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  • Pourquoi le NPA refuse-t-il de répondre ? Michel Collon - 30 Août 2018 - Investigaction

    https://www.investigaction.net/fr/pourquoi-le-npa-refuse-t-il-de-repondre

    Texte de la lettre adressée en mars par Michel Collon à la direction du NPA et restée sans réponse. Sur son site, le NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste français) publie un ramassis de calomnies signé Ornella Guyet contre Michel Collon, fondateur et directeur du site Investig’Action. Or, cette pseudo-journaliste s’est aussi acharnée contre Jeremy Corbyn, François Ruffin, Pierre Carles, Frédéric Lordon, Alain Gresh, Noam Chomsky… Toute ressemblance avec les campagnes de diabolisation menée par le lobby sioniste… n’est pas fortuite. Le NPA répondra-t-il enfin ?

    Au comité national dirigeant le NPA,

    Bonjour,

    Vous diffusez sur votre site un article fort long[1] qui me calomnie sur base de rumeurs, ragots et déformations. Vous m’accusez d’ « imposture journalistique », de « mercantilisme » et de complicité avec des dictatures. Vous me prêtez des amitiés avec des gens que je ne fréquente pas ou que je dénonce.

    L’auteur de ce torchon, véritable degré zéro du journalisme, s’appelle Ornella Guyet. J’y ai relevé 70 erreurs factuelles, fautes journalistiques grossières ou calomnies pures et simples. Si vous en doutez, je suis prêt à en discuter avec vous. Je me limiterai ici à vous poser cinq questions :

    Comptez-vous publier aussi les articles dans lesquels Ornella Guyet a agressé et calomnié d’autres progressistes : Jeremy Corbyn, François Ruffin, Pierre Carles, Frédéric Lordon, Hervé Kempf, Alain Gresh et Noam Chomsky ?

    Savez-vous que Guyet a répandu ses calomnies sous divers pseudonymes, destinés à faire croire qu’il s’agissait d’un mouvement d’opinion et non d’une seule personne ? Savez-vous qui finance toute cette activité ?

    Savez-vous que la source primaire de Guyet est le site Conspiracy Watch, tenu par Rudy Reichstadt, proche de Bernard Henri-Lévy ? Ce site se nourrit en permanence du théoricien islamophobe Pierre-André Taguieff et recopie les pires délires des néocons islamophobes US : Daniel Pipes, Norman Podhoretz et le site d’extrême droite MEMRI. Comment expliquez-vous que les critiques d’Ornella Guyet épargnent les Etats-Unis, Israël et leurs alliés des pétromonarchies réactionnaires ?

    Savez-vous que le travail « journalistique » de cette personne a été sévèrement critiqué par Le Monde Diplomatique, Acrimed et d’autres groupes ? Savez-vous qu’elle a toujours refusé tout débat public ? Parce que manifestement elle se sait incapable de répondre aux critiques sur ses méthodes tendancieuses, et a d’ailleurs fini par arrêter l’activité de son site.

    Sur votre site, vous affirmez « avoir reçu cette contribution » de Guyet et « la publier bien volontiers ». Mais d’après elle[2] c’est vous qui lui auriez commandé ce torchon. Qui dit vrai ?

    Beaucoup de gens me demandent comment il est possible qu’une organisation de gauche reprenne de telles calomnies. Et je vous le demande à mon tour. Votre publication me cause du tort ainsi qu’à toute l’équipe de jeunes journalistes d’Investig’Action qui travaille dur contre la pensée dominante et la désinformation. Héberger ce ramassis de mensonges alors qu’Investig’Action est déjà la cible des néocons, du lobby pro-Israël et de certains journalistes chiens de garde, qui répandent les mêmes attaques que Guyet, cela vous place dans un curieux voisinage, non ?

    Je vous demande donc de retirer cet article et d’en informer vos lecteurs. Je me tiens à votre disposition si vous souhaitez des éclaircissements quant aux accusations que cette personne porte contre moi. Si vous refusez, je vous demande d’en débattre publiquement avec moi.

    Je n’ai aucun problème avec le fait qu’on critique mes analyses en échangeant des arguments politiques. J’estime même que la gauche française devrait davantage discuter sereinement ses divergences. On reste trop entre soi. Mais remplacer ce débat par des insultes et calomnies, en recopiant les attaques de nos ennemis de classe, me semble le contraire du véritable débat politique et un signe de faiblesse.

    Bien à vous
    Michel Collon
    Investig’Action – Bruxelles

    Notes :

    [1] http://tantquillefaudra.org/debats/article/michel-collon-un-militant-de-la-347

    [2] « Le NPA, dont la Commission nationale anti-fasciste (Cnaf) m’a commandé il y a plusieurs mois… un dossier sur Michel Collon, qui a été l’article le plus abouti que j’ai publié à ce jour à son sujet. » http://www.confusionnisme.info/index.php/2015/10/05/le-martyre-de-saint-michel

    #ornella_guyet #NPA #Michel_Collon #Jeremy_Corbyn #François_Ruffin #Pierre_Carles #Frédéric_Lordon #Alain_Gresh #Noam_Chomsky #calomnies #information #débat #conspiracy_watch #rudy_reichstadt #bernard_henri-lévy #BHL #pierre-andré_taguieff #daniel_pipes #norman_Podhoretz #MEMRI

  • Notre ennemi, le capital : Jean-Claude Michéa démonte le système libéral et ses tartuffes de service
    https://www.crashdebug.fr/loisirss/73-livres/13085-notre-ennemi-le-capital-jean-claude-michea-demonte-le-systeme-liber

    Il existe encore, heureusement, quelques penseurs libres dans leur tête et imperméables au bourrage de crâne ambiant. Jean-Claude Michéa fait partie de ceux-là. Situé à des années-lumières des sophistes de Saint Germain-des-Près, du gominé Bernard Henri-Lévy à la momie Alain Duhamel, il vient de publier un brûlot à charge contre ce colosse aux pieds d’argile qu’est le capitalisme "triomphant".

    Jean-Claude Michéa

    Les premières notes de lecture insistent sur les trois parties de son exposé, axées sur un diagnostic allié à des ébauches de solutions concrètes. Une suite au complexe d’Orphée et à l’empire du moindre mal, avec des pistes de perspectives.

    Tout d’abord, Michéa revient sur les zélateurs de la révolution libérale opérée depuis la chute du mur de Berlin. Il ne s’attarde (...)

  • Emails to Hillary contradict French tale on Libya war
    http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2015/06/libya-gadhafi-french-spies-rebels-support.html

    The oft-repeated media tale in France holds that then-President Nicolas Sarkozy was outraged by Gadhafi’s crackdown on protesters in February 2011 but had no clear idea who to support. Enter a swash-buckling “intellectual,” Bernard Henri-Levy, who met with Transitional National Council leader Mustafa Abdul Jalil on March 4, immediately called Sarkozy, and had the French president invite Jalil to the Elysee Palace — and recognize the council as the country’s official government by March 10.

    The emails to Clinton tell a distinctly less heroic story.

    According to one entry from March 22, 2011, “officers” with the General Directorate for External Security — the French intelligence service — “began a series of secret meetings” with Jalil and Gen. Abdul Fatah Younis in Benghazi in late February and gave them “money and guidance” to set up the council, whose formation was announced Feb. 27. The officers, “speaking under orders from [Sarkozy] promised that as soon as the [council] was organized France would recognize [it] as the new government of Libya.”

    “In return for their assistance,” the memo states, “the DGSE officers indicated that they expected the new government of Libya to favor French firms and national interests, particularly regarding the oil industry in Libya.”

    The email goes on to state that Jalil and Younis “accepted this offer” and “have maintained contact with the DGSE officers in Cairo.” The memo is titled, “How the French created the National Libyan Council, ou l’argent parle.”

    Another memo dated May 5 asserts that individuals close to the council stated “in strictest confidence” that as early as mid-April 2011 French humanitarian flights also included “executives from the French company TOTAL, the large construction from VINCI and the European Aeronautic Defence and Space Company N.V. (EADS).” Subsequent flights have allegedly carried representatives “from the conglomerate THALYS and other large French firms, all with close ties to [Sarkozy].”

    “After meeting with the [council] these French business executives leave discreetly by road, via Tobruk to Egypt,” the memo states. “These convoys are organized and protected by para-military officers [from the DGSE].”

    (Signalé par @loutre dans un forum, mais ça mérite une entrée distincte.)

    Le document PDF d’origine est là :
    http://benghazi.house.gov/sites/republicans.benghazi.house.gov/files/New%20Found%20Clinton%20Emails.pdf
    L’extrait cité dans l’article :
    http://www.al-monitor.com/pulse/files/live/sites/almonitor/files/documents/2015/France_created_NLC.pdf

    Le site est le « Select committee on Benghazi » de la Chambre des représentants des États-Unis.

    • Les e-mails d’Hillary Clinton jettent la lumière sur le dossier libyen
      22.05.2015
      http://fr.sputniknews.com/international/20150522/1016217965.html

      Suite à une fuite d’information, la presse a eu accès à la correspondance de Hillary Clinton, Secrétaire d’État des USA en 2011, avec l’un de ses proches collaborateurs. Les messages jettent la lumière sur la façon dont la Grande Bretagne et la France ont essayé de s’emparer de la « plus grosse part du gâteau libyen ».

      « Par le biais de ses services de renseignement, la Grande Bretagne dirige tant les actions des rebelles libyens que celles du régime de Kadhafi », peut-on ainsi lire dans l’un des messages électroniques."

      Les diplomates maintenaient des contacts avec le gouvernement Kadhafi pour protéger les positions britanniques dans l’hypothèse où les troubles en Libye n’aboutiraient pas à un changement de pouvoir. En même temps, ils menaient des négociations avec le fils de Kadhafi, Saïf al-Islam, au cas où son père lui transmettrait les rênes du pays.

      Un autre message signale que le Royaume-Uni a uni ses efforts avec la France afin de créer dans l’est de la Libye une zone semi-autonome. L’objectif était de diviser le pays après l’effondrement du régime Kadhafi — une proposition des conseillers de Nicolas Sarkozy après que le nouveau gouvernement libyen n’a pas accordé aux entreprises françaises de contrats avantageux.

  • Chevènement : « Sarkozy et BHL ont voulu faire le ménage en Libye, c’est le désordre complet… »
    http://www.crashdebug.fr/index.php/actualites-france/10469-chevenement-sarkozy-et-bhl-ont-voulu-faire-le-menage-en-libye-c-est

    http://www.crashdebug.fr/images/stories/addons/images/Images+globales/2015/avril/Chevenement_22_04_2015.jpg

    Invité sur Europe 1, Jean-PIerre Chevènement a commenté la situation au Moyen-Orient, critiquant notamment vivement les choix de la France en LIbye sous la présidence Sarkozy, vivement encouragés par le philosophe Bernard Henri-Lévy. Une déclaration qui date d’août 2014.

    Invité sur Europe 1, Jean-Pierre Chevènement a vivement condamné l’intervention franco-britannique en Libye de 2011, qui a entraîné la chute du régime du colonel Kadhafi. « La Libye avait beaucoup de défauts à l’époque de Mouammar Kadhafi, mais la Libye exerçait un contrôle sur ses frontières. Nous avons détruit la Libye, il faut le dire », a-t-il affirmé. « La France, l’Angleterre, sous l’impulsion de M. Sarkozy, peut-être de M. Bernard Henry-Lévy, ont décidé qu’il fallait aller faire (...)

  • Où va Michel Onfray ?

    Depuis longtemps maintenant, Michel Onfray s’est spécialisé dans l’anticommunisme et l’antisyndicalisme. Après avoir raillé « les vieilles scies militantes d’hier et d’avant-hier : cosmopolitisme des citoyens du monde, fraternité universelle, abolition des classes et des races, disparition du travail et du salariat, suppression du capitalisme, pulvérisation de toutes les aliénations, égalitarisme radical », il lance en 2008 une grande campagne nationale de diffamation à l’encontre de Guy Môquet, absurdités historiques à la clé. Le créateur de l’Université populaire de Caen se consacre ensuite au dénigrement médiatique du candidat du Front de gauche à l’élection présidentielle. Ce dernier, parce qu’il défend la figure de Robespierre, est dépeint comme l’incarnation contemporaine du totalitarisme – voter pour lui, c’est voter pour la réinstallation de la guillotine en place de Grève. Ainsi, faisant siennes sans barguigner les thèses de l’historiographie néolibérale, le philosophe, qui se réclamait parfois de l’antilibéralisme (de moins en moins souvent il est vrai), vire sa cuti pour entonner les refrains d’une plate philosophie des droits de l’homme empruntée à Bernard Henri-Lévy. Dans la foulée, il affirme sur le plateau d’un journal télévisé que Chavez a truqué sa réélection au moyen de machines électroniques (alors que même la Fondation Carter valide les résultats).

    Mais ces harangues douces aux oreilles de la droite n’étaient qu’un premier pas. Après tout, un philosophe qui fait si continûment profession de nietzschéisme a-t-il grand-chose d’autre à offrir à la gauche que des absurdités comme « Marx a contribué à nous faire penser de manière binaire : les méchants riches contre les bons pauvres » ? Or, si l’on observe sa trajectoire récente, Michel Onfray donne à voir ce qu’il faut bien appeler une radicalisation.

    La première étape s’opère sous le signe de son ralliement halluciné à Albert Camus. L’essai L’ordre libertaire, la vie philosophique d’Albert Camus, dithyrambe officiel, sert de prétexte au philosophe normand pour cracher sur Sartre, coupable – entre autres – d’avoir été compagnon de route du Parti communiste. Onfray pousse si loin sa vénération pour le « philosophe pour classes terminales » qu’il s’active à faire débarquer l’historien Benjamin Stora du projet d’une « Expo Camus » conduit par la municipalité d’Aix-en-Provence et les héritiers de l’auteur de La Peste. Cette éviction ne doit rien au hasard : Stora n’était pas dans la ligne pro-Algérie française du maire Maryse Joissains-Masini, membre de la Droite populaire et proche des milieux d’extrême droite sur ces thématiques. Albert Camus, partisan comme eux de l’assimilation, s’était en effet distingué par une franche hostilité à l’indépendance et à la décolonisation de l’Algérie, point auquel ses héritiers semblent tenir. Aussi Onfray se voit-il un temps comme l’ordonnateur rêvé d’une grand-messe exaltant « la pensée de midi » et une Algérie préservée du FLN. Si cette collaboration n’aura finalement pas lieu, cela n’a pas empêché Onfray de se répandre, dans les média, pour défendre une conception très camusienne de la question algérienne. Au point que le numéro deux du Front National, Bruno Gollsnisch, s’est fendu d’une note sur son blog pour féliciter Onfray de défendre une vision compatible avec la sienne selon laquelle « la France n’a pas à rougir de son œuvre civilisatrice en Algérie » !

    En mars, c’est au site proche de l’extrême droite nationaliste israélienne Dreuz.info que notre hédoniste en chef accorde une interview complaisante où il claironne que « le versant solaire de la Méditerranée se manifeste sur les plages de Tel-Aviv ».

    De fait, difficile de ne pas voir que le discours onfrayen résonne maintenant très favorablement aux oreilles de l’extrême droite. Ainsi, les attaques récurrentes du philosophe contre la religion musulmane et les musulmans lui valent désormais la sympathie des groupuscules satellites du FN comme Riposte laïque. Célèbres pour avoir organisé les « apéros saucisson-pinard », les membres de cette secte raciste se posent la question sur leur site  : « Michel Onfray serait-il une taupe de Riposte laïque ? ». Il faut dire qu’en plus de propos d’une rare violence contre l’islam, on trouve dans la bouche du « révolté » autoproclamé des sorties pour le moins flatteuses vis-à-vis de la présidente du Front national : « Si la gauche était moins conne, elle aurait le discours de Marine Le Pen sur la laïcité » ; « Marine Le Pen a raison ! ».

    Notons que cette focalisation sur la laïcité (utilisée avant tout contre l’Islam) correspond très exactement à l’approche de la droite « décomplexée » (celle d’un Jean-François Copé). Il s’agit de rallumer sans cesse la torche de la question religieuse pour faire écran au drame économique. Comme si les périls du monde actuel se résumaient, comme sous la Troisième République, à l’emprise des Églises et aux querelles de libre-penseurs ! Alors que la planète et des peuples entiers agonisent sous le boisseau d’un système économique affolé, Onfray, Copé et Le Pen pointent de concert les vrais problèmes : le Coran !

    Le 24 mai dernier a marqué l’ultime étape (jusqu’ici) de la triste route de Michel Onfray vers l’extrême droite. Invité pour la énième fois d’un plateau de télévision, le laudateur de Camus, en roue libre, s’est déchaîné contre la religion musulmane (violente et sanguinaire), déclarant voir l’islam comme une menace. Reprenant mot pour mot les arguments des idéologues de la haine antimusulmans, Onfray, devant un Jean-Jacques Bourdin conquis, outrepassa même la violence des diatribes d’une Marine Le Pen... Au moment de commenter le suicide de l’historien d’extrême droite Dominique Venner (païen antireligieux et nietzschéen vitaliste), Onfray lâche ces mots sibyllins : « N’est pas samouraï qui veut ». Une référence élogieuse à Mishima, autre suicidé de l’ultra-droite nationaliste. À croire que, dans l’esprit de Michel Onfray, l’ultime samouraï dans « l’Europe décadente », c’est lui.

    Ce qui l’a conduit, le 15 novembre dernier, à prophétiser, pour « dans cinquante ans », une « Europe islamisée. »

    Elias Duparc

  • Les bobos

    http://www.slate.fr/story/78698/les-bobos

    Plus surprenant, le classement des personnalités va à l’encontre de certaines idées reçues. Certes, Jean-Pierre Pernault n’est perçu comme bobo que par 22% des répondants, mais ce qui est plus intéressant, c’est que Jack Lang truste la catégorie des responsables politiques bobos (46% le considèrent comme tel), quand Bernard Henri-Levy arrive en tête du classement des personnalités avec 46% de gens qui l’associent à un bobo (hors politique).

    De purs produits bobos, contemporains de l’éclosion du terme, comme Lou Doillon, Zaz, Bénabar ou Vincent Delerm n’arrivent que bien plus bas. De même, on peut s’étonner de retrouver Sartre avant Houellebecq ou la musique électronique enterrée par Le Nouvel Obs (20%, deuxième derrière l’art contemporain) dans les références culturelles associées à nos bobos.

    Les Français semblent donc être restés attachés à la notion de « gauche caviar », une sorte d’ancêtre du bobo utilisée pour décrire l’élite intellectuelle et politique des années 1980 proche du mitterrandisme, une génération à laquelle appartiennent BHL et Jack Lang –ils en sont emblématiques– mais pas vraiment Zaz !

    Il ne faut pas chercher plus loin l’amalgame, et même le contresens de Nicolas Sarkozy qui, candidat en 2012 à sa réélection, se met à fustiger les « bobos du boulevard Saint-Germain ». Le président sortant avait ensuite ciblé « tous ceux qui donnent des leçons, la gauche caviar, la gauche morale qui habite boulevard Saint-Germain, qui met ses enfants dans des écoles privées ». On voit que le glissement d’un terme vers l’autre est devenu un classique de la droite française. Ces « bobos »-là lui donnaient pourtant une écrasante majorité de 45,1% au premier tour !

  • Echorouk Online - Libyan opposition : « The National Transition Council will never establish relations with Israel »
    http://www.echoroukonline.com/eng/world/13536-libyan-opposition-the-national-transition-council-will-never-e

    “I firmly deny as baseless the recent declaration made to this effect by French writer and philosopher Bernard Henri-Levy on behalf of the Libyan national transition council”, Roka asserted.

    He stressed that the NTC had never asked Henri Levy to convey any message of this sort to the Zionist entity leaders as alleged by the troublesome French writer and philosopher.

    Il n’arrête pas de se faire des amis, en ce moment, notre BHL.