city:melilla

  • Nouvelles #caméras et système de #reconnaissance_faciale à la frontière entre le #Maroc et #Ceuta

    Le système de sécurité à la frontière entre le Maroc et Ceuta se modernise. De nouvelles caméras de surveillance ont été installées dans l’enclave espagnole et un système de reconnaissance faciale devrait bientôt être mis en place, bien qu’aucune date de mise en route n’ait été communiquée par l’Espagne.

    Le ministère espagnol de l’Intérieur a ainsi récemment mis à jour le système de surveillance vidéo dans tout le périmètre de la frontière de Ceuta. 41 caméras #DOMOS et 11 caméras fixes ont été remplacées et 14 nouvelles #caméras_techniques et une plateforme plus moderne de contrôle du système de #vidéosurveillance ont été installées, rapporte El Confidencial (https://www.elconfidencial.com/espana/andalucia/2019-06-09/frontera-ceuta-marruecos-concertinas_2061042). La plupart des caméras dataient du milieu des années 90 et étaient déjà obsolètes, souligne le quotidien espagnol.

    L’une des autres mesures phares annoncées par l’Intérieur est le système de reconnaissance faciale qui sera lancé non seulement à la frontière entre Ceuta et le Maroc, mais également à Melilla, rappelle la même source. L’objectif est de réduire les temps de contrôle aux frontières et d’accroître la sécurité là où des milliers de personnes passent chaque jour.

    Pour la déléguée du gouvernement de Ceuta, Salvadora Mateos, il s’agit de créer une véritable “frontière intelligente”, indique Ceuta TV, à même de “relever les défis du XXIe siècle”, à savoir la hausse de l’immigration illégale.

    Le ministre espagnol de l’Intérieur Fernando Grande Marlaska avait également annoncé en février que les lames et fils barbelés installés en haut de la barrière frontalière (les “concertinas”) seraient bientôt enlevés et la barrière rehaussée.

    Des mesures qui ne sont toujours pas effectives alors que du côté marocain, de nouvelles lames ont été installées pour rendre plus difficile l’accès des migrants à la partie espagnole du périmètre, souligne Ceuta TV.

    “Cela fait partie d’un projet de renforcement des dispositifs marocains en Méditerranée sur 1.000 kilomètres. C’est le résultat d’une analyse qui a débuté en 2016, lorsque nous avions identifié certaines améliorations et que nous les intégrons maintenant”, a déclaré le directeur de l’immigration et de la surveillance des frontières du ministère marocain de l’Intérieur, Khalid Zerouali, rapporte El Confidencial.

    Selon le journal, le ministère espagnol de l’Intérieur attend la fin de l’installation de ces “concertinas” du côté marocain pour enlever celles du côté espagnol.

    https://www.huffpostmaghreb.com/entry/nouvelles-cameras-et-systeme-de-reconnaissance-faciale-a-la-frontie
    #Espagne #frontières #militarisation_des_frontières #surveillance #asile #migrations #réfugiés

    • Spanish-Moroccan borders upgraded with new cameras, facial recognition and a barbed wire ’swap’

      The Spanish government is seeking a 50% reduction in illegal immigration and to achieve this goal is deploying new surveillance cameras and facial recognition technology at its borders with Morocco in Ceuta and Melilla. The Spanish government also plans to remove the barbed wire fences at those borders - but the Moroccan government is constructing its own.

      New surveillance technology

      The Spanish interior ministry has updated the #CCTV system at the border between the enclave of Ceuta and Morocco, replacing 52 cameras (mainly dating from the mid-90s) with 14 new ones, backed up by a new control system.

      Facial recognition technology will also be deployed, not only at Ceuta’s border with Morocco, but also at that with the enclave of Melilla. The stated objective is to reduce the time taken to conduct border checks and to increase security at crossings used by thousands of people daily.

      It is not clear how exactly the facial recognition system will be used - for example, while the technology could be used to compare an individual’s face against the image stored in their passport (a ’one-to-one’ match), it may also be possible to scan faces in a crowd against police databases.

      Barbed wire: out and in

      In the summer of 2018 the announcement from the Spanish interior ministry that the barbed wire between Spain’s enclaves and Morocco would be removed was welcomed by many as a positive development.

      However, on the other side of the border, Morocco is installing its own barbed wire fencing, which according to El Confidencial has its origins in an agreement between the EU and Morocco through which Brussels will provide €140 million for migration control.

      The Spanish government has denied any relationship between the developments, but it plans to wait until the Moroccan fence is installed before removing its own - it is “a question of borders and borders are between two countries,” said Fernando Grande-Marlaska, the interior minister, in June.

      It is not clear from where Morocco has purchased the new fencing, which is made up of two-metre-high layers of barbed wire stacked on top of one another and surrounds the eight kilometres of wall surrounding Ceuta.

      However, the Malaga-based European Security Fencing would be an obvious choice - as well as being the supplier of the fence Spain now plans to remove, it has supplied its galvanised steel, razor-tipped products to Hungary, Denmark and is expanding into the Arabian Gulf.

      Secret agreements

      The push for new border control measures between Spain and Morocco does not only involve infrastructure - the two countries signed bilateral agreements on the control and return of irregular migrants in February this year.

      The Andalusian Association for Human Rights (APDHA) requested access to them from the European Commission, which refused, arguing that “the guarantee of confidentiality is essential for the complex operation to succeed, the objective of which is to guarantee the interests and values of the EU”.

      Intensive training has also been provided to Moroccan military, and the EU has equipped the state with search and rescue equipment. On top of the 140 million given by the EU to Morocco to “combat illegal immigration” Spain is the state’s third largest foreign investor, with the Morocco-Spain Economic Forum held to encourage partnership and investment projects. These collaborative measures share the objectives of ensuring the control, detention and return of people trying to make irregular border crossings.

      At the start of March this year, Grande-Marlaska credited cooperation between Spain, the EU and Morocco as a fundamental factor in the reduction in recorded entries to Spain, where 10,475 people had arrived by boat by July this year, compared to 14,426 in the same period of 2018.

      http://www.statewatch.org/news/2019/sep/es-mo-borders-tech.htm
      #reconnaissance_faciale #surveillance #caméras_de_vidéosurveillance #vidéosurveillance

      ping @reka @etraces @isskein

  • Les barbelés de clôtures, abandonnés par l’#Espagne mais maintenus par le #Maroc ?

    Alors que le gouvernement espagnol a annoncé vendredi qu’il abandonnera les barbelés de clôtures séparant #Ceuta et #Melilla du Maroc, ce dernier serait en train de mettre en place une nouvelle clôture autour des deux enclaves..

    Le gouvernement espagnol a approuvé vendredi un plan de modernisation visant à supprimer les barbelés de clôtures séparant Ceuta et Melilla du Maroc.

    Selon le média espagnol Info Libre, cette annonce intervient sept mois après que le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, s’était prononcé contre ce dispositif. La même source rappelle que ces barbelés de clôtures causent de graves blessures aux migrants qui tentent d’accéder illégalement aux deux enclaves espagnoles.

    Le gouvernement espagnol pour des moyens « plus surs mais moins sanglants »

    « Le retrait des clôtures et leur remplacement par de nouveaux équipements avec une technologie de pointe permettra de renforcer la sécurité sans blesser » ces migrants, poursuit-on de même source. Cette opération concernera d’abord les « zones frontalières les plus vulnérables ».

    Malgré l’insistance de l’opinion publique espagnole, Grande-Marlaska n’a pas précisé en quoi son ministère rendrait les clôtures plus sûres, mais il a cité un rapport technique du gouvernement de Rajoy. Ce document, cité par les médias espagnols, avait établi que les barbelés n’étaient plus dissuasifs pour les migrants, ce qui justifie la décision de les remplacer par des moyens « plus sûrs mais moins sanglants ».

    Toutes les actions seront développées en coordination avec le Royaume du Maroc, chargé de la surveillance de l’autre côté de la frontière, a précisé le ministre. Ce dernier a indiqué aussi que les travaux commenceront cette année par l’installation d’un nouveau système de surveillance en circuit fermé.

    « L’amélioration du réseau de fibre optique ou l’extension du circuit fermé de vidéosurveillance jusqu’au territoire marocain sont également prévues, tout comme l’adaptation des zones de transit de personnes à Tarajal (Ceuta) et d’autres passages frontaliers et l’installation de dispositifs de reconnaissance faciale », poursuit le média espagnol.

    Les « concertinas » maintenus par le Maroc ?

    Avec ces actions, le gouvernement montre sa volonté de prendre « très au sérieux la sécurité des migrants et le respect des droits de l’Homme », a déclaré Grande-Marlaska. Cette mesure intervient dans le cadre d’un large plan annoncé par le gouvernement pour l’amélioration des infrastructures de sécurité de l’Espagne, conclut Info Libre.

    De son côté, le média local Ceuta Actualidad a rapporté ce samedi que le Maroc serait en train d’installer, au niveau sa frontière avec Ceuta, une clôture avec des fils barbelés concertinas. « Pour le moment, les travaux ont commencé dans la région de Finca Berrocal. La clôture, plus petite que celle des Espagnols, sera située à quelques mètres de celle-ci », précise-t-il.

    « Avec cette mesure, un migrant qui veut accéder à Ceuta devra d’abord franchir la barrière marocaine puis un deuxième obstacle. De cette manière, il sera très difficile pour un migrant de pénétrer sur le territoire espagnol sans être intercepté à mi-parcours », détaille-t-il.

    Et Ceuta Actualidad de conclure : « Désormais, les #concertinas (#fils_barbelés, ndlr) seront placées du côté marocain » de la frontière.

    https://www.yabiladi.com/articles/details/73546/barbeles-clotures-abandonnes-l-espagne-mais.html

    #murs #barbelés #barrières_frontalières #frontières #asile #migrations #réfugiés #fil_barbelé

    • Le Maroc remplace les #lames_coupantes retirées des clôtures espagnoles de Ceuta et Melilla

      « Il sera désormais presque impossible pour les immigrants d’arriver à Ceuta ou à Melilla, et avec l’argent européen, nous protégeons nos frontières », a déclaré une source autorisée du ministère de l’Intérieur à El Mundo. Et pour cause, révèle la même source, le financement de 140 millions d’euros promis par l’Union européenne au Maroc et dont plus de 30 millions ont d’ores et déjà été injectés dans le budget du « cordon de sécurité », servira en priorité à ériger une double barrière hérissée de lames coupantes et d’un profond fossé en amont de la clôture espagnole.

      Le ministre espagnol de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, avait, quant à lui, annoncé que les lames, qui avaient suscité une vive polémique en Espagne après de graves blessures infligées à des migrants subsahariens, seraient retirées des « zones les plus vulnérables » des clôtures de Ceuta et Melilla.

      Comme l’avait expliqué Marlaska, le système de protection espagnol « sera renforcé, mais sans moyens sanglants », simplement parce-que ces « moyens sanglants » sont désormais pris en charge… par le Maroc. « Nous sommes prêts à jouer à nouveau le mauvais rôle tant que l’Espagne et l’Europe respectent ce qu’elles ont promis. Si elles ne veulent pas d’immigrants, elles doivent nous procurer plus d’argent, de moyens et de formation », a expliqué à El Mundo, le haut responsable du ministère de l’Intérieur. Résultat : les lames de la partie espagnole vont disparaître. Mais le Maroc les remplace…


      https://mobile.ledesk.ma/encontinu/le-maroc-remplace-les-lames-coupantes-retirees-des-clotures-espagnoles

    • Migration : l’Espagne augmentera la #hauteur des #clôtures frontalières à #Ceuta

      Le ministère espagnol de l’Intérieur a annoncé samedi 23 février sa volonté de renforcer sa frontière à Ceuta en élevant la hauteur de sa clôture. “La hauteur de la clôture sera augmentée de 30%, atteignant les dix mètres, là où se sont produites le plus d’entrées”, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, lors d’une visite à Ceuta, selon un communiqué de son ministère.

      Le ministère espagnol de l’Intérieur a également indiqué que les barbelés au sommet des clôtures seraient remplacés par un autre matériel non blessant qui “garantira la sécurité sans blesser tout le long de la clôture”.

      Toujours selon la même source, les travaux de renforcement de cette clôture à Ceuta commenceront dans un mois et demi environ.

      Le but, selon le ministre, est d’avoir “une frontière plus sûre, plus moderne et dotée de moyens technologiques plus sophistiqués”. Ce dernier a évoqué notamment des systèmes de reconnaissance faciale aux passages frontaliers et l’amélioration des systèmes de vidéo-surveillance.

      Selon les chiffres du ministère espagnol de l’Intérieur, 726 migrants sont entrés illégalement dans les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla entre le 1er janvier et le 13 février par voie terrestre.

      Pendant la même période, 4.889 autres migrants ont accosté sur les côtes espagnoles à bord d’embarcations. Les côtes espagnoles constituent la principale voie d’entrée par mer dans l’Union européenne (UE) des migrants en situation irrégulière.

      Rappelons que Ceuta et Melilla ont été plusieurs fois le théâtre de passages en force de migrants africains qui souhaitaient pénétrer dans les enclaves espagnoles, constituant la seule frontière terrestre entre l’Afrique et l’UE.

      https://www.huffpostmaghreb.com/entry/migration-lespagne-augmentera-la-hauteur-des-clotures-frontalieres-
      #toujours_plus_haut #tout_aussi_inutile

    • ’A bloody method of control’: the struggle to take down Europe’s razor wire walls

      You could barely see that it was a finger. “The wound was large, with several deep cuts into the flesh. He had tried to climb the fence and was up there when he was caught by police in the middle of the night,” says András Léderer, advocacy officer for the Hungarian Helsinki Committee, a Budapest-based NGO.

      “He lost his balance. The wound was so horrific because as he fell, he tried to grab the razor wire – and also, he said, touched the second layer of the fence, which is electrified.”

      The unnamed Pakistani refugee in his 30s had attempted to cross the fence near Sombor, Serbia, to get into Hungary in 2016. The coils of metal that lacerated his finger are ubiquitous at the perimeters of “Fortress Europe” and can be found on border fences in Slovenia, Hungary, Macedonia, Bulgaria, Spain and France.

      Razor wire is cut from galvanised steel, and unlike barbed wire, which was devised to tangle and impede movement, it is designed to maim.

      It is one of the most visible symbols of the fortification of the EU’s borders. Thousands of migrants have already paid with their lives while attempting to get around those borders: by crawling through pipes, suffocating in the back of lorries, or drowning in the Mediterranean.

      In September 2005, a Senegalese man reportedly bled to death from wounds inflicted by deadly razor wire coils topping the fence in Ceuta, one of Spain’s two exclaves on the north African coast.

      Migrants from African countries regularly attempt to scale the six-metre high barriers separating these port cities from Morocco. They do so at great personal risk; after mass attempts to cross, Spanish medical staff regularly attend to deep cuts from razor wire, from which migrants’ bloodstained clothes are sometimes left dangling.

      Like the rest of Spain, Ceuta and Melilla have been under lockdown during the coronavirus pandemic. But tighter Moroccan border controls linked to the pandemic have not stopped migrants and refugees from coming: 1,140 people succeeded in crossing the frontier into Ceuta and Melilla in the first three months of this year.

      The Spanish authorities started removing the razor wire from these fences last December as part of a review of border security. The wire was first installed in 2005, removed two years later and restored by the centre-right government of Mariano Rajoy in 2013. The socialist government led by Pedro Sanchez had a chance to make good on repeated promises of a more humanitarian migration policy after June 2018. And throughout 2018 and 2019, Spanish officials stated their determination to remove the razor wire and, in the words of the interior minister, Fernando Grande-Marlaska, move beyond “bloody methods” of border control.

      Spain’s humanitarian policy has become largely redundant, though, given that Moroccan authorities have started installing razor wire along their own border fence with Ceuta. And Grande-Marlaska announced recently that fences around the two Spanish exclaves would be raised by 30 metres to deter incomers.

      These apparent double standards are part of a pattern, says Karl Kopp, of the German NGO Pro Asyl.

      “The European style is to outsource this more vicious, older style of border control with its razor wire and multiple fences to third countries. At home, it’s about drones, surveillance and technical cooperation to identify migrants approaching the EU border before they even reach it. Meanwhile, violent border policing is kept farther afield: out of sight, out of mind. So the Moroccans build an ‘ugly’ fence which can be criticised, while the Spanish create a more ‘humanitarian’ alternative,” says Kopp.

      Public pressure elsewhere has led some governments to reconsider the use of razor wire as experts brand it both inhumane and ineffective. Others even wonder about the legality of its use.

      “On the one hand, legislation about borders states that crossing anywhere other than an official checkpoint is illegal. On the other hand, the notion of crossing a border illegally is usually voided under international refugee law if making an asylum claim,” says Bernd Kasparek, a researcher at Border Monitoring, a German NGO that tracks pushbacks of refugees. “So there is a legal tension at the EU’s borders. Sometimes it is very necessary to cross the border irregularly in order to lodge an asylum claim. Fortified borders like these interfere with that legal right, particularly in places where it’s an open secret that 99% of asylum claims lodged with border guards are rejected,” Kasparek adds.

      Recent successful attempts at removing razor wire from Europe’s borders have not been motivated by legal or humanitarian concerns but by ecological ones. In Slovenia, environmentalists’ fears of the impact of razor wire on wildlife led in 2016 to the removal of the coils from sections of its border with Croatia. In light of legal constraints in several European states on the deployment of razor wire in rural areas, some manufacturers even indicate the wildlife-friendly credentials of their razor wire.

      One difficulty in mounting a challenge is the near impossibility of establishing the true scale of the injuries inflicted specifically by razor wire at borders. According to Kate Dearden, project officer at the I nternational Organization for Migration’s Missing Migrants Project, many governments only keep records on deaths at borders, rather than deaths that occur later as a result of injuries during attempts to cross them.

      Moreover, it can be hard to discover exactly which portions of Europe’s fences are topped by razor wire and who supplied it; in recent years many governments have classified detailed information about fences as state security issues. Nevertheless, some manufacturers have refused to sell to border fences on humanitarian grounds. In 2015, Talat Deger, director of the Berlin-based company Mutanox, refused to do a deal with the Hungarian government. In an interview last year, Deger’s successor, Efekan Dikici, said that he and his staff have kept to the principle.

      “We want to sell razor wire, of course, but only for the right purposes: to secure property, factories, jails, or for example on the railings of ships to prevent piracy. For those purposes it’s justified; but when it’s being used against humans who need help, that’s awkward,” said Dikici. “Most of our workers have a foreign background themselves, so I think we all feel this a bit more.”
      That stance is costly. Dikici stressed that it can be genuinely difficult for razor wire suppliers to establish the end use of their product, given that they often deal with middlemen and procurement agencies. “If you’re selling to a government, razor wire could be used for a prison or a border. But if a request for a really huge amount comes in, we do wonder whether it’s for a border fence. Even large private properties need a few hundred metres, not kilometres. I ask myself, if we got a request from the US for the Mexico border, would we give them a quote?”

      Other companies do not appear to have these scruples – after all, there is a brisk trade to be done in razor wire, which is not to be confused with barbed wire. Razor wire is cut from single sheets of galvanised steel, and most commonly sold in folding coils known in the industry as concertinas. The sharp razors come in various sizes; most seen by the Guardian at four European border fences are of the BTO-22, BTO-20 and BTO-10 varieties – straight razor edges affixed to a metal coil.

      There are even more formidable options: CBT-60 includes “harpoon” style hooked razor heads that can embed themselves in the flesh of those trying to cross them. Some razor wire manufacturers seemingly flaunt the effects in their brochures; for example, Chinese manufacturer Hebei Jinshi advertises its CBT-65 long blade as a “vicious product” whose “extra long blade razors produce[s] [a] frightening effect.”

      However, some European producers have discovered that selling razor wire to border fences comes at the cost of bad press, even in times of rising xenophobic sentiment.

      When Hungary’s prime minister, Viktor Orbán, decreed in 2015 that a fence be raised on Hungary’s border with Serbia, the Malaga-based manufacturer European Security Fencing (ESF) provided the razor wire. ESF, a subdivision of Mora Salazar, has delivered coils for fences in Austria, Slovenia, Bulgaria and France, and proudly presents itself as one of Europe’s leading razor wire suppliers.

      Nevertheless, after the installation of its razor wire on the Hungarian border, ESF spokesmen told the Spanish press that they had been unaware of the product’s final use by the Hungarian clients. In September 2015, the company deleted its official Twitter account following the backlash provoked by a tweet boasting of ESF’s leading role in the European razor wire industry.

      Today, ESF appears to have competition in the form of Polish company GC Metal, which now refers to itself as Europe’s leading seller of razor wire. The company’s website indicates that it may have been involved in supplying concertina wire for the Bulgarian-Turkish border fence. Neither ESF nor GC Metal responded to requests for comment about the end use of their products or their humanitarian implications.

      Europe’s fortified borders are here to stay, even if borders in decades to come may be unrecognisable in comparison to today’s crude fences. Razor wire, much like fortified borders in general, is both inhumane and ineffective, concludes Kopp, though its removal may not necessarily be a bellwether for a more humanitarian migration policy. Seismic sensors, night vision cameras and surveillance drones have all come to play a greater role in border policing – with hi-tech solutions like these, will razor wire become redundant?

      “There’s a high symbolic value to razor wire, like fences,” says Mark Akkerman, a researcher at the Transnational Institute and author of a recent report on Europe’s border-industrial complex. “Simply put, they allow governments to show the public, the press, their voters, and the world that they’re ‘doing something’ about migration.”

      https://www.theguardian.com/global-development/2020/may/13/a-bloody-method-of-control-the-struggle-to-take-down-europes-razor-wire

  • Canarias recibió 1.307 inmigrantes en patera en #2018, el triple que en #2017

    Canarias recibió el año pasado 1.307 inmigrantes llegados en patera o cayuco, el triple que en 2017, cuando se registraron 425 (+207,5 %), según el balance del ejercicio que acaba de publicar el Ministerio del Interior.

    A lo largo de 2018, llegaron a las islas o fueron socorridas en su ámbito de influencia 69 embarcaciones con inmigrantes irregulares, 49 más que el año anterior (+245,0 %).

    El pasado año llegaron 57.498 inmigrantes irregulares a las costas españolas por medio de embarcaciones, lo que supone un incremento del 161,7 por ciento respecto a los 21.971 que entraron por esa vía en 2017 (2,6 veces más).

    Según el último balance provisional del Ministerio del Interior, el total de inmigrantes que entraron a España entre el 1 de enero y el 31 de diciembre pasados, tanto en patera como por las fronteras de Ceuta y Melilla, asciende a 64.298, un 131 % más que en 2017.

    La mayoría de las entradas por mar han sido a través de las costas peninsulares y Baleares, en concreto, 54.703 en 1.955 pateras, frente a los 20.611 de 2017 (un 165,4 % más).

    Por la ciudad autónoma de Melilla han entrado 918 personas en 34 pateras y por Ceuta 570 en 51 barcazas (678 y 257 inmigrantes en 2017, respectivamente).

    Interior ha registrado, además, otras 6.800 llegadas por vía terrestre: 4.821 a Melilla (un 24 % más que en 2017) y 1.979 a Ceuta (1,1 % menos que un año antes).

    https://www.lavanguardia.com/vida/20190104/453927916574/canarias-recibio-1307-inmigrantes-en-patera-en-2018-el-triple-que-en-2

    #Canaries #îles_Canaries #parcours_migratoires #routes_migratoires #asile #migrations #réfugiés #chiffres #statistiques #Espagne
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  • El Gobierno desempolva un convenio de hace 26 años para expulsar a 116 migrantes

    La operación, de carácter extraordinario, se basa en un pacto que España y Marruecos firmaron en 1992.

    La Policía Nacional ha devuelto a Marruecos a los 116 subsaharianos que este miércoles saltaron la valla de Ceuta. Únicamente permanecen en España los dos menores que participaron en la entrada. El Gobierno ha recurrido para repatriarlos a un convenido firmado en 1992 por los entonces ministros del Interior de ambos países, José Luis Corcuera y Driss Basri, que contemplaba la expulsión en menos de 10 días de los ciudadanos de terceros países que entraran ilegalmente en España desde Marruecos. En sus 26 años, el acuerdo solo se había aplicado de manera excepcional.

    Firmado tras un repunte de la llegada de pateras a las costas andaluzas a comienzo de los noventa, en sus primeros 13 años en vigor el convenio sirvió para expulsar únicamente a 114 migrantes. En 2006, el Gobierno de José Luis Rodríguez Zapatero intentó reactivarlo, pero sin éxito. Tampoco lo logró Jorge Fernández Díaz, ministro del Interior del PP, quien en 2014 llegó a plantear a Marruecos su aplicación solo a aquellos que lograran saltar la valla de “forma violenta”. Desde entonces, se había utilizado en contadas ocasiones y, siempre, con un número de extranjeros muy inferior al de este jueves.

    Fuentes policiales destacan que las reticencias de Rabat a admitir ciudadanos de terceros países por esta vía había convertido su aplicación en excepcional. En los últimos años se aplicaba únicamente a los no marroquíes que arribaban en patera a las Islas Chafarinas, un archipiélago de soberanía española situado a 27 millas náuticas de Melilla y a 1,9 de la costa de Marruecos, en las que solo hay un destacamento militar español.

    La decisión de reactivar el acuerdo de Corcuera más allá de estas pateras la tomó el Ejecutivo de Pedro Sánchez el pasado 26 de julio, después de que más de 600 inmigrantes lograran saltar la valla de Ceuta. Los ministros del Interior y Asuntos Exteriores, Fernando Grande-Marlaska y Josep Borrell, respectivamente, solicitaron entonces a Marruecos que permitiera la entrega de, al menos, una parte de este numeroso grupo, pero Rabat rechazó la propuesta, según detallan fuentes de Interior conocedoras de aquellos contactos. Marruecos sí se comprometió a aplicar el convenio si se volvía a producir un salto masivo, como el que finalmente se produjo este miércoles otra vez en Ceuta. España inició entonces los contactos, pero las autoridades del país magrebí volvieron a mostrar reticencias. Grande-Marlaska entró en contacto esa misma tarde con sus interlocutores magrebíes para desatascar la situación.

    Los responsables de la Comisaría General de Extranjería y Fronteras desplegaron entonces un amplio dispositivo para cumplimentar los trámites en pocas horas. Los migrantes fueron trasladados de 10 en 10 desde el Centro de Estancia Temporal de Inmigrantes (CETI) de Ceuta a dependencias policiales para tramitar el expediente de devolución de forma exprés. Tras tomarles la filiación, se les entregaba la orden de expulsión en presencia de un abogado. De allí, pasaban a los calabozos para su posterior traslado en vehículos a la frontera. Interior ha marcado distancias con las polémicas devoluciones en caliente, en las que no se produce ninguna de estas circunstancias y que ya han costado una condena del Tribunal Europeo de Derechos Humanos de Estrasburgo. Portavoces del ministerio recalcaban que “ninguno” de los 116 inmigrantes ahora devueltos a Marruecos solicitó asilo durante este trámite.
    España pagará los gastos

    Fuentes del equipo de Grande-Marlaska reconocen que el procedimiento habitual es que la devolución se haga directamente con el país de origen. Sin embargo, el acuerdo ahora esgrimido contempla la posibilidad de que regresen al país desde el que han cruzado la frontera, pese a que no sean oriundos de allí. “La clave es que han entrado por Marruecos”, recalcan estas fuentes. El convenio recoge que España se hace cargo tanto de los gastos de transporte a Marruecos como, posteriormente, desde allí a sus países de origen.

    Interior recalca que la entrada de los ahora devueltos se produjo de forma “ilegal y violenta” tras arrojar cal viva, ácido y excrementos a los guardias civiles que custodiaban la frontera. Siete agentes y cinco migrantes resultados heridos. “Legalmente, su situación es muy distinta de los que se les rescata en el mar”, recuerdan desde el ministerio. En el caso del auxilio de las pateras, la normativa internacional establece la obligación de los servicios de salvamento de llevar a los rescatados al puerto seguro más cercano.

    https://elpais.com/politica/2018/08/23/actualidad/1535027599_502354.html

    Je mets ici un autre message pour alimenter le tag #walls_don't_work #efficacité #murs #barrières_frontalières #frontières #les_murs_ne_marchent_pas

    ... même si, une fois passé le mur, les autorités marocaines ont procédé au #renvois #expulsions #push-backs des exilé·es qui avaient réussi à passer le barrage...

    #Ceuta #Melilla #Espagne #Maroc

  • Devolución expres : El Gobierno usa por primera vez un acuerdo con Marruecos de 1992 para devolver en 24 horas a los migrantes que saltaron la valla | Público
    https://www.publico.es/espana/migraciones-espana-devuelve-24-horas-marruecos-116-migrantes-saltaron-valla-

    España ha devuelto a Marruecos los 116 inmigrantes que ayer saltaron la valla de Ceuta, expulsados este jueves por la Policía utilizando el acuerdo bilateral con Marruecos de 1992. Dicho acuerdo solía usarse para la devolución de marroquíes pero que con subsaharianos solo se activaba de manera puntual, siendo ésta la primera vez que se utiliza para expulsar a los que saltan las vallas.

    Fuentes del Ministerio del Interior han destacado que este acuerdo «se ha reactivado» ahora, aunque no han concretado si se seguirá aplicando para todas las personas que logren saltar las vallas fronterizas de Ceuta y Melilla con Marruecos.

    (...) A las 117 personas que saltaron la valla de Ceuta se les abrió un procedimiento de devolución, han declarado estas fuentes. Normalmente, los migrantes asisten tras ello al Centro de Estancia Temporal de Inmigrantes (CETI) habilitado en Ceuta mientras judicialmente se resuelve su situación. Sin embargo, en esta ocasión los migrantes han dormido en las distintas comisarías de Ceuta y han sido devueltos durante la mañana de este jueves a Marruecos.

    Un accord de 1992, déjà utilisé mais seulement pour des ressortissants marocains, permet aux autorités espagnoles de livrer au Maroc les 116 migrants qui avaient réussi à pénétrer en force dans l’enclave « espagnole » de Ceuta. L’info n’a pas l’air de passer au-delà des Pyrénées.

    #migrants #réfugiés #ceuta

  • Las mafias cobran 18 euros a cada migrante por saltar la valla | España | EL PAÍS
    https://elpais.com/politica/2018/08/22/actualidad/1534954315_874489.html

    Las mafias que organizan los saltos a las vallas de Ceuta y Melilla exigen a cada uno de los migrantes que quiere intentarlo el pago de 200 dirhams marroquíes (algo más de 18 euros). Así lo recoge un informe confidencial de la Guardia Civil al que ha tenido acceso EL PAÍS y en el que se detalla la forma de actuar de estos grupos asentados cerca de la frontera.

    El documento policial —que el Gobierno ha utilizado en el recurso que presentó recientemente ante el Tribunal Europeo de Derechos Humanos de Estrasburgo para defender dos devoluciones en caliente del PP por las que fue condenada España— destaca que este pago permite al migrante formar parte de un grupo bajo la protección de estas mafias. Las mismas están dirigidas por un presidente, quien cuenta con la ayuda de un primer ministro y varios oficiales, según la nomenclatura que utiliza el propio grupo. Son estos cabecillas los que recaudan el dinero y resuelven los conflictos entre migrantes con la imposición de castigos. Entre ellos, el de no participar en el siguiente intento de entrar en España.

    El grupo mafioso decide el día, la hora y el punto exacto de la frontera para intentar un asalto en el que solo pueden participar los que han pagado. Antes envían exploradores “para inspeccionar el área y recopilar información actualizada sobre las medidas de seguridad implementadas por las fuerzas de seguridad marroquíes y españolas”, explica el informe.

    Source discutable bien entendu...

    #migrants #réfugiés

  • CEAR ha publicado el informe: “Los muros invisibles tras la Frontera Sur” sobre la situación de las personas solicitantes de asilo, refugiadas y migrantes en España y Marruecos.

    Esta investigación se ha realizado a través de observación directa en terreno y entrevistas a instituciones, organizaciones y personas que trabajan día a día en defensa de los derechos de las personas migrantes y refugiadas.
    En el año 2017, España fue el tercer país, con un mayor número de personas migrantes y refugiadas llegadas por mar, con un total de 22.103 personas. La inestabilidad en los países de origen y tránsito, el desmantelamiento de campamentos donde se asentaban y actuaciones políticas marroquíes como la limitación de efectivos en los puestos de control fronterizos han motivado el incremento del número de migrantes y refugiados que han intentado cruzar el Mediterráneo. El acuerdo entre la Unión Europea y Turquía, y el realizado entre Italia y Libia han provocado un significativo descenso de las llegadas a Grecia e Italia respectivamente, situación que según la Organización Internacional de las Migraciones (OIM) atribuye a que el cierre de una ruta migratoria provoca la intensificación del tráfico de otra.

    Observando la situación española, ha habido un incremento notable de las llegadas a través del mar por el estrecho de Gibraltar y el mar de Alboran debido al refuerzo efectuado en las fronteras terrestres de Ceuta y Melilla. De esta manera, aumentó la peligrosidad de la ruta provocando un mayor número de fallecidos en el mar Mediterráneo con respecto al año anterior. En este contexto, el estudio examina la labor de salvamento marítimo y la asistencia humanitaria que realiza Cruz Roja.

    El informe también analiza el Programa de Atención Humanitaria a Inmigrantes, la asistencia letrada realizada en Almería, Málaga, Motril y Tarifa, las condiciones del CIE Algeciras y su anexo en Tarifa, la situación de los menores, víctimas de trata, devoluciones en caliente y la realidad que se vive en Canarias, Ceuta, Melilla y Marruecos, donde se ha comprobado las graves dificultades para pedir asilo.

    Para finalizar, el documento plantea una serie de propuestas como la adopción de un Plan de Acción a nivel Estatal que de una mejor respuesta y unificada para las personas migrantes y refugiadas.

    http://www.comillas.edu/es/catedra-de-refugiados/actualidad/15335-cear-ha-publicado-el-informe-los-muros-invisibles-tras-la-frontera-s
    #asile #migrations #réfugiés #rapport #Ceuta #Melilla #frontières #Maroc #Espagne
    cc @reka

  • Berlin Fence Memorial – Benjamin Busch

    http://benbusch.info/portfolio/berlin-fence-memorial

    The Berlin Fence Memorial is a provocation for critical thought, discussion, and action in public space. Its flyers have circulated since October 2015, near the 26th anniversary of the fall of the Berlin Wall. It takes inspiration from the historic Berlin Wall Memorial’s official flyer, replacing images of East German refugees and the Berlin Wall with images of today’s refugees and the EU border fence in Melilla, Spain. Its text elaborates on the difficult situation refugees face entering the EU, maintaining the category “refugee” despite ethnic and cultural differences. It calls for a variety of interventions in public space, including talks with witnesses who have experienced “contemporary border-related events.” The Berlin Fence Memorial remains an open-ended gesture with potential for performative activation.

    #berlin #murs #frontières

  • El puerto de Melilla se blindará para evitar la entrada de polizones magrebíes rumbo a Europa

    La inmigración irregular más conocida en Melilla es la de la valla, aunque desde hace unos años existe otra que provoca muchos más quebraderos de cabeza en la ciudad autónoma. Es la inmigración cuyo objetivo no es entrar a Melilla, sino salir de ella hacia Europa utilizando los barcos que diariamente la conectan con la costa andaluza. El puerto melillense ya ha anunciado una inversión de cerca de 650.000 euros para evitar que su zona de seguridad sea diariamente invadida por decenas de magrebíes, muchos de ellos menores de edad, que buscan la manera de acceder a los barcos aunque sea a costa de poner en riesgo su integridad física.

    http://www.elmundo.es/sociedad/2017/06/20/594939ab268e3eac298b466a.html
    #murs #barrières_frontalières #asile #migrations #port #réfugiés #frontières #Melilla #Espagne #Maroc

    • Según datos oficiales, en 2012 entraron en el puerto hasta el muelle comercial un total de 3.078 inmigrantes magrebíes que pretendían llegar a Europa como polizones. El año pasado, esa cantidad fue más del doble, alcanzado las 7.200 personas, de las cuales 169 consiguieron llegar hasta el interior de los barcos. Este año se da por hecho que se superará esa elevada cifra, pues el último dato facilitado cifraba en 4.489 los accesos irregulares que se habían contabilizado desde principios de año hasta el 10 de mayo, de los cuales alrededor de un 40% estaban protagonizados por menores de edad.
      […]
      Esta actuación se basa en la instalación de una nueva valla, el doble de alta que la actual, para evitar que inmigrantes magrebíes se cuelen en la zona de seguridad. De esta manera, se sustituirán los 593 metros de la valla que protege el paseo del espaldón por una nueva alambrada antiintrusión que tendrá cuatro metros de altura, y que supondrá una inversión de casi 494.000 euros. Esta obra se complementará con otras tres medidas de seguridad, que costarán unos 150.000 euros, y que son la instalación de 33 metros de vallas antiintrusión más modernas para el perímetro de la cuesta que sube hacia el recinto amurallado contiguo al puerto, la nueva luminaria del espaldón, donde se refugian los inmigrantes, y una cámara térmica para controlar los movimientos de quienes estén en la zona de las escolleras.

  • Les Sauteurs

    http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/47485_1

    À la frontière marocaine se trouve la ville de Melilla, une enclave espagnole entre l’Afrique et l’Europe. Sur la montagne qui la surplombe, plus de mille migrants africains contemplent la barrière qui les sépare de « l’Eldorado ». Abou – le filmeur et le filmé – est l’un d’eux. Armé de sa petite caméra DV, il témoigne de sa vie quotidienne et de ses nombreuses tentatives pour sauter la fameuse barrière.

    #migrations #asile #réfugiés #mellila #maroc #espagne

  • THE LAND BETWEEN - Home Page (French)
    http://thelandbetweenfilm.com/home-page-french


    https://www.youtube.com/watch?v=Vf4N_lHOWEA

    Le documentaire THE LAND BETWEEN se déroule dans les montagnes du nord du Maroc et permet au public d’avoir un aperçu sur la vie misérable et clandestine des migrants subsahariens. La plupart d’entre eux rêvent d’aller en Europe en traversant une barrière hautement militarisée près de Melilla, une enclave au nord du continent Africain.

    Le film révèle la vie quotidienne des migrants coincés à Melilla ainsi que le mal traitement et les actes de violences qu’ils subissent au quotidien. Le film explore plusieurs questions notamment les raisons qui ont poussé ces personnes à prendre le risque de tout laisser et de quitter leurs pays et leurs familles à la recherche de meilleurs conditions de vie.

  • #Ceuta y #Melilla, centros de selección de personas migrantes a cielo abierto a las puertas de África

    ¿Ceuta y Melilla, nuevas tierras de asilo? Estos dos enclaves se parecen más bien a tierras donde la violación de los derechos de las personas llamadas «migrantes» está legalizada, facilitando así el mantenimiento de la arbitrariedad y la impunidad en la gestión de la frontera terrestre euro-africana.

    Ceuta y Melilla son un ejemplo, entre otros, de zonas de selección de las personas candidatas a la inmigración hacia Europa, entre «malos migrantes» y «buenos refugiados». El ejemplo del bloqueo de las personas sirias exiliadas en #Nador nos muestra que incluso entre quienes se consideran «buenos refugiados», la selección sigue siendo dura y opaca.

    Para las organizaciones que han firmado este informe: las vidas no se pueden seleccionar. La impunidad en torno a las políticas migratorias de gestión de las fronteras de Ceuta y Melilla debe cesar.


    http://mugak.eu/news/ceuta-y-melilla-centros-de-seleccion-de-personas-migrantes-a-cielo-abierto-a-l
    #migrations #asile #réfugiés #droits_humains #tri #catégorisation #bons_réfugiés #mauvais_migrants #sélection

  • The Big Business of Europe’s Migration Crisis.

    The EU’s migration policy has produced a lucrative “illegality industry” that is prolonging the emergency it was put in place to end.

    After three months in Rabat, the capital of Morocco, Famara (who requested his last name not be used) left for the Gourougou mountain forest of northern Morocco. Wearing nothing more than shorts, a blue jean jacket, and flip-flops, the diminutive Senegalese man joined a makeshift camp comprised of dozens of West Africans hiding in the mountains between the town of Nador and Spain’s North African city of Melilla. Stays at the camp were temporary. Those with opportunities to move on did so while new migrants making their way north arrived daily. Many in the camp were injured, and all were hungry. None were prepared for life in the woods.

    http://www.sapiens.org/culture/migration-crisis-illegality-industry
    #business #asile #migrations #réfugiés #frontières #fermeture_des_frontières #passeurs

  • Idylle homosexuelle dans un centre de #réfugiés de #Melilla

    Ils s’aiment et entendent se marier. Tant pis si ces deux hommes, demandeurs d’asile, l’un algérien, l’autre marocain, vivent dans un centre de détention pour réfugiés dans la ville de Melilla. Comme cette enclave est sous souveraineté espagnole, le mariage homosexuel est légal.

    http://www.rfi.fr/afrique/20160516-idylle-homosexuelle-centre-refugies-melilla
    #homosexualité #LGBT #asile #migrations #mariage

  • El CETI de Melilla acoge menos de 500 refugiados y migrantes por primera vez en años

    La ocupación del Centro de Estancia Temporal de Inmigrantes (CETI) de Melilla es acorde a su capacidad por primera vez en mucho tiempo. De 1.800 internos en octubre de 2015 se ha pasado a un número inferior a 500, la mayoría solicitantes de asilo. La reducción es el resultado de una mayor agilidad en la salida hacia la península de los refugiados sirios y un descenso en las llegadas a la ciudad autónoma. Sin embargo, el ministro de Interior en funciones advirtió sobre un posible cambio de ruta hacia España tras el cierre de Grecia derivado del acuerdo entre la UE y Turquía.


    http://www.eldiario.es/desalambre/CETI-Melilla-acoge-refugiados-primera_0_492401422.html
    #route_migratoire #asile #migrations #réfugiés #Méditerranée_occidentale #Maroc #Espagne

    Commentaire reçu via la mailing-list Migreurop:

    Un article qui confirme la tendance à la baisse des arrivées à la frontière de #Melilla (très peu de Syriens côté marocain) et dans le centre d’accueil de Melilla (#CETI), qui accueille en ce moment moins de 500 personnes, ce dont se félicite évidemment la Délégation du Gouvernement. Il faut encore attendre pour voir comment va évoluer cette route, notamment avec l’accord UE-Turquie qui pourrait engendrer un déplacement des routes migratoires vers l’Ouest.

  • Berlinale 2016, les docs ont la cote ! La thématique des réfugié-e-s est extrêmement présente.

    En compétition :
    http://www.lemonde.fr/cinema/article/2016/02/20/berlinale-l-ours-d-or-decerne-au-documentaire-sur-les-refugies-fuocoammare_4

    En décernant, samedi 20 février, l’Ours d’or de la 66e Berlinale à Fuocoammare (« la mer en flammes »), documentaire de l’Italien Gianfranco Rosi, le jury présidé par Meryl Streep a exécuté le dessein des programmateurs du festival. Tourné sur l’île de Lampedusa, entre la Sicile et l’Afrique, le film confronte le malheur des migrants et des réfugiés qui traversent la Méditerranée au péril de leur vie et la vie quotidienne d’un petit garçon de l’île.

    Sélection Panorama :

    http://www.berlinale.de/en/das_festival/preise_und_juries/preise_unabh_ngigen_jurys/index.html

    – Prix du public :
    « Junction 48 » documentaire de Udi Aloni, sur la scène hip-hop palestienne à Lod
    http://www.berlinale.de/en/programm/berlinale_programm/datenblatt.php?film_id=201610790#tab=video25

    Udi Aloni est un habitué de la berlinale, il a déjà gagné plusieurs prix, notamment pour le film Art/Violence. Il était proche de Juliano Mer-Khamis (The Freedom Theatre).

    – meilleur documentaire
    Who’s Gonna Love Me Now ? de Barak Heymann and Tomer Heymann
    Un film qui parle de Saar, qui a du quitter sa famille et Israël pour s’installer à Londres et y vivre plus librement en tant que gay.
    http://www.berlinale.de/en/programm/berlinale_programm/datenblatt.php?film_id=201609577#tab=video25

    On pourra aussi noter, dans la palette des différents prix, un prix décerné au film « Les sauteurs » de la sélection FORUM. Film à Melilla (l’enclave espagnole au maroc), sur cette frontière ultra-sécurité, et les prétendants à la traverser.
    http://www.berlinale.de/en/programm/berlinale_programm/datenblatt.php?film_id=201609714#tab=video25

    et également un prix pour le Film « The Revolution Won’t Be Televised », sur la scène hip-hop et activiste au Sénégal
    http://www.berlinale.de/en/programm/berlinale_programm/datenblatt.php?film_id=201610414#tab=video25

    #berlinale #documentaires #films

  • LES MESSAGERS | Prima Luce
    http://www.primaluce.fr/portfolio/les-messagers

    Du Sahara à Melilla, des témoins racontent la façon dont ils ont frôlé la mort, qui a emporté leurs compagnons de route, migrants littéralement et symboliquement engloutis dans la frontière. « Ils sont où tous les gens partis et jamais arrivés ? »
    Les Messagers se poste sur la frêle limite qui sépare les migrants vivants des migrants morts. Cette focalisation sur les morts sans sépulture interroge la part fantôme de l’Europe.
    Charlotte Garson pour le Catalogue du Cinéma du Réel 2014

    #migrations #asile #documentaire cc @cdb_77

  • Abd El-Krim (1882-1963), le stratège de la guerre du Rif (avril 2006)
    http://www.monde-diplomatique.fr/mav/86/A/52519

    Mohammed Ben Abdelkrim Al-Khattabi, dit Abd El-Krim, est né vers 1882 à Ajdir, près d’Al-Hoceima, dans le Rif marocain, au sein du clan Al-Khattab, de la puissante tribu berbère des Beni Ouriaguel. Son père, cadi (juge musulman), donna à son fils une formation coranique, et l’encouragea à faire des études secondaires à Tétouan et à Melilla, où il passa son baccalauréat. Il suivit ensuite une carrière de droit islamique à l’université Qarawiyin de Fès, et de droit espagnol à Salamanque.

    A l’âge de 24 ans, Abd El-Krim est recruté par le quotidien de Melilla, El Telegrama del Rif, pour diriger sa section en langue arabe. Un an plus tard, en 1907, l’administration coloniale l’engage comme professeur d’arabe et traducteur pour son bureau des affaires indigènes. Les autorités françaises, en 1915, le dénoncent auprès des forces espagnoles comme « informateur » du Reich allemand. Une enquête révèle alors ses sentiments anticolonialistes. Incarcéré dans la forteresse de Rostrogordo, il se brise une jambe en tentant de s’en évader, ce qui le fera boiter pour toujours. [#st]

    http://zinc.mondediplo.net/messages/10020 via Le Monde diplomatique

  • (FR) "Les réfugiés syriens qui attendent à la frontière de Beni Ansar payent entre 400 et 3000euros à des mafias policières marocaines pour être l’un des 30 «chanceux» qui entrent chaque jour à #Melilla. L’association Prodein vient de le dénoncer à travers une #vidéo qui reprend des témoignages des deux cotés de la #frontière."
    Voir la vidéo en ligne : De politicas de asilo y mafias en la frontera de Melilla réalisée par José Palazon.

    (ES) Los refugiados sirios que esperan en la frontera de Beni Enzar pagan a las mafias policiales marroquíes entre 400 y 3.000 euros para ser uno de los 30 «afortunados» que cada día entran en Melilla. Lo acaba de denunciar la ONG Prodein a través de un vídeo elaborado por el activista José Palazón tomando testimonios a ambos lados de la frontera.

    http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-09-27/asi-pagan-los-refugiados-sirios-a-las-mafias-policiales-marroquies-p

    Así pagan los refugiados sirios a las mafias policiales marroquíes para entrar en España

    Los refugiados sirios que esperan en la frontera de Beni Enzar pagan a las mafias policiales marroquíes entre 400 y 3.000 euros para ser uno de los 30 «afortunados» que cada día entran en Melilla. Lo acaba de denunciar la ONG Prodein a través de un vídeo elaborado por el activista José Palazón tomando testimonios a ambos lados de la frontera.

    En la parte marroquí, 1.500 refugiados esperan la oportunidad para llegar a Europa. «El acceso está limitado a una cuota de 20 a 30 refugiados diarios. El control lo ejercen las mafias parapoliciales marroquíes. A los subsaharianos no se les permite el acceso a la oficina de asilo. ¡Solo a los blancos!», subraya Prodein. Como ya publicó El Confidencial el 15 de septiembre, cientos de familias se han quedado ya sin dinero para pagar y están divididas entre Beni Enzar y Melilla.

    Los refugiados sirios que esperan en la frontera de Beni Enzar pagan a las mafias policiales marroquíes entre 400 y 3.000 euros para ser uno de los 30 «afortunados» que cada día entran en Melilla. Lo acaba de denunciar la ONG Prodein a través de un vídeo elaborado por el activista José Palazón tomando testimonios a ambos lados de la frontera.

    En la parte marroquí, 1.500 refugiados esperan la oportunidad para llegar a Europa. «El acceso está limitado a una cuota de 20 a 30 refugiados diarios. El control lo ejercen las mafias parapoliciales marroquíes. A los subsaharianos no se les permite el acceso a la oficina de asilo. ¡Solo a los blancos!», subraya Prodein. Como ya publicó El Confidencial el 15 de septiembre, cientos de familias se han quedado ya sin dinero para pagar y están divididas entre Beni Enzar y Melilla.

    La mujer se indigna en el vídeo al comprobar cómo «le están dando bombo a Hungría y no a esto». «A mí me han registrado y me han tocado». En las imágenes se recoge otro testimonio de una señora que acababa de recoger en la frontera a su nieta. «La madre entrará 30 minutos después. Han pagado a los marroquíes 400 euros cada una», denuncia Prodein.

    Palazón, que firma el vídeo, tiene 60 años y lleva desde 1998 volcado en los temas de inmigración a través de la ONG Prodein. “Se habla mucho de la frontera oriental, pero aquí pasa lo mismo o peor”, señaló a este diario, tras pasar un par de horas en el CETI, el Centro de Estancia Temporal de Inmigrantes de Melilla, donde se hacinan los refugiados sirios. Argumenta Palazón que esta zona sufre una “crisis humanitaria callada casi tan importante como la griega”.

    Familias desunidas y mafias que consiguen grandes beneficios con los refugiados. Es el cóctel que se ve a este lado de la valla. “Marruecos no tiene ningún interés en guardarse para ellos los sirios. Si los retienen es porque han llegado a un acuerdo con el Gobierno español”, denuncia Palazón. Y añade: “Debe haber una gestión legal de la frontera. Tenemos una obligación de acoger a los refugiados”.

    https://vimeo.com/140539110


    http://www.elconfidencial.com/mundo/2015-09-27/asi-pagan-los-refugiados-sirios-a-las-mafias-policiales-marroquies-p
    #asile #migrations #réfugiés

  • El bloqueo de la frontera Marruecos - España separa a decenas de familias sirias: «Volveremos a Siria»

    Alasha rompe a llorar cada vez que habla con ellos por teléfono desde Melilla. La frontera de Marruecos y España le separa de su pequeño Hamed (7) y su marido. «Pasan los días y no aparecen...», dice agobiada junto a su otro hijo de cuatro años. Al otro lado de la valla, Kalet les menciona una y otra vez: «Mi mujer y el bebé. Mi mujer y el bebé», repite frente a la barrera que permanece cerrada para buena parte de los refugiados en plena crisis humanitaria.


    http://www.eldiario.es/desalambre/frontera-Marruecos-Espana-volveremos-Siria_0_430457312.html
    #Syrie #réfugiés #asile #migrations #Melilla #Ceuta #Maroc #Espagne

  • #Ceuta, #Melilla e le «#devoluciones_en_caliente» - Intervista al Presidente della Comisión Española de Ayuda al Refugiado (CEAR) #Carlos_Berzosa

    La Spagna, pur essendo un paese dell’Europa meridionale oggetto di flussi migratori, riceve poche domande di asilo e si trova tra gli ultimi posti in Europa per la concessione della protezione internazionale. In quest’ambito, negli ultimi anni si è discusso molto della cosiddetta “valla” di Ceuta e Melilla, che consiste di una doppia recinzione sul lato spagnolo di 6 metri di altezza e di una terza recinzione di 2 metri sul territorio marocchino.
    Ma cosa succede davvero laggiù? Quali sono le azioni che il governo spagnolo ha intrapreso recentemente?

    http://asiloineuropa.blogspot.it/2015/05/ceuta-melilla-e-le-devoluciones-en.html
    #Espagne #Maroc #refoulement #push-back #asile #migration #réfugiés

    • La Guardia Civil devuelve en caliente a varios migrantes en la valla de Ceuta

      Este sábado ha vuelto a haber devoluciones sumarias en la frontera española con Marruecos, expulsiones ilegales según recordó la ONU a España solo hace una semana. Un vídeo del Faro de Ceuta, medio local presente en el intento de entrada, recoge cómo la Guardia Civil entrega a varios migrantes que habían logrado superar la alambrada a los agentes marroquíes, a través de una puerta en el vallado. Solo nueve personas, una de ellas un menor, lograron permanecer en territorio español tras bajar de la valla. Estuvieron encaramados en lo alto ocho horas, pese al peligro y el fuerte viento en la zona.


      http://www.eldiario.es/desalambre/Guardia-Civil-caliente-inmigrantes-Ceuta_0_523198150.html

    • El Consejo de Europa pide información a España por devoluciones sumarias en Ceuta y Melilla

      El Comisario de Derechos Humanos del Consejo de Europa, Nils Muiznieks, ha pedido a España información sobre la falta de un protocolo para las fuerzas policiales en Ceuta y Melilla que ponga fin a la devolución sumaria de los migrantes interceptados cuando intentan saltar las vallas, una práctica que conforme explica, no está avalada por la nueva regulación de la Ley de Extranjería, es contraria al ordenamiento jurídico internacional y se sigue produciendo pese a las advertencias de esta y otras instituciones, informa Europa Press.

      http://www.abogacia.es/2016/07/12/el-consejo-de-europa-pide-informacion-a-espana-por-devoluciones-sumarias-en

      –-> traduction reçue via la mailing-list migreurop:

      « Le Conseil de l’Europe demande des informations à l’Espagne quant aux expulsions sommaires depuis Ceuta et Melilla.
      Le commissaire des Droits de l’Homme du Conseil de l’Europe, Niels Muiznieks, a demandé à l’Espagne des informations sur l’absence de protocole pour les forces de l’ordre à Ceuta et Melilla pour mettre fin à l’expulsion sommaire des migrants interceptés lors des tentatives de passage des barrières, un pratique qui n’est pas conforme à la nouvelle réglementation de la Loi sur les étrangers, est contraire à l’ordre juridique international et qui continue d’être mise en œuvre malgré les mises en garde des institutions (...) »
      La réponse du ministre de l’Intérieur Jorge Fernandez Diaz à cette lettre est accablante, niant toute violation d’une quelconque législation et assurant toutes les garanties en terme respect des droits des migrants comme des demandeurs d’asile. Il souligne à Muiznieks que « S’agissant des ’refoulement’ et des ’expulsions collectives’ mentionnées dans votre lettre, notre législation les interdit expressément, garantissant ainsi le principe de non-refoulement. Une question distincte est le droit et l’obligation de l’Espagne de conserver et protéger ses frontières, qui dans le cas qui nous concerne, sont aussi les frontières extérieures de l’Union européenne, avec les implications qui en découlent pour la sécurités de tous ses citoyens ».

  • #Melilla : Apagón de los Derechos Humanos.

    Las imágenes que se ven han sido grabadas a lo largo del año 2014 en la valla de Melilla.

    Recogen actuaciones que las fuerzas de seguridad vienen ejerciendo “de forma habitual” y que son manifiestamente contrarias a nuestro ordenamiento jurídico y el ordenamiento jurídico internacional.

    El gobierno español ha aprobado recientemente un cambio legislativo en la Ley de Extranjería para legalizar dichas prácticas en las fronteras terrestres de Ceuta y Melilla, con el objetivo de dar impunidad a los agentes que actúan.

    ¡Las violaciones de DDHH no se pueden legalizar!

    https://vimeo.com/124410168

    #droits_humains #migration #asile #réfugiés #Maroc #Espagne #violence #police #vidéo #violences_policières

  • Street art: The street artist blu did a amazing politic wall in morocco against Europe. : #street-art pictures - Live! by FatCap

    http://www.fatcap.com/live/blu-in-morocco.html

    Another highly political wall by Blu for his first visit to Africa. The Italian artist came to Morocco, in the city of Melilla, one of the spanish territory in Africa soil. Shocked by the barricades and giant walls imposing Europe’s borders in Africa, the artist has created a wall representing African people around a representation of the european flag where the stars are replaced by barbed wire...

    #art_de_rue #art #peinture_murale

  • Legalizar las ’expulsiones en caliente’ es ilegal

    Un durísimo informe jurídico sostiene que la reforma del Gobierno vulnera la Constitución, la legislación comunitaria y toda la normativa internacional sobre los Derechos Humanos
    El análisis, firmado por una quincena de juristas, afirma que «no da cobertura jurídica a las entregas sumarias», «baja el listón ético» y «nos aproxima a la barbarie»

    http://www.elmundo.es/espana/2015/04/13/552ac33822601d1d058b458f.html?cid=SMBOSO25301&s_kw=twitter

    #Maroc #Espagne #Ceuta #Melilla #migration #asile #push-back #refoulement