organization:université catholique

  • Les empreintes digitales seront ajoutées sur la carte d’identité dès avril 2019 : pourquoi la nouvelle mesure inquiète
    https://www.lalibre.be/actu/belgique/les-empreintes-digitales-seront-ajoutees-sur-la-carte-d-identite-des-avril-2

    Une récente « analyse technique » de chercheurs du groupe Computer Security and Industrial Cryptography (COSIC) de l’université catholique de Louvain (Leuven), la KUL, aboutit à des conclusions plutôt inquiétantes quant à l’instauration prochaine d’une représentation des empreintes digitales dans la puce des cartes d’identité. Le projet de loi relatif à cette nouveauté a été approuvé à la Chambre en novembre (majorité contre opposition, sauf le cdH qui s’est abstenu), malgré un avis négatif de l’Autorité de (...)

    #Identité #empreintes

    ##Identité

  • Grave ou aiguë, sombre ou claire ? Ce que le genre fait à notre voix
    https://www.nouvelobs.com/rue89/nos-vies-intimes/20180723.OBS0077/grave-ou-aigue-sombre-ou-claire-ce-que-le-genre-fait-a-notre-voix.html

    Pour la première fois, en Grande-Bretagne, une femme commentait un match de foot à la télé : Vicki Sparks officiait pendant le Mondial sur la BBC. La journaliste n’a pas été épargnée, comme d’autres de ses consœurs, par des remarques sexistes. Sa voix serait « trop aiguë » pour l’exercice.

    Un commentaire qui sonne familier aux femmes qui s’expriment dans des espaces traditionnellement masculins, écrit Jessica Bennett du « New York Times ».

    Pendant la campagne américaine, la voix d’Hillary Clinton avait aussi fait l’objet de commentaires. On la qualifiait d’"énervante", on la jugeait « forte, monotone, pénible à l’oreille ». Un coach vocal interviewé expliquait que les hommes aussi haussaient la voix en campagne et que le public n’était peut-être simplement pas habitué...

    Quel lien existe entre voix et genre ? Les réflexions de la journaliste nous ont interrogées. Aron Arnold, docteur en sciences du langage, chercheur postdoctoral à l’université catholique de Louvain, a consacré sa thèse à cette passionnante question. Entretien.

    #sexisme #genres #voix #femmes #discrimination

  • Les cartes de l’ère du Congo belge révèlent les secrets d’un arbre africain précieux - CIFOR Forests News
    https://forestsnews.cifor.org/56757/les-cartes-de-lere-du-congo-belge-revelent-les-secrets-dun-arbre-

    L’Afrormosia, qui peut atteindre jusqu’à 50-60 mètres de haut dans certaines forêts d’#Afrique centrale et de l’ouest, a laissé les forestiers perplexes pendant des décennies à cause de son incapacité apparente de régénérer naturellement de manière efficace sous la canopée forestière. Ce trait inhabituel et potentiellement dangereux pour le devenir de cette espèce a retenu l’attention de Brice, étudiant camerounais qui termine bientôt ses études en gestion des forêts et des espaces naturels à la Faculté des bioingénieurs, à l’Université catholique de Louvain.

    En combinant la technologie de l’information géographique moderne avec les cartes historiques délicates découvertes dans la bibliothèque de l’Institut Nationale d’Etude et de Recherche Agronomique de #Yangambi, Brice cherche à décrire des approches sylvicoles adaptées à #Afrormosia, conduisant a l’amélioration des connaissances scientifiques sur les techniques de régénération naturelle de cette espèce.

    Pas facile de trouver à quoi ressemble cet arbre, on nous montre surtout en planche !

    Ecology and management of Pericopsis elata (Harms) Meeuwen (Fabaceae) populations : a review
    https://popups.uliege.be/1780-4507/index.php?id=9176

    #arbre #botanique #bois

  • Olivier De Schutter : « Il faut revenir à une agriculture locale » | Alternatives Economiques
    https://www.alternatives-economiques.fr/olivier-de-schutter-faut-revenir-a-une-agriculture-locale/00081721

    Dans toutes les régions du monde, mais surtout dans les pays industrialisés, des exploitations agricoles dites familiales disparaissent à un rythme soutenu. Avec des conséquences sur la santé des populations mais aussi sur les économies des pays. Il est nécessaire de relocaliser progressivement l’#agriculture, de rapprocher production et consommation dans des approches plus territoriales, estime Olivier de Schutter, professeur de droit international à l’Université catholique de Louvain, ancien rapporteur spécial auprès des Nations Unies sur le droit à l’#alimentation. Aujourd’hui co-président du panel international d’experts sur les systèmes alimentaires durables (IPES-Food), il considère que ce processus prendra du temps.

    #territoire

  • A l’encontre » #Microtravailler, «ultra-connecté, ultra-low-cost, ultra-flexible»
    http://alencontre.org/societe/microtravailler-ultra-connecte-ultra-low-cost-ultra-flexible.html

    Apogée du freelancer, le #microtravailleur est ultra-connecté, ultra-low-cost, ultra-flexible. Souvent, pas toujours, peu qualifié. Après quelques jours passés dans la peau de l’un d’entre eux – d’ici à 2019, l’OIT (Organisation internationale du travail) estime que nous serons 213 millions dans le monde à vivoter grâce au web ! – je ne me sens pas plus « libre » pour autant. En échange d’une poignée d’euros péniblement gagnée, sans savoir qui m’a réellement payé ces #microsalaires de #misère, c’est bien une partie de mon autonomie et de ma spontanéité, la plupart de mes #données privées, que j’ai perdues à coups de visionnage de vidéos, de faux commentaires, de sondages bidonnés et de photos de rayons de supermarché [3].

    Mes batteries sont à plat – j’ai quelques kilomètres dans les pattes –, celle de mon téléphone également. « Vous avez expérimenté la #déshumanisation la plus totale du #travail, Mademoiselle. C’est normal de ne pas vous sentir bien, me rassure gentiment Laurent Taskin, professeur de management à l’UCL (Université catholique de Louvain), spécialisé en ressources humaines. Face à ce type de tâches, vous êtes totalement seule. Votre #rémunération est ridicule. D’autres peuvent vous remplacer instantanément. Et vous le savez. Vous êtes un de ces ouvriers qui attendaient en masse devant la porte de l’usine qu’on lui attribue un travail pour quelques heures et pour lequel il n’avait aucune compétence personnelle à faire valoir. L’usine moderne, où l’offre et la demande se rencontrent dans leur expression la plus brute, la plus violente, est désormais mondialisée, incarnée par ces plateformes. » Dans cette armée de travailleurs zombies grandissante, tous les coups, mais du « patron » seulement, sont bel et bien permis. (Publié dans Le Soir daté du 27 octobre 2017)

  • Le logiciel libre à l’université, dans la communauté et dans la vie publique : expériences internationales
    https://www.april.org/le-logiciel-libre-l-universite-dans-la-communaute-et-dans-la-vie-publique-exp

    Début : 5 Septembre 2017 - 11:30Fin : 5 Septembre 2017 - 12:30

    Marianne Corvellec donnera un séminaire intitulé « Le logiciel libre à l’université, dans la communauté et dans la vie publique : expériences internationales » à l’Université Catholique du Sacré-Cœur. Marianne est membre du Conseil d’Administration de l’April et intervient régulièrement sur le logiciel libre. Le séminaire sera introduit par Maurizio Paolini, Professeur au Département de Mathématique et Physique « Niccolò Tartaglia ». Le séminaire sera donné en italien. L’annonce officielle en italien.

    #Brevets_logiciels #Éducation #Sensibilisation #Philosophie_GNU #CETA #Conference #Europe #Innovation #Partage_du_savoir #Promotion #Recherche #Sciences #TAFTA

  • Newsletter (juin 2017) de l’Equipe droit européen et migrations (EDEM)
    https://asile.ch/2017/08/28/newsletter-juin-2017-de-lequipe-droit-europeen-migrations-edem

    La Newsletter de l’EDEM de l’Université catholique de Louvain (Belgique) du mois de juin 2017 aborde trois thèmes, dont un consacré à l’analyse de deux arrêts concernant la Suisse. Il s’agit des cas soudanais, N.A. et A.I. c. Suisse.

    • . . . . . . Un autre projet et pas des moindres attire les mouches et toutes sortes d’insectes d’ailleurs. Il est le résultat d’un actionnariat entre les trois plus grosses entités publiques de la région : Euratechnologies communément appelé Euratech est détenue par la MEL (70%), la ville de Lille (10%) et le Conseil Régional des Hauts de France (20%). La MEL est donc l’actionnaire majoritaire. Pour rappel, le président de la MEL Damien Castelain est mis en examen pour corruption et favoritisme dans l’affaire du stade Pierre-Mauroy ainsi que d’autres élus. Beaucoup disent que les responsables seraient ailleurs et qu’il ne serait que le lampiste..

      Combien de citoyens connaissent les tenants et les aboutissants de ce projet qui mêle investissement immobilier et développement économique via ce pôle « d’excellence » et d’entreprenariat numérique ? Hormis les élus des 3 entités publics (et encore, certains se plaignent du flou financier...), personne ne sait concrètement comment l’argent public et les parcelles de notre métropole ont été utilisés.

      Euratech est une SPL (Société Publique Locale) et comme toute SPL elle a été créée dans le but de répondre à la gestion de services publiques. Une mission publique. Après une étude foncière en 1988, Euratechnologies n’émerge qu’en 1999. SORELI, Société Anonyme d’Economie Mixte de Rénovation et de Restauration de Lille créée en 1982 par la ville de Lille et la MEL s’occupera de l’aménagement du site. Le 8 juillet 2011, la MEL décide de la création de la SPL dont l’objet est « le développement et l’animation de la filière d’excellence TIC sur le territoire de ses membres ainsi que la gestion du site EURATECHNOLOGIES ». Cette gestion se traduit par une myriade de sociétés civiles immobilières (SCI) ce qui permet de multiplier les nominations juridiques et de rediriger les fonds plus « souplement ». Comme ce que fait l’Université Catholique de Lille (voir article 7). . . .. . .

      .

      #pierre_de_saintignon #caroline_le_dantec #Hauts_de_France #raouti_chehih #michel_françois_delannoy #Grand_Lille #Euratechnologies #damien_castelain #SPL #finances_locales #Université #catholique_de_lille #catho #martine_aubry #SORELI

  • #Conference : Quelles formes peut prendre, en pratique, un #revenu_universel ? Pour quels impacts sur les bénéficiaires et les #finances_publiques ? Le 6 avril prochain, les différents scénarios de mise en œuvre analysés dans le cadre d’un partenariat avec le #Cepremap et l’#IPP feront l’objet d’une première présentation publique, ainsi que les modalités de l’#expérimentation prévue en Gironde.

    PROGRAMME

    14h : Accueil

    Daniel Cohen, directeur du département d’économie de l’Ens et du Cepremap

    Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès

    14h15 : Bas revenus et revenu de base, chiffrage et effets
    redistributifs

    Antoine Bozio, directeur de l’Institut des politiques publiques

    Brice Fabre et Sophie Cottet, économistes à l’Institut des politiques publiques

    Discutant : Thomas Piketty, économiste

    15h : L’expérimentation en Gironde

    Jean-Luc Gleyze, président du Conseil départemental de Gironde

    Denise Greslard-Nedelec, vice-présidente chargée de l’insertion

    Lucile Romanello, économiste à l’Institut des politiques publiques

    15h30 : Le revenu universel, utopies et pratiques

    Julia Cagé, professeure d’économie à Sciences-Po Paris

    Marc de Basquiat, président de l’Association pour l’instauration d’un revenu d’existence (AIRE)

    Jean-Éric Hyafil, Mouvement français pour un revenu de base (MFRB)

    Yannick Vanderborght, chargé de recherches au Fonds national belge de la recherche scientifique (FNRS), enseignant à l’Université catholique de Louvain, membre du Comité exécutif du Basic Income Earth Network (BIEN)

    16h45 : Repenser l’État-Providence

    Maya Bacache, professeure à Télécom Paristech et directrice de la chaire travail de l’École d’économie de Paris

    Bruno Palier, directeur de recherche CNRS, co-directeur du LIEPP (Laboratoire interdisciplinaire d’évaluation des politiques publiques)

    Diana Filippova, éditorialiste, écrivain, connector du think tank OuiShare

    Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, ancien président de l’Agence du service civique

    Guillaume Duval, rédacteur en chef d’/Alternatives économiques/

    17h30 : Conclusion

    Daniel Cohen

    En partenariat avec...
    Cepremap Institut des politiques publiques Gironde Alternatives économiques

    06
    AVRIL
    de 14h à 17h30

    ÉCONOMIE / SOCIAL
    Le revenu universel, entre utopie et pratiques
    S’inscrire <http://arc.novagouv.fr/public_doc/refactory_earc/?element=aZdlll%2BOX8mk1aCbX5CR05OPntCmwpfQpddex6KQltCizo%2FFlddflGOXaM>

    Fondation Jean-Jaurès | Accueil
    https://jean-jaures.org

    https://jean-jaures.org/nos-actions/revenu-universel-pourquoi-comment-debat-avec-julien-dourgnon

  • La KUL aide Israël à améliorer ses techniques d’interrogatoires Solidaire - Robin Bruyère - 11 Décembre 2016
    http://solidaire.org/articles/la-kul-aide-israel-ameliorer-ses-techniques-d-interrogatoires

    Le 26 septembre 2016, une trentaine d’académiciens de la KUL (université catholique de Louvain) ont adressé une lettre ouverte à leur recteur Rik Torfs pour demander l’arrêt d’un partenariat académique avec une université israélienne. Celle-ci sert le gouvernement israélien pour améliorer ses méthodes illégales d’interrogatoires contre des Palestiniens.

    Presque toutes les universités belges ont des liens avec les universités israéliennes (via des partenariats académiques et financements de projets directs et indirects).1 Sachant que certains de ces établissements universitaires sont complices de crimes de guerres et collaborent à leur manière l’occupation, tout partenariat académique avec eux est déjà en soi un problème éthique. Par exemple, la KUL collabore avec l’université israélienne de Bar Illan et ce partenariat sert directement le gouvernement israélien dans sa traque de la résistance palestinienne.


    Le projet « Law Train » est coordonné par l’Union européenne dans le cadre de son plan Horizon 2020, le grand programme européen pour la recherche et l’innovation. Celui-ci contient des partenariats et projets internationaux de recherche, notamment avec Israël. Ce projet, financé avec de l’argent public par les fonds européens à hauteur de 5 millions d’euros, est organisé en collaboration avec les ministères de la Justice et de l’Intérieur de Belgique et d’Espagne, le ministère de la Justice portugais, mais aussi avec le ministère de la Sécurité publique israélien.2 Problème : ce ministère gère notamment la police et les prisons israéliennes. Bien que l’argent soit 100 % fourni par des fonds européens, le projet est coordonné officiellement par l’université de Bar Illan. Les partenaires israéliens reçoivent donc 2,3 millions d’argent public pour ce projet. 

    Lutter contre le terrorisme ou contre la résistance ?
    Le projet consiste en une recherche menée par les psychologues des différentes universités pour améliorer les techniques d’interrogatoires des services partenaires du projet (les services de police, de la justice et des prisons donc). En créant une plateforme virtuelle qui fabrique des prototypes de criminels, les psychologues peuvent tester de nouvelles méthodes d’interrogatoire plus efficaces et les uniformiser sur une base commune, au delà des différentes « culture, législations et méthodes ».3 Ceci afin de mieux « interroger des suspects dans le domaine du crime international ». L’objectif principal, d’après les textes du projet, est de lutter contre le terrorisme. Si la lutte contre le terrorisme en Europe est liée à la lutte contre les mouvements djihadistes et les attentats qu’ils perpètrent, la vision de l’État israélien du terrorisme est tout autre. L’État israélien qualifie de « terroriste » toute forme de résistance de la part du peuple palestinien contre l’occupation et les crimes qu’ils subissent. 

    Les « méthodes différentes » d’interrogatoire et de lutte contre le terrorisme en Israël correspondent par exemple à l’emprisonnement d’enfants de 12 ans pour complicité de terrorisme, le viol et diverses pratiques de torture physique et psychologique condamnées chaque année par les rapports d’Amnesty International, entre autres.
    Le 26 septembre dernier, une trentaine de chercheurs de la KUL ont donc adressé une lettre ouverte à Rik Torfs, leur recteur, pour exiger l’arrêt de ce partenariat. « La KU Leuven est objectivement complice d’une politique qui nie leurs droits les plus fondamentaux aux Palestiniens », expliquent ainsi les signataires de la lettre ouverte. « La police et les forces de l’ordre impliquées dans les prisons israéliennes ont été inculpées à de nombreuses reprises par des institutions internationales comme l’ONU et l’Union européenne, et par des organisations de défense des droits humains comme Amnesty International et Human Rights Watch. Elles sont critiquées pour diverses pratiques violant les droits humains fondamentaux : l’utilisation systématique de la violence, la torture et d’autres violations flagrantes des droits de l’Homme. Le siège de la police nationale est également situé à Jérusalem-Est, occupée illégalement par Israël. La coopération avec eux est contraire au droit international. La coopération avec le ministère israélien de la Sécurité publique et ses organismes d’application de la loi est par conséquent inacceptable d’un point de vue éthique, sinon juridique. »

    Soutenir les droits des Palestiniens
    Depuis son lancement, le PTB soutien la campagne de boycott académique à l’égard de l’État d’Israël (la campagne BACBI). Cet appel, signé par des centaines de professeurs et chercheurs, vise à mener le débat au sein des établissements universitaires pour mettre un terme aux partenariats académiques avec Israël. C’est par la pression et les actions politiques comme le boycott que des États d’apartheid comme l’Afrique du Sud ont fini par être renversés. L’État colonial qu’est Israël se renforce par ses nombreux soutiens extérieurs, notamment en recherche militaire et policière comme le projet Law Train. Ce projet soulève également l’indignation ailleurs, puisque le Portugal s’est retiré depuis lors du partenariat, sous la pression du mouvement de boycott.

    1. « Les liens entre la Belgique et l’occupation israélienne », Katarzyna Lemanska, 2014 • 2. www.law-train.eu • 3. http://cordis.europa.eu

    #KUL #Belgique #Louvain #Israel #union_européenne #fonds_européens #UE #UEF #Université #prisons #psychologue #palestine #torture #viol #police_israélienne #projet_law_train #résistance #partenariat_académique #droits_de_l_Homme #KU_Leuven

    • « Monsieur le Recteur Torfs, les violations des droits de l’homme ne sont pas un sujet de plaisanterie (de mauvais goût) »
      Publié le 14 décembre 2016
      http://www.pourlapalestine.be/monsieur-le-recteur-torfs-les-violations-des-droits-de-lhomme-ne-son

      Le recteur Torfs de la KUL a posté un tweet des plus condescendants à propos d’un article de Solidaire qui critiquait la participation de la KUL au projet de recherche « Law-Train » de l’UE, mis sur pied en collaboration avec une université israélienne et la police d’Israël. Le professeur émérite Herman De Ley réagit par le biais de la présente lettre ouverte.

      Cher et estimé Recteur Torfs,

      N’étant pas moi-même un usager de Twitter, j’ai été informé par quelques lecteurs indignés du tweet que vous avez fait circuler : « “La KU Leuven aide Israël dans ses techniques d’interrogatoire illégales.” Enfin, un peu d’humour dans le journal communiste Solidaire ! », et ce, à propos d’un article de ce périodique concernant la participation de la KU Leuven au projet « Law-Train » d’Horizon 2000.

      Par votre réaction, vous semblez à première vue mettre en doute les inquiétudes justifiées – les faisant même passer pour « ridicules », lis-je dans l’une des réactions – exprimées par certains collègues de votre propre institution. Plus encore, vous suscitez l’impression que la politique israélienne de violation du droit international et des droits de l’homme peut faire l’objet de plaisanteries (de mauvais goût).

      Mais sans doute cela avait-il trait au titre de l’article, « La KU Leuven aide Israël dans ses techniques d’interrogatoire illégales » ? À ce propos, je voudrais vous renvoyer aux « Ethical Guidelines and Ethical Procedures » (Directives et procédures éthiques) élaborées par l’Université coordinatrice de Bar-Ilan et qui engagent tous les partenaires du projet « Law-Train ».

      J’y lis les exigences suivantes : « Chaque partenaire respectera les lois et réglementations des autres pays partenaires participants » (par. 2.4) et « (…) ce concept est fondamental pour l’exécution de Law-Train » (ibid., p. 14). Mais il est possible que cette clause ait échappé aux commissions éthiques de votre université qui ont approuvé le projet. (...)

    • Monsieur Rik Torfs est diplomé en droit canonique, et membre du (CD&V).
      Il a travaillé pour la Roumanie sur les sujet de la protection des minorités religieuses.
      Il a participé aux Assises de l’Interculturalité en 2009.
      C’est dire le boulot qu’il a réussi à y faire

      Un trés sale bonhomme.

  • #Perturbateurs_endocriniens : halte à la manipulation de la science
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/11/29/halte-a-la-manipulation-de-la-science_5039860_3232.html

    Près de cent scientifiques dénoncent la #fabrication_du_doute par les industriels, déjà à l’œuvre dans la lutte contre le changement climatique.
    […]
    Une lutte comparable fait actuellement rage autour de la nécessaire réduction de l’exposition aux perturbateurs endocriniens. La Commission européenne s’apprête à mettre en place la première réglementation au monde sur le sujet. Bien que de nombreux pays aient également manifesté leur inquiétude à l’égard de ces produits chimiques, aucun n’a instauré de réglementation qui les encadrerait globalement.

    #paywall

    • Depuis des décennies, la science est la cible d’attaques dès lors que ses découvertes touchent de puissants intérêts commerciaux. Des individus dans le déni de la science ou financés par des intérêts industriels déforment délibérément des preuves scientifiques afin de créer une fausse impression de controverse. Cette manufacture du doute a retardé des actions préventives et eu de graves conséquences pour la santé des populations et l’environnement.

      Les « marchands de doute » sont à l’œuvre dans plusieurs domaines, comme les industries du tabac et de la pétrochimie ou le secteur agrochimique. A elle seule, l’industrie pétrochimique est la source de milliers de produits toxiques et contribue à l’augmentation massive des niveaux de dioxyde de carbone atmosphérique, à l’origine du changement climatique.

      La lutte pour la protection du climat est entrée dans une nouvelle ère avec l’accord de Paris de 2015, malgré la farouche opposition de climatosceptiques sourds au consensus établi par les scientifiques engagés pour travailler dans l’intérêt général.

      Une lutte comparable fait actuellement rage autour de la nécessaire réduction de l’exposition aux perturbateurs endocriniens. La Commission européenne s’apprête à mettre en place la première réglementation au monde sur le sujet. Bien que de nombreux pays aient également manifesté leur inquiétude à l’égard de ces produits chimiques, aucun n’a instauré de réglementation qui les encadrerait globalement.

      JAMAIS L’HUMANITÉ N’A ÉTÉ CONFRONTÉE À UN FARDEAU AUSSI IMPORTANT DE MALADIES EN LIEN AVEC LE SYSTÈME HORMONAL

      Jamais l’humanité n’a été confrontée à un fardeau aussi important de maladies en lien avec le système hormonal : cancers du sein, du testicule, de l’ovaire ou de la prostate, troubles du développement du cerveau, diabète, obésité, non-descente des testicules à la naissance, malformations du pénis et détérioration de la qualité spermatique.

      La très grande majorité des scientifiques activement engagés dans la recherche des causes de ces évolutions préoccupantes s’accordent pour dire que plusieurs facteurs y contribuent, dont les produits chimiques capables d’interférer avec le système hormonal.

      Des sociétés savantes signalent que ces produits chimiques, appelés les perturbateurs endocriniens, constituent une menace mondiale pour la santé. Parmi ceux-ci : les retardateurs de flamme présents dans les meubles et l’électronique, les agents plastifiants dans les matières plastiques et les produits d’hygiène, ou encore les résidus de pesticides dans notre alimentation. Ils peuvent interférer avec les hormones naturelles lors de périodes critiques du développement, pendant la grossesse ou la puberté, lorsque notre organisme est particulièrement vulnérable.

      Une réglementation nécessaire

      On ne peut faire face à ce fardeau croissant de maladies à l’aide de meilleurs traitements médicaux : non seulement ces traitements n’existent pas toujours, mais les effets des perturbateurs endocriniens sur la santé sont bien souvent irréversibles. Les possibilités de réduire notre exposition à un niveau individuel en évitant certains produits de consommation sont, elles aussi, limitées. La plupart de ces substances atteignent notre organisme par le biais de notre alimentation.

      Seule solution pour enrayer la hausse des maladies liées au système hormonal : prévenir l’exposition aux produits chimiques à l’aide une réglementation plus efficace. Or le projet d’établir une réglementation de ce type dans l’Union européenne est activement combattu par des scientifiques fortement liés à des intérêts industriels, produisant l’impression d’une absence de consensus, là où il n’y a pourtant pas de controverse scientifique. Cette même stratégie a été utilisée par l’industrie du tabac, contaminant le débat, semant le doute dans la population et minant les initiatives des dirigeants politiques et des décideurs pour développer et adopter des réglementations plus efficaces.

      Les discussions sur le changement climatique et sur les perturbateurs endocriniens ont toutes deux souffert de cette déformation des preuves scientifiques par des acteurs financés par l’industrie.

      La plupart des scientifiques pensent qu’exprimer publiquement leur point de vue sur des questions politiques et participer aux débats de société pourrait compromettre leur objectivité et leur neutralité. Ce serait effectivement inquiétant si nos opinions politiques obscurcissaient notre jugement scientifique. Mais ce sont ceux qui nient la science qui laissent leurs opinions politiques obscurcir leur jugement. Avec, pour conséquence, des dommages irréparables. La manipulation de la science concernant les effets de la fumée du tabac a coûté des millions de vies. Nous ne devons pas refaire la même erreur.

      Une urgence

      Nous considérons qu’il n’est plus acceptable de nous taire. En tant que scientifiques, nous avons en fait l’obligation de participer au débat et d’informer le public. Nous avons la responsabilité de rendre visibles les implications de nos travaux pour la société et les générations futures, et d’attirer l’attention sur les graves dangers qui nous menacent.

      Les enjeux sont importants, et l’action politique pour endiguer l’exposition aux perturbateurs endocriniens et les conséquences des émissions de gaz à effet de serre est devenue une urgence.

      Scientifiques spécialistes des perturbateurs endocriniens ou du changement climatique, nous avons uni nos forces, car un grand nombre d’actions essentielles à la limitation des effets des perturbateurs endocriniens contribueront également à lutter contre le changement climatique.

      La plupart des substances chimiques synthétisées par l’homme sont des dérivés de combustibles fossiles produits par l’industrie pétrochimique. Une réduction de la quantité de pétrole raffiné permettra aussi de réduire la quantité de sous-produits utilisés dans les plastiques et celle de plastifiants : ces produits chimiques compromettent la santé reproductive masculine et contribuent au risque de certains cancers.

      Une réduction de la dépendance aux combustibles fossiles et un encouragement au développement des énergies alternatives entraîneront non seulement une baisse des émissions de gaz à effet de serre, mais aussi de celles de mercure. Ce dernier, un contaminant issu du charbon, émis dans l’air et accumulé dans le poisson, finit par atteindre nos organismes et compromet le développement du cerveau.

      Créer l’équivalent du GIEC

      Bien que de nombreux Etats aient exprimé la volonté politique de traiter le problème des gaz à effet de serre, la traduction des connaissances scientifiques sur le changement climatique en action politique effective a été bloquée, notamment à cause de la désinformation du public et des dirigeants. Les gouvernements sont déjà en retard. Il est important de ne pas répéter ces erreurs avec les perturbateurs endocriniens, et d’apprendre de l’expérience des scientifiques du climat et de la recherche en santé publique.

      DANS LA PRATIQUE, IL SERA TRÈS DIFFICILE DE RECONNAÎTRE UNE SUBSTANCE DANGEREUSE COMME PERTURBATEUR ENDOCRINIEN DANS L’UNION EUROPÉENNE

      La Commission européenne a maintenant l’opportunité de choisir des instruments de réglementation qui pourront fixer de nouveaux standards pour le monde entier afin de nous protéger des effets nocifs des perturbateurs endocriniens.

      Nous sommes cependant préoccupés par les options réglementaires que propose aujourd’hui Bruxelles, très éloignées des mesures nécessaires pour protéger notre santé et celle des générations futures.

      Les options proposées pour identifier les perturbateurs endocriniens requièrent un niveau de preuve bien plus élevé que pour d’autres substances dangereuses, comme celles cancérigènes. Dans la pratique, il sera très difficile de reconnaître une substance dangereuse comme perturbateur endocrinien dans l’Union européenne.

      Des actions urgentes sont nécessaires sur les deux thèmes. Pour cette raison, nous appelons au développement et à la mise en œuvre de mesures qui s’attaqueraient aux perturbateurs endocriniens et au changement climatique de façon coordonnée.

      Un moyen efficace pourrait être la création, sous les auspices de l’Organisation des Nations unies, d’un groupe ayant le même statut international et les mêmes prérogatives que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Ce groupe serait chargé d’évaluer les connaissances scientifiques destinées aux responsables politiques dans l’intérêt général et mettrait la science à l’abri de l’influence des intérêts privés. Nous le devons aux générations qui vivront demain.

      Les premiers signataires de ce texte sont : Andreas Kortenkamp, université Brunel (Royaume-Uni) ; Barbara Demeneix, CNRS/Muséum national d’histoire naturelle ; Rémy Slama, Inserm, université Grenoble-Alpes ; Edouard Bard, Collège de France ; Ake Bergman, université de Stockholm (Suède) ; Paul R. Ehrlich, université Stanford (Etats-Unis) ; Philippe Grandjean, Harvard Chan School of Public Health (Etats-Unis) ; Michael E. Mann, université Penn State (Etats-Unis) ; John P. Myers, université Carnegie Mellon (Etats-Unis) ; Naomi Oreskes, université Harvard (Etats-Unis) ; Eric Rignot, université de Californie (Etats-Unis) ; Thomas Stocker, université de Berne (Suisse) ; Kevin Trenberth, National Centre for Atmospheric Research (Etats-Unis) ; Carl Wunsch, Massachusetts Institute of Technology (Etats-Unis) ; et R. Thomas Zoeller, université du Massachusetts à Amherst (Etats-Unis).

      Sont également signataires de ce texte
      Ernesto Alfaro-Moreno, centre de recherche Swetox (Suède) ; Anna Maria Andersson, Rigshospitalet (Danemark) ; Natalie Aneck-Hahn, université de Pretoria (Afrique du Sud) ; Patrik Andersson, université d’Umeå (Suède) ; Michael Antoniou, King’s College (Royaume-Uni) ; Thomas Backhaus, université de Göteborg (Suède) ; Robert Barouki, université Paris-Descartes (France) ; Alice Baynes, université Brunel (Royaume-Uni) ; Bruce Blumberg, université de Californie à Irvine (Etats-Unis) ; Carl-Gustaf Bornehag, université de Karlstad (Suède) ; Riana Bornman, université de Pretoria (Afrique du Sud) ; Jean-Pierre Bourguignon, université de Liège (Belgique) ; François Brion, Ineris (France) ; Marie-Christine Chagnon, Inserm (France) ; Sofie Christiansen, université Technique du Danemark (Danemark) ; Terry Collins, université Carnegie Mellon (Etats-Unis) ; Sylvaine Cordier, Irset (France) ; Xavier Coumol, université Paris-Descartes (France) ; Susana Cristobal, université de Linköping (Suède) ; Pauliina Damdimopoulou, hôpital universitaire Karolinska (Suède) ; Steve Easterbrook, université de Toronto (Canada) ; Sibylle Ermler, université Brunel (Royaume-Uni) ; Silvia Fasano, université de Campania - Luigi Vanvitelli (Italie) ; Michael Faust, F + B Environmental Consulting (Allemagne) ; Marieta Fernandez, université de Grenade (Espagne) ; Jean-Baptiste Fini, CNRS/Muséum national d’histoire naturelle (France) ; Steven G. Gilbert, Institute of neurotoxicology & neurological disorders (Etats-Unis) ; Andrea Gore, université du Texas (Etats-Unis) ; Eric Guilyardi, université de Reading (Royaume-Uni) ; Åsa Gustafsson, Swetox (Suède) ; John Harte, université de Californie à Berkeley (Etats-Unis) ; Terry Hassold, université d’Etat de Washington (Etats-Unis) ; Tyrone Hayes, université de Californie à Berkeley (Etats-Unis) ; Shuk-Mei Ho, université de Cincinnati (Etats-Unis) ; Patricia Hunt, université d’Etat de Washington (Etats-Unis) ; Olivier Kah, université de Rennes (France) ; Harvey Karp, université de Californie du Sud (Etats-Unis) ; Tina Kold Jensen, université du Danemark du Sud (Danemark) ; Sheldon Krimsky, université Tufts (Etats-Unis) ; Henrik Kylin, université de Linköping (Suède) ; Susan Jobling, université Brunel (Royaume-Uni) ; Maria Jönsson, université d’Uppsala (Suède) ; Bruce Lanphear, université Simon Fraser (Canada) ; Juliette Legler, université Brunel (Royaume-Uni) ; Yves Levi, université Paris Sud (France) ; Olwenn Martin, université Brunel (Royaume-Uni) ; Angel Nadal, université Miguel Hernández (Espagne) ; Nicolas Olea, université de Grenade (Espagne) ; Peter Orris, université de l’Illinois (Etats-Unis) ; David Ozonoff, université de Boston (Etats-Unis) ; Martine Perrot-Applanat, Inserm (France) ; Jean-Marc Porcher, Ineris (France) ; Christopher Portier, Thun, (Suisse) ; Gail Prins, université de l’Illinois (Etats-Unis) ; Henning Rodhe, université de Stockholm (Suède) ; Edwin J. Routledge, université Brunel (Royaume-Uni) ; Christina Rudén, université de Stockholm (Suède) ; Joan Ruderman, Harvard Medical School (Etats-Unis) ; Joelle Ruegg, institut Karolinska (Suède) ; Martin Scholze, université Brunel (Royaume-Uni) ; Elisabete Silva, université Brunel (Royaume-Uni) ; Niels Eric Skakkebaek, Rigshospitalet (Danemark) ; Olle Söder, institut Karolinska (Suède) ; Carlos Sonnenschein, université Tufts (Etats-Unis) ; Ana Soto, université Tufts (Etats-Unis) ; Shanna Swann, Icahn School of Medicine (Etats-Unis) ; Giuseppe Testa, université de Milan (Italie) ; Jorma Toppari, université de Turku (Finlande) ; Leo Trasande, université de New York (Etats-Unis) ; Diana Ürge-Vorsatz, université d’Europe centrale (Hongrie) ; Daniel Vaiman, Inserm (France) ; Laura Vandenberg, université du Massachusetts, (Etats-Unis) ; Anne Marie Vinggaard, université technique du Danemark (Danemark) ; Fred vom Saal, université du Missouri (Etats-Unis) ; Jean-Pascal van Ypersele, université catholique de Louvain (Belgique) ; Bernard Weiss, université de Rochester (Etats-Unis) ; Wade Welshons, université de Missouri (Etats-Unis) ; Tracey Woodruff, université de Californie à San Francisco (Etats-Unis).

  • Antiracistes et islamophobes, même combat !
    http://vilistia.org/archives/11647

    Par Jean Bricmont Docteur en sciences et essayiste belge, Jean Bricmont est professeur à l’Université catholique de Louvain. Il est auteur et co-auteur de plusieurs ouvrages dont La république des censeurs, Impostures intellectuelles (avec Alan Sokal). 23 août 2016 Source : … Lire la suite →

    #Islam #Société/sociétal

  • #Angers : Intégrisme à l’université catholique
    https://nantes.indymedia.org/articles/35208

    Alors que Civitas vient de se constituer en parti politique (une affaire sur laquelle nous reviendrons prochainement), nous vous proposons un exemple d’implantation locale de l’intégrisme catholique. En effet, depuis fin 2012, l’Université Catholique de l’Ouest (UCO) d’Angers est dirigée par une bande de laïcs intégristes appartenant à la « Communauté de l’Emmanuel ». Régime autoritaire, étudiants tabassés en 2014 lors d’une conférence controversée de l’un des leaders du groupe sectaire Alliance Vita qui a organisé les manifs du mouvement « La Manif pour tous »… Philippe Grosbois, maître de conférences à la faculté des Sciences Humaines et Sociales d’Angers et membre de l’Association Française des Anthropologues, nous a fait parvenir un texte qui décrit en détail cette dérive intégriste de (...)

    #antifascisme

  • Entre utopies et complot
    http://www.pressefederaliste.eu/Entre-utopies-et-complot

    Il y a, chez le penseur belge Philippe Van Parijs, du Janus. Il y a chez lui à la fois l’accoucheur de mondes meilleurs et l’apprenti sorcier dogmatique qui suscite le noir désespoir. Voici 500 ans, Thomas More publiait à Louvain son petit livre L’utopie. Pour célébrer cet anniversaire, l’Université catholique de Louvain (-la-Neuve) a demandé à Philippe Van Parijs de faire de 2016 une « Année d’utopies pour le temps présent », à savoir d’organiser des événements qui invitent la communauté universitaire à (...)

    Numéro 172 - Juin 2016

    #Numéro_172_-_Juin_2016_
    https://www.youtube.com/watch?v=1g4k-8pgNqo

  • Angers : Intégrisme à l’université catholique
    http://lahorde.samizdat.net/2016/07/05/angers-integrisme-a-luniversite-catholique

    Alors que Civitas vient de se constituer en parti politique (une affaire sur laquelle nous reviendrons prochainement), nous vous proposons un exemple d’implantation locale de l’intégrisme catholique. En effet, depuis fin 2012, l’Université Catholique de l’Ouest (UCO) d’Angers est dirigée par une bande de laïcs intégristes appartenant à la « Communauté de l’Emmanuel ». Régime autoritaire, étudiants tabassés [&hellip

    #Intégrisme_religieux #Alliance_Vita #Communauté_de_l’Emmanue #manif_pour_tous #Tugdual_Derville

  • Citéo, Mediapole : Médiation et Monopole

    « Pour ce 10ème article, nous allons tirer le fil des financements locaux accordés à certains protagonistes de l’affaire Université Catholique de Lille/Conseil Régional des Hauts de France. La médiation sociale dans les transports en commun de la MEL (Métropole Européenne de Lille) est un marché public de plusieurs millions d’euros. Cet argent public est lui aussi très convoité.

    Comme nous avons pu l’observer, les malversations financières se posent de façon adéquate sur un réseau serré de copains peu scrupuleux qui siègent. Les dirigeants de la Catho peuvent allègrement disposer des subventions publiques sans soucis grâce à leurs amitiés politiques qui se mêlent sans gêne aux acteurs économiques de la région.

    Caroline Le Dantec peut à loisir profiter de son rôle de membre du Conseil de Surveillance de la Fondation de l’Université Catholique de Lille pour obtenir le marché de la médiation des Hôpitaux de la Catho (GHICL) pour sa société Citéo (ADEMN, Association pour le Développement de l’Emploi par les Métiers Nouveaux). Quand on sait que ces hôpitaux (financés par la Sécurité Sociale) sont dirigés par Thérèse Lebrun vice-recteur de la Catho et membre du conseil d’administration de Citéo et donc employeur de Caroline Le Dantec, on se dit que l’argent public doit forcément être controlé et que nos élus locaux y regardent de plus près afin que les braves contribuables des Hauts de France puissent profiter souverainement de leur contribution. Forcément ? Pas si sur. » (.../...)

    La suite de l’article ici : http://www.osere.eu/2016/04/24/citeomediapole
    #MetropoleEuropéennedeLille #Lille #PierredeSaintignon #CarolineleDantec #lanceurdalerte #subvention #UniversitéCatholiquedeLille

  • La République, toute la République et... rien que la République !

    « Après avoir manifesté devant l’Université Catholique et face à leur irrépressible envie de nous nuire (voir article 3), il était logique de se tourner vers nos élus du Conseil Régional puisque, pour rappel, c’est ce dernier qui finance l’ISL à raison d’1,6 million d’euros par an. La chose fut, dans un premier temps, prise au sérieux. Je fus reçu par une délégation composée entre autres de Camille Kupisz directeur de la Formation Initiale (organigramme des services du Conseil Régional)... »

    http://www.osere.eu/2015/09/14/la-republique-toute-la-republique-et-rien-que-la-republique
    #travailsocial #hautsdefrance #universitécatholique #pierredesaintignon

  • Banquiers centraux, tous coupables ?

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/03/09/banquiers-centraux-tous-coupables_4878966_3234.html

    Elle bénéficie d’une couverture médiatique à faire pâlir de jalousie n’importe quelle star hollywoodienne. Pas une semaine ne s’écoule sans que ses faits et gestes soient analysés par une palanquée d’experts. Jeudi 10 mars, une fois encore, la Banque centrale européenne (BCE) sera au centre de l’attention de la planète finance. A l’issue de la réunion de ses gouverneurs, son président, Mario Draghi, devrait annoncer de nouvelles mesures pour tenter d’enrayer l’inflation faible qui mine l’économie européenne.

    Au programme ? Un élargissement probable des rachats de dettes publiques, aujourd’hui de 60 milliards d’euros par mois, prévoient les économistes. Ou encore une nouvelle baisse du taux de dépôt, aujourd’hui de – 0,3 %. « La BCE dispose de nombreuses options. Le problème, c’est que l’efficacité de certaines d’entre elles n’est pas garantie », résume Bruno Colmant, économiste à l’Université catholique de Louvain.

    Longtemps, les banquiers centraux ont été les héros de l’économie mondiale. Mario Draghi ? Le sauveur de l’euro. Ben Bernanke, le prédécesseur de Janet Yellen à la tête de la Réserve fédérale (Fed) ? Le génie qui a épargné une terrible dépression aux Etats-Unis. Mais depuis quelques semaines, le vent a tourné. Les experts doutent de leurs pouvoirs. Certains les accusent d’être des pousse-au-crime responsables des turbulences qui ont secoué les marchés en début d’année. Voire de faire le lit de la prochaine crise. A juste titre ? Les instituts monétaires ont-ils vraiment perdu la raison ?

    ( ...) Longtemps, les banquiers centraux ont été les héros de l’économie mondiale. Mario Draghi ? Le sauveur de l’euro. Ben Bernanke, le prédécesseur de Janet Yellen à la tête de la Réserve fédérale (Fed) ? Le génie qui a épargné une terrible dépression aux Etats-Unis. Mais depuis quelques semaines, le vent a tourné. Les experts doutent de leurs pouvoirs. Certains les accusent d’être des pousse-au-crime responsables des turbulences qui ont secoué les marchés en début d’année. Voire de faire le lit de la prochaine crise. A juste titre ? Les instituts monétaires ont-ils vraiment perdu la raison ? Alors que la croissance mondiale vacille de nouveau, ils sont devenus les boucs émissaires commodes d’un monde affolé. Explications.

    A quoi servent les banques centrales ?

    On parle tellement d’elles qu’on finit presque par l’oublier. En théorie, la principale mission des banques centrales est simple, même si elle varie un peu selon les pays : outre l’impression des billets, contribuer au bien-être économique des ménages en assurant la stabilité des prix, du change et de l’activité. Et ce, en complément des politiques budgétaires et structurelles menées par les Etats.

    Pour y parvenir, elles disposent de plusieurs outils de politique monétaire, dont le principal est la fixation du « prix » de l’argent, par les taux directeurs. Lorsque les banquiers centraux baissent ces derniers, les taux pratiqués par les établissements bancaires – lorsqu’ils se prêtent entre eux, puis lorsqu’ils prêtent aux ménages et aux entreprises – baissent à leur tour. Le crédit devient moins cher, ce qui favorise la consommation, l’investissement et la croissance. A l’inverse, une hausse des taux freine l’endettement et le risque de surchauffe des prix et de l’économie.
    Seulement, voilà : pendant la crise des subprimes, aux Etats-Unis, les banquiers centraux ont élargi leurs prérogatives et inventé de nouveaux instruments, toujours plus audacieux. Mais aux effets incertains...

    Pourquoi leur a-t-on confié l’économie mondiale en 2008 ?

    Les instituts monétaires ont appris leurs leçons. « Lorsque la crise de 2008 a frappé, ils se sont rappelés qu’après le krach boursier de 1929, les erreurs de politique monétaire ont plongé les Etats- Unis et l’Europe dans une dépression violente », rappelle Laurent Clavel, économiste chez AXA IM. Grand spécialiste de cette période, Ben Bernanke, à la tête de la Fed entre 2006 et 2014, a été le premier à agir pour éviter le scénario noir de 1929, suivi par la BCE, la Banque d’Angleterre (BoE) et la Banque du Japon (BoJ).

    Tout en baissant au maximum leurs taux directeurs, les banquiers centraux ont multiplié les mesures pour fournir aux banques les liquidités dont elles avaient besoin pour continuer de fonctionner.
    « Grâce à cela, ils ont évité la paralysie totale du système bancaire, qui aurait asphyxié l’économie réelle », rappelle Patrick Artus, chez Natixis, coauteur de La Folie des banques centrales (Fayard, 168 pages, 15 euros).

    Dans la foulée, ils ont innové pour relancer l’activité et les prix – car l’inflation faible est synonyme de croissance faible. Dès 2008, la Fed s’est ainsi mise à racheter des titres de dettes publiques (c’est le quantitative easing, ou QE), en créant massivement de la monnaie, dans l’espoir que ces liquidités contribuent au redémarrage du crédit. La BoE, la BoJ puis, en 2014, la BCE, l’ont imitée.

    Et les gouvernements, pendant ce temps-là ? « Après avoir fait de la relance, ils ont lâché l’affaire et ont laissé les banques centrales toutes seules aux manettes », assène Charles Wyplosz, économiste au Graduate Institute de Genève. « Désormais, ils attendent tout d’elles, comme si s’occuper de la croissance n’était plus de leur ressort », ajoute sa consœur Urszula Szczerbowicz, du Centre d’études prospectives et d’informations internationales.
    Certes augmenter la dépense publique pour relancer l’économie est aujourd’hui délicat, tant la dette des Etats est élevée : 245 % du produit intérieur brut (PIB) au Japon, 105 % aux Etats-Unis, 91,6 %, en moyenne, en zone euro. Mais les banques centrales ne peuvent pas, à elles seules, faire des miracles. Leur principal crime est d’avoir trop longtemps laissé croire le contraire pour rassurer les marchés, devenus accros à leurs liquidités...

    Pourquoi échouent-elles à relancer inflation et croissance ?

    Parce que le QE, la monnaie créée par les banques centrales, est passé de 6 % du PIB mondial à la fin des années 1990, à 30 % aujourd’hui. Mais ces liquidités ne sont pas parvenues jusqu’à l’économie réelle. Faiblesse de la demande, spéculation, frilosité... Elles ne parviennent pas à sortir du système financier.
    Pour tenter de les débloquer, la BCE et la BoJ ont donc passé leur taux de dépôt en territoire négatif – ce qui revient à taxer les banques pour les liquidités qu’elles laissent dormir à court terme dans les coffres des instituts monétaires. De quoi, en théorie, les inciter à plutôt prêter ces sommes aux entreprises.

    Las, malgré ces mesures massives, l’inflation reste atone en zone euro (− 0,2 % en février) et dans la plupart des pays industrialisés, où la croissance est décevante. La raison ? Les outils monétaires sont inefficaces contre certains des maux qui minent l’économie mondiale, comme la course aux bas prix entre les pays, l’anémie de la demande, l’affaiblissement de la productivité ou le vieillissement de la population. « Essayer de relancer le crédit alors que ménages, entreprises et Etats sont en phase de désendettement dans la plupart des pays est inefficace », ajoute Isabelle Job-Bazille, chez Crédit agricole SA.

    En somme, les politiques monétaires permettent surtout de gagner du temps. Elles ont administré un puissant antidouleur à l’économie en attendant que le véritable remède soit disponible. Celui qui permettra de relancer vraiment la croissance – et ce, par la hausse de la productivité et l’innovation.

    Se sont-elles lancées dans la guerre des monnaies ?

    Parmi les ruses testées par les banques centrales ces derniers mois, il y a la manipulation plus ou moins officieuse de leur devise. En se lançant dans le QE, début 2015, la BCE ne cherchait pas seulement à relancer le crédit. En augmentant la quantité d’euros en circulation, elle cherchait aussi à faire baisser le cours de la monnaie unique. De quoi donner un petit coup de pouce aux exportateurs européens. Mais aussi, faire grimper le prix des produits importés, et relancer un peu l’inflation. Ce qui a fonctionné un temps : entre mi-2014 et mi-2015, l’euro a perdu près de 10 % face aux autres devises.

    De même, l’un des objectifs du taux de dépôt négatif est d’encourager les capitaux à se placer dans un autre Etat, où les taux sont plus attractifs. Ce mouvement de départ est de nature à faire baisser la monnaie (les investisseurs en revendent pour aller ailleurs). Voilà pourquoi, la BCE, la BoJ, mais aussi la Banque nationale de Suisse, la Banque du Danemark ou la Banque de Suède s’y sont converties. « C’est une forme de guerre des monnaies », résume M. Artus.

    Car, voilà : dans le système actuel des taux de change flottants, une devise ne peut descendre que si une autre s’apprécie... « Or, aujourd’hui, personne ne veut d’une monnaie forte », explique Anton Brender, économiste en chef chez Candriam. Y compris les Etats-Unis qui, en 2015, ont laissé le dollar monter sans trop protester, car leur économie allait mieux. Mais leurs entreprises commencent à en souffrir.
    Ce qui pourrait convaincre la Fed – qui a entamé une lente remontée de ses taux directeurs en décembre 2015 – de marquer une pause lors de sa réunion des 15 et 16 mars. Autant dire que la guerre des monnaies ne fait que commencer. D’autant que la Chine a, elle aussi, entamé une politique de lente dépréciation du yuan.

    Préparent-elles la prochaine crise ?

    On l’a vu, les remèdes monétaires ne peuvent pas tout. Pour palier l’anémie de la demande – et, donc, celle de la productivité, de l’innovation et de l’investissement –, c’est aussi aux Etats d’agir, jugent les économistes. Ceux qui disposent de marges de manœuvre budgétaires, comme l’Allemagne, pourraient investir dans les infrastructures.

    La Banque européenne d’investissement (BEI) pourrait également profiter des taux zéro pour lever de l’argent et investir dans des grands projets européens (transition énergétique, par exemple), qui permettraient de gonfler la croissance future. « La BCE pourrait, d’ailleurs, aider, en rachetant des obligations de la BEI », suggère Jézabel Couppey-Soubeyran, économiste à Paris-I-Panthéon- Sorbonne.

    Problème : si aucun de ces projets ne voit le jour, les armes monétaires comme le QE pourraient finir par se muer en terrible poison. De fait, les liquidités massivement injectées depuis 2008 augmentent la volatilité des marchés financiers – on l’a vu en début d’année. Chaque fois qu’elles se déplacent d’une Bourse à l’autre à la recherche de meilleurs rendements, ces liquidités déclenchent des mini-krachs. Ces mouvements destructeurs sont aggravés par le fait que, en partie à cause des nouvelles réglementations financières, les banques ne jouent plus le rôle stabilisateur qu’elles tenaient autrefois sur certains marchés, par exemple de devises, où elles détenaient d’importants stocks d’actifs.

    Surtout, les mesures des banques centrales risquent, à terme, de favoriser la formation de bulles. Les taux bas poussent en effet les investisseurs vers les actifs les plus rentables, comme l’immobilier, les actions de la nouvelle économie ou encore, des obligations d’entreprises. Mais certains en achètent plus que de raison.

    En outre, ce phénomène a tendance à renforcer les inégalités – surtout aux Etats-Unis –, en favorisant les ménages dont le patrimoine est investi en Bourse ou dans l’immobilier. Et il soulève une angoissante question : l’explosion de ces bulles menace-t-elle la croissance mondiale, comme celle des subprimes en 2008 ? Pas forcément. Mais une chose est sûre : si cela se produisait, les banques centrales se retrouveraient cette fois sans munitions...

  • Les immigrés apportent chaque année deux milliards à notre budget
    https://www.rtbf.be/info/dossier/drames-de-la-migration-les-candidats-refugies-meurent-aux-portes-de-l-europe/detail_les-immigres-apportent-chaque-annee-deux-milliards-a-notre-budget?id=910

    "Une étude réalisée par des économistes de l’Université Catholique de Louvain (UCL) estime que l’impact budgétaire de l’immigration est de 0,5% du PIB, soit environ deux milliards d’euros actuellement [en Belgique], indique mercredi le quotidien Le Soir."

    Voir également : http://www.lesoir.be/1015854/article/actualite/belgique/2015-10-13/migrants-renforcent-l-economie-belge(Permalink)

  • Louvain (Belgique) - Incendie criminel contre un centre de nanotechnologies et de technologie chimique
    http://cettesemaine.info/breves/spip.php?article1166

    LOUVAIN - La nuit dernière, vers 3h20, un incendie s’est déclaré à l’extérieur d’un bâtiment de laboratoires et de recherche de l’Université Catholique de Louvain dans la Celestijnenlaan. L’alarme automatique s’est déclenchée, ce qui a favorisé l’arrivée rapide des pompiers. Le parquet a désigné un (...) — 70acd2d6-d2c7-47c4-a3eb-cc5a77e2597f_web_scale_0.1875_0.1875__.jpg, Belgique, http://www.nieuwsblad.be/cnt/dmf20150827_01837782, http://www.leuvenactueel.be/brandstichting-aan-gebouw-ku-leuven, http://www.robtv.be/nieuws/leuven/brand-aan-scheikundelab-ku-leuven, https://www.youtube.com/watch?v=xYi_5KvNbRk

  • COP 21 : le gaspillage organisé de l’énergie et de l’eau, par Claude Waudoit
    http://www.eauxglacees.com/COP-21-le-gaspillage-organise-de-l

    L‘inventeur belge Claude Waudoit vient d’adresser une Lettre ouverte à Jean-Pascal van Ypersele de Strihou, climatologue belge, professeur à l’Université catholique de Louvain, vice-Président du GIEC en 2008, et dont la Belgique a présenté la candidature à la fonction de Président du GIEC, en vue de l’élection qui aura lieu lors de son assemblée Plénière qui se tiendra à Dubrovnik du 5 au 8 octobre 2015. C’est après avoir pris connaissance de la préface de Jean-Pascal van Ypersele à l’édition belge de la (...)

  • Quand le niveau de batterie de votre téléphone devient un mouchard
    http://www.liberation.fr/direct/element/quand-le-niveau-de-batterie-de-votre-telephone-devient-un-mouchard_14537

    #Données_personnelles. Grâce au HTML5, le format qui gère l’affichage des pages Internet, un développeur peut connaître le niveau de batterie du lecteur d’un site. L’idée, pas forcément mauvaise, est d’adapter l’affichage d’un site en fonction de la charge du mobile. Par exemple, ne pas surcharger une page d’images et vidéos pour ne pas trop solliciter d’énergie.

    Mais derrière des idées géniales peuvent se cacher des armes redoutables. Une équipe de chercheurs franco-belges de l’INRIA et de de l’Université catholique de Louvain s’inquiète en effet de l’utilisation de cette technologie pour lever l’anonymat sur les lecteurs.

    En effet, comme l’explique The Guardian, si un internaute navigue en mode privé, ou grâce à un VPN, qui devrait réduire ses possibilités d’identification, et si, peu de temps après, il visite une page sans se protéger, ces deux visites pourraient être reliées par leur niveau de batterie, et un identifiant créé à ce sujet par le navigateur.

    Les chercheurs recommandent que les prochains développement soient moins précis sur le niveau de batterie, en la résumant à des intervalles plutôt qu’un pourcentage. Et que l’accès aux informations de la batterie soient autorisés explicitement par les utilisateurs.