person:emmanuel maurel

  • Le leader de l’aile gauche du PS Emmanuel Maurel quitte le parti
    https://www.lejdd.fr/Politique/le-leader-de-laile-gauche-du-ps-emmanuel-maurel-quitte-le-parti-3776885

    Le leader de l’aile gauche du PS Emmanuel Maurel annonce vendredi au Monde qu’il quitte le parti. « Des centaines de cadres et d’élus locaux, des maires » vont le suivre dans cette démarche, assure-t-il. Alors qu’un conseil national consacré à l’Europe a lieu samedi, Emmanuel Maurel confie que « le PS ne correspond plus à l’idée qu’[il se fait] du socialisme » : « Son but, c’est la défense des intérêts des gens modestes. La stratégie pour répondre à cet objectif, c’est le rassemblement des forces de gauche. Le PS a perdu de vue et l’objectif, et la stratégie. »

    Tu ne le connaissais pas, et c’est normal. S’il était effectivement de gauche, au PS, personne n’a pu t’en parler jusqu’alors.
    Et si tu te demandes ce que Hamon va faire suite à cette non-information, c’est que toi aussi tu pensais que Hamon était leader de l’aile gauche du PS, tout comme Montebourg avant lui et les quelques autres apparatchiks dont ce conglomérat grouillant a été en mesure de produire, afin de nous éviter d’avoir une vraie politique progressiste ces 20 dernières années.

  • Réforme de la SNCF : premiers tirs de barrage médiatiques
    http://www.acrimed.org/Reforme-de-la-SNCF-1-premiers-tirs-de-barrage

    Jeudi 15 février 2018, Édouard Philippe recevait le « Rapport sur l’avenir du transport ferroviaire » de Jean-Cyril Spinetta, ancien PDG d’Air France. Au programme de ce document, qui doit servir de base de travail pour une future loi sur les « mobilités » : mise en concurrence du rail, remise en cause du statut de cheminot, plans de départ volontaires, suppression des petites lignes jugées non rentables… Un cocktail drastique de mesures libérales qui, pour les syndicats, remettent en cause le service public ferroviaire au profit du secteur privé. Et qui n’a pas manqué de susciter l’approbation (presque) unanime des grands médias. En témoigne cet état des lieux de la presse et des journaux télévisés, premier volet d’une série sur le traitement médiatique du projet de la libéralisation du rail.

    Depuis la remise du rapport Spinetta, le jeudi 15 février 2018, la presse s’est emparée de la question de la libéralisation du rail préconisée par l’ancien PDG d’Air France. À commencer par le Journal du dimanche. La rédaction de l’hebdomadaire semble attendre avec impatience ce qu’elle nomme… « la bataille du rail ». Une mise en scène guerrière qui, au mépris des salariés concernés et mobilisés, privilégie la personnalisation des conflits sociaux avec, d’un côté, les membres du gouvernement et, de l’autre, les dirigeants syndicaux. Le JDD ne pouvait donc s’empêcher d’afficher en Une du 18 février ce qu’il perçoit comme le premier round d’un match de catch entre Élisabeth Borne, la ministre des Transports, et Philippe Martinez : et au moment de s’attaquer au fond, le JDD choisit clairement son camp...

    Pour Le Monde ? C’est inéluctable !

    « Les syndicats peuvent-ils bloquer la France ? » vous dit Le Parisien

    Et dans les JT ? Un même concert à l’unisson !

    • Emmanuel Maurel : « Je suis pour un socialisme soluble dans le capitalisme »

      Interviewé hier sur le plateau de l’émission « Mardi Politique » de France 24 et RFI, Emmanuel Maurel, candidat à la tête du Parti socialiste, a pris la défense des travailleurs de la SNCF, alors qu’un bras de fer avec le gouvernement semble inéluctable autour de la question du statut des cheminots.

      « La SNCF c’est le patrimoine de tous les Français. (…) C’est un maillage territorial formidable, des tarifs parmi les plus bas d’Europe. Evidemment qu’on peut être fier de cette entreprise », a-t-il dit. « Il faut renforcer les investissements sur les petites lignes et le maillage territorial. Mais je ne crois pas que le problème principal en France soit le statut des cheminots », a poursuivi celui qui est considéré comme le candidat de l’aile gauche du Parti socialiste. « Ce que fait Macron est extrêmement grave. D’abord sur le fond et aussi sur la forme : le fait de vouloir passer une telle réforme via les ordonnances, c’est quand une conception de la démocratie incroyable ! On a vraiment un président qui se défie de tous les corps intermédiaires. Il n’aime pas les élus locaux, il n’aime pas les syndicats, il n’aime pas les associations et essaie de passer en force, une sorte de stratégie du choc qui témoigne d’une conception de la démocratie qui est très archaïque », a-t-il ajouté .

      On pourrait presque y croire ; ça ressemble à du Besancenot mais ce n’est pas du Besancenot ; bien essayé !

  • Au #PS, déjà quatre candidats pour le poste de premier secrétaire
    https://www.mediapart.fr/journal/france/100118/au-ps-deja-quatre-candidats-pour-le-poste-de-premier-secretaire

    Après l’ancien ministre Stéphane Le Foll, le patron des députés socialistes Olivier Faure a fait connaître mercredi sa candidature. Tous deux rejoignent Luc Carvounas et Emmanuel Maurel dans la bataille. Quatre hommes et pas une femme. La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 27 janvier.

    #France #congrès #parti_socialiste

  • Au #PS, chacun place ses pions en prévision du #congrès
    https://www.mediapart.fr/journal/france/291117/au-ps-chacun-place-ses-pions-en-prevision-du-congres

    À quatre mois de la désignation d’un nouveau premier secrétaire, le hollandais Stéphane Le Foll, l’ancien vallsiste Luc Carvounas, ou le représentant de l’aile gauche Emmanuel Maurel sont dans les starting-blocks. Un groupe de quadragénaires pousse la candidature de Najat Vallaud-Belkacem, tandis que l’ancien numéro 2 de Cambadélis, Rachid Temal, y pense.

    #France #parti_socialiste

  • Assistants parlementaires : la liste des 19 eurodéputés concernés par l’enquête
    Emmanuel Galiero, Le Figaro, le 30 mai 2017
    http://www.lefigaro.fr/elections/legislatives/2017/05/30/38001-20170530ARTFIG00118-assistants-parlementaires-l-enquete-concerne-19-e

    Dans les rangs du Parti socialiste, apparaissent Edouard Martin, Emmanuel Maurel, Christine Revault d’Alonnes Bonnefoy et Jean-Louis Cottigny. Côté LR, sont cités Michèle Alliot-Marie, Angélique Delahaye, Brice Hortefeux, Marc Joulaud, Tokia Saïfi, Jérôme Lavrilleux (ex-LR) et Constance Le Grip. A l’UDI, apparaissent Jean Arthuis (devenu En Marche) et Dominique Riquet. Avec Marielle de Sarnez pour le MoDem, Robert Rochefort est également évoqué. Enfin, on découvre Yannick Jadot et Michèle Rivasi élus EELV, Patrick Le Hyaric du Front de Gauche et Virginie Rozière du PRG.

    #France #corruption #parlement_européen #eurodéputés

    • À l’origine, un manifeste prétendument apolitique, intitulé "Manifeste pour un Printemps républicain", publié début mars par Marianne ainsi que par Causeur, signé par des « personnalités de gauche qui veulent défendre la laïcité […] face aux attaques contre la République ». Ils entendent en faire « un lieu de débat et de pluralisme dans le cadre accepté par tous les participants du manifeste », un « mouvement du bas [qui] ne part pas des institutions mais de la société civile ». La liste des signataires donne des indications sur le "bas" dont il s’agit.

      Pour la caution "de gauche", les signatures de quelques élus et figures du PS (dont les frondeurs Emmanuel Maurel et Jérôme Guedj, ainsi que Fleur Pellerin ou Frédérique Calendra, maire du 20e arrondissement de Paris), d’EE-LV ou encore et du PCF pouvaient faire leur effet. Il en est d’autres plus embarrassantes, comme celle d’Élisabeth Badinter, qui affirme à Marianne avoir retrouvé dans ce manifeste « l’expression politique de la troisième voie », entre « d’un côté, le racisme qui diabolise les Arabo-musulmans, et, de l’autre, le déni pratiqué par les islamo-gauchistes à l’égard de la montée en puissance de l’islamisme radical ». Si l’usage de l’expression "islamo-gauchistes" ne suffisait pas, Élisabeth Badinter juge que « Manuel Valls défend la même République que les signataires du Manifeste »…

  • Emmanuel Maurel : « L’Europe a vocation à rester un grand continent industriel ! »
    http://www.taurillon.org/emmanuel-maurel-l-europe-a-vocation-a-rester-un-grand-continent-industrie

    Emmanuel Maurel, second sur la liste PS-PRG de la circonscription Ouest pour les élections européennes 2014, livre au Taurillon sa vision de l’Europe, et évoque les défis qu’elle devra affronter ces prochaines années : lutte contre le chômage des jeunes, harmonisations sociale et fiscale, politiques monétaire et industrielle… L’Union européenne connaît un fort chômage des jeunes et a mis en place certaines mesures- la Garantie pour la Jeunesse du Paquet Emploi- pour faciliter leur insertion (...)

    #Les_candidats

    http://www.maintenantlagauche.fr/wp-content/uploads/Tournant-de-la-relance.pdf

  • Du Front de Gauche à l’Ump, l’appel des élus contre la privatisation des autoroutes
    http://www.marianne.net/Du-Front-de-Gauche-a-l-Ump-l-appel-des-elus-contre-la-privatisation-des-au

    Alors que le gouvernement s’apprête à prolonger de trois ans la rente des autoroutes, Marianne publie un texte signé par la droite comme par la gauche appelant le gouvernement à y renoncer. François Hollande ne le signera pas, lui qui alors candidat, avait pourtant qualifié cette privatisation « d’opération à courte vue » (voir le document). Cet appel est ouvert à vos signatures…

    http://www.marianne.net/photo/art/default/975792-1156438.jpg?v=1382961566
    Premiers signataires :

    Jean-Luc Mélenchon et Martine Billard (députés européens, coprésidents du Front de gauche), Nicolas Dupont-Aignan (député-maire de Yerres, président de Debout la République), François de Rugy (député de Loire-Atlantique, vice-président d’Europe Ecologie-Les Verts) Emmanuel Maurel (vice-président du conseil régional d’Ile-de-France, PS), Marie-Noëlle Lienemann (sénatrice de Paris, PS), Jacques Myard (député-maire de Maisons-Laffitte, UMP).

    Après la vente à vil prix par l’Etat du réseau autoroutier français, qui a débuté en 2002 et s’est achevée en 2006, après la prorogation d’un an des concessions en 2011 sous un prétexte environnemental, le gouvernement Ayrault entend finaliser son plan de relance autoroutier en prolongeant une nouvelle fois, de trois ans, la durée d’exploitation de nos autoroutes par leurs actuels concessionnaires. Il reporte ainsi à 2033 en moyenne la fin des concessions dont disposent les groupes Vinci, Eiffage et Albertis.

    En contrepartie, ceux-là devraient prendre à leur charge une vingtaine de projets d’aménagement de sections autoroutières autour de grandes villes, de liaisons entre des autoroutes existantes, ou encore la mise aux normes de sections existantes. L’ensemble devrait représenter un montant de 3,7 milliards d’euros.

    Nous, élus soucieux des deniers publics mais aussi de la préservation du patrimoine national, ne pouvons accepter une nouvelle démission de la puissance publique alors que les groupes concessionnaires n’ont pas respecté leurs obligations. Un rapport, pour l’heure « officieux », commandé à deux hauts fonctionnaires, a alerté les pouvoirs publics sur cette situation ; pourtant, les bases de l’actuelle négociation restent inchangées, ne prenant pas en compte ces manquements des concessionnaires. De son côté, la Cour des comptes a dénoncé à de nombreuses reprises l’incapacité de l’Etat à imposer aux concessionnaires le respect de leurs obligations, constatant notamment des tarifs manipulés et une qualité des chaussées dégradée.

    Pourtant, les recettes générées par l’exploitation des concessions autoroutières donnent lieu chaque année à de très substantiels profits : plus de 2 milliards d’euros de bénéfices net pour un chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros en 2012.

    C’est cet incroyable cadeau que s’apprête à renouveler l’Etat, au profit de ces grands groupes du secteur peu respectueux de leurs engagements. La quasi-totalité de leurs investissements passés sera intégralement remboursée dans les dix prochaines années. A l’horizon 2030, au rythme de l’évolution actuelle des tarifs et de la progression du trafic, chaque année d’exploitation devrait donc leur rapporter 10 milliards d’euros, et presque autant de bénéfices.

    Ce sont donc entre 5 et 7 milliards d’euros net d’impôt chaque année pour une période de trois années supplémentaires que l’Etat s’apprête à offrir, soit 18 milliards d’euros d’ici à vingt ans. Soit l’équivalent d’un enrichissement immédiat de 6 à 9 milliards d’euros pour les groupes propriétaires des concessions, et un appauvrissement du même ordre de l’Etat.

    Quel est donc cet Etat stratège qui organise son propre dépouillement : faire financer par d’autres 3,5 milliards d’euros d’investissements quand cela lui en coûte entre le double et le triple ? Nous, élus soucieux des deniers publics mais aussi de la préservation de l’indépendance nationale, sommes alarmés par l’ampleur de la dette dont souffre aujourd’hui la nation. Le poids de l’endettement de l’Etat lui interdit désormais d’affecter à l’investissement les économies budgétaires qu’il peut dégager.

    Beaucoup de pays dans le monde découvrent aujourd’hui que la privatisation partielle du service public de la route a souvent octroyé des rentes extravagantes aux grands groupes. Au prétexte que l’Etat doit se désendetter, il se prive de recettes précieuses !

    La France peut et doit récupérer le contrôle et le bénéfice de ses infrastructures de transport.

    Cela sera bénéfique aux finances publiques et au pouvoir d’achat des automobilistes ; la seule conséquence négative se lira dans les résultats boursiers des grands groupes actuels...."

    Du #Front-de-Gauche à l’ #Ump, l’ #appel des élus contre la #privatisation des #autoroutes

    • Faites le calcul. Avec 83,8 milliards de kilomètres facturés, une manne de plus de 2 milliards tombe chaque année dans leurs poches, près de 43 % de plus qu’en 2005. A ce rythme-là, les 15 milliards payés en 2006 lors de la privatisation seront remboursés dans trois ans ! Et la poule aux œufs d’or est dans leur poulailler pour encore vingt longues années (au moins). Jusqu’en 2033.

      Martingale ? Au moment où les autoroutiers font pression sur l’Etat pour proroger (une fois de plus) leur concession, le récent rapport de la Cour des comptes en décrypte les méthodes. Insensible à la baisse du trafic, le chiffre d’affaires des autoroutiers poursuit inlassablement sa progression. Bizarre. Donc, quand le trafic croît, c’est le Pérou. Côté coûts, les économies, elles, sont au rendez-vous. De la réduction des moyens affectés à l’entretien des chaussées jusqu’à l’automatisation à marche forcée des bornes de paiement qui permet de réduire les charges de personnel, tout est bon pour tirer un maximum des péages.

      Sans compter que le temps joue pour eux : l’amortissement de nombreux tronçons allège chaque année le coût de leur endettement. Résultat mécanique : le chiffre d’affaires progresse trois fois plus vite que l’inflation, quand le bénéfice net, lui, met le turbo, avec une vitesse quatre fois supérieure à celle des prix.
      http://www.marianne.net/photo/art/default/973306-1156468.jpg?v=1382962770
      http://www.marianne.net/Le-scandale-des-peages-privatises_a231095.html