Un point qui me parait important : les variantes (c’est bien d’avoir un moyen standard et officiel de le préciser).
Le plus important est sans doute variant qui désigne le dialecte Markdown particulier utilisé. Ce fut l’une des plus chaudes discussions à l’IETF avant la sortie de ce RFC. Notamment, fallait-il un registre IANA des variantes (une sorte de catalogue des dialectes) ou bien laisser les auteurs mettre ce qu’ils veulent, ce qui correspondait mieux au côté très peu organisé de la « communauté » Markdown, très informelle ? (Différentes versions du draft qui a mené à ce RFC faisaient des choix différents.) Le paramètre variant
a finalement un registre (section 6.1) mais l’émetteur n’est pas obligé de se limiter aux valeurs de ce registre. Il faut considérer la valeur de ce paramètre comme une simple indication. Parmi les valeurs actuellement enregistrées : Original (le Markdown des débuts, celui de Gruber), GFM (celui de GitHub), pandoc (celui de ce logiciel), CommonMark (le candidat à la normalisation) etc.