The ABC of mobility
▻https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0160412024001272#s0030
(Data for nearly 800 cities across 61 countries is used to model car use and its relationship with city size and income)
#mobilité #cars #US
The ABC of mobility
▻https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0160412024001272#s0030
(Data for nearly 800 cities across 61 countries is used to model car use and its relationship with city size and income)
Je classe les taxis sous #transport_publique et les #uber sous #car / #voiture. C’est une vision des choses qui s’impose en Allemagne où les taxis font (encore) officiellement partie des moyens de transport publiques.
Dans la réalité c’est vrai aussi car les taxis relient les stations de métro et train aux domiciles privés à toute heure et pour un prix fixé par l’état cad la municipalité. Pour les taxis il y a obligation d’accepter les passagers indépendamment de la distance et durée du trajet.
Bref les taxis contribuent à rendre plus attractifs les autres moyens de transport publiques et contribuent à la diminution du nombre de voitures alors que les uber ont l’effet contraire - avec du #dumping_salarial ils proposent des prix qui incitent à prendre un uber plutôt que le bus et en fin de compte les #vtc font augmenter le nombre de voitures dans les villes.
Pourquoi une cartographie sur le #génocide des #Tsiganes ?
Le travail a été lancé avant tout pour répondre à la difficulté de trouver un document cartographique satisfaisant dans les manuels scolaires. Les manuels parcourus (mais je n’ai pas observé toutes les éditions) consacrent peu de temps à la singularité du génocide des Tsiganes.
Un dépôt de ce travail sur cette plateforme me semble utile pour les enseignants et les élèves qui l’utilisent, en espérant que le document soit utile.
▻https://www.cartolycee.net/spip.php?article272
Pour l’amour de l’automobile : retour sur l’histoire de nos désirs
▻http://carfree.fr/index.php/2024/04/30/pour-lamour-de-lautomobile-retour-sur-lhistoire-de-nos-desirs
Voici un article de l’économiste allemand Wolfgang Sachs publié initialement en 1984 et traduit en anglais en 1992 dans la revue Carbusters. Il s’agit d’un extrait du livre « For Love Lire la suite...
#Fin_de_l'automobile #Insécurité_routière #Livres #Ressources #allemagne #consommation #culture #économie #féminisme #histoire #motorisation #nuisances #société #Suisse
#Fascisme & #Extrême-droite – siamo tutti antifascisti
Depuis l’arrêt de mes articles « Dans mon historique » (►https://lunatopia.fr/categories/historique), je réfléchi au format qui me conviendrait pour les remplacer. Je l’ai dit dans le dernier en date, je sature du format, et j’ai envie d’écrire plus, de donner mon avis, au lieu de me contenter de relayer celui des autres.
Et pourtant, je n’ai presque rien publié depuis janvier 2022 : un article sur mes débuts en linogravure (▻https://lunatopia.fr/blog/premiers-pas-linogravure), et trois articles sur mes lectures du début (▻https://lunatopia.fr/blog/mes-lectures-5) et de la fin de l’année (▻https://lunatopia.fr/blog/mes-lectures-6), ainsi que sur Mon territoire de Tess Sharpe (▻https://lunatopia.fr/blog/mon-territoire-tess-sharpe), mon roman préféré de 2022. [Edit : j’ai mis tellement de temps à finir cet article que j’ai depuis repris la publication des Dans mon historique (►https://lunatopia.fr/categories/historique). Mais le constat de mon ras le bol tient toujours.]
En revanche, après une grosse période de ras le bol généralisé, j’ai recommencé à lire, à écouter, à me renseigner. Mais au lieu de me laisser porter par l’actualité et surtout par les paniques morales du moment, c’est-à-dire par l’agenda médiatique de la droite et l’extrême-droite ; j’ai décidé de me tourner vers des lectures de fond, plus théoriques, ou en tout cas qui conservent leur intérêt une fois passée la polémique du moment.
Ce qui m’a donné l’idée d’un nouveau type d’article, #recueil de liens là encore, mais avec plus de commentaires de ma part, et surtout : thématique. L’idée étant de pouvoir y revenir et les compléter au fur et à mesure que j’engrange des #ressources et des #références sur un sujet précis, afin de me constituer une base de connaissance militante à laquelle me référer et à partager, à la façon d’un #vade-mecum en quelque sorte.
Et on commence par un sujet léger : le fascisme & l’extrême-droite.
▻https://lunatopia.fr/blog/fascisme-extreme-droite-siamo-tutti-antifascisti
#vademecum #bibliographie #liste #playlist #livres #articles #podcasts #films #vidéos #ressources
Ligne de chemin de fer, ceinture verte, développement de la voiture individuelle
▻http://carfree.fr/index.php/2024/04/11/ligne-de-chemin-de-fer-ceinture-verte-developpement-de-la-voiture-individuel
Lisons ou re-lisons Mumford ! Dans son livre majeur publié en 1961 « La Cité à travers l’Histoire » (trad. de : The City in History, its Origins, its Transformations and its Prospects), Lewis Lire la suite...
#Alternatives_à_la_voiture #Fin_de_l'automobile #Livres #Marche_à_pied #Ressources #Transports_publics #Vélo #banlieues #campagne #histoire #périurbanisation #planification #société #trains #transports #transports_en_commun #urbanisme #usa #ville
Discover where ancient rivers flow under Canadian cities | CBC News
▻https://newsinteractives.cbc.ca/features/2024/daylighting-rivers
Accro à l’automobile
▻http://carfree.fr/index.php/2024/04/02/accro-a-lautomobile
Nouvelles pistes cyclables. Bus locaux gratuits. Prix élevés de l’essence. Offres spéciales pour les trains. Zones sans voitures. Certains endroits ont tout essayé pour rendre l’utilisation de la voiture aussi Lire la suite...
#Fin_de_l'automobile #Ressources #addiction #dépendance #drogue #enfants #psychologie
Discrimination 2.0 : ces algorithmes qui perpétuent le racisme
L’IA et les systèmes algorithmiques peuvent désavantager des personnes en raison de leur origine, voire conduire à des discriminations raciales sur le marché du travail. A l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, AlgorithmWatch CH, humanrights.ch et le National Coalition Building Institute NCBI mettent en lumière la manière dont les systèmes automatisés utilisés dans les procédures de recrutement peuvent reproduire les inégalités.
Les procédures d’embauche sont et ont toujours été caractérisées par une certaine inégalité des chances. Aujourd’hui, les entreprises utilisent souvent des systèmes algorithmiques pour traiter les candidatures, les trier et faire des recommandations pour sélectionner des candidat·e·x·s. Si les départements des ressources humaines des grandes entreprises souhaitent augmenter leur efficacité grâce aux « Applicant Tracking Systems » (ATS), l’utilisation de tels systèmes peut renforcer les stéréotypes discriminatoires ou même en créer de nouveaux. Les personnes issues de l’immigration sont souvent concernées par cette problématique.
Exemple 1 : un algorithme qui préfère les CV « indigènes »
Une étude récente menée en Grande-Bretagne a comparé les CV sélectionnés par une personne experte en ressources humaines et ceux qu’un système de recommandation algorithmique avait identifiés comme étant ceux de candidat·e·x·s compétent·e·x·s. La comparaison a montré que les personnes que les recruteur·euse·x·s considéraient comme les meilleur·e·x·s candidat·e·x·s ne faisaient parfois même pas partie de la sélection effectuée par les systèmes basés sur des algorithmes. Ces systèmes ne sont pas capables pas lire tous les formats avec la même efficacité ; aussi les candidatures compétentes ne correspondant pas au format approprié sont-elles automatiquement éliminées. Une étude portant sur un autre système a également permis de constater des différences claires dans l’évaluation des CV. Ainsi, il s’est avéré que le système attribuait davantage de points aux candidatures « indigènes », en l’occurrence britanniques, qu’aux CV internationaux. Les candidat·e·x·s britanniques avaient donc un avantage par rapport aux personnes migrantes ou ayant une origine étrangère pour obtenir une meilleure place dans le classement.
Exemple 2 : les formations à l’étranger moins bien classées
En règle générale, les systèmes de recrutement automatisés sont entraînés de manière à éviter l’influence de facteurs tels que le pays d’origine, l’âge ou le sexe sur la sélection. Les candidatures contiennent toutefois également des attributs plus subtils, appelés « proxies » (en français : variables de substitution), qui peuvent indirectement donner des informations sur ces caractéristiques démographiques, par exemple les compétences linguistiques ou encore l’expérience professionnelle ou les études à l’étranger. Ainsi, la même étude a révélé que le fait d’avoir étudié à l’étranger entraînait une baisse des points attribués par le système pour 80% des candidatures. Cela peut conduire à des inégalités de traitement dans le processus de recrutement pour les personnes n’ayant pas grandi ou étudié dans le pays dans lequel le poste est proposé.
Les critères de sélection de nombreux systèmes de recrutement basés sur les algorithmes utilisés par les entreprises sont souvent totalement opaques. De même, les jeux de données utilisés pour entraîner les algorithmes d’auto-apprentissage se basent généralement sur des données historiques. Si une entreprise a par exemple jusqu’à présent recruté principalement des hommes blancs âgés de 25 à 30 ans, il se peut que l’algorithme « apprenne » sur cette base que de tels profils doivent également être privilégiés pour les nouveaux postes à pourvoir. Ces stéréotypes et effets discriminatoires ne viennent pas de l’algorithme lui-même, mais découlent de structures ancrées dans notre société ; ils peuvent toutefois être répétés, repris et donc renforcés par l’algorithme.
Ces exemples illustrent la discrimination par les algorithmes de personnes sur la base de leur origine. Les algorithmes discriminent également de nombreux autres groupes de population. En Suisse aussi, de plus en plus d’entreprises font usage d’algorithmes pour leurs processus de recrutement ainsi que sur le lieu de travail.
Discrimination algorithmique en Suisse : le cadre légal de protection contre la discrimination en Suisse ne protège pas suffisamment contre la discrimination par les systèmes algorithmiques et doit être renforcé. Ce papier de position présente les problématiques liées à la discrimination algorithmique et décrit les moyens d’améliorer la protection contre ce type de discrimination.
Les algorithmes discriminent également de nombreux autres groupes de population. Dans la série « Discrimination 2.0 : ces algorithmes qui discriminent », AlgorithmWatch CH et humanrights.ch, en collaboration avec d’autres organisations, mettent en lumière divers cas de discrimination algorithmique.
▻https://www.humanrights.ch/fr/nouvelles/discrimination-20-algorithmes-perpetuent-racisme
#discrimination #racisme #algorithme #xénophobie #IA #AI #intelligence_artificielle #travail #recrutement #discrimination_raciale #inégalités #ressources_humaines #Applicant_Tracking_Systems (#ATS) #CV #curriculum_vitae #sélection #tri
« L’IA et les systèmes algorithmiques peuvent désavantager des personnes en raison de leur origine, voire conduire à des discriminations raciales sur le marché du travail. » mais l’ia et les systemes algorithmiques peuvent tout aussi bien avantager des personnes en raison de leur origine, voire conduire à des discriminations raciales sur le marché du travail. La banque mondiale exige déja une discrimination selon les pratiques sexuelles pour favoriser emprunts et subventions !
#Carte de #France des #fuites d’#eau_potable les plus importantes : Ardèche, Pyrénées-Orientales, Hautes-Alpes, Corse particulièrement touchées
L’association Intercommunalités de France publie ce mercredi 20 mars une cartographie de 198 services d’eau potable dont le taux de fuites sur le réseau égale ou dépasse les 50 %. Il s’agit essentiellement de petites communes dites « isolées », solitaires dans leur gestion de l’or bleu, qui couvrent quelque 64 000 habitants.
La sécheresse historique de 2022 a montré que l’or bleu devait être mieux géré en France. Cette année-là, plus de 1 000 communes ont eu des difficultés d’approvisionnement au robinet, un phénomène accentué par de nombreuses fuites dans les canalisations. En France, 20 % de l’eau potable est perdue lors de son acheminement. « C’est une situation aberrante qu’on doit corriger en urgence », avait tranché le président de la République fin mars 2023, en présentant un « plan eau », dont une partie était censée répondre à cet enjeu en mobilisant davantage d’aides. Le gouvernement avait alors identifié 170 communes prioritaires, victimes d’au moins 50 % de fuites, appelées « #points_noirs ».
Mais il semblerait que le chiffre ait été sous-estimé. Ce mercredi 20 mars, #Intercommunalités_de_France, fédération nationale qui réunit métropoles, agglomérations, communautés urbaines et communautés de communes, dévoile une nouvelle carte, sur laquelle figurent 198 « points noirs » qui perdent donc plus de la moitié de leur eau. Cela représente 4 % des services d’eau en France et concerne un peu plus de 64 000 habitants. L’association a utilisé les données les plus récentes et les plus fiables de l’Observatoire national des services d’eau et d’assainissement, qui datent de 2022. La base, qui avait servi aux premières estimations officielles de 2023, s’est depuis étoffée sans toutefois devenir exhaustive car les communes les plus petites n’ont pas l’obligation de l’alimenter.
Des petites villes dans le triste palmarès
Parmi les « points noirs », tous ne sont pas pilotés de la même façon : 151 sont des régies municipales, 22 sont gérés en intercommunalité et 25 dépendent de syndicats des eaux. A travers cette cartographie inédite, Intercommunalités de France entend démontrer ce que le gouvernement avait déjà identifié : l’écrasante majorité des cas problématiques concerne de petites communes se débrouillant seules pour s’approvisionner en eau. Les #ressources_financières leur manquent pour entretenir les #réseaux et les subventions restent insuffisantes pour les inciter à réaliser des travaux réguliers. Ainsi, #Astet (Ardèche), une commune d’environ 40 habitants, se classe en tête de la liste des communes ayant le plus haut niveau de fuites en métropole : 91 %. Elle présente le même profil que les autres « fuyards » : un village de montagne solitaire dans sa gestion de l’eau. Rien de surprenant : en altitude, les réseaux sont les plus étendus et plus sujets aux fuites.
« Refaire les #canalisations sur 1 km, c’est 1 million. Ça coûte très cher, précise à Libération Régis Banquet, vice-président en charge de l’eau d’Intercommunalités de France et président de Carcassonne agglomération. On a pris un retard phénoménal. Il faut renouveler les #tuyaux tous les cinquante ans pour qu’ils soient en bon état, or on les renouvelle tous les 120 à 140 ans. La prise de conscience qu’il faut porter attention à la moindre goutte d’eau est récente. »
Si les services d’eau les plus en difficulté ne desservent en général que quelques dizaines ou centaines d’habitants, de petites villes figurent cependant dans le triste palmarès, comme #Scionzier, en Haute-Savoie, environ 9 000 habitants, ou #Contes, dans les Alpes-Maritimes, un peu plus de 7 500 habitants, qui fait partie d’un syndicat de quinze communes à proximité de Nice.
« On doit agir vite et fort »
Et une gestion mutualisée ne protège pas de tout. La communauté d’agglomération du Pays de Dreux, qui rassemble 78 communes à cheval entre Eure-et-Loir et Eure, connaît un taux de fuites de 74,7 %. La métropole de Perpignan, 36 communes, totalise, elle, près de 60 % de fuites. Dans ce type de cas, « ça n’est jamais l’ensemble de ses services qui présentent un rendement inférieur à 50 %, mais généralement quelques communes », précise Intercommunalités de France.
La situation a peu de chances de s’être significativement améliorée depuis 2022, malgré le plan eau et les 53 millions débloqués récemment par l’Etat pour les fuites, car la réalisation de travaux ambitieux prend du temps. « C’est forcément un chantier de longue haleine », a reconnu le ministère de la Transition écologique mardi lors d’un point presse sur l’avancée du plan eau.
« La situation est grave. Dans le contexte du changement climatique, on doit agir vite et fort. Une des solutions est le transfert vers l’intercommunalité pour toutes les communes gérant seules afin que la solidarité s’organise sur les territoires. Cette mise en commun des moyens permet de réaliser les #investissements colossaux nécessaires », plaide Régis Banquet. Il estime que 15 à 20 milliards d’euros devraient être exclusivement consacrés au renouvellement des #réseaux_d’eau dans les cinq ans à venir pour rattraper le retard accumulé.
« Les petites communes isolées sont en difficulté »
Il y a un an, Emmanuel Macron avait appelé à « mutualiser différemment » les ressources, en prenant en exemple « l’intercommunalité », un modèle à « consolider partout où c’est accepté ». La loi va dans ce sens. En 2026, plus aucune commune ne pourra gérer seule son eau. Mais certains maires s’y opposent. « Il reste un imaginaire un peu Manon des sources : “C’est le puits de mon village, je n’ai pas envie de le partager”. Ceux qui ont de l’eau ne sont pas toujours très enclins à en fournir à ceux qui n’en ont pas », explique Régis Taisne, chef du département « cycle de l’eau » à la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies. Et d’ajouter : « Les maires ruraux ont le sentiment qu’ils sont petit à petit dépossédés de toutes leurs compétences, celle sur l’eau est une de leurs dernières attributions. »
Les deux départements comptant le plus de « points noirs » font justement partie de ceux dans lesquels beaucoup de maires rechignent au #regroupement, fait remarquer Intercommunalités de France. En tête, les Pyrénées-Orientales, avec 17 communes qui perdent plus d’un litre sur deux, alors que la sécheresse y sévit depuis trois ans, suivis par les Hautes-Alpes, qui en comptent quinze.
« Le constat est clair : les petites communes isolées sont en difficulté, acquiesce Régis Taisne, qui est cependant moins catégorique qu’Intercommunalités de France. Il faut regrouper, mutualiser pour atteindre une taille critique permettant de faire face aux enjeux. Et dans beaucoup de cas, l’échelle intercommunale est cohérente. Mais dans d’autres, un autre #découpage_territorial peut s’imposer. Il existe par exemple de grands syndicats des eaux à l’échelle de toute la Vendée ou encore de l’Alsace-Moselle. » Cet expert invite surtout à rassembler des communes de diverses natures pour améliorer la solidarité : urbaines, rurales, de plaine, d’altitude, riches en eau ou dépourvues de ressources.
▻https://www.liberation.fr/environnement/eau-potable-ardeche-alpes-maritimes-haute-savoie-la-carte-de-france-des-f
#infrastructure #coût
Nos villes sont des oeufs au plat ? L’#urbanisme expliqué par une omelette
Je me permets de vous signaler la parution d’une nouvelle vidéo sur ma chaîne de vulgarisation en géographie « Archipel ».
Elle tente d’expliquer l’histoire des villes et les grands principes de l’urbanisme avec… des œufs.
▻https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=CQm0aCrluy8
Sony studio Firesprite has been shedding talent amidst accusations of toxic culture, staff say | Eurogamer.net
▻https://www.eurogamer.net/sony-studio-firesprite-has-been-shedding-talent-amidst-accusations-of-tox
Most concerning are reports from sources that two senior leaders from Sony support studio XDev, brought in to help lead Firesprite, have since been accused of sexual discrimination and ageism. A subsequent internal investigation by Sony is said to have resulted in the claims being dismissed as a “misunderstanding”.
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #firespire #sony #xdev #business #ressources_humaines #emploi #discrimination #licenciements
EA cutting 5% of workforce | GamesIndustry.biz
▻https://www.gamesindustry.biz/ea-cutting-5-of-workforce
Electronic Arts today announced that it is laying off approximately 5% of its employees as it leans in on the parts of the business it feels will be the most successful in the years to come.
In its most recent annual report, the publisher gave its headcount as 13,400 as of the end of March 2023, which would put the job losses around 670 people.
Le site Kotaku liste tous les plans de licenciements lancés en 2024 dans l’industrie du jeu vidéo mondiale :
►https://kotaku.com/game-industry-layoffs-how-many-2024-unity-twitch-1851155818
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #business #ea #electronic_arts #ressources_humaines #licenciements
PlayStation Laying Off 900 Across Insomniac, Naughty Dog, Guerrilla, And More, Closing London Studio - Game Informer
▻https://www.gameinformer.com/news/2024/02/27/playstation-laying-off-900-across-insomniac-naughty-dog-guerrilla-and-
Sony Interactive Entertainment has announced layoffs at various PlayStation first-party studios, including Insomniac Games (Marvel’s Spider-Man), Naughty Dog (The Last of Us Part II), Guerrilla Games (Horizon Forbidden West), and Firesprite. It is also closing London Studio, the team behind PlayStation VR’s Blood & Truth and VR Worlds. In a statement released by head of PlayStation Studios Hermen Hulst, he seems to cite overgrowth as the reason for the layoffs.
PlayStation’s Technology, Creative, and Support teams are also affected by these layoffs, according to Hulst. He writes, “These are in addition to some smaller reductions in other teams across PlayStation Studios.” These layoffs will result in an 8 percent reduction of staff, or around 900 people losing their jobs.
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #business #sony #playstation #ressources_humaines #licenciements
Jason Schreier sur X : « BREAKING : PlayStation is laying off around 900 people across the world, the latest cut in a brutal 2024 for the video game industry » / X
▻https://twitter.com/jasonschreier/status/1762463887369101350
Oscar Lemaire sur X : « On parle beaucoup de crise dans l’industrie du jeu vidéo en ce moment, je rappelle quand même que la division jeux vidéo de Sony, qui vient d’annoncer 900 licenciements, connaît un bénéfice 63% supérieur à ce qu’elle gagnait à la même époque dans le cycle de la PS4. » / X
▻https://twitter.com/oscarlemaire/status/1762513609156972888
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #business #sony #playstation #ressources_humaines #licenciements
Supermassive Games sur X : « A statement from Supermassive Games. »
▻https://twitter.com/SuperMGames/status/1762125258159431750
Licenciements en prévision chez Supermassive Games
Jeux vidéo du studio :
▻https://www.supermassivegames.com/games
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #supermassive_games #business #ressources_humaines licenciements
Les méfaits de l’automobile : Un examen global des dommages causés par l’automobilité aux personnes et à l’environnement
▻http://carfree.fr/index.php/2024/02/22/les-mefaits-de-lautomobile-un-examen-global-des-dommages-causes-par-lautomob
Voici un article scientifique paru dans le Journal of Transport Geography de février 2024. Ecrit par les chercheurs Patrick Miner, Barbara M. Smith, Anant Jani, Geraldine McNeill et Alfred Gathorne-Hardy, Lire la suite...
#Argumentaires #Destruction_de_la_planète #Etalement_urbain #Fin_de_l'automobile #Insécurité_routière #Pollution_automobile #Réchauffement_climatique #Ressources #automobilité #économie #environnement #justice #monde #mort #mortalité #nuisances #pollution #recherche #routes #santé #science #sécurité_routière #société #violence
The Messy, Stalled Reckoning At An Assassin’s Creed Co-Developer
►https://kotaku.com/the-messy-stalled-reckoning-at-an-assassins-creed-co-d-1847336158
“Ubisoft Singapore has always been kind of known [internally] to be one of the worst Ubisoft studios in terms of culture,” said one former developer at the publisher of Assassin’s Creed and Far Cry. “People would visit [from other studios] and be like, ‘What the fuck is wrong here?’”
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #ubisoft #ubisoft_singapour #ressources_humaines #harcèlement_sexuel #harcèlement_moral #culture_toxique
Embracer says it’s looking out for shareholders after cutting almost 1,400 jobs
▻https://www.gamedeveloper.com/business/embracer-says-it-s-looking-out-for-shareholders-after-cutting-almost-
“Our overruling principle is to always maximize shareholder value in any given situation.”
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #embracer_group #business #finance #investissements #ressources_humaines #licenciements
(11) Mobilisation nationale chez Ubisoft : au cœur du piquet de grève de Montreuil - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=3QvUAdq4y70
Mobilisation nationale chez Ubisoft : au cœur du piquet de grève de Montreuil
« Chaos » chez Don’t Nod : la branche locale du STJV livre des précisions - Actu - Gamekult
▻https://www.gamekult.com/actualite/chaos-chez-don-t-nod-la-branche-locale-du-stjv-livre-des-precisions-305085
Le jeu vidéo français traverse une Saint-Valentin compliquée : les Négociations Annuelles Obligatoires entre patronat et syndicats provoquent de nombreux remous parmi les employés, stimulant les mobilisations à travers l’Hexagone pour obtenir de meilleures conditions de travail. Si Ubisoft Annecy et Montpellier sont déjà sur le piquet de grève et que les pancartes d’Ubisoft Paris surgiront rue de Lagny d’ici 14h00, le studio Don’t Nod aussi vit un bras de fer entre la direction et le STJV (Syndicat des Travailleurs·ses du Jeu Vidéo), qui tient une section représentative sur place. La branche syndicale a répondu à nos questions pour nous préciser et contextualiser ses revendications.
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #don_t_nod #stjv #ressources_humaines
Grève à Ubisoft : les délégués du STJV répondent à nos questions - Actu - Gamekult
▻https://www.gamekult.com/actualite/greve-a-ubisoft-les-delegues-du-stjv-repondent-a-nos-questions-3050857641.
Il ne vous aura pas échappé que, depuis la fin de la pandémie, l’industrie vidéoludique est en souffrance, avec une nette accélération depuis mi-2023. Licenciements à gogo, salaires médiocres, contrats précaires... Pour répondre à ces préoccupations, les travailleurs se tournent de plus en plus vers les syndicats, dont le STJV, qui a beaucoup de pain sur la planche ces dernières semaines (nous vous relayions le bras de fer chez Don’t Nod hier). Le syndicat appelle à la grève chez Ubisoft demain 14 février et tiendra des piquets à Paris, Annecy et Montpellier devant les studios. Nous avons discuté avec des représentants syndicaux du STJV pour mieux comprendre leurs revendications.
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #ubisoft #ressources_humaines #stjv #grève
The impact of 16,000 games industry layoffs, in one chart | PC Gamer
▻https://www.pcgamer.com/the-impact-of-16000-games-industry-layoffs-in-one-chart
Our own estimated total for 2023’s layoffs was 11,250 people (the Obsidian tracker posits at least 10,500), while in 2024 we had already reached nearly 6,000 layoffs (5,900 on the public list) by the end of January. More layoffs have been reported in the early days of February, including an unknown number at Visual Concepts Austin, which Take-Two acquired in 2021.
As many observers have pointed out, the industry is already halfway to 2023’s total layoffs just one month into 2024. 2023 was higher than 2022’s estimated 8,500 total layoffs, and the wider tech downturn that these games layoffs spun off from was already underway by the end of that year.
Microsoft’s recent layoffs contradict what the company promised of its merger, the FTC says. - The Verge
▻https://www.theverge.com/2024/2/7/24065150/microsofts-recent-layoffs-contradict-what-the-company-promised-of-its-merg
Microsoft’s recent layoffs contradict what the company promised of its merger, the FTC says.
Pour le détail des observations de la FTC, voir les captures jointes à ce Tweet :
▻https://twitter.com/tomwarren/status/1755309305866154194
Réponse de Microsoft :
Microsoft says Activision was already planning ‘significant’ layoffs. - The Verge
▻https://www.theverge.com/2024/2/8/24066089/microsoft-says-activision-was-already-planning-significant-layoffs
Microsoft says Activision was already planning ‘significant’ layoffs.
Plus détaillée dans ce Tweet :
▻https://twitter.com/tomwarren/status/1755626533048209882
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #microsoft #acivision_blizzard #ftc #business #rachat #acquisition #finance #ressources_humaines #licenciements
Appel à la grève à Ubisoft le 14 février - 02/02/2024 à 08:19 - Boursorama
▻https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/appel-a-la-greve-a-ubisoft-le-14-fevrier-5f98481067f330df46abf67d4b83a70
Le syndicat des travailleurs et travailleuses du jeu vidéo (STJV), Solidaires Informatique et la CFE-CGC Fieci appellent à une grève nationale des salariés d’Ubisoft France le 14 février pour dénoncer des hausses de salaires jugées insuffisantes, ont-ils annoncé jeudi.
#jeux_vidéo #jeu_vidéo #business #ubisoft #ressources_humaines #stjv #solidaires_informatique #cfe_cgc_fieci #grève #salaires #pouvoir_d_achat
Il nuovo volto del #water_grabbing e la complicità della finanza
Fondi pensione e società di private equity investono sulla produzione di colture di pregio, dai piccoli frutti alle mandorle, che necessitano abbondanti risorse idriche. Il ruolo del fondo emiratino #Adq che ha acquisito l’italiana #Unifrutti.
Per osservare più da vicino il nuovo volto del water grabbing bisogna andare nella regione di Olmos, nel Nord del Perù, dove il Public sector pension investment board (Psp), uno dei maggiori gestori di fondi pensionistici canadesi (con un asset di circa 152 miliardi di dollari) ha acquistato nel 2022 un’azienda agricola di 500 ettari specializzata nella coltivazione di mirtilli. Un investimento finalizzato a sfruttare il boom della produzione di questi piccoli frutti, passata secondo le stime della Banca Mondiale dalle 30 tonnellate del 2010 alle oltre 180mila del 2020: quantità che hanno fatto del Paese latino-americano il secondo produttore mondiale dopo gli Stati Uniti.
Nella regione di Olmos l’avvio di questa coltivazione intensiva è stato reso possibile grazie a un progetto idrico, costato al governo di Lima oltre 180 milioni di dollari, per deviare l’acqua dal fiume Huancabamba verso la costa e migliorare la produzione agricola locale. “Ma il progetto non ha ottenuto i risultati annunciati”, denuncia il report “Squeezing communities dry” pubblicato a metà settembre 2023 da Grain, una Ong che lavora per sostenere i piccoli agricoltori nella loro lotta per la difesa dei sistemi alimentari controllati dalle comunità e basati sulla biodiversità. Chi ha realmente beneficiato del progetto, infatti, sono state le grandi realtà agroindustriali. “Quasi tutta l’acqua convogliata dalle Ande va alle aziende di recente costituzione che producono avocado, mirtilli e altre colture che vengono vendute a prezzi elevati all’estero -continua Grain-. Il progetto, finanziato con fondi pubblici, ha avuto pochi benefici per la popolazione ma ha creato una fonte di profitti per le aziende che hanno accesso libero e gratuito all’acqua e i loro investitori”.
I protagonisti di questa nuova forma di water grabbing sono fondi pensione, società di private equity e altri operatori finanziari che si stanno muovendo in modo sempre più aggressivo per garantirsi le abbondanti risorse idriche necessarie alla produzione di colture di pregio. A differenza del passato, però, non cercano più di acquisire enormi superfici di terre coltivabili.
“L’accesso all’acqua è sempre stato un fattore cruciale -spiega ad Altreconomia Delvin Kuyek, ricercatore di Grain e autore dello studio-. Ma negli ultimi anni abbiamo osservato un nuovo modello: investimenti in colture come mirtilli, avocado o mandorle che richiedono meno terra rispetto al grano o alla soia, ma quantità molto maggiori di acqua. A guidare l’investimento, in questo caso, è proprio la possibilità di accedere ad abbondanti risorse idriche per mettere sul mercato prodotti che permettano di generare un ritorno economico importante”. Una forma di sfruttamento che Grain paragona all’estrazione di petrolio: si pompa acqua da fiumi o falde fino all’esaurimento, senza preoccuparsi degli impatti sull’ambiente o dei bisogni della popolazione locale. Gli operatori finanziari, infatti, non prevedono di sviluppare attività produttive sul lungo periodo ma puntano a ritorno sui loro investimenti entro 10-15 anni. Un’altra caratteristica di questi accordi, è che tendono a realizzarsi in località in cui l’acqua è già scarsa o in via di esaurimento.
Negli ultimi anni il fondo pensionistico canadese ha acquistato direttamente o investito in società che gestiscono piantagioni di mandorle in California, di noci in Australia e California. Mentre in Spagna, attraverso la controllata Hortifruit, è diventato uno dei principali produttori di mirtilli nella regione di Huelva (nel Sud-Ovest del Paese) dove si concentra anche la quasi totalità della coltivazione di fragole spagnole, destinata per l’80% all’export.
In Perù nel 2020 sono stati prodotte 180mila tonnellate di mirtilli. Numeri che fanno del Paese latinoamericano il secondo produttore mondiale dopo gli Stati Uniti. Nel 2010 erano solo 30
Tutto questo sta avendo effetti devastanti sulle falde che alimentavano le zone umide della vicina riserva di Doñana, ricchissimo di biodiversità e patrimonio Unesco: un riconoscimento oggi messo a rischio proprio dall’eccessivo sfruttamento idrico. Lo studio “Thirty-four years of Landsat monitoring reveal long-term effects of groundwater abstractions on a World heritage site wetland” pubblicato ad aprile 2023 sulla rivista Science of the total environment, evidenzia come tra il 1985 e il 2018 il 59,2% della rete di stagni sia andata perduta a causa delle attività umane. “Il problema è collegato anche alla produzione di frutti rossi che ha iniziato a diffondersi a partire dagli anni Ottanta, grazie alla presenza di condizioni climatiche ottimali e a un suolo sabbioso”, spiega ad Altreconomia Felipe Fuentelsaz del Wwf Spagna. Ma la crescita del comparto ha portato a uno sfruttamento eccessivo delle falde, da cui viene prelevata troppa acqua rispetto al tempo che necessitano per rigenerarsi. L’organizzazione stima che nel corso degli anni siano stati scavati più di mille pozzi illegali: “L’80% dei produttori rispetta le norme per l’utilizzo delle risorse idriche, ma il restante 20%, che equivale a circa duemila ettari di terreno, pompa acqua senza averne diritto”, puntualizza Fuentelsaz.
Questa nuova forma di water grabbing interessa diversi Paesi: dal Marocco (dove il settore agro-industriale pesa per l’85% sul consumo idrico nazionale) al Messico dove è attiva la società di gestione Renewable resources group. Secondo quanto ricostruito da Grain, nel 2018 ha acquisito centomila ettari di terreni agricoli in Messico, Stati Uniti, Cile e Argentina, nonché diritti idrici privati negli Stati Uniti, in Cile e in Australia, generando rendimenti annuali superiori al 20% per i suoi investitori, che comprendono fondi pensione, di private equity e compagnie di assicurazione.
Tra le società indicate nel report di Grain figura anche Adq, il fondo sovrano degli Emirati Arabi Uniti, che negli ultimi anni ha effettuato importanti investimenti nel comparto agro-alimentare: attraverso la sua controllata Al Dahra ha acquistato terreni in Egitto, Sudan e Romania. Nel 2020 ha acquisito il 45% di Louis Dreyfus Company, una delle quattro principali aziende che controllano il mercato globale del commercio agricolo. E nel 2022 ha comprato la quota di maggioranza di Unifrutti group, società italiana specializzata nella produzione e nella commercializzazione di frutta fresca con oltre 14mila ettari di terreni tra Cile, Turchia, Filippine, Ecuador, Argentina, Sudafrica e Italia.
Unifrutti group ha sede fiscale a Cipro, uno dei Paesi dell’Unione europea a fiscalità agevolata che garantiscono vantaggi alle società che vi hanno sede. Ma a sfruttare i benefici sono anche oligarchi russi colpiti dalle sanzioni dopo l’annessione russa della Crimea nel 2014 e inasprite a seguito dell’invasione dell’Ucraina nel febbraio 2022. A rivelarlo l’inchiesta “Cyprus confidential” pubblicata a novembre dal Consorzio internazionale di giornalisti investigativi (Icij)
“Questi investimenti hanno un doppio obiettivo -spiega ad Altreconomia Christian Henderson, esperto di investimenti agricoli nel Golfo e docente presso l’Università di Leiden nei Paesi Bassi- da un lato, sono orientate a trarre profitto dal commercio internazionale e dalle materie prime. In secondo luogo, si preoccupano di garantire la sicurezza alimentare. Queste due logiche in qualche modo sono intrecciate tra loro, in modo da rendere la sicurezza alimentare redditizia per gli Emirati Arabi Uniti. C’è poi un altro elemento: penso che i Paesi del Golfo siano piuttosto preoccupati dal fatto di essere visti come ‘accaparratori’ di terra. In questo modo, invece, possono affermare di aver effettuato un semplice investimento sul mercato”.
Fondata dall’imprenditore Guido De Nadai nel 1948 ad Asmara come compagnia di import/export di frutta e verdura, oggi Unifrutti group è una realtà globale “che produce in quattro diversi continenti e distribuisce in oltre 50 Paesi” si legge sul sito. Trecento tipologie di prodotti commercializzati, 14mila ettari di terreni (di proprietà o in gestione) e 12mila dipendenti sono solo alcuni numeri di una realtà che ha ancora la propria sede principale a Montecorsaro, in provincia di Macerata, dove si trova il domicilio fiscale di Unifrutti distribution spa. La società è controllata da Unifrutti international holdings limited, con sede fiscale a Cipro, Paese a fiscalità agevolata. Con l’ingresso di Adq come socio di maggioranza sono cambiati anche i vertici societari: il 13 novembre 2023, ha assunto l’incarico di amministratore delegato del gruppo Mohamed Elsarky che ha alle spalle una carriera ventennale come Ceo per società del calibro di Kellog’s Australia e Nuova Zelanda e Godiva chocolatier e come presidente di United biscuits del gruppo Danone. Mentre Gil Adotevi, chief executive officer per il settore “Food and agriculture” del fondo emiratino Adq, ricopre il ruolo di presidente del consiglio di amministrazione: “Mentre il Gruppo si avvia verso un nuovo entusiasmante capitolo di crescita -ha dichiarato- siamo certi che la guida e la leadership di Mohamed porteranno l’azienda a realizzare i suoi ambiziosi piani”.
Nel 2021 il gruppo ha commercializzato circa 620mila tonnellate di prodotti (in primo luogo banane, uva, mele, pere, limoni e arance) registrando un fatturato complessivo di 720 milioni di dollari (in crescita del 2% rispetto al 2020) e un margine operativo lordo di 78 milioni. Una performance estremamente positiva che “si è verificata nonostante le numerose sfide che hanno caratterizzato il perimetro operativo del gruppo a partire dalle condizioni climatiche avverse senza precedenti in Cile e in Italia”. Il Paese latino-americano -principale sito produttivo del gruppo, con oltre seimila ettari di terreno dove si producono mele, uva, pere e ciliegie- è stato infatti colpito per il quarto anno di fila da una gravissima siccità che alla fine del 2021 ha visto 19 milioni di persone vivere in aree caratterizzate da “grave scarsità d’acqua”. Come ricorda Grain nel report “Squeezing communities dry” tutte le regioni cilene specializzate nella produzione di frutta “stanno affrontando una crisi idrica aggravata dalla siccità causata dal cambiamento climatico”.
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