naturalfeature:kalahari

  • Une famille du Kalahari - Le Mythe assassin
    http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/35070_1

    Episode 5 En 1992, alors que l’indépendance de la #Namibie déclenche un afflux d’#aides_internationales sans précédent en faveur des Ju’hoansi, un peuple autochtone vivant dans le désert du #Kalahari, ceux-ci se plaignent que les organismes de développement ne soutiennent plus l’#agriculture. Les efforts de #John_Marshall et des fermiers ju’hoansi pour trouver des subventions pour leur fermes se heurtent à un préjugé puissant, réduisant les #Bochimans à des chasseurs seulement capables de vivre en harmonie avec la nature, et leur déniant toute capacité à s’adapter à une nouvelle économie et à survivre sans aide. « Une famille du Kalahari » est une série de 6 heures consacrée à la vie des Ju’hoansi pendant une période de 50 années, depuis l’époque d’un mode de vie traditionnel jusqu’à celle où leur existence même a été menacée par une modernité envahissante... Les films ont joué un rôle dans la lutte politique des Ju’hoansi pour conserver une partie de leurs terres ancestrales, mais la collection est tout aussi importante de par le témoignage qu’elle apporte sur l’aide étrangère et les organisations non gouvernementales qui se sont massivement répandues en République de Namibie après l’indépendance

    Je viens de voir ce #film magnifique qui donne envie de hurler et de pleurer. Une fois encore le wwf brille par son ignorance et son mépris des #peuples_autochtones #Namibie #chasseurs_cueilleurs #mythe #réserve_naturelle #développement #documentaire

  • SURFACE WATER IN AFRICA

    http://www.oecd.org/swac/maps/34-eaudesurface.pdf

    Via Laurent Jégou sur Twitter

    Few indicators offer a more mixed picture of Africa than that of waterways. Represented according to their permanent
    or seasonal nature, African waterways seem to cut the continent into a succession of zones of unequal thickness.
    North of the Equator, the Atlas forms a narrow humid strip facing the Saharan expanses, which cover almost a third
    of the continent and whose numerous wadis, dried out since the late Neolithic, fl ow only episodically. South of the
    Sahara, permanent watercourses dominate, except in the Horn and the Kalahari. Only a handful of rivers born in the
    Great Lakes Region (Nile), Ethiopian plateaus (Juba, Sheebele) and the Drakensberg (Orange) manage to cross the arid
    dams of the Sahara, Somalia and Namibia. Limited to surface water, the map cannot show the existence, sometimes
    considerable as in the Sahara, of underground reserves that were formed millennia ago and give witness to more
    favourable climatic episodes.

    #eau #afrique

  • Land, landlessness and the Namibian #genocide
    http://africasacountry.com/2017/03/land-landlessness-and-the-namibian-genocide

    A scene in the outstretched countryside of #Namibia, 2016. A dusty cattle auction is taking place on the edge of the Kalahari desert. Skinny cows are paraded in front of the tribune with buyers: about a dozen slightly overweight white men in khakis. The larger group of sellers on the tribune opposite consists exclusively of…

    #POLITICS #colonialism #Germany #History

  • The tribes paying the brutal price of conservation | Global development | The Guardian
    https://www.theguardian.com/global-development/2016/aug/28/exiles-human-cost-of-conservation-indigenous-peoples-eco-tourism

    Welcome to 21st-century life in the vast Central #Kalahari game park, an ancient hunting ground for the San, but now off-limits to the people who forged their history there. The brutal incident took place last week, just days after Botswana’s wildlife minister Tshekedi Khama, the brother of President Ian Khama, announced a shoot-on-sight policy on poachers.

    Khama claims the policy, which is supported by conservation groups, will deter poaching and the illegal wildlife trade, which is widely seen by Europe and the US as disastrous for biodiversity. But there are no rare or endangered species such as elephants or rhinos in the areas where the bushmen hunt. Sending a helicopter gunship and armed guards to arraign the hunters looks rather like an escalation of the low-grade war that Botswana has waged for years on one of the most vulnerable indigenous groups in the world.

    #Botswana #Bushmen #conservation #peuples_autochtones #territoires

  • Le premier génocide XXe siècle

    par Paul Delmotte

    Professeur de Politique internationale et d’Histoire contemporaine retraité de l’IHECS

    via Jean-Marie Chauvier

    Politiques, médias et stars du JT l’ont répété : le génocide des Arméniens, dont nous venons de commémorer le centenaire, fut le premier du siècle dernier. Pourtant, au tout début de ce XXe siècle, « âge des extrêmes » comme l’a dit Eric Hobsbawm, un autre génocide fut perpétré. Par les troupes de l’armée impériale allemande : celui des Hereros et des Namas, dans l’actuelle Namibie. Curieusement, ni les travaux des Nations-unies au début des années 1980, ni les excuses, en 2004, des autorités allemandes ne semblent avoir suffi à ancrer la mémoire de cette tragédie. Faut-il forcément avoir « mauvais esprit » pour attribuer cette ignorance tenace et cet oubli généralisé à la couleur de peau des victimes ?

    Le génocide, selon la définition de Rafael Lemkin (1944), se caractérise, non pas tant par le nombre de ses victimes, mais par « l’intention d’extermination, totale ou partielle, d’une population ». Lemkin avait entamé dans l’entre-deux-guerres, des travaux eux-mêmes inspirés par le génocide arménien et les massacres des Assyriens d’Irak - déjà ! - en 1933. Travaux qui furent alors ignorés ou écartés. Quoique né en 1900, le juriste polonais n’avait-il pas eu vent de la tragédie sud-ouest-africaine ? Il est vrai que c’était avant la décolonisation... Et que « seuls » quelque 85.000 Hereros et 20.000 Namas périrent entre 1885 - début de la conquête allemande du Sud-ouest africain (aujourd’hui Namibie) - et 1911.

    Résistances africaines
    Le public européen n’est guère familiarisé avec les faits de résistance dont les Africains firent preuve face à la colonisation européenne et à sa « mission civilisatrice ». En dehors de grandes figures maghrébines, comme Abdelkader ou Abdelkrim, qui chez nous a entendu parler d’Omar Tall ou de Samory pour l’Afrique occidentale « française » ? Ou de M’Siri, « roi du Katanga » abattu par le capitaine belge Bodson ? Ces derniers ne furent - ne sont - le plus souvent dépeints que sous les traits de satrapes fanatiques, cruels, polygames et esclavagistes. Les Mau-mau kenyans n’ont laissé que le souvenir de leurs atrocités, l’Europe « zappant » celles de leur répression. Seul le Negus d’Éthiopie a échappé à cette diabolisation : il est vrai qu’il s’était rangé du côté des Alliés. Et était chrétien.
    Un bref regard sur l’histoire de la Namibie montre l’ âpreté de la résistance à la colonisation allemande. C’est en 1885, , dans le sillage du fameux Congrès de Berlin, que le 2e Reich entama la colonisation de ce territoire du « Sud-ouest africain » décrété « protectorat » allemand et situé entre l’Angola portugais et l’Afrique du Sud britannique. Le second Reichskomissar y fut Heinrich GÖRING, père d’Hermann. Son « règne » (1884-1890) se traduisit par une politique de confiscations des terres et de « transferts » de populations.
    De « concessions » arrachées en opérations militaires, d’expéditions « punitives » en manipulation des rivalités ethniques, le protectorat s’agrandit, e. a. dans l’objectif d’accéder au Zambèze et, de là, aux possessions allemandes d’Afrique de l’Est, le Tanganyika, l’actuelle Tanzanie. D’où le curieux appendice territorial - le « tuyau de poêle » de la Bande de Caprivi, au Nord-est - octroyé aux Allemands en 1890 par les autres Puissances. Il s’agissait aussi de contrôler le commerce avec le Bechuanaland, autre protectorat instauré par les Britanniques dans leur conflit avec les Boers.

    Vernichtungsbefehl

    Dès 1889, le chef herero Kamaharero dénonça le traité de « protection » imposé par Berlin. Quatre ans plus tard, les Namas, qui refusaient la « protection » allemande, virent des dizaines de leurs femmes et enfants massacrés par les troupes coloniales. Leur chef fut exécuté. Son fils acceptera la « protection » du Reich l’année suivante. Ce qui n’empêchera, en août 1894, les Allemands de perdre 27% de leurs effectifs lors d’une offensive contre ces mêmes Nama dans les monts Naukluft.
    Dès 1896, des condamnations aux travaux forcés furent prononcées, des chefs exécutés, des camps de concentration établis sur le modèle de ceux « inventés » l’année précédente par le général espagnol Valeriano WEYLER dans sa répression des insurgés indépendantistes cubains. En 1897, des « réserves » furent créées pour les Namas. Elles s’ouvriront aux Hereros en 1904.
    C’est en janvier 1904 qu’éclata le grand soulèvement : le dirigeant herero, Samuel Maharero, fit détruire les lignes télégraphiques et de chemin de fer allemandes. Des centaines de colons furent tués. Les femmes et les enfants, dit-on, furent épargnés. Une humanité que l’on ne retrouvera pas chez les troupes impériales. Berlin envoya alors quelque 15.000 hommes en renfort. Ce qui n’empêcha pas une défaite allemande à Oviumbo, en avril. L’état-major chargea alors le général Lothar Von Trotha de mener « une extermination totale » des insurgés. Von Trotha signa un Vernichtungsbefehl, un « ordre de destruction », stipulant que « chaque Herero, armé ou non armé, sera abattu ». En août suivant, à la bataille du Waterberg, les troupes impériales encerclèrent les combattants de Maharero, qui furent contraints de fuir dans le Kalahari, où les Allemands empoisonnèrent les puits et avaient ordre de tirer à vue... Comme les Arméniens à Deïr-es-Zor douze ans plus tard, des milliers d’entre eux périrent dans le désert. Quelque 65.000 Hereros et 20.000 Namas moururent aussi dans les camps de concentration comme ceux de Shark Island, inspirés de ceux ouverts par les Britanniques dans leur guerre contre les Boers et expressément localisés dans un région froide qu’évitaient les Hereros.

    En 1902, le Sud-ouest africain comptait 200.000 hab. dont 1500 Allemands. En 1904, les Herero étaient au nombre de 80.000. En 1911, ils n’étaient plus que 15.000. La population indigène avait chuté de 80%.

    Le véritable crime...

    Dans L’Occident et les autres. Histoire d’une prédominance (La Découverte, 2001), Sophie Bessis distingue les trois traits essentiels qui fondent l’unicité du génocide commis par les nazis : ses modalités pratiques - la mort industrielle ; son caractère « inutile » par rapport à d’autres génocides présentés comme « utilitaires », et le fait que le « passage à l’acte » ait eu lieu en Europe même. « Ni l’obsession de la pureté, ni la conviction de faire partie d’une humanité supérieure, ni la volonté de se tailler un espace vital, poursuit-elle, ne sont le propre des génocidaires hitlériens [...] Le mal était depuis longtemps banalisé ». Bessis prend certes quelque distance avec les propos d’Aimé Césaire, député de La Martinique, poète et chantre de l’anticolonialisme (1913-2008) : ce que « le très chrétien bourgeois du XXe siècle [...] ne pardonne pas à Hitler, ce n’est pas le crime en soi, le crime contre l’Homme... C’est le crime contre l’homme blanc » . Césaire cependant, juge Bessis, mène à s’interroger sur les héritages que la civilisation occidentale a légués au nazisme, thème que, pendant les décennies qui ont suivi 1940-1945, seule l’École de Francfort a osé aborder. L’historien Arno Mayer a montré comment les dispositions du Vernichtungsbefehl de Von Trotha ont continué à circuler dans les états-majors. Et Le médecin hygiéniste allemand Eugen FISCHER, fondateur (1927) de l’Institut d’hygiène raciale de Berlin (1927), qui fut l’une des sources de Mein Kampf et le « mentor » du Dr. Mengele, son assistant à l’université, avait « étudié » les Herero et les Namas...

    #génocide #massacres #namibie #hereros @namas

  • Le Kalahari, terre des Bochimans | Le Devoir

    http://www.ledevoir.com/art-de-vivre/voyage/439334/tourisme-botswana-le-kalahari-terre-des-bochimans

    Au Botswana, un vaste territoire semi-désertique abrite une faune abondante mais aussi l’un des plus anciens peuples du globe. Honnis par les uns, chéris par les autres, les Bochimans du Kalahari forment le sel de la terre de l’Afrique australe et l’une des meilleures raisons pour se rendre dans ce coin du monde.

    #botswana #bushmans #bochimans

  • Les Nations-Unies condamnent le traitement infligé aux #Bushmen du Botswana - Survival International
    http://www.survivalfrance.org/actu/10596

    Suite à sa visite dans le pays le mois dernier, le Rapporteur spécial des Nations-Unies pour les droits culturels a condamné le traitement infligé aux derniers chasseurs bushmen par le gouvernement botswanais.

    Farida Shaheed a exprimé sa préoccupation face aux restrictions imposées aux Bushmen quant à l’accès à leur territoire ancestral dans la Réserve du #Kalahari central et quant à la politique contradictoire du gouvernement qui expulse les Bushmen au nom de la conservation tout en poursuivant l’exploitation minière et en encourageant le tourisme à l’intérieur de la réserve.

    ‘La crainte du groupe affecté est qu’une fois disparus les aînés de la communauté, plus personne n’aura le droit de vivre dans la réserve. De plus, en insistant sur le fait que les gens sont expulsés de la réserve pour la conservation de la faune, le gouvernement est en contradiction avec sa volonté de poursuivre des activités minières et de favoriser le tourisme’, écrit Farida Shaheed dans son rapport, exigeant du gouvernement botswanais qu’il ‘clarifie la question’.

    Malgré une décision de la Haute Cour en 2006 qui a confirmé le droit des Bushmen à vivre et chasser à l’intérieur de la réserve, la majorité d’entre eux est obligée de demander un permis d’entrée à partir de l’âge de 18 ans.

    #peuples_indigènes

  • L’ouverture d’une mine de diamants sur le territoire des Bushmen lève le voile sur l’hypocrisie du gouvernement botswanais - Survival International
    http://www.survivalfrance.org/actu/10414

    Une #mine_de_diamants estimée à 4,9 milliards de dollars doit ouvrir le 5 septembre dans la réserve du Kalahari central, le territoire ancestral des derniers chasseurs bushmen, tout juste dix ans après que le gouvernement ait affirmé qu’aucun projet d’exploitation minière n’était prévu à l’intérieur de la réserve.

    Les #Bushmen ont été sommés de quitter la réserve peu de temps après qu’on y ait découvert des gisements de diamants dans les années 1980, mais le gouvernement botswanais a constamment nié que les expulsions forcées et illégales des Bushmen du Kalahari – de 1997, 2002 et 2005 – étaient dues à la présence de riches gisements de diamants. Il a justifié l’expulsion des Bushmen au nom de la ‘conservation’.

    #peuples_premiers #mines #terres #appropriation

  • Discrètement, au milieu de la fureur médiatique, le gouvernement états-unien ajoute quelques pelletées de terre sur le cercueil du grand homme et déclassifie pour la première fois les photos satellites du site d’expériences nucléaires du Kalahari (août 1977)

    Proliferation Watch : US Intelligence Assessments of Potential Nuclear Powers, 1977–2001 | Wilson Center
    http://www.wilsoncenter.org/publication/proliferation-watch-us-intelligence-assessments-potential-nuclear-powe

    The Soviet Union assisted the United States in its effort to curb South Africa’s nuclear program in August 1977 when Soviet General Secretary Leonid Brezhnev sent President Jimmy Carter a message that Moscow’s spy satellites had noticed signs of nuclear weapons test preparations at a site in the Kalahari Desert. Very quickly the U.S. National Reconnaissance Office (NRO) directed spy satellites to photograph the site which intelligence analysts later agreed was geared to nuclear testing. The U.S. government has declassified some of those satellite photographs for the first time.

  • Des licences de fracturation hydraulique accordées dans la réserve des Bushmen - Survival International
    http://www.survivalfrance.org/actu/9767

    Selon une enquête réalisée pour le film documentaire The High Cost of Cheap Gas (le coût élevé du gaz bon marché) et le quotidien britannique The Guardian, une grande partie de la Réserve du Kalahari central au Botswana (CKGR) qui abrite les derniers chasseurs bushmen d’Afrique a été ouverte à des compagnies énergétiques internationales qui vont utiliser la technique controversée de ‘fracturation hydraulique’.

    Une carte révélée par une fuite montre que des concessions d’exploration ont été accordées sur la moitié de la Réserve – un territoire plus grand que la Suisse – ce qui fait craindre l’accaparement des terres, la baisse et la contamination des eaux et des dommages irréparables au fragile écosystème indispensable à la survie des Bushmen et de la faune.

    Le documentaire révèle que le Botswana a accordé des licences lucratives à des compagnies telles que Australian Tlou Energy et African Coal and Gas Corporation, une firme sud-africaine, sans que les Bushmen n’en soient informés ni consultés. Alors que le gouvernement botswanais dément toute opération de fracturation au Botswana, Tlou a déjà commencé le forage de puits d’exploration de réserves de gaz de houille dans le territoire de chasse des Bushmen.

    #bushmen #gaz_de_schiste #fracturation_hydraulique #autochtones #botswana #cartographie

  • Des agences de voyage se joignent au #boycott du #Botswana - Survival International
    http://www.survivalfrance.org/actu/9669

    Quelques semaines seulement après que Survival ait appelé au boycott du tourisme au Botswana, deux agences de voyage ont suspendu leurs circuits dans le pays et plusieurs autres ont exprimé leur préoccupation au sujet de la persécution continue que le gouvernement du Botswana fait subir aux Bushmen. Le gouvernement empêche les #Bushmen de chasser et les oblige à demander un permis pour accéder à leur terre ancestrale, dans la Réserve du Kalahari central (CKGR).

    Le tour-opérateur international Travelpickr s’est joint au boycott de Survival et a déclaré : ‘Nous avons annulé les demandes en instance pour notre circuit au Botswana et avons informé les tour-opérateurs locaux de ce boycott. Nous suspendrons tous les circuits et bloquerons toutes les demandes pour le Botswana jusqu’à ce que le gouvernement du Botswana améliore cette situation’.

    La compagnie touristique espagnole Horizonte Paralelo a déclaré : ‘Nous avons rejoint l’appel de Survival au boycott du tourisme au Botswana. Nous estimons qu’il s’agit d’une mesure appropriée face à la situation des Bushmen. Nous sommes profondément troublés de lire la lettre de Survival et d’apprendre les traitements dégradants que subissent les Bushmen aux mains du gouvernement’.

    #discrimination

  • Le #Botswana interdit l’entrée de l’avocat des #Bushmen dans le pays - Survival International
    http://www.survivalfrance.org/actu/9403

    Dans un geste sans précédent interprété comme ‘vindicatif et répressif’, le gouvernement botswanais a empêché l’avocat britannique Gordon Bennett de pénétrer au Botswana où il devait représenter les Bushmen du Kalahari devant la Haute Cour dans leur revendication pour obtenir l’accès de la tribu à ses terres ancestrales.

    Les Bushmen reviendront pour la troisième fois devant le tribunal, le lundi 29 juillet prochain, pour contester le refus du gouvernement botswanais d’accorder à tous les Bushmen qui ont été expulsés en 2002 le libre accès à leurs terres ancestrales dans la Réserve du Kalahari central (CKGR).

    #peuples_premiers #indigènes