organization:l'autorité de sûreté nucléaire

  • Mauvaise passe pour EDF, nuages sur la filière nucléaire française
    https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/mauvaise-passe-pour-edf-821061.html


    L’Autorité de sûreté nucléaire impose à EDF de réparer toutes les soudures avant la mise en service de Flamanville, repoussée d’au moins trois ans.
    Crédits : Benoit Tessier

    Alors que le PDG de l’entreprise publique présente ce 20 juin aux syndicats un projet de scission du groupe en deux entités, contre lequel ils sont vent debout, l’Autorité de sûreté nucléaire lui impose de procéder à la réparation de soudures défectueuses avant la mise en service de l’EPR de Flamanville. Nouveau retard et nouveau surcoût, alors que l’exécutif entend se prononcer sur l’avenir de la filière nucléaire française après le démarrage de l’EPR.

    C’est dans un courrier en date du 19 juin que l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a répondu à une sollicitation de EDF datant de début juin. A la suite de la découverte tardive de défauts sur de nombreuses soudures de l’EPR de Flamanville, l’opérateur avait entrepris d’en réparer près d’une soixantaine. Restaient huit d’entre elles, difficiles d’accès car situées sur le circuit de vapeur traversant l’enceinte du bâtiment réacteur et reliant le générateur de vapeur à la turbine située dans un bâtiment auxiliaire.

    L’ASN confirme dans son courrier que, « au regard du nombre et de la nature des écarts affectant ces soudures, (...) leur rupture ne peut plus être considérée comme hautement improbable et qu’il n’est donc plus possible de leur appliquer une démarche d’exclusion de rupture ».

    EDF avait le choix entre le renoncement à l’exclusion de rupture (garantie qui exclut absolument tout risque de rupture), ce qui imposait de refaire les études de sûreté et d’apporter des renforcements en conséquence au réacteur ou la réparation. L’exploitant a préféré opter pour la seconde solution, mais en les repoussant à 2024, après une mise en service de l’EPR en 2020, arguant que la réparation avant mise en service reporterait celle-ci au plus tôt à la fin 2022.

    « La stratégie proposée par EDF soulève d’importantes difficultés au plan de la justification du point de vue de la sûreté du fonctionnement du réacteur pendant plusieurs années dans un état dégradé, souligne Yves Marignac, du cabinet WISE. Sur le plan réglementaire, elle impliquerait également pour l’ASN d’autoriser la mise en service du réacteur dans un état non conforme à son décret d’autorisation de création (DAC), puisque l’exigence d’exclusion de rupture pour ces tuyauteries y est inscrite », ajoute-t-il.

    « La remise en conformité des soudures de traversées avant la mise en service du réacteur est techniquement réalisable », estime l’ASN.

    « Le report des opérations de réparation après la mise en service du réacteur soulèverait plusieurs difficultés, notamment au regard de la justification de la sûreté du réacteur durant la période transitoire. »

    « La suite logique devrait être le dépôt par EDF d’un dossier technique présentant les modalités prévues pour la réparation avant mise en service de ces huit soudures, qui restera à instruire par l’ASN avant une décision formelle d’autorisation de la mise en œuvre de cette réparation », analyse Yves Marignac.

    L’opérateur tablait sur un chargement du combustible en fin d’année pour un démarrage au premier semestre 2020... avec déjà 8 ans de retard sur le calendrier initial. Côté financier, alors que le budget est déjà passé de 3,5 milliards d’euros en 2007 à près de 11 milliards, il est bien difficile d’évaluer précisément les conséquences de ces nouveaux déboires.
    […]
    Cette dernière séquence est du pain béni pour les anti-nucléaires. « EDF n’a cessé d’être dans le déni depuis 2013, en refusant de reconnaître l’existence de ce problème, puis en refusant la réparation, puis en voulant réparer après redémarrage, a ainsi déclaré Greenpeace dans un communiqué. Cette attitude scandaleuse au regard de la sûreté nucléaire qui aboutit aujourd’hui à une décision sans appel de l’ASN décrédibilise tout le programme EPR et la stratégie industrielle d’EDF. »

  • Premier bilan des lanceurs d’alerte du nucléaire - Journal de l’environnement
    http://www.journaldelenvironnement.net/article/asn-22-signalements-et-un-premier-bilan,97552 ?
    #paywall

    L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a annoncé lundi 13 mai avoir reçu 22 signalements dans le cadre de son nouveau dispositif visant à lutter contre la fraude.

    https://www.asn.fr/Informer/Actualites/Point-d-etape-sur-le-plan-d-action-de-l-ASN-contre-le-risque-de-fraude

    L’ASN signale alors au procureur les faits dont elle a connaissance, en application de l’article 40 du code de procédure pénale : quatre signalements ont déjà été effectués. La nature exacte de ces signalements est couverte par le secret de l’instruction.

    #nucléaire

  • Nucléaire : la trajectoire énergétique française se complique
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/nucleaire-la-trajectoire-energetique-francaise-se-complique-755755.html


    21 réacteurs auront dépassé 40 ans avant que l’Avis de l’ASN concernant leur prolongation soit rendu
    Crédits : @ Columbus

    Le report de l’avis générique de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur la poursuite du fonctionnement de certains réacteurs au-delà de quarante ans, révélé le 24 octobre, pourrait avoir de lourdes conséquences sur la mise en œuvre de la loi de transition énergétique. Et, au-delà, sur l’image du nucléaire dans l’opinion publique, et la perception du rôle de l’Etat en matière de stratégie énergétique.

    C’était la bible sur laquelle devait s’appuyer le gouvernement pour déterminer quels réacteurs fermer en priorité dans le cadre de la loi de transition énergétique et de l’objectif qu’elle fixe de 50% d’électricité nucléaire dans son mix à l’horizon 2025. Mais, selon l’AFP qui l’a appris de source concordantes le 24 octobre, l’avis générique de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur la poursuite du fonctionnement des réacteurs de 900 mégawatts (MW) au-delà de quarante ans, initialement prévu pour 2018, risque d’être reporté au-delà de 2019. Et même jusqu’à 2021 selon Enerpresse.
    […]
    « Plus le temps passe, plus on est devant le fait accompli et ce manque de transparence peut susciter de la méfiance dans l’opinion publique, renchérit Nicolas Goldberg [, manager au sein du cabinet Colombus Consulting]. Nous pouvons prolonger les centrales nucléaires, mais l’État doit assumer qu’il s’agit d’un choix industriel, et non un fait accompli subi ».

    Dire « on prolonge parce qu’on n’a pas le choix », c’est terrible pour la filière et n’aide pas à avoir confiance dans notre industrie nucléaire actuelle. »
    D’ailleurs « Ce ne serait pas rendre service au nucléaire, estime-t-il. Montrer un État impuissant face à l’industrie ne contribuerait pas à redorer son blason face à un sentiment antinucléaire naissant. »

    « Soit on laisse les choses dériver, ce qui créera un sentiment de perte de maîtrise de la situation et de mépris des principes démocratiques, soit le politique reprend la main », résume pour sa part Yves Marignac [, directeur de l’agence Wise-Paris et membre du groupe permanent d’experts pour les réacteurs nucléaires à l’ASN, a confirmé l’information].

    « Quoi qu’il arrive, poursuit-il, ce n’est pas possible qu’il ne se passe rien sous ce quinquennat. Soit on assiste à un choc politique, soit il se produit un crash, sur le plan de la sûreté ou sur le plan économique. »

  • La réglementation sur l’incorporation de radionucléides dans des biens de consommation devrait évoluer
    https://www.actu-environnement.com/ae/news/reglementation-radionucleides-incorporation-biens-consommation-2

    Normalement, la réglementation française interdit la dispersion de radionucléides dans les produits de construction et de consommation. Toutefois, en mai 2009, un arrêté a créé un régime dérogatoire. Ce régime a été critiqué dès l’origine, notamment par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) qui avait rendu un avis défavorable au motif que le projet d’arrêté « [tendait] à banaliser la délivrance de dérogations ». Les pouvoirs publics ont publié l’arrêté, passant outre cet avis.

    Aujourd’hui, le sujet prend une nouvelle tournure avec l’augmentation des déchets TFA issus du démantèlement des installations nucléaires. L’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) estime que les démantèlements devraient en générer 2,2 millions de m3, hors gestion des sols pollués. Mais le Centre industriel de regroupement, d’entreposage et de stockage (Cires) de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) ne peut guère en accueillir que 650.000 m3. Le site, situé à Morvilliers (Aube), devrait être saturé vers 2025.

    Dans ce contexte, le « recyclage » de ces déchets est une option qui prend de l’épaisseur. Areva étudie par exemple la valorisation d’une partie des métaux issus du démantèlement d’Eurodif. Une des possibilités consiste à recycler certains déchets dans le domaine nucléaire. Les métaux pourraient être réemployés pour fabriquer des contenants de déchets radioactifs et les gravas pour réaliser des travaux de terrassement sur les sites nucléaires. Mais cela ne répond pas à l’ampleur du problème. En 2012, l’ASN expliquait que le modèle économique de ce recyclage au sein de l’industrie nucléaire était précaire, ce qui conduit les industriels du nucléaire à défendre la valorisation de certains déchets TFA à l’extérieur de l’industrie nucléaire.

    #nucléaire

  • Nucléaire : EDF sommé d’arrêter la centrale de Tricastin
    https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/030632356137-nucleaire-edf-somme-darreter-la-centrale-de-tricastin-2117952.

    Coup de tonnerre pour EDF. L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) demande à l’électricien la mise à l’arrêt des quatre réacteurs de la centrale nucléaire de Tricastin (Drôme). Le gendarme du nucléaire pointe un « risque de rupture d’une partie de la digue du canal de Donzère-Mondragon pour les séismes les plus importants étudiés dans la démonstration de sûreté nucléaire ».

    En cas de rupture de cette digue située sur un canal voisin du Rhône, « l’inondation en résultant pourrait conduire à un accident de fusion du combustile nucléaire » et « rendrait particulièrement difficile la mise en oeuvre des moyens de gestion d’urgence internes et externes », indique l’ASN.

  • En Normandie, les inspecteurs de l’Autorité de sûreté #nucléaire sous la pression d’EDF
    http://multinationales.org/En-Normandie-les-inspecteurs-de-l-Autorite-de-surete-nucleaire-sous

    Pas facile d’être inspecteur du travail de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur les sites d’EDF en Normandie. La région abrite plusieurs centrales et le chantier de l’EPR de Flamanville. Mediapart raconte comment deux de ces inspecteurs se sont retrouvés en burn-out en raison des pressions et de menaces d’EDF, avec le soutien de la direction de l’ASN. Leur mission apparaît pourtant cruciale pour la sûreté des travailleurs et des riverains. « Je suis inspecteur du travail à la division de Caen de (...)

    Actualités

    / #France, #EDF, #Énergie_nucléaire, #Autorité_de_sûreté_nucléaire, nucléaire, #influence, santé et sécurité au (...)

    #santé_et_sécurité_au_travail
    « https://www.mediapart.fr/journal/france/181016/flamanville-l-autorite-de-surete-nucleaire-est-dans-la-main-d-edf »

  • EDF : le démantèlement de réacteurs repoussé de plusieurs dizaines d’années
    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/edf-le-demantelement-de-reacteurs-repousse-de-plusieurs-dizaines-d-annees-

    Plombé par des dépréciations d’actions et la baisse du prix de l’énergie, EDF cherche désormais à repousser le démantèlement de certains réacteurs nucléaires à l’arrêt. Le décalage serait de « plusieurs décennies », a annoncé l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). C’est lors d’une audition datée du 29 mars 2016 qu’EDF a informé l’ASN qu’elle retenait une nouvelle stratégie de démantèlement. Selon l’ASN, « celle-ci modifie significativement la méthode, le rythme des démantèlements et les scénarios associés ».

    Logique… après avoir systématiquement minimisé les coûts du démantèlement futur voire omis de les intégrer dans les calculs économiques, le plus simple pour continuer à ne pas les prendre en charge est bien de reporter celui-ci de plusieurs décennies après l’arrêt des centrales.

  • Le réacteur EPR de Flamanville touché au coeur
    Le Monde.fr | 07.04.2015
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/04/07/nouvelles-difficultes-sur-le-reacteur-epr-de-flamanville_4610989_3234.html

    Le chantier du réacteur EPR de Flamanville (Manche) connaît une nouvelle difficulté et elle porte, cette fois, sur la sûreté du cœur de l’îlot nucléaire : la cuve d’acier dans laquelle se produit la fission de l’atome. Elle constitue la seconde barrière de protection après la double enceinte de béton du bâtiment réacteur. L’autorité de sûreté nucléaire a indiqué, mardi 7 avril, qu’Areva l’avait informée d’une « anomalie de la composition de l’acier dans certaines zones du couvercle et du fond de la cuve » du réacteur.

    • Une anomalie pourrait condamner le réacteur EPR de Flamanville, selon Greenpeace
      http://www.romandie.com/news/Une-anomalie-pourrait-condamner-le-reacteur-EPR-de-Flamanville-selon-_RP/582728.rom

      Caen - L’anomalie annoncée mardi par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur la cuve du réacteur nucléaire en construction à Flamanville (Manche) risque de condamner ce réacteur ainsi que deux autres EPR en chantier en Chine, affirme jeudi l’organisation écologiste Greenpeace.

      Si les tests en cours confirment l’anomalie —et il y a de fortes probabilités qu’ils la confirment— ces EPR sont condamnés à ne pas démarrer car les cuves, dont l’acier fait l’objet de doutes, sont a priori irremplaçables une fois posées, déclare à l’AFP Yannick Rousselet, chargé des questions nucléaires à Greenpeace France.

      C’est énorme. Les enjeux sont considérables, ajoute M. Rousselet, pour qui il s’agit du plus gros problème jamais relevé sur un EPR (réacteur pressurisé européen).

      Mardi, l’ASN a annoncé qu’une anomalie avait été détectée à Flamanville dans la composition de l’acier du couvercle de la cuve, et du fond de cuve, deux pièces appelées calottes.

      Outre Flamanville, trois réacteurs EPR sont en construction dans le monde, en Chine et en Finlande. Selon l’ASN, certaines calottes des cuves des réacteurs de Taïshan 1 et 2 (Chine) ont été fabriquées par Creusot Forge, filiale d’Areva, selon un procédé similaire à celui de la cuve de l’EPR de Flamanville. Ce n’est pas le cas des calottes de la cuve de l’EPR d’Olkiluoto en Finlande, qui proviennent d’un autre fournisseur.

      Areva doit réaliser d’ici octobre des expertises pour confirmer ou infirmer l’anomalie apparue au cours de premières mesures.

    • Areva signe deux accords dans le cadre du projet d’EPR en Inde
      (©AFP / 10 avril 2015 19h59)
      http://www.romandie.com/news/583184.rom

      Paris - Le spécialiste du nucléaire Areva a annoncé vendredi avoir signé deux accords avec des groupes indiens, dans le cadre du projet de construction de réacteurs nucléaires EPR dans le pays.

      Ces deux accords, signés à l’occasion de la visite officielle en France du Premier ministre indien Narendra Modi, marquent la progression du projet EPR de Jaitapur, au sud de Bombay, annoncé depuis 2009, a affirmé Areva dans un communiqué.

      Le groupe public français a ainsi signé un contrat avec l’électricien nucléaire indien Nuclear Power Corporation of India Limited (NPCIL) pour des études de pré-ingénierie sur le projet EPR de Jaitapur.

      Ces études permettront aux partenaires de préparer la certification du réacteur en Inde et de finaliser les spécifications techniques du projet, précise le groupe.

  • FRANCE : Dans la centrale nucléaire de Gravelines, ça fuit un petit peu...
    http://www.brujitafr.fr/2014/11/france-dans-la-centrale-nucleaire-de-gravelines-ca-fuit-un-petit-peu.html

    La plus grande centrale nucléaire française stocke ses rejets radioactifs liquides dans des réservoirs défectueux. Le recours à la sous-traitance par EDF est pointé du doigt.

    L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a sommé EDF de se conformer à la réglementation à la suite d’une série de défaillances qui illustre le décalage entre le discours rassurant de l’opérateur sur l’entretien de ses installations et l’état réel des équipements à la centrale nucléaire de Gravelines (Nord). La mise en demeure d’EDF par l’ASN est datée du 15 avril 2014 mais a été publiée sur le site internet de l’Autorité seulement ce 7 novembre [1].

    « Fuites, perforations », « inétanchéité », « présence de sous-épaisseurs » : voici ce que rapporte l’ASN sur des réservoirs contenant les rejets liquides des (...)

  • Un problème de corrosion sur 25 réacteurs nucléaires français
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/02/07/un-probleme-de-corrosion-sur-25-reacteurs-nucleaires-francais_4362466_3244.h
    Juste pour info parce que tout est maîtrisé, le #nucléaire c’est un truc sécure 100 %

    Un problème de corrosion a été identifié sur des gaines de combustibles qui entourent l’uranium dans 25 des 58 réacteurs nucléaires français, rapporte vendredi 7 février le site Mediapart. L’électricien public a pour sa part évoqué un simple « dossier technique qui fait l’objet d’échanges de travail » entre EDF et l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). « A ce stade il n’y a aucun problème de sûreté et donc aucune conséquence en termes d’exploitation », a ajouté EDF.

    Selon le document publié en partie par Mediapart, l’ASN juge que le gainage en Zircaloy (un alliage de zircanium) présent dans 25 réacteurs est « plus sensible à la corrosion » que des gainages plus récents, et que ses « épaisseurs de corrosion » ne sont « pas acceptables ».

    MODIFICATION DES GAINES PRÉVUE

    Thomas Houdré, directeur du département des centrales nucléaires à l’ASN, interrogé par Le Monde, confirme que « le sujet est connu et en cours de traitement ». « Il faut changer le Zircaloy par un autre matériau plus résistant, poursuit-il. Cette modification va débuter cette année mais prendra du temps car les gaines sont irradiées. »

  • Le #nucléaire enfouit ses #données | Claire Berthelemy et Sabine Blanc
    http://owni.fr/2012/04/27/le-nucleaire-enfouit-ses-donnees

    Officiellement, le nucléaire est une industrie « transparente ». Pourtant, travailler sur les données des rapports de l’Autorité de sûreté nucléaire (#ASN) est un parcours du combattant. L’opacité est de mise et la confusion savamment entretenue. Même pour les éléments chiffrés en sources ouvertes. Voici le récit de nos travaux et de nos échanges avec l’ASN, visant juste à rendre intelligibles des données publiques.

    #Atomisé #Pouvoirs #Récit #data #datajournalism #edf #Kafka

  • EPR de Flamanville : interruption du bétonnage pour défauts - LeMonde.fr
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/03/01/epr-de-flamanville-interruption-du-betonnage-pour-defauts_1650849_3244.html

    Des premiers défauts ont d’abord été détectés sur « deux ou trois » boîtes sur leur lieu de fabrication, selon l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), qui n’a pu préciser le nom du fabricant. Puis des contrôles complémentaires d’EDF à Flamanville ont montré qu’un plus grand nombre des 46 « consoles » étaient concernées, selon l’ASN.

    tu apprécieras la précision de l’info

    #nucléaire