person:simon chignard

  • Google Dataset Search (bêta) : une marge de progression importante
    http://www.precisement.org/blog/Google-Dataset-Search-beta-une-marge-de-progression-importante.html

    Simon Chignard d’Etalab a testé Google Dataset Search (GDS) (encore en version bêta) et en livre un compte-rendu sur son blog . Google Dataset Search (GDS) est le nouveau moteur de recherche de jeux de données open data développé par Google AI. Dataset se traduit par « jeu de données » en français. Le test de S. Chignard Pour une présentation de GDS, lire le billet de Nature https://www.nature.com/articles/d41586-018-06201-x L’évaluation de Simon Chignard est décevante. (...)

  • Google Dataset Search (bêta) ne sait pas trouver les bons jeux de données
    http://www.precisement.org/blog/Google-Dataset-Search-beta-ne-sait-pas-trouver-les-bons-jeux-de-donnees

    Simon Chignard d’Etalab a testé Google Dataset Search (GDS) (encore en version bêta) et en livre un compte-rendu sur son blog . Google Dataset Search (GDS) est le nouveau moteur de recherche de jeux de données open data développé par Google AI. Dataset se traduit par « jeu de données » en français. Le test de S. Chignard Pour une présentation de GDS, lire le billet de Nature https://www.nature.com/articles/d41586-018-06201-x L’évaluation de Simon Chignard est décevante. (...)

  • 5 ans d’open data : qu’avons-nous appris ? Par Simon Chignard

    Il y a cinq ans, nous étions tous des chasseurs-cueilleurs. Nos « armes » étaient rudimentaires : nos bras, notre arc et quelques flèches...
    ... Alors, comment attraper les fruits les moins accessibles ? L’Homme a inventé l’échelle – et l’homo data sapiens a fait pareil ...
    ... À force de cueillir des fruits, on a fini par apprendre une leçon : toutes les données ne se ressemblent pas et ne génèrent pas les mêmes usages ...
    Progressivement ... nous avons commencé à produire nous-même des données. Je pense que la création de la Base adresse nationale représente à ce titre un tournant important, ...
    ... Mais la principale leçon de ces cinq dernières années c’est que l’ouverture est une bataille culturelle. Ouvrir les données, les codes sources mais aussi plus globalement la manière de prendre des décisions et d’agir ...

    https://donneesouvertes.info/2016/06/15/5-ans-dopen-data-quavons-nous-appris

    #OpenData #bilan #BANO

  • La donnée, nouveau carburant de l’économie
    http://www.lenouveleconomiste.fr/la-donnee-nouveau-carburant-de-leconomie-30065
    Carburant, non..
    Le carburant produit de l’énergie, la data ne fait qu’optimiser la consommation, doper le commerce. Elle peut nous donner l’impression de fluidifier les échanges, de nous faire gagner du temps..
    Mais quand on voit l’effervescence sur ce sujet, ça ressemble simplement ça une énième bulle spéculative, une nouvelle fuite en avant, un nouveau seuil de la guerre économique, un avatar de l’hyper-concurrence. Et surtout une nouvelle ruée vers l’or dont sont friandes les foules capitalistes, et durant laquelle beaucoup d’entre eux se feront piétiner..

    Les marchands en ont rêvé, Jeff Bezos l’a fait. Sur son site, Amazon optimise les prix en fonction des acheteurs. C’est ce qui s’appelle vendre ses produits à la tête du client. En toute légalité, le numéro 1 mondial du e-commerce fait évoluer en temps réel et plusieurs milliers de fois par jour, les tarifs de son catalogue en ligne. Une consommatrice urbaine, pressée et à fort pouvoir d’achat ne se verra pas proposer les dernières sneakers à la mode au même prix qu’une jeune étudiante branchée mais fauchée.

    Amazon réserve ses “low prices” au client les plus sensibles au prix, et donc susceptible d’aller consommer ailleurs. Cette technique de fixation dynamique des tarifs, également appelée ‘pricing’ n’est pas nouvelle. Le transport aérien l’a popularisé dans les années 90, vendant les titres de voyages à des montants différents en fonction des taux de remplissage ou de la période de l’année. Amazon va plus loin en généralisant un pricing à la fois individualisé et dynamique. Cette innovation est le fruit de la stratégie déployée depuis maintenant 20 ans autour de l’exploitation et de la valorisation de la donnée.
    La donnée au coeur de la création de valeur

    “La data est partout. Elle est le carburant de l’économie, le nouvel or noir. L’utilisation des données est déjà au cœur des stratégies des géants du numérique. Elle se déploie aussi dans nombre de secteurs traditionnels. C’est une opportunité de développement pour les organisations, mais aussi un sujet d’inquiétude pour les individus qui voient leurs vies mises en données”, constatent Simon Chignard et Louis-David Benyayer, co-auteur de ‘Datanomics, les nouveaux business models des données’*. Quelques chiffres pour caractériser ce monde de données baptisé par certains “big data” ou “mégadonnée” : selon IBM, nous produisons chaque jour 2,5 trillions d’octets de données, et près de 90 % des données dans le monde ont été créés au cours des deux dernières années. Cette production massive est également exponentielle, et les milliards d’objets connectés attendus ces prochaines années nous promettent un véritable déluge de data.

  • La marchandisation des données #SNCF n’est pas la réponse à Google - Données Ouvertes
    http://alireailleurs.tumblr.com/post/122321350550

    Sur son toujours très pertinent blog, Simon Chignard (qui vient de publier avec Louis-Davis Benyayer, le très pédagogique Datanomics, sur les business models des données) revient sur la décision de la SNCF de vendre ses données. Simon Chignard rappelle que si l’Open Data est un enjeu de changement culturel pour la SNCF, cette ouverture des données ne concerne pas toutes les activités. Les données sur l’offre #TGV, les horaires temps réel ou la tarification n’entrent pas dans le périmètre des données librement et gratuitement réutilisables sans limitation d’usage, au prétexte de risquer de favoriser de nouveaux acteurs tiers : des courtiers plus que des entreprises concurrentes. D’où l’idée de la SNCF d’ouvrir prochainement une API freemium, c’est-à-dire de faire payer l’accès à ces données selon le niveau (...)

    #open_data #Transport

  • Interview de Simon Chignard : « la question de la valeur des données est centrale » | Without Model
    http://www.withoutmodel.com/simon-chignard/interview-de-simon-chignard-la-question-de-la-valeur-des-donnees-est-c

    « Lorsque je poste un tweet par exemple, ce sont près de 50 données aditionnelles qui sont produites et stockées, ce qu’on appelle les métadonnées (les données sur les données) », ou l’ombre portée dans laquelle le plus souvent repose la valeur. Beaucoup de gens réfléchissent aux données aujourd’hui mais toujours de façon focalisée et segmentée, les données ouvertes d’un côté, les données personnelles de l’autre. Nous avons besoin d’un questionnement transverse et commun", assure Simon Chignard. Même si les (...)

    #bigdata #data

  • L’open data renforce-t-il le risque de désintermédiation ? | #données_ouvertes
    http://donneesouvertes.info/2013/05/20/lopen-data-renforce-t-il-le-risque-de-desintermediation

    Simon Chignard n’a pas eu à quitter Google pour trouver les horaires du cinéma. Pour beaucoup d’acteurs, cette désintermédiation n’est pas un bon signal. L’open data est-il un facteur d’accélération de cette désintermédiation ? Pour Simon Chignard, le risque n’est pas nouveau : les désintermédiateurs d’aujourd’hui sont les désintermédias de demain. Le groupe Accor vend aujourd’hui la plupart de ses nuitées sur des sites partenaires, mais l’ouverture de ses données lui a aussi permis de développer ses (...)

    #reutilisationdesdonneespubliques #opendata #desintermediation #mediation