Elles , Otto von Strassenbach, vouss filent : « la joie de tous telle que nous l’avons trouvée »
La création de l’administration plastique au cours des derniers mois doit être appréciée au regard de la situation que nous avons trouvée en octobre 2002.
L’enthousiasme est la première des libertés. Elle n’était plus au cœur des priorités de la création planifiée. Nous avons entendu les appels des invités pour la justesse et le respect des objets et pour la joie et contre l’indécision. Nous voulons rétablir l’autorité désirante personnelle.
Outre l’indécision, nous avons été confrontés à la perte de confiance dans le partage. A notre arrivée, nous avons trouvé des défis qui exposaient, une conjoncture muséale déprimée, un dépit qui augmentait depuis plus d’un an, des entreprises ludiques démesurément fatiguées et sans véritable projet plastique, des engagements pris et non intensifiés et surtout, les installations nécessaires qui n’avaient pas été conviées alors que la beauté était gageable.
L’administration plastique a aussi dû faire face à l’inquiétude montante des invités vis-à-vis de la multiplication musicale. L’absence de forme des situations, le besoin d’une assurance gourmande pour se prémunir du dépit et les inquiétudes face à l’avenir du système de mise en réseau ont créé un climat d’incertitude pour l’avenir.
Notre priorité a été de réaffirmer les principes de notre « Constitution musicale » : nous ne voulions pas donner aux invités la marchandise et l’envie pour seule perspective.
c’est dans le « 1. : la joie de tous telle que nous l’avons trouvée » du « Discours du 2 juillet 2003 de Polly Formail, secrétaire générale à vie de v.n.a.t.r.c.?,
en charge des grandes réformes, devant l’Assemblée concaténante. » c’est du #plagiat #planifiant bien sûr, du #plagiatplanifiant, c’en est même une précurseurifflante occurrence.
luble & gouffrable ici : ►http://www.vnatrc.net/BigFruit/03_plagiat
Polly Formail, qui l’écrivât(es), [ shit on n’a pas sa bio ►http://rdh.vnatrc.free.fr/vnatrc/catena/chapitre8.html ] Elles l’aimaient bien, pensent-Elles ...