Les femmes au travail, c’est bon pour la croissance

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  • Les femmes au travail, c’est bon pour la croissance
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/12/17/les-femmes-au-travail-c-est-bon-pour-la-croissance_1807301_3234.html

    Si davantage de personnes de la gent féminine entraient dans la vie active, c’est-à-dire exerçaient un travail rémunéré, la croissance économique mondiale bénéficierait d’un véritable « coup de fouet », affirment les experts de l’OCDE dans un rapport intitulé « Inégalités hommes-femmes, il est temps d’agir », publié lundi 17 décembre.

    « Toute diminution de 50% de l’écart hommes-femmes en termes de taux d’activité devrait aboutir à une hausse du taux de croissance du produit intérieur brut par habitant de 0,3 point de pourcentage ; et de 0,6 point dans l’hypothèse d’une convergence totale d’ici à 2030, ont-ils calculé, en se basant sur les taux de croissance à long terme des économistes de l’Organisation. Ce qui équivaut à une progression totale de 12 % du PIB sur vingt ans. »

    • Quel horreur le titre de cet article ! Comme si les femmes passaient actuellement leurs journées devant les feux de l’amour et dans les salons de coiffure...

      Je suis d’accord pour le reste, renvoyons les mecs torcher leurs mômes à la maison et laissons les femmes gérer les affaires du monde, le monde ne pourra pas aller plus mal ..

      Mais bon, confier son avenir à une femme, voilà qui semble en étrangler plus d’un...

      Moins de crédits pour les dirigeantes d’entreprise
      Les femmes chefs d’entreprise empruntent beaucoup moins que les hommes dans la même situation, constate le rapport de l’OCDE sur les inégalités hommes-femmes. Que ce soit pour créer leur entreprise ou pour la faire fonctionner.
      Les femmes seraient plus réticentes à chercher des crédits, constate le rapport. Est-ce par prudence, par manque d’ambition ? Ou parce qu’il leur est plus difficile et plus coûteux de contracter des prêts ?
      Sans trancher, le rapport note néanmoins que cette deuxième raison prévaut dans plusieurs pays. Ainsi, au Canada, les femmes doivent fournir davantage de pièces justificatives aux établissements financiers que leurs homologues masculins. Et en Italie, les femmes entrepreneurs se voient demander des taux d’intérêt plus élevés.