person:grace

  • Littérature « francophone », mots pour maux | Kiffe ta race
    https://www.binge.audio/litterature-francophone-mots-pour-maux

    En quoi la langue française est-elle « à la fois un lieu d’oppression et un outil d’émancipation » ? Pourquoi l’appellation littérature « francophone » pose question ? Grace Ly et Rokhaya Diallo reçoivent Kaoutar Harchi, écrivaine et sociologue des arts et de la culture, autrice notamment de « Je n’ai qu’une langue et ce n’est pas la mienne » (éd. Fayard, 2016) où elle analyse la place de cinq écrivain·ne·s algérien·ne·s dans la littérature française. Durée : 42 min. Source : Binge Audio

    https://assets.pippa.io/campaigns/5cee61ab52e2ca1621ef8b10.mp3

  • Grace Murray Hopper, l’informaticienne certainement la plus récompensée, et pas par n’importe qui !
    _ Pour faire suite au billet de @aris :https://seenthis.net/messages/767643

    Sa biographie wikipédia

    Grace Murray Hopper, née le 9 décembre 1906 à New York et morte le 1er janvier 1992 dans le comté d’Arlington, est une informaticienne américaine et Rear admiral (lower half) de la marine américaine.
    Elle est la conceptrice du premier compilateur en 1951 (A-0 System) et du langage COBOL en 1959.

    Grace Brewster Murray est née le 9 décembre 1906 à New York. Elle étudie les mathématiques, la physique et l’économie au Vassar College, et en sort diplômée en 1928. En 1934, elle obtient un doctorat en mathématiques de l’université Yale.

    La jeune femme enseigne les mathématiques au Vassar College entre 1931 et 1944. Elle épouse en 1930 Vincent Hopper, un professeur de littérature. Le couple, qui n’a pas d’enfants, divorce en 19451.

    Carrière
    En 1943, Grace Hopper s’engage dans la marine américaine. Promue au grade de lieutenant, elle est affectée l’année suivante au Bureau of Ordnance Computation Project de l’université Harvard. Elle travaille dans l’équipe de Howard Aiken sur l’ordinateur Harvard Mark . Elle fait partie du premier groupe, comptant trois personnes, apprenant à le programmer.

    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle quitte le service actif de la marine, mais continue à travailler au développement des ordinateurs Harvard Mark II puis Harvard Mark III pour le compte du Computation Laboratory d’Harvard.

    En 1949, Grace Hopper est employée par Eckert–Mauchly Computer Corporation (en) (EMCC) et rejoint l’équipe développant UNIVAC à Philadelphie. En 1950, la compagnie est rachetée par Remington Rand. Hopper conçoit l’année suivante le premier compilateur pour UNIVAC I, nommé A-0 System.

    À partir de 1957, elle travaille pour IBM, où elle défend l’idée qu’un programme devrait pouvoir être écrit dans un langage proche de l’anglais plutôt que d’être calqué sur le langage machine, comme l’assembleur.
    De cette idée naît le langage #COBOL en 1959.

    En 1966, conformément au règlement en vigueur, elle doit quitter la Navy après avoir atteint l’âge de 60 ans, mais est rappelée l’année suivante.
    Au cours des années 1970, elle mène les travaux d’établissement de normes pour les ordinateurs, en particulier les premiers langages de programmation évolués : le #Fortran et le COBOL.


    Grace Hopper au clavier de l’UNIVAC, vers 1960.

    Grace Hopper reste dans la Marine jusqu’en 1986, date à laquelle elle prend sa retraite avec le grade de Rear admiral (lower half). Elle est alors l’officier le plus âgé de la marine américaine.

    Jusqu’à son décès en 1992, elle est employée comme consultante externe par Digital Equipment, pour des conférences sur les débuts de l’informatique3. Elle est enterrée avec les honneurs militaires au cimetière national d’Arlington.

    Distinctions
    En 1986, Grace Hopper est décorée de la Defense Distinguished Service Medal, plus haute distinction existante pour les non-combattants3. En 1991, elle reçoit la National Medal of Technology pour « ses contributions novatrices dans le développement de langages de programmation »6.

    Le 22 novembre 2016, Barack Obama lui décerne à titre posthume la médaille présidentielle de la Liberté7.

    Hommages
    En 1973, Grace Hopper est nommée « membre émérite » (distinguished fellow) de la British Computer Society3. Elle est inscrite au National Women’s Hall of Fame en 19945. Près d’une cinquantaine de doctorats honoraires lui ont été décernés3. En 1997, un destroyer de la classe Arleigh Burke, est baptisé USS Hopper (DDG-70).

    #femmes #genre #sexisme #culture_geek #informatique #us_navy #amiral

    • Le Cobol, un langage de programmation a peu prêt naturel, donc simple à apprendre.
      Une petite partie des comptables, dans les entreprises ont donc été transformés en information.e.s, ce qui a permis l’éradication des comptables, et des employé.e.s de bureaux.

      Pour information, une version française avait été développée, elle devait se nomer le « français ».
      Il semble que ce langage de programmation soit toujours utilsé, dans 1 % des cas.

  • Pourquoi les filles ont délaissé l’informatique
    http://theconversation.com/pourquoi-les-filles-ont-delaisse-linformatique-110940

    C’est un fait qui saute aux yeux de tout organisateur de salon d’orientation post-bac ou de journées portes ouvertes en école d’ingénieurs : les garçons sont largement plus nombreux que les filles à se presser autour des stands dédiés aux métiers du numérique. On pourrait croire qu’il en a toujours été ainsi. D’ailleurs, cet état des lieux est ancré dans les mentalités, la figure du « geek » se déclinant encore souvent au masculin.

    Cela ferait presque oublier qu’aux débuts de ce qu’on appelait l’« informatique », de nombreuses mathématiciennes ont joué un rôle clé. Parmi ces grandes figures, on peut citer Grace Hopper, qui a imaginé la notion de compilateur et en a fait le premier prototype en 1952. C’est une femme, Mary Keller, qui a soutenu la première thèse en informatique, en 1965.

    On peut citer aussi Kathleen Booth, pionnière de la reconnaissance de caractères et de la traduction automatique. Ou Barbara Liskov, qui programme en 1968 un des premiers jeux d’échecs, et devient professeure en intelligence artificielle au MIT.

    #femmes #genre #sexisme #culture_geek #informatique

  • Informatique, astronomie ou chimie : toutes ces inventions de femmes attribuées à des hommes - Politique - Numerama
    https://www.numerama.com/politique/469570-informatique-astronomie-ou-chimie-toutes-ces-inventions-de-femmes-a

    Le Wi-Fi, la fission nucléaire ou le pulsar : quel est le point commun entre ces inventions ? Elles ont toutes été créées par des inventrices, éclipsées dans l’ombre de leurs confrères masculins. Nous rappelons leur histoire ce 8 mars 2019.

    Où sont les femmes dans les technologies et les sciences ? Dans l’ombre de leurs homologues masculins, pour nombre d’entre elles. À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, le 8 mars 2019, nous avons décidé de revenir sur le parcours d’inventrices éclipsées par l’Histoire, dont les exploits ont été notamment attribués à des hommes.

    On parle d’effet Matilda pour désigner la manière dont la contribution de nombreuses femmes scientifiques a été minimisée, voir attribuée à des confrères masculins.

    Son manuscrit en atteste encore aujourd’hui : Ada Lovelace, née en 1815 et décédée à 37 ans, a réalisé le premier programme informatique. Entre 1842 et 1843, la comtesse traduit en anglais un article du mathématicien Federico Luigi, qui décrit la machine analytique de Babbage. Sur les conseils de ce dernier, elle va enrichir cette traduction avec ses propres notes, dont le volume est plus imposant que le texte de départ.

    Dans la note G, elle présente un algorithme particulièrement détaillé. Ce travail est considéré comme le premier programme informatique du monde, rédigé dans un langage exécutable par une machine. Charles Babbage, qui a consacré sa vie à la construction de cette fameuse machine analytique, a bien bénéficié du travail sur l’algorithme mené par Ada Lovelace.
    Ada Lovelace. // Source : Wikimedia/CC/Science Museum Group (photo recadrée)
    Hedy Lamarr et le Wi-Fi

    On ne doit pas seulement à Hedy Lamarr, actrice autrichienne naturalisée américaine, une trentaine de films. L’inventrice, née en 1914 et décédée en 2000, a aussi joué un autre rôle important dans l’histoire de nos télécommunications. Le brevet qu’elle a déposé en 1941 (enregistré l’année suivante) en atteste encore : Hedy Lamarr avait inventé un « système secret de communication » pour des engins radio-guidés, comme des torpilles. La découverte, à l’origine du GPS et du Wi-Fi, était le fruit d’une collaboration avec George Antheil, un pianiste américain.

    Le brevet ainsi déposé permettait à l’Armée des États-Unis de l’utiliser librement. La technologie n’a pourtant pas été mobilisée avant 1962, lors de la crise des missiles de Cuba. La « technique Lamarr » a valu à l’actrice un prix en de l’Electronic Frontier Foundation… en 1997.
    Hedy Lamarr en 1944. // Source : Wikimedia/CC/MGM (photo recadrée)
    Alice Ball et le traitement contre la lèpre

    Pendant 90 ans, l’université d’Hawaï n’a pas reconnu son travail. Pourtant, Alice Ball a contribué au développement d’un traitement efficace contre la lèpre au cours du 20e siècle. Cette chimiste, née en 1892 et morte en 1916 à l’âge seulement de 24 ans, est devenue la première afro-américaine diplômée de cet établissement. Plus tard, elle y est devenue la première femme à enseigner la chimie.

    Alice Ball s’est penchée sur une huile naturelle produite par les arbres de l’espèce « Chaulmoogra », réputée pour soigner la lèpre. En isolant des composants de l’huile, elle est parvenue à conserver ses propriétés thérapeutiques tout en la rendant injectable dans le cops humain. Décédée avant d’avoir eu le temps de publier ses travaux, Alice Ball est tombée dans l’oubli tandis qu’Arthur L. Dean, le président de l’université d’Hawaï, s’est attribué son travail.
    Alice Ball (1915). // Source : Wikimedia/CC/University of Hawaii System
    Grace Hopper et le premier compilateur

    En 1951, Grace Hopper a conçu le premier compilateur, c’est-à-dire un programme capable de traduire un code source (écrit dans un langage de programmation) en code objet (comme le langage machine). Née en 1906 et décédée en 1992, cette informaticienne américaine a fait partie de la marine américaine où elle s’est hissée au grade d’officière générale.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle a travaillé sur le Harvard Mark I, le premier grand calculateur numérique construit aux États-Unis. Le mathématicien John von Neumann est présenté comme celui qui a initié l’un des premiers programmes exécutés par la machine. Grace Hopper faisait pourtant partie de l’équipe des premiers programmateurs du Mark I.
    Grace Hopper (1984). // Source : Wikimedia/CC/James S. Davis (photo recadrée)
    Esther Lederberg et la génétique bactérienne

    Cette spécialiste de microbiologie était une pionnière de la génétique microbienne, une discipline croisant la microbiologie (l’étude des micro-organismes) et le génie génétique (l’ajout et la suppression de l’ADN dans un organisme). La génétique microbienne consiste à étudier les gènes des micro-organismes.

    Esther Lederberg est née en 1922 et décédée en 2006. Elle a découvert ce qu’on appelle le « phage lambda », un virus qui infecte notamment la bactérie E.coli. Le phage lambda est très étudié en biologie et il est utilisé pour permettre le clonage de l’ADN. Esther Lederberg l’a identifié en 1950. Elle collaborait régulièrement avec son mari Joshua Ledeberg : c’est lui qui a obtenu le prix Nobel de médecine en 1958, récompensant ces travaux sur la manière dont les bactéries échangent des gènes sans se reproduire.
    Esther Lederberg. // Source : Wikimedia/CC/Esther M. Zimmer Lederberg
    Jocelyn Bell et le pulsar

    En 1974, le prix Nobel de physique est remis à l’astronome britannique Antony Hewish. Pourtant, ce n’est pas lui qui a découvert le pulsar, un objet astronomique qui pourrait être une étoile à neutrons tournant sur elle-même. Antony Hewish était le directeur de thèse de Jocelyn Bell : il s’est contenté de construire le télescope nécessaire à ces observations. C’est bien l’astrophysicienne, née en 1943, qui a identifié la première le pulsar.

    En 2018, elle a finalement reçu le Prix de physique fondamentale. Elle a choisi d’utiliser les 3 millions de dollars qui lui ont été offerts pour encourager les étudiants sous-représentés dans le domaine de la physique.
    Jocelyn Bell (2015). // Source : Wikimedia/CC/Conor McCabe Photography (photo recadrée)
    Chien-Shiung Wu et la physique nucléaire

    Chien-Shiung Wu, née en 1912 et décédée en 1997, était une spécialiste de la physique nucléaire. En 1956, elle démontre par l’expérience la « non conservation de la parité dans les interactions faibles », au cours de ses travaux sur les interactions électromagnétiques. C’est une contribution importante à la physique des particules.

    Deux physiciens théoriciens chinois, Tsung-Dao Lee et Chen Ning Yang, avaient mené des travaux théoriques sur cette question. Tous deux ont reçu le prix Nobel de physique en 1957. Il faut attendre 1978 pour que la découverte expérimentale de Chien-Shiung Wu soit récompensée par l’obtention du prix Wolf de physique.
    Chien-Shiung Wu en 1963. // Source : Wikimedia/CC/Smithsonian Institution (photo recadrée)
    Rosalind Franklin et la structure de l’ADN

    La physico-chimiste Rosalind Franklin, née en 1920 et décédée en 1958, a joué un rôle important dans la découverte de la structure de l’ADN, notamment sa structure à double hélice. Grâce à la diffraction des rayons X, elle prend des clichés d’ADN qui permettent de faire cette découverte. Elle présente ses résultats en 1951 au King’s College.

    Un certain James Dewey Watson assiste à cette présentation. Ce généticien et biochimiste informe le biologiste Francis Crick de la découverte de Rosalind Franklin. En utilisant les photos de la physico-chimiste, ils publient ce qui semble être leur découverte de la structure de l’ADN. En 1953, ils publient ces travaux dans la revue Nature. Ils obtiennent un prix Nobel en 1962, sans mentionner le travail pionnier de Rosalind Franklin.
    Rosalind Franklin. // Source : Flickr/CC/retusj (photo recadrée)
    Lise Meitner et la fission nucléaire

    Nommée trois fois pour recevoir un prix Nobel, cette physicienne autrichienne n’a jamais reçu la précieuse distinction. C’est pourtant une collaboration entre Elise Meitner et Otto Frisch, son neveu, qui permis d’apporter la première explication théorique de la fusion, en 1939.

    La scientifique, née en 1878 et décédée en 1968, n’a jamais reçu du comité remettant la distinction la même estime que celle que lui portaient ses collègues. En 1944, le prix Nobel de chimie fut donné à Otto Hahn, chimiste considéré à tort comme le découvreur de la fission nucléaire.
    Lise Meitner (1906). // Source : Wikimedia/CC (photo recadrée)
    Katherine Johnson et la navigation astronomique

    L’action déterminante de Katherine Johnson dans les programmes aéronautiques et spatiaux de la Nasa a fait l’objet d’un film, Les Figures de l’ombre. Née en 1918, cette physicienne et mathématicienne a calculé de nombreuses trajectoires et travaillé sur les fenêtres de lancement de nombreuses missions. Véritable « calculatrice humaine », elle a vérifié à la main des trajectoires de la mission Mercury-Atlas 6, qui a envoyé un homme en orbite autour de la Terre.

    En 1969, elle calcule des trajectoires essentielles lors de la mission Apollo 11. C’est à cette occasion que des humains — des hommes — se sont posés pour la première fois sur la Lune. En 2015, elle est récompensée et reçoit la médaille présidentielle de la Liberté.
    Katherine Johnson en 1966. // Source : Wikimedia/CC/Nasa (photo recadrée)

    #femmes #historicisation #effet_Matilda #sexisme #discrimination #invisibilisation #science

  • Who Maps the World ?

    Too often, men. And money. But a team of OpenStreetMap users is working to draw new cartographic lines, making maps that more accurately—and equitably—reflect our space.

    “For most of human history, maps have been very exclusive,” said Marie Price, the first woman president of the American Geographical Society, appointed 165 years into its 167-year history. “Only a few people got to make maps, and they were carefully guarded, and they were not participatory.” That’s slowly changing, she said, thanks to democratizing projects like OpenStreetMap (OSM).

    OSM is the self-proclaimed Wikipedia of maps: It’s a free and open-source sketch of the globe, created by a volunteer pool that essentially crowd-sources the map, tracing parts of the world that haven’t yet been logged. Armed with satellite images, GPS coordinates, local community insights and map “tasks,” volunteer cartographers identify roads, paths, and buildings in remote areas and their own backyards. Then, experienced editors verify each element. Chances are, you use an OSM-sourced map every day without realizing it: Foursquare, Craigslist, Pinterest, Etsy, and Uber all use it in their direction services.

    When commercial companies like Google decide to map the not-yet-mapped, they use “The Starbucks Test,” as OSMers like to call it. If you’re within a certain radius of a chain coffee shop, Google will invest in maps to make it easy to find. Everywhere else, especially in the developing world, other virtual cartographers have to fill in the gaps.

    But despite OSM’s democratic aims, and despite the long (albeit mostly hidden) history of lady cartographers, the OSM volunteer community is still composed overwhelmingly of men. A comprehensive statistical breakdown of gender equity in the OSM space has not yet been conducted, but Rachel Levine, a GIS operations and training coordinator with the American Red Cross, said experts estimate that only 2 to 5 percent of OSMers are women. The professional field of cartography is also male-dominated, as is the smaller subset of GIS professionals. While it would follow that the numbers of mappers of color and LGBTQ and gender-nonconforming mappers are similarly small, those statistics have gone largely unexamined.

    There is one arena where women’s OSM involvement, specifically, is growing, however: within organizations like Humanitarian OpenStreetMap Team (HOT) and Missing Maps, which work to develop parts of the map most needed for humanitarian relief, or during natural disasters.
    When women decide what shows up on the map

    HOT has worked on high-profile projects like the “crisis mapping” of Puerto Rico in the wake of Hurricane Maria, and on humble but important ones, like helping one Zimbabwe community get on their city’s trash pickup list by highlighting piles of trash that littered the ground. Missing Maps is an umbrella group that aids it, made up of a coalition of NGOs, health organizations like the Red Cross, and data partners. It works to increase the number of volunteers contributing to humanitarian mapping projects by educating new mappers, and organizing thousands of map-a-thons a year.

    In HOT’s most recent gender equity study, it found that 28 percent of remote mappers for its projects were women. And in micro-grant-funded field projects, when organizations worked directly with people from the communities they were mapping, women participants made up 48 percent.

    That number dwarfs the percentage in the rest of the field, but parity (or majority) is still the ultimate aim. So in honor of International Women’s Day, Missing Maps organized about 20 feminist map-a-thons across the country, including one at the American Red Cross headquarters in downtown Washington, D.C., led by Levine along with a team of women volunteers. Price spoke as the guest of honor, and around 75 people attended: members of George Washington University’s Humanitarian Mapping Society, cartography enthusiasts, Red Cross volunteers and employees. There were women and men; new mappers and old.

    I turned up with my computer and not one cartographical clue.

    The project we embarked on together was commissioned by the Tanzanian Development Trust, which runs a safe house for girls in Tanzania facing the threat of genital mutilation. Its workers pick up and safely shelter girls from neighboring villages who fear they’ll be cut. When a girl calls for help, outreach workers need to know where to go pick them up, but they’re stuck in a Google Maps dead zone. Using OSM, volunteers from all over the world—including girls on the ground in Tanzania—are filling in the blanks.

    When it comes to increasing access to health services, safety, and education—things women in many developing countries disproportionately lack—equitable cartographic representation matters. It’s the people who make the map who shape what shows up. On OMS, buildings aren’t just identified as buildings; they’re “tagged” with specifics according to mappers’ and editors’ preferences. “If two to five percent of our mappers are women, that means only a subset of that get[s] to decide what tags are important, and what tags get our attention,” said Levine.

    Sports arenas? Lots of those. Strip clubs? Cities contain multitudes. Bars? More than one could possibly comprehend.

    Meanwhile, childcare centers, health clinics, abortion clinics, and specialty clinics that deal with women’s health are vastly underrepresented. In 2011, the OSM community rejected an appeal to add the “childcare” tag at all. It was finally approved in 2013, and in the time since, it’s been used more than 12,000 times.

    Doctors have been tagged more than 80,000 times, while healthcare facilities that specialize in abortion have been tagged only 10; gynecology, near 1,500; midwife, 233, fertility clinics, none. Only one building has been tagged as a domestic violence facility, and 15 as a gender-based violence facility. That’s not because these facilities don’t exist—it’s because the men mapping them don’t know they do, or don’t care enough to notice.
    In 2011, the OSM community rejected an appeal to add the “childcare” tag at all. It was finally approved in 2013, and in the time since, it’s been used more than 12,000 times.

    So much of the importance of mapping is about navigating the world safely. For women, especially women in less developed countries, that safety is harder to secure. “If we tag something as a public toilet, does that mean it has facilities for women? Does it mean the facilities are safe?” asked Levine. “When we’re tagging specifically, ‘This is a female toilet,’ that means somebody has gone in and said, ‘This is accessible to me.’ When women aren’t doing the tagging, we just get the toilet tag.”

    “Women’s geography,” Price tells her students, is made up of more than bridges and tunnels. It’s shaped by asking things like: Where on the map do you feel safe? How would you walk from A to B in the city without having to look over your shoulder? It’s hard to map these intangibles—but not impossible.

    “Women [already] share that information or intuitively pick it up watching other women,” Price said. “Those kinds of things could be mapped. Maybe not in an OSM environment, but that happens when cartography goes into many different hands and people think of different ways of how we know space, classify space, and value space.”

    That’s why Levine believes that the emphasis on recruiting women mapmakers, especially for field projects like the Tanzanian one, is above all else a practical one. “Women are the ones who know the health facilities; they know what’s safe and unsafe; they know where their kids go to play; they know where to buy groceries,” she said. “And we have found that by going to them directly, we get better data, and we get that data faster.”

    Recording more women-centric spaces doesn’t account for the many LGBTQ or non-binary spaces that go unmapped, a gap the International Women’s Day event didn’t overtly address. But elsewhere on the internet, projects like “Queering the Map” seek to identify queer spaces across the globe, preserving memories of LGBTQ awakenings, love stories, and acts of resistance. Instead of women’s health centers, the Queered Map opens a space to tag gay bars, or park benches where two women once fell in love, or the street in Oakland someone decided to change their “pronouns to they/them.” It’s a more subjective way to label space, and less institutionalized than the global OSM network. But that’s sort of the point.
    Service through cartography

    The concentration of women mappers in humanitarian projects is partly due to the framing of cartography as a service-driven skill, Levine said, rather than a technical one. That perception reflects the broader dynamics that alienate women from STEM fields—the idea that women should work as nurturers, not coders—but many women at the map-a-thon agreed that it was a drive to volunteer that first drew them to OSM.

    Maiya Kondratieff and Grace Poillucci, freshmen at George Washington University, are roommates. Both of them unexpectedly fell into digital mapping this year after seeing GW’s Humanitarian Mapping Society advertised at the university club fair. They were joined at the Missing Maps event by fellow society member Ethan Casserino, a third-year at GW.

    “It wasn’t presented as a tech-y thing; more like service work,” said Kondratieff. “And our e-board is mostly even” in terms of gender representation, she added. One of those older leaders of the group spent much of the night hurrying around, dishing out pizza and handing out stickers. Later, she stopped, leaned over Kondratieff’s shoulder, and helped her solve a bug in her map.

    Rhys, a cartography professional who asked not to be identified by last name, graduated from GW in 2016 and majored in geography. A lot of her women peers, she said, found their way into cartography based on an interest in art or graphic design. As things become more technology-heavy, she’s observed a large male influx. “It’s daunting for some people,” she said.

    Another big barrier to women’s involvement in OSM, besides the already vast disparities in the tech sphere, Levine said, is time. All OSM work is volunteer-based. “Women have less free time because the work we’re doing in our free time is not considered work,” said Levine. “Cleaning duties, childcare, are often not considered shared behaviors. When the women are putting the baby asleep, the man is mapping.”

    As a designer with DevelopmentSeed, a data technology group that is partnering with OSM to improve its maps, Ali Felski has been interviewing dozens of OSM users across the country about how they interact with the site. Most of them, she said, are older, retired men with time on their hands. “Mapping is less community-based. It’s technically detailed, and there aren’t a lot of nice instructions,” she said, factors that she thinks might be correlated with women’s hesitance to join the field. “I think it’s just a communication problem.”

    Building that communication often starts with education. According to a PayScale gender-by-major analysis conducted in 2009, 72 percent of undergraduate geography majors were men. At GW, that may be changing. While the geography major is small, it’s woman-dominated: 13 women and 10 men are in the graduate program. Price has taught generations of GW students (including Rhys, who counts her as a mentor), and leads the department with six other women, exactly matching the department’s seven men.

    Organizations like YouthMappers, which has 113 chapters spread among 35 countries, are supporting students in creating their own university OSM communities. And a lot of the students who participate are women. An estimated 40 percent of the 5,000 students who take part in YouthMappers are female, and a quarter of their chapters have more than 50 percent participation, said Marcela Zeballos, a research associate and 2009 graduate of GW. The group also champions women’s empowerment initiatives like Let Girls Map, which runs from International Women’s Day in March to International Day of the Girl in October.

    I didn’t get to map much at the event, but that night I kicked off the Let Girls Map season snuggled in bed, tagging buildings and drawing roads. I learned to curve paths and square edges, hypnotized by the seemingly endless satellite footage of Starbucks-free woods.

    The gaps in my local geographical knowledge, though, were unsurprisingly vast: I didn’t know if the buildings I was outlining were bathrooms or houses or restaurants, and couldn’t really discern a highway from a path from a driveway. And when my “unknown line” is a Tanzanian woman’s escape route, the stakes are high. That’s why HOT projects also depend on community members, some equipped with old-fashioned pens and paper, to hone in on the details.

    But map-a-thons like this get people engaged, and OSM-literate. They begin to build the sense of community that DevelopmentSeed’s Felski wished OSM didn’t lack. At an event like this, led and attended by women in the cartography field (or who may soon enter it), it’s easy to forget how few there really are.

    Down the table, the undergraduates Kondratieff and Casserino chatted, eyes trained at the rural Tanzanian landscape unfolding on their laptop screens. “You should minor in GIS,” Casserino urged.

    “Maybe I will,” she replied.

    https://www.citylab.com/equity/2018/03/who-maps-the-world/555272
    #femmes #cartographie #cartes #genre #argent #femmes_cartographes
    ping @reka @odilon

    via @isskein

  • « On a perdu 40 % à 50 % des adhérents selon les fédérations » , Marine Le Pen et la guerre des « ex » : comment le RN poursuit ceux qui le quittent, Lucie Soullier - « On a perdu 40 % à 50 % des adhérents selon les fédérations »
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/12/28/marine-le-pen-et-la-guerre-des-ex_5402916_823448.html

    Marine Le Pen et la guerre des « ex » : comment le RN poursuit ceux qui le quittent
    Insultes, procédures judiciaires… Le Rassemblement national poursuit souvent élus ou adhérents en rupture de ban.

    L’un serait « porté sur la bouteille », l’autre aurait écrit un livre « ambigu » sur la seconde guerre mondiale. Ambiance délétère entre l’ex-Front national (FN) et ses démissionnaires.
    Depuis plusieurs mois, le parti d’extrême droite dresse un portrait peu flatteur de ceux qui osent le quitter. « Poubelles du parti », « inconnus », élus « amers » ou que « personne ne regrettera »… Les lieutenants de Marine Le Pen dégainent. La patronne elle-même aurait envoyé un texto « limite » à une élue sur le départ, raconte un cadre resté au Rassemblement national (RN) : « Quelque chose comme “Tu finiras dans une caravane”. »

    Les « ex » du RN sont nombreux à décrire les tensions au sein des hémicycles, depuis qu’ils ont décollé l’étiquette bleu marine de leur pupitre municipal, régional ou même européen. Les « philippotistes » s’en étaient faits les premiers relais, ébruitant dès septembre 2017 les bisbilles causées par le fracassant départ du favori déchu de Marine Le Pen… mais entretenant souvent eux-mêmes le face-à-face épidermique entre les deux clans.

    Depuis un an et demi et le choc, coup sur coup, des défaites présidentielle et législatives, d’autres quittent le mouvement plus discrètement. Sans tapage interne ou médiatique, mais en confiant au passage leurs réserves quant au leadership, à la ligne ou à la nature de la « refondation » du parti d’extrême droite. « On a perdu 40 % à 50 % des adhérents selon les fédérations », confie un frontiste historique.
    A l’image de ces militants qui ne voulaient pas « cracher dans la soupe » en partant, Jordan Grosse-Cruciani a même tenté de rester en bons termes. Le Vosgien de 28 ans n’a finalement pas échappé à ce qu’il qualifie de « vengeance » de l’appareil. « Au départ, je n’étais pas parti fâché, rappelait-il au Monde en novembre, soit huit mois après sa démission. Mais maintenant… » Maintenant, il se retrouve « traîné » devant la justice par son ancien parti, qui exige le remboursement des frais de campagne engagés pour son élection au conseil régional Grand-Est. Un chèque d’environ 5 700 euros qu’il assure avoir envoyé, et que le parti aurait égaré. « Au lieu de m’appeler, ils m’ont envoyé un huissier ! », s’agace le jeune élu, en acceptant de refaire un chèque du même montant, mais « sûrement pas » de payer les frais inhérents à la procédure judiciaire. Le RN, lui, estime être dans son bon droit en exigeant la somme qui lui est effectivement due.

    « Poubelles » et « tocards »

    « Ils sont marrants, tous ces gens élus grâce à nous qui veulent le beurre et l’argent du beurre », se crispe un proche de Marine Le Pen. Même analyse courroucée dans les états-majors locaux. Lors de la dernière scission au conseil régional des Hauts-de-France, en septembre, le président du groupe RN, Philippe Eymery, concédait des « interrogations légitimes » à ceux qui quittaient le parti. « Mais, quand vous êtes sélectionné dans l’équipe et que le match a commencé, vous ne lâchez pas le maillot ou alors vous laissez entrer le remplaçant ! »
    Au siège du RN, le ton est le même : les élus locaux peuvent bien rendre leur carte d’adhérent, mais s’ils renoncent à leur mandat dans le même temps. « Sinon c’est trop facile », s’irrite l’entourage de Marine Le Pen. Un autre responsable RN soupire, anonymement, devant ce qu’il considère être « une erreur de stratégie » de la part d’un parti prônant le « rassemblement » à tout bout de champ. « Qui voudra faire alliance avec nous après ça ? », interroge-t-il, alors que nombre de ces démissionnaires soutiennent justement, pour les européennes, la candidature de l’allié d’entre-deux-tours de Marine Le Pen à la présidentielle, le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan.

    Un dirigeant RN soupire devant ce qu’il considère être « une erreur de stratégie » de la part d’un parti prônant le rassemblement
    La petite sortie de David Rachline dans les colonnes du Journal du dimanche, début octobre, après une nouvelle vague de départs, a d’ailleurs fait grand bruit chez les partants. Le maire de Fréjus (Var), très proche de Marine Le Pen, avait alors estimé que M. Dupont-Aignan faisait « les poubelles » du RN et récupérait « l’intégralité des tocards » et des « déçus qui n’ont pas eu de poste ». Marine Le Pen n’aura pas de mots moins durs pour aborder ses anciennes troupes, dans les allées automnales du Mondial de l’auto : « Ils sont au chômage. Ils traversent la rue pour essayer de trouver un nouveau taf. »

    De rage, Valérie Laupies en a rédigé un communiqué, début novembre, cinglant que « l’injure semble être devenue la méthode des cadres du RN ». Appuyant sur le « travail de terrain immense » qui lui a valu son mandat – entendre au moins autant que son étiquette –, la conseillère régionale de Provence-Alpes-Côte d’Azur « 100 % mariniste, avant », juge avoir été « salie publiquement » et rend désormais la pareille. L’ancienne membre du bureau politique, qui a appris son exclusion du parti d’extrême droite par voie postale, ouvre ainsi le feu contre le « jacobinisme » des mouvements politiques auquel, selon elle, n’échappe pas le RN. « Il est paradoxal et incohérent de la part du RN de plaider pour l’implantation locale et, dès qu’un élu ouvre la bouche, de lui dire “soit tu marches sur la ligne, soit on t’injurie”. »

    Ce réquisitoire contre « l’autoritarisme » de l’état-major RN et son « mépris » envers la base militante, Le Monde l’a déjà croisé dans de nombreuses lettres de démission d’élus locaux depuis un an et demi. Comme celle de Dominique Thomas, ancien secrétaire départemental adjoint des Vosges, dénonçant en mars un « mode de fonctionnement » négligeant militants et électeurs au profit de « l’entre-soi » de Nanterre.

    Mêmes reproches à l’encontre des « têtes pensantes qui ne se rendent pas compte des réalités du terrain » chez une conseillère régionale des Hauts-de-France toujours au RN, Marie-Christine Bourgeois. Et l’on ne peut s’empêcher d’entendre, dans leurs critiques, la même fracture entre « deux France » que celle dénoncée par les « gilets jaunes ».
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Gilets jaunes » : le Rassemblement national fait le pari de l’infusion des idées

    « Les choses sont perfectibles »

    « Quelles que soient les instances, la sphère parisienne est dans sa bulle. Ils ne se rendent pas compte qu’ils sont déconnectés de la province, et pensent même faire les bons choix de toute bonne foi », ajoute Mme Bourgeois. Elle-même est restée en bons termes avec les démissionnaires du RN dans sa région, ce qui lui vaut quelques remarques « internes ». Mais la quinquagénaire s’en moque, et continue à parler à ses « amis » qui ont quitté le parti.

    Son fils, Quentin, a d’ailleurs lui-même rendu sa carte en février. L’ancien frontiste de 36 ans racontait alors avoir été « blessé » par le « mépris » affiché à l’annonce de son départ, après plus d’une dizaine d’années de militantisme. « Steeve Briois [vice-président du RN et maire d’Hénin-Beaumont] a dit que je ne représentais rien », déplorait-il en avançant ses titres locaux : conseiller municipal de Saint-Omer et ancien responsable de la 8e circonscription du Pas-de-Calais. Un département devenu emblème mariniste, mais où, il n’y a pas si longtemps, rappelle Quentin Bourgeois, « c’était pas si facile de dire qu’on était du FN ! »

    André Murawski, lui, estime que son départ s’est passé en douceur, en le comparant avec le précédent. A la fin des années 1990, le frontiste historique du Nord avait suivi Bruno Mégret, accompagné d’ailleurs du même Steeve Briois et de bien d’autres cadres du parti d’extrême droite, revenus depuis dans le petit cercle des favoris. « Là, c’était quelque chose, se remémore le conseiller régional. Il y avait des vraies injures, les gens refusaient de se serrer la main… » Rien à voir avec les chicaneries d’aujourd’hui, même si, « du point de vue des relations humaines, les choses sont perfectibles », avance diplomatiquement M. Murawski.

    Une précaution qui n’a pas empêché son ancien parti de faire fuiter sa « casserole », en précisant que Nicolas Dupont-Aignan « devrait faire attention à ce qu’il récupère ». A savoir, un livre autoédité par André Murawski en 1994 – dont le RN jure évidemment ne pas avoir eu connaissance auparavant – consacré au bunker d’Adolf Hitler à Margival, dans l’Aisne. Un quartier général où le dictateur nazi aurait passé quelques heures durant la seconde guerre mondiale, et dont l’auteur Murawski déplore, dans l’épilogue de son ouvrage, l’absence de « promotion » touristique : « Quand on considère le succès touristique dont le Wolfsschanze [la tanière du loup] fait bénéficier la Pologne, il est assez consternant de constater que, depuis cinquante ans, absolument rien n’a été entrepris en France pour promouvoir le dernier Führerhauptquartier [quartier général du Führer] demeuré presque intact, et que ce monument, qui appartient tant à l’histoire de France qu’à celle de l’Europe, risque un jour de disparaître pour le plus grand bonheur des promoteurs ou des industriels, représentants d’une civilisation marchande dans laquelle se reconnaît de moins en moins notre pays. »

    André Murawski n’en revient pas de « l’argument » utilisé contre lui. A l’époque, il en avait même envoyé un exemplaire à Jean-Marie Le Pen, et reçu en retour une lettre de remerciement. La vengeance envers les démissionnaires n’a pas de prix au RN. Si ce n’est, peut-être, celui de se rediaboliser soi-même.

    #exit #FN #RN

  • Les films de Carole Roussopoulos disponibles sur le site de la Médiathèque Valais - Martigny

    Le F.H.A.R., 1971
    http://xml.memovs.ch/f0199a-002.xml

    Manifestation du Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire
    Discours d’une militante sur l’homosexualité (mythique)
    Discours de Guy Hocquenghem sur les rôles sexuels et les relations de pouvoir
    Témoignage de militants
    Evocation des débats sur les homosexuels et l’élite (Cocteau, Marais, Gide...)
    Accusation contre les homosexuels et condamnation ; discrimination ; le journal « Tout »

    Gabrielle Nanchen, 1972
    http://xml.memovs.ch/f0199a-003.xml

    Témoignage de paysans sur le vote des femmes
    Fonctionnement du gouvernement suisse
    Témoignage d’un paysan sur l’élection de Gabrielle Nanchen
    Intérêt pour la politique, parcours professionnel
    Interview de la belle-mère de Gabrielle Nanchen
    Inscription au parti socialiste valaisan, Mai 1968
    Témoignage d’un paysan
    Définition du socialisme, importance de la religion
    Témoignage d’un ecclésiastique et d’une étudiante
    Technique pour transmettre les idées politiques
    Témoignage contre le vote des femmes
    L’électorat, réaction des gens

    Y a qu’à pas baiser, 1973
    http://xml.memovs.ch/f0199a-004.xml

    Générique et publicité
    Journal télévisé I.N.F. 2 consacré à l’avortement : interview du professeur Jérôme Lejeune
    Manifestation pour le droit à l’avortement et témoignage de passants
    Rapports sexuels entre femmes et hommes et plaisir dans la relation
    Avortement selon la méthode karman en temps réel
    Reprise de la manifestation

    Les prostituées de Lyon parlent, 1975
    http://xml.memovs.ch/f0199a-012.xml

    Revendications des prostituées à l’Eglise de Saint-Nizier
    Retransmission des débats à l’extérieur de l’église
    Témoignages de femmes : vie de femmes, de famille et professionnelle, proxénétisme

    La marche du retour des femmes à Chypre, 1975
    http://xml.memovs.ch/f0199a-011.xml

    Camps de réfugiés
    Marche pacifiste
    Discours sur l’application de la résolution de l’ONU ordonnant à la Turquie de permettre le retour des Chypriotes grecs
    Distribution de vêtements et de nourriture
    Témoignages de réfugiées chypriotes
    Discours
    Habitations et conditions de vie rudimentaires des réfugiés, témoignages ; viol des femmes
    Marche pacifiste
    Arrivée et mot de bienvenue du commandant militaire de la section des Nations Unies
    Témoignage

    S.C.U.M. Manifesto, 1976
    http://xml.memovs.ch/f0199a-015.xml

    Lecture du S.C.U.M Manifesto, un texte de Valérie Solanas (1967), par la comédienne Delphine Seyrig
    Manifestation pacifiste de femmes catholiques et protestantes en Irlande contre la guerre
    Reprise de la lecture
    Violence policière en Argentine, manifestation des femmes à Belfast

    Maso et Miso vont en bateau, 1976
    Cinéastes : Carole Roussopoulos, Ioana Wieder, Delphine Seyrig et Nadja Ringart.

    Mythique film de 55’ sur lequel on peut tout savoir grâce à @volt :

    Images de la culture : Maso et Miso vont en bateau
    https://imagesdelaculture.cnc.fr/-/maso-et-miso-vont-en-bateau

    Bernard Pivot invite Françoise Giroud, alors première secrétaire d’Etat à la condition féminine, pour une émission gentiment misogyne : Encore un jour et l’année de la femme, ouf ! c’est fini. Le collectif les Insoumuses recycle l’émission par des interventions pleines d’humour et en fait « la preuve officielle que le secrétariat d’Etat à la condition féminine est une mystification ».

    Des cartons donnent les réponses que Françoise Giroud aurait dû donner ; une interview de Simone de Beauvoir contredit ses propos ; les arrêts sur image soulignent son inaptitude. « Notre propos est de montrer qu’aucune femme ne peut représenter toutes les autres femmes au sein d’un gouvernement patriarcal, quel qu’il soit. Elle ne peut qu’incarner la condition féminine oscillant entre la nécessité de plaire (féminisation-maso) et le désir d’accéder au pouvoir (masculinisation-miso). Quant aux réformes proposées par Françoise Giroud, elles peuvent être proposées directement par les ministères concernés (travail, justice, santé...). Aucune image de la télévision ne veut ou ne peut nous refléter, c’est avec la vidéo que nous nous raconterons. » Une des premières vidéo scratch en France, une vidéo mythique.

    (Nathalie Magnan)

    http://xml.memovs.ch/f0199a-016.xml

    Lip : Monique et Christiane, 1976 (autre film absolument mythique)
    http://xml.memovs.ch/f0199a-017.xml

    Conditions féminines chez Lip ; manifestations des inégalités de genre dans l’organisation syndicale et la prise de parole
    Peur de l’expression chez les femmes ; comité d’organisation (1976)
    Situation des femmes par rapport aux hommes, importance, rôle et préjugés sur les femmes (1976)
    Extrait d’une assemblée générale
    Compte-rendu de l’intervention de Christiane à l’assemblée générale
    Journées portes ouvertes de Lip, lettre sur la condition des femmes
    Stands tenus par les femmes, réaction des hommes
    Invité :
    Suite du compte-rendu de l’assemblée générale ; question du partage du droit d’expression et des tâches
    Invité :
    Vie au chômage

    Le viol : Annie, Corine, Annie, Brigitte, Josyane, Monique et les autres..., 1978
    http://xml.memovs.ch/f0199a-020.xml

    Lecture de coupures de presse
    Correspondance entre Anne et Corinne
    Discussion entre Corinne et Anne
    Emission débat « Les dossiers de l’écran » avec Anne pour invitée
    Discussion entre Corinne et Anne
    Ecoute de l’émission radiophonique d’Etienne Lalou et Igor Barrère sur le viol, témoignage de Brigitte
    Discussion entre Corinne et Anne
    Discussion avec les trois avocates, Monique Antoine, Colette Auger et Josyane Moutet sur la justice et la répression
    Discussion entre Corinne et Anne
    Emission débat « Les dossiers de l’écran » avec Anne pour invitée
    Discussion entre Corinne et Anne
    Discussion avec les trois avocates, Monique Antoine, Colette Auger et Josyane Moutet sur la justice et la répression

    Ça bouge à Vendôme, 1982
    http://xml.memovs.ch/f0199b-003.xml

    Déroulement de l’enquête sur la femme en 1982 et bilan des réponses
    Association pour une école non sexiste
    Opinion des intervenantes sur la parité

    Ça bouge à Mondoubleau, 1982
    http://xml.memovs.ch/f0199b-002.xml

    Explication de l’enquête réalisée sur la différence des rôles masculins et féminins
    Débats entre les élèves et leur professeure sur l’enquête

    Flo Kennedy, 1982
    http://xml.memovs.ch/f0199b-004.xml

    Waiting and discussion between Margo Jefferson and Ti-Grace Atkinson until arriving of Flo Kennedy
    Flo Kennedy’s family and her life course
    Feminist movement
    Feeling about oppression
    Dressing
    Freedom of women
    Friendly discussion with Margo Jefferson and Ti-Grace Atkinson

    Profession : agricultrice, 1982
    http://xml.memovs.ch/f0199b-005b.xml

    Témoignage de Marie-Cécile Jacquet et Marie-Louise Navet sur leur travail et leur statut
    Marie-Cécile Jacquet déléguée du canton de Rocroi pour la commission féminine
    Témoignage de Roseline Dupont et Martine Guillet sur leur travail et leur statut
    Témoignage d’agricultrices de l’Association Féminine de Développement Agricole (AFDA)
    Discours de la porte-parole de l’AFDA

    Femmes immigrées de Gennevilliers, 1984
    http://xml.memovs.ch/f0199b-013.xml

    Information auprès de la population arabe de la création de l’Association de femmes arabes immigrées en France
    Témoignage
    Animation d’une émission radiophonique par des femmes arabes immigrées, régularisation des situations
    Témoignage de femmes marocaines
    Emission radiophonique à radio Gennevilliers
    Générique

    La mort n’a pas voulu de moi, 1984
    http://xml.memovs.ch/f0199b-014.xml

    Travail avec Werner Herzog
    Lecture du commentaire du film « Fata Morgana »
    Lecture de poème de Verlaine « Gaspard Hauser chante »
    Extrait de « Nosferatu » de F.W. Murnau (1922)
    Parcours de vie
    Extrait de « The Diary Of The Lost Girl » de Pabst, anecdote sur le tournage
    Extrait de « Tabou » de F.W. Murnau, critique du film
    Ascension et prise de pouvoir d’Adolf Hitler
    Fuite à Paris, sauvetage de films muets allemands
    Emprunt du nom Escoffier en référence à Mérimée
    Conservation cachée de films à Figeac, dont « le dictateur de Chaplin »
    Travail avec Henri Langlois
    Générique

    Pionnières et dictionnaires du cinéma : 1900 - 1960, 1984
    http://xml.memovs.ch/f0199b-010.xml

    Dorothy Arzner
    Jacqueline Audry
    Muriel Box
    Esther Schub
    Germaine Dulac
    Marion Frances
    Alice Guy Blaché
    Théa von Harbou
    Ida Lupino
    Elvira Notari
    Lotte Reiniger
    Leni Riefenstahl
    Schlesinger dite Leontine Sagan
    Agnès Varda
    Nicole Vedrès
    Margot Benaceref ; Valentina Broumberg ; Wanda Jakubowska ; Ruth Orkin ; Olga Preobrajiuska ; Wendy Toy ; Hermina Tyrlova
    Générique

    Les travailleuses de la mer, 1985
    http://xml.memovs.ch/f0199b-020.xml

    Présentation du port de pêche
    Témoignage de femmes fileteuses
    Témoignage des ouvrières de la nuit (trieuses)

    L’inceste : la conspiration des oreilles bouchées, 1988
    http://xml.memovs.ch/f0199b-028.xml

    Témoignage de Monique sur le viol commis par son grand-père ; lecture de textes ; articles de presse
    Permanence viols, femmes, informations
    Témoignage de Claudine sur son père incestueux
    Rôle et réaction de mère
    Témoignage d’Anne
    Témoignage d’Emmanuelle et Elisabeth
    Perception et ressenti lors d’abus sexuel
    Réaction de l’entourage : médecin, famille, instituteur, ami
    Soutien médical
    Parler, partager, dénoncer

    Debout !, 1999
    http://xml.memovs.ch/f0199c-021.xml

    Découverte du féminisme ; influence, lutte
    Création de Féminin Masculin Avenir (FMA) et du Mouvement de Libération des Femmes (MLF)
    Découverte et début du féminisme ; front des bonnes femmes, première revendication
    Naissance des groupes du Mouvement de Libération des Femmes (MLF, Emencipi)
    Racisme militant ; rapport au militarisme ; conscience sociologique des groupes
    Libération des femmes ; définition du mouvement
    Grève des femmes à Troyes (1971) : lutte solidaire
    Avortement ; manifestation féministe
    Relations entre homosexuels et hétérosexuels ; Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire
    Groupe de conscience ; Le Torchon Brûle (journal) ; rôle de la presse ; droit de vote
    Féminisme chez les jeunes ; mère célibataire ; congrès ; estime de soi
    Grève, manifestation et revendication du Mouvement de Libération des Femmes (MLF)
    Lutte pour l’avortement ; anti-congrès de l’année de la femme (1975) ; mouvement « oui » à la vie
    Mysogisme ; reconnaissance du viol en tant que crime
    Centre pour les femmes ; changements engendrés par le Mouvement de Libération des Femmes (MLF)
    Réafirmation du droit de la femme : avortement, contraception ; grève des femmes

  • Asiatiques, minorité modèle | Kiffe ta race
    https://www.binge.audio/asiatiques-minorite-modele

    Discrets, travailleurs, les français originaires d’Asie cocheraient toutes les cases de l’intégration et superformeraient dans tous les domaines : revenu, éducation, emploi. D’où vient ce mythe de la minorité modèle ? Les « bons immigrés » de la France Républicaine sont-ils ceux qui ne font pas de vagues ? Qu’est ce que le « plafond de bambou » ? Grace Ly et Rokhaya Diallo reçoivent l’autrice Mai Lam Nguyen-Cona, spécialiste des questions interculturelles, pour parler de la société et des communautés elles-mêmes qui produisent et perpétuent cette représentation d’une minorité modèle. Durée : 39 min. Source : Binge (...)

    https://dts.podtrac.com/redirect.mp3/feed.pippa.io/public/streams/5b8ea1614b6033401bd43d87/episodes/5bceea37cee02fdd521289a8.mp3

  • Resilient Web Design
    https://resilientwebdesign.com

    temps de lecture - 1 heure

    The World Wide Web has been around for long enough now that we can begin to evaluate the twists and turns of its evolution. I wrote this book to highlight some of the approaches to web design that have proven to be resilient. I didn’t do this purely out of historical interest (although I am fascinated by the already rich history of our young industry). In learning from the past, I believe we can better prepare for the future.

    You won’t find any code in here to help you build better websites. But you will find ideas and approaches. Ideas are more resilient than code. I’ve tried to combine the most resilient ideas from the history of web design into an approach for building the websites of the future.

    Citations

    Java is to JavaScript as ham is to hamster.

    C’est marrant. Mais il y a des informations sérieuses aussi.

    2.0
    The rise of JavaScript was boosted in 2005 with the publication of an article entitled Ajax: A New Approach to Web Applications by Jesse James Garrett. The article put a name to a technique that was gaining popularity. Using a specific subset of JavaScript, it was possible for a web browser to send and receive data from a web server without refreshing the whole page. The result was a smoother user experience.

    The term Ajax was coined at the same time that another neologism was in the ascendent. Tim O’Reilly used the phrase Web 2.0 to describe a new wave of web products and services. Unlike Ajax, it was difficult to pin down a definition of Web 2.0. For business people, it meant new business models. For graphic designers, it meant rounded corners and gradients. For developers, it meant JavaScript and Ajax.

    ... puis ...

    Stuart Langridge put together a list of all the potential points of failure under the title Everyone has JavaScript, right?
    ...
    This doesn’t mean that web designers shouldn’t use JavaScript. But it does mean that web designers shouldn’t rely on JavaScript when a simpler solution exists.
    ...A platform provides a controlled runtime environment for software. As long as the user has that runtime environment, you can be confident that they will get exactly what you’ve designed. If you build an iOS app and someone has an iOS device, you know that they will get 100% of your software. But if you build an iOS app and someone has an Android device, they will get 0% of your software. You can’t install an iOS app on an Android device. It’s all or nothing.

    The web isn’t as binary as that. If you build something using web technologies, and someone visits with a web browser, you can’t be sure how many of the web technologies will be supported. It probably won’t be 100%. But it’s also unlikely to be 0%. Some people will visit with iOS devices. Others will visit with Android devices. Some people will get 80% or 90% of what you’ve designed. Others will get just 20%, 30%, or 50%. The web isn’t a platform. It’s a continuum.

    #paradigme

    To paraphrase Karl Marx, progressive enhancement allows designers to ask from each browser according to its ability, and to deliver to each device according to its needs.

    http://dowebsitesneedtolookexactlythesameineverybrowser.com

    #pratique

    Feature detection, cutting the mustard, whatever you want to call it, is a fairly straightforward technique. Let’s say you want to traverse the DOM using querySelector and attach events to some nodes in the document using addEventListener. Your mustard‐cutting logic might look something like this:

    if (document.querySelector && window.addEventListener) {
    // Enhance!
    }
    There are two points to note here:

    This is feature detection, not browser detection. Instead of asking “which browser are you?” and trying to infer feature support from the answer, it is safer to simply ask “do you support this feature?”
    There is no else statement.

    #pratique

    As Brad Frost puts it:
    “There is a difference between support and optimization.”
    Support every browser ...but optimise for none.

    #paradigme

    “Always design a thing by considering it in its next larger context”
    ...
    Here’s a three‐step approach I take to web design:

    – Identify core functionality.
    – Make that functionality available using the simplest possible technology.
    – Enhance!

    #problème

    Building resilient websites is challenging. It takes time to apply functionality and features in a considered layered way. The payoff is a website that can better react to unexpected circumstances—unusual browsers, flaky network connections, outdated devices. Nonetheless, for many web designers, the cost in time seems to be too high.

    #solution

    Behaviour change is hard. Even if you are convinced of the benefits of a resilient approach to web design, you may find yourself struggling to convince your colleagues, your boss, or your clients. It was ever thus. Take comfort from the history of web standards and responsive design. Those approaches were eventually adopted by people who were initially resistant.

    Demonstrating the benefits of progressive enhancement can be tricky. Because the payoff happens in unexpected circumstances, the layered approach is hard to sell. Most people will never even know whether or not a site has been built in a resilient way. It’s a hidden mark of quality that will go unnoticed by people with modern browsers on new devices with fast network connections.

    For that same reason, you can start to implement this layered approach without having to convince your colleagues, your boss, or your clients. If they don’t care, then they also won’t notice. As Grace Hopper also said, “it’s easier to ask forgiveness than it is to get permission.”

    #pratique

    Realising that it was impossible to be future‐proof, we instead resolved to be future-friendly:

    Acknowledge and embrace unpredictability.
    Think and behave in a future-friendly way.
    Help others do the same.
    That first step is the most important: acknowledging and embracing unpredictability. That is the driving force behind resilient web design. The best way to be future-friendly is to be backwards‐compatible.

    #avenir

    The future, like the web, is unknown.

    The future, like the web, will be written by you.

    #internet #www

  • Marcela Sugrue, Kiara Mahmood, Grace Tang, Keisha Coyle, Paola Tarry, Jennifer, Leta et le docteur Abidi Bello m’ont écrit cette nuit pour me dire que je pouvais obtenir un soulagement de n’importe quelle douleur avec cette herbe (et là autant vous dire que vu l’état de mes genoux et de leurs douleurs arthritiques en ce moment, il s’en est fallu d’un pixel que je ne clique), que la presque la moitié des personnes qui utilisent le Cannabidiol et ses dérivés ont par ailleurs arrêté de prendre tout autre médicament de médecine traditionnelle, Grace Tang elle m’a même carrément écrit qu’elle avait besoin d’une personne qui pouvait l’aimer et l’apprécier (je trouve sa demande un peu excessive, nous ne nous connaissons pas, ce n’est pas parce qu’elle a trouvé mon adresse de mail sur Internet qu’elle peut comme ça s’imaginer me faire de telles demandes, non mais qu’est-ce qu’elle croit ?), qu’il existe un nouveau remède contre la chute des cheveux sous forme d’un spray que l’on applique en deux fois, ou encore que Monsieur Merveilleux m’encourageait à étaler ceci sur ma tête pour me faire repousser mes cheveux, que j’ai l’air d’une baleine (c’est un peu vexant, une baleine bleue pèse 1081,0810810810810810810810810811 fois plus que moi), et que je devrais essayer cette recette et aussi qu’une simple boisson aidait en ce moment même des millions de personnes pour affronter l’obésité.

    #les_poètes_du_spam

  • Hitchcock et le message populiste de la femme traditionnelle
    http://www.dedefensa.org/article/hitchcock-et-le-message-populistede-la-femme-traditionnelle

    Hitchcock et le message populiste de la femme traditionnelle

    Philippe Grasset a récemment évoqué le tournant populiste de l’électorat européen. Je ne me fais aucune une illusion sur les débouchés politiques ultérieurs de ce tournant, mais je me suis complu à évoquer, dans mon livre sur Hitchcock, un discret message populiste distillé par petites pincées par le maître, et en général bien sournoisement ignoré par les critiques.

    Parlons de fenêtre sur cour, et oublions la vision triviale de la femme vamp ou fatale. Ici la vraie femme est celle qui travaille et raisonne bien, pas celle qui se pomponne pour séduire ; mais qui peut s’amender. Car tout ce fascinant film en effet évoque le tournant de Grace Kelly qui passe du grade de modèle à celui de grande héroïne hitchcockienne…

    Fenêtre sur courest un des (...)

  • U.S. exploration firm offers to resume #MH370 search, families say
    https://www.reuters.com/article/us-malaysia-airlines-mh-idUSKBN1AI1B4

    A U.S. seabed exploration firm has offered to take on the search for Malaysia Airlines Flight MH370, families of passengers and a Malaysian government minister said on Wednesday, in a bid to solve one of the world’s greatest aviation mysteries.
    […]
    Grace Nathan, a Malaysian lawyer whose mother Anne Daisy was on the plane, told Reuters the U.S. company, #Ocean_Infinity, had offered to resume the search for free, and had asked for a reward only in the event that the aircraft was found.

  • Migrants subsahariens/ Début des expulsions aujourd’hui

    Après des semaines d’expectative, le gouvernement passe à l’acte. Il a décidé d’expulser les migrants subsahariens qui se trouvent de « manière irrégulière » en Algérie. La décision entré en application à partir d’aujourd’hui.


    http://www.algerie-focus.com/2017/08/migrants-subsahariens-debut-expulsions-a-partir-daujourdhui
    #Algérie #migrations #asile #réfugiés #migrants_sub-sahariens #expulsions #renvois

    • A Alger, les nouveaux migrants fragilisés par le départ des anciens

      Alors que de nombreux Subsahariens ont rallié l’Italie via la Libye, les derniers arrivés se retrouvent sans réseau.

      Par Zahra Chenaoui (Alger, correspondance) LE MONDE Le 31.10.2017 à 15h05 • Mis à jour le 31.10.2017 à 19h10

      Sur la photo, elles posent près d’une belle fontaine au cœur d’un jardin. Désirée, Hélène et Grace sont en Italie et elles le font savoir sur les réseaux sociaux. Ces Camerounaises ont vécu entre deux et six ans en Algérie, dans le même quartier. « Presque tous ceux qu’on connaissait dans le quartier sont en Europe désormais », affirme Josiane, une de leurs amies, Camerounaise elle aussi (à sa demande, son prénom a été changé).

      Depuis deux ans, la route de la Libye « passe ». Les migrants installés en Algérie qui souhaitaient aller en Europe ont, en très large majorité, réussi à le faire. Ceux qui hésitaient ont fini par être convaincus par les photos publiées par leurs amis. Résultat : en Algérie, les nouveaux arrivants se retrouvent seuls ou presque, sans réseau communautaire pour les soutenir ou les conseiller, et ce, alors même que l’attitude des autorités à leur égard s’est durcie.

      « Les anciens sont partis »

      Alger, périphérie ouest. Dans son logement, Luc, Camerounais, a fait de la place. Une cousine de sa compagne doit arriver dans la journée avec son fils de 10 ans. « Elle a de la famille en France qui est passée l’année dernière », explique le jeune homme.

      Assis sur le bord d’un matelas, un adolescent regarde des vidéos des manifestations au Cameroun anglophone sur son téléphone portable. « Je suis venu pour prendre la mer, dit-il. Là-bas, ce sera mieux pour moi, l’école est meilleure. » Son père, installé en Europe depuis un an après plusieurs années passées en Algérie, a payé le voyage pour qu’il quitte Douala. L’adolescent, arrivé seul il y a six mois, devait prendre la route de la Libye, mais les combats à Sabratha ont suspendu les départs. Luc résume : « Les anciens sont partis. Et de petits jeunes arrivent. Comme on ne peut plus partir, ils attendent là. »

      Alger toujours, mais banlieue sud. Le long des trottoirs d’une série d’immeubles en construction, des matelas jonchent le sol. De jeunes hommes sont en train de se teindre les cheveux. Ils viennent de Guinée. « Je suis arrivé il y a trois mois », explique le premier.

      Ce jour-là, aucun d’entre eux n’a trouvé de travail, alors ils patientent. « Je ne savais pas que ce serait difficile de travailler en Algérie », regrette Mohamed, 17 ans. Chaque matin, ils sont des dizaines, comme lui, postés sur le bord de la route en espérant qu’un particulier vienne leur proposer une tâche à la journée. Mais, sans réseau ni connaissance de quelques mots d’arabe, ces migrants sont dans une situation précaire. Mohamed et ses amis dorment dans la rue. « Est-ce qu’il y a des associations qui peuvent nous aider ? », interroge l’un. « Vous savez comment je peux retourner chez moi ? Je suis fatigué », ajoute un autre.

      « Les Guinéens sont de plus en plus nombreux à Alger, explique Kader, un Ivoirien installé en Algérie depuis six ans. Ils ne connaissent pas le pays et réagissent très mal dès qu’un Algérien leur parle mal ou les insulte. Ça finit en bagarre et il y a des blessés. »

      « J’ai peur des arrestations »

      La précarité touche aussi les femmes. Dans la ville d’Oran, à 400 km à l’ouest d’Alger, Adamo, un Camerounais, a rendez-vous à l’hôpital. Il fait les cent pas devant le mur d’enceinte en tentant d’expliquer où il se trouve. Une jeune femme, fine, le ventre arrondi, finit par le rejoindre. « Elle est arrivée de Tamanrasset [dans le sud du pays] il y a quelques jours. Elle est enceinte de cinq mois, elle n’a pas vu de médecin depuis le début de sa grossesse », explique Adamo.

      La jeune femme était hébergée par un autre migrant. Elle partageait quelques mètres carrés, sous un toit de tôle, avec trois autres personnes, sans sortir. « Il faut du temps aux femmes pour connaître la ville, apprendre à se déplacer. Celles qui viennent d’arriver sont très vulnérables face aux plus anciens, qui tentent de les effrayer sur le contexte algérien pour mieux les contrôler », soupire Adamo.

      Dans la ville, les quelques acteurs associatifs qui travaillent avec les migrants savent qu’ils risquent d’avoir moins d’impact s’ils ne reprennent pas le travail de sensibilisation qu’ils pensaient acquis. « On travaillait avec une quinzaine de femmes, elles sont toutes parties », explique une militante qui demande à rester anonyme.

      Parallèlement, la présence de migrants nigériens organisés en filière de mendicité dans les grandes villes du pays a sensibilisé une partie de l’opinion publique. Un collectif de jeunes étudiants a organisé un repas de solidarité pendant le mois de ramadan, le chanteur Sadek Bouzinou a réalisé un clip pour appeler à la tolérance.

      Mais ces initiatives, limitées, ont peu d’impact sur le quotidien des migrants. Et, depuis quelques semaines, l’opération d’arrestation lancée à Alger a tendu l’atmosphère. « Je connais un migrant qui s’est fait arrêter dans le bus, en allant au travail le matin. Ma voisine a été arrêtée en sortant de l’hôpital avec son nouveau-né. J’ai peur des arrestations, alors je dis à ma femme de ne pas sortir », raconte Amara, un Libérien qui vit en Algérie depuis deux ans.

      Selon Amnesty International, les forces de l’ordre ont arrêté plus de 2 000 migrants subsahariens depuis le 22 septembre. Une fois interpellés, ils ont été envoyés à Tamanrasset puis expulsés au Niger ou au Mali. Deux amis d’Amara ont été arrêtés alors qu’ils étaient en train de travailler sur un chantier. Il soupire : « J’ai choisi l’Algérie pour pouvoir travailler. Ici, je gagne mieux ma vie comme manœuvre que si j’étais employé dans mon pays. Alors je serre les dents et j’attends que ça passe. »

      http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/10/31/quand-l-europe-renvoie-la-crise-migratoire-de-l-autre-cote-de-la-mediterrane

    • Algeria: Illegal Arrests, Detention and Forced Removal of Hundreds of Migrants

      Several hundred people of sub-Saharan origin were arbitrarily arrested in Algiers between late September and early October 2017 by the police and the National Gendarmerie. Without any regard for procedural safeguards and their fundamental rights, these people were arbitrarily detained at the centre in #Zeralda (a western suburb of Algiers) and forcibly collectively transported to #Tamanrasset where they were confined to a detention centre.

      https://euromedrights.org/publication/algeria-illegal-arrests-detention-forced-removal-hundreds-migrants

    • “They put us on a truck and left us there, in the middle of nowhere. We were in the desert for the next 45 days.”

      “I left Sierra Leone because I wanted to go to Italy. My friend told me to pass through Algeria first so we could make some money. On the way there, the driver sold us to some Arab men and took all of our valuables, including phones and personal documents.

      As soon as we reached Tamanrasset in Algeria, they put us in some sort of prison. The worst thing was that the prison was managed by fellow Africans who had bought us from Arabs. I was there for 15 days with no food or water, and there were more than 70 other people in the same room. The captors gave me a phone and wanted me to call my family, but my mother lives in a very small village - she doesn’t even own a phone.

      One day, they brought in another group of migrants and among them was a man from Sierra Leone so we became friends. He had a friend that had been helped by IOM to go back to Sierra Leone, so he suggested we got in touch with them.

      It was the youth vigilantes in Algeria that rescued us. They had heard about the human trafficking situation in the region; they found us and set us free. They took us to the police station and told us to call our families so they could help us get back home. At the police station, there was a huge group of migrants, including plenty of women and children.

      We asked the police to call IOM, but they said we should do that once in Niger. We asked for a human rights volunteer to assist us, but the police officers said there was no such thing. They put us in a truck, took us past Assamaka, Niger and left us in the middle of nowhere. There were more than 200 people there from all over West Africa. A big group of Nigerians decided to head back to Assamaka, but we stayed. We were in the desert for the next 45 days.

      While there, I asked a soldier to let me make a phone call so I managed to get in touch with IOM. However, soon after, the authorities moved us to another area so we feared that IOM staff wouldn’t be able to find us anymore. We walked and walked for days until we reached #Assamaka again but once we got there, we saw the IOM staff. They had come to assist us. We told them everything that had happened and they took us to their centre in #Arlit. After a week there, we came here, to the centre in #Agadez. There are now more than 50 migrants here from that group. We couldn’t be more grateful for the help.”

      http://iamamigrant.org/stories/niger/mohamed

  • Women pioneered computer programming. Then men took their industry over.
    https://timeline.com/women-pioneered-computer-programming-then-men-took-their-industry-over-c29

    “Like many women in the 1930s, Jean Jennings Bartik had studied mathematics. During and after World War II, Bartik and other women actually worked as “computers.” They calculated by hand the trajectories of military rockets and artillery shells depending on how much soldiers elevated the weapon. Each different weapon required a whole table of trajectories for the calculation, and each calculation took more than 30 hours.
    In 1945, Bartik heard about a new job, working with something called ENIAC. She wasn’t quite sure what the work entailed, but she took it, hoping to get in on the ground floor with a new technology.
    ENIAC was the first large-scale electronic computer whose operation wasn’t slowed down by mechanical parts. It could do the trajectory calculations much faster. Men designed ENIAC , but the grueling and tedious task of creating programs for it was considered “women’s work,” akin to clerical labor.
    “Men were interested in building the hardware,” historian Walter Isaacson told NPR. “Doing the circuits, figuring out the machinery. And women were very good mathematicians back then.” But their work was unglamorous and low paid.
    The night before ENIAC was to be first publicly demonstrated, it was malfunctioning. Bartik and her colleague Betty Jennings got it working. At the demonstration, ENIAC did the trajectory calculation in 20 seconds—10 seconds less than it would take the actual shell to reach its target. The audience was “absolutely ecstatic,” Bartik told the Computer History Museum. Nevertheless, Bartik and Jennings went unnamed in press pictures, and they weren’t even invited to the celebration dinner.”

    • waaa, l’image de la coupure de journal "The computer girls"qui débute par

      A trainee gets 8000$ a year
      a girl ’senior systems analyst’
      gets 20000$ - and up!
      Maybe it’s time to investigate....

      #programmation

      tiens marrant, je note qu’est souligné la qualité pratique, certes essentialiste, avec la capacité de programmer des femmes du type : normal que les femmes soient douées puisqu’elles sont faites pour ça et qu’elles passent leurs temps à programmer (organiser, gérer) pour la famille les courses/repas/ménage etc

      It’s just like planning a dinner

    • Bonjour @dudh48 je ne comprends pas le lien de ton dernier post avec un fil consacré aux programmeuses ?

      Sur le post précédent, la condescendance est juste franchement insupportable : « Mesdames, bientôt vous connaîtrez les mots ». Et c’est régulièrement qu’il faut rappeler à l’ordre nos bons maitres …

    • Les 4 messages de @dudh48 ont disparu (ainsi que ce compte) aussi je recolle ici les 2 qui me paraissaient intéressants dans cette discussion

      Les femmes et la programmation - Québec Numérique http://www.quebecnumerique.com/les-femmes-et-la-programmation

      Jusqu’aux années 1960, la programmation était perçue comme un travail féminin. La programmeuse américaine Grace Hopper (1906 – 1992) mentionne dans un reportage que « la programmation est comme organiser un souper. Il faut planifier et programmer tout d’avance pour que tout soit prêt dès qu’on en aura besoin… Les femmes ont une habitude innée à la programmation d’ordinateur. » Il faut garder à l’esprit que c’est Mme Hopper qui a développé le premier compilateur pour la marine américaine. Cependant, elle est surtout connue grâce à une découverte involontaire : le terme « bug ». Elle a retiré d’un ordinateur un papillon de nuit mort qui avait causé la panne. Depuis ce moment, le terme « bogue informatique » (en français) est utilisé en parlant de ce « bug ». La pionnière en informatique au Canada était sans doute Beatrice Helen Worsley (1921 – 1972). Première femme au monde ayant reçu un doctorat en science informatique, elle a eu Alan Turing et Douglas Hartree comme superviseurs de doctorat à l’Université de Cambridge. Elle a participé à la première démonstration de l’ordinateur EDSAC de Cambridge. Avec Pat Hume, elle a développé le premier compilateur, Transcode, pour FERUT, qui est un des premiers ordinateurs au Canada. Ce travail a eu un impact énorme à travers le pays et des douzaines de groupes de recherche à travers le Canada utiliseront FERUT pour résoudre des problèmes scientifiques. Le facteur majeur du déclin du pourcentage des femmes après les années 60 fut la valorisation du domaine de la programmation ! Avant, le développement de logiciel était perçu comme un domaine moins sérieux et moins masculin que le développement du matériel. Ce fut donc une surprise pour les employeurs de constater que programmer était difficile. À la suite de cette observation, ce travail fut déclaré typiquement masculin. Des programmeurs ont été formés et ils ont découragé l’embauche de femmes dans le domaine.

    • même chose

      Sexisme informatique : le code source écrit par les femmes est moins respecté - Tech - Numerama http://www.numerama.com/tech/145615-sexisme-informatique-le-code-source-ecrit-par-les-femmes-est-moins-

      PRÉJUGÉS SUR LE CODE ÉCRIT PAR DES FEMMES Or justement, une étude publiée dans la revue PeerJ tend à montrer que les contributions des développeuses ne sont pas considérées à leur juste valeur. Les femmes seraient victimes d’un préjugé trompeur, conscient ou inconscient, selon lequel elle seraient moins aptes à produire du code de qualité. Pour en arriver à cette conclusion, les auteurs de l’étude, qui n’a pas encore été évaluée par des pairs, ont concentré leurs travaux sur GitHub, la plateforme d’hébergement et de collaboration de référence pour des projets open-source. Au total un échantillon de 1,4 million de membres (11,6 %) a été extrait de l’ensemble des utilisateurs (12 millions) afin d’analyser la manière dont leurs propositions sont reçues. Pourquoi n’avoir pris que 11,6 % de l’ensemble des membres de GitHub ? Parce que c’est sur cette portion uniquement que les chercheurs sont parvenus à déterminer le sexe de l’internaute, en récupérant l’adresse e-mail des utilisateurs et en vérifiant ensuite le profil Google+ associé, afin de voir s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme. Qu’est-ce qui ressort de cette observation ? Qu’il existe un préjugé de genre sur la compétence des femmes en matière de programmation.

      #femme #sexisme #préjugé

      Et malheureusement je peux témoigner que cela est vrai. Pour l’anecdote, une femme me contacte, je lui réponds en utilisant mon nom féminin, or elle a insisté pour me dire qu’elle voulait absolument que ce soit touti parce qu’il savait ce qu’il avait fait. Le malentendu a été levé et on a rit. Mais des fois, c’est pas du tout drôle, c’est même irritant, j’ai l’impression de servir de faire valoir ou d’aiguillon de fierté
      – si une femme peut le faire, alors moi encore mieux …

  • Jean Sammet, Co-Designer of a Pioneering Computer Language, Dies at 89 - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2017/06/04/technology/obituary-jean-sammet-software-designer-cobol.html

    Jean E. Sammet, an early software engineer and a designer of COBOL, a programming language that brought computing into the business mainstream, died on May 20 in Maryland. She was 89.

    The United States Department of Defense, the largest purchaser of computers at the time, set general guidelines for COBOL, including asking for “the maximum use of simple English” to “broaden the base of those who can state problems to computers.” Later, the Pentagon declared it would not buy or lease computers unless they ran COBOL.

    Grace Hopper, a computer pioneer at Sperry Rand in the late 1950s, led the effort to bring computer makers together to collaborate on the new programming language. Ms. Hopper is often called the “mother of COBOL,” but she was not one of the six people, including Ms. Sammet, who designed the language — a fact Ms. Sammet rarely failed to point out. (Ms. Sammet worked for Sylvania Electric at the time.)

    “I yield to no one in my admiration for Grace,” she said. “But she was not the mother, creator or developer of COBOL.”

    Ms. Sammet and the other five programmers did much of the new language’s design during two weeks of nearly round-the-clock work, holed up in the Sherry-Netherland Hotel in Manhattan. Their proposal was presented in November 1959 and accepted with few changes by the computer makers they worked for and the Pentagon.

    #histoire_informatique

  • Un bébé hospitalisé après avoir été détenu 14 jours à Roissy
    https://www.bastamag.net/Un-bebe-hospitalise-apres-avoir-ete-detenu-14-jours-a-Roissy

    Un enfant âgé d’un an a été admis lundi 20 mars à l’hôpital Robert Ballanger d’Aulnay-sous-bois (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris hier dans un communiqué de l’Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (Anafé). L’association dénonce le traitement subi par le petit Sekou et par sa sœur âgée de 3 ans. Les deux enfants étaient retenus avec leur mère durant 14 jours dans la zone d’attente de l’aéroport de Roissy. Grace, la mère, a quitté la Côte d’Ivoire le 5 mars avec ses deux enfants (...)

    En bref

    / #Atteintes_aux_libertés, #Migrations, #Discriminations

  • Un bébé hospitalisé après avoir été détenu 14 jours à Roissy
    http://www.bastamag.net/Un-bebe-hospitalise-apres-avoir-ete-detenu-14-jours-a-Roissy

    Un enfant âgé d’un an a été admis lundi 20 mars à l’hôpital Robert Ballanger d’Aulnay-sous-bois (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris hier dans un communiqué de l’Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (Anafé). L’association dénonce le traitement subi par le petit Sekou et par sa sœur âgée de 3 ans. Les deux enfants étaient retenus avec leur mère durant 14 jours dans la zone d’attente de l’aéroport de Roissy. Grace, la mère, a quitté la Côte d’Ivoire le 5 mars avec ses deux enfants (...)

    En bref

    / #Atteintes_aux_libertés, #Migrations, #Discriminations

  • Les femmes pionnières du codage informatique
    Le codage était considéré comme subalterne, donc confié à des femmes, les hommes préférant le hardware : résistances, tubes à vide, condensateurs, câblage et soudures de la machine.
    Pour compléter le billet précédent sur l’entre-soi masculin en informatique software, tant dans les écoles que dans l’industrie, et montrer aux filles qu’en codage informatique les garçons ne sont pas plus légitimes que nous, voici quelques modèles de pionnières scientifiques mathématiciennes et cryptologistes qui ont tracé le chemin. Sans elles, l’informatique et l’électronique, telles que nous les connaissons, ne seraient pas ce qu’elles sont.
    http://hypathie.blogspot.fr/2015/02/roles-modeles-les-femmes-pionnieres-du.html

  • Le tueur aimait ses enfants | Grace Matsiko
    https://making-of.afp.com/le-tueur-aimait-ses-enfants

    « Je connaissais la réputation de Joseph Kony bien avant de le rencontrer », écrit Grace Matsiko, correspondant de l’AFP en Ouganda. « J’avais suivi les atrocités de son Armée de Résistance du Seigneur (LRA), en Ouganda, dont une en 1996 que je n’oublierai jamais. C’était dans le village d’Acholpii, où ses hommes avaient massacré environ 100 personnes. Comme à l’habitude, le village avait été brûlé et les corps dispersés alentours. Mais le plus marquant pour moi, je l’ai trouvé en m’aventurant dans les fourrés, en tombant sur un petit enfant, tétant le sein de sa mère morte ». Source : Making-of