person:gabrielle hecht

Gabrielle Hecht. Uranium africain, une histoire globale | Cairn.info
▻http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=AFCO_258_0181&WT.mc_id=AFCO_258

la disparité de traitement par les experts des ouvriers blancs et noirs – ces derniers ayant été exclus des études pendant longtemps à cause de préjugés raciaux. Une exclusion, certes, qui a contribué à l’invisibilisation des risques liés aux radiations pour les populations africaines, alors même que ces risques étaient rendus visibles lors des études sur les expatriés et les ouvriers européens.

L’une des qualités qui fait de ce livre une œuvre majeure est sans aucun doute l’information qualitative et quantitative que Gabrielle Hecht a pu repérer dans les archives des pays africains où elle a mené ses terrains de recherche : archives inédites pour la plupart

http://www.cairn.info/loadimg.php?FILE=AFCO/AFCO_258/AFCO_258_0181/AFCO_id9782807390072_pu2016-02s_sa17_art17_img001.jpg

#livre (pas lu) #afrique #nucléaire #extractivisme

L’atome postcolonial

#Gabrielle_Hecht avait livré dans Le Rayonnement de la France[1] une analyse historique aiguisée de la volonté de puissance des autorités politiques françaises incorporée à la technologie #nucléaire. Elle poursuit ici son programme de recherche dans #Uranium africain, une histoire globale, en étudiant la façon dont l’#Afrique, bien qu’au cœur des politiques d’extraction et d’exploitation de l’uranium, a été travaillée en profondeur par des désignations partielles de « nucléarité ». Avouons que le terme n’est pas élégant. Mais il a l’avantage de restituer la spécificité d’un processus de qualification des pratiques de saisie et de transformation du combustible nucléaire. Gabrielle Hecht ouvre son livre sur une distinction qui me paraît fondamentale et qui situe son travail très au-dessus du tout-venant constructiviste lorsqu’il est question du supposé mélange entre science et politique

https://zilsel.hypotheses.org/files/2016/05/9782021166002.jpg

Field Notes from a Nuclear Nerd

My obsession with nuclear things began as a teenager. In 1978, my family moved to Zurich, where for two years we rented a suburban home. Following Swiss law, the house had its own fallout shelter in the basement, complete with a thick lead door. We never talked about this room, any more than we talked about the rifle that my father kept in the attic, issued to him as a member of the Swiss army reserve. Both reflected the fears of a landlocked nation. Squeezed between the shelter and the rifle, surrounded by mountains, I sometimes found it difficult to breathe.

▻https://toxicnews.org/2016/05/03/field-notes-from-a-nuclear-nerd
#nucléaire

Gabrielle Hecht on Nuclear Ontologies, De-provincializing the Cold War, and Postcolonial Technopolitics

►http://www.theory-talks.org

Nuclear power has formed a centerpiece of Cold-War IR theorizing. Yet besides the ways in which its destructive capacity invalidates or alters the way we should understand questions of war and peace, there are different powers at play in the roles the nuclear assumes in global politics. Through careful investigations of alternative sites and spaces of nuclear politics, Gabrielle Hecht has uncovered some of the unexpected ways in which what one can call the ‘nuclear condition’ affects politics across the globe. In this Talk, Hecht, amongst others, explores what it means to ‘be nuclear’; explains how we need to deprovincialize the Cold War to fully grasp its significance in global politics; and challenges us to explore technopolitics outside of the comfortable context of OECD-countries.

#nucléaire #europe