city:khan younès

  • Assawra - الثورة : Gaza : Yahya Sinouar élu chef du Hamas
    https://assawra.blogspot.fr/2017/02/gaza-yahya-sinouar-elu-chef-du-hamas.html

    Le Hamas a élu lundi Yahya Sinouar, un des fondateurs de la branche armée du mouvement placé sur la liste « terroriste » américaine, comme son chef dans la bande de Gaza, ont indiqué des cadres du Hamas.
    Le mouvement, qui administre la bande de Gaza depuis dix ans, mène depuis plusieurs mois un processus d’élections internes. « Yahya Sinouar a été élu à la tête du bureau politique du Hamas dans la bande de Gaza », succédant à Ismaïl Haniyeh, a dit lundi un de ces responsables s’exprimant sous le couvert de l’anonymat.
    M. Haniyeh est présenté par de nombreux observateurs comme le successeur le plus probable au dirigeant actuel du mouvement Khaled Mechaal, en exil au Qatar.
    Le député du Hamas Khalil al-Haya devient, lui, numéro deux du bureau politique à Gaza, ont ajouté les responsables. Les élections, organisées à huis clos tant dans l’enclave palestinienne sous blocus israélien qu’en dehors, se poursuivent, ont-ils ajouté.
    En septembre 2015, les Etats-Unis avaient inscrit Yahya Sinouar, né en 1962 dans le camp de réfugiés de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, sur leur liste de « terroristes internationaux », aux côtés de deux autres cadres du Hamas et de sa branche armée les brigades Ezzedine al-Qassam.
    Ce diplômé en langue arabe a fondé la section « Majd », présentée comme une unité de renseignements au sein des Qassam.
    Arrêté par Israël en 1988 pour « activité terroriste », il a été condamné à quatre peines de perpétuité avant d’être libéré en octobre 2011 dans le cadre d’un accord d’échange d’un millier de prisonniers palestiniens contre la remise en liberté du soldat franco-israélien Gilad Shalit détenu pendant cinq ans par le Hamas.

  • Sur la route de la soie…
    http://www.foulexpress.com/2016/06/sur-la-route-de-la-soie

    Comme un fil de soie indiquant le chemin, de Damas à Samarcande, sur les traces de notre passé. Quand je regarde la carte du monde, je vois des pays en voie de disparition. L’envie de les découvrir, avant qu’ils ne deviennent un souvenir, bombardés pour le progrès, libérés par la mort, convertis à la loi du marché, enfin nous ressemblant, égaux puisque identiques, libres dans nos servitudes.

    Avant que cela n’arrive, j’ai l’espoir de remplir mon cœur. De sourires et de larmes, des moments de vies qui font que grandir à Khiva, à Bamako ou à Khan Younes, à Aktau ou à Darjeeling, n’est pas la même expérience, mais pas une moindre richesse.

    Voyager, c’est se rapprocher de soi.

    C’est redécouvrir chez les autres ce que l’on avait pris pour acquis, se rappeler de nos privilèges sans se prendre pour des sauveurs, côtoyer les splendeurs du monde et apprendre l’humilité ; face au temps, face aux êtres humains comme face à Dieu, pour celles et ceux d’entre nous qui sont croyant-e-s. Le spectacle permanent de l’infinie complexité du monde, suffisamment élégante et sûre d’elle même pour nous offrir des plaisirs simples. La beauté au fond des rides, les visages que tu n’as jamais vus, la voix qui te réveille et la main qui t’emmène.

    Sur la route de la soie, on vit dans un souvenir, le cœur fracturé par le décalage entre la grandeur du passé et la trivialité du présent, entre la gloire des récits et l’horizon indépassable du réel : l’incontournable sentiment que quelque chose s’est éteint.

    La route de la soie est devenue une autoroute. Elle a ses péages, ses chemins goudronnés. Elle n’est pas un rêve, juste un parcours fléché. Pas un cirque touristique, mais pas une épopée non plus. Et il faut sortir de ses étapes pour trouver l’aventure.

    L’#Ouzbékistan est sur ce chemin, à la confluence des routes, dépositaire de l’héritage architectural et historique le plus flamboyant et le mieux conservé, de cette époque où l’Asie Centrale était le point de convergence des richesses de notre monde : du Savoir aux pierres précieuses, des étoffes aux livres de valeur, des artisans aux mains d’or aux despotes éclairés, conquérants et (parfois) visionnaires. C’est la terre qu’ont foulée Tamerlan, Boukhari, Ulug Beg et Tirmidhi.

    #route_de_la_soie #asie_centrale

  • Gaza : le conflit filmé par nos envoyés spéciaux

    CARTE INTERACTIVE | Depuis le début de l’offensive israélienne « bordure protectrice » sur la bande de Gaza, les envoyés spéciaux de France Info racontent le conflit vu de cette enclave palestinienne aussi en vidéo. A Gaza-ville, à Khan Younès, Beït Hanoun et Beït Lahiya, découvrez ou redécouvrez ici leurs poignantes images.

    http://www.franceinfo.fr/actu/monde/article/gaza-le-conflit-filme-par-nos-envoyes-speciaux-542043

    #cartographie #carte #visualisation #carte_interactive #Gaza #Israël #Palestine

  • Trêve à Gaza : Les Gazaouis retournent dans leurs quartiers dévastés - News Monde : Asie & Océanie - tdg.ch
    http://www.tdg.ch/monde/asie-oceanie/Les-Gazaouis-retournent-dans-leurs-quartiers-devastes/story/10620395

    Image : Reuters

    (...) Scènes de désolation

    De Beit Hanoun, dans le nord, à Khan Younès, au sud, en passant par les villes de Chajaya et Zeitoun à l’est, ils y ont découvert des scènes de désolation, les maisons détruites succédant aux cadavres laissés dans la rue ou sous les décombres des bâtiments effondrés.

    A Beit Hanoun, même l’hôpital a été sévèrement abîmé par les bombardements. Des correspondants de l’AFP y ont vu le corps d’un secouriste tué, tandis que d’autres fouillaient les gravats pour tenter d’y retrouver des victimes. (...)

    Image : Keystone

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    Malgré la trêve, Israël poursuit d’ailleurs son entreprise de destruction de la bande de Gaza.
    Pierre Barbancey
    Samedi, 26 Juillet, 2014
    http://www.humanite.fr/la-bande-de-gaza-est-un-champ-de-ruines-548255

    ❝Sous prétexte de vouloir démolir les tunnels creusés par la résistance, à l’instar des Vietnamiens lorsqu’ils combattaient les Etats-Unis, Tel Aviv s’est arrogé les franges du territoire palestinien. A Beit Hanoun, des dunes de terre, dressés par des chars et des bulldozers empêchaient ainsi tout accès aux zones frontalières. Dans le quartier martyr de Chudjaiya, à Gaza city, mêmes scènes de désolation, de maisons détruites, de vaches et d’ânes morts, proie des mouches et des vers. Et puis, bien sûr, lorsque les secours se sont rendus sur place et ont pu dégager les décombres, des dizaines de corps ont été retrouvés. Certains, couverts de poussière, jonchent les rues, parfois dans une mare de sang séché. Ainsi au moins 100 cadavres ont été retirés des gravats après l’arrêt des hostilités, dont 29 à Chajaya, une banlieue à l’est de la ville de Gaza, Zeitoun et Touffah, 13 dans les camps de réfugiés de Deir al-Balah, Bureij et Nousseirat (centre) 32 à Beit Hanoun (nord) et 11 à Khan Younès et Rafah (sud).

    Crédit :
    AFP/Marco Longari

    Et il y a les zones encore inaccessibles, comme le village de Khozaa où nous avons tenté de nous rendre. Depuis le matin, des habitants qui avaient fui, tentent de retourner dans leur maison. Mais, là encore, des remblais ont été dressés par les Israéliens et un char fait le va et vient, verrou infranchissable. Des soldats ont pris position dans une maison limitrophe. On voit le visage de certains d’entre eux lorsqu’ils s’approchent des fenêtres. Une femme fabrique un drapeau et s’avance sur la route, vers le char. Un courage inouï qui renforce la détermination de tous ceux qui sont là. Ils la suivent. Mais les soldats sont intraitables. « Je veux savoir où sont mes enfants, rage la Palestinienne au drapeau blanc qui ne souhaite pas donner son nom. Je veux savoir s’ils sont vivants, morts ou blessés. Mes enfants sont adultes et ont refusé de sortir. Est-ce qu’on allait répéter la Nakba (la catastrophe, ndlr) de 1948 ? » Deux hommes s’enhardissent et se dirige, les bras levés, vers la maison où sont postés les soldats israéliens. Peine perdue. Ils n’abandonnent pourtant pas. Ils enlèvent leur chemise pour montrer qu’ils ne portent pas de ceinture d’explosifs – hantise des Israéliens – et s’avancent à nouveau. Le refus est plus ferme : les soldats se mettent à défourailler en l’air. Un dernier avertissement que tout le monde a compris. Même les ambulances n’ont pas accès au village. Une heure plus tard, par un autre accès, deux charrettes précédées d’une moto au drapeau blanc, sont apparues au détour d’un chemin de terre. A leur bord, des vieillards, hommes et femmes, exténués, dont une partie a été prise en charge par les services de secours. « Regardez-moi, dit l’un d’entre eux, en sueur et les vêtements sales. Regardez ce que font les Israéliens. Tout est détruit. Il y a une centaine de morts. » Au moins un millier de Palestiniens ont été tués et quelque 6.000 blessés, en grande majorité des civils, dans la bande de Gaza depuis le début de l’offensive israélienne le 8 juillet. L’Unicef évoque un bilan d’au moins 192 enfants tués et l’Agence pour l’aide aux réfugiés de Palestine (UNRWA) fait état de plus de 160.000 Palestiniens réfugiés dans ses bâtiments dont certains, comme nous l’avons constaté, ont été la cible des bombardements israéliens.

  • Gaza : une Palestinienne tuée par l’armée israélienne près de la frontière
    http://www.romandie.com/news/n/_Gaza_une_Palestinienne_tuee_par_l_armee_israelienne_pres_de_la_frontiere_ ?

    GAZA (Territoires palestiniens) - Une Palestinienne a été tuée dans le sud de la bande de Gaza à l’aube samedi par des tirs de l’armée israélienne près de la frontière, selon le ministère de la Santé du gouvernement Hamas qui contrôle l’enclave palestinienne.

    Le corps de Amena Atiyyeh Qdeih , âgée de 57 ans, a été découvert près de la frontière dans la localité de Khazaa, à Khan Younès, a indiqué le porte-parole du ministère précisant que la victime était malade mentale et qu’elle a été tuée par des tirs de l’armée israélienne.

    Qdeih a été atteinte de plusieurs balles, a-t-il ajouté, précisant que les ambulanciers n’avaient pu l’évacuer dans l’immédiat en raison des tirs israéliens dans la zone frontalière.

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    Muataz Washaha : Assassiné par Israël tandis que les pourparlers de "paix" continuent
    Par Shahd Abusalama

    http://www.ism-france.org/temoignages/Muataz-Washaha-Assassine-par-Israel-tandis-que-les-pourparlers-de-paix-c

    « Ne t’inquiète pas »

    « Je serai libre ici. Pars et ne t’inquiète pas pour moi. Je vais rester ici et pas me rendre. Je ne retournerai pas en prison. » Tels sont les derniers mots de Muataz Washaha à un agent de la défense civile, la dernière personne à avoir pu lui parler avant l’évacuation de la maison.

    L’homme de la défense civile n’a pas eu d’autre choix que d’embrasser Muataz au front et de partir, respectant son choix.

    Peu de temps après, avec sa technologie sophistiquée, l’armée israélienne localisait Muataz et commençait à lui tirer dessus à balles réelles et obus. Malgré les appels à se rendre, Muataz a refusé. Cette confrontation inégale a duré six heures, ce qui suffisait à tuer Muataz mille fois.

    Après le retrait des forces israéliennes, le corps de Muataz a été trouvé, déchiqueté par des dizaines de balles. Il avait été touché à la tête par une balle de fusil d’assaut Energa.

    D’après l’armée israélienne, Muataz Washaha a été tué parce qu’il était « soupçonné d’activités terroristes ». Quelle déclaration ridicule.

    Après les innombrables actes de terrorisme que les forces d’occupation ont perpétré contre le peuple palestinien, elles devraient être les dernières à parler de terrorisme ou à définir ce qu’est le terrorisme.

    #Palestine

  • Israel kills Hamas fighter in south Gaza | Maan News Agency
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=532304

    GAZA (Reuters)

    An Israeli air strike before dawn on Sunday struck two gunmen from Hamas’ military wing as they rode a motorcycle near the central town of Khan Younis, local officials said.

    The Al-Qassam Brigades said Suleiman Qarra , 27, from Bani Suheila, was killed, and another fighter wounded.

    An Israeli military spokesman said the air force had targeted a squad preparing to fire a rocket into Israel.

    • Tirs sur Israël après un raid sur Gaza ayant fait un mort
      http://www.romandie.com/news/n/_Tirs_sur_Israel_apres_un_raid_sur_Gaza_ayant_fait_un_mort69281020121257.a
      Les tirs sur Beersheba ont été revendiqués à Gaza par le groupe armé palestinien Comités de résistance populaire (CRP).

      Ils sont survenus à la suite d’un raid aérien israélien sur Gaza ayant tué Soueimane Kamel al-Qara, 25 ans, membre de la branche armée du Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, et blessé un autre activiste du groupe.

      Cette nouvelle flambée de violence a été déclenchée par une incursion israélienne près de la ville de Khan Younès (sud de la bande de Gaza) à laquelle ces combattants avaient riposté par des tirs au mortier sur des chars israéliens, selon des sources médicales et des témoins palestiniens.

      L’armée israélienne a confirmé le raid aérien mais s’est refusé à tout commentaire à propos d’une incursion de blindés dans le territoire palestinien.