatus, thimbl [ssh+finger], rss, etc.), et tout ça finira bien par converger.

    • Il existe déjà des formats qui permettraient de maitriser ses données et d’éviter de se disperser. Et qui ne semble pas incompatible avec les besoins de @seenthis et de @cerdic

      On peut noter au moins le projet FOAF (http://www.foaf-project.org) dont l’objectif est gérer la granularité de ses réseaux et amis, qui permettrait de causer famille uniquement avec les personnes concernés sous la forme souhaité et laisser la politique là où c’est bien.

      Il existe aussi le format OMB (qui semble depuis renommé OStatus) pour permettre l’échange des informations entre les différents supports de réseau sociaux.
      Status.net (enfin ex laconica) permet déjà via ce format de communiquer en partie avec twitter

      On peut noter aussi que la question de maitrise de ses données numériques n’est pas qu’une question pour techos, on peut se référer sur les réflexions de Benjamin Bayart.

    • Pourquoi « que de techos » alors que ça dit bien qu’il faut que ce soit installable et utilisable en deux clics par n’importe qui ?

      Un réseau social peut très bien proposer plusieurs formes de messages différent (cf tumblr) : court, long, photo, etc. Et ensuite quand on poste quelque chose on pourrait très bien le poster : à tous, juste à ma zone « famille », juste à ma zone « travail », etc. Je ne vois pas pourquoi il faudrait forcément plusieurs réseaux totalement différents pour cela, c’est juste une question de conception (prévoir d’avoir différents flux pour différents types de personnes avec différents droits) puis d’interface (montrer ces choix au moment de poster). Rien de bloquant par rapport au CDC sus-cité.

    • Je rappelle que la maîtrise de vos données numériques, sur Seenthis, est directement assurée par l’export, au niveau de l’API de Seenthis, de l’intégralité de vos messages, au format standardisé ATOM. (Et il n’est pas nécessaire de passer par un logiciel spécial pour le faire. C’est vraiment pas compliqué à récupérer à la main.)

    • Attention avec la comparaison avec StatusNet, tout de même :

      StatusNet Inc. Hires Mark Ruddock as CEO | StatusNet
      http://status.net/2011/06/07/statusnet-inc-hires-mark-ruddock-as-ceo

      MONTREAL, QC – StatusNet Inc. has hired veteran technology executive Mark Ruddock as its new CEO. Ruddock, with twenty years of experience in software startups, will guide the company through its next stage of growth as it expands to serve more corporate customers.

      et :
      http://www.crunchbase.com/company/statusnet

      StatusNet :
      – janvier 2009 - 150.000 dollars
      – octobre 2009 - 875.000 dollars
      – août 2010 - 1.270.000 dollars
      – total : 2.300.000 dollars.

      Quand tu es une startup, le logiciel est très accessoires (ça se fait développer en Inde pour pas cher) : dans la logique startup, toute la logique est dans l’investissement capitalistique rapide et de le développement « accéléré » de l’entreprise.

      Seenthis, c’est moi avec mon serveur, je ne suis pas une startup, je n’ai pas d’investisseurs, je n’embauche pas un CEO, je n’ai donc pas les liquidités pour faire des investissements massifs de marketing pour « prendre le marché » et pour tourner à perte pendant des années. Je dois donc faire autrement.

    • Je ne sais pas quelle est la « logique startup », d’autant que l’on peut se demander si une boîte de plus de deux ans est toujours une jeune pousse.

      Toujours est-il que la nouvelle tendance, en ce moment, ne semble pas être d’acheter des entreprises dans l’espoir que le marché se développe pour l’envahir, comme c’était le cas à la fin des années 1990. La dernière tendance en date semble être d’acheter des équipes.

      En d’autres termes, il semblerait que les investisseurs — ou plutôt les entreprises déjà établies disposant de gros capitaux prêts à être investis — considèrent désormais que non, on ne peut pas développer un logiciel d’exception par des Indiens sous-payés, mais que, tout comme pour un chef d’œuvre littéraire, c’est l’équipe travaillant à l’élaboration du logiciel qui apporte sa valeur ajoutée avant tout, et que cette même équipe, même si elle n’a travaillé sur aucun succès commercial, n’en reste pas moins séduisante pour sa synergie et son talent. Qu’elle soit américaine, française, russe ou indienne importe peu. Elle doit avoir des points qui la distinguent des autres, et le potentiel d’apporter une valeur ajoutée exceptionnelle.

      C’est ainsi que Facebook a racheté non pas la société finlandaise Sofa, mais son équipe, ou du moins une partie de celle-ci, qui quitte désormais la Finlande pour les Etats-Unis.

    • Martin, ça n’est pas le sujet. Je faisais remarquer que Status.net a une forme d’entreprise très particulière, qui peut se permettre de travailler à perte en diffusant un logiciel libre, et en levant 2.3 millions de dollars en deux ans. Donc donner ça comme exemple à suivre, je ne suis pas d’accord.

    • Je ne sais pas si la discussion a avancé sur ce sujet. Perso, j’ai lancé, pour tester, une instance perso de Statusnet (ce qui n’est pas à la portée de tou-te-s), et j’aimerais vraiment pouvoir l’interconnecter avec @Seenthis (qui est lui, à la portée de tou-te-s) un jour...

      C’est vrai qu’Ostatus est une piste intéressante

  • Chicago : le parrain du datajournalisme ? | Mael Inizan
    http://owni.fr/2011/06/20/chicago-le-parrain-du-datajournalisme

    Des premiers #hackers-journalistes à la News Application Team du Chicago Tribune, le sociologue Sylvain Parasie revient sur l’essor du datajournalisme dans la ville d’Al Capone.

    #Cultures_numériques #Journalisme #Adrian_Holovaty #bases_de_données #chicago #Chicago_Tribune #data #datajournalism #EveryBlock #washington_post