• La Cour de cassation interdit le clic droit sur son site
    http://www.numerama.com/magazine/24857-la-cour-de-cassation-interdit-le-clic-droit-sur-son-site.html

    La #Cour_de_cassation, dans sa grande sagesse, a ajouté au code source de son internet un code #javascript qui vise spécifiquement à bloquer toute utilisation du bouton droit de la souris. L’objectif inavoué étant bien sûr d’éviter les copier-coller, ou plutôt d’obliger ceux qui veulent copier un arrêt de jurisprudence à désactiver le javascript, à passer par le menu du navigateur plutôt que par le menu contextuel, ou à utiliser le raccourci clavier Ctrl+C (c’est dire si la mesure est inutile et ne sert qu’à embêter le monde, pour rester poli).

    [...]

    Mais surtout, il faut rappeler qu’en principe, les documents issus de la cour de cassation, y compris ceux publié sur son site Internet, sont des #documents_administratifs qui doivent être accessibles au public, et réutilisables librement. Or lorsqu’il a établi la liste des exceptions à la gratuité de l’#Open_Data, le gouvernement a accordé à la Cour de cassation le droit de faire payer l’accès à tous ses arrêts, avis et rapports, sans que celle-ci n’apporte la moindre justification (.doc).

  • #WIKILEAKS PROMET 1 #MILLION DE #DOCUMENTS EN #2013

    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1568

    Avec #Internet, un #journalisme indépendant, #alternatif et #citoyen

    Malgré toutes les #difficultés qu’a rencontrées Wikileaks en #2012, une nouvelle masse de matières va être rendue publique pendant l’année prochaine. Les #journalistes qui exploiteront ces documents auront des perles, des #scoops et des #actualités #insolites à en tirer.

  • C’est l’inflation !

    Je ne trouve pas comment désactiver tout ce merdier sur le site public :

    plugins-dist/jquery_ui/prive/javascript/ui/jquery.ui.core.js
    plugins-dist/jquery_ui/prive/javascript/ui/jquery.ui.widget.js
    plugins-dist/jquery_ui/prive/javascript/ui/jquery.ui.mouse.js
    plugins-dist/jquery_ui/prive/javascript/ui/jquery.ui.sortable.js

    J’ai beau désactiver la mediabox, ceci continue de s’insérer :

    var box_settings = {tt_img:true,sel_g :"#documents_portfolio a[type=’image/jpeg’],#documents_portfolio a[type=’image/png’],#documents_portfolio a[type=’image/gif’]",sel_c :".mediabox",trans :"elastic",speed :"200",ssSpeed :"2500",maxW :"90%",maxH :"90%",minW :"400px",minH :"",opa :"0.9",str_ssStart :"Slideshow",str_ssStop :"Stop",str_cur :"{current}/{total}",str_prev :"Previous",str_next :"Next",str_close :"Close",splash_url :""} ;

    Et enfin je ne trouve pas comment désactiver ça (et surtout je ne comprends pas pourquoi ça ne se compacte pas avec les autres CSS de la page, histoire de ne pas ajouter deux appels à des fichiers CSS externes) :

    <link rel=’stylesheet’ type=’text/css’ media=’all’ href=’plugins-dist/jquery_ui/css/jquery.ui.core.css’ />
    <link rel=’stylesheet’ type=’text/css’ media=’all’ href=’plugins-dist/jquery_ui/css/jquery.ui.theme.css’ />

    La tronche de mon head sous #SPIP3 : eurk !

    • Hop,

      Je ne trouve pas comment désactiver tout ce merdier sur le site public

      Le « merdier » en question n’est présent que si nécessité par un plugin, un SPIP vierge n’insère pas les scripts de jQuery UI dans le public, la preuve :

      http://b_b.grml.eu/spip.php?article1

      Pour info, les scripts de jQuery UI sont insérés sur demande à l’aide du pipeline associé :

      http://programmer3.spip.net/jqueryui_plugins

      (doc liée depuis la page de présentation de SPIP 3.0 sur spip.net)

      et surtout je ne comprends pas pourquoi ça ne se compacte pas avec les autres CSS de la pag

      Le compresseur de SPIP regroupe les css en fonction de leur attribut « media », cela fonctionne bien sur les taxinomes, on voit bien que les css de jquery UI sont regroupées dans le même fichier que les autres :

      http://www.lestaxinomes.org

    • OK, pour jqueryui_plugins je vois : c’est mon plugin « Sélection d’articles » qui ajoute les appels à cet endroit, sans faire la différence entre l’espace privé et l’espace public. Au temps pour moi, donc.

      Je vais uploader une mise à jour. En revanche, je suggère de signaler sur la page de programmer.spip.net la mention de la méthode « officielle » pour détecter en PHP si on est dans l’espace privé (si c’est déjà documenté, juste ajouter un lien hypertexte).

      Pour le compactage des CSS, pour l’instant ça ne donne rien (et même de manière assez curieuse), les regroupements restent farfelus. Je cherche encore.

    • Pour les CSS, je n’arrive pas à mieux. Mais j’ai l’impression que les CSS balancés via « insert_head » (à l’ancienne) se comptactent bien entre eux et avec les appels depuis les squelettes. Alors que les CSS balancés via « insert_head_css » ne se compactent ni entre eux ni avec les appels depuis les squelettes.

      Quand je balance un appel de CSS dans « insert_head » (à l’ancienne), ça fonctionne correctement.

    • Dans les préférences, tu as activé le mode « conversations / quelqu’un répond à un billet auquel j’ai moi-même répondu » ? Normalement ça devrait faire ce que tu veux (sinon y’a un bug).

    • Bonjour
      Désolée de déterrer un vieux post mais en regardant le code source de tes sites Arno*, je vois que tu arrives à mettre tes css inline avec #INSERT_HEAD_CSS, tu peux expliquer comment tu arrives à ça ou c’est secret ? merci

  • 100 #preuves de #Wikileaks contre l’ #arbitraire à #Guantanamo

    http://goo.gl/fSdYP

    Les #prisonniers #chinois et ceux des #USA, l’ #accusé n’est pas celui qu’on croit

    Wikileaks a annoncé qu’il publie aujourd’hui une centaine de #documents , attribués au #Pentagone. Ces derniers exposent à l’ #opinion mondiale les atroces et illégales conditions de détention dans la base de Guantanamo-Bay et en #Irak . Cette diffusion coïncide avec une opération de communication chinoise, à la veille du congrès du parti communiste, qui contredit tous les mensonges… La chine fait visiter ses prisons aux journalistes du Monde entier !

    Voir en ligne : Une partie des documents parus AUJOURD’HUI sur WIKILEAKS en relation avec ce sujet.

  • A lire : le rapport de Terra Nova sur la stratégie électorale de la gauche | Pièces et main d’œuvre
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=385

    Ne vous demandez pas ce que la gauche peut faire pour la population, demandez-vous ce que la population peut faire pour la gauche. En avril et mai 2012, la social-technocratie représentée par le PS et François Hollande a gagné les élections législatives et présidentielles contre la technocratie libérale représentée par l’UMP et Nicolas Sarkozy. Cette victoire résulte d’un plan de bataille conçu par les stratèges de Terra Nova, un « think tank » proche du PS, "piloté par une demi-douzaine de permanents, doté d’un budget annuel d’environ 500 000 euros, financé par des mécènes comme Areva, Air France, Microsoft, ou la S.N.C.F. (Le Monde, 20 juillet 2012) Loin d’être secret, ce plan de bataille publié sur le site de Terra Nova, le 10 mai 2011, était lu et commenté par les membres du microcosme politico-médiatique. Aujourd’hui les analystes de Terra Nova ont rejoint les bureaux des ministères, sauf le principal d’entre eux, Olivier Ferrand, mort d’un jogging de trop. Leur rapport, « Gauche : quelle majorité électorale pour 2012 » (Bruno Jeanbart, Olivier Ferrand, Romain Prudent), exhibe un cynisme si époustouflant, si décomplexé dans le séquençage marketing de l’électorat, il explique avec tant d’ingénuité comment manipuler et duper chaque catégorie, ou pourquoi il faut mépriser la classe ouvrière, que nous ne pouvons faire moins que de contribuer à notre tour à sa publicité, suivant la maxime de Marx : "Il faut rendre la honte plus honteuse encore, en la livrant à la (...)

    #Documents

  • Nouveau dispositif dans la fabrique du dernier homme | Olivier Rey
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=380

    Ce texte, publié au printemps 2012 dans la revue Conférence démonte ce que l’industrie nomme « livre électronique », ou « liseuse électronique », ce dernier terme ayant sans doute paru plus « convivial » au service Communication, par son évocation d’une sorte de robot-lectrice à la voix suave de GPS. Son intérêt cependant va bien au-delà, Olivier Rey montrant que les mêmes séries d’arguments sont employées pour nous imposer toutes les calamiteuses innovations (numériques ou non, clonage, chimères génétiques, etc), qui œuvrent conjointement à « la fabrique du dernier homme ». « Cela étant, le règne du livre électronique (comme celui) du dernier homme pourrait bien ne pas être aussi durable que Nietzsche le pronostiquait dans la mesure où son existence est de plus en plus dépendante d’une machinerie que, avec son attention sautillante, il se révèlera incapable d’entretenir. » Voire. La machinerie travaille précisément à la fabrique de l’homme compatible avec ses exigences. Pour lire le texte, cliquez sur l’icône ci-dessous. (Sur ce sujet, lire aussi : Contre le livre numérique) #Documents

  • Généalogie de la technopole grenobloise | Les Bas-Côtés, Black star (s)éditions et Pièces et main d’oeuvre
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=379

    Comment une petite ville de province est-elle devenue Technopolis – la mère de toutes les technopoles de France ? Par la connivence revendiquée et perpétuée depuis 150 ans entre le pouvoir politique (civil et militaire), la recherche scientifique et les industriels, unis pour leur profit mutuel dans la fuite en avant technologique. Ce que l’on finit par nommer, dans les années 1960, le « complexe scientifico-militaro-industriel » (Eisenhower). D’Aristide Bergès à Jean Therme, de la « Houille blanche » à Clinatec, la clinique neuro-expérimentale du Commissariat à l’énergie atomique, la technopole se développe de génération d’ingénieurs en génération d’ingénieurs, et de cycle techno-industriel en cycle techno-industriel, détruisant tout dans sa ruée créatrice. Les Bas-Côtés, le Café luddite de Grenoble, Black star (s)éditions et Pièces et main d’œuvre proposent un arbre généalogique de la technopole grenobloise, instructif et plein de curiosités aussi bien pour les Dauphinois que pour tous ceux qui subissent l’accélération technologique dans leur vie et dans leur ville. Toutes les grosses villes ne sont pas des technopoles, du moins pas encore. Même si de plus en plus de métropoles visent à devenir des méga-technopoles (voir Lille Métropole, ou Nice Côte d’Azur). Les habitants de Toulouse, de Nancy, de Rennes, reconnaîtront dans ce document ce qui leur est commun : le pilotage de leur cité par et pour la liaison recherche-industrie. Découvrons grâce à cet (...)

    #Documents

  • Sous le soleil de l’innovation | Pièces et main d’œuvre
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=378

    L’innovation partout, par tous, pour tout, pour tous , tout le temps ! Tout le monde le crie ; de L’Usine nouvelle au Monde Diplomatique ! De la bourse du travail à la Chambre de commerce et d’industrie ! De l’Ecole de management à la Maison de la Nature, en passant – oh oui, surtout -, en passant par la Mairie, le Conseil général, le Ministère, l’Université, l’Europe, la boîte ! – « Sans l’innovation, on est foutu ! » L’innovation ou la mort ! Sous le soleil de l’innovation : Ce que tout activiste ou militant doit savoir (et les autres davantage encore) Sous le soleil de l’innovation : Une histoire de Grenoble (1869-2012) et du « modèle grenoblois » Une histoire du capitalisme, de sa perpétuelle régénérescence et de sa perpétuelle expansion Une histoire de l’accélération technologique Une histoire des sciences et techniques Une histoire industrielle et militaire et militaro-industrielle Une histoire de la recherche, de l’industrie et du pouvoir – une histoire de la liaison recherche- industrie – politique Une histoire du complexe scientifico-militaro-industriel Une histoire politique – politique toujours, et avant tout ! Une histoire historique ! La véritable histoire ! Celle qu’on vous a cachée depuis cent ans, enfin révélée ! Avec des personnages inoubliables, des décors somptueux, des paysages grandioses, de l’action, des guerres, du sang, du sentiment, des rebondissements ! Des cimes montagneuses aux (...)

    #Documents

    • Haha, j’adore la vraie-fausse revue de presse :

      Ils ont dit :
      – Le Monde diplomatique : « Tout n’est pas faux dans cette diatribe simpliste des bricoleurs de Pièces et Main d’œuvre. Leur pire bévue est d’attribuer à la recherche et à l’industrie, des crimes qui ne découlent que du caractère privé des moyens de production et d’échange, du capitalisme et de la mondialisation libérale, et non du mode de production lui-même. Comme chacun sait, science et technologies sont neutres en soi, tout dépend de l’usage qu’on en fait. »

      – Politis : « C’est entendu, Pièces et Main d’œuvre entretient une véritable phobie des « machines » censées asservir l’espèce humaine. Mais de là à s’en prendre à l’innovation prêterait à sourire, n’était la violence crue du propos. De Gaulle, en son temps, avait déclaré : « On peut bien sûr regretter le temps des lampes à huiles et de la marine à voile ». On ne saurait donc trop inviter le lecteur à délaisser cette littérature aux relents réactionnaires. »

      – Là-bas si j’y suis(France Inter) : « Biiip !... Allô Daniel !... J’t’appelle pour dire que c’était génial l’émission d’hier !... Ils étaient génials les gars de chez Dassault-Thalès-Arkema !... Les patrons du Cac 40, c’est vraiment des pourris !... Il faut mettre les entreprises sous le contrôle des travailleurs pour empêcher les délocalisations et les dérives ultra-libérales !... Allez, ciao, viva ! Portez-vous bien !... Continuez ! Vous êtes génials ! - Haha !... Merci !... Hahaha !.... Merci, chers Auditeurs Modestes et Géniaux !... Et n’oubliez pas de laisser vos messages au 01 56 40 37 37, dans la boîte géniale de Là-bas si j’y suis ! »

    • Ce n’est pas celui qui a le dernier mot qui a forcément raison. M Néel compare la toxicité du plutonium à celle de la ... nicotine. Ce qu’il oublie de préciser, c’est que la toxicité de la nicotine prend fin lorsqu’on en absorbe plus, en arrêtant de fumer par exemple. le plutonium lui peut se répandre dans l’environnement à la faveur d’un "accident type Fukushima. Comment arrête-t-on l’exposition au plutonium, M Néel ? Et rappelez-moi, quelle la demi-vie de ce radio-élément - la demi-vie d’un radio nucléide étant la période pour laquelle la moitié de sa masse se transmute- ?

  • Parution de « Le soleil en face - Rapport sur les calamités de l’industrie solaire et des prétendues énergies alternatives » | Frédéric Gaillard
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=371

    Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Les critiques après-coup ne valent rien ; ou alors il faut faire de l’histoire. On peut demander : à quoi auraient servi les critiques contre le nucléaire civil et militaire, en mai 1939, quand Irène et Frédéric Joliot-Curie déposaient leur brevet sur les "Perfectionnements aux charges explosives" - c’est-à-dire la bombe atomique ? A rien, sans doute, mais on ne le saura jamais, puisque cette critique n’eut pas lieu en "temps réel" comme dit le sous-langage contemporain. Que le pire nous soit promis et inévitable, soit. Mais faisons en sorte de ne pas le mériter par notre silence ou notre incurie. Grâce au livre de Frédéric Gaillard, "Le soleil en face - Rapport sur les calamités de l’industrie solaire et des prétendues énergies alternatives", nos lecteurs au moins ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas. Depuis le « choc pétrolier » de 1973, et plus encore depuis les catastrophes de Tchernobyl (1986) et de Fukushima (2011), les énergumènes qui nous gouvernent sont à la recherche d’« énergies alternatives » : géothermie, biomasse, éolien, hydrogène, etc. Mais le véritable Graal de cette quête d’un combustible inépuisable et à vil prix reste l’énergie solaire qui, sauf imprévu, nous alimente pour encore 4,5 milliards d’années. L’énergie, c’est le « power » dit l’anglais qui confond les deux notions dans le même mot. Sur toute la planète, dans tous ses laboratoires, le complexe scientifico-industriel s’est lancé dans (...)

    #Documents

  • Utiliser #Dropbox pour #partager des #images et #documents sur #Seenthis

    J’installe une image n’importe où dans ma dropbox

    J’active le menu « get link » sur le document à partager
    https://dl.dropbox.com/s/ft5p0n9x4g45a7w/1.%20get%20link.png

    j’attends si besoin que le document ait été uploadé dans le #nuage
    https://dl.dropbox.com/s/v5ce3flvi9xx9z5/2.%20dropbox%20please%20wait.png

    et quand mon image est enfin uploadée…
    https://dl.dropbox.com/s/catw7oqc3cwvq7h/3.%20ok%20image%20upload%C3%A9e.png
    … je peux partager l’URL sur seenthis

    (bien que dropbox fournisse une page présentant l’image, #seenthis récupère l’image directement ; s’il s’agit d’un fichier #PDF ou bureautique quelconque, par contre, seenthis laissera un lien vers le viewer de dropbox - lui-même plutôt bien foutu)

    #seenthis_documentation

  • #BenLaden, ce que disent les #documents récupérés dans son refuge…

    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1278

    Les #pièces d’une triste #mémoire que seul un #islamisme #criminel peut secréter !

    Des données, notamment des documents, ont été récupérés après l’annonce, faite directement et en premier lieu au cabinet d’ #Obama, de la réussite à 100% de l’opération « #Geronimo ». Le président américain, avec l’équipe chargée de la traque du terroriste, a suivi en instantané et en réel l’assaut visant une villa d’ #Abbottabad au #Pakistan. D’ailleurs ce fut aussi un succès de la #MaisonBlanche

  • Contre le recensement | Mouvement pour l’Abolition de la Carte d’Identité
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=359

    En 2007, nous relevions dans un manifeste pour l’abolition de la carte d’identité (à lire ici), l’existence d’ « une opposition fragmentée et parcellaire aux pièces d’identité biométriques et électroniques, au fichage ADN, à la biométrie, aux RFID, à la vidéosurveillance, et récemment aux tests génétiques prévus par la loi sur l’immigration, ainsi qu’à l’interconnexion des données administratives ». « Rien ne sert de combattre ces nouveaux modes de contrôle - informatiques, biométriques, génétiques, disions-nous, si l’on n’en finit pas avec les registres et pièces d’identité imposés voici 500 ans par l’Etat, et qui en constituent le modèle et la matrice. » Un lustre plus tard, alors que dans le brouhaha d’une campagne électorale pour la présidence de ce même Etat, le parlement vient d’adopter une nouvelle carte d’identité biométrique numérique, avec deux puces RFID, et la mise en place d’un registre national des informations contenues dans cette carte – soit le fichier biométrique de 45 millions de Français – nous persistons de plus belle. Dans ce nouveau texte « Contre le recensement », nous appelons au boycott, au sabotage et à l’abolition des collectes de données, afin d’extirper à la racine l’emprise étatico-technologique. (Pour lire le texte intégral, cliquer sur l’icône ci-dessous.) (...)

    #Documents

  • Parution de « L’Enfer Vert - Un projet pavé de bonnes intentions » | Pièces et main d’œuvre
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=352

    “L’Enfer Vert – Un projet pavé de bonnes intentions” est une étude claire, concise, précise, de la société que nous préparent les écolo-technocrates à partir du cas de Lille Métropole. L’auteur, Tomjo, rédacteur au journal lillois La Brique, n’était pas né quand Ivan Illich, André Gorz, Bernard Charbonneau, parmi d’autres penseurs de l’écologie politique, mettaient en garde leurs lecteurs contre l’émergence d’un techno-fascisme vert afin de rationaliser et “d’optimiser” la gestion du monde résiduel, en proie à l’effondrement écologique et social. Ils nous l’avaient pourtant bien dit dans “La convivialité” (1973), “Ecologie et liberté” (1977), ou “Le feu vert” (1980), dont Tomjo cite les plus lucides et cruelles prophéties. “... Les limites nécessaires à la préservation de la vie seront calculées et planifiées centralement pas des ingénieurs écologistes, et la production programmée d’un milieu de vie optimal sera confiée à des institutions centralisées et à des techniques lourdes. C’est l’option techno-fasciste sur la voie de laquelle nous sommes déjà plus qu’à moitié engagés.” (Ecologie et liberté, 1977) On sait que les écotechs Verts se présentent - à juste titre – comme les meilleurs gestionnaires du système, les plus compétents, les plus experts candidats à la direction de ce Green New Deal qu’ils revendiquent. Bref, la meilleure et peut-être l’ultime chance d’un capitalisme (...)

    #Documents

  • La société de contrainte et ses instruments | Pièces et main d’œuvre
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=337

    Nous avons introduit la notion de société de contrainte, au dernier chapitre de Terreur et possession (1), pour caractériser une phase nouvelle dans l’organisation rationnelle – technologique -, de l’ordre public : Le pancraticon ou l’invention de la société de contrainte. Extension du panopticon, le pancraticon est un dispositif de quasi-omnipotence sur les êtres et le monde. Un techno-totalitarisme quasi-divin, si le divin est vraiment ce tout-puissant dont nous parlent les prêtres. L’étymologie du mot est transparente : Pan, tout ; cratos, la force, le pouvoir – voyez le pancrace, cette lutte où toutes les prises, tous les coups, sont permis. Quant à la contrainte, nous n’entendons par là ni plus ni moins que le Robert et le Dictionnaire étymologique du français. Nous ne jouons pas sur les mots. Nous ne prétendons pas les « redéfinir » afin de duper les naïfs, c’est-à-dire les falsifier en les infiltrant d’acceptions floues, retorses, paradoxales, tronquées ou si larges au contraire qu’elles ne définissent plus rien. Nous nous plions au langage exact et commun afin de partager, autant que possible, une représentation exacte et commune de perceptions communes. Tenant pour acquis que si chacun voit midi à sa porte, cette vision, quoi qu’on raffine et singularise, est commune pour l’essentiel et particulière pour l’exception et le secondaire. Et voilà pourquoi le soleil de Rimbaud, de Van Gogh ou des Lakotas, brille aussi pour nous, quand bien même chacun le (...)

    #Documents

  • Découvrez la LOPPSI 3 - oui, la 3 | Pièces et main d’œuvre
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=325

    Vous dirait-il d’assister à un complot en direct ? A un complot, c’est-à-dire à « un projet concerté secrètement contre la vie, la sûreté de quelqu’un ou contre une institution » (dictionnaire Le Robert).
    Les comploteurs ? Claude Guéant, ministre de l’Intérieur ; Eric Ciotti, député UMP, président du Conseil général des Alpes maritimes, rapporteur pour la commission des lois de la LOPPSI 2 - loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure ; Xavier Raufer, de son vrai nom Christian de Bongain, criminologue et ancien d’Occident ; des préfets ; des parlementaires ; des hauts responsables de la police ; un général d’armée cinq étoiles ; Olivier Darrason, le président du conseil d’administration de l’Institut des hautes études de la défense nationale.
    Leurs complices et « partenaires » ? SFR, IBM, Safran-Morpho, l’Imprimerie nationale, Xiring, SAP, Secuneo et le Syndicat national des entreprises de sécurité - bref, l’industrie et l’administration du contrôle, de la surveillance et de la contrainte.
    La date, le lieu, les circonstances du complot ? Le 22 mars 2011, un mois seulement après l’adoption de la LOPPSI2, lors des « 4e rencontres parlementaires sur la Sécurité » organisées à la Maison de la chimie à Paris sur le thème : « Sécurité et services : quels besoins ? Quelles réponses technologiques ? »
    Les cibles du complot ? Vous, nous, tous. La sûreté des citoyens et résidents de ce pays soumis à un nouvel assaut de l’appareil techno-sécuritaire. Ce document n’est pas littéralement secret. Pour l’avoir, il suffit juste de savoir que ces « rencontres » ont lieu ; que des actes sont disponibles, moyennant finances, sur commande auprès de la boîte de com’ M&M Conseil, spécialisées dans ce genre d’événements. Puis, de vous acharner à les obtenir. Bon courage et bonne chance.
    Nous vous les offrons ici bruts et in extenso. A vous de reconnaître les « pistes » de la future LOPPSI 3. Pour une mise en bouche, voici Eric Ciotti, le « monsieur sécurité » de l’UMP, dans son discours d’introduction : « Les technologies représentent d’abord de nouveaux outils au servce de la sécurité. Nous venons d’adopter la LOPPSI. L’un des objectifs principaux assignés à cette loi d’orientation et de programmation pour 2008-2013 vise naturellement à s’inscrire dans cette problématique. La modernisation de l’organisation de nos politiques de sécurité s’appuie naturellement sur les nouvelles technologies. »
    Tout naturellement, ses invités se félicitent des dernières avancées scientifiques : scanner corporel, papiers d’identité biométriques, vidéosurveillance, lecture automatisée des plaques d’immatriculation, logiciels de « rapprochement judiciaire », « fichiers d’analyse sérielle », extension du fichier des empreintes génétiques qui n’est, selon Guéant, « que la modernisation du fichier des empreintes digitales, avec la pleine utilisation des technologies les plus modernes ».
    Affirmer que la technologie est la continuation de la politique et de la guerre par d’autres moyens vous semble exagéré ? Vous doutez du lien entre innovation technologique et progrès de la police des populations – de « l’organisation rationnelle de l’ordre public » ? Vous pensez que les opposants à la tyrannie technologique, les luddites, les anti-technosciences se jouent des films d’épouvante ? Lisez les propos de nos comploteurs et repensez-y à deux fois.
    (Pour lire le document, cliquer sur l’icône ci-dessous.)
    PS : par ailleurs, le CEA vous invite à perfectionner ses systèmes biométriques en donnant vos empreintes digitales. Pour télécharger le formulaire de consentement à remplir par les donateurs, et bien sûr, le courrier d’accord de la CNIL : http://www.piecesetmaindoeuvre.com... - #Documents