city:oger

  • Lettre ouverte au NPD de la Colombie-Britannique concernant la conduite de Morgane Oger, qui en occupe la vice-présidence
    http://tradfem.wordpress.com/2018/02/12/lettre-ouverte-au-npd-de-la-colombie-britannique-concernant-la-co

    Quelque 140 Canadiennes et Canadiens ont déjà cosigné la lettre ci-dessous exigeant que le NPD de la Colombie-Britannique condamne le comportement de M. Oger. (...)
    Messieurs, Mesdames,

    Nous, les soussigné·e·s, sommes des Canadien·ne·s profondément préoccupé·e·s par les récentes déclarations publiques et comportements de M. Oger, qui occupe la vice-présidence du NPD de la Colombie-Britannique.

    Le 20 janvier dernier, des Marches des femmes ont eu lieu partout en Amérique du Nord. D’abord mises sur pied par indignation face à l’élection de Donald Trump et à ses vantardises d’inconduite sexuelle, ces marches ont été galvanisées cette année partout au monde par la campagne #MeToo, dans un élan de solidarité et d’action. Nous ne pouvons plus nier que les femmes et les filles du monde entier continuent de subir des agressions et du harcèlement dans tous les domaines de la vie, aux mains des hommes.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : http://www.feministcurrent.com/2018/02/10/open-letter-bc-ndp-regarding-conduct-bc-ndp-vice-president-morgane-

    #trans #discours_haineux #Canada #identité_de_genre #NPD #Colombie-Britannique

  • Les Séoudiens veulent faire construire une piscine olympique. Trois entreprises de BTP viennent proposer leurs services : une chinoise, une française et une libano-séoudienne.

    Les Chinois proposent un devis à 100 millions de dollars. « Rapide, efficace, pas cher, on peut commencer à couler le béton dès aujourd’hui. »

    Les Français ont un devis à 200 millions de dollars. « Ah oui, mais on te met Jean Nouvel sur le coup. Ça va être moderne, classieux, le french-chic, ça va être le Versailles de la piscine olympique, votre truc. »

    Les Libanais arrivent, et proposent un devis à 250 millions de dollars. Le client s’étonne : « mais vous êtes encore plus chers que les Français ! ». Le type explique : « Oui mais si on fait le business ensemble, c’est 75 millions pour toi, 75 millions pour moi, et le reste on le fait faire par les Chinois. »

  • Comment Hariri s’est retrouvé piégé en Arabie saoudite
    https://www.mediapart.fr/journal/international/101117/comment-hariri-s-est-retrouve-piege-en-arabie-saoudite

    Le prince héritier #Mohammed_ben_Salmane, à Riyad, le 24 octobre 2017 © Reuters Avec la purge effectuée samedi 4 novembre, le prince héritier d’Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, espère remettre la main sur une centaine de milliards de dollars détournés, selon le procureur général du royaume, par le clan Abdallah. De l’argent dont une partie aurait été blanchie par la société Saudi Oger, détenue par Saad Hariri. Il est toujours à Riyad.

    #International

  • Le géant du BTP Saudi Oger envisagerait de fermer
    http://www.batiactu.com/edito/geant-btp-saudi-oger-envisagerait-fermer-49525.php

    Le groupe de BTP saoudien Saudi Oger, détenu par la famille du Premier ministre libanais Saad Hariri, devrait mettre la clé sous la porte fin juin 2017, ont signalé, ce vendredi 16 juin 2017 des salariés et des sources proches du groupe. Au total, des milliers d’employés, notamment étrangers, seraient confrontés à des difficultés financières avec des mois de salaires impayés, rapporte l’AFP.

    « On a demandé aux employés de remettre leur lettre de fin de service. Ils ont été informés depuis un certain temps sur le fait qu’ils doivent quitter la compagnie d’ici la fin juin », a déclaré à l’AFP, sous le couvert de l’anonymat, un employé de ce qui fut l’un des groupes emblématiques du BTP en Arabie saoudite au cours des quarante dernières années. Un ex-salarié qui affirme attendre encore 39.000 euros de salaires impayés de Saudi Oger depuis juillet 2016 a affirmé que la compagnie devrait fermer fin juin.

    Ce qui n’est pas dit en français se trouve en arabe ailleurs (http://al-akhbar.com/node/279002) : gros coup pour le PM libanais, notamment sur le plan sybolique (l’héritage de son père). Parmi les causes de ce fiasco, la situation économique en Arabie saoudite, la corruption et la mauvaise gestion, l’absence de confiance des dirigeants saoudiens en Saad Hariri...

    #liban #hariri

  • Saad Hariri, premier ministre du Liban, vient réclamer aux Européens « un programme d’investissement sur cinq ans, chiffré à 10 milliards de dollars », largement « centré sur les infrastructures ».
    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2017/03/31/le-liban-au-point-de-rupture-appelle-la-communaute-internationale-a-l-aide_5

    À la lecture des quelques articles qui reproduisent ces déclarations, je me rends compte qu’il est rigoureusement impossible au lecteur français de deviner que le même Saad Hariri est également le Président du Conseil d’administration de Saudi Oger, l’entreprise de construction sur laquelle le clan Hariri a entièrement basé sa fortune, et que cette entreprise était, aux dernières nouvelles, incapable de payer ses employés…

    (C’est toujours ce qui m’épate avec la couverture médiatique du Liban dans nos journaux : n’importe quel Libanais qui entend Hariri parler de « reconstruction » au Liban pense illico au lourd passif du clan en la matière… mais dans les journaux français, ce qui relève de l’évidence absolue pour les Libanais disparaît. Je veux dire que le lecteur français croit être tenu au courant d’une actualité libanaise, mais en pratique on ne lui a même pas évoqué – même pour la relativiser – le truc le plus central et évident auquel n’importe quel Libanais pensera illico.)

    Les déboires financiers de Saad étaient encore évoqués la semaine dernière : Saad Hariri absent du classement « Forbes » des milliardaires mondiaux
    https://www.lorientlejour.com/article/1041908/saad-hariri-absent-du-classement-forbes-des-milliardaires-mondiaux.ht

    Un revers de fortune dont visiblement pâtit son président Saad Hariri, à la 1 275e place l’an dernier ; tandis que ses frères, Ayman et Fahd, figuraient tous deux à 1 476e place en 2016. Paradoxalement, s’ils ont tous trois disparu du classement 2017, les dernières estimations de leur patrimoine publiées sur le site internet de Forbes indique toujours qu’ils sont milliardaires : la fortune de Fahd étant estimée à 1,3 milliard de dollars (contre 1,2 milliard dans le classement 2016), celle d’Ayman à 1,2 milliard (comme en 2016) et celle de Saad à 1,1 milliard (contre 1,4 milliard l’an dernier).

    Au contraire, le lecteur du Monde par exemple est supposé comprendre les allusions de Benjamin Barthe telles que :

    « Il ne s’agit pas de construire une tour de bureaux à Solidere », a fait remarquer M. Hariri, en référence à la société chargée de la reconstruction du centre de Beyrouth, qui a suscité de nombreuses polémiques, pour ses réalisations, au style souvent tapageur, et son fonctionnement, volontiers opaque.

    et :

    Le rôle central confié dans ce plan au Conseil du développement et de la reconstruction, l’organisme chargé de l’attribution des marchés publics, dont la transparence est sujette à caution, promet de soulever des questions.

    Je me demande quelle proportion des lecteurs du Monde est capable de comprendre à quoi se réfèrent les énigmatiques tournures « Solidere volontiers opaque » et « le CDR à la transparence sujette à caution ». Et pourquoi des gens suffisamment au courant pour les comprendre iraient suivre l’actualité du Liban dans le Monde.

    • Il y a encore pas mal de libanais qui ne feraient pas du tout le lien entre la reconstruction du Liban et les fortunes amassées par Hariri. Mais il y a tellement d’employés dans diverses sociétés de Hariri qu’on en viendrait a lui souhaiter de nouveaux contrats, juste pour sauver tous ces emplois. Situation lamentable...

  • Une plainte juridique contre Saad Hariri : la crise des dettes s’aggrave – Site de la chaîne AlManar-Liban
    http://french.almanar.com.lb/152539

    Cette annonce survient quelques jours après la publication par le site des affaires économiques Bloomberg et l’agence Reuters d’une nouvelle selon laquelle le groupe financier « Samba » a rejeté une proposition de Saudi Oger de geler le remboursement de ses dettes, entrainant l’arrêt des négociations entre la société et ses créanciers. Ces derniers réclament en effet de Saudi Oger de payer des dettes d’un montant de 13 milliards de riyals (soit 3,47 milliards de dollars).

    Cette mesure constitue un coup dur pour Saudi Oger, bien que le royaume ait adopté un plan pour régler toutes les cotisations en retard des entrepreneurs, avant la fin de l’année en cours. Le ministère des finances saoudien a en effet commencé à verser les cotisations aux sociétés, dont celle de Saad Hariri.

    Ce qui est étrange c’est que ces mesures ont suivi la nomination de Saad Hariri au poste du Premier ministre libanais. Elles coïncident aussi avec des rassurances saoudiennes comme quoi le royaume ne veut pas que Saudi Oger tombe en faillite, et avec la vente des actions de Saudi Oger dans la banque arabe, d’une valeur d’un milliard et de 200 millions de dollars.

    #liban

  • http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1530869-expat-en-arabie-saoudite-ma-vie-et-celle-de-200-francais-e

    200 Français (et des milliers d’expats d’autres nationalités) coincés en #Arabie_saoudite par la faillite d’Oger.

    Dans le système saoudien, si une société ne rémunère pas ses salariés en temps et en heure, cette dernière ne peut plus renouveler leurs titres
    de séjours, ou « iqama », duquel dépend leur permis de travail. Chez Saudi Oger, nous nous sommes retrouvés dans des situations rocambolesques, à continuer de travailler tout en sachant que nous étions hors-la-loi.

    De plus, sans titre de séjour valide, les comptes bancaires saoudiens sont automatiquement bloqués. Impossible, donc, de renouveler son assurance, sa carte grise, ou simplement payer une recharge de téléphone. Cette mesure est censée protéger les employés en Arabie saoudite ; mais elle les met au contraire dans des situations très dangereuses. D’autant que chez Saudi Oger, le système de ressources humaines est catastrophique. Et les syndicats, évidemment, n’existent pas.

    À partir du moment où notre « iqama » arrive à sa fin, on ne peut plus demander un visa de sortie. Des familles entières sont donc coincées en Arabie saoudite depuis plusieurs mois. Certains de mes collègues ont perdu des proches, enfant, femme ou parent, restés dans leur pays, sans pouvoir quitter Riyad pour assister à l’enterrement. Inhumain.

  • Saad Hariri pourrait lancer une initiative pour « ressouder le 14 Mars » - Sandra NOUJEIM - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/989886/saad-hariri-pourrait-lancer-une-initiative-pour-ressouder-le-14-mars-

    a crise que traverse le leadership du courant du Futur est à lire sous l’angle de ces mutations.
    Les résultats des municipales de Tripoli (la victoire de la liste soutenue par Achraf Rifi contre la liste consensuelle hétéroclite réunissant les autorités sunnites de la ville ainsi que des composantes alaouites et des factions sunnites associées directement au régime syrien) semblent avoir imposé au sein du courant du Futur une démarche d’autocritique. Un responsable du parti à Tripoli en révèle les prémisses à L’Orient-Le Jour : « La plus grande question pour nous est la dislocation du 14 Mars. Il nous semble nécessaire, pour y remédier, de revenir sur les candidatures anarchiques soutenues par ses composantes respectives, c’est-à-dire aussi bien la candidature du député Sleiman Frangié que celle du général Michel Aoun. » Cette approche pourrait faire l’objet d’une « initiative globale » de Saad Hariri, lors de l’iftar prévu jeudi prochain au Biel, affirme le responsable.

  • Liban : agonie des quotidiens nationaux, gloire de la presse arabe
    http://www.lepoint.fr/monde/liban-agonie-des-quotidiens-nationaux-gloire-de-la-presse-arabe-30-03-2016-2

    Des spéculations ont fait état de la fermeture imminente d’An-Nahar, le plus connu et le plus ancien quotidien encore en circulation depuis 1933.

    Malgré un démenti du journal, témoin de l’histoire du pays depuis le mandat français, An-Nahar ne paie plus les salaires depuis près de sept mois, affirme un employé sous couvert de l’anonymat. Des journalistes du seul quotidien anglophone The Daily Star, confient également ne pas être payés depuis trois mois.

    La crise frappe aussi les télévisions, les chaînes LBCI et Al-Jadeed ayant licencié un grand nombre d’employés pour survivre, d’après des sources dans le métier.

    L’empire médiatique de Saad Hariri, ex-Premier ministre milliardaire, est aussi obéré par les difficultés financières tout comme sa compagnie Saudi Oger basée à Ryad.

    Ainsi, son quotidien Al-Moustaqbal et la chaîne du même nom ne payeraient pas de salaires depuis au moins 10 mois, d’après d’anciens employés.

    • L’Orient-Le Jour, le seul quotidien francophone au Liban et l’un des rares dans la région, résiste lui mieux grâce à « une gestion saine sans argent politique, la non distribution de dividendes et un investissement avant tout le monde dans le numérique », explique sa directrice exécutive, Nayla de Freige.

      Nayla de Freige est une grosse menteuse ! Voilà des années que la France soutient, de mille et une façons, L’Orient-Le Jour, mais ce ne doit pas être de l’argent « politique », juste « francophone » !

  • En Arabie saoudite, la détresse des salariés de la société de Hariri
    http://lexpansion.lexpress.fr/actualites/1/actualite-economique/en-arabie-saoudite-la-detresse-des-salaries-de-la-societe-de-har

    Fondée dans les années 1970 par Rafic Hariri, milliardaire ancien Premier ministre libanais assassiné en 2005, Saudi Oger est dirigée par son fils Saad, qui fut lui aussi chef du gouvernement libanais, et représente l’une des principales entreprises du BTP en Arabie saoudite. 

    Or les factures impayées d’un client clé, le gouvernement saoudien qui pâtit de l’effondrement des recettes pétrolières, s’accumulent et l’entreprise traverse une mauvaise passe. 

    Une grande partie des 50.000 employés de Saudi Oger, de diverses nationalités, ont connu des retards importants dans le versement de leurs salaires, explique Robert, qui préfère se présenter sous un autre nom.

  • Saudi Oger contracte un prêt syndiqué de 2 milliards de dollars
    http://www.lecommercedulevant.com/node/19544

    Le groupe Saudi Oger, propriété de la famille Hariri, a indiqué avoir mandaté des banques pour procéder au montage d’un prêt de 800 millions de dollars et à une avance anticipée garantie de 1,06 milliard de dollars pour la construction de centres d’entraînement de la police en Arabie saoudite.

    Il s’agit du premier prêt syndiqué du groupe Saudi Oger qui ne sera pas géré par des institutions financières saoudiennes, a précise le conglomérat.

    Toi aussi, tu aimerais spéculer sur cette information, hein ? Ben moi non plus, je ne sais pas ce que ça veut dire.